Sauvetage+rencontre+jeu étrange = Nuit intéressante? - Venceslas Gordian -

Un véritable plaisir ! Voir cette petite lapine en train de goûter ma bite me rend tout chose, c’est si mignon et excitant à la fois. Je soupire d’aise, les jambes écartés, les bras ballants un moment. Je me laisse aller à mon ronronnement tandis que je me fais téter le bout.

-   Mhmmm que c’est bon.

Je redresse ma tête pour la regarder, lui sourire. Elle semble apprécier. Forcément ma bite est délicieuse. Je pose la main sur la tête de la jeune lapine, lui caressant les cheveux et les oreilles pendant qu’elle fait de son mieux.

-   Ah oui voilà, c’est bien. Continue comme ça ma puce, tu te débrouille bien. Tu es faite pour sucer des bites on dirait.

Ellle engloutit mon engin comme elle peut, difficilement mais elle y arrive plutôt bien. Moi je prends mon aise, je pose le pied sur la table tandis que je la laisse me lécher la hampe.

-   C’est bien, comme ça. Pense à branler un peu ma bite de temps en temps. Embrasse-la, les couilles aussi, embrasse-les, lèche-les. Tu sens comme elles sont pleines ? Elles ne se vident jamais, tu as de la chance.

Elle allait pouvoir goûter mon lait, si j’ose dire.

-   Elle est bonne cette grosse carotte hein ? Les lapines sont folles de bites, tu va voir quand je vais te la mettre, tu va couiner de plaisir. Aaaaah oui c’est bien continue.

Elle léchait mes couilles, voilà un plaisir ! Mhmm c’est tellement bon que les griffes de mes pieds sortent puis se rétractent, un peu comme quand on caresse un chat et qu’il étant ses orteils pour les rétracter ensuite. La petite lapine ne craint rien et moi je suis dans un autre monde pendant un instant.
Juste à côté de nous, la biche se faisait défoncer la chatte par le bouc qui avait déjà joui plusieurs fois d’affilés. Un peu plus loin, Marguerite la serveuse se faisait plaquer sur une table par le barman, un taureau massif aux couilles pendantes. Le barman empala la jeune vache, sa fille, qui beugla de plaisir juste avant qu’un rhinocéros énorme ne vienne y glisser sa bite. 

-   Mhmm oui c’est ça, respire bien, sent les phéromones que je dégage pendant que tu suce. Voilà c’est bon.

Je continue de caresser sa tête, avant de lui demander.

-   Tu aimes ça ? Tu veux continuer ? Je peux aussi te pilonner, si tu veux. 

C’était vraiment une toute nouvelle expérience. Zola n’avait jamais fait cela avec une autre espèce. En général c’était avec un humain ou un autre membre de sa propre espèce. Donc ce tigre était un défi pour elle. Un défi bien épais et dur. Le lécher et le sucer était intense... et cela la stimulait bien malgré elle.

-   Mhmmm que c’est bon.

Zola le sortait par moment de sa bouche pour se mettre à le lécher . elle ne cessait jamais de le stimuler sois avec sa langue, soit sa bouche ou ses mains. Parfois elle mélangeait les deux. Mains et bouche... Ou langue et mains. Il lui caressa la tête, ses cheveux et ses oreilles.

-   Ah oui voilà, c’est bien. Continue comme ça ma puce, tu te débrouille bien. Tu es faite pour sucer des bites on dirait.

Zola fit de son mieux pour engloutir ce sexe imposant. Elle faisait vraiment de son mieux. Sa petit bouche s’ouvrait du plus grand possible pour gober une partie de son sexe alors que de l’autre elle le tenait dans ses mains.

-   C’est bien, comme ça. Pense à branler un peu ma bite de temps en temps. Embrasse-la, les couilles aussi, embrasse-les, lèche-les. Tu sens comme elles sont pleines ? Elles ne se vident jamais, tu as de la chance.

La douce lapine faisait de son mieux. Elle écoutait ce qu’il lui disait mais elle avait tellement envie de lui grimper dessus que c’était devenue plutôt difficile de réfléchir.

-   Elle est bonne cette grosse carotte hein ? Les lapines sont folles de bites, tu va voir quand je vais te la mettre, tu va couiner de plaisir. Aaaaah oui c’est bien continue.

Elle se mit à lui lécher les couilles et continu pendant un bon moment avant de le reprendre en bouche. Elle n’entendait plus les sons qui les entourait. Tout ce qu’elle entendait était Les bruits que son ami, amant du moment, produisait.

-   Mhmm oui c’est ça, respire bien, sent les phéromones que je dégage pendant que tu suce. Voilà c’est bon.

