Berceau des sirènes (avec Lyli)

Blanchefeuille comprend de nombreux lacs et rivières. Certains de ces endroits sont connus de tous et fréquentés par l’ensemble de la population. Lenora a rarement le temps pour se consacrer à une trempette dans les eaux tièdes des lacs avoisinants. Ses journées éreintantes la laissent pourtant souvent en sueur, ne désirant rien de plus qu’un bon bain et un long repos. Lourde est la tête qui porte une couronne, pourtant Lenora n’a même pas de couronne non plus, juste des obligations. Mais pas aujourd’hui. Son grand frère était revenu d’une longue campagne diplomatique à l’étranger, et en voyant l’état de sa sœur il lui avait ordonné de prendre une semaine de congé. Ceberim est un des rares à qui Lenora fait confiance, et elle lui a donc cédé la charge de ses hommes le temps de prendre du repos.

Pas question pour une princesse de se rendre au même lac que tous les autres elfes. Elle n’est pas hautaine ou prétentieuse, mais pour sa sécurité comme pour son propre calme, il est important qu’elle soit seule. Ce n’est pas une vraie pause si on doit la partager avec une populace envieuse de vous demander des faveurs ou vous poser des questions sans arrêt ! Donc, Lenora a pris son cheval blanc, galopant à travers les sentiers les plus inconnus pour retrouver son lac favori. Elle l’avait découvert des années auparavant lors d’une reconnaissance, et avait choisi de le nommer « Berceau ». Elle n’y était pas allée depuis presque une décennie. Des vacances bien méritées.

L’endroit a bien changé, pourtant. La végétation y a poussé et cache désormais le chemin sinueux qui mène jusqu’au cœur du lac. Lenora prend son glaive, tranchant de gestes secs et précis les lianes et feuilles gargantuesques qui bloquent son chemin vers le répit. Tout ce vacarme alertera sans aucun doute les autres habitants de l’endroit. Car l’endroit est un rendez-vous pour les créatures sauvages de la forêt. Et Lenora aura tôt fait de découvrir que les ours, lapins et cerfs ne sont pas les seules bêtes qui aiment venir boire et se baigner dans cette grande étendue d’eau. Mais elle ne pense pas à ça, tout ce qu’elle veut, c’est retirer son armure de cuir et enfin s’autoriser une baignade digne de ce nom.

-N’aie pas peur, Courre-vent.

Lenora appelle son cheval, elle sait qu’il n’aime pas les lianes et ronces sur le chemin, alors la princesse les balaie de son glaive pour lui ouvrir le passage. Il n’aime pas se baigner, pas autant que la princesse mais elle sait qu’il a probablement soif. Pendant que l’équidé se repait d’une eau cristalline mais pas si fraiche, Lenora range son glaive dans le fourreau de cuir, et défait lentement toutes les lanières de son armure. Il fait chaud aujourd’hui, elle transpire un peu. Avec le dos de sa main, elle essuie un peu de sueur sur son front, et décolle ses mèches plaquées. Les arbres forment un petit rideau qui lui évite les rayons du soleil aux abords du lac, d’où le nom de « berceau ». Quelques clics et clac, voici la princesse en collants et soutien-gorge.

-Je vais nager un peu, tu peux t’allonger si tu veux. On ira te chercher à manger plus tard mon beau.

Elle s’approche du cheval, enlace son large cou de ses bras musclés et dépose un baiser sur son museau, fermant les yeux pour profiter de l’instant. Mais les petites vagues du lac l’appellent, et elle défait l’étreinte, puis les baleines de son soutif mis à rude épreuve par sa lourde poitrine. Un grand soupir de soulagement quitte sa gorge. Malgré sa musculature et son dos sinueux de muscles, elle n’en pouvait plus. Rapidement, elle retire aussi ses collants, mais garde le sous-vêtement qui couvre son bas-ventre. C’est un petit short noir, terriblement simple et super confortable. Lenora réserve les dessous les plus coquets à ses amantes, et elle n’a pas prévu d’aller voir l’une d’elles aujourd’hui. Pas transpirante et moite comme elle l’est.

-Par tous les dieux, voilà qui est bon. Mnaah.

L’eau est tiède, parfaite. L’elfe a l’impression que dix tonnes viennent de tomber de sur chacun de ses muscles. Elle n’avait même pas réalisé à quel point elle est engourdie, et la fatigue la fait presque s’écrouler dans l’eau. Doucement, elle nage jusqu’à un rocher lisse pour s’y adosser et profiter pleinement de cette détente, les yeux clos. Elle pourrait y passer sa journée entière. Le lac est grand, et peut-être quelqu’un d’autre utilise ce lieu pour s’y reposer. Mais Lenora n’est pas une femme pudique, tant que chacun sait respecter les limites des autres. Elle entend le bruit de l’eau qui s’agite un peu plus loin, et ouvre un œil dans cette direction, curieuse.

-Pas besoin d’être timide, je ne mords pas.

L’eau du lac est d’une clarté surprenante et ne cache rien des formes de Lenora en dessous.

Beaucoup pensent que les sirènes ne vivent que dans l'océan, cette idée reçu, évidemment fausse, n'est qu'une des chimères inventés par les humains manquant de connaissance sur le monde magique qui les entoures. Les sirènes ne sont pas des poissons aux besoins d'eau douce ou salée, n'importe lequel de ces deux liquides fait parfaitement l'affaire. On pourrait même dire que Lyli préfère les lacs et les grandes étendues d'eaux douces perdues, plutôt que la vaste mer. A force d'y vivre, cela lui a donné l'étrange impression d'en avoir exploré les moindres recoins, même si c'est loin d'être vrai. Peu importe ou elle regarde, il n'y a toujours que de l'eau, toujours plus d'eau à perte de vue, et ça fini parfois par devenir triste. Au moins, sur ce vaste lac, les décors y sont différents tout autours, grâce aux berges de végétations denses et autres fleurs. Le calme y était aussi différent, apaisant, le milieu de l'océan n'avait pas le droit aux sons enchanteurs des oiseaux ou autre visites d'animaux sauvage.

Enfin, la sirène a beau parlé de calme sauvage, elle avait passé toute la nuit en compagnie d'une belle elfe des bois. Lyli adore la pureté des elfes, c'est l'une des beautés de ce monde qu'elle affectionne particulièrement. Elle aimait faire rougir ces belles elfettes en jouant avec leurs oreilles si sensibles, elle aimait les contemplait leurs beautés si gracieuse et naturelles... mais... durant sa dernière conquête, la sirène vint à s'ennuyer un peu. Son amante avait été certes parfaite, mais Lyli avait eu l'impression d'avoir déjà vécu ce moment. Oui, c'est bien ça, les elfes étaient de belles créatures, nobles, fières, au corps élancés. Mais ce corps aussi joli que frêle d'apparence n'avait pas l'air des plus... solide ! Peut-être avait elle tort, peut-être n'était-ce que son imagination, mais Lyli, pouvant être très forte sous l'eau, se bridait volontairement pour ne pas blesser ces belles elfes. Si bien que Lyli avait fini par partager son corps en dehors de l'eau, avec sa belle conquête de la nuit passée, cette dernière n'étant en plus pas très rassurée par l'eau. Ca avait été un bon moment mais... La frustration parcourait encore les fibres de son corps.

Mais le lendemain, cette frustration se changea en une excitation éclatante, ou plutôt une sorte de fascination, comme un enfant devant l'attente imminente de noel. Une elfe, bien différentes des autres avait pénétrée les berges du lac. Avec tout le bruit qu'elle avait fait, difficile de passer à côté. Son corps était celui d'une guerrière, d'une combattante, tout en conservant la grâce et la beauté légendaire des elfes. La sirène en avait presque des étoiles dans les yeux et avait observé la belle en restant dans on petit coin, tout du long. Elle s'imaginait essayer de prendre le dessus sur elle, sans que l'elfe se laisse faire, usant de son corps solide et élégant pour se débattre... Son énorme poitrine bien en chaire contrastait aussi avec le corps souvent svelte des elfes, et même pour un corps comme le siens il ne devait pas être aisé de porter ces deux lourds fardeaux constamment.

