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Domestique infiltrée dans la cage du lion [ PV La Légion - Pyrrhus ]

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Topaze/Tobias De Ambre

Humain(e)

Ça avait été une journée comme les autres, comme d’habitude Topaze eut à revêtir le costume de son frère jumeau, Tobias, disparu comme par enchantement il y a maintenant 7 années de cela. Et depuis ce jour tragique pour ne pas dire funeste, la jeune noble demoiselle dû supporter le poids de cette disparition, autant par ses sentiments d’amour fraternel que par ses obligations familiales afin de conserver le prestige de sa famille dans la haute société. Et le prestige avait un coût, celui de faire une croix sur sa vie, sur son existence, sur son identité : Topaze De Ambre. Pour cela donc, il fallut que Topaze disparaisse tout comme son jumeau des radars, qu’elle disparaisse définitivement une bonne fois pour toute : elle devait mourrir.

Ce sacrifice énorme de son existence était nécessaire pour maintenir le rang de sa famille dans la noblesse. Sa vie devait cesser afin que celle de son frère jumeau, mâle héritier de la famille, puisse prospérer et perdurer afin de maintenir la place des De Ambre dans la haute société noble. Et pour cela donc, Tobias De Ambre n’avait donc jamais disparu officiellement mais sa sœur jumelle adorée oui, douloureuse disparition qui en arrachait le cœur de ses parents. À supposer que ces derniers en ait un…

Pourquoi à supposer ? Pour la simple et bonne raison que c’est eux qui ont imposé ce choix de vie à leur fille et qui ont mis en scène sa disparition ! Ce sont ses chers parents, ces personnes dont elle est le fruit de leurs chaires et leurs sangs, qui lui ont sommer de revêtir l’identité de Tobias afin de maintenir le grade des De Ambre dans la noblesse, ce que Topaze n’aurait pu faire en étant qu’une simple héritière femelle tout juste bonne a mariée, et encore… Alors que Tobias, lui, en plus d’être tout comme sa sœur bon à mariée bien entendu, avait le pouvoir de faire jouir sa famille d’une bonne situation en étant le parfait héritier mâle qui excelle au combat dans les tournois, sur les champs de batailles, dans les événements mondains, dans les bals dansants et surtout dans la prosperation de la lignée de la famille en perdurant le nom des De Ambre. Et si en plus il pouvait faire un beau mariage avec une famille influente, ça serait le Jackpot complet !

C’est donc pour cela oui, que Topaze était « morte » et que Tobias était « vivant » : une histoire de pouvoir à maintenir et de place dans la noblesse à conserver, rien d’autres.

Est-ce que les parents de la noble demoiselle regrettaient leurs choix ? Nullement, vu que le théâtre continuait de se jouer depuis 7 ans maintenant ! 7 années de souffrances mentales comme physiques pour Topaze qui eut à supporter la perte de sa moitié, son cher et tendre jumeau, cette flamme jumelle dont elle subissait la perte mais la ressentait jour après jour, année après année, souffrant un peu plus chaque jour.

Mais ce n’était pas pour autant que la jeune femme aux yeux d’or et à la chevelure de neige perdit l’espoir de retrouver un jour le jeune homme aux prunelles identiques aux siennes ainsi qu’à la même blanche chevelure, non, bien au contraire. Il y a quelque chose d’inexplicable qui se passe en elle, quelque chose d’indescriptible, une espèce de petite voix, de chaleur voire de lumière qui lui crie que son cher jumeau est toujours en vie, là quelque part dans l’univers, qu’il n’est donc pas mort ! Ou alors est-ce juste le désespoir créer par la vie qu’elle doit endossé ainsi que l’espoir caressant de vivre une autre vie qui lui font ressentir de pareilles choses ? Peut-être bien que oui, peut-être bien que non.

Mais c’est cet espoir, ce sentiment profond ancré en elle qui l’a fait s’accrocher aux recherches qu’elle a entrepris en secret depuis maintenant 5 ans pour essayer de retrouver sa flamme jumelle tant aimée, la cherchant sans relâche et en toute discrétion à chacune de ses sorties furtives le soir ou certains jours quand elle n’est pas sollicité à incarner Tobias, lui permettant ainsi d’endosser juste le rôle d’une simple jeune femme de son âge qui sort faire la fête et danser, profitant de ses occasions festives et amusantes pour tenter de récolter des informations sous le costume d’une simple demoiselle d’un village ou d’une domestique après une journée de travail éreintante qui a juste besoin de décompresser et profiter de la vie.

Profiter de la vie… C’est quelque chose qui la fait tant rêver, qui anime et alimente cette flamme en elle qui souhaite vivre pour elle, qui souhaite arrêter toute cette mascarade ridicule et dangereuse, qui souhaite pouvoir respirer et vivre au grand jour. Peu importe même si Topaze De Ambre est morte officiellement, elle est prête à devenir une moins que rien et à tout perdre de son prestige noble, de ce nom de famille dont elle a tant honte et qu’elle renie du plus profond de son être à cause de leur supercheries et mensonges à répétition, de leur plan diabolique de potentiellement la marier a une pauvre jeune femme qui se fera droguée et abusée par son propre père pour faire croire à une consommation de mariage qui engendra une descendance, permettant ainsi de mouvoir continuer à jouer la comédie éternellement et faire perdurer la lignée de cette famille de… Monstres ?

Oui, tout cela lui donner la nausée et lui donner envie de fuir loin de tout ça, de fuir loin et de ne revenir jamais. Mais pour cela, elle devait retrouver son frère jumeau Tobias, afin qu’il reprenne sa place, qu’il endosse et assume son rôle d’hériter mâle de la famille pour faire perdurer et prospérer celle-ci. Quelque part, c’était cruel de vouloir le retrouver que pour ça n’est-ce pas ? C’est vrai, ça l’était, mais elle ne voulait pas que le retrouver pour ça. Après tout c’était sa moitié fraternelle et charnelle, elle souhaitait le retrouver pour savoir comment il allait et savoir ce qu’il devenait. Peut-être qu’il était heureux où il était maintenant d’ailleurs. Si c’était le cas, elle ne le forcerait pas à revenir prendre sa place, non… Elle ne souhaiterait pas ça, non… Topaze devra donc penser à un autre plan qui consiste à disparaître des radars mais ça, ça sera dans un second temps si aucunes issues est possible et si ses recherches finissent par la mener nul part ou à découvrir ce qu’elle redoute au plus profond d’elle : la mort de son jumeau Tobias.

Mais pour savoir tout ça, savoir si une potentielle issue est possible, que ce soit en remettant Tobias à sa véritable place ou en le faisant disparaître quand elle endosse son costume pour être son jumeau, elle doit continuer ses recherches et récolter un maximum d’informations pour avoir les réponses à ses nombreuses questions et potentiellement donc le retrouver, si cela est possible après tant d’années malgré qu’elle ne perd pas cet espoir.

Et les nouvelles recherches de la jeune noble demoiselle l’ont conduite à s’intéresser à la Légion de l’Eternel Ardant, ou l’ont plutôt conduite à s’y intéresser. En effet, au travers des différentes informations qu’elle a pu récolter, elle a appris qu’un jeune homme ressemblant trait pour trait à son jumeau aurait été aperçu en compagnie de certaines personnes de cette armée célèbre. Poursuivant ces recherches, elle a donc essayer de voir si elle pouvait retrouver une trace ou un indice dans les noms de personnes qu’elle a pu réussir à avoir mais… Cela allait sans dire que si son frère était toujours vivant, il n’aurait peut-être pas utiliser son nom ou bien même juste son prénom. Cela compliqué donc ses recherches mais ça ne l’a stoppa pas pour autant, bien au contraire !

Puisqu’elle ne pouvait pas le retrouver de cette manière, elle se disait que la meilleure manière possible était de potentiellement s’engager dans cette légion. Pas sous son identité de Tobias De Ambre, ho non, ça il en était pas question. Il ne fallait pas qu’on découvre qu’elle s’intéresse à cette légion ni qu’on puisse remonter jusqu’à ses tentatives de recherches pour trouver son frère disparu, non.  Donc, il fallait qu’elle utilise donc une autre identité, une identité que personne ne connait et qu’il lui permettrait de passer incognito comme durant ses sorties furtives pour aller s’amuser ou comme là, chercher des renseignements. Elle allait donc essayer de s’engager dans la légion en tant que domestique, demoiselle toute frêle prête à faire le ménage et la cuisine sans soucis, tandis qu’elle recherchera en toute discrétion une trace de son frère jumeau, espérant pouvoir le retrouver là-bas ou du moindre, avoir peut-être un indice ou une trace qu’il est toujours en vie là quelque part.

Pour cela, Topaze avait pensé à tout : Tobias allait participer à une expédition, pas dangereuse, juste une mission de repérage de terrain dans une contrée voisine, mission en solo qui ajoutera du prestige à son cv si on peut dire et à dorer un peu plus le blason de sa famille. Et pendant que Tobias est en expédition, elle, Topaze, pourra aller faire le ménage et espouster les poussières pour essayer de gainer quelques informations pour retrouver son jumeau.

Donc, pour réussir à faire tout cela, espérant pouvoir infiltrer les rangs de la légion en tant que domestique, elle s’était rendue à une petite auberge où paraît-il, certaines personnes de leur armée passaient pour justement recruter du monde pour enrichir leurs rangs mais aussi pour recruter des nouveaux domestiques selon leur besoin. Et selon les informateurs de Topaze, en ce moment la légion recherchait quelques domestiques suite à quelques domestiques qui ont pris la poudre d’escampette, ce qui allait pouvoir lui donner une chance de potentiellement infiltrer la légion.
« Modifié: samedi 07 septembre 2024, 14:45:35 par Topaze/Tobias De Ambre »

La légion de l'Eternel Ardant

Légion

La voix était lourde et grondait, agenouillé devant un brasero aux flammes plus dansantes qu’une feuille dans le vent, l’énorme terrannide était en train de prier. Il en appelait à l’apôtre des cendres, afin que son armée se remette des blessures infligées los de cette escarmouche. Car, c’était de notoriété publique, la cendre était le terreau fertile de la nouvelle vie, et du coup, en somme, c’était une prière pour avoir un nouveau contingent de jolies petites braises couvées par la cendre. Tout simplement. Et pour ça… eh bien et il suffisait de faire exactement comme les trois autres grands généraux de la Légion :  un se rendait dans un village, et on raflait toute personne, homme, femme, enfant, en âge de tenir une pique. Et on avait un nouveau bataillon qu’il ne restait qu’à former.
Ils auraient tous fait ça.

Mais l’ancien terrannide lion était d’une autre trempe : il préférait agir autrement. Il voulait des guerriers, et des soldats qui en auraient dans les tripes. Capables de supporter la vue de la mort et de l’accepter sans broncher, car le feu de leur âme rejoindrait alors les Flammes de l’éternel Ardant. Il préférait la qualité au nombre. Et pour le coup, avec ses troupes, il en était là. Il ne disposait que des deux tiers des forces des autres généraux. Mais ce n’était pas un souci. Il compensait largement. Le seul pouvant lui tenir tête sur un champ de bataille, c’était le Grand Tacticien de la légion. Le stratège de génie. A nombre égal, il était le seul à avoir une chance.
Ah oui, et il faudrait aussi qu’on se réapprovisionne aussi en personnel. Un général digne de ce nom devait avoir un minimum de suite, à savoir au moins deux ou trois domestiques pour en avoir toujours une de disponible pour répondre à ses besoins. Et des jolies serait peut-être un minimum. Usuellement il prenait des esclaves pour ça, mais leur durée de vie semblait avoir du mal à se pérenniser…

Enfin bon, bref, du coup, il dirigeait une équipe de recrutement sous un nom d’emprunt. Aujourd’hui, il était, pour le recrutement, parce que croiser les nouveaux venus lui plaisait toujours, et qu’il avait un second qui gèrerait très bien sans lui Le roi – pardon, l’ancien roi – des géants ferait un travail plus que correct.  Pour le recrutement, il était le seigneur Flambe, capitaine d’escadrille draconique, ainsi que ses hommes.
Mais le meilleur moment, c’était quand il emmenait les nouvelles recrues boire un coup, pour le courage, avant de quitter la ville. Pour le moment, personne pour servir de domestique, mais une douzaine de jeunes gaillards enhardis par l’envie de faire leurs preuves. Ça semblait plutôt bien parti, il fallait le reconnaitre. Ils en étaient à leur cinquième bière lorsqu’elle entra dans l’auberge. Pyrrhus était en train de rire à gorge déployée, mettant au passage une claquer sur la fesse de la serveuse qui manqua de renverser son plateau de chopes vides sous la surprise. La blague d’origine avait été particulièrement grasse, mais pour un paillard invétéré, c’était la moindre des choses, non ?
D’instinct, le terrannide esprit de feu tourna ses yeux fauves vers la nouvelle venue. Elle avait des yeux proches du feu, il leur manquait juste un peu de sang, aurait-on pu dire. Elle lui plaisait bien. Pour le reste, un peu frêle mais bon, ce n’était pas grave, cela ne voulait rien dire. Quiconque avait vu le jeune Meruem se battre savait que ça ne voulait pas dire grand-chose. Le chaton était doué. Très doué. C’était presque un gâchis de s’en servir comme espion.
Mais bon, bref.
Tout ça pour dire qu’elle plut assez vite.

« Hey ma belle, viens boire un verre avec nous, c’est ma tournée pour les glorieux futurs grands héros de la légion ! »

Soyons clairs : ils ne seraient probablement jamais de grands héros avec le vent dans les cheveux, dans le soleil levant à la tête d’une armée d’où montait le son clair d’un corps avant une charge dont l’histoire se rappellerait. Non, ça c’était déjà ce qu’était Pyrrhus.
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Topaze/Tobias De Ambre

Humain(e)

Une fois arrivée en ville et à sa destination, la jeune femme noble se dirigea vers l’auberge où ses informateurs lui avaient dit qu’il y aurait des membres de l’armée de la légion, qui normalement, serait en recrutement de soldats et domestique là-bas.

La demoiselle aux yeux d’or espérait sincèrement que les informations qu’on lui avait transmise étaient exactes et si tel était le cas, qu’elle n’arrivait pas trop tard pour le recrutement, ayant été légèrement retardée lors de son escapade pour venir ici par l’un de ses parents, lui expliquant donc les objectifs de la mission de repérage qu’elle devrait faire prochainement en tant que Tobias, qui permettrait donc à la mignonnette aux prunelles dorées de pouvoir infiltrer la légion en tant que domestique et essayer de retrouver son frère ou du moindre récolter quelques informations.

Arrivée enfin devant l’établissement qu’elle recherchait donc où se déroulait le recrutement, Topaze put voir de l’extérieur que c’était une auberge de taille moyenne, plutôt chaleureuse et vivante, emplie de mondes à l’intérieur une fois qu’elle eut pénétrée les lieux, habillée dans une robe de domestique propre sur elle, près du corps qui mettait en valeur son petit corps à la taille légèrement marquée qui lui offrait une silhouette en X vu sa finesse de corps. Mais ce n’est pas pour autant qu’elle n’avait pas une jolie paire de hanches avec une belle poitrine, non, elle était même plutôt bien faite la petite domestique et les regards des hommes présents aux tables et au bar de l’auberge témoignaient bien qu’elle ne laissait pas indifférente cette donzelle à la longue chevelure de neige qui flottait en l’air à chacun de ses pas.

Marchand quelques pas une fois à l’intérieur du commerce, Topaze jeta des regards discrets autour d’elle, souriant aux personnes qui lui souriaient ou la saluaient au passage, avant de reporter son regard en direction d’une tablée près d’une cheminée non loin du bar, où elle entendit une voix qui l’interpella. Et c’est là que la jeune noble vêtue en domestique vit cet homme si impressionnant en armure, souriant pour ne pas dire riant, avec une chevelure digne d’une crinière d’un lion et des yeux brillant telle la braise dont la couleur était magnifique d’ailleurs.

C’était lui qui l’avait appelé, son regard sur elle qui lui fit un effet étrange, lui donnant un léger frisson dans son petit corps, dont elle ne comprit pas vraiment la raison mais dont elle reporta l’explication sur l’intensité qu’il avait à la regarder et l’impressionnable prestance qui se dégagea de son aura, enfin c’est ce qu’elle se disait la demoiselle. Esquissant un sourire en hochant la tête, tant pour saluer que pour remercier de l’invitation et pour dire qu’elle arrivait les rejoindre, la jeune femme se fraya un chemin entre les tables et vint les rejoindre rapidement, venant se poser devant leur tablée sans y prendre assise pour le moment, restant debout en saluant légèrement tout en souriant.

« C’est avec joie que j’accepte de boire à la gloire de ces glorieux futurs grands héros de la légion. »

Répondit Topaze en regardant l’homme assis face à elle à table, tandis qu’une serveuse passa pour resservir des chopes et en tendre une à la demoiselle qui la saisit délicatement en hochant la tête pour remercier la serveuse, venant reporter aussitôt son regard sur ce mystérieux homme qui l’avait interpelé mais dont elle se doutait qu’il devait être un haut gradé vu comment il parlait des jeunes gaillards présents à table qui étaient ravis d’être là et qui buvaient ensemble.

« Merci pour l’invitation Monsieur… ? »

Dit-elle en penchant doucement la tête en haussant un sourcil, voulant savoir le nom de celui qui l’avait interpellé et invité à les rejoindre pour boire un verre en payant sa tournée, qui avait mis en joie tout les clients de l’auberge par cet acte des plus appréciés de tous. Toujours debout face à lui en revanche, n’ayant pas pris place à ses côtés et à ceux de ses futurs soldats, polie et courtoise comme il se doit et bien sage pour une domestique vue sa tenue, elle ne s’attendait peut-être pas à être invité à la table de cet homme qui allait changeait le cours de sa journée et peut être pas que.

La légion de l'Eternel Ardant

Légion

La nouvelle venue n’était pas vilaine, elle avait une jolie silhouette et le général était clairement loin de trouver ça déplaisant. Certes, il avait vu mieux, notamment une jolie petite nymphe qui. Ahem peu importait. Il lui fit un sourire et lui fit signe e s’asseoir, s’attirant quelques regards mauvais, comme s’il avait déjà pris dans ses rets une proie que d’autres convoitaient. Mais il n’avait aucune raison de s’en soucier. N’était-il pas infiniment supérieur à eux ? Si, bien sur que si. Alors il n’y avait aucune raison de se soucier de leurs regards.
La jeune femme s’assit avec, bien vite, une bière entre les mains. Le terranide ion lui donna une bonne claque sur l’épaule et leva sa propre chope à nouveau pleine. Parfait !

« Bien, ça c’est un bon comportement ! Allez, santé ! »

Les chopes s’entrechoquèrent avec des légers vivats venant de la table.

« Sire Flambe, ma chère, et toi ? »

Ses cheveux de neige, ses yeux topaze. Elle me rappelait quelqu’un. Un jeune blanc bec un peu arrogant qu’il avait eu sous ses ordres. Mais des blanc becs arrogants il en avait eu tellement sous ses ordres, sincèrement… trop pour s’en souvenirs, mais elle lui disait quelque chose.

« Tu me dis quelque chose… on s’est déjà croisés ? »

Il faillit lui demander si par hasard il n’avait pas eu l’occasion de passer sur sa famille, s’il les avait déjà raide ou autre…  Mais c’eut été un peu raide, comme manière de dire les choses. Mais l’idée était un peu là. Mais ça fit rire un peu quelques petits rires dans le groupe. Notamment des jeunes blancs becs qui semblait trouver l’image drôle de voir le grand gaillard de chef qui draguait une minette de manière aussi lamentable.

« Chef c’est la phrase de drague la plus pourrie que j’ai entendu de ma vie !!! »

Il était clairement déjà bien éméché et le lion rit de bon cœur avec lui, parce que ces gens allaient probablement servir de chair à canon. Qu’importait. Un autre lança alors le premier commentaire graveleux.

« Tu ne veux pas venir nettoyer la tente d’un héros ma belle ?  On a toujours besoin d’une domestique… »

Domestique à lutiner, au bas mot, s’entendait. Et d’ailleurs un entendu un grognement étouffé. Un pied avait dû lui heurter lourdement le tibia sous la table. Il ne fit qu’un juron et reprit sa chope pour une gorgée.

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Topaze/Tobias De Ambre

Humain(e)

Ayant été invité d’un mouvement de tête par les jeunes gens à table tandis que leur chef regardait la jeune femme noble habillée en domestique, Topaze prit place à leur tablée après que quelques soldats tout fraîchement recrutés se poussèrent pour faire une place à la demoiselle et la laisser s’installer à côté de leur chef qui l’avait invitée à les rejoindre. Et une fois assise à côté de cet homme au regard de feu qui donna une bonne claque sur l’épaule de la jeune noble qui lui répondit par un radieux sourire en riant légèrement, elle hocha doucement la tête à ses premières paroles et vint trinquer sa chope contre la sienne tout en entendant de joyeuses approbations à table.

« Enchantée Sire Flambe, moi c’est Mielle. »

Répondit-elle en le regardant en faisant une petite révérence de tête, souriante toujours avant de boire quelques gorgées de sa chope en le regardant, semblant réfléchir. Elle se demandait si il avait deviné qu’elle lui avait donné un faux prénom, ne voulant pas donner le sien, car même si Topaze De Ambre était morte il y a quelques années et que seulement certaines personnes était au courant de l’existence de cette demoiselle de la noblesse dans les villes alentours à celle d’où elle venait, il y avait peu de chance pour que quelqu’un la connaisse de près ou de loin, ou du moindre est eut vent de son existence il y a jadis quelques années. Donc, même si l’idée de mentir ne lui plaisait pas des masses, étant obliger de mentir déjà en quasi permanence, elle n’avait pas le choix de continuer le mensonge pour préserver son identité et pouvoir continuer ses investigations en toute tranquillité, comme en cet instant.

Mais en entendant les mots de l’homme à ses côtés, la jeune femme aux yeux d’or haussa doucement un sourcil, se demandant si par hasard il l’aurait pas vu plus jeune il y a quelques années ou alors, est-ce qu’il n’aurait pas vu son frère jumeau peut-être ? Un faux espoir jaillit dans le cœur de la jeune femme malgré elle en entendant les mots de ce bel homme à la crinière de lion, s’apprêtant à lui répondre qu’elle n’avait pas le souvenir de l’avoir croiser, mais avant qu’elle ne puisse répondre quoique ce soit, elle put entendre des rires de certains jeunes gens fraîchement recrutés à table dont un qui vint tacler gentiment leur chef.

En entendant les mots de ce jeune homme qui fit donc remarquer à son supérieur qu’il venait de dire la phrase de drague la plus pourrie qu’il avait jamais entendu, la noble demoiselle vêtue en mignonne domestique manqua de s’étouffer en buvant une nouvelle gorgée de sa choppe, se rattrapant de justesse en rougissant doucement, avant de rire doucement en voyant tous le monde rire aux mots de ce jeune gaillard, qui visiblement avait fait rire leur chef aussi.

Mais le répit si on pouvait dire de la jeune femme fut de courte durée car elle put entendre un autre jeune soldat s’adressait directement à elle, lui demandant de manière sous-entendu tout en étant éméchée si elle ne serait pas intéressé de faire le ménage de la tente d’un héros. Mais aussitôt cette charmante proposition faite, aussitôt le jeune homme grimaça légèrement en lâchant un juron avant de se tourner un peu sur le côté en reprenant le vidage de sa choppe sans un mot.   Interloquée, Topaze se demanda ce qui s’était passé, se doutant qu’il avait dû recevoir un léger coup sous la table ou sur le banc vu la légère grimace qu’avait fait le jeune homme avant de tourner son regard ailleurs en même temps que son corps.

Clignant plusieurs fois des yeux, un peu surprise par la scène, la jeune femme aux prunelles de miel porta ses lèvres délicatement à sa choppe pour en boire quelques gorgées en fermant les yeux toute silencieuse en écoutant bien les rires et les petites messes basses, que ce soit autour de la table ou à la tablée où elle avait pris place, essayant de voir ce qui se disait autour. Puis après cela, en rouvrant les yeux délicatement tout en enlevant doucement la choppe de ses lèvres, la demoiselle releva doucement son regard vers l’homme à la magnifique chevelure à ses côtés qui la regardait. Ayant le cœur qui fit un léger boum mais ne laissant rien paraître, Topaze esquissa un joli sourire en le regardant avant d’enfin parler de nouveau de sa jolie voix.

« Cela étant dit Sire Flambe, si la légion recherche par hasard des domestiques, je serais ravie de postuler. »

Dit-elle en rebondissant sur la plaisanterie du jeune gaillard après un petit temps d’arrêt, reportant doucement sa choppe à ses lèvres en regardant dans les yeux l’homme à ses côtés qui avait des yeux absolument captivants elle devait le reconnaître, attendant une réponse ou une réaction de sa part, tentant le coup grâce à ce soldat qui lui a offert une magnifique perche à saisir.
« Modifié: dimanche 15 septembre 2024, 22:45:43 par Topaze/Tobias De Ambre »

La légion de l'Eternel Ardant

Légion

Les rires gras et les bêtises fusaient ; de toute façon, l’ancien terrannide lion connaissait les effets de l’alcool sur la majeure partie des créatures. Et il était souvent le même : la bêtise, et l’absence de filtre. Oh, dans son cas, il s’en foutait ; il faisait rarement les choses différemment de ce qu’il voulait et il était habité par un feu inextinguible. C’était un feu qui consumait tout. Et qui le pousserait toujours dans la bonne direction.

La jeune femme s’appelaitMielle, donc. Un nom assez banal, et qui montrait bien la roture de sa position. Généralement, c’était même un nom qui était donné aux esclaves terrannides, car il ne demandait pas vraiment de recherche, c’était un nom qu’on le jetait.
Mais elle avait les doigts bien trop fins, et l’allure bien trop soignée pour être une vulgaire domestique, non, donc elle était sans doute là pour se cacher ou pour faire la fanfaronne. Le seigneur de guerre pariait sur une fille de marchands, sand doute assez riches pour qu’elle se sente brave à venir dans une vulgaire auberge comme celle-ci, mais pas non plus trop importante pour qu’elle soit accompagnée par une servante dans ses escapades. I lui fit un grand sourire avant de rire à la déconfiture du soldat qui avait pris un coup sous la table.

« Vraiment… tu es prête à t’engager ? Sais-tu quels risque tu cours à être domestique dans un camp de guerre ? »

Elle le fiait dans les yeux ; elle avait de très jolis yeux jaunes… il en avait déjà vu de semblables, il en était sûr. Mais où ? Merde alors, ça allait le faire quand même bien réfléchir. Oui, il ne finirait pas trouver. C’était certain. Cela pouvait juste prendre du temps.

« Tu me sembles bien peu au fait de la légion pour dire ça comme ça… »

Il sourit, un peu moqueur, comme si elle avait dit qu’elle serait intéressée pour déconner. Le lion jeta un œil, un peu, au soldat qui avait fait la vilaine allusion qui avait servi à la jeune femme pour rebondir. Une manière de dire à la jeune femme qu’elle risquait fort de se retrouver confrontée à ce genre de cas.

« Et tu es si frêle que je ne t’imagine pas aux taches ingrates toute la journée… »

Il se moquait un peu d’elle.
Il le va sa chope, en continuant à al regarder, plongé dans ses jolis yeux.

« Allez, à la légion ! Cul sec ! »

Il porta sa chope à ses lèvres, attendant d’elle qu’elle suive le mouvement.
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Topaze/Tobias De Ambre

Humain(e)

Alors que la jeune demoiselle déguisée dans sa jolie petite tenue de domestique buvait quelques gorgées de sa chope de bière, regardant dans les yeux l’homme à ses côtés à qui elle venait de dire qu’elle était intéressé de postuler en tant que domestique pour la légion, attendant une réponse ou une réaction de sa part tout en buvant lentement, la jeune femme hocha doucement de la tête en entendant la réponse qu’il lui donna dans un premier temps, souriant ensuite de ses fines lèvres contre la choppe dans ses mains délicates en entendant dans un second temps la suite de ses paroles concernant la légion ou sa résistance à une journée de travail vu son physique.

Décollant doucement la chope de ses lèvres rosées, tout en ne quittant pas un seul instant du regard les beaux yeux de flamme de l’homme à ses côtés, la jeune femme aux prunelle d’or répondit avec calme d’un petit sourire à tout ce qu’elle venait d’entendre, n’ayant pas perdue une miette de chacunes de ses réaction et regards jeter ailleurs comme celui vers le jeune soldat qui avait lancé son allusion déplacé à la demoiselle qui lui avait permit de rebondir en se proposant en tant que domestique.

« Il est vrai Sire Flamme que je peux sembler bien… fragile, quand on regarde ma fine ossature certes. Mais… Je peux vous assurer que je suis habitué aux tâches ingrates et difficile, ce n’est pas bien difficile pour moi ce genre d’efforts physiques… Puis je suis plutôt du genre tenace physiquement malgré mon apparence. »

Répondit-elle dans un premier temps, faisant des petites pauses en regardant légèrement du coin de l’œil les soldats bien faits qui riaient à certaines de ses paroles, dont les efforts physiques ou encore qu’elle était du genre tenace physiquement. La demoiselle était peut-être une jeune pucelle, même si cela n’était pas écrit sur sa figure, mais elle n’était pas ignorante des choses qui faisaient bien rire les jeunes hommes à côté qui devaient s’imaginer bien des choses dans leurs petites caboches de mâles alcoolisés. Malgré ses rires autant amusés que graveleux, la mignonne domestique à la chevelure de neige garda son sourire aux lèvres et reporta son regard vers l’homme à ses côtés, continuant sur sa lancée pour le convaincre.

« Quant à ma connaissance sur la légion, je sais comme tous le monde ce qu’il faut savoir, du moindre, ce que l’on en sait bien entendu… »

Ajouta-elle en hochant doucement la tête, voulant signifier ainsi qu’elle ne savait peut-être pas tout mais tout ce que le peuple savait et qui était parvenu aux oreilles de ce dernier. Puis, après cette très courte pause, elle reprit en ne quittant pas un seul instant du regard celui qui l’avait inviter à les rejoindre tandis que les soldats continuaient de boire tout en les regardant pour certains comme si ils se mataient un spectacle fort interessant.

« Donc, pour répondre à votre question Sire Flambe, oui, je suis prête à m’engager comme domestique pour la légion. Malgré les risques encourus comme celui de me faire capturer par des ennemis, d’avoir une potentielle mésaventure avec quelqu’un pendant que j’effectue mes tâches… Ou bien encore de périr car c’est un camp de guerre après tout. »

Terminât-elle avec une mine sérieuse pour bien montrer qu’elle savait en partie les dangers qu’elle risquait en s’engageant, mentionnant indirectement la possibilité de se faire attraper dans un coin par un gars et peut-être passer à la casserole si elle ne savait pas se défendre. Mais la jolie demoiselle eut la chance de voir sa réponse agrémenter d’éléments manquants, du moindre selon quelques jeunes soldats bien éméchés qui n’avaient pas loupés une miette de sa réponse.

« Ou le risque de tomber sous le charme d’un valeureux soldat aussi ! »

« Ou de celui de son supérieur ! »

À leurs mots, la jeune femme dans sa robe de domestique les regardait éclater de rire, rougissant un peu en entendant leurs mots, notamment ceux du jeune gaillard qui était intervenu tout à l’heure en parlant à leur chef avec la phrase de drague la plus pourrie qu’il avait jamais entendue. Riant doucement avec eux alors que ses joues reprirent une couleur pâlichonne, Topaze reporta son regard vers le beau terrannide à la magnifique crinière à ses côtés, esquissant de nouveau un sourire en le regardant après ce petit moment de rire qui suivit sa réponse sur son engagement pour la légion, du moindre si on l’acceptait.

Ensuite, la jeune noble demoiselle hocha sa tête en levant son verre à l’invitation du chef des soldats, replongeant son regard dans le sien qui était si envoûtant tel le feu dansant sur des braises.

« À la légion ! »

Répondit-elle en portant sa chope à ses lèvres délicates et penchant sa tête très rapidement en fermant les yeux, buvant cul sec sans problème la chope avant de la reposer sur la table vide en rouvrant les yeux pour regarder l’homme à ses côtés dont pour une raison qu’elle ignorait, elle avait du mal à quitter ses prunelle de flamme.

La légion de l'Eternel Ardant

Légion

La jeune femme comprenait-elle vraiment ce que cela impliquait ? Comprenait-elle vraiment qu’entrer au service de la légion, parce qu’il s’agissait de cela : servir la Légion de l’Eternel Ardant. Soyons clairs : ces blanc becs se sentaient comme des héros pour le moment, mais il n’y en aurait pas un qui ne se chierait pas dessus durant la première bataille, et sur les bleus qui rentraient dans les rangs, peu deviendraient réellement des vétérans. Sans doute aucun des soiffards présents ne jouiraient du privilège de devenir des vétérans endurcis. Le lion savait de quoi il parlait. Il était mort sur le champ de bataille, parfois. Pas souvent mais c’était arrivé. Bien sûr.

« Je vois… »

Elle semblait sur qu’elle tiendrait le rythme, sans jamais complètement quitter des yeux le seigneur de guerre. Elle souriait et ne jetait que de fugaces regards aux autres futurs soldats. Elle devait bien se douter de la raison de leur hilarité. Elle n’était pas sotte, n’est-ce pas ? Elle devait bien le comprendre. Il lui fit un sourire avant de finalement l’entendre en rajouter.

« Connaitre réellement la légion, ce sera quelque chose que les apôtres de l’Eternel Ardant  vous inculqueront. Tant que vous comprenez que nous luttons pour une cause plus grande que nous, pour apporter une paix universelle sous le règne d’une divinité omnipotente et omnisciente telle que le monde n’en a jamais connu, alors vous en savez assez pour vous engager en tout état de cause. »

Au moins, elle semblait déterminée et apparemment l’idée d’avoir une jolie servante comme elle pour eux plaisait aux blancs-becs oh, c’était une bonne chose qu’elle soit là, elle les encourageait  ne pas se défiler., faisant les jeunes coqs devant elle. Très, bien, c’était une bonne chose. Il se contenta d’un signe de tête positif pour montrer qu’il était à peu près d’accord avec tout ce qui se disait et tous vidèrent leur chope de bière d’une traite. Même la petite domestique. Tiens donc. Cela le faisait bien rire…
Jolie descente. Elle pulvérisa les autres soldats ce qui fit éclater de rire le général de la légion. Pyrrhus en frappa sèchement de sa chope vide sur la table.

« Et bah putain. Ça c’est de la descente. Les jeunes, vous devriez peut-être faire les servantes et lui laisser le rôle de bonhomme ! Hahahahaha ! »

L’hilarité était contagieuse et le reste de la tablée se mit à rire de bon cœur.

« Puisque tu veux tant servir la légion, Mielle, tu la serviras… je connais justement une personne importante dans la légion qui aura besoin d’une personne pour s’occuper de  menues taches qui reviennent à un domestique et à un coursier. Ça devrait le faire. »

La soirée continua encore longtemps, des heures, et le lion ne laissa personne se défiler, il paya même des chambres pour tout le monde à l’auberge pour que chacun puisse cuver son vin et dormir. Autant vous dire que les murs de cela bâtisse tremblèrent sous le quota de ronflements.

Pourtant, aux premières lueurs de l’aube, les jeunes étaient dans une carriole. Le visage un peu verdâtre, avec une jolie gueule de bois. Ils avaient de l’être chargés plus ou moins de force parce qu’ils geignaient qu’ils allaient pourrir à cause de la gueule de bois etc. Mielle avait eu droit à quelques égards en plus : Pyrrhus ne l’avait pas levée du lit par la peau du cou.

« Ha la dernière levée, alors, prête à te mettre en route ? »

Il ne lui laisserait pas l’occasion de se défiler. Sire Flambe monta sur l’énorme cheval, un cheval de guerre, bien sûr, qui ne broncha pas sous l’imposante carrure. Ce cheval ‘était parfaitement normal. Parfait pour se rendre dans les villes et villages. La carriole était pleine et peuplée de vomisseurs potentiels. Alors il lui tendit la main.

« Allez, monte avec moi, mieux vaut ça que la carriole vomi, tu ne crois pas ? »

Il la ferait asseoir devant lui.
Lui aussi avait mal à la tête, mais de là à avoir envie de vomir… non, pas à ce point. Mais il lui laisserait le temps d’être à l’aise avant de parler. Ou elle n’avait qu’à lancer la conversation sur le chemin quand elle voudrait.
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Topaze/Tobias De Ambre

Humain(e)

Après avoir essayer de démontrer à l’homme à ses côtés qu’elle savait dans quoi elle s’engageait en postulant dans La Légion de l’Eternel Ardant, Topaze ne quitta pas Flamme des yeux un instant, autant car elle conversait avec lui en ce moment mais aussi car elle n’arrivait pas à décrocher son regard de ses yeux de flammes si captivants.

Et quand elle entendit les paroles qu’il rajouta au sujet des réelles connaissances sur la légion qui leur sera donc enseigné par les apôtres, elle hocha doucement de la tête sans dire un mot, l’écoutant ensuite dire que tant qu’ils savaient pour quelle noble cause ils allaient s’engager, c’était suffisant pour postuler en ayant connaissance des choses principales à savoir, ce à quoi elle répondit également d’un second hochement de tête silencieusement en ne le quittant pas des yeux.

Puis vint ensuite le moment de boire au nom de la légion, auquel la noble demoiselle aux yeux dorés fut invité à boire cul sec sa chope de bière par le séduisant chef des jeunes soldats à la tablée, acceptant donc l’invitation en vidant d’une traite son récipient avant de venir poser celui-ci sur la table. Ayant une bonne descente car elle était habituée à boire avec des bonhommes quand elle était déguisé en son jumeau, Topaze était plutôt résistante à l’alcool et savait donc picoler on pouvait le dire. D’ailleurs, ses talents (si on peut appeler ça ainsi) furent féliciter par Flamme assit à ses côtés, qui vint même chambrer ses soldats tant la demoiselle avait une descente plus rapide que la leur, faisant rire tous le monde à table ainsi que la jeune femme qui riait avec eux de bon cœur amusée par tout cela. 

Mais l’attention et le regard de la jeune femme à la longue chevelure de neige fut de nouveau tournée vers l’homme a la somptueuse crinière à ses côtés, l’écoutant donc avec grande attention, esquissant un sourire ravie d’entendre qu’elle pourra servir la légion, ce qui visiblement la rendait heureuse de l’entendre. Elle hochait doucement la tête à chaque mot de Flamme qui l’informa qu’elle sera au service d’une personne importante dans la légion qui aura justement besoin de quelqu’un pour quelques missions et tâches diverses, souriante ravie de pouvoir entrer (pour ne pas dire infiltrer) la légion et avoir peut-être la chance de découvrir si son frère était vraiment là-bas ou non.

« Je… Merci Sire Flamme… Ce sera un honneur pour moi de servir la légion… Merci mille fois. »

Répondit-elle en fermant les yeux quelques secondes en inclinant sa petite tête en guise de remerciements et révérences envers le chef des soldats, vraiment ravie de pouvoir servir la légion même si elle avait un autre plan en tête bien entendu. Mais cela ne l’empêchera pas de bien faire le travail qu’on lui demandera et de servir cette personne importante dont parlait l’homme aux prunelle de feu à ses côtés, curieuse un peu au fond d’elle-même au sujet de cet individu qu’elle allait devoir servir, mais rassurée de ne pas avoir été mis au ménage des tentes des futurs héros de la légion qui auraient bien aimaient jouer avec ses jupons sans aucuns doutes.

Puis le reste de la fin de journée ainsi que la soirée suivit son cours dans la joie et bonne humeur le tout arrosée d’alcool jusqu’à l’heure du coucher où les soldats et la mignonne domestique qu’était Topaze furent invités à dormir à l’auberge afin de partir ensemble le lendemain matin.

