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Un trop gros poisson a mordu à l'hameçon (Feat Emi Nakano)

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Kilian Piers

Humain(e)

Le vice…d’aucuns ne sauraient lister la totalité de ceux qui me font frémir. Le sexe, l’argent, la manipulation…l’un des rares qui me soit encore inconnu est le chantage…la menace de dévoiler une information pour obtenir un avantage, ou la subordination forcée. Et honnêtement, n’ayant rien contre l’idée, je n’y ai jamais vu le moindre intérêt, ayant assez de malice pour obtenir ce que je désire sans avoir besoin d’en arriver là.

Les choses changent un fameux soir des plus banals, rentrant d’une séance d’entrainement avec Mona, je n’ai pas prévu de faire grand-chose de cette soirée, ressentant la fatigue s’insinuer dans tous les muscles de mon corps. M’affalant sur mon fauteuil en tissu, une clope à la main. J’entends le couple du dessus s’engueuler comme chaque soir depuis plus d’une semaine, ce qui me hérisse les poils, me donnant envie d’aller la baiser pour qu’elle ait une bonne raison de gueuler à travers tout le voisinage.

Mais ce soir, j’ai la flemme, alors d’un coup de télécommande je lance la sono, du métal bien trash résonnant assez fort pour leur faire comprendre ce que c’est que de se faire emmerder par le voisinage. Retirant négligemment mes pompes, je prends mon téléphone, checkant les nouveaux models sur les réseaux. Ça fait longtemps que je ne suis pas allé voir. Pas comme si le besoin s’en faisait sentir. Commençant à scroller.

-   Moche, moche, banal, aucun intérêt, elle a l’air mineur sans déconner !

Prenant une taffe, je traine ainsi sur mon téléphone pendant plusieurs minutes sans rien repéré d’intéressant. Je m’apprête à fermer l’appli et aller me coucher, lorsqu’une photo attire mon attention. Pas de visage, mais une poitrine…généreuse ? Nan carrément opulente, dans un haut bien trop petit et serré. La seule qui vaille la peine que j’aille voir son profil. Visiblement elle a déjà pas mal d’abonnés.

Mon dos se redresse du siège, mes coudes se posant sur mes cuisses comme support, elle a au moins le mérite de m’avoir donné l’envie de me redresser.

-   Emi…nom intéressant, franco-japonaise ? On n’en voit pas des masses.

Elle passe ainsi la deuxième étape de ma sélection lorsque je clique pour voir sa story. Avec une photo bien aguicheuse, elle annonce un live cam ce soir.
Je prends quelques instant pour réfléchir, avant de me lever, non sans gémir de fatigue. Allant vers la cuisine pour prendre une boisson énergisante, je traverse le salon, prenant un cendrier en passant. Installant mes fesses sur l’ordi que je rallume.

Ouvrant mon navigateur, je retourne sur sa page, et rejoins son live. Un siège vide pour le moment. Profitant pour fouiner, je constate qu’il y a déjà énormément de followers sur son chat. Scrollant vers le bas pour les détails de son compte, je constate que ça fait à peine trois mois qu’elle a créer ce compte. Pourtant son setup semble qualitatif. Soit elle vient d’une famille riche, soit elle a suffisamment de succès pour attirer les sponsors et les opé spés.

Décidément elle a su involontairement me faire mordre à son hameçon…Faudrait il encore que le poisson ne soit pas trop gros pour elle, et qu’il ne l’entraine pas dans les profondeurs dont elle ne sortirait pas.

-   Re coucou mes amours !

Ah, une voix douce, même carrément mielleuse résonne dans mon casque, et me pousse à remonter la fenêtre pour la voir. Madame souhaite garder son anonymat ? Il semblerait avec son masque dessinant un smiley de chat me privant de son nez et sa bouche. Il n’y a que son regard qui parait. Son regard, et sa poitrine toujours camouflée par un soutient gorge en dentelle qui menace de craquer à tout instant. Et ça fait son effet, les tips pleuvent alors qu’elle joue la délicate model. Je lui accorde savoir jouer de ses charmes pour attirer la thune…mais quelque chose…s’éveille en moi. J’ignore pourquoi, je suis sur son live depuis quelques minutes, et mon instinct me pousse à savoir ce qui se cache sous ce masque. Est-ce parce que je constate qu’elle prend ses followers pour des cons ? C’est le jeu, j’en ai conscience, mais la façon dont ils sont à ses pieds…et dont elle s’en délecte…ça me donne envie de retourner ça contre elle.

Pour une fois que mes vieilles capacités en informatique ont un réel intérêt, je ne vais pas me priver. Prenant mon ordi portable, la laissant en fond pour m’assurer de l’avancée du live, et qu’elle ne parte pas trop vite. J’active mon VPN, le faisant transiter par plusieurs pays pour me rendre intraçable. Piratant le site l’hébergeant, je réussi à obtenir ses coordonnées bancaire, ainsi que son nom complet.
Bien sûr, je croiserai les infos, pour peu qu’elle ait donné un faux nom par sécurité sur le site, la banque elle ne mentiras pas. Emi Nakano…j’ai bien fait de vérifier, elle a mis un faux nom sur le site.
En peu de temps j’obtiens son adresse, celle de sa famille, leur contact, je découvre même, bien que je m’en doutais, qu’ils ignorent les activité de leur fille modèle qui subvient aux besoins de sa famille.
Prenant mon téléphone et masquant sa traçabilité, je ne perds pas de temps, finissant ma canette.

Citer
"Emi Nakano, bienvenue dans notre petit jeu. Les règles sont simples. Interdiction de dire non ou de refuser. Tes parents seraient outrés de découvrir que leur fille s’exhibe sur le net…"

Le message s’envoi, je coupe le téléphone et regarde en live sa réaction…j’en bande rien qu’à imaginer sa tête…
« Modifié: dimanche 28 septembre 2025, 22:45:43 par Kilian Piers »
Discussion : #f8885c
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Emi Nakano

Humain(e)

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    Emi est une jeune femme de 27 ans, franco-japonaise, modèle OnlyFans et camgirl en secret. Elle jongle entre son quotidien, où elle aide financièrement ses parents, et son personnage devant la caméra. Elle est indépendante, rusée, consciente de son apparence, et n’hésite pas à en jouer.

Re : Un trop gros poisson a mordu à l'hameçon

Réponse 1 dimanche 28 septembre 2025, 21:09:04

Des années, à présent, qu’elle postait des photos et des extraits de vidéos sur son compte OnlyFans. De quoi renflouer le compte bancaire de ses parents, certes, mais surtout, lui permettre d’acheter et d’investir dans du matériel de qualité. Et par matériel, Emi pensait autant à sa lingerie, à ses accessoires et à ses jouets, qu’à ses outils techniques, comme ses objectifs, son appareil photo ou ses éclairages. En somme, tout ce qu’elle utilisait pour que ses clichés aient l’allure de véritables photos professionnelles. Après tout, qui voudrait admirer une paire de jolies fesses toutes pixelisées, dont on devinait à peine les contours derrière le flou numérique d’un appareil bas de gamme ? Pas elle, assurément.

Alors, Emi veillait à chaque détail. La lumière tombait exactement là où il fallait, la pose était étudiée, le décor choisi avec soin. Chaque cliché était une mise en scène, où elle était à la fois actrice et metteuse en scène. Ses regards, ses sourires, ses courbes racontaient quelque chose, et bon nombre d’abonnés raffolaient de son compte.

Mais voilà, depuis plusieurs mois, Emi avait décidé d’aller plus loin. Pourquoi se contenter de simples photos et vidéos préenregistrées, lorsqu’elle pouvait faire des lives, interagir directement avec ses abonnées ? Désormais, les caméras étaient braquées sur elle en temps réel, plusieurs heures par semaine. Alors, son savoir-faire se révélait sous un autre jour. Sensuel, érotique, certes. Mais plus intime. Impossible de nier, par ailleurs, qu’elle adorait cette proximité nouvelle avec ses followers. Des habitués, pour sûr, mais aussi des curieux charmés à chaque séance. C’était une intensité différente, un mélange d’excitation et de contrôle, une adrénaline qu’elle ne retrouvait pas lors de ses simples shootings photos. Enfin, nul doute qu’elle raffolait de l’argent qui tombait plus facilement.

Ce soir, c’était l’une de ses séances. La pièce était plongée dans une lumière chaude et douce, calculée pour mettre en valeur ses courbes. Sa caméra était disposée de manière stratégique, afin de capter l’angle parfait – celui qui saurait rendre dingues même les plus exigeants. Une vue plongeante sur sa poitrine généreuse. Et n’oublions pas sa lingerie, celle qu’elle avait achetée récemment, spécialement pour l’occasion. Un ensemble rouge révélateur, qui épousait parfaitement sa peau. Quelques mailles tissées, un brin de fourrure, et surtout, une paire d’escarpins, à la hauteur vertigineuse. De quoi allonger ses jambes lorsqu’elles apparaissaient à l'écran. Mais clairement, ses abonnés étaient connectés pour autre chose. Ce qu’elle n’offrait pas sur son compte OnlyFans.

