Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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[Terminé][Contenu sensible] Trop en voir condamne à un cauchemar ? [Pv]

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Laëlia

Dieu

Re : [Contenu sensible] Trop en voir condamne à un cauchemar ? [Pv]

Réponse 45 jeudi 29 février 2024, 17:30:25

Ses petites caresses me font espérer qu'il va avoir suffisamment pitié de moi et de ce qu'il vient de me faire subir pour me laisser souffler, me nettoyer, et rentrer me reposer. Mais ses plans ne sont jamais ceux auxquels je pense, j'attrape le broc avec un regard écœuré mais je tache de ne pas m'y attarder, avant de m'avancer vers la porte de la petite pièce qui m'isolait jusqu'à présent du reste de l'hôpital. Je déglutis difficilement, tétanisée à l'idée de croiser quelqu'un, ce qui finira nécessairement par arriver, et affolée à l'idée qu'il vienne chez moi, dans mon intimité et mon espace personnel, le seul que je préserve justement de toute intrusion extérieure trop importante.

Mais je sais que je n'ai pas vraiment mon mot à dire, alors je me mets en marche, ignorant la douleur de mes talons qui laisseront certainement des ampoules à mes pieds. Nous ne croisons personne à part un agent d'entretien décontenancé et quelques patients aux regards pervers jusqu'à la sortie. Mais lorsque je me retrouve dehors, poussée par mon Maître qui ne cesse de m'allumer par des propos tous plus obscènes les uns que les autres, les regards se font bien plus nombreux et mauvais. Je me fais littéralement fusillée du regard et même interpellée par une bonne femme qui m'insulte carrément, se dit-elle choquée par mon apparence.

J'accélère alors le pas, baissant le regard, jusqu'à ce qu'il décide que nous prenions un taxi. Je suis un peu soulagée de monter dans l'habitacle mais le trajet ne dure pas suffisamment longtemps, et pour couronner le tout, je me retrouve à devoir payer le chauffeur. Non pas que l'argent soit un problème dans le fond, mais je dois dire que cela me contrarie un peu.

Arrivés devant mon appartement, j'arrive à marcher un peu mieux, sans doute que mes capacités de régénération sont à l'œuvre pour réparer les dégâts causés sur mon corps mais il n'empêche qu'une bonne douche sera certainement ce qui me permettra d'aller vraiment mieux.

J'attrape le jeu de clés dans mon sac pour pouvoir ouvrir la porte de l'appartement devant lequel nous nous trouvons. Lorsqu'il m'interroge sur mon état d'esprit, je me sens un peu perdue. Je ne sais pas si le mot heureuse est le plus approprié, et en même temps, quelqu'un qui s'occupe vraiment de moi, ce n'est finalement pas si commun. Et le sexe ne sera clairement plus un problème... j'attrape la poignée pour ouvrir la porte au moment ou il se met à me peloter et à me demander à quoi s'attendre, et je lui répond du bout des lèvres.

- Oui je suis heureuse que vous vous occupiez de moi. Et pour l'appartement...

Je n'avais évidemment pas prévue de recevoir de la visite alors ce qui est habituellement caché dans mes tiroirs, cette fois-ci, ne l'est pas. L'entrée s'ouvre sur un petit appartement à la décoration assez simple, une grande pièce à vivre dans laquelle se trouve une table basse, un canapé et une télévision, un petit coin cuisine avec le minimum de ce qu'il faut pour une jeune femme qui ne passe pas beaucoup de temps chez elle. Et une chambre qui respire le sexe, avec une salle de bain attenante qui permet de se nettoyer. Plusieurs jouets sexuels trainent dans la pièce principale et la chambre, tandis que de la lingerie bien trop aguicheuse se balade sur le lit et le canapé. Il peut aussi apercevoir l'installation "maison"  avec trépied et appareil photo dans un coin de la chambre qui me permet de me photographier et me filmer.

- Eh bien... voici mon chez moi. C'est... euh... simple.

Je n'allais pas lui dire que ça aurait pu être l'appartement d'une véritable actrice porno. Même si ça sautait un peu aux yeux.

Draven Dairn

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Voilà, nous y étions, j’étais curieux de voir à quoi ressemblerait la niche de ma jolie petite chienne au corps d’ébène…  J’avais hâte de lui montrer que même chez elle, elle serait à moi complètement. En avait-elle invité beaucoup ici ? J’en doutais beaucoup. Je lui caressais les cheveux tendrement, alors qu’elle prenait ses clefs et ouvrait la porte de chez elle. Nous entrions alors.

