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Par la lumière tu seras punie [Guillot de Belloy]

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Caira

Terranide

- Merci pour la livraison chérie. Et ne t'en fais pas, je crois que je vais très vite te recommander de nouveau. Allez à plus ma poulette... Heu ma "sœur". Hahahaha...

- Enfoiré de merde...

Cet espèce de gros lard me claque les fesses comme si j'étais sa chienne et referme la porte de sa piaule de merde, sitôt qu'il a fini d'abuser de moi. J'ai à peine le temps de remettre correctement ma toge en place, que me voila seule sur les pavés de cette foutue ville de Nexus. C'est très énervée, que je quitte l'endroit sans plus attendre, ayant accomplie ma "livraison" comme me l'a si gentiment demandé le temple d'Odalie. J'avais pourtant été très claire dès le départ à ce sujet. J'étais okay pour rendre service, mais pas en y impliquant explicitement mon corps dedans. Je ne suis pas une marchandise. Est-ce que c'est si compliqué que ça à comprendre dans leur putain de tête?... Seulement, cet espèce d'enfoiré de prêtre a parfaitement su me prendre par le mots pour me faire pression, à force d'avoir trop souvent refusé au début. Il est allé jusqu'à me menacer de me radier de l'ordre et d'envoyer carrément un rapport en haute instance, si je ne répondais pas positivement à ses demandes de gros pervers dégueulasse. J'étais clairement victime d'un abus de pouvoir et quand j'ai essayé d'en parler aux autres sœurs, elles trouvaient toutes ça "génial" de faire ce genre de choses et de passer pour la dernière des souillures ambulantes sur pattes. Que je trouvais ça humiliant et dégradant...

C'est avec l'esprit encore une fois confus et surtout très en colère, que je sors de cette foutue cité pour rapidement rentrer au temple de l'ordre des gros dépravés psychopathes. En arrivant, la plupart des sœurs que je trouvais insupportables tellement elles aimaient s'adonner à pratiquer quotidiennement ces bassesses, me demandent tout naturellement si ma "livraison" s'était bien passée, en cachant à peine leur envie de vouloir être à ma place, comme si j'étais une privilégiée. Bordel de merde... C'est là je me dis qu'il faut vraiment avoir une intelligence proche de zéro pour tomber aussi bas dans la décadence... Aussi je ne leur réponds même pas, tellement je les trouvais débiles à en pleurer. Une fois rentrée à l'intérieur, je m'attèle vite fait à quelques tâches beaucoup plus courantes, mais qui avaient au moins le mérite d'avoir le don de réussir à me calmer un peu... Enfin jusqu'à ce que la mère supérieure vienne me voir en colère en me demandant de lui rendre l'argent que le "client" m'avait donné, me traitant limite de voleuse, alors que j'avais juste oublié de le donner à la réception, tellement j'en étais énervée.

- Tenez. Le voila votre argent! Et non je ne suis pas là pour vous voler. C'est plutôt vous qui me volez de l'intérieur, en me forçant à faire des trucs dégueulasses pour servir vos intérêts personnels.

- Caira. Espèce de petite insolente! Depuis que tu es arrivée ici, tu ne fais que te plaindre. Dois-je encore te rappeler la chance que tu as d'avoir été accueillie ici si gentiment parmi nous? Toutes nos sœurs sont heureuses de se donner aux hommes dans le but de servir l'ordre et toi, tu ne fais que te plaindre depuis que tu es arrivée ici. Je vais te demander de bien vouloir faire un effort de toute urgence, si tu ne veux pas que le prêtre exécute ses menaces à ton sujet. Parce que pour rappel aussi, chère petite terranide, les gens de ta race sont tous inférieurs sans exceptions aux humains. Ta condition parmi-nous t'empêche de terminer au rang d'esclave. Alors si tu ne veux pas que ça arrive et que je m'occupe personnellement de te vendre au marché à un prix qui sera certainement bien élevé, au vu de ta beauté et de ton status, je te conseille de te taire. Ai-je été assez claire, ma très chère fille?

- Ma foi reste inébranlable, ma mère. Même vos mots remplis de venins ne peuvent avoir raison de la pureté qui m'abrite et qui protège mon âme de tous les maux.

- Ha! Finalement derrière ton éternelle arrogance insupportable, tu abdiques? Dans tous les cas...

