Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Qu'est-ce à dire que cette diablerie ? |pv le domaine des muses ]

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La Clairière des Muses

Légion

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    Maison de courtisanes sur Nexus.
Ilyana se pinça les lèvres, maladroite. Quelle imbécile. L'elfe souhaitait mettre l'homme d'âge mûr un peu plus à l'aise, en lui donnant l'autorisation de toucher ses grandes oreilles. Satisfaire la curiosité de cet homme faisait plaisir à l'Aimante, mais sans le faire exprès, elle l'avait interrompu dans son élan. Elle lui avait proposé de prendre un bain, juste après avoir fini son repas. Einrich était dans un sale état, les habits un peu miteux, en plus d'être couvert de poussière et de terre. On sentait là qu'il n'avait pas un métier facile et que ça faisait longtemps qu'il n'avait pas pu prendre soin de lui. Ce n'était pas si grave. Les oreilles...Enfin, la curiosité de l'homme entre deux âges pourra être satisfaite plus tard. Autant qu'il soit totalement à l'aise, reposé surtout. L'élancée savait pertinemment tous les sentiments qui devaient agiter son invité, perdu dans un monde qu'il ne connaît pas, à être sur ses gardes malgré le fait qu'il n'y avait eu que de bonnes intentions envers lui. La demoiselle lui sourit tendrement, le feu aux joues.

" Je vais vous préparer ça. Cela vous fera du bien, je vous le garantis. "

Se positionnant face à un mur, non loin de sa bibliothèque, Ilyana scella ses paupières de biche. Concentrée, elle remua les lèvres en un dialecte compliqué, avant d'avancer sa main vers ce fameux mur. Le bois entrelacé qui constituait le mur commença à se démêler pour laisser apparaître une porte d'un bois clair, finement sculptée. L'elfe ouvrit la porte, donnant sur sa salle de bain privée. Nichée dans le mur comme si elle était au cœur d'un majestueux arbre millénaire, la pièce de bain d'Ilyana avait des airs de sa chambre, se fondant harmonieusement dans la nature. Creusée à même le bois vivant, l'endroit était baigné d'une lumière tamisée, filtrée par des feuillages luxuriants et des fleurs phosphorescentes suspendues aux branches, telles de grosses lucioles aux teintes rosées.

Le bassin principal, sculpté dans une pierre mousseuse et veiné de lueurs éthérées, était alimenté par une légère « cascade » naturelle, semblable à une pluie, dont l'eau cristalline provenait d'à même l'écorce qui jonchait les murs. De fines racines jonchaient quelques bords du bassin, certaines dont la pointe se retrouvait dans l'eau, diffusant des essences florales parfumant l'air d'arômes boisés et fleuris. Le sol était recouvert de pierres plates, ainsi qu'éparpillé ici et là, d'un tapis de mousse délicatement douce, parsemé ici et là de pétales d'orchidées sylvestres. Sur l'écorce et les nœuds qui constituait le mur, s'étaient implantées des champignons lumineux, tels des lanternes végétales, émettant une légère lueur féerique.

À proximité du bain se trouvait un petit autel en bois de chêne, aux subtiles arabesques, accueillait de nombreuses fioles de potions parfumées, des savons à base de miel elfique et des huiles infusées aux herbes. Un fin voile de lianes perlées d'eau encadrait un miroir, et les lumières de la pièce reflétaient d'agréables ombres, comme des petits feux follets. L'entrée de la pièce était encadrée de branches entrelacées, ornées de runes luminescentes, comme si cela servait de protection contre toute intrusion indésirable. Après tout, la jeune femme avait ouvert la porte en la découvrant de sa magie élémentaire. Tout donnait la sensation d'être un havre de paix, loin de toute agitation et où l'on pouvait réellement se reposer, profitant de l'eau et d'un moment de détente hors du temps.

" Je vais vous chauffer l'eau. "

Ilyana prit le bouchon pour verrouiller le passage de l'eau au fond du bassin en pierres, et laissa couler l'eau en cascade. En murmurant dans sa langue natale, l'elfe plongea ses mains délicates dans l'eau montante. Celle-ci commença à buller très légèrement. De par sa magie élémentaire du feu, la demoiselle put chauffer l'eau, la mettant à la température idéale. Se relevant, elle s'approcha du petit autel de bois, essuyant ses doigts sur une minuscule serviette. Elle ouvrit le meuble pour en sortir une grande serviette pour Einrich.

" Voici pour vous. Ne vous inquiétez pas d'assombrir l'eau, juste parce que vous vous lavez. Vous avez de quoi faire votre toilette ici. "

L'Aimante lui lassa le tissu non loin du bain qui s'était enfin rempli.

" Je vais vous laisser tranquille, le temps d'aller vous chercher des habits propres. Je pense que Duncan a de quoi pour vous. Ah et, vous pouvez laisser vos habits sales dans un coin. J'irai les mettre à laver pour vous, pour que vous puissiez repartir chez vous tout propre ! Profitez bien ! "

Ilyana le salua bien bas, quittant la pièce et laissant Einrich profiter de ce petit coin de paradis et de détente. Ce n'était sûrement pas tous les jours qu'il pouvait jouir d'une telle tranquillité. L'elfe s'éloigna de sa chambre, se faufilant dans les couloirs pour trouver Duncan. Le chef de la sécurité de la Clairière vagabondait non loin des lieux d'affluence. L'Aimante se précipita vers lui, dans une course gracieuse et légère, pour lui attraper la main et attirer son attention. Surpris, il écouta la plainte de l'elfe et soupira longuement. Il hocha du chef et lui pria de le suivre jusque dans sa chambrée. De là, il en sortit d'élégants habits que le garde avait l'habitude de porter : une veste sombre à doubles boutons, un pantalon aux teintes de terre, des bottes hautes, et une ceinture en cuir de bœuf et à la boucle sculptée d'une tête de loup. Il n'était pas certain de revoir un jour ses vêtements revenir, mais qu'importe. Duncan donna le tout à la Muse d'albâtre, qui le remercia d'un baiser sur sa joue, à moitié perdu dans sa barbe. Les yeux du sieur Artgal roulèrent jusqu'à se perdre ensuite sur cette elfe qui prit la fuite dans les couloirs, finissant lui-même par reprendre son travail.