« Je sais que tu mens, ma petite chérie, mais un jour ce ne sera plus le cas.  Tu comprendras ton vrai bonheur… »

Nous entrâmes et je découvrais son bel appartement. Il me sembla petit, un vrai clapier, ce qui était parfait pour cette lapine. Il y avait une jolie pièce à vivre, quoiqu’un peu désordonnée mais bien équipée avec même du matois pour se filmer. Je lui caressais le ventre.

« Tu es bien équipée pour faire la salope dis donc. »

Je la lâchais et j’allais voir la chambre. Difficile de louper les petites tenues aguicheuses… logique. En fait c’était tellement évident que ça me faisait marrer. Et pas qu’un peu. E prenais même ce qui semblait être un body presque transparent et je revenais vers elle.

« Donc ce n’est pas juste avec moi, c’est tout le temps ? Une vraie petite nympho dit donc… »

Je jetais le boy sans trop m’en soucier par-dessus mon épaule et cette fois, je ne me privais pas. Je déchirais ses fringues en tirant dessus, révélant sa nudité la plus simple.

« Tu seras toujours à poil en ma présence. Toujours bien prête à être utilisée. C’est la moindre des choses. »

Ce qui me faisait penser.

« Vus les lieux, tu dois bien avoir des joujoux pour te faire plaisir, non ? Je voudrai bien que tu me montres ta collection… après on verra pour réarranger les lieux… ce n’est pas des plus adaptés pour tes vrais besoins. »

Laëlia

Dieu

Je le laissais découvrir les lieux et pénétrer dans ma plus stricte intimité. Il était évidemment curieux, le logement de quelqu'un en disait toujours beaucoup sur sa personnalité. Et la mienne était facilement perceptible. C'était d'autant plus évident lorsqu'il remarqua le matos et la lingerie sexy. Il revient d'ailleurs avec un body à moi que j'apprécie particulièrement tout en semblant comprendre à quel point le sexe est omniprésent dans ma vie.

- J'aime ça oui... alors c'est tout le temps.

Je me fais surprendre bêtement lorsqu'il arrache mes vêtements souillés qui tombent au sol et que je sursaute. Mon corps réagit instinctivement et s'excite. Je dois dire que je me sens bien plus à l'aise à l'idée d'être nue chez moi même si je sais qu'il est capable du pire. J'aime la sensation de l'air contre ma peau nue. Alors lorsqu'il exige que je sois toujours en tenue d'Eve en sa présence j'acquiesce d'un mouvement de la tête.

- Je tâcherai d'être prête à vous recevoir.

Je commençais sans doute un peu trop à m'acclimater à mon nouveau statut de petite chienne personnelle à son Maître. Un bref sourire etire même quelques secondes mes lèvres lorsqu'il évoque ma collection de jouets. Elle avait suffisement grandit au fil du temps pour convenir à chacune de mes envies ou de mes besoins. Il allait être servi.

Je disparais quelques secondes pour aller chercher  une imposante maletre que je pose sur la table du salon. Je ne tarde pas à l'ouvrir pour lui permettre de découvrir une importante collection de chibres, une dizaine, de tailles et de style différents, classés du plus petit au plus grand. La rangée du dessous comporte différents plugs, chapelets, vibros, anneaux vibrants... tout y passe. Tout ça sans compter les quelques jouets qui se baladent dans l'appartement dont une belle queue à ventouse dans la chambre sur lequel je me suis empalée le matin même.

- Voilà tout ce que j'ai.


Draven Dairn

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Je la trouvais un peu trop libre dans la manière de s’adresser à moi, aussi, si la première fois je laissais passer te que la seconde, j’acceptais, la dernière, quand elle eut posé sa boite outil, je lui donnais une claque, une claque qui n’avait pas pour seul but de faire du bruit et de choquer, mais aussi de faire mal.

« C’est la dernière fois que tu t’adresses à moi sans la plus élémentaire des politesses. Tu es une chienne, une pute, un sextoy, une poupée à ma disposition, et je suis ton maitre. Appelle-moi comme tel. Je ne me répèterai pas. »

Le gros avantage, c’était que j’avais une longueur d’avance en matière de menace. Elle savait ce qu’elle risquait et elle savait que je n’hésiterai pas un seul instant, donc cette remise au point serait probablement la dernière. Enfin, espérais-je. Je lui fis un sourire et je regardais un peu son attirail. J’émettais un sifflement.

« Eh ben. Et tu me cassais les oreilles à chialer quand je t’ai enculée… tu te foutais salement de moi, n’est-ce pas ? »

Ce n’était pas une véritable question, dans l’absolu. Juste une remarque, et un oui ou un non serait mal vu.

« Je considèrerai donc que tu peux encaisser tes plus gros calibres dans n’importe quel trou sans broncher. C’est une base passable, mais je ne tolère que l’élite, alors il va falloir améliorer ça. Et prendre plus gros. Nous règlerons ça après… »

Je laissais de côté les jouets sans les utiliser sur elle et je faisais la moue.

« Bon, je suppose que les lieux iront pour le moment. Mais tu devras sans doute bientôt déménager. Et sinon, tu n’as pas de collier, de harnais, et autre ? Je veux avoir une vue d’ensemble de tes accessoires qu’ils soient sexuels ou cosmétiques. »

Puis une idée me vint.

« Ah et comme tu es ma petite chienne, tu ne te déplaceras qu’à quatre pattes en ma présence aussi, tu as une petite gueule pour déplacer des objets ou autre. Alors autant l’utiliser, non ? ça changera de la pipe. Et nous verrons aussi les autres codes physiques de ta nouvelle vie... »


Laëlia

Dieu

Re : [Contenu sensible] Trop en voir condamne à un cauchemar ? [Pv]

Réponse 49 mercredi 06 mars 2024, 11:08:19

La claque me tire un couinement de douleur, d'autant plus que je ne la vois pas vraiment arriver. Bon, je ne l'avais pas volée, les larmes me montent mais je les retiens avec pudeur. Je n'étais pas habituée à être contrainte dans mon espace personnel, alors les "bonnes habitudes" se perdent vite... Il était entrain de briser les maigres barrières que j'avais érigée pour me protéger. Il était réellement entrain de faire de moi sa chose et il ne manquait pas de me le rappeler. Le peu d'amour propre qu'il me restait encore disparaît alors, écrasé par son autorité débordante et la menace de ce qu'il est capable de me faire.

- Je vous prie de bien vouloir m'excuser Maître, je ne manquerai plus à mes obligations.

Je baisse le regard, déboussolée, tandis qu'il considère tout mon attirail en sifflant, m'accusant même d'avoir jouer les petites natures. J'imagine que lui répondre que lorsque je me fais plaisir par l'anal je prépare un minimum mon corps n'est pas la meilleur des manières de m'éviter des problèmes. Non parce que se faire enculer sans un peu de préparation, ça reste quand même affreusement douloureux, même pour moi qui adore ça. Alors je reste silencieuse, évitant même de respirer trop fort, tandis que je regarde le plus épais et long des jouets sans pouvoir m'empêcher de penser qu'il ne sera décidemment jamais satisfait si il souhaite que j'encaisse encore plus que ça.

Mais chaque chose en son temps. Ou plutôt chaque problème en son temps. Je me mord la lèvre lorsqu'il me parle de déménager, pour éviter de répliquer, car ce n'était jusqu'alors absolument pas dans mes projets. Mais je sais pertinemment que je n'ai plus rien à dire et que ma liberté s'est envolée à l'instant même où il a posé son regard sur moi. C'est juste un peu difficile à admettre. Je vais chercher les quelques accessoires qui complètent mes jouets, bien moins enjouée cette fois, et les pose à côté de la mallette, sur le canapé, sans trop faire la maligne. La collection est moins conséquente, pas de harnais, mais deux colliers, l'un fin, l'autre épais, tous deux en cuir rose, des paires de menottes en dentelle pour les poignets et les chevilles et un bandeau pour dissimuler le regard. Du soft.

- C'est tout ce que j'ai, Maître.

Et j'insistais sur le "Maître", comme pour rattraper un peu mon affront précédent. J'avale un peu de travers lorsqu'il me demande ensuite de me déplacer à quatre pattes en tous temps et je mets d'ailleurs quelques secondes avant de tilter qu'il est vraiment sérieux. La marque de sa claque imprègne sans doute encore ma peau et je préfère éviter de réitérer l'expérience, alors j'obéis, et me mets à quatre pates à côté de lui, réduite à la condition d'un véritable animal. Je panique sans doute un peu à l'intérieur de moi à l'idée de connaître les autres codes dont il parle, mais j'imagine que je saurai très rapidement à quoi m'en tenir. 

Draven Dairn

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Re : [Contenu sensible] Trop en voir condamne à un cauchemar ? [Pv]

Réponse 50 mercredi 06 mars 2024, 20:39:06

Elle ne se rebella pas. Je m’en doutais. Elle connaissait son rôle, et savait y rester, pour le moment ; je lui fis un sourire avant de finalement lui tapoter les cheveux quand elle me dit qu’elle avait tout amené. Pas de harnais, deux colliers, et rien de bien transcendant. Quelque chose me disait qu’elle n’avait jamais connu la brulure du chanvre. Et cette brulure, elle la découvrirait tôt ou tard.

« C’est maigre. »

Je poussais les affaires qu’elle y avait installé pour m’asseoir dans le canapé, m’y laissant tomber, même, plutôt. Dans un léger soupire de satisfaction.

« Allez, approche fifille... »

Fifille, c’était temporaire, bien sur. En attendant de trouver mieux. Mais ça irait pour le moment. J’attirais sa joue contre ma cuisse et je lui caressais les cheveux, là, comme ça.

« Nous allons devoir faire des courses et pas qu’un peu, pour que tu sois vraiment bien ici. Et déplacer des meubles, mettre un dressing dans l’entrée, par exemple, pour que tu te déshabilles avant d’entrer et que tu n’en mettes pas de partout. Tu me feras d’ailleurs le plaisir de tenir cet endroit rangé et propre. Qu’il pue la chienne en chaleur est une chose. Qu’il soit bordélique en est une autre. »

Je continuais à caresser sa chevelure sombre, avant de commencer doucement à me pencher sur elle et dompter ladite longue chevelure en une natte, que je faisais patiemment, en silence.
Silence que je brisais à la fin.

« Comment va ton cul ? Tu es consciente qu’il est hors de question que je prenne patiemment le temps de te préparer, ou que tu te prépares avant que je t’encule, n’est-ce pas ?  Que comptes-tu faire pour remédier à ce genre de cas ? »

Je devrais l’appeler Dolly, peut-être ? C’était joli, ça sonnait bien.

Laëlia

Dieu

Re : [Contenu sensible] Trop en voir condamne à un cauchemar ? [Pv]

Réponse 51 mercredi 06 mars 2024, 21:24:49

"C'est maigre". Je baisse les yeux, consciente qu'il y avait beaucoup de chance que cela ne lui suffise pas. En même temps, je n'avais pas l'habitude de pousser le vice aussi loin que ce à quoi il était visiblement habitué. Quand bien même ma pratique du sexe soit conséquente et le nombre de fois où je suis susceptible de m'envoyer en l'air dans la journée, je n'avais jamais tourner dans le hardcore, et encore moins comme ce qui venait de se passer aujourd'hui.

Je craignais une réprimande plus importante, mais il se laisse tomber mollement dans le canapé et semble mettre de côté mes jouets et accessoires. J'approche à sa demande d'une démarche peu assurée, à quatre pattes, ma joue se retrouvant affalée contre sa cuisse,, tandis qu'il se décide à me révéler un peu plus de ce qu'il a en tête.

Changement de mobilier, changement de vêtements, d'habitudes... j'étais loin d'être prête à affronter ce qui allait devenir mon quotidien. Je grimace un peu, discretement, lorsqu'il me parle de la manière de tenir mon appartement. Je n'étais certes pas la fille la plus ordonnée mais au point de me trouver bordélique... il faut dire que je n'étais pas souvent à l'appart, entre mes études, mon boulot au sex-shop, mes sorties... alors ranger n'était pas ma priorité.

- Oui, Maître.

Inutile de protester, même si une question m'angoissait de plus en plus. Avec les plans qu'il semblait me réserver, aurais-je encore l'occasion de maintenir mon rythme de vie professionnel ? Je n'en n'étais pas certaine...

Je frissonne un peu lorsqu'il se met à me tresser les cheveux, étonnée d'ailleurs qu'il joue avec ma chevelure difficile à dompter. Le silence s'installe avant d'être brisé par une question à laquelle je n'ai pas envie de répondre. Et si je n'ai pas envie d'y répondre, c'est parce que imaginer que mon cul se déchire de l'intérieur à chaque fois que lui prend l'envie de m'enculer ne me réjouis pas vraiment. Alors je fais l'effort de lui donner la seule réponse qui me paraît censée.

- Il va mieux, Maître. Je pense que je peux m'entraîner à la rendre plus élastique.

C'était certainement le seul moyen. Sauf que cela risquait de demander beaucoup d'entraînement. Sans parler du fait que ma régénération cellulaire accélérée n'allait pas aider dans le processus...

Draven Dairn

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Elle ne faisait plus la fiérote. Maintenant, elle avait clairement le bon rôle… c’était une très bonne chose qu’elle ne cherche pas à s’en extraire ; elle acceptait la situation, et c’était une bonne chose. Je me contentais de faire un signe de tête positif devant ses réactions. D’aucun l’aurait trouvée éteinte. Mais ce n’était pas un problème. Loin de là, même. Je lui fis un sourire avant de finalement lui tapoter les cheveux doucement. C’était vraiment bien. Tout simplement.

