Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Un bizutage qui dérape (PV)

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Matsuo Butahito

Humain(e)

Un bizutage qui dérape (PV)

lundi 16 décembre 2024, 19:11:32

Tout le monde discute dans son coin par petits groupes sans que cela ne dérange les professeurs présents. Pourquoi ? Eh bien parce qu'il n'y a pas cours pour ce petit segment de deux heures. Une personne venue de l'extérieur est en train de nous parler de certains comportements à risques qu'il faut éviter. En général c'est l'infirmière du lycée qui s'occupe de ce type d'intervention mais celle-ci est absente depuis plusieurs jours.

Matsuo, lui, est isolé dans son coin en écoutant d'une oreille seulement. L'autre reste grande ouverte pour déceler les menaces. Une horrible habitude qui lui mène la vie dure à cause des nombreuses brimades qu'il a subi par le passé au point de le marquer de façon définitive.

Les conversations de ses camarades ne volent pas très haut comme on peut s'y attendre. Tout le monde connait la réputation de ce lycée et personne n'est dupe quant à la façon de s'habiller de certaines élèves ou enseignantes concernant leurs activités en dehors des heures de classe.
Cela n'empêche cependant pas les garçons de reluquer l'intervenante.

- Putain ! T'as vu les nibards ?
- Grave ! On pourrait rassembler les mains de tous les mecs de la classe pour les soulever que ça suffirait pas.
- Même les actrices de films de cul sont pas aussi bien foutues.
- T'abuses !
- Ah ouais ? Tu veux pas faire des trucs avec elle ?
- Si, mais je vois pas le rapport.



Un peu plus loin il y a un groupe de filles qui regardent la femme qui se trouve entre les professeurs d'un mauvais oeil tout en jetant des regards noirs à certains garçons qui ne cherchent même pas à calmer leurs ardeurs. Surtout qu'on a droit aux éternelles questions bien lourdes d'élèves qui lui demandent si elle a déjà un copain, son tour de poitrine, etc, dès qu'on leur donne la parole pour faire les idiots ou l'embarrasser.

Alors que l'intervention touche à sa fin et que les élèves s'apprètent à partir car il n'y a pas cours ensuite, un des enseignants prend la parole.
- Comme cela est indiqué sur l'affiche à l'entrée, Soeur Plum est prête à accorder de son précieux temps pour vous écouter si vous en exprimez l'envie. Vous pourrez la retrouver dans une demie heure à l'infirmerie. Ce sera tout, vous pouvez y aller.


Cette dernière phrase est comme un soulagement pour la quasi totalité des élèves qui sautent de joie, et de leurs chaises, pour se sauver afin de profiter du reste de leur après-midi. Un geste imité par Matsuo qui est soudainement arrêté par deux filles de sa classe qui lui ordonnent de les suivre.

- Tu vas où ?
- Bah... Je rentre chez moi.
- Grave pas ! Tu vas rester et tu vas aller voir cette pouf qui fait baver tous ces débiles.
- Mais pourquoi faire ? J'ai rien à lui dire.
- T'en fais pas, on a déjà tout prévu.


La lycéenne tend un papier à son camarade de classe. Dessus on peut lire ce qui ressemble à des scénarios, des anecdotes ou des rumeurs. Toutes de nature sexuelle et qui feraient palir le premier venu. Gêné et surpris, Matsuo froisse le papier en le mettant en boule tout en reardant autour de lui.

- Pourquoi tu me donnes ça ?
- T'es débile ou quoi ? Tu vas aller à l'infirmerie pour voir cette nana. Et tu vas lui parler de ce qu'il y a d'écrit sur ce papier.

Les mains moites alors qu'il tremble de tout son être, Matsuo jette de nouveau un oeil sur le papier en question avant de se tourner vers sa camarade et la copine de cette dernière.

- Je peux pas. C'est trop la honte.
- Et alors ? On s'en fout ! Si tu le fais pas on te pourrira auprès du reste de la classe pour le reste du trimestre.
- Urgh...
- Puis des puceaux débiles dans ton genre elle doit en croiser des tas. Et si c'est pas le cas elle sera toute gênée et on la filmera en cachette.


Les deux filles lui expliquent qu'elles ont déjà tout prévu et qu'une complice est supposée passer avant lui et placer une caméra espionne pour enregistrer la scène discrètement. Avant de l'accompagner sur les lieux du futur crime pour être certaines qu'il ne tente pas de s'enfuir.