Tandis que j'étais prête à exploser, tellement je n'arrivais pas à comprendre comment pouvaient-ils normaliser à ce point une telle pratique qui était pour moi en totale inadéquation avec notre foi profonde, qu'un type en armure semble nous essayer de nous interpeler et de nous faire signe.

- Dans ton intérêt, je te conseille d'obéir et de faire profil bas. Mais avant, viens donc avec moi. Je vois en cet homme qui se tient là-bas, une potentielle occasion pour toi de montrer que tu as bien compris comment fonctionne véritablement l'ordre.

C'est en tremblant de rage, que je suis la mère supérieure, tandis que nous-nous dirigeons ensemble vers le chevalier en armure. Une fois arrivé devant la grille, cette espèce de conne insupportable ne perd pas instant pour l'accueillir et surtout se servir de cette occasion pour m'humilier, sitôt que ce type lui dit être là en vue de passer la nuit.

- Bonsoir mon fils. Sachez que nous sommes prêts à vous recevoir au nom de notre saint ordre immaculé, lieu de culte aussi puissant que dévoué envers toutes les nobles âmes vaillantes et courageuses telles que vous. Ma fille ici présente va vous recevoir des plus chaleureusement et vous accompagner à votre chambre. Mais sachez que je tiens de suite à vous préciser que monnayant un petit supplément, qu'elle sera ravie de vous faire passer un agréable moment qui rebâtira n'importe quel homme robuste et vigoureux tel que vous.

Ho mon dieu... Sauvez-moi... Sauvez donc l'une de vos pauvres servantes qui ne demande rien d'autre que de prier en paix... C'est en sentant toujours la rage et l'humiliation se décupler encore à l'intérieur de moi, que je vois la vieille dingue tellement hypocrite lui ouvrir le portail, satisfaite comme une demeurée hystérique d'avoir fait son numéro de cirque devant ce mec, dans le seul but de lui faire comprendre qu'il pouvait se servir de moi comme d'une pute et d'un jouet à baiser pour toute la nuit s'il le voulait. Déjà que la situation était hautement insupportable, j'étais maintenant totalement mise aux pieds du mur. Même si je savais que j'avais raison, je ne voulais pas que mon bannissement au seing de l'ordre puisse entrainer potentiellement un conflit entre dieu et moi. Quelque chose que j'aurai pu ne pas comprendre dans le doute plus que très éventuel, ni que je me retrouve à être traquée comme une bête à servir des types encore plus dégueulasse, à travers des orgies sans fins. Quelle honte et humiliation je devais affronter...

Lorsque l'espèce de chevalier de mes deux entre, la vieille folle échange encore quelques mots avec lui avant de partir et de me le confier. La situation était devenue hyper malaisante pour moi...
« Modifié: vendredi 30 mai 2025, 21:29:20 par Caira »
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Guillot de Belloy

E.S.P.er

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Re : Par la lumière tu seras punie [Guillot de Belloy]

Réponse 1 vendredi 30 mai 2025, 06:31:38

Si Guillot de Belloy n’était pas formellement associé à l’Ordre Immaculé, son statut particulier lui ouvrait quelques portes. Depuis son adolescence et la révélation de ses pouvoirs de purification, il avait été visité et instruit par nombre de clercs, qu’ils soient issus de l’Ordre ou non d’ailleurs. Il avait reçu l’enseignement nécessaire à tout chevalier sacré, à tout paladin voulant prendre service au nom de la foi et des plus faibles. Et, s’il ne s’était pas mis au service de la foi, sa dignité n’était nullement remise en cause. Tant que sa réputation restait honorable, l’Ordre lui ouvrirait ses portes, profitant d’avoir, au sein de ses temples et couvents, un fier guerrier divin tel que celui-ci, capable d’imposer les mains aux fidèles et de les guérir de n’importe quel mal connu. C’est que, si Guillot ne réclamait pas l’aumône pour ses services, même s’il l’acceptait, ses refuges, eux, n’y manquaient pas, et faisaient toujours en sorte de faire la publicité de sa venue.

