Identité : Nom : Valeris
Prénom : Elianora/Katarina
Surnom* : “La voix de velours”, “L'Épine Noire”, “Noxaria”
Âge : 25 ans
Sexe : Féminin
Race : Humaine
Sexualité : hétéro
Physique : Grande silhouette élancée d’1m75 pour environ 60 kilos, Elianora se distingue par un port de tête fier et une démarche fluide, presque féline. Sa souplesse et son agilité rappellent celle d’un chat, tandis que sa rapidité est aussi fulgurante qu’un faucon fondant sur sa proie. Chaque mouvement de son corps est marqué d’une grâce instinctive : un déhanché subtil, inconscient, tel celui d’une fauve en chasse, captant l’attention sans effort.
Sa longue chevelure rousse flamboyante, aux reflets d’automne embrasés, cascade librement jusqu’à ses reins lorsqu’elle ne la discipline pas. Encadrant un visage fin, elle met en valeur ses yeux verts intenses, profonds comme une malachite polie, capables de douceur envoûtante sur scène comme d’une froide dureté dans l’ombre. Une cicatrice traverse son arcade gauche jusqu’à frôler son œil ; discrète sous le maquillage quand elle devient Elianora la chanteuse, mais toujours là, rappel constant de Katarina l’assassine.
Un tatouage tribal noir aux reflets irisés serpente depuis l’arrière de sa hanche gauche, longeant sa taille jusqu’à se perdre sous le galbe de son sein. Ce dessin mystérieux attire le regard, comme une marque d’appartenance à un secret jamais dévoilé.
Son corps, forgé par la discipline et les combats, allie force et sensualité. Taille fine, hanches larges, poitrine généreuse à la forme naturellement harmonieuse, et fessier ferme : chaque courbe exprime un équilibre parfait entre féminité assumée et rigueur meurtrière. Sa peau, douce comme la pêche, contraste avec la dureté de ses gestes de tueuse.
Ses longs doigts fins et agiles, véritables instruments de précision, savent aussi bien effleurer les cordes vocales d’un chant que manier la lame ou lancer un couteau avec une efficacité létale. Ses lèvres fines comme des tiges de rose, rouges comme le grenat, ajoutent une sensualité discrète mais dangereuse : la promesse d’une caresse ou d’une morsure.
Sa voix de velours, chaude et captivante, achève de compléter cette aura ambiguë : l’ange des planches le soir, la prédatrice des ombres à la tombée du jour. Et cette dualité se reflète jusque dans son apparence :
En Elianora, elle apparaît dans des robes élégantes, fluides, souvent parées de couleurs vives ou sombres, qui magnifient ses formes et hypnotisent son auditoire. Avec des chaussures à talons assorties aux tenues, allant des talons aiguilles aux talons carrés, de 5 à 7 cm.
En Katarina, elle se glisse dans des tenues sombres et pratiques, pensées pour disparaître dans la nuit, épouser ses mouvements et dissimuler ses armes sans entraver sa liberté.
Que ce soit "La voix de velours" ou "l'Epine Noire", ses sous-vêtements sont toujours des tangas et porte-jarretelles assortis aux tenues , des bas noirs ou couleur chair, ou blancs transparents (ce dernier à titre exceptionnel).
Ainsi, chaque fois qu’elle entre en scène ou s’efface dans les ombres, Elianora/Katarina devient une créature changeante, beauté envoûtante et prédateur silencieux, incarnation parfaite de sa double vie.
Caractère : Sous les projecteurs, Elianora est une vision charismatique. Charmeuse, envoûtante, elle déploie une aura presque irréelle. Chaque sourire, chaque note chantée semble calculée pour captiver, mais son magnétisme est naturel, comme si sa voix tissait des fils invisibles entre elle et ceux qui l’écoutent. Elle joue de sa sensualité avec une élégance innée, sachant manipuler les émotions, les tirer vers l’extase ou la mélancolie. Pourtant, derrière ce masque lumineux, se cache une profonde solitude : une mélancolie qu’elle porte en elle comme une cicatrice invisible. Ses chansons, parfois, ne sont que le reflet de ce vide intérieur qu’elle ne montre à personne.