Au bout d'une dizaine de minutes la complice sort et fait un clin d'oeil au groupe en ricanant comme une bécasse alors que Matsuo toc à la porte pour ensuite entrer. Chaque pas est difficile et il ne sait pas où se mettre. Lever la tête en direction de la femme qui se trouve à quelques mètres de lui est compliqué mais il prend sur lui en se disant que ce n'est qu'un mauvais moment à passer et qu'il se vengera le moment venu.
Cette seule pensée commence même à l'aider à maîtriser ses nerfs du mieux possible tout en continuant de s'avancer pour s'installer sur une chaise.

- B-Bonjour !

L'adolescent marque une pause de quelques secondes pour reprendre de plus belle avec son problème en y allant franco comme on arrache un pansement. Evidemment ce problème n'est pas vrai vu que ce sont les filles qui le forcent à venir en parler. Mais bon.

- Je n'arrête pas de reluquer les filles et ça m'excite tellement que je n'arrive pas à me contrôler. Même tout à l'heure, en vous regardant je vous imaginais toute nue !

Il faut savoir que Matsuo a repris dans les grandes lignes ce qui était marqué sur le papier mais de manière bien plus soft car les filles avaient utilisé un langage plus cru et imagé. Quoique, ces dernières avaient quand même beaucoup d'imaginations ou vécues un tas de trucs depuis leur entrée au lycée vu le reste de ce qu'elles lui avaient énumérées.

Blum

Humain(e)

Re : Un bizutage qui dérape (PV)

Réponse 1 mercredi 18 décembre 2024, 22:20:44

Madame Blum se trouvait au lycée de la ville pour une intervention spéciale. Les professeurs l’avaient sollicitée pour remplacer temporairement l’infirmière scolaire et répondre aux questions des élèves dans une session de discussion ouverte. Ce rôle différait de ses visites habituelles, où elle parlait de l’église, de la foi et des activités paroissiales. Cependant, pour dépanner, elle avait accepté de jouer le jeu. Fidèle à elle-même, elle portait sa robe blanche impeccable, faite à la main, qui soulignait ses formes généreuses avec élégance. Les rubans violets, signature de son ordre, ajoutaient une touche de raffinement qui ne passait jamais inaperçue.

Aux côtés des professeurs, Madame Blum animait la session avec patience et assurance. Les élèves, répartis entre curieux sincères et farceurs, avaient des approches très variées. Certains posaient des questions réfléchies, souvent touchant à des sujets importants comme la santé mentale ou l’éthique, tandis que d’autres tentaient de provoquer ou d’amuser la galerie. Mais ceux qui espéraient voir Blum déstabilisée se heurtaient à une désillusion : elle restait calme et posée, répondant avec une sincérité désarmante, même lorsque les questions s’aventuraient sur des terrains plus personnels ou délicats. Son aplomb impressionnait autant qu’il inspirait.

Lorsque la session collective s’acheva, Blum prit une courte pause pour boire un verre d’eau et se préparer à la deuxième partie. Cette fois, les élèves qui le souhaitaient pouvaient la rencontrer individuellement, dans un cadre plus intime et confidentiel. À la manière d’un confessionnal, chacun avait l’opportunité d’aborder avec elle des sujets plus personnels. Installée dans une salle à part, derrière un bureau sobre mais accueillant, Blum accueillit les premiers élèves, l’un après l’autre, avec la même chaleur et bienveillance.

- Vous appellerez le prochain, dit-elle au dernier

Assise bien droite, ses cheveux encadrant son visage et tombant légèrement sur les courbes de sa poitrine, Madame Blum attendait sereinement le prochain élève. La porte s’ouvrit doucement, et un jeune homme entra timidement.

- Bonjour, installez-vous où vous voulez, l’accueillit-elle avec un sourire.

Elle désigna une chaise devant le bureau, mais la pièce était suffisamment spacieuse pour permettre au jeune homme de choisir un autre endroit s’il le préférait. Pendant qu’il hésitait, elle feuilleta discrètement le registre des élèves pour identifier son interlocuteur, scrutant les photos associées aux noms. Quand il commença à parler, elle leva les yeux pour lui prêter toute son attention. Ses mots étaient hésitants, trahissant une gêne profonde : il voulait discuter d’un problème typique de l’adolescence, lié à l’éveil de ses hormones. Blum ne l’interrompit pas, le laissant aller au bout de son explication, tout en trouvant son nom dans le registre : Butahito.