Oups, Lyli s'est un peu emporté et a faillit se faire surprendre, mais plonge au dernier moment, ne laissant qu'une onde qui se propage à la surface. L'elfe doit surement se douter qu'elle n'est plus seule maintenant, à moins qu'elle pense à un poisson ayant sauté ? Dans tous les cas Lyli se dirige en sous marin vers le superbe corps de l'elfe. Comme ses sens sous l'eau sont très aiguisés, la sirène peut ressentir cette odeur de sueur autours du corps submergé de l'elfe, ne faisant, sans vraiment comprendre pourquoi, qu'augmenter l'excitation de Lyli. Ce parfum fort était comme un appel, et elle ressentait cet instincts qu'avaient les bêtes sauvages devant du sang ou des phéromones. Heureusement pour l'elfe, Lyli n'était pas une sauvage... C'est d'ailleurs pour ça qu'elle préféra se présenter, plutôt que de lui tirer les jambes pour l'engloutir au fond du lac, comme l'auraient fait ces sirènes primaires de bas étages.

Qui parle de timidité ? Une elfe qui se baigne en gardant ses bas ?

Lyli réplique tout en sortant la tête de l'eau, mais pas à n'importe quel endroit, juste devant le corps galbé de l'elfe. Elle la regarde avec un large sourire, sa chevelure flamboyante et mouillée dispersée autours d'elle, sur la surface. Sous l'eau, des reflets verts scintillent au travers de la surface, miroitant ses écailles comme des paillettes à chaque mouvement de jambes qui la maintient à la surface.

Ton corps... Il est plutôt original pour une elfe, tu es une sorte de guerrière ou quelque chose comme ça ? J'aime beaucoup.... il est... magnifique.

La sirène avait beau avoir des manières et ne pas sauter sur tout ce qui bouge comme une sauvage, elle n'en restait pas moins primaires quand il s'agissait de dévoiler le fond de ses pensées. La sirène n'est pas pudique, et encore moins timide, elle trouve même ridicule ces manies typiquement humaines de tourner autours du pots, pour cacher le réel fond de leurs pensées...

Les sens de Lenora sont aiguisés. Il y aurait probablement une blague à faire sur ses oreilles d’elfe et son ouïe, mais ce ne serait pas totalement faux. Il était arrivé que l’elfe croise des vagabonds ou paysans dans le coin, mais jamais de non-elfe. Et encore moins une créature aussi mystérieuse que celle qui se présente à Lenora. De longs cheveux rouge, une tenue resplendissante de ce que l’elfe suppose être des paillettes. La princesse ne fait preuve d’aucune gêne face à la sirène mais elle se redresse quand même et ouvre le deuxième œil pour bien la regarder. Jolie. Ce n'est clairement pas une elfe, cependant. Et c'est surprenant, c’est la première fois que Lenora voit une humaine ici. Enfin ce qu’elle suppose être une humaine. Un rire échappe aux lèvres de la princesse.

-Touchée. Je n’ai pas l’habitude de me baigner nue ailleurs que dans un bain. Qui sait ce qui peut trainer dans ces eaux ?

La sirène refait surface devant Lenora, qui lui lance un sourire accueillant. Après des siècles dans l’armée, elle sait vite reconnaître quelqu’un aux intentions perfides. Elle ne sent rien de tel venant de Lyli. Mais elle n’est pas dupe ! Elle sait reconnaître la façon dont on la regarde, ce qui la surprend un peu. A Blanchefeuille, homme et femmes sont souvent amateurs des deux sexes. Lenora ne partage pas ces goûts, aimant seulement les corps féminins qu’ils soient fins, en chair ou bien musclés comme le sien. Et même si elle a beaucoup voyagé, les humaines lui semblent de façon générale plus enclines à aimer les hommes que leur propre sexe.

-Tu es très exotique, toi aussi.

Lenora n’affiche pas aussi ouvertement son attirance que le fait Lyli. Elle a une réputation à tenir et beaucoup de pensées occupent en permanence son esprit. Même dans une société libertine ce n’est pas bon pour un membre de la royauté d’afficher ouvertement ses conquêtes et ses attractions.

-Je n’ai jamais vu une tenue comme la tienne. Et cette couleur de cheveux n’est pas commune chez nous.

Elle se retient de toucher les cheveux rouges de la sirène. Ils la fascinent, et elle trouve que ses mèches blanchâtres sont bien banales en comparaison. Son regard inspecte minutieusement l’inconnue, et elle entrouvre la bouche d’émerveillement devant les écailles scintillantes de la sirène. Curieuse, elle se demande si cette combinaison est agréable à porter, si elle tient chaud ou non. Lenora trouve qu’elle propose une vue triste face au spectacle de l’inconnue. Il n’y a pas grand-chose d’autre à regarder que ses muscles de guerrière, sa lourde poitrine ou ses cheveux flottant à la surface de l’eau. Enfin, le spectacle paraît très clairement plaire à Lyli. Lenora s’étonne d’éprouver un genre de fierté en sachant qu’une si belle créature s’intéresse à elle. Non pas qu’elle se trouve laide, simplement, les compliments sont plus agréables d’une autre femme que d’un homme.

-Une guerrière ? J’imagine que c’est le terme à employer, même si notre royaume n’a pas été en guerre depuis presque soixante ans.

Pas besoin d’en dire plus. Elle n’aime pas vanter sa royauté aux inconnus, surtout que Lyli n’est pas une de ses sujettes, à sa connaissance. Les humains s’installent rarement à Blanchefeuille, car leur vie est plus courte, leurs mœurs différentes.

-Je suis Lenora, cavalière pour l’armée de ce royaume. Et toi ?

Elle n’arrive pas à détacher son regard des écailles scintillantes. Ses doigts s’agitent un peu, elle est curieuse.

-Puis-je ? Je ne sais pas comment te rendre la pareil, mais ce matériau me fascine.

Elle désigne la "tenue" du bout des doigts. Elle a envie de laisser glisser ses doigts sur les écailles étincelantes, presque éblouissantes.

Lyli écoute parler la jolie elfe, portant ses deux mains jointes sous son menton, pour le soutenir, tout en battant des jambes. Elle avait l'air ainsi d'une gamine en admiration total. Ce n'est pas la première fois qu'on confondait sa peau avec une tenue, ça lui arrivait même presque tout le temps, la sirène avait l'habitude. Mais il s'agissait pourtant bel et bien de sa peau, ou plutôt d'un revêtement en symbiose avec celle-ci.

Moi aussi je suis une sorte de guerrière. Enfin, plutôt une protectrice, mais c'est une longue histoire et tu n'es pas venu ici pour avoir un cours sur toutes les races de sirènes existantes, n'est-ce pas ? Disons juste que je suis identique à une sirène, les jambes en plus.

Quant à la tenue, Lyli ne lui répondit pas, ou en tout cas pas à l'aide de mots. Elle voulait toucher ? Elle était curieuse de sentir la sensation de cette peau brillante ? Et bien, la sirène allait lui offrir ça tout de suite, elle avait encore une fois l'habitude que les gens veuillent y toucher. Plutôt que de lui donner l'autorisation, Lyli avança elle même sa cuisse, sous l'eau, pour se coller à celle de l'elfe avec un large sourire sur les lèvres. Les cuisses de la belle guerrière étaient superbement musclées et lisses, un peu comme celles de la sirène qui se mit très vite à frotter de haut en bas sa cuisse contre celle de l'elfe, dans une atmosphère presque érotique...

Continuant de frotter, elle lui expliquait la fonction de sa peau, donnant parfois l'impression que son genoux allait dangereusement frôler entre ses cuisses.

Ce n'est pas un matériaux, c'est ma peau. Si tu la coupes, je saigne, mais bon courage pour y parvenir...

Car la secondes peau de Lyli était solide, très solide contrairement aux apparences. Et maintenant, en plus de sa cuisses, elle y ajouta les mains, en les posant sur les deux épaules musclées de l'elfe, les caressant, sachant qu'une partie de ses paumes étaient recouvertes de ce revêtement.

Elle a presque la même texture que la peau, mais est plus solide. Très difficile à déchirer, à tailler, de là ou je viens elle nous est indispensable pour nous protéger de démons aquatiques féroces dont tu n'imagine pas l'existence... voyons voir, comment les humains appellent ça déjà... La texture ressemble un peu à du latex... non ? Difficile à croire que c'est si protecteur dis comme ça, hein ?

Et peu importe dans quel sens le revêtement en écailles scintillant se frottait, celui-ci n'était en rien râpeux ni même visqueux comme ce le serait avec un poisson.. la sensation était vraiment pareil à une peau, en plus moulant... Pour la couleur scintillante ? Surement un reste de la nature de sirène de son clan... pour séduire l'oeuil, attirer le regard... au fond Lyli et les siens restaient une espèce liée aux sirènes.

