Les minutes défilaient sans que je ne les voie passer.
L’écho produit par le son de nos bassins qui n’avaient de cesse de s’entrechoquer, comme celui de ses orgasmes répétés, avait rameuté bien des curieux, comme des outrés qui hurlaient au scandale ou bien qui cachaient leurs yeux, mais je n’en avais que faire.
Mes ébats avec la sulfureuse Roxane duraient, duraient et duraient encore que j’avais pourtant l’impression que cela ne faisait que commencer. Véritable machine de sexe, l’affamée gaulée comme un mannequin semblait ne savoir rien faire d’autre qu’en redemander… et j’adorais ça. Quand bien même sa grosse lune s’était rougie sous mes puissants et mécaniques coups de trique, jamais elle ne semblait ni flancher, ni même perdre sa voix, donnant même au quartier un véritable récital d’opéra qu’ils n’étaient pas près d’oublier.
Je ne pouvais être sûr que ce soit tout à fait ce qu’Helen avait prévu au programme en planifiant un plan à quatre pour ce soir, mais je n’y pouvais cependant rien : j’étais tombé raide dingue de notre belle invitée. À peine l’avais-je rencontrée que sa simple vue m’avait tout bonnement coupé le souffle. Son côté très, très entreprenant, ne m’avait pas déplu non plus, il fallait l’avouer. Tout comme ses… « talents », ne m’avaient pas déplus non plus. Des trois jeunes femmes, j’avais pu ressentir, rien qu’en la regardant faire, qu’elle était celle qui ne me suçait pas uniquement pour me faire du bien, mais vraiment parce qu’elle se régalait à m’avoir dans sa bouche.
Roxane avait très envie de ma bite, quand bien même nous ne nous connaissions pas, et je trouvais cela foutrement torride.
Mais déjà avais-je dû passer pas moins de quarante minutes à la prendre par derrière sur le balcon que cela ne me suffisait toujours pas. Son insatiable envie de moi n’avait d’égale que ma gigantesque envie de la baiser encore, jusqu’à l’épuisement. Helen n’aurait invitée qu’elle en me disant qu’elle voulait me voir prendre du bon temps avec son amie que j’aurais pu continuer même après qu’elle soit partie se coucher. C’était d’ailleurs ce qui me faisait le plus envie, là maintenant.
Mes coups d’œil vers l’intérieur, en direction des deux autres jeunes amies se donnant du plaisir m’excitaient aussi énormément mais, quand bien même je savais que viendrait leur tour à un moment donné, je ne pouvais m’empêcher de revenir à Roxane, à son cul si gros que je démontais si fort. Elle était si bonne, sa chatte si accueillante… Ses cris paraissaient si doux à mon oreille que mon corps ne m’en réclamait que plus. C’était plus fort que moi, puissamment physique et animal, je ne pouvais me retirer d’elle.
À la regarder comme à l’entendre, je ne pouvais non plus faiblir. Raide et bien trop excité que j’étais, ma plantureuse amante me faisait bander comme un taureau. Cet énorme chibre dans lequel le sang peinait parfois à affluer, de par sa taille hors-normes, n’avait avec elle aucun mal à rester dur comme de la pierre.
Quand bien même venais-je de lâcher la purée en elle, en une quantité astronomique et démentielle, le gros tuyau qui la limait si profondément restait parfaitement opérationnel et d’attaque pour quelques autres saillies à venir.
Le souffle toutefois court, je ralentissais mes coups de butoir pour ne plus lui donner que de petits et courts coups de rein, ne sortant qu’à peine de son sexe pour retourner me loger tout au fond la seconde d’après. J’écoutais la belle reine gémir, me confortant dans ce pied que je prenais rien qu’à la faire couiner.
Le rouge aux joues, à bout de souffle, je soutenais ce regard qu’elle me lançait, continuant ces petits balancements de hanches, m’amusant à les faire rebondir sur le moelleux de sa belle paire de fesses dodues.
Je me mordais les lèvres en souriant légèrement, en l’entendant mentionner ma « queue ». J’adorais ça, savoir… qu’elle adorait ça. J’avais aimé lui donner du plaisir et, pour ne pas changer, je désirais lui en donner encore.
