Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Verset II.

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Verset II.

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Blum

Humain(e)

Verset II.

samedi 14 décembre 2024, 15:44:43

Sœur Blum se sentait plus tiraillée que jamais. Depuis des mois, elle s’efforçait de réprimer les pulsions qui menaçaient de la détourner de son chemin spirituel. Servir l’église et rester pure dans ses pensées : voilà ce qu’elle s’était promis. Mais chaque jour, ses envies s’intensifiaient, et la lutte devenait de plus en plus ardue. Chaque nuit, les images interdites s’imposaient à son esprit. Elle voyait des hommes, des silhouettes floues, des corps pressants et des caresses brûlantes qui la réveillaient haletante. Depuis plusieurs jours, ces rêves ne lui laissaient aucun répit, et ce soir ne ferait pas exception.

Elle s’était couchée dans une simple nuisette blanche, seule au fond de son lit, cherchant le réconfort de ses draps propres. La journée avait été éprouvante, entre les prières et ses obligations, et elle espérait qu’un sommeil réparateur l’aiderait à retrouver son calme. Elle ferma les yeux, récitant une prière silencieuse pour chasser les pensées troubles qui l’assaillaient. Mais dès qu’elle sombra dans le sommeil, son esprit s’échappa à nouveau vers des territoires qu’elle s’efforçait d’oublier.

Dans son rêve, Sœur Blum se tenait au milieu de l’église. Mais quelque chose clochait. Elle n’était pas vêtue de sa tenue habituelle. Sa robe blanche traditionnelle avait disparu, remplacée par une tenue légère, provocante, composée de rubans violets qui caressaient sa peau satinée. Son allure incarnait une forme de sensualité pure et timide, comme un paradoxe vivant. Sa poitrine voluptueuse était à peine dissimulée par deux fines bandes de tissu qui descendaient sur ses tétines durcies, accentuant leur rondeur parfaite. Une autre bande délicate masquait avec une précision troublante son intimité, tandis que son postérieur était entièrement visible, exposant ses courbes pleines et douces. Sa longue chevelure noire tombait en cascade sur ses épaules, tandis que ses yeux verts brillaient dans le halo de lumière qui l’entourait. Chaque détail de sa silhouette semblait conçu pour captiver et séduire, une œuvre d’art interdite.

Alors qu’elle se tenait immobile, fascinée et effrayée par sa propre apparence, un bruit la fit sursauter. Quelqu’un frappait à la porte de l’église. La panique s’empara d’elle. Elle n’était pas en tenue pour se montrer à quiconque, encore moins aux autres religieux. Mais son corps semblait figé, incapable de bouger. Une peur sourde montait en elle, mais quelque chose de plus profond la retenait au centre de ce halo lumineux. C’est alors qu’un objet apparut dans ses mains : un livre. La couverture portait une croix, comme une Bible. Mais lorsqu’elle l’ouvrit, son souffle se coupa.

Les textes sacrés avaient été remplacés par des phrases provocantes. Ses yeux, incapables de détourner leur regard, parcouraient les lignes. Les mots décrivaient des dialogues torrides, des scènes empreintes d’une chaleur qu’elle peinait à contenir. Les images évoquées dans ces textes interdits semblaient prendre vie dans son esprit, éveillant en elle des désirs qu’elle essayait de fuir. La lumière autour d’elle paraissait vibrer à mesure qu’elle lisait, et son souffle devint plus court.

Sœur Blum ne savait plus si elle devait lâcher le livre ou continuer à lire. Chaque ligne l’attirait un peu plus vers une frontière qu’elle avait juré de ne jamais franchir alors que la porte de l'église se mit à bouger.
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Hayao Tachibana

Créature

Re : Verset II.

Réponse 1 samedi 14 décembre 2024, 21:01:12

Les rêves étaient une chose amusante. Ou du moins, amusantes dans le sens où ils ne prenaient pas une apparence telle qu’on les concevait. Par exemple, est-ce que vous pouviez imaginer que le rêve,’était pas un monde en tant que tel ? il ne fallait pas voir cela comme un monde, et chaque rêve était immobile. C’était comme si vous étiez dans une bulle de réalité virtuelle ; avancer, bouger, ne faisait pas bouger ou avancer la personne, mais faisait bouger le monde autour. C’était une expérience dont personne n’avait pleinement conscience. Et pour cause : ils avaient l’impression de bouger, donc ils ne pouvaient pas savoir. Ainsi, quand je pénétrais dans cette « bulle » de rêve, je me contentais de faire partie du rêve. Encore une autre particularité. Techniquement, j’étais seulement objet du rêve dont la personne était sujette, mais j’étais plus proche d’une particule exotique. Un être qui ne respectait aucune loi.

L’entrée dans ce rêve, dans cette bulle, me propulsa dans ce qui semblait être une église. Mais avant de me faire être corporel dans ce rêve, je me drapais dans lui pour le visiter, pour le comprendre. Une femme en tenue de none pour le moins olé-olé se tenait. Dos à l’entrée. Une tenue… oui, non, soyons honnêtes : même dans un film pornographique c’eut été plus ressemblant ; là, c’était…. Les bandes de tissu ne dissimulaient même pas le strict minimum. Elles mettaient plutôt en exergue le minimum. Le livre qu’elle lisait, sur un pupitre, était un genre de bible et le contenu me fit volontiers rire. Est-ce que c’était le fantasme de jouer les nones, ou l’expression de la frustration d’une vraie nonne… les deux se valaient probablement.
Je sentais que j’allais m’amuser.

Je toquais à la porte de l’église, porte qui ne donnait sur rien, car rien n’existait hors de celle-ci. Elle ne bougeait pas, j’entrouvrais la lourde porte pour me rendre vers elle. Je ne cherchais pas à me dissimuler, ou à me transformer, je venais dans une tenue des plus classiques : la chemise, le jean, le blazer, les mocassins, le genre mec qui sortait du boulot, mais d’un boulot plus relax qu’un employé de bureau japonais moyen.

« Bonjour… »

Je ne mentionnais pas la tenue, le fait que son fessier soit entièrement dénudé révélait une croupe pour le moins alléchante, mais pas seulement ; en fait, il y avait autre chose : à cause de la tenue, le moindre geste de sa part la dénuderait bien davantage. Je m’approchais et me décidais à « jouer le jeu ».

« Ma sœur, je suis ravi de vous voir, j’espère que vous allez bien ? »

Je souris et je remontais la nef jusqu’à rejoindre l’endroit où elle était installée.

« Le père Tanaka devait me faire lecture et commentaire de votre Bible… je suppose qu’il vous a demandé de le faire pour lui ? »

Hors de question qu’elle ne lise pas les versets obscènes à haute voix…

Blum

Humain(e)

Re : Verset II.

Réponse 2 samedi 14 décembre 2024, 21:46:49

Sœur Blum respirait de plus en plus fort. Ses mains devenaient moites, tremblantes, tandis que son cœur battait si fort qu’elle avait l’impression qu’il allait exploser. Les pages de la Bible tournaient toutes seules sous ses doigts, révélant des propos de plus en plus obscènes, qui la faisaient rougir et haleter. Pire encore, certaines pages arboraient des dessins d’elle-même dans des positions explicitement lubriques, des scènes où son corps était offert et dénudé. Son esprit vacillait entre honte et fascination.

Lorsqu’elle entendit la porte de l’église s’ouvrir, ses yeux se levèrent brusquement. L’homme qui entrait avançait calmement vers elle. Sa tenue était banale, celle d’un citadin ordinaire, mais sa présence était étrangement imposante. Blum ne savait plus où poser son regard, incapable de bouger à cause de sa tenue qui dévoilait déjà bien trop. Elle sentait la lumière du halo accentuer encore davantage l'exposition de son corps.

- Je… je… vais bien… L’église va fermer dans quelques minutes, balbutia-t-elle, la voix tremblante.

Blum essayait désespérément de cacher son trouble, mais chaque mot qu’elle prononçait semblait vaciller sous le poids de son mensonge. Ses yeux descendaient vers la Bible, qui continuait à tourner ses pages d’elle-même. Les nouvelles images qu’elle dévoilait la montraient avec cet homme, engagé avec lui dans des actes intimes et de plus en plus explicites. Paniquée, elle referma le livre d’un coup sec, soufflant bruyamment. Ses joues étaient d’un rouge éclatant, et son souffle restait saccadé, comme si son propre corps la trahissait.

- Le père Tanaka… lire la Bible pour vous… murmura-t-elle, tentant de reprendre contenance.

Mais la Bible semblait dotée d’une volonté propre. Malgré ses efforts, elle se rouvrit dans ses mains, exposant une nouvelle page. Sur la gauche, une illustration troublante : Blum agenouillée entre les jambes de l’homme qui se tenait devant elle, tandis que la droite contenait les versets qu’elle était censée lire. Les mots la pétrifièrent, mais elle comprit qu’elle n’avait plus le choix.

