PoV Lucina :
Comme prévu, ce nouvel ami qui vient s’installer entre nous plaît beaucoup à cette sublime bonnasse qui ne peut d’ailleurs même pas s’empêcher de le tripoter. En même temps, je la comprends, je ferais pareil, ne serait-ce que pour bien visualiser ce qui va bientôt me baiser. Elle s’attarde ensuite sur ma poitrine et je ris à sa remarque, répondant :
- J’avais tout intérêt à être bien foutue pour avoir le droit de baiser une femme aussi vaginalement motocultable.
Oui, cette remarque manque de subtilité mais, sans mauvais jeu de mot, on s’en branle non ? Je remarque d’ailleurs que ma langue va vraiment beaucoup mieux maintenant, finie d’être engourdie, ouf ! C’était quand même un peu chiant de pouvoir à peine parler. Bref, fini la parlote, place à l’action ! J’entre en elle, profitant déjà de son temple qui se resserre de façon très vilaine sur ma bite. Bordel, si j’étais pucelle, j’aurais probablement déjà lâché la sauce. C’est quoi ce truc ? Une chatte ou un trou noir ? Sûrement un peu des deux en fait héhé.
Elle m’attire à elle et m’embrasse avant de sensuellement murmurer à mon oreille quelques mots m’invitant à bien fouiller ce temple qui me fait envie. C’est qu’elle sait me motiver la gourgandine ! Et pour s’assurer que je ne fuis pas mon devoir, elle m’entoure bien vite de ses jambes, appuyant d’ailleurs un peu sur mon bassin au passage pour m’inciter à aller… jusqu’au fond des choses si je peux dire les choses ainsi. Alors qui suis-je pour refuser ce plaisir à une demoiselle dont le vagin est tellement en détresse qu’il en pleure abondamment ? Je ne suis pas cruelle voyons ! Afin de satisfaire la requête qui m’est faite, j’entame une série de coups de rein plus prononcés, contrastant avec l’ambiance humide de sa cavité en infligeant des explorations plus sèches et visant à aller toujours plus loin dans cette aventure puisqu’elle m’y a invité. En version moins romancé, on peut tout simplement dire que je la démonte comme il se doit ouais.