Rubis se faisait violence malgré que Karl la rendait totalement folle, son corps complètement échauffé jusqu’aux oreilles sous tout ce qu’il lui faisait, autant dans ses gestes, de son corps, de sa bouche, de son regard que des effets qu’il lui faisait ressentir depuis leur première danse qu’avait été leur danse d’essais dans les vestiaires. Ho oui, il avait réussi à conquérir tout son être à partir de cet instant, l’ayant totalement envoûté, même si elle était depuis bien longtemps et déjà sous son charme bien avant cette soirée dansante.
Alors qu’elle suçoter son doigt telle la crapule qu’elle était en le regardant, voulant voir l’effet qu’elle lui faisait à le taquiner ainsi mais aussi à le cajoler, la jeune serveuse pouvait bien sûr ressentir l’effet qu’elle faisait au videur via les réactions de son corps, pouvant le sentir avec plaisir continuer à la bichonner de son autre main ainsi que de son corps dansant contre et en elle, la faisant gémir, soupirer et même lâcher des petits cris d’extase sous tout le bonheur qu’il lui donnait. Mais le bonheur n’était visiblement pas prêt à s’arrêter, n’ayant pas fini sa montée en niveau et étant loin de l’avoir finie même. Quand la petite Blanchette sentit le beau brun passait sa langue dans sa nuque jusqu’à son oreille tout en la défiant du regard, elle se mit à gémir plaintivement son doigt en bouche en le regardant, ses yeux devenant larmoyants petit à petit, se plissant sous le plaisir qu’il lui donnait alors que tout son corps tremblait sous sa langue mais aussi sous son souffle chaud qui venait caressait sa peau. Et ce n’était pas fini, ho non !
Son séduisant professeur n’allait pas se contenter de seulement la rendre folle avec sa bouche, bien sûr que non. Il ne cessa pas un instant de se mouvoir en elle, le corps de la mignonette lui répondant avec la même faim intense au sien, alors qu’elle continua d'onduler de plus belle contre et sur lui, tout en ne cessant pas un instant de trembler sous tant d’effet qu’il lui faisait, continuant de suçoter bon gré malgré son doigt qu’elle faisait glisser lentement entre ses lèvres dans de chauds et sensuelles vas et viens. Puis ses caresses sur son ventre se firent plus aventureuses, le sentant venir explorer ses cuisses et leur intérieur, la faisant tressaillir contre et sur lui en le sentant si proche de sa fleur qui se faisait butiner avec ferveur par sa dague. Son regard était rempli d’appréhension, se demandant se qu’il lui réservait, et pourtant, elle ne désirait qu’une chose : savoir ce qu’il lui réservait et même le subir avec foi.
Quel bonheur, quelle extase, quel délice ! C’était trop bon, leurs deux corps dansants sans s’arrêter, sa lame glissant et venant dans son fourreau avec avidité, ses baisers et sa langue sur sa peau, son regard brûlant sur elle plongeait dans le sien, sa main jouant sur ses cuisses, tout, tout était divin et lui donnait si chaud, tellement chaud, mais elle adorait cette chaleur qui la prenait des oreilles aux pieds, venant s’emparer de tout son corps telle la fièvre. Mais la fièvre n’avait pas fini de prendre possession de son corps, ho non ! Soudainement, elle sentit ses dents sur sa peau, le sentant la suçoter en la faisant tressaillir et trembler de plus belle contre lui, laissant même tomber quelques instants son corps en arrière contre son torse sous l’effet qu’il venait de lui faire. Et alors qu’elle s’apprêta à se redresser, Rubis sentit la main de Karl venir remonter sur son corps, venant se poser autour de son intimité en l’encadrant de ses doigts alors que la paume de sa main se mit à frotter sur son petit bourgeon. Et là, elle ouvrit de grands yeux en gémissant plus fort et plaintivement, étouffant ses sons par le suçage de son doigt en bouche, sa langue venant se cogner à l’aveugle contre son doigt tant il la déstabiliser par son coup de maître encore une fois. C’était pas un professeur de danse pour rien après tout.
La jolie albinos subissait avec envie ce que lui faisait le beau brun, n’arrivant pas à redresser son corps qu’elle laissa contre lui, savourant de plein fouet tout ce qu’il lui offrait, la faisant trembler sans s’arrêter de tout son petit corps contre lui en le regardant de ses yeux vaincue. Elle luttait pour continuer à s’occuper de son doigt entre ses lèvres et de sa main sous ses petits doigts, luttant aussi à mouvoir et onduler son bassin contre le sien. Oui, il réussissait à la désarmer totalement et à en faire ce qu’il voulait, elle était complètement à sa merci et en quémander davantage de ses jolis mirettes larmoyantes de bonheur et de sa petite voix étouffée gémissante. D’ailleurs, elle en voulait tellement qu’elle retira en tremblant son doigt de sa bouche, libérant enfin sa petite voix chantonnante du plaisir qu’elle ressentait. Puis, elle recommença à embrasser sa main, le dos, sa paume, ses doigts, délicatement, sensuellement et passionnément, tout en la caressant fébrilement de sa petite mimine, venant chuchoter d’une petite voix en pleure et essoufflée de chauds « oui » , « encore » , «pitié » en regardant Karl, le suppliant du regard de ne pas s’arrêter et de faire ce qu’il voulait d’elle, car elle ne désirait que ça.