- Je vais le faire rapidement… Prenez place sur un banc devant, dit-elle d’une voix éteinte.

Il n'y avait qu'un banc face à Blum. Elle était désormais exposée comme sous des projecteurs, la lumière naturelle semblant se concentrer sur elle. Tremblante, elle restait figée, incapable de fuir, comme si une force invisible la retenait captive. Elle se racla la gorge, essayant de masquer son trouble, et ouvrit la bouche pour lire.

- Verset 34 de la sainte Bible… Tu te mettras à genoux devant les hommes, tu les combleras de ta gracieuse bouche et de tes pies délicieux, récita-t-elle avec difficulté.

C’était exactement le verset illustré par l’image sur la page de gauche. Alors qu’elle reprenait son souffle, un gémissement résonna dans l’église. Ce son était familier et terrifiant : c’était le sien, mais dans des circonstances bien différentes.

- Verset 35 de la sainte Bible… pour combler tes désirs tu devras le mériter. Verset 36 de la sainte Bible… Dieu te voit quand tu te fais du bien avec les cierges de ta chambre, tu devras te faire pardonner pour ça.

Autour d’elle, les cierges s’allumaient les uns après les autres. La cire fondue coulait en gouttes épaisses le long des bâtons blancs, et Sœur Blum sentit des frissons lui parcourir tout le corps. Elle serrait ses cuisses, tentant de contrôler les sensations qui la submergeaient.

- Verset 37 de la sainte Bible… tu deviendras la bonne de…

Blum sentit la panique l’envahir. Dans un élan de lucidité, elle referma brutalement la Bible, interrompant la lecture. Mais son corps continuait à la trahir : ses gémissements résonnaient encore dans l’église, et elle sentait la tension de ses tétons devenus douloureusement durs sous les fines bandes de tissu. Des frissons l’agitaient tandis qu’elle levait les yeux vers l’homme, incapable de dissimuler le trouble qui la consumait.

- C’est… c’est terminé… dit-elle dans un souffle, la voix tremblante.

Mais la Bible dans ses mains semblait résister, prête à s’ouvrir à nouveau et à révéler tous ses secrets inavouables. Blum la tenait fermement, son souffle court, luttant contre ce livre maudit, contre son propre désir, et contre l’homme qui continuait à la regarder.
Maj signature : 18/12

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Hayao Tachibana

Créature

Re : Verset II.

Réponse 3 dimanche 15 décembre 2024, 09:52:15

Le rêve avait déjà cette saveur épicée sur les papilles. Je sentais ce côté sulfureux propre à faire plonger l’autrice de celui-ci dans des abysses d’une luxure plus noire que le péché. Mots appropriés vus les lieux, dans cette église qui apparaissait en toute grandeur. Non, vraiment, les lieux étaient superbes. Et d’autant eu lorsque l’on s’attardait sur les vitraux…
Je pariais qu’elle n’avait pas vu à quel point les pensées soi-disant impures pour la religion, avaient débordées, chaque vitrail était d’une obscénité consommée. On ne pouvait réellement distinguer les traits du visage de la jeune femme qui s’offrait d’une manière différente sur chaque tableau. Non, vraiment, je ne pouvais nier l’effort du détail présent malgré cela.

« Oui, je comprends, mais ne serait-il pas malvenu de mettre une ouaille à la porte ? »

Donc l’argument de la fermeture de l’église était bien vite écarté. Pour le reste, elle finit par céder et se tourna vers moi, faisant doucement voleter les rubans un court instant, révélant le reste de sa poitrine, un sein magnifique, bien rond, bien lourd. Le genre où on avait envie de planter une canine juste pour en apprécier la fermeté et lui faire pousser un joli gémissement.
La lumière suivait et sublimait son corps, comme si elle ne voulait pas cesser d’être le centre de toutes les attentions – même si j’étais la seule attention qu’elle avait présentement – elle voulait évidemment cette attention, tout en la craignant et ne la voulant pas. D’autant qu’elle avait clairement du mal à avouer le contenu du livre. Livre qu’elle avait refermé jusqu’à céder sur l’idée de me lire les versets de la bible. Les versets les plus obscènes qu’elle eut jamais à prononcer.
Je m’asseyais, presque sagement sur le banc, et je joignais les mains, en fervent priant attendant de recevoir la parole Sainte. Je la regardais se placer face à moi, et, tremblante comme une feuille, ouvrir le bouquin sacré pour m’en faire une lecture qui, je le savais, ne serait pas piquée des vers. Des versets, oserai-je même dire.

Je ne souris pas quand elle prononça le premier. Je ne lui offrais pas le fait que je me réjouissais de sa gêne, de sa maladresse, de sa potentielle gênée et sans doute d’autre chose qui prenait naissance au cœur de son bas ventre.
Chaque verset était pire que le précédent, et je la voyais même serrer les cuisses, sous ses hanches fuselées, dans un léger tortillement extrêmement prometteur. Oui, vraiment, elle avait des pensées qu’elle jugeait ne pas devoir avoir. Et ce rêve allait l’aider à y céder. Clairement ; je me faisais fort de la faire sombrer. Chaque verset était une maestria d’imagination, et quand je levais les yeux, chaque verset semblait être aussi illustré par un vitrail précis. Mais il en manquait ; et quand elle s’interrompit, alors je sus qu’elle avait trop de mal pour le moment pour en dire davantage. Il fallait juste y aller pas à pas.
Récapitulons ce qu’elle avait dit :
-Se mettre à genoux devant les hommes et les combler de sa bouche et de sa poitrine. Pardon, de ses pis. Le terme, quand on constatait l’avantage naturel qu’elle avait sur le sujet sur nombre d’autres femmes, était particulièrement bien choisi. De bon gros pis délicieux… il faudrait que je vérifie.
- Elle ne pouvait pas se laisser aller comme elle voulait, son plaisir était conditionné.
- Elle devait être châtiée pour avoir utilisé les cierges de façon créative
- Elle devait servir… et la suite je ne l’avais pas car son courage s’était effondré avant.

Oui, bon, d’accord, connaissant le contenu je n’avais pas vraiment besoin de récapituler de la sorte. Et je reconnaissais que je m’étais amusé à faire résonner dans l’église les lourds gémissements de plaisir, pour aggraver sa situation, d’une certaine manière. Oui, ça, c’était de mon fait.
Je décidais d’agir de manière un peu sournoise sur le sujet, et je me levais pour m’approcher de la nonne perverse et je venais poser mes mains sur les siennes.

« Merci ma sœur. C’était édifiant. D’autant plus qu’après la lecture vient le temps des explications et des mises en application, n’est-ce pas ? Et si certaines parties sont claires selon moi, d’autres sont un peu plus délicates…. Peut être pourriez-vous éclairer votre ouaille de votre compréhension des textes sacrés… »

Je lâchais les mains de la jeune femme et je levais les yeux vers les vitraux qui auraient pu être des photographies, comme si lire les versets lui avait fourni davantage d’imagination.

« Est-ce comme sur les vitraux ? »

Et parce que cela ne suffisait pas je rajoutais.

« Ma sœur, montrez-moi comment appliquer le premier verset que vous avez lu s’il vous plait…. Il est important de comprendre les Saintes Ecritures… et si j’en crois les échos de vos paroles au sein de cette église, vous êtes une envoyée de dieu pour montrer l’exemple et appliquer à la lettre chaque écriture, n’est-ce pas ? »

Et sans lui demander son avis, je venais écarter les bandes de tissu dissimulant ses mamelons déjà bien dressés.

« Vos pis sont-ils donc si délicieux ? »

Blum

Humain(e)

Re : Verset II.

Réponse 4 dimanche 15 décembre 2024, 13:20:22

Sœur Blum restait figée dans ce halo de lumière, son corps tout entier secoué par un mélange de gêne profonde et d’excitation qu’elle peinait à réprimer. Ses mains tremblaient sur le livre sacré qui, dans une lutte silencieuse, continuait de forcer pour s’ouvrir à de nouveaux versets provocants. Ses cuisses se frottaient presque imperceptiblement l’une contre l’autre, luttant contre une tension qu’elle ne pouvait nommer. Pourtant, l’homme, témoin de sa fragilité, semblait en avoir assez de la voir dans cet état.

Il se leva calmement, son assurance contrastant avec le désarroi de la jeune femme, et s’approcha pour pénétrer à son tour dans le halo lumineux. Lorsqu’il posa doucement ses mains fermes sur celles de Blum, elle sursauta légèrement malgré le fait qu’elle l’avait vu venir. Ses joues s’empourprèrent davantage, et son souffle s’accéléra encore. Elle fixa ses lèvres, espérant qu’en se concentrant sur ses mots, elle pourrait ignorer les élans qu’elle ressentait en elle.