La jeune femme se réveilla doucement le matin, contrairement aux jeunes gens fraîchement engagés qu’elle pouvait entendre râler dans les couloirs et se plaindre pour certains d’être au bord de leur vie prêt à vomir. Pour sa part, elle n’avait qu’un léger mal de tête mais vu qu’elle avait bue moins qu’eux et qu’elle était habituée aussi, cela devait jouer dans sa forme physique car elle allait bien hormis ce petit détail.

Et une fois debout et en dehors de l’auberge, la noble demoiselle put apercevoir le chef des soldats lui demander si elle était prête à décoller, ce à quoi elle lui répondit d’un petit sourire en hochant la tête, avant de l’entendre l’inviter à monter avec lui à cheval en lui tendant sa main, reportant son regard sur celle-ci en rougissant un peu, car elle n’avait jamais montée avec un homme à cheval. Ça allait être une première fois pour elle tout comme cette délicate intention de la part de quelqu’un de la gente masculine d’ailleurs.

Esquissant un petit sourire alors qu’elle avait les joues légèrement rosées, Topaze hocha doucement la tête en reportant son regard vers Flamme en saisissant sa main, avant de rire doucement en entendant sa plaisanterie qui avait un fond de vérité sur la carriole à vomit. Et une fois que le terrannide aux yeux de flammes se saisit de la main de la demoiselle, l’aidant en l’attirant à lui pour monter avec lui sur le dos de son destrier, la jeune femme se retrouva donc devant lui en étant encerclé presque de ses bras, ce qui lui faisait un drôle d’effet qu’elle n’aurait su expliquer, c’était gênant mais aussi agréable étrangement.

Puis, afin de ne pas l’embêter avec sa chevelure qui pourrait voler au vent lors d’un galop ou à cause d’une possible brise, Topaze attrapa délicatement ses cheveux afin de les amener tous de son côté gauche en avant, dégageant ainsi son dos et dévoilant une partie de son épaule droite ainsi que sa nuque d’où sa peau nue était parfaitement visible ainsi dégager de sa chevelure. Et quand ils se mirent en route, la jeune femme aux jolis mirettes de miel resta silencieuse, ne sachant pas vraiment quoi dire, car elle était un peu déboussolée même si elle ne le montrait pas à cause de cette situation et cette position qu’elle avait, sentant cet homme derrière elle, pouvant même sentir son parfum par moment alors que son cœur s’emballa légèrement tandis que ses joues rougissaient légèrement, à la recherche de quoi dire.

« Je… Merci de… m’avoir prise avec vous… »

Finit-elle par dire, essayant de dire quelque chose et briser le silence qui s’était installée, même si il avait était vraiment de courte durée, pour elle, il lui avait parue avoir durée une éternité à cause de tout ce qu’elle ressentait en cet instant, sensations et ressentiments auxquels elle n’était pas du tout habituée.

La légion de l'Eternel Ardant

Légion

La jeune femme ne refusa pas de monter en selle devant l’ancien terrannide lion. Il la sentait un peu gênée, entre ses bras, mais il ne s’en formalisait pas. Une servante, c’était un statut où elle aurait très probablement – c’était même sur – de quoi e plus être gênée par rien. Ça viendrait, aurait-on pu dire. Il lui fit un sourire avant de finalement commencer à avancer alors que les premiers hoquets venaient de la carriole. Au moins, elle avait évité ça en montant avec celle qu’elle ignorait être le général de cette armée de la légion.

Installée, elle dégageait ses cheveux, révélant l’épaule pâle et sa appétissante. Elle donnait envie de mordre. Mais il ne répondit pas vraiment à cette invitation. Et après un certain temps de trajet, elle finit néanmoins par débuter la conversation, comme pour briser un silence qui la gênait un peu, peut-être…

« Je t’en prie, tu as l’air d’avoir mieux tenu et avoir été plus raisonnable que les autres. Et il aurait été rude pour toi d’avancer dans les odeurs de vomi venant des autres… moi-même je ne serai monté dans ce chariot pour rien au monde. »

Le trajet n’allait pas être long. Il fallait juste aller suffisamment loin de la ville pour changer de mode de transport. Il y avait un bosquet à plusieurs heures de la ville, et là-bas, il retrouverait son partenaire de bataille le plus assidu. Sa monture volante. Là, il y aurait aussi de quoi transporter tout le monde sur les miles et des miles en dix fois moins de temps que par la voie terrestre.

« Servir la légion est un tel bienfait pour l’âme, il faut y voir quelque chose qui élève, et, si l’on s’en montre digne qui fait de nous quelque chose de plus que ce que nous sommes. La vraie question que tu dois te poser, c’est à quel point es-tu prête à servir la légion. C’est une question réelle. Savoir ce que l’on est prêt à faire pour  la légion… les limites de notre service sont plus importantes que tout. »

Parce que c’était ce qui limiterait son ascension. Tout simplement.  Et pendant toute cette discussion, il n’avait pas fait le moindre geste vers elle. Comme s’il était le noble seigneur qu’elle pouvait imaginer, désintéressé de cette belle enveloppe physique.

« Tu devrais te tenir à la crinière. Ça t’aidera à te stabiliser, assise comme ça. »

 Monter en Amazone n’était pas forcément le plus pratique, il fallait le reconnaitre. Mais il en revint à ses propos sur la dédication et la dévotion à la légion.

« Quand on intègre la légion, on s’offre corps et âme à la légion. Saurais-tu en faire de même ? »
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Topaze/Tobias De Ambre

Humain(e)

En entendant les mots de l’homme aux yeux de flammes derrière elle, la jeune femme pencha doucement la tête en le regardant, esquissant doucement un sourire avant de rire légèrement aux derniers propos du terrannide lion qui la fit doucement hocher de la tête en riant avec douceur.

Puis Topaze redressa doucement sa tête, faisant jouer ainsi quelques mèches de cheveux qui encadrés son visage, écoutant avec grande attention tout ce que lui disait Flamme au sujet de la légion et du fait qu’elle devrait se demander qu’est-ce qu’elle était vraiment prête à faire pour la légion, ce qui fit en effet réfléchir la jeune femme qui hocha doucement de la tête pour signifier qu’elle comprenait bien ce qu’il avait l’amabilité de lui dire.

La jeune noble demoiselle dans son costume de domestique se demandait ce qu’elle serait prête à faire pour retrouver son frère, et la réponse lui était évidente à ses yeux, même si pour certains cela pouvait peut-être risible. Tout, elle était prête à tout, en tout cas elle faisait tout en son pouvoir depuis des années qu’elle le cherchait, essayant de glaner la moindre information aussi infime qui soit pour le trouver. C’est vrai qu’elle voulait à tout prix qu’il récupère sa place d’héritier mâle de la famille, car elle en avait assez de cette mascarade ridicule et de devoir porter son rôle sur ses frêles épaules à en sacrifier son existence et son identité même, mais… Elle voulait surtout le revoir dans le fond, savoir si il était vivant, si il allait bien et bien sûr savoir pourquoi et comment il avait pu disparaître du jour au lendemain.

Peut-être qu’au final il avait fuit tout ça en fait et ne voulait pas revenir ? C’était possible après tout se disait-elle. Mais dans ce cas, si c’était ça, elle ne le forcerait pas à reprendre sa place, non, elle ne lui forcerais pas la main, mais… Elle ne retournerait pas reprendre sa place non plus, non, elle ne voulait plus faire ça, elle ne voulait plus mentir et être mêlée aux petits complots parfois même abjectes de sa famille pour maintenir leur place dans la noblesse, non, elle ne voulait plus de tout ça. Cette jeune demoiselle aux prunelles d’or voulait arrêter tout ça et elle voulait surtout vivre, être enfin libre de tout ça et vivre pour elle, vivre en tant que Topaze, sans mensonge, quitte à perdre sa noblesse et tout ce qui va avec, qu’elle avait cependant déjà perdu quelque part puisqu’elle était morte officiellement après tout donc, elle n’avait déjà  plus rien en faite.