La pauvre petite commençait à trouver cela plus dur. Elle avait un peu la tête qui tournait mais elle continua encore un peu

-   Tu aimes ça ? Tu veux continuer ? Je peux aussi te pilonner, si tu veux. 

Zola le relacha, les joues rosies. Elle leva les yeux vers lui avant de se redresser un peu. Elle était tellement excitée qu’elle en avait les cuisses trempées. Elle avala sa salive avant de lui tourner le dos.

-Je veux... Je te veux....

Elle se pencha vers la table pour y aplatir sa poitrine et tourna la tête vers lui. Zola vient prendre l’une de ses fesse arrondie pour l’écarte doucement pour qu’il puisse voir sa fente si humide de désir.

-Venceslas.... S’il-te-plait... Prends moi.....

Zola avait tellement envie qu'il la prenne... Qu'il lui montre quel mâle il était... La preuve qu'elle était tellement excitée par tout cela ce voyait bien.

Je regarde ce cul offert d’un air triomphant, j’ai ce que je voulais ! Je prend le temps pendant un moment de recommencer à lécher cette chatte en glissant mon museau félin contre la fente. Elle mouillait comme pas possible, elle était prête pour se faire prendre. Je me redresse alors et je pose mes deux mains sur son dos, pendant que je fais glisser ma bite le long de sa fente. Je fais un mouvement de reins pour qu’elle glisse sur la fente encore et encore.
Mes mains viennent masser tes reins pendant que je m’amuse à ça, je te masse les épaules et la nuque. Je viens lécher ta colonne vertébrale jusqu’à la nuque puis je claque violement ta fesse.

-   J’aime les femelles dans ton genre. Très chaude et la chatte mouillée au moindre contact. Et aujourd’hui tu est MA femelle.

Puis je rentre d’un seul coup. Toute ma bite glisse et rentre à l’intérieur de l’humidité palpitante de la lapine. Je reclaque une nouvelle fois son cul bien rond, que je saisi après coup. Les reins bien verrouillés, je commence un lent va et vient. Je glisse à l’intérieur et je prend mon temps. Lentement, doucement. Je m’y enfonce jusqu’au fond, je rempli tous l’espace … elle est vraiment très serrée ! C’est le pied.

-   Alors ma puce ? Tu aimes ma bite ?

Je continu à la baiser pendant que je me penche sur elle. Ma tête se frotte sur son dos et je lui chuchotte à l’oreille :

-   Tu aimes être ma femelle ? Tu veux que je sois plus directif ? Plus rude ? Tu as envie que je fasse de toi ma salope ?

Je me frotte à elle pendant que ma bite glisse lentement et sans ralentir en elle. Mon gland épais pousse ses parois. Mes mains viennent glisser sur son dos jusqu’à prendre ses seins plaqués sur la table.

-   Tu veux savoir ce que ça fait d’être la femelle d’un tigre ?

Je viens titiller les seins de Zola puis je viens lécher les oreilles de la lapine. L’espace d’un instant j’accélère le rythme, puis je le ralenti à nouveau.
Tout autour de nous les gens sont presque tous en train de baiser. C’est devenu une vraie orgie. Il y a même un jet de foutre épais qui viens gicler sur notre table, non loin de la bouche de Zola.

-   Mhmmm décidément j’adore les lapines moi …

Zola ne pouvait plus ignorer ce qu’elle ressentait. Son désir était palpable et son corps frémissant. Sa seule envie était qu’il profite de sa féminité. Qu’il la prenne, la pilonne avec une certaine brusquerie. La pauvre petite lapine dut cesser de le sucer pour se placer sur la table dans le simple espoir qu’il puisse la prendre et soulager son désir grandissant. Malgré sa crainte qu’ils ne puissent pas baiser, elle désirait ardemment ce sexe. Ce serait la première fois qu’elle aurait un aussi imposant en elle. Elle espérait qu’elle ne souffrirait pas.Il finit par la lécher encore, comme s’il cherchait à l’exciter d’avantage.  Il posa ses mains sur son dos avant de laisser son sexe frotter le sien. Cela la fit frémir alors qu’il la faisait délicieusement attendre. La pauvre Zola ne pouvait que frémir sous lui alors qu’il la caressait doucement. Il lui lécha même le dos jusqu’à sa nuque avant de la faire crier en lui assénant une bonne claque sur sa fesse.

-   J’aime les femelles dans ton genre. Très chaude et la chatte mouillée au moindre contact. Et aujourd’hui tu est MA femelle.