- Les… les mises en applications…

Elle tentait de parler, mais sa voix était entrecoupée de soupirs involontaires, et ses phrases restaient inachevées.

- Les vitraux ?

En levant enfin les yeux, Blum découvrit une vision qu’elle n’avait pas encore remarquée. Les vitraux, qu’elle avait toujours connus comme des représentations sobres et pieuses, avaient changé. Elle se voyait, exposée, dans des postures si provocantes qu’elle détourna d’abord les yeux, puis les riva de nouveau sur les images, incapable de résister. Chaque scène semblait amplifiée par la lumière céleste, les mettant en valeur comme si elles faisaient partie intégrante de cette église. Et toutes ces représentations les regardaient, elle et l’homme, scrutant silencieusement chaque mouvement qu’ils faisaient comme pour deviner quelle scène allait se jouer dans cette pièce.

L’homme, visiblement amusé ne sembla pas hésiter, son choix était fait. Il savait exactement quel verset il voulait appliquer : le 34, celui qui l’incitait à se laisser combler par la bouche et les seins de Blum. Ses pis délicieux plus précisément.

- C’est ce qu’ils disent…

Blum murmura presque ces mots, son esprit alourdi par les souvenirs qu’ils éveillaient. Ce n’était pas la première fois qu’on faisait l’éloge de sa poitrine. Les hommes qu’elle avait connus auparavant avaient tous dit la même chose. Certains s’y accrochaient avec insistance, les malaxant sans retenue, savourant leur texture voluptueuse. Essayant de le traire de haut en bas. D’autres les embrassaient ou les mordillaient comme des tétines, simulant un allaitement sans fin, les rendant douloureusement sensibles au point d'y gonfler ses mamelons. Blum tenta de refouler ces pensées, mais les vitraux derrière elle semblaient la trahir. Les scènes qu’ils représentaient se mirent à bouger, révélant à l’homme toutes les images qu’elle avait gardées enfouies dans son esprit. Chaque geste, chaque étreinte qu’elle avait subie ou désirée était projeté devant eux, comme un spectacle offert à ce témoin impassible.

- Le verset 34… est à voir comme… comme une image… il ne faut pas… l’appliquer au sens propre…

Elle tenta de détourner la situation en mentant, mais le livre sacré semblait désapprouver. Il bougea de plus en plus violemment dans ses mains tremblantes, l’obligeant à mettre toute sa force pour le maintenir fermé. Puis, dans un élan soudain, le livre lui échappa, tombant entre eux et s’ouvrant directement à la page du verset en question. L’illustration semblait prendre vie : elle était représentée agenouillée, gobant son dard, devant un homme dont les traits ressemblaient étrangement à ceux de son interlocuteur. S'il le voulait il pouvait se saisir de l'ouvrage pour mieux y voir les détails et peut-être lire la fin du verser qu'elle avait entamé et d'autres lectures honteuses la concernant.

Une force invisible l’attira alors vers le sol, la poussant à genoux devant lui. Ses mains, jointes devant sa poitrine imposante, donnaient l’impression qu’elle priait sincèrement dans ce halo de lumière devant son dieu. Mais la pose qu’elle adoptait, involontairement ou non, accentuait la courbe de ses hanches et l’arrondi provocant de ses fesses dénudées, tournées vers l’arrière. Tremblante, tiraillée entre sa honte et une envie qu’elle n’osait nommer, Blum inclina doucement la tête vers l’avant. Ses lèvres, hésitantes, effleurèrent l’entrejambe de l’homme, toujours recouvert de son pantalon, déposant un baiser délicat.
« Modifié: dimanche 15 décembre 2024, 13:28:44 par Blum »
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Hayao Tachibana

Créature

Re : Verset II.

Réponse 5 dimanche 15 décembre 2024, 14:51:57

Elle était clairement gênée par la situation. Elle savait parfaitement ce qu’elle faisait, et elle ne pouvait pas dire qu’elle ne le faisait pas par choix. Soyons clairs : elle pouvait nier tant qu’elle voulait. C’était son rêve, le livre qu’elle avait rêvé. Et si je pouvais pousser le vice, je ne pouvais pas le créer de nulle part. donc elle ressentait et elle voulait ça. Forcément ; et moi je ne faisais qu’entrer dans son jeu. Un jeu dont je percevais les règles à peu près. Je connaissais ce genre de jeu si commun.
Et maintient qu’elle avait parlé, il était temps de passer au degré de jeu supérieur. Au niveau suivant. C’était une partie du rêve où je devais avoir une part active.
Elle remarqua enfin les vitraux, et je ne sus dire si elle en blêmissait ou en rougissait. Elle en soupirait ; des soupirs lourds et voluptueux. Elle en avait envie, n’est-ce pas ? De mettre en application, d’imiter les vitraux….
 Vitraux qui représentaient, aurai-je parié, tous les fantasmes qu’elle avait eus, personne par personne. Cela en faisait une jolie quantité. ? mais toujours était-elle, dans ces représentations, au cœur de l’attention, d’une manière provocante. D’une manière obscène pour la morale commune.
Je ne compris pas exactement ce qu’elle voulait dire, concernant ses seins. Ils disaient. Qui étaient ces « ils », je ne savais pas, et entre nous, dans l’immédiat je m’en fichais, même si je m’en fis une petite idée avec la danse des vitraux, les actes qui prenaient vie.
Il n’y avait aucun acte sage, mais la majeure partie des vitraux ne la montraient pas dans des actes trop rudes, ou trop violent. Méconnaissance de sa part, c’était à peu près sûr. Qu’à cela ne tienne…
Toujours était-il qu’elle avait un verset à expliquer, et ce faisant, elle tant d’esquiver, mais qu’avait-elle esquivé jusque-là ? Elle était désormais seins nus, face à moi, et je pariais que j’aurai pu empoigner sa poitrine à pleine main qu’elle n’aurait pas cherché à se débattre j’aurai pu lui donner l’impression qu’elle arrivait à s’en sortir. Avec une telle excuse, mais pour le reste, eh bien apparemment son propre rêve la poussait en avant : le livre s’échappa, révélant le texte, et la gravure à côté….

« Une image en effet… »

Je me moquais un peu d’elle, mais elle sembla prendre ça plus quez sérieusement parce qu’elle tombait à genoux devant moi, en prière, mais une position de prière dont, les seins exposés, les fesses mises en avant par une posture bien moins innocente qu’on aurait pu le croire, je la regardais, et je fis un signe de tête, ramassant le livre, alors qu’elle restait en position de prière. Je relisais les versets et je ri doucement. Le dernier verset était « amusant ». Plus que les autres. Elle n’avait pas voulu le finir et je comprenais pourquoi. J’avais un peu pitié d’elle, et je décidais d’en faire abstraction pour le moment.
Il y avait plus important ; elle était venue baiser mon entrejambe presque pieusement au travers du pantalon. Je venais doucement glisser mes doigts dans ses cheveux sombres, pour les écarter sur le côté.

« Ma sœur, avez-vous honte de suivre les saintes écritures ? »

Cheveux écartés, je me penchais un peu pour saisir son sein, frottant doucement le mamelon durci entre le pouce et l’index. Puis je lui donnais une petite tape, un peu joueur., pas de quoi faire mal.

« Respectez vos vœux de servir Dieu, ma sœur… »

Il suffisait de cela : j’ouvrais mon pantalon, pour laisser sortir mon sexe. Un sexe déjà durci, qui vint presque lui gifler le nez, tant nous étions proches.

« Ne vous privez pas de montrer votre dévotion la plus entière. Car le salut ne passe que par la dévotion. N’est-ce pas ? »

Je posais ma main sur l’autre sein et je les pelotais doucement, sans rudesse. Je les cajolais, aurait-on pu dire.

« Vous ne m’avez pas dit votre nom, d’ailleurs, quel est-il ? »

Blum

Humain(e)

Re : Verset II.

Réponse 6 dimanche 15 décembre 2024, 17:31:38

Madame Blum restait en position de prière, ses mains jointes, son regard fixé sur ce dard qui déformait le pantalon de l'homme. À travers le tissu, elle le voyait clairement, gonflé, prêt à jaillir, menaçant, presque vibrant de désir. Son visage, toujours rouge de honte, trahissait néanmoins un malaise profond, malgré ce que son corps semblait crier. Des tétines gonflées, dures, comme figées dans une attente silencieuse. Ses cuisses se frottaient contre le sol avec une insistance nouvelle, comme animées d'une urgence que même le silence ne pouvait contenir.

Je... je n'ai pas honte... je n'ai pas honte des saintes écritures… murmura-t-elle, la voix tremblante, mais affirmée, une lutte invisible dans ses mots, entre conviction et désir.