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« Recoucou, mes amours ! s’exclama-t-elle, en s’installant sur son siège. »

Un fauteuil confortable, placé juste à côté de son lit. Elle filmait dans sa chambre, c’était une certitude. Emi savait que certains de ses followers adoraient cette idée, cette contiguïté, comme s’ils avaient l’impression de partager un moment unique avec elle. D’être présents, là, dans son appartement, avec elle. Tous proches de pouvoir faire ce qu’ils voulaient d’elle. Et bien sûr, elle en jouait. Si ce n’était pas pour elle, ces hommes dépenseraient leur argent ailleurs, pour une autre, de toute manière.

« Je vous ai réservé une surprise, ce soir, sourit-elle sous son masque, en se penchant en avant, vers la caméra. »

Sa voix était veloutée, douce et captivante. Un murmure prometteur. Ne parlons même pas de ses seins, qui ballottaient à chacun de ses mouvements. Et de ses cheveux, lâchés, qui caressaient ses épaules, avant de tomber en cascade sur sa poitrine, et qu’elle écartait d’un geste nonchalant à intervalles irréguliers.

Voilà qu’elle expliquait le programme de la soirée, ses mots s’égrainant entre deux tips généreux, lorsqu’elle entendit soudainement son portable vibrer, posé sur un coin de son bureau. Curieuse, elle s’en saisit d’un mouvement leste, tout en se redressant sur sa chaise, afin de retirer son masque en toute tranquillité, son visage hors du champ de la caméra. Le petit objet à l'effigie de chat, parfois si pratique pour ses jeux de mystère, s’avérait alors encombrant, la gênant pour lire ses messages. De toute façon, ce n’étaient pas ses abonnées qui allaient s’en plaindre, puisqu’ils avaient, à présent, un gros plan sur son décolleté. Et le bas de sa frimousse, dévoilant des lèvres pleines, luisantes de gloss, où quelques mèches brunes étaient coincées.

« Uhm, je suis à vous dans quelques secondes… murmura-t-elle, après avoir déverrouillé son téléphone. »

Elle en profita pour attraper un verre à portée de main, d’où une paille colorée s’échappait. Ses lèvres effleurèrent cette dernière, mais Emi n’eut le temps d’avaler qu’une gorgée de sa limonade, le message qu’elle avait reçu s’affichant à l’écran de son portable. Immédiatement, ses sourcils se froncèrent, tandis qu’elle parcourait les lignes, le cœur battant un peu plus vite. Une moue légère fleurit sur son visage, entre méfiance et perplexité. Une blague, peut-être ? De très mauvais goût, d’ailleurs, mais qui s’adonnerait à de telles extrémités ? Le ton n’était ni anodin, ni amical. Elle sentit un mélange d’adrénaline et d’inquiétude se mêler à l’excitation habituelle de ses lives, alors qu’un frisson remontait son échine. D’angoisse ? D’appréhension ? Qui sait.

Tapotant distraitement ses doigts sur son bureau, Emi jeta un coup d’œil aux commentaires qui défilaient sous son absence momentanée. Ses abonnés commençaient à s’inquiéter, à poser des questions, à réclamer son attention. Pouvait-il s’agir de l’un d’entre eux ? Était-il sur le live, là, maintenant ? Peut-être bien. Peut-être pas. L’un dans l’autre, c’était mal la connaître de croire qu’elle se laisserait marcher sur les pieds aussi facilement. Il n’était pas encore né, celui qui pourrait la faire chanter ou lui dicter sa conduite. Bientôt, un sourire léger, malicieux et résolument assuré, fleurit sur ses lèvres. Ses yeux brillèrent d’un éclat espiègle, tandis qu’elle se penchait légèrement vers la caméra, sans jamais dévoiler davantage que la partie basse de son visage.

« Chaton, voyons, tu ne sais pas avec qui tu joues. Tu vas te brûler les ailes. »
« Modifié: jeudi 02 octobre 2025, 19:39:15 par Emi Nakano »
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Kilian Piers

Humain(e)

Re : Un trop gros poisson a mordu à l'hameçon (Feat Emi Nakano)

Réponse 2 lundi 29 septembre 2025, 22:25:55

Profitant du spectacle, elle m’offre une jolie vue, ainsi qu’à tous ses fans, ayant le don de me faire oublier ma fatigue.

« Uhm, je suis à vous dans quelques secondes…»

Tout porte à croire que mon message lui ai bien parvenu, d’autant qu’elle reste un moment sans bouger ni réagir à son tchat, qui a s’impatiente, tandis qu’un sourire d’excitation se dessine derrière mon écran. Me redressant je m’apprête à aller me prendre une autre boisson pour rester éveillé. C’est alors que je vois notre chère Emi se pencher, dévoilant une infime partie de son visage, se limitant à son menton et à sa lèvre inférieur pulpeuse…

« Chaton, voyons, tu ne sais pas avec qui tu joues. Tu vas te brûler les ailes. »

Tapotant sur mon bureau, je rigole doucement, elle se dit sans doute que c’est du bluff. Je lui reconnais cependant qu’elle n’a pas froid aux yeux et a du répondant. Cela dit, rien ne presse. Elle ignore les cartes dans mon jeu, et se précipiter renverrait un message selon lequel je serais empressé et désorganisé. Alors je ne réponds pas à sa provocation, la laissant se dire que j’ai pris peur, ou que je me suis découragé.

La laissant reprendre son live, j’en profite pour cuisiner, n’ayant rien avaler ce soir. Ses lives durent environs 3 à 5h d’affilé, je peux donc en jouer. Coupant quelques légumes nonchalamment pour les faire mijoter dans une casserole d’eau salée. Je profite de ce calme pour réfléchir à mon prochain mouvement, je suis tiraillée entre l’envie de la faire paniquer, et d’y aller plus progressivement. Au final, je suis novice dans le domaine et ça se ressent de mon côté. L’essentiel est que je ne le fasse pas ressentir du sien, en risquant de perdre ma crédibilité.

Mon objectif n’étant pas de la faire chanter juste pour l’emmerder, mais d’insidieusement lui mettre une laisse autour du cou, même mieux, que ce soit elle qui la veuille sa laisse…oui…c’est ça que je veux.

Pendant que la cuisine se fasse, je retourne devant l’écran. Observant la situation. Semblant avoir repris un rythme classique, je l’observe répondre aux questions de plus en plus graveleuses. Rallumant une clope, dans la pièce légèrement éclairé. Je coupe la musique pour me concentrer. La tension sur le tchat monte graduellement, au fur et à mesure qu’elle en dévoile de plus en plus. Si au départ c’était parti sur des discussions détendu, au fur et à mesure elle se dévoile. Encouragé par les tips. Se levant de temps à autre pour dévoiler ses fesses bien travaillées. Emi est attirante, elle le sait, en joue et travaille dur pour le maintenir, je lui reconnais volontiers.

La soirée devient enfin plus intéressante lorsqu’elle présente les différents gode en sa possession. Proposant à ses viewers de choisir celui qu’elle va utiliser, le tips le plus élevé des 5 prochaines minutes aura le droit de décider. Tel une vente aux enchères, la sonnerie de notifications ne cesse de sonner, pour des tips commençant à 1$ allant jusqu’à 500 au bout du temps imparti. Cependant au dernier moment, un inconnu avec comme pseudo « ? ? ? ? » envoi un pourboire de 1000$ avec un message « enfonce le plus gros à taille humaine au fond de ta gorge de salope » évidemment l’inconnu c’est moi, voulant voir jusqu’où elle pouvait aller. Une sorte de casting, m’assurant qu’elle a les bases pour supporter ce que je prépare…
Et contre toute attente, elle ne rechigne pas à la tâche, loin d’être farouche elle en joue…me donnant envie de reprendre notre échange privé.

Reprenant mon téléphone, cette fois je lui envoi :
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Ta mère française serait déçue de savoir ce que tu fais, comment tu enfonces des bites en plastique dans ta gorge… tiens je vais lui envoyer le lien de ton live

Ajoutant le numéro de téléphone de sa mère et son nom pour lui prouver que je ne bluff pas, j’envoi le message. Je me sens fébrile, au moment de l’envoi, pas de peur, non…au fond de mon siège, je tremble…d’excitation…elle a encore le gode bien profond, rempli de bave quand son téléphone vibre à nouveau…je sors ma queue ne tenant plus et commence à me toucher…

-   Cette collaboration s’annonce prometteuse, Emi…

Cette fois, elle semble plus tendue que tout à l’heure.
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Emi Nakano

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    Emi est une jeune femme de 27 ans, franco-japonaise, modèle OnlyFans et camgirl en secret. Elle jongle entre son quotidien, où elle aide financièrement ses parents, et son personnage devant la caméra. Elle est indépendante, rusée, consciente de son apparence, et n’hésite pas à en jouer.

