Les sables du temps continuaient de s'écouler, inlassablement, irrémédiablement, érodant tout sur leur passage, les religion, les peuples, les villes et les civilisation. Pourtant, une chose n'avait toujours pas été érodé par cela pour le moment, en tout cas pour Klaus, c'était l’espoir.
Les années étaient passé, les nouvelles et les informations ne s'étaient pas arrêté, mais aucune trace de son peuple visible par lui même, et pourtant, il n'avait pas abandonné, il continuait, il gardait toujours espoir. Chaque nouvelle chance d’avancer était un torrent de force qui le poussait à continuer, a traverser ce monde aussi, remplis de paysage magnifique, dangereux et inconnue pour lui.
Mais grâce à ses périples, son chemin l'avait mené dans un endroit qui sonnait chaleureux à son cœur, un endroit qui lui rappelait son clan, ses terres, sa maison. Le sable se trouvait à perte de vue, les dunes formant monts et collines, tandis qu'au plus prés de l'eau se trouvait verdures et arbres. Klaus était ravis de revoir un paysage familier, mais il ne se leurrait pas non plus, car, avec une simple inspiration, il savait qu'il n'était pas encore chez lui. L'odeur du sable chaud, de l'eau, de la terre humide, elle n'avait pas la même que dans ses souvenirs, alors il se savait encore assez loin de son but, même si cette vision lui donnait du baume au cœur.
Klaus remontait donc le cours de l'eau, la suivant en marchant le long de celle-ci. Il aurait très bien put choisir de nager dedans, mais cela lui aurait réduit les odeurs qu'il pouvait sentir, alors il préférait rester sur la terre ferme, gardant une vue plus haute, même si à la vue de tous. De temps à autre, sous le soleil accablant de cette contrées, il allait tout de même s’immerger, soupirant de joie sous ce cours instant de repos dans sa longue marche.
Les heures passaient et le soleil continuait inlassablement sa ronde dans le ciel, venant doucement se couvrir du voile de la nuit, rosant la voûte céleste se trouvant au dessus du kroxigor. Sous ses pas écrasant herbes et couchant les roseau se trouvant sur son chemin, ses yeux s'ouvrir plus grand, venant à se redresser de toute sa taille. Il se mit à prendre de profondes inspiration, humant les odeurs l'entourant avec plus de force. Il avait senti quelque chose, il se sentait observé. Il avait vu les crocodiles, nombreux, qui le gardait à l’œil, mais il y avait quelqu'un d'autre, et la vague d’odeur qu'il venait de respirer ne fit que confirmer ses pensées.
Un parfum, fort, puissant, écrasant, une présence redoutable se trouvait là, tapis quelque part. Il n'avait jamais ressentis cela, même lors de son rite de passage à l'age adulte. Quelqu'un se trouvait non loin et représentait quelque chose de plus imposant que tout ce qu'il avait put rencontrer. Mais là n'était pas le plus gros point qui le travaillait. L'odeur était forte, mais elle imprégnait aussi les alentour depuis un bon moment eu vue de ses fluctuations, pour lui, cela ne voulait donc dire qu'une chose, il était sur son territoire.
les yeux des crocodiles brillait au dessus du fil de l'eau et les sien en faisait de même lorsque son regard laissait passer la lumière du jours tombante. Il savait qu'il aurait dut s'éloigner de cette endroit, mais quelque chose, dans ce qu'il ressentait, dans ce qu'il humait, lui disait de vouloir en voir plus, que sa soif de curiosité se devait être étanché. Il choisi donc d'avancer sur le bord de la berge, à découvert, puis, il se mit à poser ses deux genoux au sol, l'eau venant légèrement les lécher, ses mains posé sur ses jambes. S'il voulait rencontrer l’être qui peuplait ce lieux, il se devait d’être respectueux et surtout de montrer qu'il n'était pas venue sous des intentions belliqueuse.