Soudainement, d’un simple coup de hanche, il la pénétra entièrement. Elle se cambra, la bouche grande ouverte, les yeux écarquillés. Son corps tremblait alors qu’elle sentait ses chair se comprimer sur son sexe qui l’écartait si bien.  Cela lui avait coupé le souffle. Zola s’agrippa à la table, les jambes tremblantes. Il lui offrit une nouvelle fessée son son derrière bien tendu qu’il finit par saisir. Son pauvre petit cœur tambourinait dans sa poitrine alors qu’elle recommençait à respirer.  Après quelques secondes qui s’écoulaient si vite il se mit a bouger, commençant un lent vas et vient. Elle poussa quelques petits gémissements alors qu’il entamait un rythme plus doux pour le moment.

-   Alors ma puce ? Tu aimes ma bite ?
-Haaa......

Parler était inutile. Elle n’y arriverait pas de tout manière. Les seuls sons qui parvenaient à franchir ses lèvres étaient des sons de plaisir. Ses soupirs et ses gémissements se firent de plus en plus entendre à chaque coup de rein qu’il lui donnait. Elle parvenait à le sentir se frotter à elle.

-   Tu aimes être ma femelle ? Tu veux que je sois plus directif ? Plus rude ? Tu as envie que je fasse de toi ma salope ?

Son excitation semblait prendre le dessus sur tout le reste. Sentir ses mains sur son corps alors qu’il la prenait était un pur délice. Il finit même par agripper ses seins. Pour lui facilité la tache elle se redressa un peu afin qu’il puisse bien empoigner ses courbes.

-   Tu veux savoir ce que ça fait d’être la femelle d’un tigre ?

La pauvre lapine... si perdue dans son plaisir qu’elle sentait sa jouissance approcher. Lorsqu’il se mit a accélérer, Zola se cambra et finit par jouir sans savoir retenir sa limite. Son petit corps tremblait et sa respiration fut rapide. Il ralenti à nouveau. Essayant de reprendre le contrôle sur sa respiration la petite laissa son front toucher la table.

-   Mhmmm décidément j’adore les lapines moi …
-... en......en..co...re...

Frémissante, elle tourna la tête pour le regarder en se mordillant la lèvre. Elle avait envie qu’il la fasse crier... que ses cris de plaisir rendent les autres jaloux... étrange...

Je repositionne mes mains au niveau des hanches et j’agrippe le cul de la lapine très fermement. Je me place mieux et j’écarte un peu plus les jambes de Zola pour avoir plus de place. Ma voix se fait plus rude, plus sèche, prédatrice. C’est ma proie et je vais la remplir jusqu’au cou.

-   Fini les gentillesses, j’y vais franchement à partir de maintenant !

Sur ses mots, j’enclenche un mouvement violent et rapide. Mon chibre glisse et coulisse à l’intérieur de cette femelle en chaleur comme dans du beurre. Je force autant que je peux pour maintenir dans cette chatte serrée un rythme rapide. Je la défonce totalement. Je n’écoute rien de ce qui se passe autour, je m’en fou. Je ne pense qu’à cette petite pute qui veut ma bite.
Obéissant à mes pulsions, je saisis ses poignets que je plaque violement contre la table pendant que je la ramone. Je saisis sa nuque entre ses mâchoires et je la plaque contre la table pour qu’elle ne puisse plus bouger pendant que je la baise. Je ne baisse pas le rythme et il ne fait que s’accélérer et devenir de plus en plus rapide et puissant. Au final la table commence à grincer et menace de céder mais je m’en fous.

Moi je continue de me faire plaisir et je déverse tout mon désir. Je peux sentir le plaisir de la femelle qui ne cesse de monter.

Finalement, la table ne résiste pas et craque mais Zola ne tombe pas. Je la tiens par la nuque et les poignets. Sans cesser de la baiser, je commence à la porter par les jambes et on commence à baiser debout, alors qu’elle-même ne touche pas le sol. Sa poitrine offerte à la vue de tous. Beaucoup de mâles commencent à tourner le regard vers nous et commencent à faire des gestes ou des remarques obscènes à son égard.

-   Ouaah tu as vu la lapine ? Sacrée vide couilles !  On se la fait juste après !

Moi j’ai la tête tout contre la tienne, alors que je te porte debout par les jambes, grands écartés et que je continue de te pénétrer. Je te chuchote à l’oreille d’une voix rauque et puissante. Une voix qui t’aurait fait prendre tes jambes à ton cou tout à l’heure tant elle transpire la prédation.

-   Regarde tous ces mâles. Ils te plaisent ? Ils vont TOUS se vider en toi.

Un Terranide chien s’approche de nous, la bite dure, et s’empare de ton pied pour lécher. Il continue ensuite avec ta cheville et remonte la jambe jusqu’à ta chatte que je pilote, et vient te lécher moi et ma bite.