C’est donc après son arrivée à Nexus, et après avoir malencontreusement, mais pas malheureusement, réalisé que l’établissement qu’on lui avait vanté pour bien marquer son arrivée n’était pas un hôtel pour nobles gens, mais un bordel pour grosses bourses, qu’il avait trouvé son chemin jusqu’à un grand couvent de l’immense cité, trouvant chez les sœurs internées ici une oreille très réceptive. Elles devaient, disaient-elles, en référer à leur Mère Supérieure, et il les salua avant de se résoudre à attendre. Il n’eut pas à attendre comme un triste sire sur le pavé, ceci dit, une sœur sortant pour l’accompagner jusqu’à une porte annexe, dans un petit jardin ombragé ouvert à tous, où il put prendre place sur un banc, près d’une fontaine, au milieu de l’herbe et des arbres fruitiers, et où elle lui apporta ensuite un plateau de thé épicé et de biscuits venus de bien loin. Elle s’était montré extrêmement chaleureuse et, peut-être, très tactile, mais les Cocagnards étaient du genre chaleureux et tactiles, prompts à se laisser aller aux amours de passage, aussi n’en fut-il pas choqué.

Il était resté là un moment, profitant des présents et du cadre jusqu’à ce que la sœur, finalement, revienne à lui. Le soleil avait bien pivoté et déclinait dans le ciel, et le temps commençait justement à se faire long. C’est donc joyeusement qu’il s’était relevé et avait rassemblé ses affaires pour attendre devant la grille, voyant bientôt arriver une vieille nonne et une jeune Terranide en habits de moniale à son côté. Son regard passa de l’une à l’autre tandis que le petit discours d’accueil était prononcé et qu’il entrait, respectueux et intimidé et, lorsque la Supérieure eut fini sa tirade, il garda le silence en faisant encore danser son regard entre elles, interloqué. Il avait l’habitude, ailleurs, que les établissements soient spécialisés. On pouvait généralement soit manger, soit boire, soit dormir, soit baiser, mais pas tout à la fois ou en même temps. Et voilà qu’ici, on lui facturait le gîte et la baise à deux endroits différents, et aux deux seuls endroits visités jusque là. Il fallait noter qu’il avait failli aller se rincer le gosier dans un bouge, et que, là aussi, on lui avait laissé entendre qu’une formule spéciale accompagnait la pinte d’une pipe. Mélanger sexe et affaires semblait normal à Nexus. S’était-il trompé en songeant que la Clairière des Muses était un bordel, et pas une auberge ? Qu’à cela ne tienne, il observerait les coutumes locales et il salua dignement la Mère.

« Mère, merci de me recevoir en votre domaine et de m’offrir gîte et couvert. Et je vous remercie de l’attention portée à mes besoins et au service proposé par votre novice. Je… euh… »

« Le montant de votre supplément pourra être discuté à votre départ, » le coupa la Mère, comme si elle ne faisait pas face à ses interrogations pour la première fois.

« Ah ? Super, alors, » s’enjailla-t-il avec une honnête joie ! « Je peux y réfléchir, comme ça. Et… euh… Vous parlez de… »

Encore une fois, la nonne hocha la tête sans attendre la fin de sa question. Guillot lui adressa un hochement de tête intimidé, mais compréhensif, et la vieille fila en les laissant seuls. Le chevalier, dans son armure simple, mais d’excellente facture, et chargé de ses armes et effets personnels, se tourna donc vers la jeune Lupine au doux pelage blanc. Il resta là un instant, silencieux, la dévisageant en remarquant bien l’expression manifestement contrariée, voire dégoûtée, sur son visage, et il s’interrogea sérieusement sur sa bonne lecture de la situation. Finalement, n’y tenant plus et toussotant, il hasarda :

« Euh… Alors… Bonsoir, je suis Guillot de Belloy. Je viens de Cocagne et je… Quel est votre nom, ma sœur ? »

Caira

Terranide

Re : Par la lumière tu seras punie [Guillot de Belloy]

Réponse 2 vendredi 30 mai 2025, 22:09:25

Ils continuent un dernier échange jusqu'à ce que la vieille folle se barre.

- Connasse...

Je réalise un peu tard que je venais de l'insulter à voix haute, bien que juste à travers les lèvres. Mais je m'en fichais royalement. Simplement le dire me faisait déjà un bien fou. Elle n'aurait pas été la mère supérieure, ç'aurait déjà été direct une beigne en plein dans sa tronche de vieille fripée qu'elle se serait prise, avant même d'avoir eu le temps de prononcer le quart de ses inepties de merdes. Quant au chevalier, j'allais tout faire pour vite m'en débarrasser et espérer qu'il m'oublie tout aussi rapidement. Quoi de mieux que de paraitre inintéressante, sans doute même un peu stupide sur les bords à mon grand regret? Le top pour moi serait plutôt de la jouer directe et méchante, stratégie actuellement malheureusement trop risquée envers la hiérarchie de mes deux qui est prête à me foutre dehors au moindre "faux pas". C'est alors que le chevalier de mes deux se présente sous un nom à coucher dehors, aussi chiant à prononcer que les cailloux qui squattent sous mes sandales quand j'en ai. Mais sérieusement, qu'est-ce que j'en à faire d'où vient ce toquard, avec son air de gros bennais? Arrive juste derrière la question où il me demande mon nom. Est-ce que moi je t'ai demandé quelque chose?

