Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Verset II.

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Verset II.

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Hayao Tachibana

Créature

Re : Verset II.

Réponse 15 jeudi 19 décembre 2024, 08:42:44

J’aimais ce que je voyais. Parce que je voyais dans quel état elle était. Parce que je voyais aussi qu’elle avait envie de plus. Parce que je la voyais se retenir. Je lui détectais un énorme potentiel de soumission. Bien sûr. cela me donnait de voir jusqu’où j’aurai pu la pousser ici comme là-bas. C’était superbe comme spectacle. Et je n’abordais même pas sa conformation physique. Elle était belle, désirable. Elle avait une silhouette qui appelait la luxure, des seins lourds, généreux, et gonflés, aux tétons sensibles, particulièrement attractifs – elle savait els mettre en avant en plus – surmontant un ventre plat et un pubis glabre, au-dessus d’un sexe fendu tout aussi glabre. Et je ne parlais pas même de son derrière. Deux jolies fesses qui étaient un appel à la claque.

Je sentais la nonne vibrer sous me doigts, je la sentais capable de se lover contre mes mains pour plus de sensations, elle était à la recherche de ce plaisir qu’elle ne devrait pas ressentir trop vite, trop tôt, trop fort. Et sa moiteur coulante était la preuve même de son absence de contrôle réel sur le sujet. Elle retenait sa voix, elle retenait ses gestes, et ses pensées, comme si elle craignait la conséquence d’un gémissement trop prononcé. Elle ne pouvait dissimuler son émoi mais elle tachait de le retenir un tant soit peu, même si, parfois, son corps se crispait un peu pour se retenir. C’était bien.

« Je suis ravi de voir que tu sais te contrôler un minimum… »

Je tirais sur le mamelon, durci et  semblant attendre de tels traitements, puis je lui expliquais ce que j’attendais d’elle. Une position étrange, j’en convenais, sans doute. Ne comprenait-elle pas où je comptais en venir. Mais maintenant, au moins, elle pouvait respirer un peu, et se détendre, alors que je la regardais se mouvoir vers son lit, les loches balançant au rythme de ses hanches. Je comprenais que je lui demandais un peu de contorsion, mais elle avait l’air d’avoir une allure travaillée, avec des muscles se dessinant sous les doigts prouvant un exercice plus poussé que de se faire chahuter, mais pas de quoi la déformer pour autant.
Malgré les errements de ses envies, elle savait se tenir et prendre la peine d’agir comme il fallait.

« Je sais que je peux compter sur toi, ma belle, je sais… »

Je lui caressais les cheveux avec tendresse, pour l’encourager avant de lui gifler les fesses pour lui « donner de l’élan »

Je la regardais s’installer. Et cela prit un temps fou. Un temps très long. Et en même temps, étant dans un rêve, cela passa comme une seconde. Je m’étais approché d’elle alors qu’elle continuait à monter contre le mur son bassin, jusqu’à m’offrir une vue magnifique e, comme celle que je m’étais attendu à voir. Non, bien sûr. c’était au-delà de ça. son sexe poisseux qui s’était bien écarté à cause de la position, laissais voir ses chairs rosées, et je venais doucement écarter davantage ses petites lèvres, offrant une vue encore plus profonde sur son minou baveux. Son clitoris, bien visible, était bien gonflé lui aussi, sans doute impatient. Eussé-je été cruel que j’aurai mis une petite pichenette à celui-ci. je sentais son équilibre précaire et je ne le bousculais pas. Mais avec douceur, je prenais ses mains pour les guider ver s ses  lombaires pour qu’elle puisse se souvenir, en  enfonçant ses coudes dans le matelas. Ainsi, elle avait un appui un peu plus régulier, et donc un peu plus stables…

Je me penchais vers son visage, posant un genou à terre, et je lui baisais le front, admirant la rivière de j’ai de ses cheveux qui s’étalait en corolle sous elle.