Mais elle avait honte, une honte qui la paralysait. Comme lorsque, plus tôt, elle avait fermé précipitamment le livre, incapable de lire les prochains versets. Son corps tout entier tremblait sous le poids de cette honte, elle ne sentait presque plus certaines parties d'elle-même, comme si elles s'étaient évaporées. Elle se surprit pourtant à lever les yeux, juste à temps pour voir l'homme penché au-dessus d'elle, ses mains s'attardant sur l'un de ses seins. Il le malaxait, amusé, jouant avec comme s'il n'y avait aucune frontière à franchir. À chaque pression, un petit gémissement résonnait dans le silence, et elle sursautait, haletant, un souffle entrecoupé, difficile à maîtriser.

Avec détermination, l'homme ouvrit le bouton de son pantalon d'une main agile pour dévoiler son sexe, dans le but de lui faire respecter les versets qu'elle avait prononcés. Libre, tel un ressort bien trop compresé surgit au visage de la nonne, la lubricité marquait son visage angélique d'une claque sur le nez et les lèvres. Une danse envoûtante était exécutée par le serpent à un œil devant le nez de la honteuse. Elle louchait en le fixant, hypnotisée par ce dard qui se mouvait sous la pression que le sang exerçait. Elle se raclait la gorge, elle était incapable d'avaler sa salive.

Je… je suis... sœur Blum...
 
Elle parla d'une voix à peine audible, tant sa gorge était compressée par le stress. La situation la dépassait : ses mains étaient moites, et chaque battement de son cœur résonnait dans sa poitrine comme un tambour affolé. Elle sentait une boule d'angoisse se former dans son ventre, une appréhension croissante face à ce qui allait suivre. Les pensées se bousculaient dans sa tête, mais aucune n'arrivait à se poser avec clarté. Elle avait l'impression que chaque mot prononcé pourrait la condamner davantage, mais pourtant, elle ne pouvait reculer.

Son visage de poupée était à quelques centimètres du sexe tendu, c'était sa bouche accueillante qui allait s'en occuper en premier car ses pis étaient déjà pris par les mains de l'homme. Ses tétines étaient raides et ses mamelons bien gonflés entre les doigts provocateurs de l'homme.  Elle ferma les yeux un moment, espérant échapper à cette pression. Mais chaque souffle semblait lui coûter plus cher que le précédent, chaque inspiration plus difficile. Elle se sentait à la fois fragile et perdue, avec ce poids étrange sur ses épaules, comme si le monde entier pesait sur elle. Et malgré tous ses efforts, rien n’apaisait ce tumulte.

Au pied du mur, ou plutôt de l'homme, elle se décida à ouvrir sa petite bouche, ses lèvres se décollaient pour faire entrer le gland brûlant de l'homme. Elle le déposa sur sa langue avant de refermer sa bouche autour, ses lèvres pinçant ce gros dard qu'elle faisait glisser plus profondément à l'aide de ses mains. Des petits doigts fins seraient la base de ce pilier s'appuyant sur ses bourses gonflées. Le gland vient buter contre sa joue plusieurs fois, la déformant pour créer une bosse sur le côté de son visage, avant de trouver le passage pour aller plus loin afin de pouvoir commencer des mouvements de pompe.

Elle leva les yeux, regardant l'homme pendant qu'elle avait son sexe dans la bouche, se sentant soudainement si petite, si fragile. Une vague de vulnérabilité la submergea, comme si elle était démunie face à la force tranquille qu'il dégageait. Chaque fibre de son être semblait vibrer, incapable de lutter contre la tension croissante qui pesait entre ses cuisses.
Maj signature : 18/12

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Hayao Tachibana

Créature

Re : Verset II.

Réponse 7 dimanche 15 décembre 2024, 18:19:13

Toute la situation était le fruit d’un magnifique paradoxe. Et ce paradoxe était simple : cette bible sexuelle était clairement un fantasme, son respect aussi, et en même temps, il y avait une forme de timidité chez elle, comme si elle ne pensait pas pouvoir – ou devoir ? – y céder… et en même temps, si elle était là, comme ça, elle devait bien vouloir. Et j’imaginais fort bien le débat intérieur, entre l’angelotte qui s’outrait et la succube qui se léchait les babines… et elle, à genoux face à moi, elle se laissait aller un peu, elle semblait prête à faire, disant qu’elle n’avait pas honte.

« Et pourtant…. Vous semblez avoir du mal à suivre les préceptes de votre Seigneur, est-ce que je me trompe ? »

Je lui souris, doux, alors que mes mains jouaient avec sa lourde poitrine, avec ses pis délicieux. J’aimais le regard qu’elle avait pour mon vit, le chibre sous ses yeux semblait occulter toute autre chose, même moi j’avais presque l’impression de ne plus exister. Même si elle gémissait quand je m’occupais de sa poitrine, elle me fit rire, sursautant au bruit, comme si elle se surprenait elle-même de gémir de la sorte ; moi, cela m’encourageait alors je redoublais d’attention, attendant qu’elle se décide à passer outre cette honte, ou cette gêne, pour prendre – enfin- en bouche.
Enfin, la lubrique angélique ouvrit la bouche, pour donner son nom, d’abord, avant de finalement accepter de saisir entre ses lèvres le gland, maintenant de ses doigts fins le sexe pour en faire son affaire ; elle avait les doigts moites et ce n’était pas la meilleure sensation du monde. Autant être honnête là-dessus – et froids aussi, mais elle allait se réchauffer, je n’en doutais pas.

« Blum ? Quel joli prénom. Merci Sœur Blum, de votre dévotion… »

Contrairement à celle de ses doigts, la moiteur de sa bouche était délicieuse. Je la laissais faire comme elle pensait devoir, déformant d’abord sa joue à plusieurs reprises, tenant toujours deux bons tiers hors de sa bouche. Enfin, elle dépassa la moitié pour commencer de lents vas et viens, pendant que je continuais à masser sa poitrine. J’y mettais cependant un peu plus de vigueur, quand elle commençait à aspirer mon sexe et aller et venir dessus.

« Hooo, c’est bon ma sœur…. Vous sucez bien… »

Mais ça, elle le savait. En avait-elle l’habitude ? Ce serait surprenant et en même temps pas du tout…
Je laissais tranquilles ses pis, je la laissais juste
Je venais cependant doucement lâcher un sein pour saisir une de ses mains, avec douceur, et la décaler, lui empoignant les cheveux, mais je ne la forçais pas à prendre en entier. Elle savait apparemment faire, mais je doutais de sa capacité à endurer un chibre jusqu’au fond de la gorge. Chaque chose en son temps. D’ailleurs, j’exerçais une légère traction, pour en douceur, la faire cesser, laissant ses lèvres pulpeuses reliées par un filet de salive à mon sexe que je venais doucement glisser le long de son nez, mes bourses contre son menton, un instant. Comme pour lui offrir toute la mesure de ce qu’elle prenait en bouche.

« Alors, sœur Blum, que pensez-vous de cela ? Etes vous défaites de votre gêne ? »

Je cessais pour lui tapoter la joue avec, nonchalamment, dans ce qui était une biflais assez douce, en lui demandant.

« Etes-vous une pratiquante assidue ? En tout cas il est vrai, la bouche est gracieuse et les pis son délicieux. Et « pis » vous va mieux que « seins » ou « poitrine », n’est-ce pas ? Dans ce cas, gueule vaut peut-être mieux que bouche… »

Le ton était clairement celui de la réflexion. Je l’avais lâchée pour qu’elle fasse à son aise, mais je doutais de la laisser reprendre sereinement sa fellation sans avoir eu de réponse sur le sujet.

« Vous êtes si belle, si angélique…. J’imagine votre visage d’ange, oint par la sainte semence... »

Blum

Humain(e)

Re : Verset II.

Réponse 8 dimanche 15 décembre 2024, 20:34:44

Qu'elle était bien appliquée à faire coulisser ce sexe chaud dans la moiteur agréable de sa bouche. De le serrer entre ses lèvres fines et pourtant si douces. Elle lustrait avec minutie ce sexe qui était trop long pour le faire entrer entièrement dans sa bouche, allant chercher à peine plus loin que les trois quarts de sa langue. L'homme se mit à donner le rythme en y mettant plus de vigueur s'enfonçant dans la bouche de l'angélique.

À genoux toujours ce pieux enfoncé dans sa bouche à lui en faire gonfler une nouvelle fois les joues, Blum levait timidement les yeux vers l’homme, un flot de pensées et d’émotions contradictoires l’assaillant. Est-ce qu’elle le désirait ? Ce sentiment naissant et troublant la terrifiait autant qu’il l’attirait. Est-ce qu’elle avait honte ? Une chaleur cuisante au creux de son bas-ventre semblait répondre à sa place, trahissant une part d’elle qu’elle n’osait affronter. Ses yeux, brillants d’une confusion palpable, cherchaient désespérément des réponses dans le regard de l’homme. Y trouverait-elle une condamnation, une compréhension, ou quelque chose d’encore plus effrayant ? La nonne, symbole de pureté et de dévouement, vacillait sous le poids d’une dualité trop présente même dans ses rêves. Elle ne savait plus si elle cherchait à fuir ou à se laisser happer totalement dans le vices.

