Mon membre dur comme du béton, commençait enfin à se ramollir, bien que ce soit étrange d'être heureux de (presque) débander. Moi, cela me soulageait beaucoup en cet instant précis. Allonger, les yeux fermés, je me laissais faire par la sainte, avant de sentir quelque chose de plus mou, humide et langoureux. Un petit coup d’œil et je découvris Isadora entre mes cuisses, mon sexe disparu dans sa bouche. J'en déglutis, bien que embarrasser, je ne suis plus tendue. Elle le fait de son plein gré et... avec envie je crois.
J'en avais de petit frisson, sa fellation était parfois dynamique, parfois plus calme. Me suçant rapidement, ou lentement, léchant mon sexe. Ses mains aussi étaient active, je le sentais me branler en même temps. Tout ces stimuli étaient bien plus agréable et exaltant que de me toucher seul.
Je ne vis pas le temps passer, mais j'étais focus sur le plaisir et me freinant de jouir trop vite, malgré tout, après un temps, je savais que j'allais venir. Je m'en mordis la lèvre, heureux et exalter d'enfin me libérer !
Et... La Sainte me retira de sa bouche, je fus d'abord surpris, mais trois secondes passe et rien, j'ouvre un œil, commençant à m'inquiéter qu'elle me lâche au point crucial !
Sauf que non, Isadora monte sur le lit, sa nuisette cachant sa fleur, mais je peux le sentir au travers de mon gland frottant à sa féminité... humide !? Sa l'a excitée de me faire cette... pipe ?! J'en rougis des oreilles alors que je me mords la langue pour rester "calme".
La jeune femme commença à me parler, tandis qu'elle bouge sur moi, mon membre s'enfonce très lentement en elle. Ma main vient se poser sur sa hanche et l'autre dans sa chevelure, tandis que j'embrasse délicatement celle-ci.
- Prends ton temps. Vins-je lui souffler.
Elle avait l'air de peiner, elle était vierge ? ... A cette question, une nouvelle pensée m'inquiète. C'est la Sainte, bien sûr qu'elle est vierge ! ... Non ? Attends... la Sainte obtient-elle ses pouvoirs de sa "pureté", chasteté ?! N'est-elle pas en train de perdre tout cela ?!
J'ai soudain envie de la repousser pour empêcher cela, mais... N'est-elle pas mieux au courant de ses pouvoirs, d'où ils viennent ? Je dois me tromper et puis... c'est un peu tard non ? Elle est déjà en train d'être défloré. J'en déglutis, rougis, souriant malgré moi de son choix. Je viens caresser son dos, soupirant de plaisir à sentir mon membre s'enfoncer en elle. Sa y est ! Je ne suis plus un gamin ! Un adulte, un homme !
Mon pieu de chaire est coincé dans sa féminité, bien au chaud, dans cette antre humide. Le plaisir est différent, bien plus intense que sa bouche. Et l'entendre soupirer ainsi... sa me rend fou ! J'ai du mal à me retenir, je grogne alors tandis qu'elle commence à bouger.
- Oui, je suis bien. Et toi, comment tu te sens Sara ? Je venais d'utiliser un diminutif de iSAdoRA, trouvant que celui-ci la vieillissait un peu et que l'appeler Sainte dans ce moment intime... Serait moyen.
Pas sûr qu'elle apprécie toutefois cela mais, je feinterais de m'en moquer si elle s'en offusque.
Le plaisir d'être en ses cuisses, me fait peu à peu perdre la tête et sentir mon érection compresser en elle... Je me mords la langue et la laisse faire, autant que je peux, son fourreau étroit pour mon épée semble s'en accoutumé et petit à petit s'ouvrir à moi. Mais j'ai beaucoup de mal à me retenir...
Soudain je perds pieds, patience, c'est trop long, lent, ma préoccupation de ne pas la blesser et me forcer en elle éclate. J'agrippe ses hanches et donne moi-même des coups de reins en poussant des râles de plaisir. Je l'entends couiner ou gémir ? Je ne sais pas trop, mais nos bassins claque dans des bruits érotiques avec mes bourses. C'est troublant, différent des pornos, l'ambiance n'est pas la même, c'est moins... Lisse, mais ô combien plus intense !
Je ne sais pas si ce fut rapide, ou long, la sensation ardente de mon phallus dans son temple sacré me rend fou, je ne m'arrête pas, je la prend comme je peux dans cette position ou elle me domine pourtant. Et puis je viens, poussant un grognement intense et puissant, avant de soupirer longuement de cette libération.
Je n'ai même pas suivis comment réagissait la Sainte, j'y ai perdu tout sens autre que celui du "toucher" si je puis dire. Je reprends mon souffle, avec un grand sourire. J'ai couché avec quelqu'un... pas n'importe qui, la Sainte !
... Et j'ai jouis abondamment en elle !!!
Je me rend soudain compte de ce que j'ai fait, et si elle tombait enceinte ?! Oh merde on c'est pas protéger ! Mon regard prend alors conscience de la femme que j'ai tenue fermement par les hanches.
- Pardon, je me suis laisser allez. Tout va bien ? J'essaie de rester calme et agir avec confiance, mon corps est encore brûlant et mon souffle s’apaise.