Guillerette, c'est dansante qu'Ilyana rejoignit sa chambre, refermant la porte derrière elle. Chuchotant encore la mélodie pour faire apparaître l'entrée de sa salle de bains, elle y pénétra sans se soucier de quoique ce soit, pas même de la nudité de son convive. Discrète, elle déposa les habits sur l'autel, non loin des fioles d'huiles essentielles et de shampoing. Elle laissa filer la fine tunique qui la recouvrait, dévoilant ses courbes voluptueuses de nacre. Sans pudeur, mais douce, elle s'infiltra dans le bain, à côté d'Einrich, plus précisément face à lui. Elle avait l'habitude avec la clientèle de le Clairière, mais elle voulait faire en sorte que tout soit parfait pour cet homme perdu.

" Souhaitez-vous de l'aide pour frotter votre dos ? "

Einrich Schätze

Humain(e)

Einrich ne doutait pas du fait qu'un bain chaud lui ferait du bien, pas du tout, cela faisait si longtemps qu'il n'en avait pas eut droit, il avait du mal à se souvenir de la dernière fois où il avait put se laver avec de l'eau chaude. Il regardait donc la demoiselle se déplacer dans la pièce, marchant jusqu'à une de ses bibliothèque, curieux de savoir pourquoi. Il put la voir rester un instant ainsi, dos à lui, puis, il se mit à percevoir un son de sa part, des son qui ressemblait à des mots, mais dont il n'avait aucune idée de ce qu'il signifiait. Il n'aimait pas trop cela, car, c'était un signe facile de magie et, ne comprenant pas ce qu'elle disait, cela pouvait être n'importe quoi, dont quelque chose de dangereux.

Là quelques minutes plus tard, il put voir le mur se mettre à se mouvoir, se défaire de ses nœuds et enchevêtrement, venant à s'ouvrir lentement pour dévoiler une autre pièce. Intrigué et curieux, surpris par tout cela, Einrich se penchait un peu en avant pour regarder tout ce qui se passait et, ce qui venait de se dévoiler après ce tour de magie. L'endroit était surréaliste, à la fois naturel, mais irréel, un endroit  plein de verdure, comme arraché à la nature, mais dans un bâtiment, attirant son regard sous toute ces coutures. Bien sur, il connaissait la magie, peut être meme trop à son goût, mais, voir ce qu'elle était capable de faire, la taille infini de son utilisation, le surprenait toujours. La pièce sentait bon, pas assez pour être dérangeant, une lumière douce se diffusant elle aussi dans la pièce. C'était très beau à ses yeux, mais il ne pouvait pas s’empêcher de se demander le temps que devait prendre l'entretien d'un tel endroit avec tout ce feuillages et cette verdure. Lorsque la demoiselle reprit la parole, il hocha simplement la tête, se rapprochant un peu pour mieux observer. La regardant boucher le fond du bassin, il put ensuite la voir se tourner vers lui après avoir marmonner une autre phrase dans cette langue inconnue, venant lui donner une grande serviette, puis, de lui annoncer qu'elle allait lui chercher des vêtements propre auprès d'une autre personne

" Ah non non, ne vous embêtez pas avec ça, ce n'est pas nécessaire."

Il avait ses propres vêtements, il n'avait pas envie de leur ajouter des taches supplémentaire à celle qu'ils avaient déjà, ne serait-ce qu'avec sa venue dans cette endroit. Mais apparemment, elle n'en eut que faire, venant le laisser seul dans cet chambre. Là, un silence se mit à peser dans la pièce, un silence si pure qu'il en venait à le déranger. Rare était les moment de calme et de silence dans sa vie, il y avait toujours quelques choses en fond, un son, meme aussi petit soit-il, mais, là, cela lui rappelait les moments qu'il avait vécu et où un silence assourdissant avait prit place. Gêné, il préféra s'éclaircir la gorge pour faire disparaître cela, puis, commença à se déshabiller.

Il lui fallu pas mal de temps pour retirer tout ses vêtements et équipements, posant le tout dans un coins, les pliants proprement, puis, il marcha devant le miroir. Il fut d'abord surpris par celui-ci, si net, si propre, il devait valoir une fortune se dit-il, puis, il tomba enfin sur son reflet, il put réellement s'observer. Il l'avait déjà fait dans des flaques d'eau, des lacs, des rivières, mais rien d'aussi clair, d'aussi limpide, rien qui ne renvois aussi proprement son image. Et il en resta choqué pendant un instant, venant à se toucher le visage, voyant ce que le  temps avait fait de lui. Il se voyait vieux, il se voyait fatigué, marqué, que ce soit sur son visage, les rides commençant à le marquer, les cheveux et la barbes poivre et sel, les cicatrices de guerre sur son corps, mais aussi et surtout, son regard, son regard qui le trahissait, qui trahissait sa fatigue et son passé. Il finit par décrocher ses yeux du miroir, le baissant vers le sol dans un soupire, puis, il finit par marcher jusqu'à la baignoire, venant à y entrer lentement en sentant la chaleur de l'eau presque trop chaude.

De tout le long, il n'avait meme pas remarqué que le mur s'était refermé sous le départ de la demoiselle et, tourna la tête lorsqu'il l'entendit s'ouvrir de nouveau, pouvant donc voir le retour de l'elfe à ses cotés. Elle tenait un tas de vêtements qui lui paraissait de bonne qualité du peu qu'il pouvait en voir et lui dit dans un premier temps

" Je vous ... vous n'aviez pas a faire cela vous savez ? "

puis, après un léger soupir, toujours assis dans le bain, il lui dit tout de meme

" Merci."


Il n'était pas ingrat, il n'allait pas manquer de politesse ou de remerciement après tout ce qu'elle faisait pour lui. Mais là, la suite fut encore moins dans ses prévisions, pouvant voir l'aimante se mettre à se déshabiller devant lui en toute tranquillité, dévoilant son corps, ses formes avant de venir s'infiltrer dans le bain elle aussi. Einrich n'était pas vraiment pudique, cela venait de son pays ou peu de personne l'était et ou les traditions allait dans le sens de cette liberté, mais, ce serait mentir que de dire que cela ne lui faisait pas d'effet en cette instant. Il se dit dans un premier temps qu'il ne se souvenait pas de la dernière fois qu'il avait partagé un bain avec une femme, mais, bien vite, ce dit souvenir lui vint à nouveau en mémoire, teinté de regret et de mélancolie, cela faisait si longtemps se dit-il.

