La belle ne répond pas à sa proposition verbalement, mais son regard brûlant lui indique qu’elle est absolument d’accord pour que leurs échanges futurs finissent de la sorte. Reportant son attention sur la gourmandise face à son visage, la brune ne perd pas de temps et l’aspire comme si sa vie en dépendait. Elle n’est pas une novice, et elle connaît son affaire. La seule chose qu’il lui reste à déterminer, ce sont les préférences du mafieux.
Méthodique, sensuelle, gourmande, la sorcière entreprend de découvrir chaque parcelle de peau accessible, chaque réaction qu’elle peut lui tirer, déduisant ce qui le faisait réagir le plus. Ses mains, ses lèvres, sa langue et même sa gorge se mettaient à l’ouvrage avec abandon, délice et enthousiasme. Et si elle parvenait à rester concentrée sur sa tâche au début, les attentions du colosse contre sa fleur lui firent bien vite diviser son attention en deux.
Ses reins ondulaient contre le visage de Randal, ses gémissements s’étouffaient quand elle le prenait au fond de sa gorge. Elle était trempée et lui coulait dessus avec zèle. Les réactions de son corps indiquaient au colosse que la sorcière adorait quand il se montrait inquisiteur, possessif et ravageur. Que ce soit avec sa queue ou sa langue, la brune s’y soumettait de bon cœur. Et quand il commença à jouer avec ses seins en prime ? Toute semblance de contrôle lui échappa. Céleste se montrant d’autant plus goulue, n’hésitant pas à venir taquiner les bourses au passage, lui offrant tout ce que sa gorge pouvait faire de mieux.
Sentant la main de l’homme appuyer sur son crâne, la délurée le laissa s’enfoncer tout au fond, jusqu’à ce que ses lèvres touchent son pubis et ses bourses. Elle ne rechigne pas, ne proteste pas, et subit avec un gémissement étouffé. Elle aime sentir sa puissance, et le manque d’air qui commence doucement à se faire sentir ne fait que l’exciter de plus belle.
Verrouillant ses mains contre les cuisses de l’homme, Céleste ondule de plus belle. La chaleur monte de plus belle à mesure que la belle à besoin de respirer. Son esprit perd toute cohérence qu’il pouvait avoir alors que l’extase se rapproche. La gourmande se force à rester sans protester encore un peu, encore et encore et…. Et la voilà qui marque de nouveau Randal avec ses fluides. Son corps tremble, tressaille, alors que ses poumons hurlent, mais elle ne lâche pas sa prise jusqu’à ce qu’elle le sente également venir, déchargeant son extase au plus profond de sa gorge.
Ce n’est qu’à ce moment que la sorcière force contre la main qui la maintient et se redresse, déglutissant, toussant, larmoyante. Mais avide de ce foutre qu’elle pouvait sentir lui repeindre le visage. Ouvrant la bouche, elle reprit le gland entre ses lèvres pour profiter des derniers jets, le suçant, aspirant jusqu’à la dernière goutte, ignorant la jauge de l’artefact qui se remplissait de nouveau.