Il finit par se replacer. Il lui agrippait ses fesses de manière si fermes qu’elle avait l’impression qu’il souhaitait la garder rien que pour lui. Il lui écarta les jambes encore un peu plus. Puis il lui parla. Elle frissonna en l’entendant. Sa voix était devenir plus rude.. plus prédatrice. Et cela fit réagir son corps. Sans le vouloir ses chaires se resserraient autour de sa bite.

-   Fini les gentillesses, j’y vais franchement à partir de maintenant !
-Aaah?!

Il se mit aussitôt à devenir plus rapide... plus violent dans ses mouvements. Zola se remit rapidement à gémir. Les lèvres entrouvertes alors que son plaisir les franchissaient pour faire écho dans la pièce. Seigneur... Il entrait en elle comme s’il l’avait toujours fait. La petite lapine  sentait tout son être frémir sous chacun de ses coups de rein. Ses cris se firent plus fort, sa respiration deviens haletante et son visage qui était si doux habituellement affichait un air presque comblée de plaisir. Il se montrait brusque et rapide mais cela l’excitait. C’était étrange de penser qu’un prédateur prenait autant de plaisir qu’elle pendant cette baise qui devenait peu à peu bestial. Il lui prit les poignets en les planquant contre la table violemment. Cela lui fit pousser un petit cri de surprise. Elle se crispa un peu en sentant ses mâchoires se fermer sur sa nuque. Elle ne pouvait plus bouger. Seul son derrière rebondissait en rythme du tigre.

Elle sentait son corps sautiller de plus en plus. Mais elle ne pouvait pas bouger, seulement gémir son plaisir. La table finit par craquer sous elle.  Zola pensait qu’elle allait tomber mais il la retenait fermement. Ils se retrouvaient alors à baiser debout. Enfin lui il était debout, elle... et bien il la tenait par les jambes, les cuisses bien écartées. Tout le monde pouvait maintenant voir sa poitrine bougée et la queue de Venceslas faire des vas et viens en elle. Zola voyait bien tous ces regards sur elle. Ses oreilles frissonnaient en entendant les commentaires des autres à son égard.

-   Ouaah tu as vu la lapine ? Sacrée vide couilles !  On se la fait juste après !
-HAAAAN!!!

Elle cambra un peu les reins en le sentant frotter en elle. La lapine pencha la tête vers l’arrière la bouche ouverte. Il la tenait toujours en la prenant toujours comme une bête. Après quelques instants, elle frissonna en entendant le ton qu’il employa.

-   Regarde tous ces mâles. Ils te plaisent ? Ils vont TOUS se vider en toi.
- P....Pas....tous.....

La petite Zola, bien que intimidée, avait quelques préférence parmi les mâles qui se trouvait la. Il y en avait qui lui avait taper dans l’oeil mais elle était bien trop gênée pour l’avouer. Il y avait un loup, un renard, un chien et lui la avec les cornes qu'elle ne savait même pas de quelle espèce il était. Soudainement, elle sursauta en sentant une langue sur son pied. Elle baissa les yeux pour voir un terranide canin . elle le regardait la lécher. Il passait la langue sur sa cheville pour remonter sur sa jambe et terminer sa course sur son intimité. Elle poussa un cri de plaisir et plaça ses mains sur la tête du nouveau venu.

-Haaaan..... je.... vais....

Seigneur.... elle jouit aussitôt. Mais cela n’empêcha pas ce canin de continuer à la lécher. La pauvre petite lapine qui venait de tomber dans un sacré piège. Elle allait se faire dévorer par tous ses prédateurs... Elle n,allait pas résister bien longtemps si ceux qui lui avait taper dans l’œil venaient aussi.

Je continue d’y aller aussi fort que je le peux. Je contracte mes muscles tout en la tenant très fermement, portant à bout de bras cette jeune femelle. Je la secoue et tous les mâles peuvent admirer ces merveilleux nibards qui gigotent dans tous les sens. La demoiselle couine à n’en plus finir, totalement soumise et sous notre emprise à tous. Le chien qui léchait la fente activement défoncée par ma bite était aux anges. Il se mit à poil lui-même, se dessapant totalement pour dévoiler un corps musculeux. C’était un mâle d’âge mur, habitué à engrosser sans doute toutes les chiennes en chaleur des environs. Il remonte sa tête au niveau des nibards de Zola et commence à lécher les tétons.
D’un autre côté c’est un lapin, tout athlétique et complètement à poil, qui commence à s’approcher. Son pelage est complètement noir, athlétique, il doit être du même âge que Zola. Il vient s’approcher des pieds de la lapine et commence à lécher.