Tandis que la jolie domestique réfléchissait à tout ça suite aux paroles du chef des jeunes gens dans la calèche dont de joyeux bruits de dégoupillements pouvaient parvenir enfin à leurs oreilles, elle se saisissait avec douceur de la crinière du valeureux destrier suite aux recommandations de Flamme, relevant son regard qui s’était un peu perdu dans la toison de la monture vers cet homme tout près d’elle, écoutant les dernières paroles qu’il lui partagea sur l’engagement de la légion qui nécessitait de s’y donner corps et âme, lui demandant donc si elle était prête à s’y donner entièrement.

« Je… Sire Flamme… Cela va peut-être vous paraître fou ou inconscient, mais… Je suis prête à tout donner dans cet engagement, aussi fou et dangereux soit-il. »

Répondit-elle en regardant dans les yeux le séduisant homme derrière elle, plongeant ses jolis yeux dorée dans les siens de feu, visiblement bien déterminée à s’engager dans cette folle aventure, dans laquelle elle espérait retrouver son jumeau disparu. Même si cela était grandement risqué car elle n’était pas sûre de le retrouver après tout ou peut-être qu’elle découvrirait qu’il n’était plus de ce monde, elle était prête à prendre ce grand risque et se donner corps et âme comme l’avait dit Flamme, car elle n’avait plus rien à perdre au final, peut-être même qu’elle avait à y gagner sans le savoir, gagnant une nouvelle vie et peut-être enfin une liberté en tant que Topaze ou Mielle pour le moment.

Mais après avoir donnée sa réponse au chef de cette petite troupe, tout en ne le quittant pas un instant des yeux, laissant quelques secondes de silence s’écoulaient après ses mots, le vaillant destrier se mit à se cabrer légèrement d’un seul coup sans prévenir, faisant ainsi légèrement glisser Topaze contre Flamme et cela malgré qu’elle était bien agripper à la crinière de l’équidé. Alors qu’elle avait enfin retrouver un teint pâle, elle se remit doucement à rougir en relevant son regard vers le terrannide lion en clignant doucement des yeux en se pinçant doucement les lèvres.

« Je… Navrée, je… Je tenais pourtant bien la crinière… Mais… Je… J’ai glissée… Désolée Sire Flamme…  »

La légion de l'Eternel Ardant

Légion

Le général regarda la jeune femme alors qu’elle était là, sur le lourd destrier, devant lui, entre ses bras, se tenant à la crinière. Elle était belle, oui, mais c’était sa stature frêle – généreuse par endroit certes, mais frêle, qui tapait dans l’œil, passé le cap de ses yeux  de topaze. Ou de miel ? C’était probablement la raison de son nom d’aliment. Oui, sans doute. Enfin bref. Elle était là, et elle comptait s’engager, et selon l’avis de Pyrrhus, elle ne comprenait pas à quoi cet engagement l’obligerait probablement. Elle ne pouvait pas comprendre sans être passée par les feux et les cendres. Et là, elle comprendrait.

« C’est ou et inconscient mais peut on s’engager dans une telle œuvre sans l’être… »

Oui, il fallait être fou. Il l’avait été, quand ils avaient fouillé la cité perdue. Et il y avait laissé plus que la vie. En retour, il avait tellement gagné… il en frissonna de satisfaction. A deux doigts d’émettre un feulement de contentement. Mais non, il n’était pas là. Elle ne comprenait pas du tout ce qu’elle allait devoir supporter. Ou alors elle le savait et elle s’en fichait. C’était à se demander ce qui était le pire.
A cause d’une aspérité ou quoique ce soit, l’animal fit un écart et la jeune femme glissa. Sans réfléchir, le terrannide la ceintura fermement et la retint. Elle se retrouvait calée contre lui, rougissante en levant les yeux vers elle.

« Ce n’est pas grave. Tu es entre mes bras, donc tu ne tomberas pas. »

Puis, avec un sourire, et un petit air moqueur, les yeux orangés pétillant de malice, il rajouta.

« Tu m’appelles Sire Flamme depuis tout à l’heure, mais c’est Flambe, pas Flamme… »

Il n’y avait pas de mal, bien sûr. Le général incognito relâcha un peu son étreinte sur elle, pour qu’elle se réinstalle un peu mieux, en travers de la selle.

« Mais accroche-toi mieux, ce serait dommage que je sois contraint de t’attacher en travers de la selle comme un gibier, n’est-ce pas ? »

Encore des moqueries. Mais si elles en étaient, elles étaient plus taquines qu’autre chose.

« Tu n’étaisjamais monté à cheval, n’est-ce pas ? »
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Topaze/Tobias De Ambre

Humain(e)

Alors que Topaze écouta Flambe lui répondre à l’affirmative que cela était peut être inconscient ou fou de sa part en effet de s’engager mais qu’il fallait l’être sûrement un peu pour se donner comme ça dans un tel engagement, la jeune femme tout comme le chef de la petite troupe se retrouvèrent à se rapprocher suite au cambrement du destrier qui avait dû voir ou éviter quelque chose, faisant glisser la noble demoiselle contre le terrannide lion qui la rattrapa sans difficulté.

Ce petit événement avait provoqué chez la jeune femme aux yeux d’or quelques rougissement accompagnés d’excuses, ce à quoi l’homme aux prunelle de feu vint la rassurer que ce n’était pas grave, venant ensuite la taquiner gentiment en étant amusé sur le fait qu’elle l’appelait Flamme et non Flambe depuis un moment. En entendant cela, Topaze cligna plusieurs fois des yeux rapidement et releva une de ses mains qu’elle mît devant sa bouche toute gênée en rougissant de plus belle, se demandant depuis combien de temps exactement elle faisait ça et comment même c’était possible qu’elle ait put faire ça d’ailleurs.

« Ho ? Je… Seigneur… Je suis sincèrement désolée Sire Flambe… Je… Je ne sais pas pourquoi, je… »

Elle le regarda dans les yeux en rougissant toujours, gênée de cette petite chose de rien du tout, se demandant comment elle avait pu transformer son nom comme ça. Tout en se perdant dans son regard alors qu’elle s’excusa, elle laissa tomber sa main doucement de ses lèvres pour venir la poser sur le col de sa robe, lâchant subitement quelques mots.

« J’ai peut être fait un amalgame entre votre nom et la couleur de vos yeux… Je… Désolée encore… »

Dit-elle en hochant doucement de la tête pour s’excuser, avant de se re-installer comme il se doit sur la monture, agrippant bien la crinière du destrier afin d’être sûre de ne pas le lâcher cette fois. Et tout en écoutant les petites taquineries du chef des jeunes soldats alors qu’elle s’assurait de bien tenir la toison de l’animal, elle ne put s’empêcher de rire doucement en l’entendant dire qu’il allait l’attacher comme un gibier avant de lui demander si elle c’était sa première montée à cheval, ce qui la fit rire de nouveau avant de rougir un peu en se sentant honteuse car c’était tout sauf sa première fois, ho non ! Elle avait l’habitude de monter à cheval autant en robe qu’en armure, mais seule en général, donc peut être qu’en étant avec quelqu’un et dans cette position, elle était maladroite et pas habituée c’était certain même.

« En fait si, je suis déjà monter à cheval Sire Flam… Sire Flambe. » dit-elle en se rattrapant, manquant de l’appeler encore Flamme, reprenant ensuite en souriant amusée de ça « Mais en général je monte seule… C’est la première fois que je monte avec quelqu’un pour être honnête. »

Avoua-t-elle finalement en riant en tournant légèrement sa tête vers lui, les joues un peu rouges mais un regard amusée et gênée d’avouer ça, une chose qui pouvait paraître insignifiante pour beaucoup mais qui pour elle signifiait beaucoup, car après tout, les demoiselles peu importe leurs rangs devraient être habituée à monter sur un destrier accompagné, mais elle non car elle n’avait jamais monté avec qui que ce soit finalement et elle était consciente que ça pouvait la rendre bizarre ou plutôt amusante qui sait.

La légion de l'Eternel Ardant

Légion

Pyrrhus rit de bon cœur de son erreur sur le nom. Ce n’était qu’un surnom, un sobriquet, pour qu’elle puisse comprendre la situation. Il lui fit un sourire avant de finalement lui faire un petit air canaille.