A mon tours... je peux ?

Sauf que Lyli, elle, n'attends pas la réponse et va passer ses doigts le long des oreilles elfiques pointues, jouant un peu avec, lui offrant à la fois la sensation de sa peau et de son revêtement lorsqu'elle parcours les oreilles jusqu'à leurs pointes, sachant pertinemment que cette zone était sensible chez les elfes...

Lenora boit avec attention les paroles de l’intrigante inconnue. Elle lui affirme être une sirène, ce qui fait hausser un sourcil à l’elfe. Elle la croit bel et bien, mais voir une sirène aussi loin dans la forêt était surprenant. Enfin, qui est-elle pour juger après tout. La princesse se détend un peu plus en présence de Lyli, lui affichant un sourire amical à tout moment. Oh, elle n’est pas née de la dernière pluie, elle sait comment tout ça va se terminer. Lenora se sentait un peu trop engourdie pour s’autoriser des galipettes, et elle sent encore la sueur de l’effort sur son corps, mais rater une occasion de s’amuser avec une sirène, ce serait de la folie. Elle en avait entendu beaucoup de récits sans jamais en rencontrer une malgré sa longue existence.

C’est agréable.

Un long soupir quitte les lèvres pulpeuses de Lenora. Est-ce qu’elle parle du contact de leurs cuisses, ou de la sensation de cette matière nouvelle ? La princesse elle-même n’est pas trop sûre de la réponse. Le feu qui nait en son bas-ventre ne ment pas, par contre. Et elle sent son intimité avoir un léger mouvement de contraction quand Lyli approche son genou de son entrejambe couvert.

Très agréable.

Lenora répond instinctivement aux mains de la sirène sur ses épaules, elle vient lui agripper la taille et bombe le torse. Elle sent leurs mamelons se frôler, ce qui lui extirpe un nouveau souffle coupé en plein milieu. Ses oreilles pourtant habiles n’entendent qu’à moitié ce que lui dit Lyli. Elle se perd dans l’expérience de cette nouvelle sensation…

Latex ? Jamais entendu parler. Et je n’ai jamais rien touché de tel.

Impossible de se retenir. Elle laisse ses mains glisser contre la taille de la sirène, et le long de son ventre. Il faut croire que la natation donne de beaux muscles aussi ! Elle n’est tirée de sa rêverie que lorsque l’étrange matière vient au contact de ses oreilles.

WAAaaaah !

Immédiatement, ses joues rougissent et elle se redresse, droit comme un piquet. Même lorsqu’elle s’y attend, toucher ses oreilles la fait gigoter et gémir. Alors une vile attaque en traître comme ça ! Embarrassant de couiner comme ça devant une nouvelle rencontre.

Dou… Doucement avec les oreilles !

Elle essaie de ravoir l’air sérieuse, mais c’est assez compliqué. Ses mains se sont crispées sur la taille de Lyli et elle se rend compte trop tard que sous la surprise, elle l’a collée contre elle. Incroyable. Sentir avec ses doigts c’est une chose, mais sentir leurs abdominaux se frotter et leurs poitrines se presser l’une contre l’autre en est une autre.

Tu as de la chance. Je n’ai aucune idée du point faible des sirènes !

Lenora fronce les sourcils et affiche une petite moue, visiblement un peu frustrée du lourd désavantage de sa situation.

Peut-être le bas de ton corps ?

Elle laisse une main glisser contre le dos de Lyli. D’abord elle griffe du bout des doigts le creux de son dos, et intensifie un peu sa poigne au niveau de ses fesses. Juste ce qu’il faut de moelleux et de muscle. Puis, Lenora continue, et caresse du bout des doigts l’arrière d’une cuisse. Après tout, peut-être que c’est le bon endroit à attaquer sur une sirène sans queue de poisson ?

La question n'était pas de savoir si la situation allait dérapé, mais plutôt quand, et qui amorcerait la première ? A vrai dire, Lyli était sur le point de l'aguicher d'elle même un peu plus, une fois qu'elle en aurait fini avec ses oreilles. Pourtant, l'elfe prends les devants, serrant Lyli contre sa grosse poitrine moelleuse, pendant ses gémissements tendres et perdus, à cause des oreilles titillées.Surprise, la sirène rougit, et se sent bien vite entravée  dans la douce étreinte musclée de Lenora. Ce n'est pas désagréable, Lyli gémit et se mordille la lèvre, son coeur battant fort au travers de sa poitrine, percutant contre les obus elfiques. Ses joues s'enflamment, elle rougit, changeant rapidement de sujet en revenant sur sa peau.

Du latex ? C'est... et bien.. heu.... une sorte de tenue... qu'utilisent parfois les humains... surtout pendant la domination...

Et les mains sur ses fesses la font frémir, sauter de surprise en entrouvrant la bouche, échappant un petit cri plutôt tendre et mignon. Finalement, c'était l'elfe qui avait prit les devants, et pour ne pas se laisser faire Lyli répondit à Lenora en lui frottant les oreilles d'avantage encore, avec plus d'insistance pour contre-attaquer.

Mon point faible... dé.. découvre le toi même...

Cela pouvait paraitre étrange mais Lyli humait à pleine narines l'odeur corporelle de l'elfe. Cette sueur puissante l'excitait, il y avait quelque chose de bestial, comme un appel à la sexualité.... Bien qu'elles n'étaient pas des bêtes sauvages ! Il y avait aussi cette pellicule de transpiration brillante qui faisait luire sa belle peau, ainsi que ses gros seins... le tout devait jouer.

Oh... oops...

La sirène fit retentir ce petit " oops " dans le lac comme un aveux, celui d'une situation involontaire dont elle s'était rendu coupable... Car en essayant de bouger, elle fut elle même surprise de découvrir la position de sa cuisse, qui avait en fait glissée entre celles de Lenora. La cuisse écaillée et galbée de Lyli se frotta donc à une zone un peu... trop intime ! Sans le vouloir. Le moindre mouvement de sa cuisse frottait le sexe de l'elfe, ne semblant pas gêner Lyli qui faisait semblant de se débattre de l'étreinte sans comprendre... Quel était le plus sensible entre son sexe et ses oreilles pointues que Lyli massait, presque comme une masturbation ? Sans oublier que les seins n'étaient pas non  plus en reste, les deux tétons de la sirènes enflées comme deux dés à coudre se frottaient à la poitrine massive de son amante, au moindre mouvement.

Ha.... Ha.... ta poitrine est si lourde... j'ai du ma à respirer...

Mais elle ne la suppliait pas, sa voix était celle d'une créature avide, et qui se sentait bien dans son étreinte. Même son souffle chaud s'écrasait avec exagération sur le visage de l'elfe, sur ses lèvres même, comme une invitation à la luxure...

Lenora essaie d’avoir l’air sérieuse et posée, mais c’est difficile quand une si belle sirène essaie de vous rendre folle. Une folie que la princesse embrasse sans aucune retenue, si on juger par ses mains qui naviguent avec émerveillement le corps de Lyli. La sensation de ce matériau… De cette peau… La sensation de cette peau est incroyable, elle donne envie à Lenora de caresser la sirène encore et encore. Une tenue pour la domination, ça semble approprié. Car avec sa peau scintillante au toucher si fascinant, Lyli prend totalement contrôle des désirs de l’elfe, qui l’agrippe de toute part avec une poigne de guerrière. Ce n’est pas une poigne douloureuse du tout, même au contraire, c’est sans doute un des touchers les plus chaleureux et réconfortants qui soit. Presque autant que ces doigts et paumes incroyables qui frottent si bien les oreilles de l’elfe. Elle retient ses gémissements même si parfois quelques s’échappent.
 
-Le latex sert à dominer ? Et est-ce que les sirènes utilisent leur peau dans le même but ?
 
Elle reconnait l’étincelle dans les yeux de Lyli. Même si la sirène est fascinée, elle a un petit penchant pour le jeu. Lenora se sent d’humeur à y jouer elle aussi. De toute manière, ses mains prouvent que c’est le cas lorsqu’elles reviennent sur les fesses de Lyli et se referment dessus avec envie. Et les tétons de la sirène qui viennent titiller ceux de l’elfe. De quoi la faire doucement gémir.
 
-Je sens ton cœur battre dans ta poitrine, jolie sirène.
 