« Tu es magnifique, sœur Blum. Et obscène à souhait… maintenant, laisse-moi te faire découvrir pourquoi cette position était exigée… ferme les yeux un instant… »

Je lui suris, et je venais doucement « pousser » ses paupières pour l’inviter à vraiment fermer les yeux. Alors, je me relevais pour prendre un des cierges qui s’alluma ; c’était le cierge que j’avais déjà sélectionné. Pas trop long, pas trop court, et d’une épaisseur pas trop grosse. L but n’était pas de lui  déchirer les chairs. Même si, comme nous étions dans un rêve, cela n’arriverait pas si elle ne le voulait pas.
Le temps que je me tourne vers elle, le cierge s’était allumé.

« Tu peux regarder. »

En ouvrant les yeux, elle verrait juste les premières gouttes de cire chaude  tomber sur ses tétines sensibles. Puis, je  glissais la base du cierge – et seulement la base, au cœur de son intimité bouillonnante.

« Je te conseille de la tenir comme ça, sinon, tu risques de te bruler… »

C’était facile à dire : la cire coulant le long du cierge allait lui offrir de jolies sensations et n’allait pas l’aider à se concentrer là-dessus, pas plus que le reste.

« Qu’en penses-tu ? »

Et là ce fut vicieux. Quand elle ouvrit la bouche pour me répondre, mon sexe trouva le chemin de sa gorge, avec brutalité, avec violence même, pour lui baiser la gueule comme d’autre lui avaient baisé le con, et ce, jusqu’à ce que son manque d’air ne me force à me retirer pour la laisser respirer.

Blum

Humain(e)

Re : Verset II.

Réponse 16 jeudi 19 décembre 2024, 21:54:01

L'homme, d'un geste mesuré et précis, ajusta la fleur humide de Blum, écartant bien plus ses lèvres baveuses lui arrachant des tremblements. Il lui conseilla après de placer ses mains sur ses lombaires pour mieux stabiliser son équilibre. Suivant ses instructions, Blum sentit une légère amélioration dans sa tenue. Cela l’aidait à calmer les tremblements qui menaçaient de la faire chanceler. Une chute aurait été particulièrement embarrassante pour elle dans une telle situation, et elle était déterminée à ne pas faillir. L'homme, quant à lui, semblait satisfait, presque admiratif de sa persévérance et de la grâce qu'elle parvenait à dégager malgré la difficulté. Dans ses yeux, on pouvait lire une fierté sincère devant ce tableau harmonieux qu’elle lui offrait.

S'agenouillant, l'homme se rapprocha d'elle, il posa ses mains avec une douceur palpable de chaque côté de son visage, avant de déposer un baiser délicat sur son front. Les mots qu’il murmura ensuite, pleins de félicitations et d'éloges, résonnèrent profondément en elle. Peut-être ignorait-il l’impact de ses paroles, mais elles firent naître une chaleur inattendue dans le cœur de Blum. Elle, qui avait longtemps enchaîné les échecs et les déceptions, sentait enfin qu'on était fier d’elle, qu’elle avait réussi à répondre aux attentes qu’on plaçait en elle. Elle ne répondit pas, trop émue pour parler, mais un sourire, discret et sincère, vint illuminer ses lèvres, traduisant sa gratitude muette.

Il lui demanda ensuite de fermer les yeux. Cette requête inattendue fit naître une ombre d’appréhension sur le visage de Blum. Pourquoi devait-elle les fermer ? Elle se posa la question sans oser la formuler à voix haute. Ses doutes furent balayés par les doigts de l'homme qui effleurèrent ses paupières pour les abaisser en douceur. Elle obéit, bien que son souffle trahît un léger trouble. Dans l'obscurité de ses paupières closes, chaque bruit semblait amplifié. Des sons indistincts et des bruits parasites parvinrent à ses oreilles, la faisant légèrement tressaillir. Elle tourna doucement la tête, essayant de deviner ce qui se passait autour d'elle. Enfin, la voix de l'homme l'invita à rouvrir les yeux. Elle papillonna doucement des cils, ses iris verts captant la lumière lorsqu’ils émergèrent. Ses yeux, pleins d’interrogation et d’un soupçon d’émerveillement, se fixèrent sur ce qui se trouvait au-dessus d’elle.