Elle allait avoir une idée, quand l'homme tira sa tête en arrière pour lui faire lâcher son sexe. Blum eu un pincement au cœur affiché par un regard interrogateur avec une pointe de tristesse qui ne dura que quelques secondes car elle ferma les yeux quand le sexe de l'homme rebondit sur son visage et glissa contre son nez, ses bourses remplies se posant contre son menton. Elle pouvait mieux imaginer la longueur de ce dard qu'elle avait eu dans la bouche avec en preuve sa salive qui coulait dessus et sur son visage maintenant.

- Je n'ai pas honte… de respecter les saintes… écritures…

Elle répétait, presque en un murmure, les mots qu’elle avait déjà prononcés : qu’elle n’avait pas honte. Mais son visage, incandescent de rougeur, semblait la contredire. Chaque syllabe tremblait dans sa voix, fragile, exposant une émotion qu’elle peinait à contenir. Malgré ses paroles, son corps la trahissait encore. Ses gestes étaient mesurés, presque figés, comme si chaque mouvement risquait de la briser davantage. Elle avait reposé ses mains sur ses cuisses dénudées avec l'attention de ne pas enlever ce morceau de ruban qui cachait sa fleur intime. Celle qui pourrait totalement la trahir, si sa bouche et ses mains étaient moites, cette fleur l'était encore plus. Vibrant entre ses cuisses, son humidité maculait sa peau douce sous ce ruban. 

- Je ne fais que… respecter le verset…

Blum avait en tête bien des réponses à cette question, ou plutôt des images qu'elle n'osait pas avouer. Et elle n'était pas certaine de pouvoir articuler une réponse sans trahir ses pensées. C’est pourquoi elle choisit de se contenter d’une simple phrase, espérant éviter une réflexion trop profonde. Derrière elle, les vitraux de l’église se mirent à s'emballer encore, la dévoilant en servante du verset 34 est-ce qu'elle était assidue là était la question.

- Je dois finir…


L'homme n'allait pas la laisser faire voyant dans son jeu et dans les vitraux. Il voulait une réponse plus détaillée du petit ange, elle allait devoir se lancer.

- Je pratique… il m'arrive de pratiquer le verset 34… avec des hommes… quelques fois…

Elle avait honte de l'annoncer et pourtant c'était avouer qu'elle ne respectait pas les saintes écritures avec une bien grande attention. La balance ne penchait pas de son côté dans les deux cas.

- Je n'ai jamais… la sainte… semence… sur mon visage…


Elle continuait dans les aveux regardant à droite à gauche sans jamais rencontrer les yeux de l'homme, cette fois de peur de sentir le jugement. Où la colère de ne pas respecter comme il faut le verset 34.

- Ni… dans ma bouche… gueule… je n'ai pas accompli comme il se doit… mon devoir…

Dans ses ébats, les hommes ne s'étaient jamais finis dans sa bouche ni sur son visage, préférant aller ailleurs car le temps était compté. Les coups de Blum étaient souvent rapides, les préliminaires n'étaient pas très longs et soulever sa robe pour y découvrir sa fleur était rapide.

- Pardonnez-moi…


Elle avait peur du jugement de ce seul homme, qui la voit comme une bonne à rien. Qu'il décide de partir, qu'elle ne méritait pas d'être une bonne assistante du tout puissant.
« Modifié: dimanche 15 décembre 2024, 21:31:15 par Blum »
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Hayao Tachibana

Créature

Re : Verset II.

Réponse 9 dimanche 15 décembre 2024, 21:32:23

Sa bouche était délicieuse et la quitter avait été un vrai déchirement, d’une certaine manière. Je lui fis un air encourageant, comme pour lui dire que je ne souhaitais pas la blâmer d’un manque d’effort ou de qualité ; que tout allait bien.
Ses excuses, par contre, elles n’allaient pas forcément.
Je regardais la jeune femme avant de finalement lui faire un sourire en coin, amusé. Elle ressentait la taille de ce qu’elle prenait en bouche, quand c’était posé le long de l’arête de son nez ? je pariais qu’elle pouvait se sentir fière de faire ressentir ça à un homme. Beaucoup refusaient de le reconnaitre. Elle, par contre, je pariais qu’elle n’y voyait aucun inconvénient au fond d’elle-même, une fois que sa fausse gêne se serait dissipée. D’autant qu’elle clamait qu’elle n’avait pas honte de respecter les écrits sacrés.
Elle le répétait comme un mantra.

« Bien. Mais c’est faux…. Il faudrait que tu dises que tu n’as pas honte de sucer une queue. Dis-le, sœur Blum. »

Le tutoiement brisait une distance que j’avais gardé jusqu’ici. / je lui fis un sourire avant de finalement le répéter doucement.

« C’est ça la vérité, tu n’as aucune honte de sucer une queue ; et je parie même que ça t’excite. Admets-le. Sinon, ce serait facile de me contredire n’est-ce pas ? Il suffirait de montrer ce qui se cache sous le ruban, entre tes jambes… »

Elle chercha à passer outre mes questions, mais je la repoussais d’un geste léger mais ferme, de sorte à ce qu’elle soit forcée de répondre pour pouvoir continuer sa sainte mission. Alors, de mauvaise grâce, elle me répondit. Et je me contentais d’opiner du chef. Aucun reproche, aucun jugement ; je me contentais de savoir ce qu’il en était vraiment.

« Je vois… »

Je venais caresser ses cheveux, doucement, comme à une enfant, peut-être, tout en ne l’empêchant pas de reprendre en bouche. Je l’aidais même en posant mon gland contre l’ourlet de ses lèvres.

« Laisse tes mains sur tes cuisses, elles y sont très bien, d’accord ? Utilise uniquement ta gueule. Ou tes pis si tu veux varier un peu. »

Je ne commentais pas son instruction passée, pas avant qu’elle ait à nouveau mon sexe entré entre ses lèvres à la moitié. Alors, je venais poser ma main derrière sa tête et j’appuyais, la forçant à s’étouffer, à prendre en entier ma verge ; je sentais sa luette être agressée par mon gland et je la regardais suffoquer un peu, les yeux rougir, larmoyer. Je la retenais et je lui susurrais alors.

« Tu as mal agi. Et parie que tu espérais éviter le châtiment si personne ne le savait n’est-ce pas ? Alors tu vas devoir expier. Je te ferai expier. Et je te promets que cette expiation te libèrera. Expie et tu seras récompensée. Je t’apprendrai, et je te remettrai dans le droit chemin. Je te ferai gouter la semence avant de t’en oindre. Mais j’attends de toi une dévotion complète. Est-ce que nous sommes d’accord ? »

Je la relâchais.

« Si tu acceptes ton expiation et ta rééducation, fais seule ce que je viens de te faire faire. »

Blum

Humain(e)

Re : Verset II.

Réponse 10 dimanche 15 décembre 2024, 23:30:05

Lorsqu’il évoqua l’idée de regarder sous le ruban, un frisson de panique traversa tout son corps. Instinctivement, elle posa ses mains sur le tissu, comme pour s’assurer qu’il restait fermement en place. Une vague de sueurs froides perla sur sa nuque, ses pensées tourbillonnant dans une peur silencieuse. Tant qu’il ne voyait rien, tout irait bien, se disait-elle, presque comme un mantra. Elle serra les lèvres, s’interdisant le moindre mot, de peur d’attiser une réaction qu’elle redoutait. Chaque fibre de son être semblait tendue, comme si le simple fait de parler pouvait briser une fragile trêve.

Après avoir tout avoué, elle se retrouva suspendue à un fil d’angoisse. Les scénarios tournaient en boucle dans son esprit : allait-il l’abandonner sur place ? La réprimander sévèrement ? La condamner pour ses erreurs, lui déclarant qu’elle n’était pas digne de sa vocation ? Une peur viscérale s’installait, comprimant sa poitrine, et son regard semblait fuir, oscillant nerveusement de gauche à droite. Le stress la saisissait, la tirant dans un tourbillon d’incertitudes où chaque instant paraissait une éternité.

La sentence, pourtant, ne fut pas celle qu’elle avait redoutée. À sa grande surprise, sa main se posa doucement sur sa tête, caressant ses cheveux d’un geste presque apaisant. La douceur inattendue dans cette action fit naître un mélange de soulagement et de confusion en elle. Ce contact, loin d’être brusque, portait une certaine chaleur qui semblait dissiper peu à peu la tension. Le geste, simple mais empli d’une sincérité palpable, réussit à calmer le tumulte de ses pensées, ne laissant qu’un instant de paix furtive. Il approchait aussi son dard de sa bouche, il lui offrait une rédemption, un moyen de se racheter en utilisant uniquement sa gueule ou ses pis.