Re : Un trop gros poisson a mordu à l'hameçon (Feat Emi Nakano)

Réponse 3 mardi 30 septembre 2025, 21:37:46

Emi n’était pas farouche. Et ne l’avait jamais été, à vrai dire. Si pour certains, la sexualité était un véritable tabou, pour elle, rien n’en était. Au contraire, elle la vivait comme une force, un jeu, une manière de s’affirmer. De prendre le contrôle. Et notre jeune modèle s’y adonnait depuis de nombreuses années, déjà. Son adolescence avait démarré sur les chapeaux de roue, sans jamais ralentir depuis. Plus les années passaient, plus l’expérience s’accumulait. S’affinait. S’imprégnait dans chacun de ses gestes, de ses regards, jusqu’à façonner une maîtrise parfaite de son corps et de son pouvoir de séduction.

Au final, cette profession n’était qu’une extension d’elle-même. Elle n’avait pas honte de se donner en spectacle, pas plus qu’elle ne s’embarrassait des commentaires graveleux de ses abonnés, ou de leurs regards lascifs sur son corps. En réalité, ils n’étaient qu’une représentation plus libérée de ceux qu’elle côtoyait au quotidien. Ces hommes qu’elle croisait dans la rue, qu’elle rencontrait en soirée, ou qu’elle côtoyait le temps d’une nuit. Finalement, quitte à être regardée, détaillée, dévorée, autant y gagner quelque chose, non ? Plus que du plaisir. Plus qu’une partie de jambes en l’air. Un véritable tremplin pour son quotidien difficile.

Alors, sous cette pluie de tips, tous plus démesurés les uns que les autres, la jeune femme n’hésitait pas une seule seconde – ses lèvres rosées, grandes ouvertes, pompaient goulûment un gode de taille excessive, au point qu’elle semblait l’avaler tout rond, dans des bruits humides, lascifs… bruyants. Ne parlons même pas des soupirs appréciateurs qu’elle poussait, ponctués de légers gémissements, qui traduisaient à la fois le plaisir feint et l’art de provoquer ses abonnements. Chaque mouvement était lent, calculé, exagérant la sensualité de ce geste simple, et ses yeux brillaient d’un éclat malicieux, consciente de l’effet qu’elle produisait, de l’image qu’elle renvoyait.

Celle d’une salope, assurément. Mais qu’en avait-elle à faire, franchement ? Rien, rien du tout.

De temps en temps, Emi se redressait, son gode noyé sous toute sa salive. Et alors, elle l’enfonçait entre ses deux seins, l’y pressant vigoureusement, le plastique humide contre sa peau disparaissant à intervalles irréguliers. Elle le faisait monter, descendre, monter, descendre, encore et encore, tandis que de son autre main, elle malaxait sa poitrine, au point de la faire déborder de sa lingerie. Ses tétons, durs et érigés par l’excitation, étaient alors pleinement visibles, si bien qu’elle se penchait en avant, comprimant davantage l’objet, puis reculait, faisant rebondir doucement ses deux mamelles bien chargées, dans un rythme hypnotique.

Et ses adorateurs en redemandaient. Les commentaires pleuvaient, des simples miam gourmands aux plus explicites. Vache laitière. Salope. Coquine. Petite chienne. Des requêtes, des supplications pour continuer, ou en voir plus. Des compliments, des exclamations enthousiastes, des encouragements effrontés, des smileys sans ambiguïté aucune. Chaque message, chaque tips, semblait alimenter l’énergie d’Emi, renforçant son assurance et son désir de jouer, de provoquer, de captiver encore davantage. C’est qu’elle adorait ça. 

Jusqu’à la nouvelle vibration de son portable. Sans ralentir ses gestes, elle s’en saisit discrètement, ses doigts glissant sur l’écran avec une aisance naturelle. Elle avait conscience que cette fois-ci, elle ne pourrait pas s’arrêter pour découvrir le message de son admirateur ; chaque seconde comptait pour captiver ses abonnés et garder l’intensité du livre intacte. Toutefois, elle fut incapable de retenir un froncement de sourcil, alors que les battements de son cœur s’affolaient insidieusement dans sa poitrine. Le numéro de sa mère… ? Et son nom ? Comment l’avait-il trouvé ?

Immédiatement, la jeune femme riva son regard sur l’écran de son ordinateur, faisant défiler les nombreux messages de ses followers. Aucun ne semblait faire allusion à sa vie privée, à son secret, mais une chose était certaine ; son maître chanteur assistait au spectacle, planqué derrière son écran d’ordinateur.

Agacée, frustrée, alarmée, elle lui répondit rapidement.

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« Et si tu venais me le dire en face, chaton, au lieu de te cacher derrière ton écran ? Tant de paroles, si peu d’action. Tu ferais mieux de rester dans ton coin et profiter du spectacle, ça t’ira mieux. :-*»

Une fois débarrassée de son message, sa concentration revint immédiatement sur son live, sur ses abonnés, et sur l’intensité de ses gestes. Ou du moins, essaya-t-elle, mais ce n’était pas gagné. Parce qu’elle voulait savoir. Quand ? Comment ? Pourquoi ? Était-ce un jeu, pour lui ? Ou souhaitait-il davantage ?

Rapidement, ses followers se firent plus insistants, lui réclamant une scène plus osée. Et parce qu’elle n’y était pas opposée, Emi finit par s’installer à genoux sur son fauteuil, sa croupe présentée à la caméra, offrant une vue complète et provocante sur ses jolies fesses rondes, qu’elle entretenait assidûment à la salle. Sa lingerie, qui relevait plutôt du string que de la culotte, dévoilait sa peau sans aucune pudeur. La cordelette lui rentrait d’ailleurs entre ses deux globes de chair, frottant distinctement contre son anus. Bientôt, son dos s’arqua légèrement, tandis que sa poitrine, pressée contre le dossier du fauteuil, rebondissait légèrement à chaque mouvement.

Elle ajusta sa position avec une lenteur calculée, laissant ses mains glisser le long de ses hanches, caressant sa peau délicate. Jusqu’à se saisir, à nouveau, du gode. Elle comptait bien s’y frotter. Sans jamais offrir la libération que ses abonnées espéraient. Parce qu’elle ne leur offrait la pénétration qu’en live privé, malicieuse qu’elle était.

Une femme d'affaires jusqu’au bout.
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Kilian Piers

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Re : Un trop gros poisson a mordu à l'hameçon (Feat Emi Nakano)

Réponse 4 mercredi 01 octobre 2025, 20:21:15

Occupé à me chauffer gentiment, j’entends en fond l’alarme de la cuisine pour m’indiquer d’y aller…mais le spectacle devant moi est trop intéressant pour m’en éloigner, d’autant que le plaisir qu’elle prend avec cette gorge profonde est fascinant. Plaisir, c’est bien ce qu’elle semble prendre à s’exposer ainsi. Certaines cams girls font ce boulot uniquement pour l’argent et ça se ressent, n’osant pas se lâcher, ne pouvant cacher leur honte et leur timidité.

Emi est d’un autre niveau, l’argent est une simple excuse à s’exhiber en y trouvant une raison valable. Elle est faite pour s’exhiber…c’est une seconde nature chez elle…en a-t-elle vraiment conscience ? Je veux dire, se mettre en scène derrière son écran dans le confort et la sécurité de sa chambre est un jeu d’enfant. Je suis sûr qu’elle n’a pas franchi le pas de le faire à l’extérieur…Je sens transparaitre sans doute inconsciemment une frustration de ne pas pouvoir se donner plus, avoir plus d’interactions sauvage et réel…

A ça y est mon message lui est parvenu…elle ne prends même pas la peine de s’arrêter, la salope, tout pour son public…Mais elle se trahit. Son regard paniqué se tourne vers l’écran, ses yeux bougeant rapidement pour chercher dans le tchat, mais avec plus de précipitation que d’habitude…elle me cherche…je m’ancre dans son esprit comme un danger…
Restant silencieux depuis mon tips qui l’a poussé à se donner en spectacle avec son jouet.

Elle se jette sur son téléphone, sans arrêter de jouer avec son gode, les mouvements se faisant moins précis, plus chaotique.
Citer
« Et si tu venais me le dire en face, chaton, au lieu de te cacher derrière ton écran ? Tant de paroles, si peu d’action. Tu ferais mieux de rester dans ton coin et profiter du spectacle, ça t’ira mieux. :-* »
Elle perd patience, me cherche, tente de masquer son angoisse par la provoque, pensant que je vais me débiner de la voir résister alors qu’il n’y a pas deux minutes ses yeux étaient en panique.

La voyant reposer son téléphone et reprendre contenance autant que possible. J’admire sa détermination. M’éloignant pour aller vers la cuisine, je réfléchis au prochain mouvement. J’ai une bonne piste de réflexion d’ailleurs. M’installant en tailleurs sur mon siège pour manger ma jardinière de légume ; oui c’est un repas étonnamment équilibré pour un stalkeur ; je pirate l’adresse mail de son père, coupant temporairement l’accès pour ne pas être déranger, j’envoi un mail avec les photos d’Emi, nue, obscène, expliquant tout ce qu’elle fait sous prétexte d’aider sa famille.

Prenant une photo, je l’envoi avec le message suivant

Citer
« Tu as deux minutes pour couper ton live et cliquer sur le lien suivant autrement je redonne accès à ton père »

Sans un mot de plus, j’y ajoute un screen de la boite mail de son paternel avec mon message. Lui faisant comprendre que pour l’instant il n’y a pas accès, mais que tout dépend de sa réaction.

En cliquant sur le lien elle sera envoyé mais un cam privé dont j’aurai le contrôle. Je l’entendrai, la verrai, mais pas elle, qui pourra juste lire les messages.
« Modifié: mercredi 01 octobre 2025, 21:43:56 par Kilian Piers »
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Emi Nakano

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Re : Un trop gros poisson a mordu à l'hameçon (Feat Emi Nakano)

Réponse 5 jeudi 02 octobre 2025, 19:40:32

Voilà que son téléphone vibrait à nouveau, annonçant l’arrivée d’un message. Elle retint difficilement un soupir exaspéré, perchée sur son fauteuil confortable. Que croyait-il, qu’elle n’avait que ça à faire, de répondre à son portable, alors qu’elle était occupée à tortiller ses fesses pour ses abonnées ? Ce n’était pas à en s’en désintéressant, même l’espace de quelques secondes, qu’elle allait gagner sa croûte, loin de là. Ses followers étaient demandeurs, et au moindre signe de distraction ou d’atonie, c’était l’avalanche de commentaires pressants, curieux, inquiets, au point qu’elle devait les rassurer comme des enfants impatients.

Impossible de se relâcher. Impossible de s’absenter.

Son maître chanteur dut donc attendre plusieurs minutes, le temps qu’elle puisse se réinstaller convenablement sur son siège. Puis, alors qu’elle parlait à la caméra, ponctuant ses répliques de remarques coquines ou de rires légers, discutant avec certains de ses abonnées, elle se saisit enfin de son téléphone, pour lire le message en attente. Le silence qu’elle s’imposa fut imperceptible pour ses spectateurs : un battement de cil, un souffle suspendu. Son sourire, lui, resta figé, identique à celui qu’elle arborait depuis le début du live. Poker face impeccable.

Mais pour qui savait regarder au-delà de l’écran, la vérité se trahissait ailleurs. Ses épaules s’étaient raidies d’un coup, ses doigts crispés sur le téléphone blanchissaient légèrement, et sa nuque se tendait dans une posture trop rigide pour être naturelle.

L’enfoiré.

À cet instant, il n’existait pas d’insulte assez sale pour décrire la pourriture qu’il représentait à ses yeux.

Bien obligée de céder à sa demande, Emi finit par conclure son live, bien plus tôt qu’à son habitude. Ses followers le remarquèrent, évidemment, et certains s’empressèrent déjà d’inonder le chat de questions, intrigués par cette coupure brutale. Mais puisqu’elle était chronométrée comme une bombe à retardement, elle n’eut pas le loisir d’inventer une excuse crédible, se contentant d’un sourire appuyé et d’un clin d’œil feint, avant de mettre un terme à la diffusion. Puis, dès que l’écran s’assombrit, elle sentit son souffle s’accélérer malgré elle.

Ses doigts glissèrent fébrilement sur le téléphone pour ouvrir le fameux lien, la mâchoire crispée, consciente qu’elle venait peut-être de mettre le pied dans un piège dont elle ne sortirait pas indemne.

Le temps que le live se lance, Emi s’assit plus commodément dans son fauteuil, une jambe repliée sous ses fesses, et l’autre pressée contre sa poitrine, un bras enserrant doucement sa jambe. Sa main libre vint se poser sur son genou relevé, où elle appuya ensuite son menton, dans une posture à la fois détendue et faussement nonchalante, comme si rien ne pouvait venir perturber sa soirée. Ce qu’elle aurait aimé, sans aucun doute, mais difficile d’avoir le choix lorsqu’on menaçait de dévoiler tous vos sales secrets à votre famille.

Enfin, l’écran s’illumina devant elle, projetant sur son visage une lueur familière. Sous ses yeux, rien qu’une messagerie vide de tout spectateur, dépourvue du flot habituel de compliments et de provocations. L’espace clos d’une cam privée, où chaque silence pesait double, où chaque mot aurait la force d’un coup de couteau. Emi resta immobile quelques secondes, son regard fixé sur l’écran noir, comme pour jauger l’adversaire invisible derrière. Pourquoi ce chantage ? Qu’espérait-il en tirer ? Ses questions traversaient son esprit, avant qu’elle ne penche la tête, sa douce voix s’élevant dans la pièce ;

« Si tu mourais tant d’envie de me voir dans une cam privée, tu pouvais demander gentiment, mon grand. »
« Modifié: jeudi 02 octobre 2025, 20:30:52 par Emi Nakano »
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Kilian Piers

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Re : Un trop gros poisson a mordu à l'hameçon (Feat Emi Nakano)

Réponse 6 jeudi 02 octobre 2025, 20:59:36

Oh oui…cette réaction, cette crispation, je sais à cet instant qu’elle prend enfin conscience de la situation. Je frissonne de joie derrière mon écran, l’excitation de la nouvelle expérience, du tâtonnement…mais également la soif de connaître la suite, comme le héros ayant conscience d’être dans un roman sans en connaitre la suite…ou plutôt le vilain vu mon pédigré.
Me délectant de chaque instant, je n’ai pas grand-chose à faire pour l’instant que de profiter du spectacle. Entre ma proie qui commence à angoisser tout en luttant comme un diable pour ne rien dévoiler, ses followers comme une meute de chiens enragés commençant à s’impatienter et l’attaquer parce qu’elle fait une pause de quelques secondes…Un vrai tableau de l’âme humaine en direct.

Au fond, posé sur mon siège, j’ai un peu de peine pour elle, se donnant à fond pour leur faire plaisir, je les trouve bien ingrats et exigeants pour des puceaux se touchant la nouille pour combler leur solitude. Est-ce ironique de penser ça alors que ce soir je ne suis pas si différent d’eux ? Nan, parce que contrairement à ces loosers, à cet instant leur idole est tenue par des fils, les miens, et telle une marionnette obéissante car elle sait où se situe son intérêt, elle annonce la fin du live, sans plus d’explication sous la colère de ses groupies.

Il ne lui reste que trente secondes pour se connecter à mon canal particulier, intraçable et totalement sécurisé. Tel un bulle hermétique dans la grande toile qu’est internet. Tiens juste à temps, la notification de connexion. Et je la vois, essayant de prendre ses aises, mais libre de tout autre œil suspect, son stress se devine totalement, bien qu’elle essai de garder contenance, prenant une pose nonchalante franchement pas naturel.

Son regard emprunt de colère et de peur semble me transpercer à travers la caméra.

« Si tu mourais tant d’envie de me voir dans une cam privée, tu pouvais demander gentiment, mon grand. »
Commençant à pianoter sur le clavier, elle peut voir que son hôte commence à écrire

-   Crois tu être en position de jouer la fierté ? Ta seule présence ici prouve que tu n’as pas les cartes pour me défier…

Entamant un partage d’écran, elle peut me voir en direct sur la boite mail de son père, lui montrant un mail insignifiant qu’elle lui a envoyé il y a quelques temps, histoire de prouver que ça n’était pas du bluff, ou un leurre.

-   Maintenant, je n’ai qu’une parole, si ce n’était pas le cas notre jeu à venir serai fossé.

Mon but est de lui faire comprendre qu’elle doit avoir suffisamment peur pour ne pas me défier, mais assez confiante pour comprendre que si elle joue le jeu, tout ira bien. J'efface le mail compromettant, n'en laissant aucune trace, devant ses yeux.

-   Pour ton information, je n’ai pas pour objectif de te forcer à te mettre un gode et te faire jouir à travers ta cam, comme peuvent le faire tes puceaux en chien…

Faisant exprès de prendre mon temps, je profite de la pause pour me dessaper, et me préparer à me coucher.

-   Le jeu va être simple. Je te lance des défis, si tu les réussis le jeu continue, si tu échoues…et bien…ma démonstration de tout à l’heure est suffisamment parlante.