Comme la première fois, il était en face d'une très belle femme gâté par la nature, que ce soit par sa voix, son regard, que son esprit et son corps, alors, si elle se retrouvait à s'attarder sur le bassin, elle risquait de voir à travers l'eau l'effet qu'elle lui faisait. Une fois bien installé, elle lui parla de nouveau, venant lui demander s'il souhaitait qu'elle lui frotte le dos, ce à quoi il ne manqua pas de répondre dans un premier rire gêné

" Vous n'avez pas à vous donner cette peine vous savez, ce n'est pas nécessaire ."

Puis, il se dit que peut être, c'était mal poli de sa part que de refuser constamment ce qu'elle lui offrait, alors, il finit par se reprendre

" Mais si vous en avait envie, je ... cela me va."
« Modifié: mercredi 12 mars 2025, 19:30:57 par Einrich Schätze »

La Clairière des Muses

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" Ça me fait plaisir. J'aime prendre soin des autres. "

Se mouvant telle une nymphe des eaux à travers le bain, Ilyana frôla son compagnon actuel avec les courbes de son corps. Agitant minutieusement ses mains, l'elfe fit apparaître des racines partant du sol de la salle de bains, toutes fines, et les déploya pour attraper quelques flacons, notamment d'huiles et de shampoing, ainsi qu'un savon à l'allure légèrement granuleuse. Déposant le tout sur un bord de la baignoire, la demoiselle ne garda en main que ce savon, faisant disparaître ses racines aussi rapidement qu'elle les avait fait naître. Il y avait du bon parfois à utiliser cette magie pour des broutilles, surtout qu'ici, elle ne voulait quitter cet eau et délaisser son convive. Doucement, la demoiselle d'albâtre présenta ce petit bout ovale, d'un blanc cassé parsemé de grains noirs. On pourrait croire qu'il était sale mais pas du tout.

" C'est un savon au lait d'ânesse, avec des fleurs de camomille. Je pense que cela pourrait faire du bien à votre peau, Einrich. "

Ce petit objet aux subtiles fragrances avait la faculté d'adoucir la peau, apaiser les peaux réactives et en soulager certains maux. La Muse s'était dit qu'il était adéquat pour satisfaire les besoins de l'homme. Avec légèreté, Ilyana se déplaça pour s'installer dans le dos du mercenaire. Creusant une main, l'elfe récupéra un peu d'eau dans sa paume et y en fit couler le contenu sur ce qui lui faisait face, c'est-à-dire la nuque et les omoplates de l'homme. Elle réitéra plusieurs fois l'opération d'une douce lenteur, avant de le faire sur le savon afin que celui-ci se mette à mousser. Avec tendresse, la Muse fit rencontrer ce petit pain mousseux de propreté et le dos puissant de l'homme. Dessinant sa musculature d'une légère traînée de bulles blanchâtres, l'esprit de l'elfe s'évada un instant. Il était marqué par les années, c'est certain, mais aussi par ses combats, que ce soit les physiques, que ceux qu'il menait à l'intérieur de lui-même. Délicate, l'Aimante avait l'envie d'effacer ces cicatrices qui se dévoilaient sous ses prunelles d'argent, passant plusieurs fois dessus. Comme si elle pouvait réellement les gommer.

Posant ensuite le savon trempé sur le rebord du bain en pierres, ses mains fines caressèrent le dos de Einrich. Appuyant de ses pouces au niveau de la nuque puis glissant jusqu'aux épaules, tout en lui frottant la peau pour se défaire de toute impureté, l'elfe le gratifia d'un petit massage, comme elle savait si bien les faire. En réalité, toute Muse savait masser afin de pouvoir satisfaire n'importe quel client. Mais ici, il ne s'agissait que d'un homme perdu, provenant d'une terre qu'Ilyana ne connaissait guère. Cependant, si la jeune femme pouvait le soulager un peu de ce moment troublant, loin de ce qu'il pouvait connaître, pour qu'il soit plus à l'aise avec elle au moins, alors elle le ferait.

Un sourire s'était fiché sur le visage si pâle de l'Aimante depuis le début. Cette femme n'était qu'amour, même si son passé l'avait abîmé. Ce n'était pas pour rien qu'elle portait ce nom de Muse, que Dame Céleste était fière d'avoir trouvé. Hésitant un instant, de peur de le déranger, Ilyana se laissa aller à ses instincts, s'approchant un peu plus du mercenaire. Les courbes alléchantes de sa poitrine rencontrèrent le dos puissant de son convive, s'écrasant légèrement pour qu'il en devine toute la rondeur. Ses doigts graciles se détournèrent de leur chemin habituel pour, au lieu de masser ses épaules, glisser sur ses clavicules puis son torse. Naturellement, la jeune femme nicha son visage dans le cou de son compagnon de bain, soupirant doucement d'aise. Elle lui offrait là une étreinte emplie de sensibilité, de tendresse et de bienveillance.

" Détendez-vous, mon ami... "

Lors de ce câlin, les mains encore pleines de bulles de savon, ses doigts pianotaient sur le torse de l'homme, pensive.

" Et dîtes-moi si vous désirez quelque chose...Je v...Je vous apprécie beaucoup, Einrich... "

Son souffle titilla l'oreille de Einrich, non loin de cette bouche audacieuse et charnue. Ilyana ne mentait pas, elle ressentait bien des choses pour le mercenaire. Davantage lorsque ses billes argentées se fixèrent sur le sexe du mercenaire, fièrement dressé. Bien qu'étant une Muse, sachant tout ce qu'il faut pour faire plaisir à un homme, et si elle en avait l'envie, l'Aimante n'était pas femme à se jeter sur n'importe qui, et surtout, elle respectait le choix de chacun...Mais là, elle lui donnait clairement carte blanche pour se lancer ou non.

Einrich Schätze

Humain(e)

La peau d'Einrich, surtout dans son dos, se mit à se couvrir d'une fine chair de poule remontant jusqu'au haut de sa tête. Non, le bain était à une température parfaite, suffisamment chaude pour être agréable, juste à la limite du trop, mais, ce n'était donc pas cela qui le faisait frissonner. Non, c'était le passage de la demoiselle contre lui qui le fit réagir, la sensation de sa peau, de ses courbes le frôlant la sienne,, le faisant inspirer profondément alors que son palpitant en profitait pour monter légerement dans les tours. Il l'avait vu faire apparaitre des racines ainsi que des objets tenu par ses dernières. Cela ne le mettait pas très à l'aise, il avait connu des monstres capable de faire la meme chose, mais pour de bien moins positives attentions envers lui et ses frères d'armes.

Elle avait pris en main un savon bien étrange, comme  si quelqu'un avait mis quelque chose dedans. Puis, petit à petit, il tenta de se détendre, de se laisser aller. Ce genre de chose n'était pas dans ses habitudes non, bien au contraire, c'était meme la première fois que cela lui arrivait, d'autant plus avec une elfe. Mais là, lorsqu'elle fit contact du savon sur son dos, ses muscles se raidir d'un coups,, comme un réflexe, une défense. Il savait qu'elle était dans son dos, il essayait d'avoir confiance le plus possible, mes ses années de guerre et de conflit le laissait toujours sur ses gardes, sur la défensive, ne voulant pas finir avec un coup de couteau planté entre ses omoplates. Il se concentrait pour essayer de calmer cela,, pour faire partir ses pensées et seulement profiter de l'instant. Et la suite en fit un premier pas, car, quand elle posa ses mains savonneuse dans son dos, elle put sentir toute sa musculature tendu, mais qui, sous ses caresses, ses massages, venait à trembler, sauter, pris de minuscule spasme alors que son corps cherchait à se détendre petit à petit sous la douceur qu'elle lui offrait. Ses épaules tressaillaient par moment lorsque ses pouces roulait sur la naissance de sa nuque. Puis, alors meme que le bain lui paraissait déjà bien chaud, il put sentir son dos bien plus chaud d'un coup, sentant la demoiselle s'appuyer contre lui, le faisant respirer lentement et profondément sous cette sensation des plus agréable pour lui.

Lorsque ses mains vinrent passer sur son torse, elle put sentir son corps réagir, ses pectoraux jouant sous ses doigts, il trouvait cela très bon, trop bon, cela faisait si longtemps à ses yeux qu'il n'avait pas ressentir ce genre d'attention et de douceur. Après in instant, il sentit la tête de la demoiselle se poser sur son épaules, le faisant tourner un peu la tête pour la regarder et l'écouter, venant à sentir son parfum malgré l'odeur ambiante de la sale de bain, la douceur de sa chevelure caressant son visage avant de rire un peu de nervosité sous ses mots, venant lui répondre

" J'essaye ."

Oui, il essayait de se détendre, il le voulait, mais, il avait du mal, alors, il fallait laisser le temps faire doucement, réussir à défaire des décennie de solitude et de traumatisme n'était pas des plus évident. Et quelques minutes passèrent dans cette étreinte, venant petit à petit à pouvoir en apprécier pleinement le moment, jusqu'à entendre de nouveau la voix de la muse qui lui murmurait au creux de l'oreille. Là, il se mit à déglutir. Certes, au vu de l'endroit, il s'y attendait un peu mais, au vu du peu d'appréciation qu'il avait de lui meme, il ne s'attendait pas à sa déclaration. Ses yeux clignotèrent un peu alors que son palpitant reprit des tours dans son torse, frissonnant sous le souffle de sa voix sur son oreilles, sous la chaleur qui s'en dégageait et l'effet que cela lui faisait.

" Je ... hum ...."

Fut les premiers mots qui sortirent difficilement d'entre ses lèvres avant de déglutir et de s’éclaircir la voix pour tenter de se reprendre

" Vous ... si cela est vrai je suis flatté et je vous apprécie aussi mais ..."

Bien-sur qu'il y avait un mais, sinon cela serait trop facile, mais au vu de l'état de son corps, il était facile de deviner que ce n'était pas le fait qu'il ne soit pas attiré par elle, car meme avec tout cela, sa virilité était toujours bien visible et vivant sous le regard de la muse.

" Je ... je ne vais pas vous mentir ... je n'ai presque pas d’expérience et .... je suis très rouillé de ce coté là."

Il préférait être honnête, quitte à ce que rien ne se fasse, il préférait cela à donner de la déception, finissant par ajouter

" mais ... Si vous en avait envie, ce que je désire c'est que .... vous fassiez ce qui vous donne envie, ce que vous désirez."

Son regard croisait le sien à ce moment là, presque totalement sérieux dans son ton de voix, oui, il ne savait pas quoi vouloir, mais il savait que si elle voulait aller plus loin, il préfererait qu'elle fasse ce qui lui faisait plaisir, peut être que cela était rare dans ce genre d'établissement, ou peut être pas, mais c'est ce qu'il voulait, qu'elle se fasse plaisir. Sous ses mots, sa main droite avait doucement glissé sur les parois interne du bain, venant alors rencontrer l'une des jambes de l'elfe qui l'encadrait, osant à ce moment la caresser ses mollet dans de doux et lent va et viens.

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Ilyana ne tenait jamais de propos juste pour faire plaisir. Elle pesait et pensait chacun de ses mots, les chérissait sincèrement. Si l'elfe avouait apprécier quelqu'un, cela résonnait du plus profond de son cœur. Son nom de muse n'était pas venu comme par magie. Céleste Albame l'avait observée quelques temps lorsque la jeune femme à la peau d'albâtre avait emménagé au sein de la Clairière. Ilyana s'était rapprochée rapidement des autres employés de la bâtisse, sans peur malgré son passé, toujours aux petits soins avec les autres, non pas parce qu'elle se sentait redevable, mais plus par envie. « L'Aimante » était apparu comme une évidence pour la mère maquerelle...

C'est ce qui transpirait encore maintenant, dans cette eau chaude sans être brûlante. Tout contre ce dos meurtri mais bien bâti, Ilyana s'était approchée avec douceur, comme à son habitude, bien qu'en ce moment-même, elle ne jouait pas la muse. Elle n'était que cette elfe, cette nouveauté pour ce cher Einrich, et ne faisait que se laisser aller à ses envies. Aujourd'hui, maintenant, dans ce bain, dans ce petit espace privé, la demoiselle des bois souhaitait juste profiter de l'instant. Passant ses mains sur le torse de l'homme tout en restant contre son dos, Ilyana laissa glisser ses doigts graciles sur chaque centimètre de sa peau, y parcourant ses cicatrices, en dessinant les contours. Elle se permit de découvrir la toison grisée de cet homme qui partageait son bain, déliant quelques frisottis ici et là.

Malgré ses douces caresses, l'Aimante sentait bien qu'Einrich avait du mal à se détendre. Les marques sur son corps et l'état dans lequel il était arrivé à la Clairière n'étaient que des indications sur ses conditions de vie en général. Ilyana n'osait s'imaginer tout ce que l'homme avait pu endurer jusqu'ici. À sa manière, elle souhaitait avant tout lui offrir un peu de tendresse, ne serait-ce que pour panser ses plaies. Était-ce de la pitié ? Sûrement pas. La jeune femme était bien trop tendre pour prendre les gens en pitié, et encore plus Einrich. Délicatement, avec un petit sourire aux lèvres, l'elfe d'albâtre répondit d'un souffle à l'oreille de son invité.

" Ne dit-on pas que lorsque l'on tombe à cheval, le meilleur moyen de se défaire de sa peur, c'est de remonter en selle ? Je dirais qu'il en est de même pour ce que nous sommes en train de faire...Enfin, je crois que je m'explique mal, je suis un peu cruche...N-nous avons tout notre temps... "

Ce que la muse supposait, c'est que même s'il se disait « rouillé », il suffisait de se lancer pour que ça revienne aussi naturellement que si l'on disait « oups ». Et si Einrich ne souhaitait guère aller plus loin, par peur, ils arrêteraient à ce moment-là. L'elfe ne le forcerait pas. Cependant, c'est toujours avec une affection bienveillante qu'Ilyana déposa quelques baisers dans le cou de son compagnon de bain. Ses lèvres charnues se forcèrent un peu plus sur la peau de l'homme, vagabondant jusqu'à ses épaules, lorsque la demoiselle sentit ses grandes mains calleuses dansaient tendrement sur ses mollets. Un frisson lui parcourut l'échine, se secouant doucement dans le dos de l'homme, sa poitrine s'y frottant sensuellement.

Au fur et à mesure de ses baisers, lançant parfois quelques regards de ses yeux d'argent vers le visage fatigué et gêné de Einrich, ses doigts s'aventurèrent un peu plus bas que son torse, découvrant les courbes et cicatrices de son ventre. Par moment, délicatement, elle frôlait son vît tendu, ne s'attardant pas dessus tout de suite. Ilyana ne voulait pas le brusquer, y allant à un rythme des plus doux, tout comme l'étaient ses gestes, jusqu'à atteindre son aine. Ses légers soupirs de plaisir et d'envie s'éteignaient sur la peau de la nuque de l'homme, écrasant son souffle un peu plus brûlant.

Comme un chat s'approchant particulièrement lentement de sa proie, les mains de l'elfe se  firent plus aventureuses, à caresser le haut des cuisses de l'homme, puis vint à lui masser passivement les bourses. Lentement, elle passa ses deux mains sur son membre, l'enserrant dans un doux étau. La bouche de l'Aimante vint embrasser le lobe de Einrich, avec l'urgente envie de la lui mordiller, mais se retenant finalement.

" Guidez-moi et...découvrez-moi aussi...Que je fasse à ma guise et à la vôtre... "

Einrich Schätze

Humain(e)

Il sentait ses mains se balader de nouveau avec tendresse sur son corps, le faisant frissonner, lui dire de discret soupire, camouflé dans sa respiration lourde alors que sa tête, toujours tourné pour la regarder, souriait timidement en l'écoutant reprendre la parole. Sa phrase était juste, remontait en selle était sûrement une bonne choses, mais, il ne put s’empêcher de plaisanter doucement sous sa métaphore

" Si je vous dit que je ne suis jamais monté à cheval ? "

Souriant doucement dans un rire discret, frissonnant sous les baisers délicat, mais au combien agréable qu'elle lui offrait dans son cou.

" Mais je comprend ce que vous voulez dire et ... vous avez sûrement raison."

Sur ses mots, il déglutis, alors que son palpitant reprenait un peu d'adrénaline, accélérant un peu plus d'anxiété en grande partie, mais d'excitation aussi. Sous ses caresses qu'il avait osé lui offrir, il put la sentir se mettre à se mouvoir derrière lui. Coïncidence ? Peut être, mais, étant donné qu'elle ne disait rien, il décida de continuer ses caresses délicate, remontant lentement un peu plus vers ses genoux, ainsi que la naissance de sa cuisse. Tandis qu'il faisait cela, il put sentir la main de la muse effleurer sa virilité, ce qui ne le laissa pas de marbre, ses abdo se contractant sous ce simple geste déjà agréable, puis, profita des caresses qu'elle lui offrait tout autour.

Il sentait bien où elle voulait allait et, il l'acceptait, mais il était vrai que ce petit passage autour de sa virilité était aussi des plus agréable, son membre pulsant doucement de plaisir et d'excitation, prouvant l’efficacité qu'elle avait sur lui sous ses douces caresses. Le souffle chaud de l'elfe ne faisait que rajouter à la tension actuel entre eux, ne pouvant pas le nier, lui faisant beaucoup d'effet. Et là, il ne put retenir un soupire profond lorsqu'il la sentit enserré délicatement son membre entre ses doigts, où, elle pouvait sentir ses veines pulser sous l'effet qu'elle lui faisait, où elle pouvait sentir la chaleur de sa virilité concurrencer celle du bain, frissonnant ensuite en la sentant embrasser son oreille avant de l'entendre lui parler. Sa respiration était lourde, son cœur battait fortement, son regard plongé dans le sien en venant lui dire sur un ton doux

" Et bien .... je .... c'est très ... très bon, mais .... j'aimerais pouvoir vous voir. Est ce que cela vous plairez ou vous gênerez ? "

Lui demanda t-il. Oui, il aimait la sentir ainsi actuellement, mais, il ne pouvait pas voir correctement son beau visage, ses yeux magnifique, il ne pouvait pas l'admirer ni réellement s'occuper d'elle lui aussi.