Lâchant sa large croupe, je me faisais cette fois plus doux, alors que je me penchais pour attraper ses cheveux en un une longue et douce queue de cheval. La tirant doucement à moi, j’embrassais son cou, puis profitais qu’elle se tourne légèrement pour m’en aller quérir sa bouche. Je me mis à l’embrasser doucement, puis vins entrouvrir ses lèvres avec ma langue, pour aller y chercher la sienne.
« Hm hmm… »
Collé à elle dans cette étreinte langoureuse, je profitais de cet instant plus passionné et sensuel pour glisser ma seconde main contre son ventre. Lentement, je remontais, passais entre ses seins merveilleux, sans oublier de les pétrir un peu, pour finir par effleurer sa gorge blanche.
Ne stoppant pas mes courts va-et-vient, je venais maintenant les ponctuer de quelques rotations et ondulations, frottant mes couilles encore pleines à son cul, alors que je la ramonais bien jusqu’au fond… très lentement. Encore bien trop sensible après l’orgasme que je venais d’avoir, j’eus même peur de jouir encore, sur l’instant.
« Haaaa… haaaaa… »
Tentant de reprendre mon souffle, je me faisais plus doux et silencieux quand je me mis à chuchoter au creux de son oreille.
« Toute la nuit si tu veux… mais… à une condition. »
Ma main gauche redescendant lentement, j’effleurais l’un de ses énormes seins pour de nouveau faire glisser mes doigts sur son ventre, sur ses hanches nues et encore bien délicates, malgré la quantité de foutre qui les avait éclaboussés.
« Viens dîner avec moi un soir… cette semaine. »
C’était un peu dur à dire et, quelque part, j’avais un peu peur qu’elle me trouve trop cavalier à l’idée de l’inviter à se revoir, en tête à tête, après cette partouze… et sans Helen… Mais elle devait pourtant le remarquer aussi, j’en étais convaincu après l’avoir entendue jouir autant de fois : nous deux, ça collait bien.
Me tournant un instant vers l’arrière, j’attendis sa réponse en guettant du coin de l’œil le joli ballet de cuisses et de sexes trempés auquel s’adonnaient Helen et Lily depuis un bon moment déjà, sur le canapé. Je me léchais les lèvres en les regardant, nues et si bien faites, et répondais à cela en quelques petits coups de bassin plus secs, que je donnais à Roxane.
Revenant à elle, je nous décollais un peu pour mater encore le cul de la rouquine. D’un doigt de cette main qui ne tenait pas ses cheveux, je traçais du bout de l’ongle le petit sillon dans son dos… avant de venir dessiner celui de la raie de ses fesses. De ma grosse paluche, je venais la pétrir avec envie, écartant son cul pour observer son tout petit trou, encore bien trop serré à mon goût.
« J’ai envie d’essayer d’te la rentrer dans le cul, Roxane… »
Malaxant bien sa fesse un moment, je me remis, mais toujours très lentement afin de la faire languir, à faire de plus amples mouvements en elle, glissant hors de son sexe dizaine de centimètres par dizaine de centimètres, pour vite mieux les lui remettre, faisant coulisser ma queue bien en douceur, cela facilité bien sûr par tous ces fluides qui ne cessaient de couler entre ses cuisses.
« Que dirais-tu de… retourner dans le salon ? J’ai envie qu’Helen nous regarde, pendant que tu te fais enculer par son mec pendant des heures… »
Revenant placer ma main sur son sein, je ramène de nouveau à moi ma merveilleuse amante pour me lover tout contre elle, dévorant son cou de mes chauds baisers.
« Helen a beau être coquine, comme tu dis… elle la trouve trop grosse pour… ça. »
En même temps, il fallait la comprendre -et j’avais toujours compris les femmes pour ça, quand même-, l’idée même de se faire pénétrer par un sexe aussi gros et presque aussi long que celui d’un cheval était effrayante, sinon véritablement terrifiante…
À peine quelques autres coups de bassin et je sentais comme je n’allais plus pouvoir tenir bien longtemps. