Elle ne pouvait cacher les sensations qu’elle éprouvait dans cette situation… parce que même si elle tremblait, elle pointait. Même si elle avait les trémolos de peur dans la voix, elle se mettait à gémir quand je lui empoignais le sein. Ce n’était pas une mauvaise chose, loin de là. Elle savait donc où était sa place et ce qui faisait qu’elle méritait de vivre. Comment vivre, je n’en parlais pas, mais je me disais que j’allais bien m’amuser. Le tout était de préserver cette espace de terreur. Sinon, la saveur se perdrait. Oh, je la désirerai quand même, ça j’en étais sûr, mais je supposais qu’elle comme moi y perdrions quelque chose…
Je lui fis un grand sourire avant de finalement la regarder se déshabiller. Retirer le haut, faisant danser sa poitrine généreuse au gré du tissu qui la libérait en passant par-dessus sa tête. Pour le reste... eh bine je reconnus qu’elle ne perdit pas de temps. Elle se montra diligente, montrant son ventre plat, montrant ses hanches gracieuses, sa taille fine, et son sexe nubile. Oui, nubile, pas un poil ne s’y présentait a priori. C’était une bonne chose. J’avais toujours trouvé cela pénible et franchement peu esthétique…
Elle était là, nue et offerte, et elle était mienne.
« Eh bien c’est un bon début… qu’est-ce que tu es belle… »
Je m’approchais de sa nudité et je venais glisser mes mains le long de ses hanches, ayant fait mine de ne pas m’occuper de ses paroles. Tout ce que je voudrai. Je le savais. Tout ça pour vivre. Elle allait payer chèrement son droit à vivre, c’était le moins que l’on puisse dire. Je caressais ses hanches, remontait à ses côtes, descendais ma bouche pour croquer un sein, un mamelon, avant de relâcher et m’écarter…
Je l’admirai un peu. Puis je m’approchais et je plaquais mes mains sur ses fesses, attirant son bassin vers moi, puis je venais glisser une main conquérante entre ses cuisses, deux doigts inquisiteurs fouillant son sexe humide.
« Tu es en chaleur… »
Je ricanais, sortais les doigts et portais ceux-ci à mes lèvres, un petit sourire ravi.
« Tu goutes la chienne avide. Est-ce le cas ? »
J’exultais.
« Si tu obéis à mes ordres sans discuter, alors tu vivras… mais mets les mots… si tu m’obéis alors je suis ton maitre, petite chienne… n’est-ce pas ? »
Je voulais l’entendre le dire…
« Continue à me montrer ta dévotion, ma petite chérie… »
Je revenais doucement lui caresser les cheveux.