Elle mit un peu de temps à me répondre. Normal. Mais elle finit, bien qu’un peu à contrecœur, je le sentais, par me répondre.

« Oui, c’est une option. L’autre option serait de le garder plein en permanence de quelque chose d’assez gros… »

En même temps, ça revenait un peu même, non ?

« Mais c’est une bonne chose que tu acceptes l’idée de t’entrainer. Il faudrait sans doute que tu y passes pas mal de temps et que tu ne ménages pas tes efforts. Il faut souffrir pour être parfaite, n’est-ce pas ? »

Je glissais ma main pour lui prendre son sein et le malmener un peu, venant pincer et tirer un peu sur le mamelon, avec amusement. J’aimais ce mamelon sombre qui durcissait si facilement… c’était vraiment une bonne fille que j’avais obtenu, là… je venais prendre le second en même temps et je lui faisais subir un sort similaire.

« Tu as vraiment de très beaux seins. Lourds, généreux, gonflés d’envie, comme s’ils appelaient à être pétris, pincés et bouffés… »

Je lui mis une petite claque sur le sein, assez douce par rapport à la précédente.

« Tu n’as pas jouis depuis trop longtemps… tu as plein de jouet, et un con avide, je suis sûr. Alors je t’en prie, jouis à nouveau. Trois fois. Et cette fois, je t’ordonne de préparer ton cul car je te jure que je vais t’y faire ressentir quelque chose que tu pensais impossible… »

Laëlia

Dieu

Mon rôle était clair et je tachais de m'y conformer sans trop faire de vagues. Me rebeler s'avererait contre productif et je risquais juste de me bruler les ailes. Alors je me disais que si j'allais dans son sens, que j'étais une bonne chienne, je devrais pouvoir survivre. Ma situation finirait bien par s'améliorer à un moment donné ou un autre non ? Dumoins je m'accrochais à cette idée.

L'idée de m'entraîner semble lui convenir, même si il émet une autre proposition qui me crispe un peu. Avoir le cul plein en permanence n'est pas une idée très aguicheuse. J'acquiesce néanmoins lorsqu'il me met en garde sur les efforts intenses que je vais devoir fournir. J'en ai pleinement conscience et je le lui dis.

- Je ferai tout ce qu'il faut pour vous satisfaire Maître

Je n'aurais de toute façon pas trop le choix. Mais pour le moment, c'est plutôt lui qui satisfait à mes besoins naturelles,, ses mains qui viennent jouer avec ma poitrine me feraient presque gémir, mes extrémités se dressent aussitôt et mon envie se réveille irrémédiablement. Je ne peux pas cacher que le traitement est agréable, et le fait qu'il trouve ma poitrine aussi plaisante flate malgré tout mon ego.

Il doit certainement le percevoir et m'ordonne alors de me faire jouir plusieurs fois. Je le regarde avec des yeux brillants. Il n'a pas tort, le sexe est un besoin compulsif chez moi et je serai sans doute prête à faire n'importe quoi pour avoir ma dose. Il m'en faut très peu pour décoller et c'est quelque chose qu'il semble avoir compris aisément.

Je me decale alors un peu, tout en restant à quatre pattes pour attraper deux jouets dans la malette. Un sexe assez réaliste de gabarit assez epais, avec une option vibrante, lequel atterrit rapidement entre mes cuisses pour penetrer mon intimité déjà humide. Ainsi qu'un plug anal plus simple, noir, qui trouve son chemin jusqu'à mon petit trou après que je l'ai légèrement lubrifier de mes propres fluides. Un soupire de soulagement quitte mes lèvres lorsque les deux objets sont installés en moi et que la sensation habituelle de plaisir se fait ressentir. Mais son avertissement quant à la préparation de mon cul me revient vite en mémoire et je décide alors de me focaliser sur celui-ci, bien décidée à me préparer du mieux que je le peux pour limiter les dégâts.

Je me mets alors à gémir, à quatre pattes face à lui, prête à faire ce que je sais faire de mieux, jouir comme une chienne, cette fois ci reconnaissante de pouvoir soulager un peu de mes pulsions.