Laissant monter le suspens, et lui faire réaliser la situation, je me mords la lèvre derrière mon écran.

-   Demain, on est dimanche, à 10h, le centre commercial, à la fontaine centrale, dans ta robe la plus courte. Je sais que tu as un œuf connecté, tu te le mets sans sous vêtement bien sûr. Je me chargerai du reste. Interdiction de jouir, gémir, ou faire tomber l’œuf…quant à imaginer l’éteindre…

 Sans lui laisser le temps de répondre, je quitte la conversation. M’étirant, je prends quand même une douche bien chaude, et vais me coucher, je dois me lever tôt pour l’observer lutter.
« Modifié: vendredi 03 octobre 2025, 07:18:06 par Kilian Piers »
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Emi Nakano

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Re : Un trop gros poisson a mordu à l'hameçon (Feat Emi Nakano)

Réponse 7 samedi 04 octobre 2025, 19:21:44

La connexion fut coupée avant qu’elle ne puisse émettre la moindre objection, ou même essayer de négocier. Bien qu’elle se doutait qu’il aurait refusé toutes ses tentatives de l’amadouer. Emi avait beau avoir plus d’un argument en sa faveur, son maître chanteur ne semblait pas vouloir se suffire d’une petite séance privée, bien au contraire. Un voyeur ? Un exhibitionniste ? Pour lui avoir demandé de se rendre à la fontaine centrale, presque dévêtue, avec un œuf connecté enfoncé en ses chairs intimes, nul doute qu’il avait quelques fantasmes à assouvir. Et Emi était sa victime, pour l’heure. Son jouet, sa cible.

S’y était-il essayé avec d’autres camgirls ? Qui sait. Emi pourrait mener son enquête, plus tard.

L’inquiétude avait beau l’avoir saisie un instant, c’était davantage la colère qui faisait bouillonner son corps, à présent. En réalité, les objectifs de son inconnu lui importaient peu. Emi ne comptait pas se laisser faire aussi facilement. Rusée, elle saurait retourner cette situation à son avantage, d’une façon ou d’une autre. De même, à l’issue de cette « relation », cet idiot finirait par lui manger dans la main, complètement accro à tout ce qu’il ne pourrait trouver ailleurs. Et alors, ce serait le moment parfait pour lui rappeler, avec calme et cruauté, qui tenait vraiment les rênes.

C’est avec cette pensée en tête qu’elle finit par se coucher, loin d’appréhender le lendemain. Au contraire, Emi y voyait plutôt la possibilité de confronter, de visu, son maître chanteur. Parce qu’il serait forcément dans les environs., quelque part. À elle de le traquer, de le dénicher…

Et pourquoi pas, de reprendre le contrôle du jeu.

Le lendemain, Emi était à l’heure au point de rendez-vous. Habillée d’un ensemble blanc audacieux, elle avait joué la carte de la provocation, pour lui montrer qu’elle n’avait aucune intention de se laisser intimider. Son haut, extrêmement court, s’arrêtait juste en dessous de sa poitrine, laissant deviner les courbes généreuses de ses seins sous un tissu légèrement transparent, excepté au niveau des tétons, soigneusement dissimulés. Sa jupe, plus longue qu’il ne l’aurait souhaitée, restait d’une finesse troublante : on devinait facilement qu’elle ne portait aucune culotte, tant par la légère transparence du tissu que par la manière dont il épousait le galbe parfait de ses fesses à chacun de ses pas.

Une ceinture noire et dorée cintrait sa taille avec élégance, tandis que des talons assortis, dans les mêmes teintes, allongeaient ses jambes et soulignaient la finesse de sa silhouette.

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Depuis son arrivée, elle n’avait pas manqué de remarquer les regards appuyés sur elle. Des hommes, des femmes, mais Emi ne s'en souciait que peu. Installée au bord de la fontaine, elle observait tranquillement les passants, à la recherche de son inconnu. Dire qu’elle n’avait même pas de prénom ou de pseudonyme pour le nommer. D’un geste désinvolte, elle repoussa quelques mèches de cheveux qui glissaient sur son épaule, laissant tomber son regard sur la fontaine comme si elle n’attendait rien… Alors qu’en vérité, elle attendait avec attention le moment où l’œuf se déclencherait, preuve certaine qu’il était dans les parages.
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Kilian Piers

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Re : Un trop gros poisson a mordu à l'hameçon (Feat Emi Nakano)

Réponse 8 dimanche 05 octobre 2025, 14:29:48

La nuit se passant le plus calmement du monde au vu de la journée qui s’annonce. Je suis réveillé par les premiers rayons du soleil, aux alentours des 7h45, baillant aux corneilles, je me lève sans attendre, repoussant les draps négligemment pour me préparer mon café, repensant à la veille et ressentant la hâte à travers chaque fibre de mon être. Faisant une série de tractions entre la porte de la cuisine pour me maintenir en forme et me réveiller.

Malgré la raideur du réveil, j’en enchaine une vingtaine sans effort avant que la cafetière ne sonne. M’installant à table, pour le déguster, les rayons du soleil viennent illuminer ma peau, et me réchauffant dans la foulée. D’une main mon petit déjeune, de l’autre mon téléphone, tapant un programme pour me connecter au jouet connecté de mon choix dans un rayon de trente mètres. Pas très précis au cas où plusieurs vibro sont dans les environs, mais ça m’étonnerait d’en voir une dizaine apparaître.

Filant sous la douche pour me laver intégralement, je vais ensuite choisir ma tenue du jour, optant pour une chemise élégante, immaculée, un pantalon en tissu couleur camel, accompagné d’une ceinture de cuir noir. La coupe de cheveux soignée, avec une barbe de trois jours que je choisis de laisser pour cette fois. Me regardant dans le miroir, je sais que je serai en dehors de tout soupçon. Loin de l’image du stalker dans l’inconscient collectif.

Parfumé, apprêté, me voilà qui me met en route, vivant en banlieue de Seikusu, je prends la voiture pour me diriger vers le centre commercial, la circulation est fluide malgré deux, trois crétins qui ont eu leur permit à la loterie. J’arrive en avance, juste assez pour me poser dans un coin à l’écart, buvant un verre tout en observant la fontaine.
9h55, elle n’est toujours pas là…je commence à bouger sur mon siège, trahissant mon interrogation. Elle n’oserait pas se défiler avec ce que j’ai quand même. Les gorgées sur mon verre se font plus régulière, signe de mon impatience et inquiétude. Celle-ci se dissipe juste après l’entrée d’une femme aux longs cheveux noirs, dans une robe que même une pute n’oserait pas porter en dehors d’une soirée libertine. Cela dit sa poitrine imposante est reconnaissable entre mille, même si je n’ai jamais vu totalement son visage, le corps lui est parlant. Et bon dieu qu’elle est canon !
Retenant un sourire, je ne suis pas peu fier de ma prise, qui redouble mon excitation à l’idée que je pourrais bientôt en faire ce que je veux de son plein gré.

Je me doute bien qu’elle va tenter de résister et ne rien montrer, notre entrevue de la veille a été très explicite sur ce point. Elle est fière et a plus l’habitude d’avoir les mecs à genoux que l’inverse. Et au vu des nombreux regards se tournant vers elle, que ce soit homme ou même certaines femmes, elle a dû en faire tourner des têtes et vider des comptes en banque.
Cela étant, sa jupe est plus longue que je l’espérais, bien qu’elle ait mis sa poitrine en avant, est ce que je fermerais les yeux pour cette légère entorse ?

Je n’ai pas encore pris ma décision, mais il est 10h tapante. Prenant mon téléphone, me mettant dans un coin où elle ne me verra pas au même moment, je commence à lui écrire.
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« Jolie tenue allant bien à la chienne en chaleur que tu es, en revanche la jupe…Balades toi, agis comme tu ferais d’habitude. Et ne fais pas de bêtises, j’ai des yeux partout… oh et tu peux m'appeler Dante»
La voyant sortir son téléphone, regardant autour d’elle, il y a trop de monde pour qu’elle me remarque.