- Merci Monsieur…


Elle le remercia d'un murmure pour ce geste empreint de rédemption. Ses épaules s’affaissèrent légèrement, comme si un poids venait de glisser de son âme. Baissant la tête avec humilité, elle joignit ses mains, les levant doucement dans une posture de prière. Ses doigts tremblaient encore sous l’émotion, mais son geste, empreint de sincérité, exprimait toute sa gratitude. Dans ce moment de recueillement, son visage, à demi-voilé par une lumière tamisée par l'ombre de l'homme.

Il était temps d'appliquer comme il le fallait le verset 34 à présent. Reposant ses mains sur ses cuisses blanches, Blum ouvrit la bouche pour y faire entrer une nouvelle fois le gland brûlant. Innocente et loin de se douter des pensées qui l’animaient, elle s’était abandonnée à une confiance aveugle, sans soupçonner le piège qui se refermait sur elle. Lorsque la réalité s’imposa, une vague de panique la submergea. Ce sexe qui avait transpercé sa bouche pour se loger dans la base de sa gorge l’a fit paniquer. Ses mains s’agitaient nerveusement de chaque côté, cherchant à maintenir une distance sans paraître brusque. Son regard, voilé par des larmes naissantes, trahissait son désarroi. Ses yeux, rougis par l’émotion, vacillaient entre supplication et incompréhension, ajoutant à son visage une fragilité désarmante. Du peu qu'on pouvait voir, car elle était écrasée contre le pubis et les bourses pleines de l'homme. Dans l’agitation, le précieux ruban, emporté par le tumulte des mouvements, se déroba de sa place. Il glissa doucement le long de sa cuisse, révélant une vision fragile et également provocante, semblable à une fleur perlée de rosée au petit matin. Sa fente était couverte de perles humides, comme ses cuisses écartées quand il décida de la relâcher pour reprendre son souffle.

Elle n’avait pas eu le temps de reprendre son souffle lorsque le piège s’était refermé, étouffant sa sérénité et nourrissant un sentiment d’oppression grandissant. Chaque instant passé dans cette tension la privait un peu plus d’oxygène, amplifiant sa peur. Lorsqu’elle fut enfin libérée, elle inspira à grandes goulées, ses épaules se soulevant au rythme de ses hoquets, comme si elle redécouvrait l’air. Elle recula légèrement, la tête basculée en arrière, laissant l’air frais caresser son visage, apaisant son cœur affolé.

- Nous… nous sommes d'accord… je ne voulais rien vous cacher… je m'excuse…

Elle saisit cet instant d'accalmie pour tenter de reprendre son souffle, laissant l’air apaiser la brûlure de sa gorge. Elle comprenait désormais la portée de cette épreuve : elle devait prouver sa dévotion, pleinement et sans détour sous peine de recevoir une nouvelle punition. Les battements précipités de son cœur accompagnaient sa détermination croissante, elle devait y aller…

Sans les mains et sans attendre plus longtemps, elle ouvrit la bouche pour enfourner le dard de l'homme dedans. Elle tremblait, elle avait peur de ne pas réussir et elle avait raison de s'en faire… Sans la pression de l'homme à l'arrière de sa tête, il était plus dur pour Blum de l'avaler entièrement. La luette ne voulait pas passer, poussant des gargouillis à chaque fois que le gland arrivait à ce stade, et elle reculait en tremblant. Elle leva les mains pour essayer de s'aider, en se rappelant qu'elle devait les laisser sur ses cuisses. Après plusieurs essais, les yeux larmoyants après ces nombreuses tentatives, elle reprit son souffle

- Pardon… je vais y arriver… j'accepte mon expiation… laissez-moi plus de temps…


C'était des échecs sur échecs, les tentatives s'enchaînaient, Blum paniquait de plus en plus, ce qui ne l'aidait pas dans sa tâche. Elle bavait sur son dard pour espérer mieux le faire coulisser. Elle utilisait sa langue pour le pousser en arrière. Elle aspirait pour gagner des centimètres. Elle essayait d'y aller d'un coup, mais se retrouvant quand même bloquée à la glotte. Reculant bruyamment à chaque fois. Sur les genoux, elle se dandinait, pointait son postérieur vers l'arrière, le ruban revint à sa place, se collant dans sa rosée, laissant une trace foncée sur le tissu et moulant sa fleur. Elle espérait une chose : que l'homme lui laisse encore du temps.
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Hayao Tachibana

Créature

Re : Verset II.

Réponse 11 lundi 16 décembre 2024, 08:36:24

La nonne semblait prête à faire ce qu’elle devait. Faire son devoir sacré, même. Après, était-elle à la hauteur ? Jusque-là, la réponse était en demi-teinte. Elle n’agissait pas par dévotion, mais sans doute davantage par peur du gendarme. Pas peur de la punition divine. Sinon, elle ne se serait pas fourvoyée de la sorte vis-à-vis des écritures de cette bible des obscénités, n’est-ce pas ? Enfin, c’était un rêve, et elle choisissait aussi son contenu, en partie, et très inconsciemment. Bien sûr.
Enfin bref. Là, elle avait avoué et maintenant, il fallait qu’elle accepte l’expiation. Et je reconnaissais que j’avais une petite idée, là, comme ça, qui germait.

Ma position ne permettait pas e voir sa petite fente que je pariais glabre, quand le tissu fut écarté. C’était bien dommage. Mais non, je la laissai se remettre en place, de toute façon j’observerai ça après, n’est-ce pas ? Je restais silencieux un moment avant de finalement lui faire cette démonstration de rudesse, la laissant suffoquer et m’écouter.
Au moins ne vomit-elle pas quand enfonce elle eut de l’air. C’était le risque de cette pratique : le réflexe nauséeux. Je me demandais jusqu’où je pourrais la pousser…. Elle semblait ne même pas chercher à m’en vouloir pour la position délicate où elle avait été, à manquer d’air. Elle ne s’était pas débattue. Je ne dirais pas que c’était par passivité, mais quand même…

« Ce n’est pas à moi que tu caches ça, c’est aux yeux du seigneur. Ce qui est bien plus grave… »

En tout cas, elle avait présenté ses excuses et maintenant, elle devait faire preuve de sa volonté d’expiation. Et ça allait avec un acte qui était tout sauf un comportement intuitif. S’étouffer sciemment n’était pas une chose évidente, surtout quand on considérait son manque d’expérience. Non, vraiment, rien n’était simple avec ça, et je ne pouvais que constater qu’elle essayait sans arriver à quoique ce soit. Et je savais très bien que tout se passe bien. Elle prenait en bouche, elle enfonçait, et elle bloquait toujours avant, comme si le cap de sa gorge était difficile à passer. Je comprenais et je me montrais patient. très patient. même quand elle demandait plus de temps, je ne me formalisais pas, pourtant, quand le nombre d’échec fut trop grand je lui fis un signe de tête négatif.

« Non, tu n’y arriveras pas comme ça. mais je prends ta persévérance et ton engagement comme un signe de bonne volonté. mais nous nous sommes mal compris. Il ne s’agit pas de ton expiation. Seulement de montrer ta volonté de subir l’expiation… »

Je m’écartais un peu d’elle et je lui faisais signe de la main de se lever.

« Debout. Il est temps de te montrer que tu expie par là où tu pèches. Je voudrais que tu ailles me chercher tes cierges favoris. »

Oui, j’avais une idée. Ou plutôt, l’avais une image en tête, d’une obscénité crasse, et qui, j’espérais, lui resterai en tête longtemps…

« Et comme toute une bonne expiation, il va falloir que tu sois entièrement nue pour cela, alors retire tes rubans. »

Je pouvais difficilement appeler cela une tenue. N’est-ce pas ?

Blum

Humain(e)

Re : Verset II.

Réponse 12 mardi 17 décembre 2024, 01:23:57

Blum, se trouvait pour la première fois accablée par ses propres limites. Chaque effort sincère qu’elle fournissait semblait s’évanouir dans l’échec, comme une prière qui n’atteint pas les cieux. Son regard s’embrumait de larmes non versées, tandis que ses doigts tremblaient, trahissant une angoisse profonde. Son corps faiblissait sous le poids de la culpabilité et du doute. Elle se répétait mentalement qu’elle devait faire mieux, qu’elle devait prouver sa valeur, mais rien n’y faisait. Cette impuissance la consumait.

L’homme, quant à lui, restait d’un calme presque déroutant. Sa patience semblait infinie, bien qu’il fût impossible de deviner jusqu’à quand cela durerait. D’une voix posée mais autoritaire, il brisa le silence, lui demandant de cesser ses efforts et de se relever. Il ne l’accablait pas de reproches, mais le poids de ses mots n’en était pas moins lourd. Blum, ébranlée par cette demande, s’exécuta lentement, sa silhouette désarmée se redressant malgré sa honte. Ses joues étaient rouges, son souffle saccadé, et ses yeux rougis fixaient obstinément le sol.