C’est un échange, car Lyli peut aussi sentir à quel point le cœur de Lenora tambourine dans sa forte poitrine. La princesse est autant du genre à dominer qu’à être dominée. Quand on passe des journées et nuits entières à donner des ordres à plusieurs milliers de soldats, c’est toujours agréable de se laisser aller un peu. Elle sent qu’elle a un peu regagné l’ascendant sur Lyli en écoutant les instincts et réflexes de son corps et en la serrant contre elle. Mais elle réalise vite que ça ne va pas durer quand Lyli contre-attaque avec sa cuisse.
 
-Ah… Aaah… Tu… Hmnaah… As un genou bien intrépide~
 
Lenora est stimulée de partout, et elle sent son corps devenir brulant. Ses cuisses se crispent autour de celle de la sirène. Elle est habile de ses jambes, pas besoin de queue de poisson. La sensation est encore plus agréable comme ça, flottant dans l’eau dans une étreinte autant puissante que moelleuse.
 
-Mhhaah… Alors… Laisse moi… Te donner un peu d’air…
 
Une main remonte lentement des fesses de Lyli jusqu’à ses cheveux. Puis Lenora pousse le visage de la sirène vers le sien. Leurs lèvres se frôlent, et en réponse l’elfe plisse les yeux, puis les ferme. Sa bouche rencontre celle de la rouquine, et elle commence sans hésitation à lui sucer les lèvres, à tour de rôle.
 
-Tu crois que… Je ne te vois pas… Inspirer mon odeur depuis le début…
 
Ce premier baiser est court, juste dans le but d’exciter un peu Lyli. Pas de langue ou de dégoulinements de salive pour le moment, Lenora aime que les choses durent. Le corps de la sirène est plus menu que le sien, mais l’elfe sent la puissance dans ses cuisses de nageuse. Même en serrant les jambes elle ne peut pas empêcher Lyli de se frotter contre elle. Ça la fait frissonner et bouger légèrement du bassin. Elle se masturbe discrètement avec et contre la jambe de la sirène, et elle est bien sur consciente que Lyli s’en rendra compte. Donc elle réfléchi à comment la faire taire un moment qu’elle ne savoure pas sa victoire trop tôt.
 
-Tiens… Respire bien ça petite sirène~
 
Fermement, Lenora guide le visage de la rouquine vers ses tétons érigés par une intense excitation. La douceur de cette bouche sera encore plus agréable contre les tétons impatients de Lenora et l’odeur de sa sueur n’en sera que plus forte !

Dis donc c'est qu'elle prends les devant cette " petite " elfe ! Et ça ne déplait pas à la sirène, de se faire ainsi prendre d'assaut sur son propre terrain de jeu : l'eau. Dire que Lyli pensait il y a encore quelque secondes qu'elle mènerait la danse, qu'elle allait faire sienne Lenora en la faisant fondre, dans une victoire pas trop difficile. Voila qu'à la place, la sirène n'avait pas le dessus. En un sens, elle adorait ça, et se laissait faire, surtout lorsqu'on lui suça les lèvres.

Mhhh... Humpf.... mhhhffff...

Elle aurait eu envie de plus, mais elle fera tôt ou tard payer l'elfe pour avoir osé la faire languir ainsi. La sirène aussi, avait de quoi jouer avec l'elfe, surtout avec l'eau autours.

Non les sirènes... ont d'autres atouts pour dominer... et cet atout... Lyli approche tant bien que mal de ses oreilles pointues pour lui murmurer la suite, finir sa phrase Cet atout... on nage ne plein dedans...

Autrement dit, l'eau. Car la sirène pouvait attirer à tout moment l'elfe sous l'eau, ou elle serait en position de force. Pour le moment, c'est cependant la sirène qui subit, et quel doux supplice que celui qui lui est infligé ! Sa tête se perds dans l'énorme poitrine moelleuse, elle se noie dedans, ce qui est ironique pour une sirène ! Lyli avait essayé de lui pincer les oreilles pour la déstabilisé mais avec cette nouvelle position, ses mains avaient également glissées trop bas, sur les épaules de l'elfe.

Comme elle ne pouvait que subir elle accepta pour le moment, et avec joie de toute façon ! Lapant de grands coups de langues sur les tétons endurcis et gonflés, avec le peu d'espace que la sirène avait, et frottant sa joue affectueusement contre ces gros coussin caoutchouteux ! On aurait pu croire que Lyli ne pouvais plus rien faire, que Lenora avait définitivement le dessus mais... il ne fallait pas oublier un détail important : elles étaient dans l'eau. Lyli, avec ses bras sur les épaules de l'elfe, commença à appuyer sur celles-ci, de plus en plus fort, en forçant elle même son propre corps vers le bas.

Lyli se retrouva très vite sous l'eau avec les seins de Lenora toujours contre elle, les léchant, les embrassant, en regardant l'elfe droit dans les yeux à travers la surface.

Tu es forte, mais arrivera-tu à lutter sous l'eau avec une sirène ?

Bien sure cela était lancé comme un défi, un jeu, et pas une menace. Alors que Lyli fit descendre encore l'elfe, la moitié de son visage et bientôt, en entier... Lenora était maintenant sous l'eau, sa longue chevelure blanche flottant autours de son visage. Lyli se servit de sa force sub-aquatique pour encercler l'elfe de ses mains, ce qui, ironiquement, emprisonna encore plus la sirène dans cette étreinte mammaire. Elle commença alors à lui sucer et lui mordiller les tétons, les suçant, les tirant vers l'arrière avec ses dents. Elle de demandait aussi comment l'elfe réagirait au fait d'être capturée sous l'eau, et combien de temps la belle guerrière pourrait retenir son souffle.

Mhhh sous l'eau.... Je la sens encore plus... ton odeur.... elle se dilue dans mes narines... comme un nectar envoutant...

L’eau pour dominer. Lenora a parfois fait l’amour à ses amantes dans l’eau, elle peut comprendre ce dont parle Lyli, même si elle n’imagine pas l’ampleur qu’une sirène comme elle peut donner aux jeux aquatiques. Pour l’instant l’elfe savoure une petite victoire et emprisonne la belle créature contre sa poitrine. Ses oreilles la chatouillent encore et la font frissonner longtemps après que Lyli arrête de les caresser. Surtout celle où elle lui a murmuré des choses. Le souffle de Lyli dessus a donné un coup de chaud dans tout le corps de Lenora.

-Ooooouww… Tu ne perds pas une seconde ma petite sirène !

Malgré la lourdeur de sa poitrine, l’elfe en est bien bien sensible, et ses tétons encore plus. La sirène peut sentir l’emprise de son amante changer selon l’agressivité qu’elle met à lui lécher, embrasser et sucer les seins. Lenora aime une femme qui prend les devants, Lyli lui en donne pour son compte à couvrir sa poitrine d’un amour aussi intense.

-Gnhhhh… Tu… Tu es si persistante… Il n’y a pas de lait… Qui va en sortir… Tu sais… Ah…

Le visage de Lenora est complètement rouge. Même si elle a les mamelons sensibles, c’est surtout la passion dont fait preuve Lyli qui allume un feu dans son bas-ventre. Elle sent son intimité avoir de légers spasmes et confirmer son excitation d’une façon plus directe. Sa main caresse la magnifique chevelure rouge de la sirène pour l’encourager à y aller aussi fort qu’elle le souhaite. A quoi bon trouver l’elfe la plus musclée du pays si c’est pour se retenir.

Tu n'as pas l’air… D’être le genre à lancer des défis que tu pourrais perdre…

Lenora fait un sourire malin à Lyli. Elle est si belle à la regarder ainsi sous l’eau. L’invitation est acceptée, elle ne se débat pas et laisse la sirène la glisser doucement sous l’eau pendant que son cœur tambourine tellement fort dans sa poitrine que même Lyli va le sentir en même temps qu’elle lèche et suce ses tétons. Tout le long de la descente Lenora riposte en serrant bien fort le fessier de la sirène entre ses doigts, et fait même glisser quelques là où elle espère trouver l’intimité de Lyli.

-Gnnnnh ! Hmmm !

Comme elle ne peut pas parler sous l’eau, l’elfe se contente de bruits venus du fond de sa gorge qui vibrent dans tout son corps. Ce n’est pas très différent d’être étranglée, sans la main autour du cou et en flottant dans une eau si agréable. Le corps de la guerrière sait ne pas céder à la panique et commencer à se débattre mais l’agressivité de Lyli n’a fait qu’atteindre un nouveau palier maintenant qu’elle est sous l’eau ! Elle tête les gros seins de Lenora avec tellement d’avidité et de force… Enfin ! Si la sirène peut sentir ce qui se passe sous l’eau, alors elle doit bien sentir l’excitation prendre forme entre les cuisses de l’elfe. Et le temps continue de passer. L’air manque un peu plus à Lenora, chaque seconde, elle voit sa vision se rétrécir légèrement, ses muscles trembler un peu plus même si l’excitation joue aussi !