- Détendez-vous, Monsieur Butahito, dit-elle d’un ton apaisant. Même si c’est un sujet difficile pour vous, nous avons tout notre temps. Prenez une grande inspiration, soufflez un peu. Voulez-vous un verre d’eau ?

Blum ne montra aucun signe d’embarras ou de jugement face à l’aveu du garçon. Elle savait que son âge et ses hormones rendaient ce genre de préoccupations tout à fait normales. Avec douceur, elle souhaitait d’abord qu’il se sente plus à l’aise, car elle savait que la clé pour aborder ce genre de discussion était avant tout de dissiper la tension initiale ne se doutant pas du plan machiavélique derrière cette situation.
Maj signature : 18/12

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Matsuo Butahito

Humain(e)

Re : Un bizutage qui dérape (PV)

Réponse 2 jeudi 19 décembre 2024, 08:18:39

Le flegme dégagé par cette femme surprend autant qu'il calme le jeune homme qui ne sait plus où se mettre. Comment répondre autrement que par un simple : - Oui, s'il vous plaît. à cette proposition ? Il avait fallu rassembler tout son courage pour satisfaire à la demande incongrue de ses camarades et la femme en face de lui l'instant précédent n'avait quasiment pas bronché à sa remarque.

N'importe qui d'autre aurait haussé le ton et l'aurait envoyé paître, demandé de partir ou... comme c'est toujours le cas, l'aurait regardé avec dédain et dégoût. Oui, le dégoût. C'est le genre d'émotion qu'on peut lire dans le regard des personnes des deux sexes envers ce pauvre personnage la majorité du temps.

Au bout du compte c'est lui qui se retrouve déstabilisé. Comment est-il supposé réagir ? En remettre une couche ? Tenter de calmer le jeu en espérant que les filles le laisse tranquille une fois qu'il sortira d'ici ? Cela serait beaucoup trop beau pour ça se produise et il le sait parfaitement au fond de lui. Les bullys dans leur genre ne s'arrêtent jamais avant d'avoir obtenu ce qu'elles veulent. Que faire ? Que faire ? Que faire ? Son cerveau n'arrive plus à fonctionner correctement et d'horribles images du passé refont surface dans sa tête.
Si il était parvenu à retrouver un semblant de calme le temps d'un instant, ce n'est désormais plus le cas. Et ce même quand la femme à qui il est venu parler lui ramène un verre d'eau.

- Merci.

Pire, c'est son corps qui ne parvient pas à réagir comme il le souhaite. Ses mains tremblantes n'arrivent pas à le maintenir correctement alors qu'il la remercie. La force avec laquelle il tient des objets d'habitude semble avoir été absorbée par la peur et le contenu transparent se renverse sur le haut de sa robe blanche tandis que le verre lui tombe à même le sol.

- P-P-P-P-P-Pardon !

Sa première réaction est de se pencher en avant pour ramasser le verre au sol. Ne regardant pas ce qu'il y a autour de lui, il sent un contact humide contre l'arrière de son crâne alors qu'il se redresse après avoir tendu le bras pour attraper le conteneur en verre qui, étrangement, ne s'est pas brisé.

- Désolé, je n'ai pas fait exprès, je vous le jure.

C'est avec la généreuse poitrine, encore plus visible qu'auparavant si cela était physiquement possible vu combien le tissu épousait les courbes de cette femme, que sa tête est entrée en contact un bref instant. Et cette fois son regard est clairement attiré par l'anatomie de cette inconnue. Les yeux du lycéen n'arrivent pas à remonter au niveau de ceux de son interlocutrice.

On pourrait presque l'entendre déglutir. Ou entendre les ricanements très léger des filles de l'autre côté de la porte qui prennent leur pied en le voyant passer pour le dernier des idiots et des pervers. Peu importe qui est humilié à leurs yeux sans doute. Tant que cela les amuse.

- Vous essayez de m'aider et moi je...

Il commence à avoir un début d'érection, oui. Bien entendu ce n'est pas ce qu'il cherchait à dire à demis mots. Lui fait référence au fait de lui renverser son verre sur elle par maladresse. Sauf que son corps le trahit sans qu'il le veuille et cela ne fera que jouer en faveur des filles.