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Einrich n'est jamais monté à cheval...Serait-il...vierge ? L'elfe en haussa les sourcils de surprise. Un homme de sa trempe, de son âge, n'aurait jamais partagé sa couche avec une femme ? Certes, il a l'air d'un vieux chevalier, vu comme il a l'air abîmé, fatigué, mais...Il n'est clairement pas désagréable à regarder, et même s'il a eu quelques réserves jusqu'ici dans cet environnement inconnu, il n'a pas hésité à converser un peu avec l'Aimante, ou même Céleste et Yema. Sincèrement, la demoiselle avait du mal à y croire...

Qu'il soit un peu gêné parce que cela faisait bien des lustres qu'il n'avait pas touché une femme de cette façon, elle le comprenait. Son compagnon de bain était des plus doux dans ses gestes, caressant ses mollets, jusqu'à remonter ses doigts sur ses genoux, puis sur ses cuisses. La fine peau d'une blancheur presque pur de l'Aimante se hérissa, parcourue de délicieux frissons, un bien fou prouvé par les soupirs chauds de la jeune femme.

De son côté, entre ses mains délicates, Ilyana entoura doucement le membre de Einrich. Attendant une réponse de sa part, elle entama un lent, voire très lent, ballet de vas et vient de ses deux mains, pour lui faire un peu de bien. Certes, elle était très appréciée comme Muse, que ce soit par sa douceur, son contact, mais aussi de par son « exotisme ». Le corps de l'elfe n'était pas commun pour une femme de cette race et cela mettait souvent bien des paillettes dans les yeux des clients.

Lorsque l'homme répondit enfin ce qu'il souhaitait, un grand sourire illumina le visage de l'Aimante.  Ce qu'il lui avait avoué lui faisait chaud au cœur, en vérité. Alors, c'est avec grâce et délicatesse qu'elle se leva, quittant le dos de son compagnon de bain. Elle s'excusa un instant, le bousculant un peu pour venir lui faire face. Le fixant de ses grands yeux de biche, Ilyana s'installa devant Einrich, ou plus précisément, entre ses cuisses, à genoux. Étrangement, un feu lui prit les joues, un peu plus timide. L'eau ruisselait sur son corps, décorant ses courbes de fines perles transparentes.

" Est-ce que...je vous plais ainsi ? "

Rabattant une mèche de cheveux derrière une de ses grandes oreilles, une des mains de la jeune femme vint à la recherche de son homologue masculine pour la déposer sur sa hanche voluptueuse. L'autre main ? Elle attrapa celle qui restait de libre de l'homme pour la déposer sur sa propre joue, s'y frottant comme un petit animal en demande de caresses. Toujours douce, l'Aimante se pencha un peu plus vers Einrich, rapprochant son visage, notamment ses lèvres pulpeuses de la bouche du soldat. Cependant, elle s'arrêta devant, préférant attendre qu'il lui en donne l'autorisation, ou qu'il vienne directement chercher ce qu'il voulait. Elle était sienne, dans ce bain chaud et parfumé, mais elle voulait respecter ses envies et accepter s'il ne souhaitait guère plus.

Einrich Schätze

Humain(e)

Non, Einrich n'était pas vierge, enfin, au vu du temps passé depuis la dernière fois qu'il l'avait  fait, on pourrait se le demander. Mais non, il avait répondu à sa phrase le plus littéralement possible. Il n'était jamais monté à cheval et au vu de son passé, n'en avait pas envie du tout.

Sa respiration se mit à se faire lourde, lente et ample, son torse se gonflant presque à son maximum sous la tension qui parcourait son corps, mais aussi, sous l'effet que la muse avait sur lui, sous les caresses si agréable et électrisante qu'elle lui offrait en caressant lentement sa virilité qui, était  des plus dur sous ses doigts si doux et tendre. Pour lui, juste le fait qu'elle soit d'une race qu'il ne connaissait pas était de l'exotisme, son corps lui paraissait magnifique aussi, mais, c'était son visage qui lui plaisait beaucoup. Cela avait toujours était le cas, le visage, le regard, le sourire et les mimiques, voila les choses qui le séduisait le plus chez quelqu'un.

Puis, voilà, il avait fait sa demande, car meme s'il trouvait l'instant des plus agréable, surtout à sentir ses lèvres passer sur sa nuque, il préférait pouvoir la voir, un vieux réflexe, une sensation désagréable de savoir que quelqu'un se trouvait derrière lui, des rappelles du passé qu'il n'arrivait pas à se séparer. Quand il la senti se lever derrière lui pour se déplacer, lui, se pencha sur le coté du bain pour lui laisser un peu plus de manœuvre et éviter qu'elle ne risque de glisser, malgré le fait que, en la regardant faire, il pouvait admirer la grâce de ses mouvements si doux et fluide. Là, maintenant devant lui, la scène restait surréaliste, voyant l'eau du bain couler tel une douce cascade sur son corps, ruisselant sur sa peau, suivant ses courbes et les mettant d'autant plus en valeur.

Il eut un sourire timide quand elle lui demanda si elle lui plaisait, son cœur battant la chamade à cet instant en ne quittant pas son regard du sien, venant lentement hocher la tête pour lui répondre

" Vous êtes ... très belle ... resplendissante."


Ce fut les mots qu'il arriva à trouver pour traduire ce qu'il pensait, la sentant à cet instant attraper délicatement une de ses mains pour la déposer sur ses hanches, sentant la douceur et la chaleur de son corps sous ses doigts, le confort de sa chair sous sa main, déglutissant alors qu'elle venait faire de meme avec son autre main pour la poser sur sa joue, la sentant se caresser le visage avec.  Il eut un léger rire nerveux, court et discret, venant ajouter

" Je suis vraiment désolé ... je ... je ne suis vraiment pas des plus doué pour m'exprimer."