-Hmmmm !

Ce gémissement est un gémissement très confus. D’un côté l’elfe fait confiance à la sirène, mais de l’autre côté son corps réagit dans une panique naturelle face à l’oxygène qui se raréfie, et la sensation est incomparable quand elle est couplée à toute l’excitation de Lyli s’occupant si affectueusement de sa poitrine. Elle ne sait pas trop si elle est sur le point de mourir ou d’exploser, se sent doucement aller vers l’inconscience. Ses puissantes jambes essaient de nager à nouveau vers la surface, mais elle ne repousse pas Lyli en faisant ça et continue à jouer avec son entrejambe. Elle lui laisse la chance de décider de la suite et de la retenir. Ce petit sentiment d’être traité comme de la chair par cette belle sirène, qui cherche surtout à se noyer dans l’odeur de Lenora pour son propre plaisir quitte à la noyer elle, rempli l’elfe de honte. Une honte qui coule entre ses cuisses sous la forme de l’excitation la plus primaire. Si l’elfe pouvait parler elle dirait à Lyli à quel point elle est cruelle… Et douée ! Lenora en est carrément à se dandiner contre le genou de la sirène pour un peu plus de cette sensation...

L'elfe a beau être musclée et avoir une stature guerrière impressionnante, pour autant elle reste plutôt mignonne une fois sous l'eau, à la merci de la sirène, sans pouvoir respirer. Et si Lyli ne compte pas la noyer, ou du moins, elle compte la noyer que de plaisir... elle ne se privera pas de jouer avec son oxygène en frôlant peu à peu ses limites. D'ailleurs, elle a déjà une petite idée pour la rendre dépendante d'elle, tout en lui offrant un challenge, qui vaudra surement un retour de karma à Lyli... Mais qu'importe, pour cette fois, Lyli voulait bien prendre le risque de se faire dominer en retour pour ses roublardises, si Lenora prenait le dessus. Entre les bras d'une femme si forte elle l'acceptait, et... Cela l'excitait même un peu, de savoir qu'elle n'aurait surement pas tout le temps le dessus.

Ben alors ma belle, déjà à bout de souffle ? moi qui pensait que tu aurais de grosses capacités en apnée ! Comme quoi, il faut pas se fier aux apparences...

Mais pas grave, c'est plus amusant ainsi si Lenora n'est pas capable de retenir sa respiration un moment très long, Lyli pourra plus en abuser et s'amuser en la faisant languir. Elle quitte d'ailleurs ses cuisses et l'étreinte de ses muscles resserrés de spasmes, non sans difficulté, alors qu'elle est pourtant sous l'eau... là ou est son domaine... indiquant la toute force de l'elfe ! Normalement la sirène maitrise facilement les créatures terrestres, sous l'eau. Enfin, elle y parvient quand même, ricanant, en saisissant les deux joues de l'elfe, mimant l'approche d'un baiser pour lui donner de l'air puis... finalement rien. Elle garde ses deux mains contre les joues gonflées de l'elfe, et surtout rouges.. d'excitation ? De manque d'air ? Surement par un mélange des deux... la belle Lenora semble autant excitée que à bout... et Lyli la fait encore un peu mariné, expirant son souffle, ce précieux oxygène droit sur le visage de Lenora, sur ses lèvres, alors qu'elle ne peut pas le prendre. Car si elle ouvre la bouche pour cela, elle boirait la tasse. C'est vraiment cruel de la part de Lyli, qui lui montre qu'elle peut gaspiller son air comme elle le veut, juste devant la pauvre elfe, qui en a tant besoin. Elle gaspille devant ses yeux ce besoin si vital... qui pour la sirène est d'une banalité absolue, comme pour lui montrer leur différences, qui commande. Tout cela bien sur d'un contexte de jeu de domination...

Oh ma pauvre, ma belle Lenora, c'est ça que tu veux ? Cet oxygène ? Respirer ? Je me demande combien de temps tu pourrais tenir, si je te laissais ainsi en apnée... Tu pourrais vite commencer à t'étouffer...

Elle continue de rigoler, allant vers ses lèvres, les reculant à chaque fois au dernier moment, comme un cadeau qu'elle lui refuse, tout en agrippant ses gros seins à pleines mains, les lui malaxant. C'est agréable d'avoir assez de recul pour pouvoir les malaxer ainsi si férocement, et tout entier. C'est comme deux gros chamallows géant, que la sirène s'amuse à étirer dans tous les sens, à pétrir alors que l'elfe semble sur le point d'exploser.... encore une fois, exploser de plaisir, ou de manque d'air ? Et encore une fois... surement un peu des deux.Ce n'est que lorsqu'elle voit son buste lourd se soulever d'un bond par réflexe que Lyli comprends : l'elfe est à ses limites, elle va suffoquer d'une minute à l'autre si rien n'est fait. Le moment parfait pour presser les paumes de ses mains contre cette grosse poitrine, pour aller chercher, cette fois pour de vrai, les lèvres de son amante. En attendant le dernier moment, le souhait de la sirène était non seulement de la faire languir mais aussi de rendre le baiser plus agréable, plus intense. Car ce baiser soufflait la vie en l'elfe... plus elle aurait besoin de respirer, et plus ce baiser serait salvateur, Lyli le savait, et c'est la raison pour laquelle elle l'avait ainsi tourmentée.

Humpfff.. mmmh mmhphfff...

Le baiser laissait déborder la langue tant Lyli y allait fougueusement, partageant son oxygène, expirant l'air si précieux à l'intérieur de leurs bouches toutes les deux grandes ouvertes et scellées qui se dévoraient, dans des sons obscènes tuent par l'eau. Et même si l'elfe était celle qui en profitait le plus, à cause des enjeux de ce baiser, qui devait surement lui faire tourner la tête sous la reprise de son oxygène soudaine, Lyli aimait aussi beaucoup ça ! et dévorait avec gourmandise la bouche de son amante elfique.. et si forte, continuant de malaxer sa poitrine énorme, jusqu'à ce que leurs lèvres se décollent. Si elle n'était pas sous l'eau, un léger filet de salive relieraient encore surement leurs langues, à la fin de cet échange buccal intense. Mais surtout, maintenant que la sirène lui avait fait gouter cette joie intense du baiser sur le fil, un baiser dont elle avait besoin, un baiser qui était dépendant de sa survie en ce monde aquatique... elle pouvait se montrer plus dominante et exigeante, en jouant sur ce privilège.

Alors tu as aimé ça ? Je paris que ça t'as fait mouillé de manquer d'air... de savoir que c'est moi qui contrôlait ton droit de respirer.... de tenir ta vie... sur le bout de mes douces lèvres... Tu veux encore de l'air ? Tu veux respirer ? Alors, offre moi le septième ciel, fait moi monter au paradis... fait moi jouir... de la façon que tu veux. Mon orgasme signifiera que tu as le droit de respirer, pas avant ! Alors... si tu veux pas boire la tasse chérie, fait le bien.. fait bien les choses... pour ta... maitresse !

La sirène en rajoutait exprès, sachant que si l'elfe prenait le dessus par la suite elle se " vengerait " à son tours, en faisant de Lyli son petit gouter. Cette idée était pas si déplaisante, et si elle lui donnait un orgasme assez puissant, en plus, alors Lyli serait assez étourdit dans le bonheur pour perdre en force, et permettre ainsi à l'elfe d'inverser les rôles, si elle le voulait, ou s'en rendait compte.

En attendant, la sirène, pleinement confiante de sa supériorité pour le moment, repousse Lenora en pressant ses seins de toute ses forces, ricanant, en tournant vaguement autours d'elle comme un requin, mais bien plus gracieusement.

Je me demande si c'est dégradant de se faire ainsi dominer, quand on est aussi belle et forte que toi... ou si au contraire... ça t'excites de perdre autant le contrôle...

Lyli fini par s'allonger sur le sable, les deux mains croisées derrière sa tête, souriant d'un air dominateur et emplie de luxure... Elle semble attendre l'elfe, tout son corps lui étant dévoilé et offert... qu'est-ce que l'elfe était sur le point de faire, maintenant ?