Prenant mon second téléphone qui servira de télécommande, et brancher à une batterie externe pour s’assurer de ne pas tomber en rade, je détecte un seul jouet à proximité. Elle a intérêt à ce que ce soit le sien…j’active la machine, commençant par les vibrations les plus fortes dès le début. En tant que cam girl je me doute qu’elle a l’habitude d’avoir ce genre de vibrations intimes. Mais qu’est ce que cela donnera en public ?
« Modifié: dimanche 05 octobre 2025, 18:04:00 par Kilian Piers »
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Emi Nakano

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Re : Un trop gros poisson a mordu à l'hameçon (Feat Emi Nakano)

Réponse 9 dimanche 05 octobre 2025, 18:06:50

Emi était une jeune femme patiente, mais dans de telles conditions, impossible de conserver son sang-froid indéfiniment. Surtout lorsqu’elle ne savait pas quand, comment, où, son œuf se déclencherait. Bien qu’elle avait l’assurance d’une chose : son maître chanteur le mettrait au maximum, sans aucune retenue, se délectant de chaque réaction qu’il provoquerait. Parce qu’il était assez vicieux pour vouloir se repaître directement d’un tel spectacle, et ce, dès son arrivée. Elle, tiraillée par le plaisir et la frustration, vulnérable, contrainte à la discrétion, ne pouvant exprimer sa fièvre dans un lieu public comme celui-ci. Au risque que tous les passants se retournent sur son passage, interloqués ou choqués. Un coup à finir en garde à vue pour atteinte à la pudeur.

Heureusement, elle reçut enfin un message, et déverrouillant son portable d’un geste naturel, elle découvrit une simple notification. Un message de l’inconnu. Elle pouvait enfin lui répondre, ce qu’elle fit dans la seconde.

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« Chienne en chaleur ? Mon chat, c’est toi qui bandes comme un fou à l’idée de me faire jouir en public. Regarde-toi dans un miroir avant de m’écrire. »

Mais puisqu’elle n’avait pas vraiment le choix, Emi rangea son téléphone dans son sac à main, avant de se lever avec fluidité, laissant son regard glisser sur la place animée. Elle s’avança d’un pas léger, feignant l’innocence, tout en gardant conscience du jeu invisible qui se jouait dans ses entrailles. Ses talons tintaient doucement sur les pavés, et elle s’arrêta un instant devant un petit stand de fleurs, observant les bouquets colorés comme si son attention était entièrement captivée par eux. Jusqu’à la première vibration, qui la fit se tendre immédiatement, et sursauter par la même occasion, un frisson traversant tout son corps. Ses yeux s’écarquillèrent légèrement, et elle retint de justesse un gémissement en se mordant la langue, consciente de la proximité des passants.

Lèvres pincées, elle lança un regard furieux vers la foule de badauds qui se promenaient. Elle ne savait pas où cet idiot se trouvait, mais nul doute qu’il verrait son mouvement de colère. Quel tricheur. Elle s’y attendait, pourtant.

Elle regrettait presque de ne pouvoir lui parler, téléphone à l’oreille, pour lui balancer ses quatre vérités à la figure. Bien qu’il entendrait son souffle court, ainsi qu’un tremblement léger dans sa voix. Pour l’heure, heureusement, Emi était silencieuse, et après avoir lissé sa robe d’un geste fébrile, elle fit mine de reporter son attention sur le stand, tandis que son cœur battait à tout rompre dans sa poitrine. Chaque pulsation semblait répercuter un frémissement le long de son échine, jusqu’à son bas-ventre, où l’œuf était sagement enfoncé entre ses chairs.

Pour le moment, il ne lui était pas encore difficile de le garder en elle, ni de rester debout, mais le confort de ses talons n’était pas celui de son fauteuil devant sa caméra. À terme, ses jambes seraient tremblantes d’effort, et les signes de son plaisir plus qu’évidents. Son calme apparent n’était qu’un vernis fragile, prêt à se fissurer à la moindre secousse. Et première d’entre elle, ses tétons érigés, frottant contre le tissu de son haut, qui paraissaient appeler des mains baladeuses, fermes, féminines comme masculines. Des mains qui sauraient tirailler, pincer, caresser, flatter, au même titre qu’une langue curieuse.

En face d’elle, le fleuriste n’avait de cesse de porter son regard sur sa poitrine, et ce, depuis son arrivée. Le spectacle avait l’air de lui plaire, puisqu’il n’avait pas encore ouvert la bouche pour tenter de lui vendre quoi que ce soit, trop occupé à feindre l’indifférence pour détailler ce qu’il ne devrait pas regarder. Emi, elle, en aurait presque ri si la situation n’avait pas été si… électrique. Une respiration tremblotante lui échappant, elle se saisit à nouveau de son téléphone, ses doigts légèrement crispés autour de l’appareil. Malgré la faiblesse qui gagnait son corps et la chaleur qui lui montait à la gorge, elle ne comptait pas perdre de son répondant habituel. Pas question de lui offrir la satisfaction de la voir céder aussi vite.

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« C’est tout ce que tu as ? »
« Modifié: dimanche 05 octobre 2025, 22:06:53 par Emi Nakano »
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Kilian Piers

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Re : Un trop gros poisson a mordu à l'hameçon (Feat Emi Nakano)

Réponse 10 dimanche 05 octobre 2025, 19:01:22

La première réaction ne se fit pas attendre pour quiconque aurait l’œil tandis qu’elle choisit de s’arrêter devant un fleuriste, je trouve la situation du moment très poétique, une jolie fleur bien arrosée au milieu de toutes ces plantes. Mais une seule attire les regards aisément au vue de sa tenue. Son message je n’y ai même pas prêté attention, et je comprends que je suis loin d’être inquiété tant qu’elle garde la vision sur la situation aussi étriquée. Gardant l’œuf au maximum pour le moment, je la vois à moitié paniqué qui me cherche des yeux, malheureusement pour elle, nous sommes à une époque où tout le monde traine sur le téléphone. Autant chercher une aiguille dans une botte de foin.

Sachant que je suis parfaitement en sécurité de ma position, j’en profite même pour passer à coté d’elle, si proche qu’elle pourrait m’attraper le bras, mais incapable de savoir que l’homme grand, séduisant et propre sur lui était son Maître-chanteur. Mon cœur sur le moment bat la chamade. Mes yeux se brouillent luttant contre mon envie de me précipiter, au risque de faire une erreur à laquelle je n’ai pas le droit. Mon inexpérience m’empêchant de rebondir facilement. M’asseyant sur un banc à proximité, je ne suis qu’un parmi d’autre à la reluquer.

De mon point de vue je la vois qui est crispée, ses mouvements manquent de la fluidité qu’elle a eu en me répondant. Sa poitrine se gonflant de plus en plus rapidement au fur et à mesure de sa respiration.

Savoir que cette femme que tous les hommes des environs désirent, reluquent quitte à se faire engueuler ou frapper par leur compagne, est en pleine lutte intérieur pour ne pas fondre sous mes assaut à distances est l’expérience la plus intense que j’ai vécue jusqu’à présent dans mes expériences en tourmentassions. Je veux la voir se perdre, perdre le contrôle, perdre sa fierté, sa dignité.
Tiens je la vois sortant son téléphone, tremblant comme une feuille, et le mien vibre dans ma poche. J’attends qu’un groupe à quelques mètres arrive pour me dissimuler et lire son message.

Citer
« C’est tout ce que tu as ? »

Oh elle me plait de plus en plus, à chercher la merde alors qu’elle est en pleine galère. Cela dit elle n’a pas tort, jusqu’à présent je me suis contenté de lui mettre son jouet à fond et basta, à terme son corps s’habituera…je ne prends pas la peine de répondre. Lui laissant le loisir de découvrir. Je range le téléphone pour communiquer, et baisse la puissance du jouet de l’autre.

Je vois ses jambes faiblir, elle semble soulagée sur l’instant…lui laissant quelques instants de répits, lui laissant l’espoir d’espérer que ce soit finis pour aujourd’hui. Reprendre un peu contenance.
Attendant le moment opportun où elle ne regarde pas autour, je programme un cycle qui va tourner un moment, jouant sur la puissance et la durée, suffisamment avancé pour qu’elle ne puisse saisir le rythme et ne sache pas ce qui l’attend par la suite.

Et ça semble fonctionner, je l’aperçois mordre sa lèvre, les yeux emplis d’une rage sans nom. Et alors qu’elle passe près de moi, son corps commence à lâcher.

-   Mademoiselle ? vous allez bien ? Allons asseyez-vous !

Je la retiens, l’empêchant de tomber, plaçant mes mains de façon innocente, mais suffisamment bien située au niveau de ses hanches et sous son aisselle, frôlant sa poitrine, pour créer un semblant d’intimité sous couvert du secours. L’installant à coté de moi, je prends sa main et glisse mes doigts le long de son cou pour prendre son pouls.

Luttant intérieurement, je reste dans mon jeu impeccable de bon samaritain.

-   Votre pouls est affolant, je dois appeler un médecin ?

Croisant son regard, ses yeux m’interpellent, ils sont vraiment beaux vu d’ici, les traits de son visage sont encore plus fins et gracieux que j’imaginais. Vraiment, un ange que je vais tirer en enfer….
« Modifié: dimanche 05 octobre 2025, 19:07:39 par Kilian Piers »
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Emi Nakano

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Re : Un trop gros poisson a mordu à l'hameçon (Feat Emi Nakano)

Réponse 11 dimanche 05 octobre 2025, 22:42:24

Soudainement, Emi sentit les vibrations se faire moins intenses, à sa grande surprise. Et à son immense soulagement surtout. Les battements de son cœur, affolés jusqu’à présent, purent alors se calmer, petit à petit, ne serait-ce qu’un peu. Pourtant, elle n’en restait pas moins méfiante. Impossible que son maître chanteur fasse preuve d’un peu de mansuétude. Ce n’était pas son genre, et Emi n’était pas naïve : c’était simplement reculer pour mieux sauter. Dante lui réservait bien d’autres surprises, aussi déplacées que celle-ci. C’était à elle, à présent, de s’y préparer. D’encaisser tout ce qu’il lui réservait. Mais quoi ? Comment deviner, lorsqu’il était si… si… insupportable. Imprévisible.

Un soupir fébrile au bord des lèvres, Emi tentait de se recoiffer, ses doigts glissant distraitement dans ses cheveux, quand les vibrations changèrent à nouveau. Ses jambes faillirent céder sous son poids, et la brunette ne dut son salut qu’à l’intervention soudaine d’un inconnu, un jeune homme qu’elle aurait assurément croqué en temps normal. Mais pour le moment, Emi n’était bonne qu’à le suivre jusqu’au bord de la fontaine, heureuse de s’y installer pour reprendre son souffle et assurer son équilibre précaire.

Bien qu’en réalité, dans cette position assise, l’œuf pressait davantage ses chairs, les vibrations semblant résonner contre la pierre sous ses fesses. Les entendait-il, ou les percevait-il ? Pourvu que non. Bien qu’il était impossible de manquer sa poitrine, lourde de son souffle tremblant, et aux mamelons tiraillés par le tissu de sa tenue légère. La prise du jeune homme sur son corps, pour l’accompagner jusqu’à la fontaine, n’avait certainement pas aidé à calmer son épiderme bouillant. En feu. Dante observait-il cette scène, tapi dans l’ombre, ou en était-il le principal acteur ?

Toutes les hypothèses traversaient son esprit au ralenti.

« Uhm… Non, je vous remercie, répondit-elle, les doigts froids dans son cou soulageant une partie de son agitation. J’ai seulement un peu de fièvre. »

L’ironie sur ses lèvres était parfaitement visible, alors qu’elle laissait échapper un rire, entre amusement et raillerie. S’il savait.

Ces nouvelles vibrations étaient atroces. Cruelles. Un rythme irrégulier, impossible à saisir. Se penchant légèrement en arrière, ses mains fermement appuyées sur la pierre de la fontaine, elle essayait tant bien que mal de trouver une position plus confortable. Moins pénible. Une position qui ne l’obligerait pas à subir cette torture. Mais rien à faire. Alors, à la place, elle ferma les yeux et inspira profondément, tentant de canaliser chaque secousse, chaque frémissement, comme si elle y pouvait quelque chose. Mais sans la manette pour contrôler l’œuf, Dante était son bourreau, maître absolu de son plaisir, et ce, pour une durée indéterminée.

Son corps offert aux rayons chauds du soleil, les secondes s’étirèrent lentement, son visage rosissant doucement, à mesure que les vibrations s’intensifiaient. Ses joues chauffaient, son souffle s’accélérait malgré elle, et ses sourcils se froncèrent, trahissant la tension et l’exaspération qu’elle essayait de contenir. Sa poitrine se soulevait au rythme de son cœur affolé, tandis qu’un frémissement électrique parcourait ses cuisses à la moindre pulsation de l’œuf. Chaque onde la faisait vaciller entre plaisir et frustration, et elle sentait ses muscles se tendre, prête à céder à l’ivresse de ce mélange douloureux et exquis.

« J’ai besoin… ah… d’un verre d’eau, réussit-elle à souffler, en reportant son attention sur son voisin. Auriez-vous la gentillesse de m’en ramener un ? »

Elle feignait une politesse détendue, alors qu’au fond d’elle, l’urgence était autre : elle devait l’éloigner, pour ne pas qu’il remarque son trouble. Et surtout, pour éviter de se donner en spectacle devant lui. Qui sait quand Dante déciderait de jouer à nouveau avec ses limites.
« Modifié: dimanche 05 octobre 2025, 22:48:17 par Emi Nakano »
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Kilian Piers

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Re : Un trop gros poisson a mordu à l'hameçon (Feat Emi Nakano)

Réponse 12 lundi 06 octobre 2025, 00:05:07

Je n’ai pas honte de l’admettre, je bande comme un taureau en cet instant, et le pire c’est que ça parait totalement naturel au vu de sa beauté, de sa tenue, n’importe quel homme étant attiré par la gente féminine aurait la même réaction…Aucune chance donc qu’elle se dise que je jubile intérieurement. La voyant se débattre, perdant toute discrétion au fur et à mesure. C’en aurait été un autre que moi, une troisième personne serait au courant de son état directement…

« Uhm… Non, je vous remercie, J’ai seulement un peu de fièvre. »

Lui offrant le sourire le plus sincère qui soit, plaçant ma main dans le bas de son dos, et la seconde sur son front…je prends un air plus sérieux

-   Ma foi, c’est vrai, votre peau est brulante, et pas que le front.

Elle ne dit plus un mot, gardant les yeux fermés s’agitant comme elle peut pour éloigner les ressentis de son corps, elle est prise dans une spirale infernale, et j’en suis le premier spectateur. Bien qu’un homme d’un certain âge au regard libidineux approche pour se quérir soit disant de son état, alors que ses yeux ne fixent que son décolleté.

-   Je m’occupe de tout, vous pouvez partir, et à votre âge vous devriez avoir honte de la mater comme ça ! Profiter de sa faiblesse.

Vexé, l’homme s’en va, je ne suis même pas sûr qu’elle est remarqué quoi que ce soit, dans son état sa respiration est forte, et elle regarde désespérément le plafond, comme si se pencher en arrière allait changer quoi que ce soit. L’empêchant de basculer en arrière, j’en profite pour mettre ma main sur son ventre, à quelques centimètres de sa poitrine, sans la toucher, et dans son dos. Sa peau est vraiment douce, elle en prend clairement soin.

Sa poitrine se soulève plus rapidement que jamais, je devine à la vibration contre la pierre que c’est au maximum en ce moment et qu’elle n’en peut plus…Encore un peu et elle jouirais…

« J’ai besoin… ah… d’un verre d’eau, Auriez-vous la gentillesse de m’en ramener un ? »

Parfait, elle me donne l’excuse toute trouvée pour disparaitre un moment. Mais je choisis de pousser le vice un peu plus loin avant.

-   D’accord, je vais aller vous en chercher, mais il faut absolument vous raffraichir.

Mouillant ma main dans l’eau de la fontaine fraiche et propre, je dépose ma main froide dans sa nuque, puis glissant dans son cou, comme si j’allais serrer, mais me contente de l’hydrater un peu.

-   Voilà, je suis un peu rassuré, je reviens.

Puis disparaissant dans la foule pour aller vers le bar à l’angle, je glisse ma main dans ma poche et coupe tout avant qu’elle ne jouisse…je ne lui ferait pas ce plaisir trop attendu et prévisible. Tout portais à croire que je voulais la forcer à jouir en public, alors que je comptais seulement la conduire au bord du précipice sans lui laisser l’occasion d’y tomber…
Faisant la queue malgré la foule, j’en profite pour redescendre en pression, j’ai lutté comme un diable pour ne pas l’attirer dans un espace clos pour la prendre. Et vu le regard qu’elle m’a lancé, elle n’aurait pas dit non. Mais où serait l’amusement si ça allait trop vite ?

Après avoir fait la queue, et coupé le téléphone sur lequel elle pourrait écrire, je reviens vers elle, visiblement sonnée, avec un grand verre d’eau.

-   Tenez, désolé il y avait du monde et ils n’ont pas pu s’en occuper de suite. Vous vous sentez mieux ?

Restant près d’elle sans lui offrir le moindre contact, j’attends de voir sa réaction…quelle qu’elle soit, la première partie s’arrêtera ici.
« Modifié: lundi 06 octobre 2025, 00:33:49 par Kilian Piers »
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Pensée

Emi Nakano

Humain(e)

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    Description
    Emi est une jeune femme de 27 ans, franco-japonaise, modèle OnlyFans et camgirl en secret. Elle jongle entre son quotidien, où elle aide financièrement ses parents, et son personnage devant la caméra. Elle est indépendante, rusée, consciente de son apparence, et n’hésite pas à en jouer.