- *Soupir* Appelez-moi sœur Caira. Veuillez maintenant me suivre s'il-vous-plait, je vais maintenant vous accompagner dans votre chambre.

C'est avec un air plus que désabusé, que j'invite le palouf à me suivre, lui donnant les instruction de façon sèche et calibrée, mais sans excès non plus. Nous finissons de traverser la cour en silence, avant d'arriver dans un grand couloir éclairé par de grandes fenêtres, en ce début de soirée. Je laisse aller ses éventuels commentaires, souhaitant l'entrainer le plus rapidement possible dans sa chambre pour m'y retirer ensuite le plus loin possible de ce boulet en armure fatiguée. Nous-nous engageons ensuite dans une annexe et passons par un petit escalier, jusqu'à arriver à une série de portes. Les chambres occupées n'avaient pas de clés, contrairement aux libres où elles restaient enfoncées dans la serrure. Je choisis au hasard l'une des chambres libres restantes, invitant de la tête le chevalier à entrer. Une fois à l'intérieur, je ne lui laisse même pas le temps de se poser, que je pars au plus vite au principal.

- Voila c'est là. C'est bon n'aurais besoin de rien? De toutes façons, vous n'aurez qu'à demander en cas de besoin,  vous êtes bien assez grand pour ça. Pour les repas, il y a une affiche dans le cul... dans le coin de la chambre. Vous venez ou pas, c'est pas notre problème. Voila est-ce que ce sera tout?...

C'est légèrement contrarié que j'ai rattrapé de justesse un mot maladroit, mais qui qualifiait certainement ce que j'avais probablement inconsciemment le plus envie de dire. Puis je le regarde, prête à lui claquer la porte au nez, faisant exprès de lui parler sèchement. J'avais assez subi comme ça dans la journée, qu'on me laisse tranquille pour le reste de la soirée.
« Modifié: lundi 02 juin 2025, 20:50:13 par Caira »
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Guillot de Belloy

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Re : Par la lumière tu seras punie [Guillot de Belloy]

Réponse 3 samedi 12 juillet 2025, 04:03:33

Le Cocagnard ne savait trop quoi penser de ce lieu, et de Nexus en général. Et la lupine Terranide lui faisant face n’était manifestement pas dans ses meilleures dispositions non plus face aux coutumes d’ici. Le paladin ne savait sur quel pied danser et il tenta de se présenter comme il le pouvait, en récoltant un regard désintéressé et un soupir de la novice qui se présenta sous le simple nom de Caira. Il la suivit, non sans hésitation, songeant à rebrousser chemin, à se faire tout petit et à disparaître, et à ne pas demander son reste ; mais il était déjà tard et il aurait du mal à se loger ailleurs, surtout aux prix que l’Ordre proposait aux paladins collaborant avec lui. Et puis, il ne s’était engagé à rien.

La petite boule de poils allait à pas rapides et à grandes enjambées, manifestement pressée de se débarrasser de cette tâche, et il eut presque du mal à la suivre malgré ses jambes immenses en comparaison. Elle profitait peut-être de sa légèreté et de son anatomie plus propice à la course mais, quoi qu’il en soit, c’est de manière bien apathique qu’elle lui désigna une petite chambre libre et l’y fit entrer. Son discours explicatif était laconique et sa présentation des services bien différente de ce qui avait été avancé par la Supérieure lors de leur brève entrevue. Enfin, peut-être se faisait-il des idées. Elle avait parlé des faveurs spéciales et d’être bien accueilli, sans plus, li semblait-il. Donc, il s’était fait quelques idées, ce qui n’était pas grave, même si la chaleur de l’accueil restait à revoir.

La voyant défaite et prête à partir séance tenante, il avisa la clé laissée sur le lit et les alentours, le programme quotidien du couvent, avec ses heures de repas, et retourna son regard sur la lupine avant de hasarder une question simple :

« Je pense que ça ira. Merci. Et vous, de quoi avez-vous besoin ? »


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