L’elfe n’est vraiment pas une nageuse confirmée. Son point fort c’est sa force, et peut-être aussi un peu son endurance, mais sous l’eau les règles changent. C’est une expérience étrange, bien différente de risquer sa vie au combat comme Lenora le fait si souvent. La sensation est particulière, aussi intensément douloureuse qu’agréable. Mais même avec la volonté de jouer le jeu, l’elfe doit bien écouter son corps qui tremble et tressaute dans tous les sens. Elle a cruellement besoin d’air et Lyli ne fait que la frustrer ! Heureusement la sirène maitrise ce petit jeu à un niveau artistique. C'est clair, ce n’est pas une débutante même si l’expérience est extrêmement intense pour Lenora qui elle n’est pas habituée à ce genre de traitement. Le pari de la sirène est gagné par contre car son baiser plein d’oxygène est presque orgasmique pour l’elfe.

-Mpppffff… Ghhhh…

L’air n’a jamais paru aussi bon, et il sort tout droit de la belle bouche de Lyli. Maintenant que la princesse peut remettre ses pensées en ordre, autres que des cris intériorisés de panique, elle se dit déjà que la jolie petite sirène va lui payer ça. Mais pas tout de suite. Les femmes qui prennent ce qu’elles veulent comme Lyli plaisent particulièrement à Lenora. Jusqu’à un point qui peut parfois être assez toxique, mais on ne choisit pas ses gouts !

-Grrrrr…

En vérité le plus frustrant pour la princesse en ce moment c’est de ne pas pouvoir rétorquer à son amante. Mais aussi de ne pas pouvoir échanger de paroles, car elle aime cette façon dont la sirène la provoque. Du coup, Lenora doit exprimer ses pensées avec son corps, et elle le fait de façon très claire. Son baiser est plein de salive et de passion et elle se concentre à peine sur récupérer un peu de précieux air, trop occupée à titiller la langue de Lyli et à boire sa salive comme un vin raffiné.

-Mhhh !

L’alliance du baiser si intense de la sirène et ses deux mains qui meurtrissent la poitrine de la princesse suffisent à la faire trembler toute entière. Elle se demande si son orgasme approche, car elle sent monter une chaleur en elle. Cruellement, ce plaisir redescend aussi car elle se retient. Elle ne veut pas donner à Lyli la satisfaction de la faire jouir aussi facilement, juste en se frottant à elle, lui coupant le souffle et en l’embrassant ! Ce serait inacceptable pour Lenora.

-Hmmmmpf !

L’elfe s’offusque fortement d’être traitée comme une esclave soumise. Elle ressent quand même un peu de honte d’être excitée par ce quolibet. Lyli la fait fondre et elle prend les devants à la perfection, s’impose déjà comme la maîtresse dans ce couple. Lenora se demande si elle y croit vraiment ou si elle cherche à la provoquer. Dans les deux cas la situation l’excite autant qu’elle l’énerve, alors elle compte bien donner une leçon à la sirène.

La princesse s’approche de la sirène, allongée tout au fond du lac sur le sable. Elle tourne autour d’elle un moment, observe son corps sous toutes ses coutures. Elle ne saurait par où commencer, mais heureusement Lyli lui a donné un indice approprié. Lenora retire enfin ses bas et les laisse remonter jusqu’à la surface, libérant un peu plus l'odeur de son intimité et de sa sueur dans l'eau pure du lac. Puis elle prend place au-dessus de la sirène dans une position missionnaire. Une nouvelle fois leurs ventres musclés et leurs poitrines se rencontrent, se caressent au gré des flottements de l’eau. C’est si relaxant. Et pourtant le temps compte. Cette fois Lenora a bien repris son souffle pendant le baiser, car elle sait à quoi s’attendre.

D’abord l’elfe s’attaque au cou de sa sirène adorée, y dépose plusieurs baisers et laisse glisser ses lèvres contre, puis sa langue. Elle dessine le chemin avec sa salive, regardant Lyli d’un air qui trahi une certaine soumission. Cette elfe musclée et puissante s’incline totalement devant sa maitresse, de quoi bien flatter l’égo de la sirène. Mais surtout flatter son corps car en même temps que Lenora lèche sa partenaire, son pubis appuie contre celui de Lyli et commence à bouger contre, se frotte lentement et en rythme. Elle la frotte de tout son corps en l’espace de quelques secondes et lui offre un massage qui mélange le moelleux de sa poitrine à la dureté de ses abdominaux, cuisses et bras en même temps. Savoir que sa vie ne tient qu’aux désirs et aux plaisirs de Lyli la rend toute chaude, elle frotte son sexe contre celui de la sirène avec l’énergie du désespoir. Elle doit absolument faire jouir cette véritable déesse, rien d’autre n’occupe ses pensées.

Le massage s’arrête petit à petit alors que Lenora continue sa longue descente, et arrive aux tétons de la sirène. Elle doit se réajuster pour avoir la tête dans les seins de la sirène et se retient de ricaner un peu sous l’eau pour ne pas perdre encore plus d’air. A son tour de meurtrir la poitrine de Lyli. A en juger par la brutalité si intense dont la sirène avait joué avec la poitrine de l’elfe, elle en déduit que celle-ci aime qu’on y aille fort. Lenora va directement enfermer un téton bien dur entre ses lèvres, et l’étire fort contre ses dents, reculant pour bien éprouver la rondeur de cette poitrine. Elle tient fermement le sein entre ses doigts et presse à la base du téton. Mais son autre main n’est pas sans travail pour autant car elle est vite venue s’occuper enfin de l’intimité de Lyli. Doucement, ses doigts et sa paume caressent les lèvres à travers la seconde peau, appuient contre son clitoris avec insistance et le frotte dans différentes directions mais toujours en rythme. Dans cette position, Lenora peut aussi entourer une jambe de la sirène avec ses cuisses musclées, ce qu’elle fait avec empressement, et utilise le genou de sa maitresse pour se masturber encore comme une petite soumise désespérée. Son regard vers elle est clairement suppliant maintenant et il semble que la princesse s’incline face à Lyli pour le moment.

Prendre le dessus sur son amante est toujours un moment satisfaisant et excitant, mais lorsqu'il s'agit d'un corps aussi bien battit que celui de Lenora tout est décuplé ! Voir cette combattante, si forte, lui être soumise, la suppliant du regard avec ses joues se gonflant petit à petit pour ne pas recraché l'air, et rougissantes. La sensation de prendre le dessus sur une amante comme elle était des plus délicieuse ! Alors bien sure, Lyli comptait en profiter au maximum, la sirène n'allait pas se laisser jouir si facilement et se laisser aller, oh que non !

Même si pour le moment, elle reste inactive, presque égoiste ! L'air de faire passer un message qui serait " c'est à toi de faire les choses pour me satisfaire pendant que je me la coule douce, et si tu le fais mal, tu en subira toi même les conséquences ! " De quoi faire peser plus de charge contre elle, elle le sait bien, au moment ou les positions s'inverseront ! Elle se laisse donc aller à la superbe vue quand l'elfe retire enfin son bas, et profite des baisers qui dévorent son cou, penchant la tête en arrière et gémissant de plaisir. Quand l'elfe se blottit contre elle de son corps de guerrière musclé, Lyli se mord la lèvre inférieure e la regardant droit dans son regard suppliant, ricanant à peine en lui répliquant d'un air taquin.

C'est quoi ces yeux de biches... Tu n'as quand même pas déjà envie respirer, hein ? Parce que je compte vraiment prendre mon temps... laisser grandir le manque d'oxygène en toi, me retenir de jouir tant que je le peux pour te rendre la tâche difficile... Il va falloir se montrer convaincante , ou innover un peu pour me faire jouir...

Même si elle la narguait, Lyli appréciait vraiment tout ce que Lenora faisait, et surtout de sentir sa puissante cuisse l'entourer ainsi. C'est étrange de se sentir ainsi capturée, alors que la proie aux fantasmes de l'autre est clairement Lenora, en ce moment. Gémissant, se tordant, et le corps se cambrant vers l'arrière, Lyli semble toute disposée à recevoir les doigts de l'elfe en elle. Sa main gauche se serrait dans le sable, attendant avec impatience de pouvoir frémir d'avantage, ayant en elle de dévorantes envies sexuelles qu'il fallait combler. Elle agitait d'ailleurs elle même sa poitrine dans celle de l'elfe, s'y écrasant volontiers. Leurs deux orbes de chaires plaines, clairement écrasés l'un contre l'autre, tout serrés, provoquaient presque des mouvements de rebond intense quand ils se décollaient brièvement. Ce contact là était clairement dominé par Lenora par contre, qui avait une poitrine bien plus voluptueuse et puissante. Lyli aurait presque eu envie de sentir l'elfe l'étreindre de toutes ses forces, de sentir cette éclatante poitrine complètement s'écraser contre son corps.