Draven Dairn

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« Cest le minimum… » [/i]

Oui, tout faire pour me satisfaire était une bonne chose. Mais c’était le minimum syndical. Elle devait aller au-delà de cela. Me satisfaire et c’était tout, c’était quand même sacrément limite, non ? Il fallait qu’elle fasse plus, qu’elle travaille plus dur, qu’elle se montre plus douée… c’était bien tout ce que je lui demandais. Et ce n’était pas grand-chose, au fond, pour garder un peu de liberté. Parce que sinon, aussi, je pouvais l’emmener avec moi et lui faire connaitre pire. Bien bien pire ! Je la regardais alors qu’elle décalait un peu, à quatre pattes, pour prendre deux jouets, un sexe en plastique épais et un petit plug anal bien trop simple à mon gout. Mais c’était le début. Je la lassais faire et je la regardais commencer à jouer doucement, gémissant même ses plaisirs et ses envies. Allons donc !

Je la regardais faire avant de me contenter de m’avancer un peu dans sa direction et je lui crachais au visage, sans la moindre once de respect.

« Dépêches toi. » [/i]

Je n’avais pas l’impression de trop en demander, en fait. Loin s’en fallait ! Je la regardais dans les yeux un moment avant de finalement venir saisir ses cheveux, sa natte, et la tenir ainsi, tirant doucement dessus.

« Je sais que tu es capable de beaucoup mieux. Ne me force pas à en arriver à m’en charger… » [/i]

D’ailleurs tant qu’à faire.

« Je sais, suce moi en même temps. Et si tu n’as pas joui au moins trois fois avant moi, je te jure que tu prends la ceinture. » [/i]

Autant la motiver.

« Et je ne parle pas de jouir sagement. Mais jouir comme une pute, éclaboussant le sol et tout le toutim ! Je veux voir ton vrai niveau, Pupuce ! » [/i]

Je ricanais.

« Vraiment bonne qu’à ça… » [/i]

Laëlia

Dieu

J'avais conscience que je devais m'attendre à tout venant de lui, mais lorsqu'il me crache au visage, j'ai du mal à rester impassible. Pourtant, je ne fais pas le moindre geste pour ôter l'amas glaireux de mon visage, de peur sans doute que cela lui déplaise, et me contente de baisser le regard. Le respect, c'était certainement une notion que je ferai mieux de rayer de mon vocabulaire puisque j'étais presque certaine que je n'y aurais plus jamais le droit.

Je comprends rapidement que je ne suis pas assez diligente à son goût, alors pour éviter la moindre représailles, j'accélère le mouvement. Je hoche doucement la tête pour lui signifier que je vais m'exécuter et j'active discrètement la fonction vibrante du jouet niché à l'intérieur de ma chatte. La menace de la ceinture m'effraie suffisamment pour être source de motivation, alors je me laisse prendre par le plaisir et je me rapproche rapidement d'un premier orgasme. C'est le moment qu'il choisit pour me demander de le sucer et je ne perds pas de temps à le satisfaire. Une première jouissance me fait gémir bruyamment tandis que je le débarrasse rapidement de son pantalon que je tire jusqu'à ses chevilles pour me donner accès à l'objet de mes désirs.

La vision de sa queue provoque une vague d'excitation au niveau de mon bas ventre et je ne peut me contenir de venir la chercher avec ma langue pour la faire durcir suffisamment. Mon regard avide croise le sien quelques secondes et je relève à peine la tête, tout en bougeant le plug entre mes fesses pour lui dire.

- Oui Maître. Merci de me laisser vous sucer.

Il fallait être aveugle pour ne pas voir que la fellation me rendait chienne, je me jette presque sur lui avec l'envie de le dévorer, mes lèvres se resserrant autour du membre rigide pour commencer de profonds mouvements de vas et vient. Je ne cessais dans le même temps de me stimuler avec les jouets et rapidement, un deuxième orgasme m'emporte comme un ras de marée, cette fois-ci plus violent, laissant quelques goutes de mon plaisir s'échouer au sol.

Je ne le délaisse pas pour autant, même si j'ai du mal à rester concentrée, et je m'applique comme toujours dans mon ouvrage. J'alterne entre coups de langue et vas et vient, tentant de le prendre toujours plus loin en bouche jusqu'à ce que le reflexe nauséeux m'oblige à reprendre mon souffle. Mes yeux sont brillants sous l'effort et mes joues rougies, pour autant le plaisir qui continue de me submerger en parallèle me met à bout de souffle. Mes gémissements emplissent et raisonnent dans la pièce et je sais que le troisième orgasme n'est plus si loin et s'annonce dévastateur.