Illustration Lapin 18+

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-   Haaa ! Putain quel chatte …

Je continue sur ce rythme pendant un bon moment. La petite lapine se faisant ramoner la chatte, titiller les tétons et les pieds par trois mâles en rut. Le chien, de sa voix rauque, fini par relever la tête et roule une pelle bien baveuse à la lapine, engouffrant sa grosse langue canine dans sa bouche. 

-   Blacky, viens lui lécher les nibards, ça te rappellera ta mère, héhéhé !

Sous les ricanements de l’assistance, le lapin noir qui léchait les pieds de Zola se relève pour s’approcher, le chien lui laissant la place tout en lui claquant sévèrement le cul au passage. Le petit lapin s'était fait ramoné le fion tous du long de la soirée et boitait un peu. Mais il ne semblait pas fatigué le moins du monde. Il jette un regard considérablement pervers à la lapine, comme la promesse d'un long moment.

-   Avec plaisir …

Puis le lapinou en rut commence lui aussi à têter et lécher les seins, pendant que le chien branle Blacky et lui lèche l’anus. Moi, grognant de plaisir contenu, je grogne à l’oreille de Zola :

-   Mhmm tu est tellement appétissante …

Tout en la besognant, je lui glisse des bisous dans la nuque et je viens lui mordre, doucement les oreilles. Mes mains sont fermes sur ses cuisses, je m'y agrippe aussi fort que je le peux pour pouvoir la tenir sur ma bite, qui supporte la majeure partie du poids. Mes couilles pendent bien et je sent par moment que Blacky s'amuse à me les lécher. Sale petit pervers ! J'adore ça !
Ma sève grimpe vite mais je tiens le coup. Je continue de défoncer le cul de la lapin, concentré et grimaçant quelque peu. Je ne ralentit pas le moins du monde et j'essaye même d'accélérer. Je veux qu'elle jouisse encore et encore !

-   Ces mâles attendent que je finisse en toi. Tu veux que j… haaa … que je crache mon foutre ? Tu veux goûter leurs bites ?

Illustration Chien 18+

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Il la retenait si facilement dans ses bras en la faisant sautiller de plus en plus sur son sexe dur. Elle sautillait sur lui alors que sa poitrine rebondissaient dans tout les sens. C’était une vision suffisante pour que les mâle de la pièce qui n’étaient pas déjà trop occupés la regardent avec désir. La pauvre petite lapine ne parvenait même plus à parler tellement son esprit s’embrouillait de plaisir. Ce faire ainsi stimuler la rendait dingue. Ce chien la léchait comme si elle était la friandise la plus en demande de la région. La pauvre petite lapine qu’elle était n’avait jamais été prise par plusieurs mâle en même temps. Habituellement ce n’était qu’avec un seul homme... Pas un homme qui la remplit alors que l’autre la lécher partout.

Un troisième se joint a eux. Zola tremblait alors que le chien lui léchait les seins, suçant ses tétons durcit. Elle se faisait lécher les pieds. C’était tellement étrange mais elle ne pouvait que gémir, éprouvant bien trop de plaisir par la langue de ce canin sur ses seins et le sexe du tigre en elle.

-   Haaa ! Putain quel chatte …
-Haa.......

Seigneur la pauvre commençait à avoir du mal a suivre le rythme. Après un bon moment, le chien releva la visage pour la regarder avant de venir l’embrasser de manière si intense qu’elle était sure qu’il essayait de la manger. Il entra sa langue dans sa bouche pour la faire glisser sur sa petite langue à elle. Un peu de salive coulait sur le coin de sa bouche lorsqu’il se recula.


-   Blacky, viens lui lécher les nibards, ça te rappellera ta mère, héhéhé !
-..Q..quoi?

Zola se cambra alors que son ‘’ami’’ le tigre ne perdait pas le rythme. Le chien laissa sa place au nouveau venu. Le lapin tout noir qui lui léchait les pieds plus tôt. Ce Blacky pris la place que le chien avait plus tôt et se mit à la regarder comme s’il voyait un savoureux dessert. Zola le regardait en rougissant. Elle se mordillait la lèvre en entendant quelques commentaires a son sujets. Elle ne comprenait absolument pas... Habituellement elle n’était pas aussi.... comment dire... coquine que présentement.

-   Avec plaisir …

Il se mit à s’occuper de sa poitrine comme l’avait fait le chien un peu plus tôt. Elle posa les mains sur ses épaules en tremblant. Son corps allait jouir encore et cela se voyait. Les grognements de plaisir que ces mâles poussaient la rendait encore plus humide.

-   Mhmm tu est tellement appétissante …

Après cette déclaration la lapine jouit une autre fois. Il lui mordait les oreilles alors qu’elle était complètement envahit par le plaisir. Son petit corps tressautait alors que les vagues de sa jouissance la fit se cambrer en haletant. Venceslas semblait raffermir sa prise sur ses cuisses. Il la prenait avec tellement de force qu’elle n’arrivait pas à reprendre sa respiration, surtout après ce troisième orgasme qui avait été bien plus intense que les premier. Son corps était devenu bien plus sensible suite à cela. Les yeux mis clos, Zola sentit des lèvres se poser sur les siennes. Elle ne savait pas qui était en train de l’embrasser mais elle répondit au baiser en gémissant. Des mais vinrent prendre sa poitrine pour la serrer fermement et une autre se glisser sur son clitoris pour la stimuler encore plus.

-   Ces mâles attendent que je finisse en toi. Tu veux que j… haaa … que je crache mon foutre ? Tu veux goûter leurs bites ?

Elle criait de plaisir sans savoir quoi faire.  Elle tourna la tête pour essayer de regarder Venceslas et posa la main sur sa nuque pour le penche un peu vers elle.

-...Oui...

Elle le pencha un peu plus pour poser ses lèvres sur les siennes et l’embrassa un peu plus sauvagement. Elle lui mordilla la lèvre avant de glisser sa langue dans sa bouche.

Blacky prenait un plaisir certains à téter les seins de Zola, il lui léchait les tétons et les titillaient avec malice. Puis il se mit à lécher le ventre et le bas-ventre pour venir se concentrer sur le clitoris de la lapine avec une certaine dextérité. Le chien lui continuait de lécher le fion du lapin noir, qui bandait comme un âne en réaction.
Moi de mon côté, j’embrassais fermement la lapine, une soupe de langue féroce entre deux respirations, pendant que je me mis à alterner rythme lent et rythme rapide. Ma bite et mes grosses couilles pleines claquaient avec un boucan sonore contre le cul trempé de cyprine de Zola.  Mes respirations étaient des grognements et mes yeux de félins avaient leurs pupilles considérablement dilatés, comme quand un chat s’amuse avec quelque chose …. Ou est sur le point de tuer sa proie après un long temps de jeu.

Je fais glisser mes mains sur les cuisses, qui porte Zola en partie grâce à ma queue, et je caresse doucement son entre cuisse largement écartée. Je viens mordre, sans aller jusqu’au sang, les épaules de la femelle pendant que je tente de garder le foutre dans mes couilles. Mes gémissements rudes et rauque se font de plus en plus fort. Puis finalement, j’en viens à te saisir la nuque très fermement, puissamment, comme si j’allais te tuer.
Mais à la place, c’est ma bite qui donne le coup de grâce, en libérant des quantités plus que remarquable de foutre qui t’innonde. Blacky, qui te lèche la chatte, s’en prend sur le museau, mais ne cesse pas de lécher, au contraire. Tous les mâles dans l’assistance applaudissent et rugissent, c’est leur moment !

-   Aaah regarde là ! Elle aime se faire féconder hein ? On va te faire du bien aussi, grosse pute.

C’était le chien qui avait parlé, il s’était relevé du cul de Blacky, qui léchait tour à tour ma bite et la chatte de Zola. Puis il se relève et viens rouler une pelle à la lapine. Il la regarde avec son air de gros dégueulasse : 

-   Maintenant ma puce c’est mon tour … prépare toi à devenir maman.

Moi je lâche la lapine qui retombe sur ses pattes un instant.

-   Messieurs ! Elle est à vous !

-   OUAAAAAIIIIS !

Elle n’a pas trop le temps de chercher son équilibre que le chien se saisit d’elle et de Blacky pour les poser tous les deux sur le comptoir. Le chien était sous la femelle, sur le compoir (et elle sur lui) et planta sa bite direct dans l'anus de Zola. Blacky lui, glissa sa langue tout contre la chatte de la femelle, avant devenir rentrer son longue bite à l'intérieur, saisissant au passage les gros nichons. De l’autre côté du comptoir, le tenancier lui s’approche de la tête de Zola :

-   Alors petite salope, tu veux de la bite ? J’ai un cocktail pour toi …

Il lui montre sa grosse bite et ses couilles énormes de taureau.

-   Ouvre grand la bouche !

Puis il enfonce son gros chibre dans la gueule de la lapine.

Le Barman 18+

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Les males semblaient devenir de plus en plus intense avec elle. Alors qu’elle sautillait encore sur la queue infatigable de Venceslas, elle se faisait lécher de toute part. Sa poitrine, son ventre et son intimité passait rapidement sous les coups de langue de Blacky, le lapin qui semblait être de son âge. Elle se cambra en sentant la main de son ami tigrou sur sa fleur écartée comme pas possible. La lapine sursaut a en le sentant la mordre. Et lorsqu’il vient la saisir à la gorge elle poussa un cri de terreur en réjouissant sans même s’en rendre compte. Il n’allait pas lui faire de mal mais il finit par la remplir avec son sperme en jouissant intensément entre ses chaires. Ce moment de jouissance fut applaudi et acclamer. Ce qui fit rougir rapidement la petite Lapine blanche.

-   Aaah regarde là ! Elle aime se faire féconder hein ? On va te faire du bien aussi, grosse pute.

La pauvre Zola était complètement épuisée. Après avoir jouit autant de fois, elle avait besoin d’un petit moment pour reprendre son souffle mais ce n.tait pas pour l’instant car le chien se releva pour venir lui rouler une pelle baveuse avant de la regarder et de lui donner l’impression qu’il allait la briser bien gentiment. Sa respiration était si haletante qu'elle avait l'impression qu'elle venait de courir un sprint.

-   Maintenant ma puce c’est mon tour … prépare toi à devenir maman.
-...non....j’ai... besoin...d’une pause...

Venceslas finit par la lâcher alors qu’elle tombait sur ses jambes chancelantes. Sur ses cuisses, la semence du tigre coulait de plus en plus.

-   Messieurs ! Elle est à fou !
-   OUAAAAAIIIIS !

Zola n’eut pas même pas le temps de reprendre son souffle et son équilibre qu’elle se fit soulever par le canin. Elle se retrouva en sandwich entre lui et le lapin.  Sans plus de cérémonie il lui remplis son petit cul avec sa queue en la faisait gémir de douleur. Il était si gros pour son orifice qui n’avait pas été préparer à recevoir ce genre d’assaut. Le lapin qui était presque sur elle lui léchait encore l’intimité avant de venir y longue son sexe en la faisant gémir. Elle sursauta alors qu’il lui attrapa les seins pour venir jouer avec tout en s’enfonçant en elle. Les deux mâle adoptèrent le même rythme en la pilonnant bien correctement. Elle gémissait sans savoir ce qu’il ce passait. Elle se faisait beaucoup trop stimuler et elle en perdait la tête. Un troisième mâle s’approcha d’elle, sexe à la main.

-   Alors petite salope, tu veux de la bite ? J’ai un cocktail pour toi …

Zola écarquilla les yeux. Il... était bien trop gros pour qu’elle le prenne dans sa bouche.

-   Ouvre grand la bouche !

La petite lapine secoua la tête vivement. Elle ne pouvait pas l’avaler. Non. Mais il ne lui laissait pas vraiment le choix et lui glissa son sexe dans sa bouche. Zola posa les mains rapidement sur lui pour tenter de le ralentir. Elle s’étouffa sur son sexe et cela le fit rire.  Le corps de la petite lapine sautillait entre le chien et Blacky. Le chien tenait ses cuisses relevées alors qu’ils la prenaient de tout les côtés. Zola sentait ses yeux se remplir de larmes dù au manque d’air que le sexe du taureau créait à chaque fois qu’il le plongeait dans sa bouche.

Elle ne pouvait pas faire le moindre son. Son corps se crispa un peu alors qu’elle se sentait jouir encore une fois. Elle était couverte d’une fine couche de sueur alors que ses ‘’amants’’ continuaient de la faire sautiller sur leurs sexe bien dur. Elle allait perdre connaissance? Son corps tremblait encore, ses yeux se fermèrent et de la salive coulait de sa bouche.

-   Oula oula les mecs doucement ! La jeune femelle va tourner de l’œil haha !

Les Mâles ricanent en chœur alors que la jeune lapine avait du mal à tenir le rythme. Je pose une main sur le taureau qui recule bien gentiment tandis que les deux autres continuaient mais à un rythme plus lent. Blacky continue de glisser en elle, mais plus langoureusement, à un rythme lent, tout en continuant de s’agripper à ses seins. Le chien lui, donne de petits coups pas trop rudes dans le cul serrée de la jeune fille.
Allongée sur le dos, le taureau vient donner quelques petites claques gentilles histoire de la ramener à elle. Tout en lui préparant un verre de jus de carotte frais, avec une paille. La jeune demoiselle avait la tête reposée sur le bas ventre du taureau, sa grosse bite dure lui frottant le côté du visage jusqu’au cou. Il se montrait bien plus doux, lui caressant l’autre joue gentiment.

-   Tiens femelle, bois ça tu verras. Tu va vite te requinquer. C’est qu’il y a du monde ici qui à envie de toi.

Blacky, avec le même air sur la face, rétorque :

-   Et puis ce serait bête que tu ne sache pas qui sera l’père de tes gosses haha !

Le taureau caresse gentiment la moitié de visage de la lapine avec sa bite et lui dit doucement :

-   Il veut dire qu’il t’adore. Tu es une baiseuse hors pair. Et puis tu sais …

Il chuchote comme pour dire un secret, tandis que les deux autres continuaient de la baiser à rythme très lent.

-   Les baiseuses comme toi ici ne payent rien. C’est gratos pour toi bébé.

La tête relevée, elle a sous les yeux tous les males qui forment un cercle autour d’elle. Ils ont tous la bite à la main. Moi je suis en face, derrière Blacky et j’adresse à la lapine un grand sourire d’encouragement. Puis un élan immense, une vieille connaissance, vint se coller à moi et m’embrasse. Il vient me glisse une main sur la bite et ça m’électrise à nouveau et je lui roule une pelle tout en commençant à branler sa grosse bite qui durcie.

-   Oula oula les mecs doucement ! La jeune femelle va tourner de l’œil haha !

Oui elle allait tourner de l’œil. Ils se montraient un peu trop brusques avec elle pour le moment et la pauvre petite lapine n,arrivait plus à respirer. Le taureau était trop gros et plongé ainsi dans sa bouche ne l’aidait pas à réussir à respirer.  Les autres mâles rigolaient, elle pouvait les entendre. Ses oreilles avaient gigotées aux ricanements. Après de longues minutes qui lui semblait interminable, le taureau se retira et elle toussa. La tête lui tournait mais ses yeux rubis restaient clos. Le lapin et le chien qui la prenaient avaient ralenti leur mouvements comme s’ils lui permettaient de reprendre un peu son souffle. La pauvre petite lapine pris une grande inspiration.

Zola ouvrit lentement les yeux alors qu,elle sentit quelques petites claques douces sur ses joues. Elle affichait un air un peu perdue alors que ses yeux se posèrent sur le taureau qui était maintenant coucher sur le dos et qui servait d’oreiller pour sa tête. Elle sentait quelque chose de dure contre sa joue. Elle leva la main difficilement avant de toucher. Elle rougit. C’était le sexe du taureau. Elle se mordilla la lèvre en le lâchant. Il lui tendait un verre avec un liquide orangé à l’intérieur et une paille.


-   Tiens femelle, bois ça tu verras. Tu va vite te requinquer. C’est qu’il y a du monde ici qui à envie de toi.

La douce lapine rougit et prit le verre avant d’entendre le lapin lui dire une chose qui lui fit écarquiller les yeux. Elle se crispa même, faisait gémir le chien sous elle.

-   Et puis ce serait bête que tu ne sache pas qui sera l’père de tes gosses haha !

Elle le regardait un peu inquiète. Pourquoi... lui disait-il cela. Le taureau sembla le voir car il rectifia aussitôt.

-   Il veut dire qu’il t’adore. Tu es une baiseuse hors pair. Et puis tu sais …

La douce Zola porta le regard vers le taureau en rougissant. Il la forçait à boire un peu. Ce qu’elle fit sans vraiment lui résister.

-   Les baiseuses comme toi ici ne payent rien. C’est gratos pour toi bébé.
-M...erci...

Elle avait maintenant la tête redresser pour facilité le fait qu’elle buvait. Elle remarquait les regards des mâles qui l’entouraient. Elle allait passait un long moment. Elle avala sa salive en les fixant. Après quelques minutes, le chien et le lapin recommençaient à donner plus de vigueur dans les mouvements, faisant gémir la pauvre victime qui renversa sa boisson sur sa poitrine. Elle tenta de les calmer pour qu’ils puissent la laisser souffler en sortant d,elle mais l’excitation grimpait en flèche pour tout le monde dans la pièce.

-Aaah....

Un des mâles lui prit la main pour qu’elle vienne le branler. Ses doigts se serraient sur le bâton de chaire durcie. Elle ne savait même plus qui la touchait tellement tout cela prenait de l’ampleur. Le taureau avec pencher la tête pour l’embrasser en lui empoignant un sein. Le lapin finit par jouir en elle en lui mordant son sein de libre. Le chien ne devait plus être très loin de la jouissance lui aussi. Le corps frêle de la lapine  tremblait alors qu’elle jouit une autre fois. Ils ne la laisseraient pas comme cela. Mais la douce lapine avait besoin d’un peu de douceur pour au moins prendre une pause. Elle se cambra sans avoir conscience de ce qui l'entourait maintenant.