Dans l’ombre, Katarina prend le relais. Froide, méthodique, calculatrice, chaque geste est pensé, chaque mouvement maîtrisé. Elle se détache de l’émotion, ne laisse rien troubler son efficacité. Sa lame ne tremble jamais. Son indépendance est absolue, mais elle agit selon un code moral strictement défini. Elle n’exécute jamais un contrat à l’aveugle : elle ne prête main-forte à son employeur que si la cible mérite sa sentence. Corrompus, traîtres, abuseurs, meurtriers… ses lames se réservent à ceux dont les actes ont déjà scellé leur sort. Aux innocents, elle ne touche pas. Là est toute la différence entre un simple assassin et Katarina : pour elle, la mort n’est pas un commerce, mais une justice silencieuse.
Cette dualité ne la fragilise pas ; au contraire, elle fait sa force. La douceur de la chanteuse sert de paravent à la précision du prédateur. La voix caresse tandis que la lame tranche, et les deux facettes s’équilibrent, créant un être aussi fascinant que dangereux.
Malgré son charisme, Elianora/Katarina n’est pas naïve. Elle a grandi dans une éducation sévère, faite de discipline, de résistance et de l’apprentissage de la mort. Les illusions romantiques, elle les a toujours balayées. Elle n’a jamais connu l’amour : ni le temps, ni l’occasion, ni la patience d’ouvrir son cœur. Sa virginité n’est pas un fardeau mais une conséquence logique de son existence cloisonnée. Lorsque des prétendants se sont approchés, elle les a toujours repoussés, d’un sourire tranchant ou d’un mot glacial. Aucun n’a jamais su éveiller son intérêt, ni faire preuve de la ténacité nécessaire pour franchir ses défenses.
Et pourtant… une partie d’elle aspire à plus. Derrière la tueuse implacable et la diva sensuelle se cache une femme qui, sans le dire, rêve qu’un jour quelqu’un perce ses masques. Mais il faudra un homme capable de la captiver réellement, de résister à ses jeux et de dépasser sa froideur. Car ce n’est qu’alors que son caractère s’adoucira, révélant un visage plus tendre et vulnérable, celui qu’elle garde enfoui loin des regards.
Histoire : Elianora naît dans une maison où la discipline et le silence sont des règles tacites. Sa mère, douce mais distante, disparaît souvent dans ses occupations, laissant chaque matin sa fille aux bons soins d’une nourrice peu ordinaire : une sirène. De cette femme au chant cristallin, Elianora hérite une voix de velours, capable de caresser les cœurs comme de les briser. Les après-midis de son enfance, elle ne connaît cependant aucune douceur. Un jour sur deux, son père lui enseigne la résistance aux poisons : il l’expose, dosant avec précision les doses infimes pour endurcir son corps et sa volonté. L’autre jour, c’est son grand-père qui la prend en main, maître sévère et implacable dans l’art de l’assassinat.
Entre rires fugaces avec sa nourrice et douleurs infligées par ses maîtres de sang, l’enfant apprend très tôt que sa vie ne lui appartiendra jamais vraiment.
En grandissant, elle se scinde en deux identités, deux visages d’une même âme. Elianora, la chanteuse rousse, au charisme incandescent, illumine la scène de robes élégantes. Elle captive par sa voix et sa présence, dissimulant sous ses sourires envoûtants une mélancolie profonde. Katarina, l’assassine, surgit dans les ombres vêtue de noir, précise, calculatrice, méthodique. Elle manie ses deux kukris cachés aux hanches avec une fluidité mortelle, et ses couteaux de lancer trouvent toujours leur cible. Quand elle relève ses cheveux en un chignon, ses aiguilles empoisonnées deviennent ses plus redoutables complices. Sur sa peau, un tatouage tribal noir aux reflets irisés s’étend de la hanche gauche jusqu’au creux sous son sein, symbole de l’héritage d’acier et de sang qu’elle porte.
Mais c’est une cicatrice plus intime qui la trahit : une fine balafre traverse son arcade gauche jusqu’à l’ombre de son œil. Elle la cache sous le maquillage avant d’entrer sur scène, mais sous la lumière crue, elle demeure une marque silencieuse de ses combats.
Son code moral est né de cette dualité : Katarina ne tue pas sur ordre aveugle. Elle obéit à son employeur uniquement lorsque ses cibles sont coupables, des hommes et des femmes dont les mains portent déjà le poids du mal. Son efficacité se teinte ainsi d’une étrange noblesse, aussi tranchante que la lame de ses kukris.
Malgré son assurance, elle demeure une femme de solitude. Elle n’a jamais connu l’amour, ni offert son corps. Les prétendants qui s'aventurent vers Elianora sont repoussés avec froideur ou ironie : aucun n’a jamais su la captiver, encore moins tenir tête à son jeu de séduction exigeant. L’éducation qui lui a été imposée a laissé peu de place aux épanchements du cœur, et beaucoup de vide dans son intimité.