En fait... je ferais même tout pour tenir bon, pour que tu manques d'air le plus longtemps possible... je suis sure qu'au fond... ça t'exciteras ! Tu n'as pas l'air de vouloir trop te débattre... après tout !

Mais voila pour le moment c'est elle qui domine leurs ébats ! Et sa main libre, celle qui ne serre pas le sable pour se contenir, va jouer sur le visage de Lenora comme pour le lui rappeler. Caressant d'abords son joue, passant l'index sur ses lèvres, avant de serrer ses deux joues dans sa main, en riant, comme si elle était sa petite poupée. Mais elle le connaissait, son point le plus sensible... et c'est pour cela que ses doigts glissèrent à nouveau vers ces oreilles effilées. Une vilaine torture, quand on sait que Lenora devait déjà retenir son souffle plus que de raison, jusqu'à offrir la jouissance à sa maitresse temporaire ! Sa maitresse des fonds aquatiques.

Lenora fond sous la domination de Lyli. Elle a le visage tout rouge et pas seulement parce que l’air lui manque. La sirène a vraiment les outils parfaits pour se comporter en dominatrice et elle a l’expérience qui va avec. L’elfe obéit aux ordres de sa maîtresse et cherche à tout prix à lui donner du plaisir autant pour se libérer que par esprit de soumission. Mais la situation l’excite et elle cherche aussi son propre plaisir. Son entrejambe se frotte contre la jambe musclée de Lyli en même temps qu’elle descend le long de son corps. La bouche de Lenora passe un long moment vers la poitrine de la sirène puis elle glisse plus bas contre les abdominaux puissants de Lyli.

-mMmMmhhff

L’elfe est absolument dingue des abdos de sa dominatrice, elle les lèche avec adoration et dépose de légers baisers bien mouillés. Et pourtant elle n’est pas en reste elle-même, mais la forme athlétique de ceux de Lyli rendent l’elfe accro. Elle insiste encore plus contre la fente de la sirène avec ses doigts plutôt épais pour une femme. Puis elle sent enfin l’entrecuisses de son amante, bien lubrifié et prêt à recevoir tout l’amour de Lenora. Même en temps que soumise l’elfe est une femme puissante et pleine de force alors les deux doigts qui pénètrent Lyli doivent la remplir parfaitement !

Comme une bonne petite soumise Lenora continue de glisser son corps sur celui de sa dominante et son visage arrive enfin entre les cuisses de la sirène. Elle se sent perdre la tête doucement et elle n’est pas trop certaine si c’est le manque d’oxygène ou l’excitation qui prend tout son corps en ce moment. Elle aimerait bien pouvoir sentir les odeurs sous l’eau comme Lyli pour inspirer le parfum de sa féminité. En tous cas elle contemple l’intimité de sa maîtresse en léchant ses lèvres. Franchement elle se demande si elle n’est pas hypnotisée. Tout a l’air parfait chez Lyli et sa belle vulve aussi. Lenora contient son envie de se jeter dessus comme une affamée, sur cet entrejambe appétissant où ses doigts font déjà des mouvements lents et profonds. A ce stade elle a son intimité contre le tibia de la sirène, et s’y frotte encore pour son propre plaisir. En lançant un regard soumis et légèrement apeuré à Lyli, Lenora se penche entre ses jambes et vient enfin sucer le clitoris sans crier garde.

-Mhhhhhhh !

Elle comprend pourquoi les victimes des sirènes se laissent noyer. Elle se dit qu’elle doit devenir dingue quand sa bouche entre en contact avec la vulve de Lyli, et que le goût lui parait plus délicieux qu’un dessert fait par les cuisiniers de sa cour. La princesse doit utiliser tout son savoir faire des bonnes manières pour ne pas baver comme une chienne sur les lèvres de la sirène et son clitoris. Mais elle suce quand même avec passion et s’amuse à étirer l’organe entre ses lèvres, en même temps que sa langue caresse encore et encore la surface sensible de Lyli. L’air commence vraiment à lui manquer mais elle ne doit pas perdre sa tache de vue. L’elfe suit les doigts de la sirène du bout des lèvres quand ils touchent son visage elle cherche après la main de Lyli comme une petite chienne soumise en espérant l’honneur de pouvoir lécher ses doigts. Mais une main qui se referme sur son oreille la fait trembler et gémir sous l’eau. C’est encore un peu plus de précieux air qui quitte ses poumons !

-Hmph… Hmph…

Sa vision se trouble, mais malgré ça la princesse cherche la deuxième main de la sirène pour la guider sur son autre oreille. Lenora adore que ses amantes la prennent par là pendant qu’elle est entre leur jambes surtout une dominante d’exception comme Lyli. Elle l’a bien mérité. Le petit regard soumis que lance l’elfe à la sirène est même là pour lui dire qu’elle peut baiser le visage de la princesse sans aucune retenue elle est totalement libre de l’utiliser pour son plaisir ! Mais l’elfe ne garde pas les yeux sur Lyli longtemps parce que ses yeux se révulsent derrière ses paupières pendant qu’elle asphyxie. Sa langue panique et tremble encore plus contre la sirène et frétille sur son clitoris.

Quel contraste divin, cette elfe, cette guerrière, véritable force de la nature ! Juste là, entre ses bras, en train d'étouffer, de la supplier, de pousser des petits gémissements mignons... Soumettre une telle femme, un tel corps, est un plaisir indescriptible dont Lyli ne peut plus se soustraire. D'autant plus que ses doigts puissant sont experts, caressant, raclant les parois intimes de la sirènes avec une dextérité et une force à en faire frémir la belle sirène. La créature marine se retient de moins en moins, poussant de longs gémissement en poussant la tête vers l'arrière, s'octroyant même le droit à pousser de petits cris. Chose qui est interdit à Lenora, sous l'eau, sous quoi elle suffoquerait...

Tu aimes ça hein ? Que je t'empêche de respirer ma chérie ? Tu es adorable en tout cas, quand tu as besoin d'air... Ca me donne envie de te soumettre encore et encore... de te faire l'amour sauvagement... de t'attacher... de dévorer tes gros seins tout crus...

Lyli était folle du corps de l'elfe, mais quand on empêche quelqu'un de respirer il y a forcément des limites ! Limites que semble atteindre l'elfe, bien que son travail soit merveilleux. Lyli aimerait bien lui donner de l'air, vraiment, mais la panique de son étouffement a un effet contraire, qui ordonne presque à Lyli d'aller plus loin, et de ne pas prendre de pauses toute de suite. Les abdominaux de l'elfe qui se contractent par exemple, par réflexe, pour se retenir d'inspirer. Mais surtout cette langue qui s'agite hasardeusement dans la fente de Lyli, comme un serpent en détresse cherchant une issue. Alors quand les yeux de l'elfe se révulsent à moitié, Lyli serre fort les oreilles, comme pour les réveiller, et lui dire de ne pas s'évanouir, de tenir bon.

Ne boit pas la tasse chérie, tu te souviens des règles ? Pas d'air tant que je ne jouis pas...

Mais en réalité Lyli va arrêter de se retenir maintenant, elle a trop prit son temps, surestimant peut-être les capacité pulmonaire de l'elfe. Retenir sa respiration est une chose, faire l'amour en même temps en est une autre. L'oxygène se consume bien plus vite, et la sirène doit vite venir avant que Lenora se noie. Mais bon dieu, qu'il était bon de faire ça dans cette situation, de faire ce genre de chose avec le danger qui planait sur Lenora... Cette sensation de danger agissait dans le corps de Lyli comme une adrénaline décuplant les sensations. Alors elle n'osait même pas imaginer l'elfe, qui en était la bénéficiaire...