« Ce n’est rien… sire Flamme, c’est joli aussi. Tu dois bien te douter que ce n’est qu’un nom d’emprunt. Mais, dis-moi… tu aimes ces yeux de feu ? »

Oui, elle ne le voyait pas, mais si elle s’approchait assez, elle découvrirait alors qu’il avait des yeux qui n’étaient pas orange, mais qui étaient comme deux globes de flammes contenus derrière une rétine. Oui, forcément. C’était la preuve de son changement. De sa nature profonde désormais, général de la légion, âme de feu, corps de lion. C’était comme ça qu’il existait depuis des années. Immortel, renaissant quand il mourait. Tout simplement. … »

Il se pencha vers elle pour plonger son regard au plus près du sien, qu’elle puisse constater la danse des flammèches derrière les pupilles.  Il était dans la légion de l’Eternel Ardant, vouée à consumer le monde. Alors forcément, le feu devait la fasciner un tant soit peu.
Quant au cheval…

« Je vois, tu as l’habitude de monter comme une cavalière et non comme une femme, c’est cela ? Mais en robe, tu te retrouverais avec celle-ci retroussée jusqu’aux hanches. Tu préfères éviter, non ? »

A nouveau le ton un peu moqueur.

« Mais je note que tu aimes chevaucher. Qui sait, ça pourrait t’être utile. J’espère aussi que tu n’as pas peur du feu… »

Il lui saisit la taille et la serra un peu plus contre lui, pour l’empêcher de glisser, la collant, un peu, à son torse et même à son entrecuisse. Gênant ? Il s’en fichait.

« Et au final, tu aimes être à chevala avec quelqu’un ? Ou est-ce trop gênant ou délicat ? »

D’une pression des genoux, il fit légèrement accélérer sa monture, faisant passer le lourd cheval au trot, la secouant un peu quelques instants. Juste pour qu’il se raille un peu d’elle en douceur. C’était facile de se railler d’elle.

« Et sinon, Mielle, parles-moi un peu de toi. Tu dois bien avoir une raison pour te joindre à nous ? »
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Topaze/Tobias De Ambre

Humain(e)

Après s’être excusé de s’être trompée sur le nom du chef des jeunes soldats en l’appelant Flamme mais non Flambe, avouant au passage qu’elle avait peut être fait l’erreur à cause de la coloris de ses yeux, la jeune femme aux prunelles dorée put l’entendre rire de bon cœur à ses excuses et aveux tout en lui disant que ce n’était rien puis que de toute façon ce n’était qu’un nom d’emprunt, ce qui éveilla la curiosité de la demoiselle qui se demandait quel pouvait donc être son identité. Cela lui rappeler au passage qu’elle aussi utilisait un nom d’emprunt après tout, mais elle se demandait ce qui se passerait si on découvrirait cela, se demandant ce que cela pouvait avoir comme répercussions même.

Mais Topaze fut sortie rapidement de ses songes et quand elle entendit la suite des paroles de Flambe lui demander si elle aimait ses yeux de feu, elle put le voir se pencher plus vers elle, plongeant son regard dans le sien, la faisant doucement rougir par cette proximité avant de se concentrer sur les yeux de l’homme penchée au-dessus d’elle, admirant le spectacle qui se passait derrière ses pupilles comme si des flammes dansaient en arrière dans la couleur de ses prunelles.

« Vous avez vraiment des yeux… Magnifiques Sire Flambe…  Je dois avouer que… Oui, je… Je les apprécie beaucoup en effet… Ils sont captivants… »

Avoua-t-elle en rougissant de nouveau avant de se re-installer comme il faut sur la monture après cette petite mésaventure qui l’avait fait glisser contre le terrannide lion. Mais alors qu’elle s’installa tranquillement mais rapidement pour ne pas faire perdre de temps dans l’avancée de l’itinéraire, la jeune noble déguisée en domestique écouta attentivement ce que lui disait Flambe en hochant doucement la tête.

« C’est cela, j’ai l’habitude de monter plus en cavalière. Il m’est arrivée aussi de monter en amazone justement à cause des robes ou des jupes mais… Je dois avouer que malgré ces genres de vêtements, je monte plus souvent en cavalière au risque de dévoiler un peu trop mes jambes en effet… »

Répondit-elle en rougissant un peu d’avouer ça en entendant les railleries de l’homme à l’arrière d’elle qui reprit la parole ensuite, la faisant doucement hausser un sourcil intriguée de ses propos concernant le fait de chevaucher qui lui sera utile et aussi qu’il espérait qu’elle n’ait pas peur du feu, se demandant bien pourquoi il disait ça, se questionnant si ça avait un lien avec le fait qu’elle devra potentiellement livrer des messages ? Et quant au feu, elle se disait que ça avait sûrement un lien avec tout ce que l’on disait sur la légion de l’Eternel Ardent, non ?

Mais ne répondant pas à cela, au risque de passer pour une idiote peut être, elle se mit ensuite à rougir un peu plus en le sentant lui saisir la taille pour l’attirer contre lui en la plaçant bien contre son torse et son entre-jambe afin qu’elle ne puisse pas bouger. Oui, c’était un peu gênant comme situation, surtout qu’elle n’en avait jamais eu l’habitude, pourtant elle était quand même un peu habitué à être coller aux hommes pendant certaines danses dans les tavernes, mais là c’était différent et elle ne savait pas comment se l’expliquer, se demandant pourquoi elle sentait une telle différence à en avoir son palpitant s’emballer légèrement. Mais essayant de ne rien laisser paraître de ce qu’elle ressentait, à part la légère teinte rougeâtre sur ses joues de porcelaine, la jeune donzelle releva doucement sa tête pour regarder le chef des jeunes soldats, écoutant la suite de ses paroles lui demandant si elle aimait ça être à cheval avec quelqu’un.

« Je… Je dois avouer que ce n’est pas désagréable… C’est même plutôt plaisant… »

Finit-elle par répondre alors que ses joues étaient toujours légèrement teintées, baisant ensuite doucement sa tête alors qu’elle put sentir le cheval commençait à se mettre à trotter doucement, la faisant se coller encore plus contre Flambe par le mouvement de la monture qui accéléra le pas, alors que l’homme contre lequel était la demoiselle à la chevelure de neige lui demanda les raisons pour lesquelles elle souhaitait les rejoindre, la faisant doucement réfléchir à cela.

« Et bien… Je… Je dois bien avouer oui, j’en ai même deux pour être honnête avec vous Sire Flambe… »

Commença-t-elle d’une voix un peu base et le regard songeur vers la crinière du destrier qu’elle tenait entre ses mains, se disant qu’elle devrait être honnête, du moindre en partie.

« Je…  Je voudrais retrouver quelqu’un… Qui a disparu il y a des années et je me demande s’il est encore vivant… »

Poursuit-elle sur le même ton de voix, laissant sa tête tombait doucement sans s’en rendre compte contre le torse du chef des futurs héros -ou non- de la légion, son regard toujours pensif.

« Et… C’est peut être risible pour la seconde raison mais… J’ai juste envie de partir loin d’où je viens et d’y jamais retourner… »

Avoua-t-elle d’une traite en fermant les yeux, laissant son cœur parlait en disant ses raisons qui étaient pourtant vraies, mais sans trop s’étendre sur les détails et les raisons, ni sur sa véritable identité qui la faisait se questionner, se demandant de nouveau ce qu’il adviendrait d’elle si on découvrait qu’elle ne l’avait pas donné.

Puis Topaze sorta ses pensés de sa jolie caboche, rouvrant doucement les yeux en relevant sa tête vers le terrannide à la crinière magnifique, le regardant dans les yeux alors qu’elle se fit la réflexion qu’il était vachement plus proche d’un coup, ne se rendant pas encore compte qu’elle s’était laissé tomber contre lui, venant ajouter tout en plongeant son regard dans le sien.

« Est-ce que je peux vous demander, si cela n’est pas trop indiscret ou insolent, les raisons pour lesquelles vous avez rejoins la légion Sire Flambe ? »

Demanda-t-elle pas seulement pour faire la conversation mais parce-qu’elle elle était curieuse au sujet de cet homme qui ne la laissait pas indifférente même si elle ne comprenait pas vraiment pourquoi pour le moment.


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