Blum

Humain(e)

Re : Un bizutage qui dérape (PV)

Réponse 3 jeudi 19 décembre 2024, 16:20:09

Pourquoi hausser le ton dans une telle situation ou se moquer ? Blum n'en voyait pas l'intérêt. Contrairement à d'autres étudiants qui cherchaient souvent à la faire sortir de ses gonds par des plaisanteries douteuses ou des remarques provocantes, ce jeune homme semblait plus réservé, presque nerveux. Et même si ce n'était qu'une façade, elle n'avait aucune raison de se montrer agacée. Blum savait que s'énerver ou perdre son calme aurait été le pire des choix, car cela aurait donné à ses interlocuteurs exactement ce qu'ils attendaient : des émotions visibles à exploiter pour s'amuser. Au contraire, elle répondait toujours avec douceur et bienveillance. Ses traits reflétaient cette sérénité naturelle, son visage lumineux encadré par ses cheveux soigneusement arrangés. Sa robe blanche, symbole de pureté et d’élégance, ajoutait encore à cette aura paisible qui faisait d’elle une figure rassurante.

Lorsqu’il répondit timidement à sa question, elle se leva avec grâce, son pas léger et ses gestes mesurés trahissant une maîtrise parfaite de son attitude. Sa robe blanche semblait flotter doucement au gré de ses mouvements, ornée de détails subtils qui mettaient en valeur sa silhouette sans ostentation. Elle se dirigea vers une petite carafe d'eau posée sur une table à côté, remplit un verre avec soin, puis revint vers lui, un sourire chaleureux éclairant son visage. Tendant le verre à l'étudiant, elle s'efforça de le mettre à l’aise, mais suite à un concours de circonstance saupoudré d'une grosse dose de maladresse le verre tomba au sol. L’eau éclaboussa légèrement le haut de la robe de Blum, lui arrachant un léger sursaut. Le verre, heureusement intact, roula doucement au sol, sans bruit de casse. Le jeune homme, visiblement paniqué, bredouillait des excuses. Blum, pourtant, ne laissa rien paraître. Restant très calme pour ne pas accroître sa panique, s'approchant de lui pour le rassurer.

- Ce n’est pas grave, ce n’est qu’un verre et un peu d’eau. dit-elle d’une voix apaisante, ses mots accompagnés d’un sourire sincère.

Madame Blum s'était approchée avec l'intention d'aider le jeune homme à ramasser le verre, espérant ainsi apaiser son agitation. Mais, dans son empressement à se rattraper, lui aussi s'était baissé précipitamment pour nettoyer. C'est alors que, en se relevant, sa tête heurta mollement Madame Blum, qui se tenait juste au-dessus de lui. Et pas n'importe où il avait heurté sa poitrine humide. L'impact fut léger, mais suffisant pour provoquer un moment de flottement entre eux.Elle faisait tout pour garder son calme malgré la situation qui avait vite dégénéré et ce n'était pas fini. Le jeune homme n'arrivait pas à décrocher son regard des deux pis de Blum qui s'agitaient devant lui à travers le tissu transparent. Au point de lui faire travailler une bonne fois pour toutes ses hormones. Son pantalon devenant trop serré pour la situation.

- Ce n'est rien, Monsieur Boutahito. Cela peut arriver à tout le monde...

Malgré la situation, la voix de Blum restait posée et calme, empreinte de douceur. Elle s'approcha du jeune homme pour se mettre à sa hauteur, fléchissant les genoux avec une grâce naturelle. Sa main, délicate et protectrice, se posa doucement sur son visage, comme pour apaiser son trouble. Sans montrer la moindre gêne face à ce moment, Blum conserva son sourire chaleureux. D’un geste réconfortant, son pouce caressa légèrement la joue du jeune homme, une attention pleine de bienveillance, complètement détachée du reste des événements.

- Prenez le temps de respirer, je vais vous aider.

Blum se redressa doucement, ses gestes empreints de sérénité. Elle passa ses bras autour du visage de l’élève, l'attirant délicatement vers elle. Avec une infinie tendresse, elle guida sa tête jusqu'à reposer contre ses mamelles humides, comme un refuge apaisant.

- Laissez-vous guider par mes battements... Suivez le rythme... Respirez, inspirez…

Ses bras, légers mais protecteurs, enveloppaient le jeune homme, transmettant un sentiment de réconfort, de sécurité et de stimulation. Madame Blum restait une pécheresse qui aime les hommes et le vice, tirant sur la corde sensible de son élève sous couvert d'une bonne intention. Elle le serait toujours dans ses bras, bien collée contre ce qu'il semblait aimer regarder.