Préféra t-il lui avouer, alors que, il se laissa tenter doucement par la muse, ses pouces, venant lentement se mettre à se mouvoir sur sa joue et ses hanches, la caressant délicatement sans que ses mains elle, ne se déplace, avant de la voir se pencher lentement vers lui. Il avait chaud, très chaud en cet instant, son regard oscillant, fusant entre les yeux de l'aimante et ses lèvres pulpeuse, le faisant prendre une grande inspiration quand elle se retrouva si proche de lui, pouvant presque la sentir les toucher, son nez presque se croisant avec le sien. Il en avait envie, il se demandait si elles étaient aussi douce que le reste de la demoiselle, quel goût elles avaient, déglutissant de nouveau lourdement, sa mâchoire jouant à cet instant. Puis, il lui répondit

" J'ai envie de vous embrasser." 

Attendant un regard, un geste de sa part avant de pouvoir lentement venir déposer ses lèvres contre les siennes, ses muqueuse se posant tel une plume sur les siennes, fermant lentement les yeux alors que son palpitant s'affolait.

La Clairière des Muses

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Re : Qu'est-ce à dire que cette diablerie ? |pv le domaine des muses ]

Réponse 23 vendredi 18 juillet 2025, 23:20:28

" Certains sont plus à l'aise avec des mots, d'autres avec des gestes, non ? "

Faire face à Einrich était tout autre chose que d'être restée dans son dos à lui procurer quelques caresses et baisers légers. Le regard argenté de l'elfe s'attardait sur tous les détails du visage de son compagnon de bain, ainsi que le reste de son corps, visible hors de l'eau. Certes, il était marqué par le temps et les combats qu'il a dû mener, mais il transpirait autre chose. Ilyana ne saurait mettre un ou plusieurs mots sur ce qu'elle ressentait à l'instant T, mais ce qu'elle pouvait dire, c'est qu'il y avait quelque chose chez lui qui l'attirait comme un aimant.

La main calleuse sur sa hanche, l'autre sur sa joue, ces seuls points d'attache brûlaient la peau de l'Aimante, frottant lentement son visage dans la main d'Einrich. Ce fut une douce caresse, presque comme un chat réclamant de l'attention de son maître, mais la demoiselle en voulait. Cependant, elle ne voulait guère s'imposer davantage, du moins, se forcer à lui. Elle patienta, attendant qu'il lui réponde. Et la suite fit sourire timidement la Muse. Elle approcha son visage du sien, se laissant guider par ses gestes, scellant alors leurs lèvres en un doux baiser. Ilyana y transmit toute sa tendresse, plaquant ses deux mains sur le visage de l'homme. Elle pinça doucement ses lèvres entre les siennes, l'emprisonnant avec légèreté. Délicatement, l'Aimante brisa la barrière de sa bouche pour aller titiller sa langue avec son homologue. Ses mains s'échappèrent, filant vers la nuque de l'homme. Son désir se faisait plus pressante, rapprochant son corps jusqu'à écraser sa poitrine sur le torse d'Einrich. Son bassin frétille timidement, jusqu'à finalement tout stopper. Un rouge puissant teinte son visage, se pinçant la chair des lèvres.

" Oh, euh...Je suis désolée...Vous...Vous me faites perdre mes moyens. "

Ilyana poussa un long soupir, essayant d'en taire davantage en se mordillant la lèvre inférieure. Tout son corps était brûlant, sa respiration lourde et torride grondait presque...Même si la demoiselle avait l'habitude d'être intime avec des clients, qui cherchaient souvent de l'exotisme, avec Einrich, c'était tout autre chose...Les pulsions étaient puissantes et perturbantes...

Même si la Muse s'était échappée de cette brève étreinte, elle revint chercher le contact, grimpant à califourchon sur Einrich. Cette chose qu'elle avait caressé auparavant se retrouvait entre ses cuisses, flirtant contre son con. Un nouveau soupir se déroba de sa gorge, se transformant presque en gémissement de libération.

" Pardon, je... "

Elle n'avait pas les mots. Elle écrasa ses lèvres sur la bouche de son amant, fouillant délicieusement sa bouche de sa langue, reprenant là où elle avait cessé. Son étreinte se fit plus pressante, tout comme les ondulations de son bassin, caressant d'une nouvelle façon le membre tendu de l'homme. Qu'il la libère...Qu'il se lâche...

Einrich Schätze

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Re : Qu'est-ce à dire que cette diablerie ? |pv le domaine des muses ]

Réponse 24 dimanche 27 juillet 2025, 13:21:19

" euh .... oui ... oui je pense "

Dit-il dans un rire légerement nerveux alors qu'il avouait ne pas être doué pour s'exprimer. Ça n'avait jamais été son fort et, il n'avait jamais été éduqué, élevé ou entraîner à cela, il n'était pas fait pour être éloquent, pour faire de grand discours ou pour être beau parleur, alors, dans une telle situation, il se sentait quelque peu désarmé. Lorsqu'elle se mit à frotter son visage sur sa main, il eut un léger sourire, trouvant le geste tendre, agréable, se sentant désiré, laissant alors son pouce se mouvoir lentement pour caresser tendrement sa joue en réponse. Mais, sous cette chaleur, sous cette proximité et cette intimité, Einrich ne put se retenir de lui dire une de ses envies, celle de sentir ses lèvres contre les siennes, celle de découvrir son goût, sa texture, voulant l'embrasser, mais, comme elle, ne voulant pas la forcer à quoi que ce soit.

Il put admirer un doux sourire sur son visage lorsqu'elle l'entendit, puis, alors qu'elle se rapprochait, son regard oscillait, indéterminé entre admirer ses prunelles ou ses lèvres pulpeuse, son cœur se mettant à accelerer, montant dans les tours, tandis qu'il déglutis. La, ce contact, la sensation de ses lèvres se déposant sur les siennes tel un pétale de rose sur l'eau d'un lac, sa main sur sa joue venant délicatement englober l’arrière de sa tête, ses doigts glissant sous et dans sa longue chevelure. Mais, il n'était pas au bout de ses surprise et de ses désir, venant à la sentir ouvrir  légerement ses lèvres, il fut pris d'un cours intense dans tout son corps quand il senti la pointe de sa  langue venir inviter la sienne dans un bal. Cela faisait si longtemps qu'il se demandait si elle n'allait pas le regretter, mais, il tenta, venant à ouvrir doucement ses lèvres, venant les laisser coller contre les siennes, alors que sa langue rejoignit la sienne dans un ballet langoureux.