Pour prendre un maximum de plaisir au plus vite, Lyli tira sur les deux oreilles de l'elfe pour la coller totalement à ses parois intimes, et encercla sa tête entre ses puissantes cuisses, lui coupant tout retrait. Une des cuisses de la sirène était allongée, et l'autre formait une espèce de " clef de bras " derrière la tête de la princesse elfique, grâce à ses cuisses galbées, en forçant bien sur ses muscles pour lui dire qu'elle ne, pourrait jamais s'échapper. La seule échappatoire ? Jouir. Et heureusement pour l'elfe cela arriva assez vite, dans trop de problème. L'accumulation de l'excitation et de la frustration de Lyli se réveilla, lui donnant la chaude impression d'une flamme réconfortante dans son bas ventre. Elle se cambre en arrière, gémissant plus fortement, glissant les doigts de haut en bas sur les oreilles de l'elfe, comme si elle les... masturbaient ? Pour la tenir éveillé, pour la soumettre, mais aussi pour exciter l'elfe. Et d'un seul coup, elle se cambra... son bas ventre prit de spasmes pendant que le nectar chaud de Lyli gicle dans sa bouche, sur sa langue... en serrant au plus fort les oreilles pointues entre ses mains pour contenir sa fougue.

L'orgasme dure un moment, et Lyli regarde vers la surface, reprenant son souffle, un large sourire aux lèvres. Elle se redresse, d'un air enjoué, revenant sur l'elfe aux grosses joues gonflées d'air impur, légèrement empourprées. La sirène se jette vite sur elle, la plaquant au sol, les deux mains sur sa grosse poitrine, avec un air dominateur et espiègle.

T'as quand même un sacré souffle dis donc... Je me demande si ça t'excite, d'être aussi proche du danger, d'être en train d'asphyxier... J'ai bien envie de te faire jouir pendant que tu suffoque...

Lyli passe les deux bras derrière le dos de l'elfe... serrant... serrant... serrant encore ! Et elle en fait de même avec ses jambes, passant ses deux puissantes cuisses derrière celles de l'elfe, serrant au maximum. La sirène lui fait une démonstration de toute sa force, la capturant comme un serpent marin, l'encerclant complètement, jambes et bras immobilisés dans son étreinte. Lenore peut se débattre autant qu'elle le veut, si la sirène étale toute sa force sous l'eau elle ne pourra pas lui résister. Ainsi, la pauvre elfe captive, toujours en apnée, est capturée dans une étreinte sévère, qui écrase les deux femmes l'une contre l'autre. Les muscles tendues et serrées d'une part et d'autres se contractent, et semblent presque émettre le son d'un arc bandé. Leurs poitrines et surtout l'opulente de l'elfe, n'ont jamais été aussi serrées, à tel point que Même Lyli n'arrive plus vraiment à respirer elle même, maintenant. Mais surtout, leurs lèvres intimes s'épousent parfaitement, celles de Lyli encore chaudes se frottent vigoureusement à celles de l'elfe. Sensation augmenter lorsque l'elfe se débat et que Lyli la contient dans l'étreinte.

Ainsi leurs lèvres enflées se frottent chaotiquement l'une contre l'autre, Lyli ondulant copieusement, excitée de plus par le torse et la grosse poitrine de Lenora semblant se soulevés par à coups, cherchant l'air frais. La pauvre doit surement avoir les poumons en feu, et jouant sur l'asphyxie pour décupler les sensation a sa limite... Dès qu'elle sent que l'elfe n'en peut plus, que les bulles explosent de plus en plus hors de ses narines et de ses lèvres... Alors Lyli lui offre la délivrance : Le baiser de la vie, un baiser fougueux, gourmand, langoureux, pendant cette étreinte puissante. Tournoyant la langue dans celle de l'elfe avec gourmandise, partageant son souffle pour la faire respirer, pendant qu'elle continue à la masturber avec ses ondulations.

Lyli peut sentir tout le désespoir dans le corps et les mouvements de Lenora. Elle convulse contre son intimité et ses yeux se retournent dans ses orbites. Mais elle n’arrête pas de lécher avec adoration sa maîtresse pour autant ! Elle se dit même que la sirène a l’air d’apprécier sa bouche et sa langue qui tremblent contre sa vulve pendant qu’elle menace franchement de tomber inconsciente ! Lyli est vraiment beaucoup trop forte pour l’elfe dans l’eau. La vision de la princesse noircit et elle n’arrive même plus à expirer de petites bulles maintenant, elle a vraiment l’impression d’y passer. Elle se demande si la sensation de flotter vient de son plaisir, du manque d’oxygène ou bien d’être comme ça dans l’eau. Sa poitrine gigote pendant que tout son torse se soulève !

-Guhhhhh…

Même en se débattant elle n’arrive à rien, les cuisses de Lyli sont l’étau parfait pour la maintenir en place, le visage écrasé contre le minou de la sirène à le téter avec passion. L’elfe n’a surement pas la force de rivaliser contre la suite que Lyli a en tête. Mais avec ses muscles bandés par l’effort et le besoin de respirer, la princesse répond quand même autant qu’elle peut à l’étreinte de sa maîtresse et contracte au maximum. Lenora espère vraiment que la sirène sait ce qu’elle fait, parce qu’elle n’en peut plus. Elle a du mal à se concentrer sur le plaisir brulant dans ses reins pendant que la sirène se frotte à elle, intimité contre intimité. Mais heureusement la sirène sait très très bien ce qu’elle fait.

-HMMMMMM !

Le baiser fait revivre Lenora et elle jouit enfin ! Ses cuisses se lèvent et ses mollets se nouent autour des fesses de Lyli pour la piéger contre elle et profiter à fond du sexe féminin bien chaud qui se frotte contre le sien. L’elfe tremble à fond mais les secousses sont bien différentes de celles qu’elle faisait un peu plus tôt ! L’orgasme la contracte toute entière et elle sent son intimité s’engourdir à toute vitesse. L’eau dilue le nectar de sa sueur comme l’a si bien dit Lyli. Et là elle doit en avoir pour ses sens parce que Lenora est complètement souillée par l’effort. Elle n’a pas l’habitude de devoir se débattre autant avec ses autres concubines. C’est une sensation qui n’est pas déplaisante mais l’elfe a carrément du mal à savoir ce qui est le meilleur dans tout ça. Elle aime qu’on y aille fort avec sa poitrine et elle adore sentir l’intimité d’une autre femme contre la sienne, lubrifiée par leur cyprine. Alors Lyli l’emmène bel et bien au septième ciel à moins que ce soit sous les sept mers. Lenora se laisse porter par l’orgasme. Elle n’embrasse même plus la sirène pour avoir de l’air mais juste par plaisir. Sa langue est tellement agile elle se sent presque dominée même par la bouche de Lyli. Encore pleine de soumission la princesse suce la langue de sa maîtresse et se frotte contre elle comme une petite chienne. Elle a un peu honte de se soumettre comme ça mais il faut dire que sa sirène a fait un sacré travail !

-Mwaaaah~

Elle tremble encore plusieurs minutes après l’orgasme, c’est rare. Ses jambes musclées ont des spasmes contre celles de Lyli et elle a même les doigts qui tremblent contre les hanches de la dominatrice. Heureusement pour le cerveau à moitié fondu de l’elfe Lyli la laisse remonter à la surface au final. Lenora sent qu’elle n’a pas fini d’être le petit jouet de la sirène malgré la différence de leurs gabarits. Elle est comblée mais aussi pas complètement satisfaite elle en veut plus et surtout regrette qu’elle ne pouvait pas parler sous l’eau. Lyli lui faisait monter le rouge jusqu’aux pommettes à la soumettre comme ça et elle n’avait même pas eu le droit de lui répondre.

-Je me voyais déjà te coller une bonne leçon en remontant à la suface, mais dominer te va si bien ~ Cette jambe autour de ma nuque. Mhhh~

Lenora attrape les belles hanches de Lyli et la ramène vers elle dans un geste lent, la princesse essaie de reprendre un air sérieux et un regard fier mais elle a du mal à tenir le regard de la sirène. Comme si maintenant elle ressent le besoin de s’incliner devant cette sirène tenace. Elle sort de l’eau et amène Lyli avec elle. C’est étrange de voir le teint halé de Lenora s’empourprer un peu plus avec la gêne, parce qu’elle se met tout de suite à genoux devant la sirène et commence à embrasser fiévreusement son bassin puis darde sa langue contre les lèvres intimes de la sirène qui se trouve debout.

-Accroche-toi encore à mes oreilles.

Elle lance un regard en haut vers Lyli et se cambre bien pour faire ressortir ses fesses musclées. Puis elle l’embrasse et la lèche encore. Il faudra que la sirène se penche un peu pour que Lenora puisse bien la goûter hors de l’eau.

-S’il te plait~