- Ça va mieux maintenant. Nous allons pouvoir reprendre. Je vais aller vous chercher un nouveau verre d’eau pour commencer.

Blum relâcha doucement sa tête de ses bras, s’écartant avec un sourire radieux, son regard captivant restant ancré dans celui du jeune homme. Son expression chaleureuse et bienveillante allait sûrement le troubler. Elle se redressa ensuite pour se diriger avec élégance vers la table, où elle saisit un nouveau verre d’eau. De retour près de l’élève, elle s’approcha avec une grâce calculée... Mais cette fois, la maladresse sembla changer de camp. Avant même que le jeune homme ait pu tendre réellement la main, le verre lui échappa des doigts pour se renverser sur son pantalon et plus précisément sur son bas-ventre.

- Excusez-moi, décidément… Je vous avais bien dit que ça pouvait arriver à n’importe qui.

Sa voix douce et son air faussement contrit enveloppaient la situation d’une légèreté complice, comme si tout n’était qu’un simple malentendu. Blum, toujours souriante, s’empressa de s’excuser à nouveau tout en s’apprêtant à réparer sa fausse maladresse.Elle s'empressa de ramasser le verre pour le déposer sur le bureau, puis entoura son élève de ses bras une fois de plus, cherchant à le rassurer face à la situation. Lui, qui semblait si stressé depuis le début, trouva refuge en posant sa tête sur ses mamelles dodues. Blum baissa doucement la tête, rapprochant ses lèvres de son oreille pour murmurer quelques mots. Sa voix douce effleurait sa peau tandis qu’elle parlait.

- Que je suis maladroite... Ce ne doit pas être agréable d’avoir le pantalon trempé, surtout dans une situation pareille. Il y a un radiateur derrière, si vous souhaitez y déposer votre pantalon et votre sous-vêtement pour être plus à l’aise.

Déposant le verre d'eau vide sur le bureau, Blum se redressa et fit un pas léger pour retourner derrière son bureau. Elle était calme, fière, ne détournant son regard du jeune homme, si ce n'est pour baisser brièvement les yeux vers sa ceinture en haussant les sourcils et en souriant. Elle s'installa ensuite confortablement dans son siège, se redressant dans le fond de celui-ci, exposant sa robe transparente à son élève attendant de voir ce qui allait se passer.
Maj signature : 18/12

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Matsuo Butahito

Humain(e)

Re : Un bizutage qui dérape (PV)

Réponse 4 jeudi 19 décembre 2024, 22:23:58

Les mots rassurants et prononcés avec une voix pleine de calme déclenchent une réaction qu'il ne connait pas sur l'instant. Comment pourrait-il en être autrement étant donné que personne ne lui a jamais exprimé de sympathie jusqu'à ce jour ? Il se retient même de toutes ses forces de trembler au contact de cette main délicate et si douce contre sa joue brûlante. Entre l'excitation et la gêne, le sang du lycéen ne fait qu'un tour dans ses veines depuis de longues secondes et on pourrait sûrement faire cuire un oeuf sur son crâne.

Cela a beau partir d'un bon sentiment, la suite n'aidera aucunement Matsuo. Comment peut-elle lui demander de reprendre tranquillement sa respiration en venant se coller contre lui de la sorte ? Des poitrines de cette taille il n'en a vu que dans les films pornos ou dans son esprit lors de ses plaisirs solitaires nocturnes.
Qu'est-ce qu'il est censé comprendre par ce geste ? Les pensées et les envies se bousculent dans sa tête avec ce mélange de sensations et ce doux parfum que dégage la jeune femme. Au bout de quelques secondes il ne sent plus l'humidité du tissu et se met même à croire que sa joue est en contact direct avec la peau de cette poitrine.

C'est alors que le déchirement intervient lorsque ce câlin improvisé est rompu car Blum se relève pour retourner chercher ce fameux verre d'eau. Matsuo est comme envouté par cette femme à la beauté indéniable et ne peut que rester figé dans le temps en la regardant.

Fébrile, il reste le derrière vissé sur sa chaise et n'est sorti de sa trance que par la maladrese de la femme qui renverse à son tour le contenu de ce second verre sur son pantalon. La fraicheur du liquide n'a aucune influence sur l'état d'excitation du lycéen. Pire, cet incident risque de pousser la femme en face de lui à regarder en direction de la bosse qui déforme son vêtement.