Lorsqu’il évoqua une deuxième étape, Blum sentit son cœur se serrer. C’était pour elle une nouvelle chance de prouver sa dévotion, mais elle savait aussi qu’elle n’aurait pas droit à l’erreur cette fois-ci. Elle baissa légèrement la tête, ses mains jointes se serrant avec force, presque instinctivement. Chaque mot de l’homme résonnait en elle, amplifiant le poids de sa responsabilité. Son souffle court, elle avala difficilement sa salive, comme si un nœud invisible comprimait sa gorge. Elle n’osa pas parler, de peur que sa voix tremblante ne trahisse l’intensité de son appréhension.

Alors qu’elle rassemblait ses forces en tournant le dos à l'homme, le décor autour d’elle commença à changer. L’entrée de l’église, avec ses murs imposants et ses vitraux colorés, s’effaça peu à peu, comme balayée par une brise mystique. À la place se dessina une chambre sobre et apaisante. Les murs beiges crème respiraient la simplicité, tandis que le mobilier en bois massif conférait à la pièce une certaine chaleur. Au centre de la pièce, un lit aux draps immaculés était surplombé d’une croix en bois sombre, veillant sur l’espace comme un rappel constant de foi et de piété. Une armoire imposante, une commode discrète, et un miroir de deux mètres déposé juste en face de son lit complétaient cette pièce ordonnée, dépourvue d’extravagance.

Sur la table de nuit, une collection de cierges attirait immédiatement le regard. Ces objets d’une grande simplicité racontaient pourtant bien des histoires pour Blum. Certains, longs et effilés, semblaient à peine entamés, tandis que d’autres, plus courts et usés, portaient encore les marques de la cire fondue. Chaque cierge était unique : ici une fleur séchée en ornement, là une croix délicatement gravée dans la cire. Si les longueurs variaient il était de même pour les épaisseurs des cierges.

- Ceux-ci… Blum murmura, à peine audible

Elle laissa sa phrase en suspens, ne sachant pas si ses mots étaient nécessaires. Pendant ce moment suspendu, Blum se tourna lentement, un vent frais fit voler ses rubans dans les airs, disparaissant petit à petit jusqu'à se retrouver en habit d'Eve. Sa silhouette semblait irréprochablement dessinée, chaque courbe et chaque ligne s’harmonisant avec une grâce naturelle. Sa peau, d’une clarté presque lumineuse, reflétait les rayons doux qui traversaient la pièce. Elle se tenait droite, mais un léger tremblement trahissait encore sa vulnérabilité. Ses pis d'une rondeur parfaite la sublimait, ses mamelons gonflés trahissaient son excitation et ses pointes étaient dressées vers l'homme comme une provocation. Sa fleur était encore couverte d'une rosée abondante illuminant sa fente et ses cuisses du vice qui rongeait son bas-ventre. Blum se voyait dans le miroir derrière l'homme, comme quand elle utilisait ses cierges. Elle pouvait se contempler.
Maj signature : 18/12

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Hayao Tachibana

Créature

Re : Verset II.

Réponse 13 mardi 17 décembre 2024, 08:43:59

Je savais qu’elle était en bonne position pour que je puisse en profiter un peu. Mais au fond, c’était parce qu’elle le voulait bien. A aucun moment elle n’avait refusé, à aucun moment elle n’avait semblé sur le point de me jeter. Honteuse, oui, gênée, évidemment, mais au final, elle s’amusait bien, quoiqu’elle montre, parias-je. Ou au moins éprouvait-elle de belles sensations. Et je pariais que si je pouvais admirer son sexe, il serait, au moins, luisant. J’en étais sur.
Toujours était-il que devant ses échecs à répétition, j’étais passé outre. J’avais pris la décision de faire autrement. Passer à l’expiation en mettant ses échecs non sur du manque volonté, mais sur du manque de compétence. La différence était énorme. Et je lui avais donné deux consignes assez simples pour aller dans ce sens. :  il fallait qu’elle dégage les rubans pour ne pas me gâcher la vue, d’une part, et qu’elle aille chercher les cierges qui lui servaient de jouet. Je m’attendais à presque la voir filer dans un coin et prendre des cierges dans la réserve. Mais non, le décor se troubla et nous nous retrouvâmes dans sa cellule. C’était pour le moins sommaire. Un lit, une table, une chaise, un miroir. Pas grand-chose, mais c’était dans la norme des nonnes que de vivre dans le dénuement, non ? Mais le tout restait chaleureux.

Elle me tournait le do et j’avais une vue imprenable sur la rondeur de son fessier délicat. Il était laiteux, comme le reste de sa peau, de ce que j’avais vu, rebondi, certes, mais sans excès, et il était un appel à y déposer une claque sonore. J’avais la main qui me démangeait, et pas qu’un peu. Mais je gardais cela pour plus tard, il y avait autre chose à gérer tout de suite : les cierges. Et l’idée que j’avais en tête. Parce que oui, je ne comptais pas juste utiliser les cierges, j’avais une idée un peu plus poussée sur le sujet. Sans doute assez originale. Mais dans ma tête, le résultat était beau. Particulièrement graphique. Particulièrement obscène aussi, certes, mais surtout très graphique. Et ça aurait fait le bonheur d’un photographe ou même d’un dessinateur pour adulte…

Sur la table, je voyais plusieurs cierges alignés. Les longueurs les épaisseurs et l’usure, variaient, mais tous étaient là, sur une ligne bien nette, prêts à l’emploi.  Ils avaient de petits ornements que je supposais faits à la moulure et non faits à la main, mais le souci du détail dans ses rêves montrait comme elle les connaissait.
J’entendis à pine ses mot, mais je comprenais l’intention derrière. Elle me les désignait en somme, même si c’était évident.

« Merci. »

Et comme pour obéir jusqu’au bout, les rubans se mirent à voleter pour disparaitre peu à peu, jusqu’à ce qu’elle reste entièrement nue, révélant des zones que certains n’auraient même pas regardé aux vues de ses appâts. Son sein lourd presque trop généreux, qu’une seule n’aurait su contenir, son fessier sans excès – qui aimait les gros culs, je ne comprenais pas – ses cuisses fuselées dans la ligne des hanches. Non, vraiment une conformation physique particulièrement avantageuse. Et elle restait droite, digne dans sa nudité, sans se cacher, belle, mise en valeur par une lumière sans source distincte. Non, vraiment, sublime. Je restais dans son dos un moment, et je regardais son corps dans le miroir, devinant plus que ne voyant, l’excitation de son sexe. Je m’approchais alors d’elle, glissant une main sur son sein, pour le pétrir fermement, mais sans chercher la douleur, pour le moment. Mon autre main se glissa sur son ventre, descendit à son pubis, jusqu’à caresser les petites lèvres gonflées.

« Tu coule de bonheur de servir Dieu comme tu le dois, je me trompe ? »

Je ramenais les doigts qui l’avaient -trop – brièvement masturbée pour montrer le fait qu’elle était belle et bien trempée.

« Alors, voyons voir ses cierges. »

Je les regardais en continuant à lui peloter le sein, et retournant la caresser doucement, sans chercher à la faire jour ou autre. Si l’excitation montait trop, je donnerais une pette claque sur son sexe. Juste pour la calmer.

« Hum…. Celui-ci me semble pas mal. »

Je cessais pour saisir une des bougies, de taille moyenne, elle n’était pas très épaisse – il fallait être un gros con ou un puceau pour vouloir jouer à faire rentrer une flute de pain dans une tasse à café – mais les nombreuses coulures de cire montraient qu’elle avait été beaucoup utilisée. Parfait. Ce serait idéal par rapport à mes idées… j’en prenais deux autres, pour un autre usage, et je laissais tomber l’idée d’utiliser les autres. Une fois celles-ci posées à plat sur la table, je regardais l’espace présent, et j’avais une petite idée. le lit serait parfait. Il changerait pour coller à mes idées, mais ça irait bien.

« Il va falloir te mettre en position pour expier. Je sais qu’elle ne sera pas facile, mais je te fais confiance pour montrer que tu peux être satisfaisante au moins sur un point. »

J’entrais dans des explications plus précises :

« Tu vas  te mettre sur le dos tête, dans le vide, sur le lit, et remonter ton bassin le long du mur aussi haut eu tu puisses, en gardant les cuisses bien écartées. Je veux voir ton con lustré de mouille bin exposé d’accord ? »

Cela lui demanderait un peu de mal, mais il y avait plusieurs objectifs avec cette pose. Je n’y tenais plus et je donnais une petite claque sur son cul parfait.