Je continue de le sucer avec avidité mais je fini par lâcher les jouets qui restent enfoncés dans mes orifices tandis que mon corps se crispe à allure régulières jusqu'à ce que le plaisir atteigne son paroxysme. Je me mets à caresser frénétiquement mes seins, tirant sur mes mamelons, agitant mon bassin comme une forcené tandis que je fini par jouir d'une manière encore plus puissante que les deux premières fois. Cette fois-ci, j'arrose clairement le sol de ma mouille, comme une vrai salope façonnée pour le sexe, désormais en conditions pour obéir au moindre de ses ordres.

Draven Dairn

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Au moins, elle se démenait et se donnait du mal. C’était bien le moins que j’espérais venant d’elle. La bougresse à la peau sombre avait prouvé qu’elle avait de la bouteille. ? mais le moins que l’on puisse espérer. Je la regardais avec un œil sévère, mine de rien, alors qu’elle jouissait en sortant mon sexe. Bon, c’était faiblard et potentiellement simulé. Bien sûr. Mais bon, c’était de bonne guerre et je lui laissais le bénéfice du doute.
En tout cas, j’adorai voir le visage de la jeune femme à l’aperçu de mon sexe. Un égard captivé. Comme si elle n’avait rien vu de si beau, de si désirable. Je souris. Vraiment, cette manière qu’elle avait de regarder mon sexe comme si c’était le plus parfait chose au monde pour elle, j’adorai. C’était dire à quel point elle était complètement matraquée par le sexe, cette petite chienne.

« Tu es une suceuse avant tout, n’est-ce pas ? » [/i]

Je caressais sa joue, creusée par la succion. Elle savait sucer, je l’avais constaté et pas qu’un peu. Ma main serrait ses cheveux et je savourais, la sentant donner tout ce qu’elle avait, et je savais qu’elle était capable de tout donner. Elle agissait avec moi, et à raison, comme si sa vie en dépendait. C’était en effet peut-être le cas.
Deuxième orgasme, plus violent. Mais pas encore ce que j’attendais.
Elle faisait ce qu’elle devait. Et elle le faisait bien. Elle avait les yeux larmoyants, et l’air un peu hagard de celle qui manquait d’air. Pour ma part, je savais qu’elle perdait un peu pied. Cela se voyait. C’était l’évidence même… en même temps, elle était douée… difficile de le nier. Et elle était comme une camée en manque.

Et le troisième orgasme vint, cette fois, je la sentis vraiment se raidir, et éclabousser son sol comme si elle avait pissé tant c’était abondant… voilà, c’était ça que je voulais voir. D’ailleurs je souris, lui caressais la joue, et je lui disais alors.

« Bien. C’est bien. » [/i]

Je lui fis un sourire encourageant ;

« Tu devrais jouir comme ça tout le temps. » [/i]

Je lui pinçais doucement la joue.

« Savoure ton premier repas de femelle domestiquée. De chienne en collier. Fais-moi jouir. Gave-toi de foutre. » [/i]

Laëlia

Dieu

Le dernier orgasme est incontrôlable, mais je sais que c'est ce qu'il attend, alors je ne cherche pas à me retenir. J'explose au milieu de mon petit salon, me retrouvant rapidement dans une petite flaque qui témoigne de mon plaisir sans jamais cesser de m'atteler à la tâche et de le sucer avec avidité. Sans doute l'expérience dans ce domaine m'aide à concilier les deux, mais c'est surtout l'excitation de pouvoir profiter de son sexe comme si c'était le plus beau des  cadeaux qu'on m'ai fait qui me pousse à continuer.

J'apprécie ses caresses et l'air de satisfaction que je lis dans son regard. Je me sens même fière de moi et cela m'incite à poursuivre sur cette voie la. Alors lorsqu'il me demande de le faire jouir, je me concentre cette fois ci pleinement sur lui et mets encore plus de cœur à l'ouvrage avec le désir certain de sentir tout son foutre remplir ma bouche.

Le plaisir que je prends est évident, je délaisse par moments sa belle queue pour venir glisser ma langue sur ses bourses que je gobe chacune leur tour, avant d'enserrer à nouveau mes lèvres sur le membre palpitant, dopée aux endorphines de mes précédents orgasmes et de l'excitation que me procure cette intense fellation.

Je suis bien trop déterminée à le faire gicler pour que les choses ne s'éternisent d'avantage. Je pompe encore et encore, mes joues se creusant au rythme de mes vas et vient, tandis que je sens avec délice son chibre durcir plus encore, signe évident qu'il n'est plus très loin d'atteindre le point culminant de son propre plaisir.

Je ferme même les yeux par instants, tellement je savoure le moment, sans doute aurais je été capable de jouir rien qu'en le suçant de la sorte. Mais c'est désormais sa jouissance qui m'importe et quand je sens enfin le premier jet de foutre inonder l'intérieur de mes lèvres, je soupire de satisfaction, avalant la moindre goute de semance qui s'échoue dans ma gorge jusqu'a ce qu'il ai entierement fini de se vider.