- Je... Euh...

C'était pourtant à lui de déstabiliser l'intervenante du jour sous les ordres d'un groupe de filles malintentionnées. La situation s'est inversée en un claquement de doigts et sans le moindre effort de la partie opposée. Sa main se redresse par reflèxe lorsqu'il est de nouveau attiré en direction de cette paire de seins so moelleuse et accueillante. Mais il parvient à se retenir de venir la saisir alors que l'envie est clairement présente. Une telle occasion pourrait ne jamais se reproduire de son vivant. Pourquoi ne pas tenter le coup en jouant la carte du garçon innocent ensuite ?

Sa réflexion est mise à mal par la voix sensuelle et douce qui vient lui suggérer de se dévêtir s'il le souhaite. Est-ce qu'il a bien entendu ? Elle veut lui jouer une blague à son tour ? Ce n'est que de l'eau et ça ne prendra pas longtemps à sécher. Surtout que cela ne se voit pas tant que ça vu qu'il porte un pantalon de couleur foncée.
Si quelqu'un est désagréable au niveau de son pantalon c'est le fait de s'y sentir à l'étroit à cause de son érection. Une érection provoquée par les gestes de cette même personne qui l'incite à se dénuder devant elle. Et... Pourquoi enlever son boxer aussi ? Si ce n'est pas une invitation directe alors il ne voit pas de quoi il pourrait s'agir d'autre.

- Oui, je peux mettre mon pantalon à sécher.

Qui ne tente rien n'a rien pense le jeune homme avant de se lever d'un bon de sa chaise pour retirer l'objet en question tout en se retournant pour faire dos à Blum tout en allant se rendre vers le radiateur. Il n'aura cependant pas assez de courage pour tout enlever. Avec un certain sérieux, Mastuo tire sur les jambes de son pantalon afin de bien l'allonger sur le radiateur.

Un long soupir s'échappe de ses lèvres pour rassembler son courage à deux mains alors qu'il se retourne pour faire face à Blum malgré la distance qui les sépare. Sa voix reste hésitante au début.

- Vous aviez raison, je peux respirer un peu mieux sans mon pantalon.

A chaque pas, la jeune femme pourra remarquer que le boxer du lycéen est totalement déformé par un membre qui semble tendu et gonflé à bloc après ce double contact mammaire. Son regard ne cesse de faire le yoyo entre les lèvres de celle-ci et sa poitrine qu'il a envie de saisir à pleine mains et de se noyer à l'intérieur. Pour preuve, son sexe en frétille sous sa prison de tissu de manière répétée.

Les hormones en surchauffe et comme possédé par une confiance en lui insoupçonnée, Matsuo décide de tenter sa chance en repartant sur ses problèmes tout en mélangeant un fait réel pour paraître plus crédible.

- Pour revenir à mes problèmes... Regardez, vous avez essayé de m'aider juste avant et pourtant je suis dans cet état. Et quand ça arrive je suis obligé de me branler au moins 3 fois minimum si je veux réussir à me calmer.

Autant tenter le tout pour le tout et voir si l'histoire du sous-vêtement à retirer voulait vraiment dire ce qu'il imaginait et que cette femme aussi belle que séduisante tentait de le séduire malgré son physique ingrât qui a été toujours été synonyme de railleries.

Sans même s'en rendre compte, sa main droite se pose sur son membre imposant par-dessus son boxer pour le frotter légèrement au début. Au bout de dix secondes, ses doigts se mettent à masser son gland tout en bavant sur les mamelles collées à la robe de Blum.

Blum

Humain(e)

Re : Un bizutage qui dérape (PV)

Réponse 5 vendredi 20 décembre 2024, 00:24:16

Elle observait l’élève avec une attention discrète, remarquant l’hésitation dans ses gestes, ce léger flottement qui trahissait une certaine gêne. Il semblait perdu, ne sachant pas vraiment comment se comporter face à une situation aussi inhabituelle pour lui. Elle savait qu'il avait besoin de temps pour s'adapter, pour comprendre que l’atmosphère qui l’entourait était faite de calme, de confiance et d'une touche de perversion. Blum veillait donc à ce que son attitude reflète cette confiance, son sourire bienveillant, sa posture qui lui laissait la possibilité de reluquer ses mamelles et ses paroles douces.