Re : Un trop gros poisson a mordu à l'hameçon (Feat Emi Nakano)

Réponse 13 lundi 06 octobre 2025, 18:47:31

Tous ceux qui suivaient ses réseaux pouvaient affirmer une chose. Emi n’était pas sage. Pas prude. D’autres diraient qu’elle était intelligente. Rusée. Observatrice. Parce qu’elle savait parfaitement comment vider les poches de ses abonnés, et ce, d’un simple sourire séducteur. Ses proches, eux, mettraient en avant sa volonté, sa détermination. Un esprit obstiné, une personnalité tenace. Ainsi, malgré son état, malgré ses pensées de plus en plus brouillées par les secousses imprévisibles du jouet, notre jeune modèle refusait de céder. D’offrir ce triomphe à son maître chanteur. De voir son esprit lui échapper. Hors de question.

Et peut-être était-ce justement cette obstination qui lui permit de remarquer le trouble de son voisin, alors qu’elle était concentrée sur le moindre battement de son cœur, sur le va-et-vient infime de sa respiration, sur la tension de ses muscles qu’elle essayait en vain d’apaiser. Lentement, elle s’efforçait de reprendre le contrôle, de calmer ce feu sous sa peau, mais fut bien incapable de contenir son rire amusé, un brin ironique. Derrière la caméra comme dans la réalité, Emi continuait d’attirer les regards et de susciter des réactions. Comme quoi, elle n’était pas la seule à souffrir de cette situation.

Ses propres doigts sur sa peau, sur sa gorge, à quelques centimètres à peine de sa poitrine, l’avaient-ils excité ? Qui sait. Elle, par contre, avait frissonné de tout son corps, entre la fraîcheur de son épiderme et la prise fantomatique de ce contact autour de son cou. Heureusement, le verre d’eau qu’il finit par lui ramener lui fit le même effet qu’un électrochoc, réveillant ses sens et lui permettant de reprendre contenance, tandis que l’œuf lui laissait enfin un peu de répit. Mais pour combien de temps ? Rien n’était moins sûr. Dante semblait si vicieux qu’il serait bien capable de le rallumer au pire moment.

« Merci… Un vrai chevalier sur son cheval blanc, sourit-elle avec malice, alors qu’elle posait le verre vide sur le rebord de la fontaine. »

Profitant de cette pause bienvenue dans sa tourmente, Emi prit un instant pour reprendre possession de son corps et de son allure. Ainsi, elle tira distraitement sur le col de son haut, comme pour replacer le tissu transparent sur sa peau, avant de s’éventer délicatement, d’un geste fébrile de ma main, laissant un souffle d’air caresser sa nuque et ses épaules. Elle mourrait de chaud, c’était infernal. Nul doute qu’elle méritait de se détendre dans un bain moussant, en rentrant chez elle. Finissant de s’apprêter, ses doigts lissèrent quelques plis de sa jupe, veillant à ce que le tissu épouse parfaitement ses hanches et ses cuisses.

Puis, elle lança un coup d’œil à son voisin, qui n’avait probablement rien manqué du spectacle.

« Et quel est le nom de mon preux chevalier ? lui demanda-t-elle, une lueur espiègle – et calculatrice – dans le regard. »

Après tout, Emi n’était-elle pas venue pour mener l’enquête et démasquer son maître chanteur ? Se trouvait-il dans les parages, à quelques mètres de là ? Parmi la foule de passants, guettant ses moindres mouvements ? Ou était-il assez fourbe pour s’installer à ses côtés, et se faire passer pour le prince charmant ? Maintenant qu’elle avait l’esprit plus clair, toutes les possibilités défilaient dans sa tête, chacune plus inquiétante que la précédente, et chaque bruit, chaque mouvement autour d’elle prenait un relief nouveau, trahissant potentiellement la présence de l’inconnu.

« Ce ne serait pas Dante, par hasard ? »

Sa voix se fit innocente, comme si elle l’interrogeait sur la météo. Pourtant, Emi l’observait avec une attention presque chirurgicale, son regard rivé sur chaque micro-expression de son visage, sur la tension subtile de ses lèvres, le mouvement imperceptible de ses yeux et la manière dont ses mains pourraient, ou non, se crisper légèrement. Chaque détail, chaque frémissement de son corps était analysé, à l’affût du moindre signe qui pourrait trahir la présence de Dante, ou révéler ses intentions. Ou au contraire, lui prouver que son preux chevalier n’était pas son bourreau, en réalité.
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Kilian Piers

Humain(e)

Re : Un trop gros poisson a mordu à l'hameçon (Feat Emi Nakano)

Réponse 14 lundi 06 octobre 2025, 22:17:43

« Merci… Un vrai chevalier sur son cheval blanc »

Un chevalier blanc ? C’est bien le dernier surnom que je donnerais à moi-même, cela dit dans sa détresse, j’imagine facilement que le premier venu prenant un tant soit peu soin d’elle pourrait porter facilement ce titre. Jouant la gêne, je détourne le regard, frottant l’arrière de ma tête comme intimidé par ce surnom.

-   Un chevalier blanc ? Je n’ai pas fait grand-chose, enfin, j’aimerai penser que d’autres auraient fait la même chose.

Tu parles, ils étaient tous en chien devant le spectacle, même maintenant qu’elle a arrêté de trembler, bouger dans tous les sens et se pincer les lèvres, tous les regards sont tournés vers elle. Et mon instinct me dit que même plus habillé les regards seraient les mêmes. Le monde continuant à affluer à mesure que le temps avance, un brouhaha ambiant prends toute la place, me sortant de ma concentration sur elle et son corps. Recentrant mes pensées, je me rappelle qu’elle est maline, fière, et pas du genre à se laisser piéger.
C’en serait presque surprenant qu’elle ne soupçonne pas le seul homme qui l’aborde. Qui plus est, un inconnu qui se montre presque désintéressé face à une femme de sa plastique, quasiment nue. Redoublant de prudence face à tout imprévu, je reste attentif à tout piège qu’elle pourrait tenter de me tendre. Me disant que malgré tout, je ferais mieux de ne pas rester trop longtemps, étant sur une impro totale, m’étant laissé porté par les évènements, je reconnais volontiers que c’est une erreur et un risque inconsidéré.

Me suis-je laissé entrainer par le jeu, ou par elle, inconsciemment. Après tout, au-delà de l’amusement de la faire chanter, et tout autre considération extérieur…elle est vraiment belle. Et cette simple considération aurait pu en pousser certains à douter de la faire souffrir, moi c’est l’inverse, je veux encore plus la briser, et me dire que si je la revois en cam quand j’en aurai fini, je serai gravé au fer rouge dans son esprit…

« Et quel est le nom de mon preux chevalier ? »

Je sors de mes pensées à cet instant, sa demande est prévisible cela dit, je n’ai pas l’intention de mentir, quel en serait l’intérêt ? Avant le moment opportun elle ignorera que Kilian et Dante sont la même personne, d’ailleurs la suite de sa phrase en devient prévisible.

« Ce ne serait pas Dante, par hasard ? »

Et voilà, je ne peux pas lui en vouloir d’essayer, elle sait que je suis là quelque part à guetter, elle tente sa chance et elle a mon respect pour ça, mais je croise son regard, surpris, avec un sourire en coin.

- Alors, non, moi c’est Kilian, enchanté, ce Dante vous a posé un lapin ?

Tendant la main pour la serrer, je lui offre le sourire sincère et princier que j’ai travaillé longtemps pour faire fondre toutes sortes de femmes, milf comme étudiantes timides. Et aucune ne s’attendait à ce moment-là qu’elles partiraient pour une nuit non-stop de sexe, en redemandant elles-mêmes. Ma prise est forte et assurée, sans faire mal, c’est celle qui serait presque rassurante, tout en croisant son regard et le maintenant, plus longtemps que prévu.
Me donnant un coup de pied aux fesses intérieurement, je regarde l’heure et me lève précipitamment.

- Oh mince, je vais être en retard à mon rendez-vous, tout va bien aller pour vous ?

Lui parlant en reculant maladroitement, j’attends qu’elle me réponde avant de commencer à disparaitre, mais alors qu’elle me voit clairement partir, elle reçoit un message de ma part que j’avais programmé.

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« Plutôt prévenant le type, je parie que tu as cru que c’était moi. J’en ai fini pour l’instant, quartier libre. »

Je marche pressée, comme le ferait n’importe qui, qui serait attendu et monte dans le premier ascenseur que je vois, pour m’assurer qu’elle ne me suive pas.
Quittant les lieux je profite de la journée, ayant déjà la suite du plan en tête, il commencera ce soir.

La journée passant, je lui renvoi un message en rentrant. Je sais qu’elle est en live ce soir. Pourquoi ne pas en profiter.

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« J’espère que tu t’es bien remise. Ce soir, tu vas offrir à ton public ta première pénétration en live, pas en privé. Et interdiction de jouir. »

Me faisant livrer, je lis un bouquin en attendant que ça commence…


« Modifié: lundi 06 octobre 2025, 23:39:53 par Kilian Piers »
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