Draven Dairn

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Re : [Contenu sensible] Trop en voir condamne à un cauchemar ? [Pv]

Réponse 58 mercredi 20 mars 2024, 21:38:01

Laelia suçait. Elle le faisait bien, avec cœur, et, quand je voyais le fond de ses yeux, je comprenais qu’elle ne le faisait pas par plaisir. Enfin, si, mais que c’était aussi une drogue, ce plaisir, elle avait la tête d’une camée en manque sur le point d’avoir sa dose, malgré les orgasmes précédents, comme s’ils n’étaient rien face à une bonne giclée de semence masculine. Ça ne me surprenait pas. Elle avait toujours eu, tout du longs, l’air de la manière d’être une salope. Elle avait tout enduré et n’avait jamais protesté.
Bon, j’idéalisais peut-être un peu. Toujours était-il qu’elle ne semblait même pas se faire le moindre souci quant à sa nouvelle vie. Elle suçait et finit par me faire craquer, savourant la généreuse dose de semence qu’elle but jusqu’à la lie, avalant sans fausse retenue, par pure gloutonnerie, suçant la moindre goutte avant de relâcher mon sexe.

« Repue, petite chienne ? » [/i]

Je pariais que non, et alors que je lui caressais les cheveux, je lui disais, avec amusement.

« Je suis sûr que non. Trop gourmande et trop avide, n’est-ce pas ? » [/i]

Je la relâchais et je regardais le sol, y voyant la trace de ses plaisirs successifs. C’était bien, une belle manière de montrer ce qu’elle valait vraiment.

« Et tu as très bien joui aussi. C’est bien… » [/i]

Je lui caressais un instant les cheveux, avant de finalement réfléchir, sans trop me soucier d’elle, comme si elle n’était qu’un objet parmi d’autre avant de lui dire, revenant comme à la réalité de l’instant, à la présence de la putain docile à mes pieds.

« Tu dois être épuisée, non ? Tu devrais peut-être te reposer, pendant que je fais quelques emplettes pour t’équiper comme il faut, Qu’en penses-tu ? J’ai beaucoup à faire pour te rendre heureuse… » [/i]

D’ici là…

« Je te conseilles de le faire avec au moins un plug anal… je pourrai avoir envie de t’enculer à mon retour… » [/i]

Laëlia

Dieu

Je fini de le sucer et le laisser vider ses bourses sans qu'une seule goute ne s'échappe de mes lèvres expertes. Eprouvée, je suis tout autant satisfaite d'avoir réussi à le faire jouir à nouveau que de pouvoir laisser ma bouche se reposer. J'avais mis tellement de coeur à l'ouvrage et de bonne volonté dans cette fellation que je sentais le début de tension dans les muscles de mes joues. Je hoche doucement la tête lorsqu'il me demande si je suis repue, même si il semble penser que ce n'est pas encore le cas.

J'avais clairement besoin de laisser mon corps récupéré désormais et il semble en prendre conscience, ce qui me soulage un peu car je ne suis pas certaine de pouvoir en rajouter une couche supplémentaire. Mon corps tremblote un peu et je souris quand il me propose de me reposer.

- Merci Maître, effectivement je me sens fatiguée...

Je suis plutôt rassurée par le fait qu'il s'absente car je ne suis pas certaine de pouvoir vraiment me reposer en sa présence, même si j'angoisse un peu des emplettes qu'il a l'intention de faire et de "l'équipement" qu'il compte acheter. Pourtant je chasse rapidement cette émotion puisque je sais que de toute façon, si il a envie de me faire ou de m'acheter quelque chose, il le fera et ce peu importe mes supplications ou mes état d'âme.

Je me relève difficilement et manque même de tomber en repositionnant le poids de mon corps sur mes jambes. L'idée qu'il m'encule à nouveau me fait déglutir avec raideur alors je tache de prendre son conseil au sérieux.

- Vos conseils sont précieux je vous en remercie, Maître. Je ferai comme vous le souhaitez.

J'attends qu'il décide de prendre congés avant de me purifier sous une bonne douche réparatrice et d'aller m'écrouler nue, sur mon lit, tout en prenant le soin de loger dans mon petit orifice serré un nouveau plug qui aura pour effet de suffisamment me dilater pour me permettre de l'accueillir si il le désire. Puis je m'endors presque aussitôt, totalement vidée et prête à accueillir ma nouvelle condition d'esclave. 



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