Sous ses conseils, l’élève s’était levé pour aller vers le radiateur et y déposer son pantalon afin qu’il sèche. Il s’était retrouvé en caleçon, une situation qui aurait pu être embarrassante, mais il semblait avoir trouvé le courage de suivre les instructions de Blum. Même s'il avait gardé son caleçon, c'était déjà un pas en avant. Revenant s’asseoir à sa place, Blum ne se cachait pas pour regarder l'imposante bosse sous le tissu. Et c'est à ce moment précis que ses tétons cachés jusqu'à présent se mirent à se dévoiler sous sa robe. Formant deux petits boutons qui tiraient de plus en plus le tissu mouillé au fur et à mesure que l'élève lui racontait son problème, tout en caressant le bout de son dard.

- Je suis contente que vous me parliez de tout ça pour trouver une solution à vos problèmes.

Blum se leva avec une certaine fluidité, prenant conscience que depuis son bureau, il était difficile de percevoir tous les éléments qui se passaient à hauteur de ceinture. D’un pas mesuré, elle s’éloigna de son bureau en bois, avançant avec grâce pour s’installer juste à côté de son élève. En s’asseyant, elle croisa délicatement les jambes, et posa ses mains sur ses cuisses, se redressant avec une posture droite et assurée pour mettre ses pis en avant, tout en maintenant un regard attentif et bienveillant.

- Peut-être devriez-vous d'abord me montrer la méthode que vous utilisez pour vous calmer, en la détaillant un peu plus. Je souhaite m'assurer de la véracité de vos propos. Ce n'est pas que je ne vous croie pas, mais j'apprécie avoir des faits plutôt que des paroles.

Si son élève se posait des questions, il avait clairement sa réponse. Mademoiselle Blum se pourléchant les lèvres de savoir s'il allait oser ou non.
Maj signature : 18/12

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Matsuo Butahito

Humain(e)

Re : Un bizutage qui dérape (PV)

Réponse 6 vendredi 20 décembre 2024, 01:22:15

La méthode qu'il utilise ? Ce n'est pas comme si il en existait des milliers et cette suggestion fait vriller Matsuo qui glisse son pouce sous l'élastique de son boxer et tire dessus d'un coup sec pour libérer l'engin qui se met à se balancer avec vigueur de haut en bas à plusieurs reprises sous le nez de Blum qui est venue s'installer juste à côté de lui l'instant d'avant. Tout son bon sens s'était envolé à l'instant où elle avait parlé d'enlever tout ce qui pouvait masquer son anatomie.

Un puissant parfum masculin est libéré en même temps que son membre puissant et turgescent lorsqu'il ôte son sous-vêtement. Et un début de masturbation est enclenché dans la foulée par la même main qui massait ce gland imposant et humide dont fuit déjà du liquide collant et transparent.

Jeune, surexcité et dans une situation complètement improbable, le lycéen sait qu'il ne tiendra pas plus de quelques minutes et pourtant cela ne l'encourage pas à doser le rythme de ses mouvements. Sa main s'agite à une cadence rapide sur sa tige veinée dont ses doigts n'arrivent pas à faire le tour complètement tout en soupirant d'envie en gardant les yeux fixent la poitrine que lui présente fièrement la jolie Blum.

- Souvent je regarde des vidéos de filles avec de gros seins pour m'aider. Oui... De gros... d'énormes seins... comme les vôtres.

Sa main libre se lève lentement et avec crainte pour voir si elle se laissera toucher. Il commence par la poser dessus, à plat, et se rend compte immédiatement de leur taille. Les voir ou les sentir avec sa joue est une chose. Réaliser la différence de taille entre ses mains et ce sein le fait bloquer sur place le temps d'une seconde ou deux. Puis il tente de le presser un peu du bout des doigts en reprenant sa masturbation.

Ce contact est divin alors que la robe en tissu sépare encore la pulpe de ses doigts de cette peau qui lui fait terriblement envie. Qu'est-ce que ce sera si il parvient à passer en-dessous de cet horrible et frustrant vêtement ? Est-ce que cela le fera éjaculer de manière soudaine ? Ou est-ce que l'envie de le saisir à deux mains serait plus forte ?

- Vos seins... Ils sont parfaits.

Tenir debout est de plus en plus compliqué pour lui car il commence à avoir des fourmis dans les jambes, au point de ne pas sentir son boxer finir au niveau de ses chevilles. Laissant cette fois ses deux oeufs pendre et remuer au rythme de ses hanches ou de son dos quand il se penche un peu trop pour caresser ces seins laiteux.


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