Blum aperçut une lueur rouge vacillante, une danse hypnotique qui semblait presque vivante et des tâches blanches. Peu après, elle sentit des gouttes tomber sur sa peau nue, roulant sur ses pis et englobant ses tétines. Ce n’est qu’au contact brûlant qu’elle comprit : de la cire chaude. Elle serra les dents, son souffle devenant plus profond tandis qu’elle tentait de maîtriser la montée soudaine de la douleur. Ce n’était pas insoutenable, juste assez pour provoquer une réaction instinctive. Une piqûre vive, comme une morsure rapide, envahissant ses sens avant de s’atténuer en une chaleur diffuse et supportable. Chaque goutte créait ce même choc furtif, oscillant entre le désagréable et le surprenant. Sa poitrine se soulevait à chacunes de gouttes qui roulaient laissant sa peau rougir sous une fine plaque de cire.

Blum pensait que l'homme allait s'amuser ainsi pendant plusieurs minutes, mais non, c'était un avant-goût. Après quelques gouttes, il planta le cierge dans la fleur de la nonne qui eut une réaction instantanée, levant plus son buste du mur.

- Aaaaa.
Cette fois elle ne sut se retenir, gémissant en plissant les yeux.

Blum se remit comme il faut en place, la bouche encore entrouverte de son gémissement, la tête penchée dans le vide, incapable de voir ce qui se passait réellement au-dessus d’elle. Elle ne savait pas s’il avait pris la peine d’éteindre la bougie avant de la planter dans son minou baveux, mais elle en doutait. L’air était exempt de cette odeur caractéristique de fumée qu’on perçoit lorsqu’une flamme est soufflée. Ce qui venait de se passer semblait être une simple introduction, un avant-goût. Elle comprenait maintenant mieux ses paroles : il fallait rester parfaitement en place, immobile, pour éviter tout risque de brûlure. Même si elle savait que la cire allait couler jusqu'à sa fleur. Réalisant, elle eut un frisson qui lui fit trembler son bas-ventre, des gouttes se mettent à couler le long du bâton blanc mais n'arrivant pas jusqu'à son minou.

- Vous...

Sa phrase fut coupée net par le dard de l'homme dans sa bouche, pas de prévention, ni d'hésitation. Il lui écarta les lèvres pour se loger au fond de sa gorge, passant sa luette avec brutalité, et ce n'était pas fini. Les coups de bassin lui défonçaient la mâchoire, raclant l'intérieur de sa bouche et déformaient ses joues quand ça lui arrivait de dévier sous la violence des coups. Ses bourses s’écrasaient contre son nez et les yeux de Blum dans un claquement bruyant. Blum avait arrêté de tenir son dos, mettant ses bras sur le lit pour serrer de ses doigts fins les draps, essayant de trouver un moyen de garder sa position.

Blum laissait échapper des gargouillements bruyants avec ce dard qui lui labourait le gosier et son excès de salive qui coulait le long de ses joues. Les bourses de l'homme devaient être aussi humides, les yeux de la nonne larmoyant sous le manque d'air. Et sa situation allait encore monter en degré, tout son corps se faisait secouer comme un sac. Ses pis claquaient son visage et ses jambes bougeaient contre le mur pour garder un équilibre déjà précaire, jusqu'à ce que le cierge manque de tomber. Il bascula en avant d'un coup, laissant une gerbe de cire dégouliner entre ses lèvres et son bouton.

- Mmmmmh… Même avec la bouche pleine, son gémissement remplit la pièce.

Malgré toute cette humidité, la morsure de la cire fut puissante et elle frappa ses fesses contre le mur à plusieurs reprises pour essayer d'y échapper. Mais chaque rebond en faisait couler encore, lui arrachant les mêmes gémissements. Ses mains serraient de plus en plus fort les draps et son visage était ravagé par sa salive ainsi que par ses yeux trempés.
Maj signature : 18/12

Spoiler (cliquer pour montrer/cacher)

Hayao Tachibana

Créature

Re : Verset II.

