Laelia suçait. Elle le faisait bien, avec cœur, et, quand je voyais le fond de ses yeux, je comprenais qu’elle ne le faisait pas par plaisir. Enfin, si, mais que c’était aussi une drogue, ce plaisir, elle avait la tête d’une camée en manque sur le point d’avoir sa dose, malgré les orgasmes précédents, comme s’ils n’étaient rien face à une bonne giclée de semence masculine. Ça ne me surprenait pas. Elle avait toujours eu, tout du longs, l’air de la manière d’être une salope. Elle avait tout enduré et n’avait jamais protesté.
Bon, j’idéalisais peut-être un peu. Toujours était-il qu’elle ne semblait même pas se faire le moindre souci quant à sa nouvelle vie. Elle suçait et finit par me faire craquer, savourant la généreuse dose de semence qu’elle but jusqu’à la lie, avalant sans fausse retenue, par pure gloutonnerie, suçant la moindre goutte avant de relâcher mon sexe.
« Repue, petite chienne ? » [/i]
Je pariais que non, et alors que je lui caressais les cheveux, je lui disais, avec amusement.
« Je suis sûr que non. Trop gourmande et trop avide, n’est-ce pas ? » [/i]
Je la relâchais et je regardais le sol, y voyant la trace de ses plaisirs successifs. C’était bien, une belle manière de montrer ce qu’elle valait vraiment.
« Et tu as très bien joui aussi. C’est bien… » [/i]
Je lui caressais un instant les cheveux, avant de finalement réfléchir, sans trop me soucier d’elle, comme si elle n’était qu’un objet parmi d’autre avant de lui dire, revenant comme à la réalité de l’instant, à la présence de la putain docile à mes pieds.
« Tu dois être épuisée, non ? Tu devrais peut-être te reposer, pendant que je fais quelques emplettes pour t’équiper comme il faut, Qu’en penses-tu ? J’ai beaucoup à faire pour te rendre heureuse… » [/i]
D’ici là…
« Je te conseilles de le faire avec au moins un plug anal… je pourrai avoir envie de t’enculer à mon retour… » [/i]