« Exécution. Tu peux t’aider de tes mains, et si tu as trop de mal, je t’aiderai à te mettre en position. »

Blum

Humain(e)

Re : Verset II.

Réponse 14 mercredi 18 décembre 2024, 22:23:16

Blum se tenait droite devant le grand miroir, ses bras balant le long de son corps offerte à la vue de l'homme qui était derrière elle. Dressé, imposant et silencieux, une présence qui emplissait toute la pièce. Elle n’osait pas lever les yeux pour croiser son regard, même à travers le reflet. La lumière tamisée de la pièce faisait luire légèrement la surface du miroir, reflétant chaque mouvement subtil, chaque respiration accélérée. Blum respirait si profondément que sa poitrine nue se soulevait et s’abaissait de manière presque hypnotique, trahissant son état d’esprit tumultueux.

Le silence était si dense qu’il semblait presque palpable, interrompu uniquement par le souffle irrégulier de Blum. Pour elle ce moment, semblait durer une éternité. Puis vint ce contact. La main de l’homme, large et ferme, se saisit de sa mamelle. Un frisson bouillant lui parcourut l’échine, et elle sentit ses genoux vaciller un instant. Elle ferma les yeux un bref moment, comme pour reprendre le contrôle, mais la chaleur de cette main si ferme, faisait naître une tempête intérieure qu’elle peinait à contenir. Dans le miroir, leurs reflets semblaient figés dans une étrange danse immobile. L’homme, grand et solide, se tenait à derrière elle mais légèrement de côté pour laisser son dard encore visible à côté d'elle, son regard fixé sur elle avec une intensité presque magnétique. Blum, elle, évitait toujours de croiser son regard, ses propres yeux fuyant, fixant un point invisible quelque part sur le sol ou sur le verre. Pourtant, ses lèvres, légèrement entrouvertes, trahissaient une émotion qu’elle ne pouvait pas dissimuler.

L'autre main de l'homme glissa sur son ventre pour arriver à sa fleur, pour y caresser ses pétales. Ses doigts habiles dansaient avec ses lèvres intimes, y découvrant sa chaleur. Elle joint ses lèvres entre elles pour ne rien laisser paraître, pour ne pas laisser échapper le moindre bruit, alors que son corps se mit à se raidir, à s'étendre vers le haut pour tenter de se contrôler. À la question posée, Blum ne parvint pas à répondre, ses lèvres toujours scellées par l'émotion qui montait en flèche. Incapable de formuler le moindre mot, elle hocha lentement la tête, un geste simple mais lourd de sens, qui traduisait son approbation mensongère dans un temps et dans l'autre l'incapacité à contrôler le brasier qui brûlait en elle comme il se devait.

Blum retrouva un semblant de calme lorsque la main de l’homme se retira de sa fleur ardente, rompant le contact qui avait tendu chaque fibre de son être. Son corps se relâcha légèrement, ses épaules s’affaissant tandis que ses lèvres s’entrouvraient instinctivement, cherchant à capter l’air qui lui avait manqué. Ses yeux, humides et brillants, reflétaient l’intensité de cette chaleur qui irradiait en elle. L'homme s'amusa à lui montrer ses doigts couverts de sa rosée brûlante, les écartant, un léger filet se forma entre eux avant de se rompre. Comme Blum qui perdait peu à peu pied dans son rêve.

Les deux se retournèrent pour regarder la collection de cierges de Blum. La main ferme de l'homme continuait à lui malaxer son pis, le pétrissant comme une bonne miche de pain, laissant sa peau rougir. Son mamelon gonflé encore un peu plus et son téton, des plus sensibles, presque douloureux, qu'on ne s'occupe pas de lui étaient parfois malmenés. Son autre main reprit aussi sa place sur la fleur de Blum, cette fois elle serra les poings et poussa un gloussement avant de sceller sa bouche comme devant le miroir. Elle semblait ne plus respirer, se contractant, tremblant encore sous ses doigts. Des claques venaient parfois lui remettre les idées en place quand elle se mettait à frotter ses cuisses. Ses yeux se fermaient et elle se redressait en balançant un peu sa tête en arrière, en soufflant par le nez.

Après un moment qui lui parut interminable, l'homme retira finalement ses mains, laissant Blum seule avec ses sensations tumultueuses. Vacillante, elle se dirigea vers le lit et s'accrocha à l'armature pour ne pas flancher complètement. La tête basse, ses cheveux dégringolaient en mèches désordonnées autour de son visage rougeoyant. Sa bouche grande ouverte, elle aspirait l'air comme si elle avait couru un marathon, et une de ses mains trouva instinctivement refuge sur sa poitrine, où son cœur battait à tout rompre.

Pendant ce temps, l'homme, imperturbable, fouillait dans la collection de cierges alignés sur la table de nuit. Avec une précision méticuleuse, il sélectionnait ceux qu'il considérait appropriés. Quand il se tourna enfin avec son choix définitif, il reprit la parole d’un ton calme, expliquant les prochaines étapes avec une clarté presque cérémonieuse. Blum, malgré sa difficulté à se recomposer, releva lentement la tête. Sa main libre glissa sur son visage, essuyant d’un geste tremblant ses lèvres entrouvertes et sa peau rougie, cherchant un semblant de fraîcheur. Elle écoutait ses instructions attentivement, mais ses pensées vacillaient, en particulier lorsque l'homme évoqua une posture particulière qu'elle allait devoir adopter pour la suite. La tension dans la pièce semblait à nouveau grimper, la laissant suspendue à chaque mot.

- Oui... oui monsieur... vous pouvez compter sur moi... murmura Blum d’une voix encore tremblante, mais empreinte d’une forte détermination.

Elle s'efforçait de prouver qu’elle ne renoncerait pas, même si son corps semblait à bout, ses mains toujours agrippées à l’armature du lit pour trouver un semblant de stabilité. Elle s’essuya une fois de plus le visage d’un geste rapide, tentant de reprendre un minimum de contenance. Proche du lit, quelques pas lui suffirent pour s'y installer, mais elle remarqua immédiatement qu’il avait changé. Rétréci, il semblait s'être modelé à la volonté de l’homme et à cette réalité onirique qui ne cessait de se transformer. Blum se laissa tomber sur le dos, un soupir involontaire échappant de ses lèvres. La fraîcheur des draps contre sa peau en feu lui procura un bref soulagement inattendu, presque apaisant, mais elle savait que ce n’était qu’un prélude à ce qui allait suivre. Rassemblant son courage, elle leva ses jambes pour les appuyer contre le mur, ses muscles tendus par l’effort. Ses pis bien trop lourds pour tenir en place tombèrent sur les côtés, se collant à ses bras frêles.

C’est là que commença l’épreuve véritable. Avec une lenteur maladroite, elle commença à bouger, ajustant son corps centimètre par centimètre. Blum devait coller son bassin au mur, puis le hisser petit à petit, faisant de son mieux malgré la gêne et la difficulté. Elle se tortillait sur le lit, gigotant pour trouver l’équilibre. Ses mains tremblantes vinrent soutenir son dos, d’abord le bas, puis le milieu, l’aidant à lever son corps jusqu’à ce qu’elle n’ait plus que les épaules et la tête posées sur le lit. Ses attributs généreux suivaient le rythme en balançant en même temps qu'elle se tortillait. Des gloussements accompagnaient le tout, prouvant qu'elle donnait tout pour prendre une bonne position. Sa longue chevelure glissa en cascade jusqu’à toucher le sol, s'étalant sur le parquet dans un contraste frappant avec la blancheur des draps. Chaque mouvement semblait une lutte, chaque respiration un défi, mais Blum tint bon, suspendue entre le confort du lit qui avait encore diminué de taille et l’exigence imposée par cette étrange épreuve.

Un dernier mouvement avant de se stabiliser, Blum avait bien la tête dans le vide, analysant sa position dans le miroir toujours là. Ses épaules et le haut de son dos étaient collés contre le matelas, pendant que sa poitrine lui retombait dessus juste sous son menton. Le reste de son corps était en équilibre contre le mur, le milieu de son dos, son bassin, et pour respecter les consignes, elle ouvrit enfin ses jambes qui balançaient dans le vide pour garder l'équilibre.

Sa fleur éclot, ses lèvres collées à cause de l'humidité se détachèrent dans un bruit moite et bruyant. Laissant apparaître une magnifique teinte rouge, preuve de la chaleur de son corps, également un bouton gonflé semblant palpiter au rythme de son cœur. La rosée extérieure n'était rien comparée à celle qui venait de se découvrir présentement. Un fin ruisseau avait fait son chemin dans son sanctuaire, jusqu'à présent fermé. Blum, maintenant en position, n'osait plus bouger. Elle savait que si sa posture ne convenait pas, l'homme allait la corriger avant de passer à la suite de son expiation.
Maj signature : 18/12

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