Sa main sur ses cuisses, emporté par la chaleur de l'instant, continuait ses caresses en de lascif va et viens, remontant doucement, son pouce, s’écartant de ses doigts, caressant furtivement l’intérieur de sa cuisse, alors qu'il arrivait petit à petit au niveau de ses hanches somptueuse. Il sentit sa poitrine généreuse se presser contre son torse, la laissant alors sentir son souffle long, lent, mais intensément lourd avant qu'elle ne rompt leur baiser en s'excusant.

inconsciemment, il se mit à passer sa langue sur ses lèvres, comme pour goûter la douce rosé qu'elle y avait délicieusement laissé, son regard ne quittant pas le sien, brûlant, désireux, venant à sourire délicatement

" C'est plutôt à moi de m'excuser alors "

Dit-il en riant sur un ton léger, comme pour essayer de detendre ll’atmosphère. Et là, son cœur parti au galop lorsqu'il la vue se relever légerement afin de venir à califourchon sur lui, sentant ses jambes caresser les siennes, sentant son bassin se rapprocher du sien. Son membre pulsait d'excitation à cet instant, son cœur pompant encore et encore le plus de sang possible en sa direction, surtout lorsqu'il put sentir la caresser furtive de son intimité contre lui. Sa main gauche remonta sur sa taille, sur sa chair si douce et chaude,  alors que sa main droite, caressant sa nuque et la naissant de sa tête, se stoppa un instant sous l'intensité de ce qu'il ressenti.

Il n'eut pas le temps de répondre à son pardon, car, à ce moment là, il put la sentir venir de nouveau quémander ses lèvres qu'il lui offrit sans résistance, bien au contraire,  fermant les yeux de plaisir en soupirant, sa langue glissant, dansant et se courbant au contact érotique de la sienne. Sa respiration s’accélérait sous l'envie, se faisait toujours lourde, mais brûlante de passion en cette instant, sentant les vaguelette de l'eau du bain les lécher sous les mouvements de l'elfe. Un lourd frisson se fit sentir tout le long de sa colonne, tout le long de son corps, alors qu'il sentait son intimité frotter sous les ondulation divine de son bassin contre le sien, contre son membre dur comme l'acier entre ses cuisses. Son souffle se faisait bruyant, ses baisers de plus en plus envieux, détendu, réclamant plus de ce nectar qu'elle lui offrait en cet instant, mais,  entre deux passage de leur lèvres les unes contre les autres, il lui souffla presque dans un gémissement de plaisir

" Ça .... ça fait très longtemps que .... je ne les pas fait ..."

Dit-il alors, comme pour la prévenir, ainsi que s'excuser à l'avance, ne voulant pas qu'elle se  fasse de faux espoir, ne voulant pas qu'elle soit trop déçu, tandis que, lentement, incapable de se contrôler à son tour, son bassin se mit à onduler lui aussi, laissant son membre glisser plus amplement contre sa fleur, écartant ses chaud pétale contre lui, son gland venant doucement frotter par moment sur son bourgeon.

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En cet instant, est-ce que quelque chose d'autre avait de l'importance ? Il y a encore quelques temps dans la journée, Einrich était un inconnu, venant d'un monde on ne sait où, que lui-même ne savait désigner sur une carte. Il était arrivé ici sans savoir pourquoi et les Muses souhaitaient l'aider. Surtout Ilyana, en réalité, même si Yema et Céleste s'étaient engagées également. Là, tout ce qui comptait, c'était lui. Lui, devant ses yeux d'argent. Lui, avec son corps abîmé et fatigué. Lui sous elle, mais ça ne suffisait pas. Il est clair que l'elfe avait l'habitude d'être demandée par la clientèle pour ses courbes envoûtantes, tout comme pour sa nature elfique la rendant des plus mystérieuses. Il lui arrivait parfois d'ouvrir les cuisses pour se faire plaisir seule, ou quelques fois avec quelqu'un de confiance, pour ne pas dire une autre Muse. Mais actuellement, tout ça, l'Aimante n'y pensait pas.

Sa bouche ne quittait que rarement celle du soldat, ses bras autour de son cou, comme pour ne jamais couper le contact. Les fois où elle éloignait son minois n'étaient faits que pour l'observer, décrypter la moindre de ses expressions. Ilyana désirait voir le visage de son compagnon de bain se déformer sous l'envie, le plaisir. En réalité, l'Aimante avait du mal à se retenir. Ce n'était pas pour rien que son bassin s'était mis à onduler instinctivement...Avec envie. Einrich ne laissa pas l'elfe en reste, venant lui aussi glisser sous elle en une danse lascive mais intense. Des gémissements furent arracher lorsque son bouton était trop titillé, venant parfois se taire sur les lèvres brûlantes de l'homme.

La vérité que décida d'avouer Einrich fit perdre pied à la Muse. Relevant un peu plus son bassin, elle guida d'une main le membre tendu et rougi de son amant pour qu'il cogne contre l'entrée de son jardin secret. C'est dans un râle de plaisir intense que la demoiselle s'empala sur lui, ses cuisses manquant presque de force, ses fesses venant se coller à la peau du soldat. Elle resta ainsi quelques temps, ne sachant combien réellement, sa tête venant se caler contre la clavicule de son compagnon de bain. Tout son corps, pourtant pas si frêle, se mit à trembler de plaisir. Ça y est, le voilà en elle...

Relevant son délicieux minois, l'Aimante rapprocha ses lèvres pulpeuses de la bouche d'Einrich, ne faisant que les frôler, afin qu'il sente son souffle brûlant. Ses hanches se mirent doucement à se mouvoir, en une danse lascive, lui plantée toujours au plus profond d'elle. Elle pouvait sentir ses chairs intimes épouser presque à la perfection ce membre qui la comblait. Ses longs cils battaient souvent l'air, rendant presque son regard grisâtre flou. À moins que ce ne soit l'euphorie du moment qui ne faisait que grimper la température ? Que sa fièvre ne l'emmenait que plus profondément dans la semi-conscience ?

" Gnn...Einrich... "

Ce n'était que son prénom. Ce n'était pas réellement un appel non plus. Juste une plainte. Un soupir de petite mort presque déjà atteinte...


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