Un soir, pourtant, son existence bascule. Une mission tourne mal : une lame ennemie s’enfonce trop profondément, et la mort semblait déjà la guetter. C’est Lyadril qui la sauve, la ramenant de justesse à la vie. Depuis ce jour, une confiance rare est née. Elianora, ou plutôt Katarina, ne se laisse soigner que par cette elfe-démone, refusant tout autre contact médical. Lyadril est devenue son seul point d’ancrage, la seule faille dans son armure.
Aujourd’hui, sa double vie la consume lentement. L’ivresse des applaudissements cache la fatigue mentale d’un esprit toujours partagé. Chaque représentation publique est une prise de risque. Chaque mission réussie creuse davantage la frontière fragile entre ses deux visages. Ses lèvres rouges comme le grenat sourient à son public, mais ses yeux verts comme la malachite savent qu’ils portent une vérité qu’elle ne pourra jamais dévoiler.
Compétences
Chant et charme
Voix de velours héritée de sa nourrice sirène, capable d’envoûter et de captiver un public.
Maîtrise parfaite de la scène : gestuelle, posture, regard et intonation utilisés pour influencer subtilement les émotions et manipuler l’attention.
Charisme naturel : qui permet de séduire, convaincre ou détourner les soupçons, même en situation délicate.
Assassinat et combat
Maîtrise des kukris et des couteaux de lancer : armes principales pour le corps à corps et les attaques à distance. Précision létale, gestes fluides et rapides.
Aiguilles enduites de poison : discrètes, dissimulées dans son chignon, utilisées pour éliminer silencieusement une cible ou neutraliser un adversaire.
Discrétion et infiltration : capable de se glisser dans l’ombre, observer les habitudes d’une cible et anticiper les mouvements avec une précision chirurgicale.
Vitesse et agilité : souplesse féline et réflexes surhumains, permettant des déplacements rapides, esquives et attaques surprises.
Coups précis et calculés : chaque geste est réfléchi pour minimiser l’effort et maximiser l’efficacité.
Résistance et endurance
Endurance physique et mentale développée dès l’enfance.
Connaissance approfondie des poisons et contre-poisons, résistance aux toxines et aux substances dangereuses.
Capacité à encaisser la douleur et à continuer à fonctionner sous stress intense.
Forces & Faiblesses
Forces :
Charisme naturel : En tant qu’Elianora, elle fascine, captive, joue de sa voix et de sa présence pour manipuler les émotions à sa guise.
Discipline et maîtrise : Formée dès l’enfance à l’art de l’assassinat, aux poisons et à la résistance, elle possède une précision redoutable et un sang-froid hors du commun.
Agilité et rapidité : Aussi souple qu’un chat et rapide qu’un faucon, elle sait utiliser son corps comme une arme en soi.
Code moral strict : Elle n’exécute que ceux dont la culpabilité est avérée. Sa lame n’est pas mercenaire mais instrument de justice silencieuse.
Intelligence et calcul : Capable d’analyser une scène en un instant, elle anticipe toujours les mouvements de ses adversaires et prévoit plusieurs issues à une situation.
Faiblesses :
Double vie épuisante : Jongler entre Elianora la chanteuse adulée et Katarina l’assassine implacable pèse lourdement sur sa santé mentale. Cette dualité constante fragilise ses émotions et ses relations.
Risque de découverte : Chaque apparition publique accroît le danger de voir ses deux identités se confondre. Le moindre faux pas pourrait signer sa perte.
Solitude affective : Elle n’a jamais connu l’amour et se protège derrière une froideur volontaire. Son incapacité à faire confiance complique toute relation intime.
Dépendance limitée : La seule personne en qui elle accorde une confiance totale est Lyadril, qui l’a sauvée un jour. Elle refuse tout autre soigneur, ce qui peut la mettre en danger si sa confidente n’est pas disponible.
Poids de la mélancolie : Derrière son assurance et sa sensualité se cache une tristesse profonde qu’elle dissimule à tous. Dans ses moments de faiblesse, ce vide peut éroder sa volonté.
Comment avez-vous connu le forum ? un petit oiseau m’a parlé de vous
Avez-vous des doublettes ?Suis-je vraiment obligée de le dire ? dans l’ordre ou le désordre ? Bon d’accord, j‘arrête de bavasser. Deirdre, Damian Urteist et Lyadril Ilfirin.