Je voulais oublier un instant ce qui c'était passé aujourd'hui, aussi je ne fut pas présente en cours, les professeurs, pensaient tous que j'étais encore à l'infirmerie, ce n'était pas inhabituel, surtout quand on savait que mon IMC continuait de baisser, je manquait cruellement de sommeil, n'avait même pas le courage de manger un fruit ou une barre énergétique, j'avais attendu un moment d'inattention des pions et du corps de de l'enseignement. Je passa par un chemin que j'avais repérée depuis mon premier jour dans cet établissement, qui n'avait rien de joyeux, tous le monde se plaisait à draguer ou même faire certaine chose qui me dégoutait à présent, tous cela à cause d'une nuit dans un cimetière et un coup venant de la muse de la malchance. Personne ne semblait me suivre et de toute façon, peu voir aucune personne ne m'aimait, tous cela à cause de coïncidence faisant croire aux élève que le simple fait de les maudirent entrainait des malheurs sur la personne qui était ciblée.
Je me guidait en fonction des odeur, quand on me bousculais, je me laissa repoussée, en espérant à chaque contact de ne pas tomber sur un monstre qui voudrait me violenter, voir pire. je ne voulais pas avoir encore se genre de situation, j'avais bien essayez de me jeter du haut du lycée, mais j'avais des personnes qui me surveillais pour ma sécurité, j'aurais bien aimée pouvoir mourir, pour une fois que j'avais eut le courage de vouloir me suicider, quoi qu'il en soit j'arrivai enfin vers ma destination, le bar le plus discret de la ville et où l'on ne vous demandait rien, hormis de prendre une consommation. je vint voir le patron et me mis à boire de la vodka, le goût fut au début difficile à supporter, mais au fil des verres, cela passa tous seul, continuant toujours de boire, encore et encore, puis vient un moment où mon verre étais vide, je le montra au barman qui dit.
- Allons mademoiselle c'est pas sérieux, c'est déjà un miracle que vous puissiez brandir ce verre, je ne veux pas avoir une morte dans mon établissement.
- M'en fous je veux me saouler jusqu'à ce que mort s'en suive.
- Allons, je doute que vous puissiez payer ce que vous avez bu, de plus il ne faut pas parler de la mort avec autant de légèreté.
- Je vous paierais ce que vous voulez, pourvut que je puisse boire et oublier.
J'étaie complètement ivre, mais cela me faisait un bien fou, Je ne pensais à rien hormis boire jusqu'à ce que mon bras ne puisse plus soulever ce verre. J'étaie tellement saoule que je ne sentit pas une présence approcher.