Réponse 17 jeudi 19 décembre 2024, 23:02:05

Voilà qui était parfait, comme spectacle. Magnifique, même. Elle ne pouvait pas voir comme je l’admirais, tout comme, mon sexe au fond du gosier, je ne pouvais pas voir ses grands yeux écarquillés, et je trouvais cela particulièrement dommage. Je me résolvais à tordre alors son rêve, pour ‘m’offrir une vision de ses yeux, de ses jolis yeux clairs, écarquillés, qui révélaient toute sa luxure, et tout son écarquillement. Avait-elle été souvent prise ainsi, jusqu’à la garde, l’étouffant du chibre, bouchant son nez des bourses lourdes et pleines ? Je pariais qu’elle découvrait des sensations, à ses yeux… et ses gémissements étaient aussi divin que la tension que je sentais dans on corps. Les coulures de cire tachaient sa peau et laisseraient probablement place à des marques rouges si ce rêve avait été la réalité. Quand elle s’éveillerait, sa peau serait toujours d’albâtre parfait…. C’était presque dommage, pensais-je un instant.

Son corps bougeait. Son corps répondait à mes attentions. Elle répondait à la première goutte de cierge et cela m’excitait encore plus rajoutant de la violence dans un acte déjà violent en soi. C’était de l’entrain et une sorte de cercle vicieux, un cercle vicieux dont elle n’était pas actrice mais seulement subissant. Mais elle semblait l’avoir plus ou moins accepté, sinon elle se serait débattue. Ses mains auraient quitté ses lombaires, non pour s’accrocher aux draps, rendant sa position précaire, mais pour se débattre/. Pourtant, elle ne se débattait pas. Elle gémissait dans des bruits qui ressemblaient à des mélanges de couinement de borborygmes étouffés par mon sexe qui lui labourait la gorge à lui faire manquer son souffle.
Dans la vision que j’en avais malgré elle, son regard s’embuait de larmes au gré de mes coups de reins.
Un coup de boutoir de trop, la flamme vacilla, la bougie trembla, s’inclina dangereusement, répandant une trainée de cire brulante le long de son pubis. Elle remuait d’elle-même. Et je voyais sa manière d’essayer de détourner la brulure la cuire trop vite tombée d’une bougie bien trop chaude sans doute pour ne pas lui en cuire…. Je lui giflais un pis, sans retenue, sans tendresse, attrapant l’autre avec fermeté pour le malaxer.

« Ne bouge pas, ne cherche pas à fuir la douleur… »

Je me retirais de sa gorge pour la laisser respirer. Et je m’écartais d’un pas, pour me repaitre du spectacle… son corps ainsi marqué de cire sur le ventre, sur la poitrine, ses joues poisseuses de salive, sa bouche ouverte à la recherche du souffle dont je lui avais manqué. Le reste de son visage n’était pas encore assez souillé à mon gout. Je ne m’en satisferai que quand sa salive aurait coulé depuis ses lèvres sur son nez, ses yeux et dans ses cheveux. Voilà qui serait une bien belle scène de souillure, n’est-ce pas.

« Respire, Servante du seigneur. Respire et avale autant d’air que tu peux… je ne voudrais pas que tu mordes sous la douleur. »

Oui, j’avais craint qu’elle ne me raye le casque, pouvait-on dire…
Je décrochais le miroir et l’orientais de sorte à ce qu’elle puisse s’admirer.

« Comment tu trouves-tu ? »

Lentement, le cierge fondait, continuant de maculer son pubis de cire de plus en plus chaude, se rapprochant inexorablement d’un bouton de plaisir de la sensibilité exacerbé en ferait une cible d’une violence inouïe. Inéluctablement. Et je préférais que cela arrive avant qu’elle ne m’ait à nouveau en bouche. La douleur serait probablement difficile à soutenir, pour moi…

« Tu es magnifique, ma pécheresse en repentir… alors souffre et offres-toi…. Mais garde tes mains loin de ton corps, d’accord ? »

Supplierait-elle de bouger le cierge ? De revenir entre ses lèvres ?


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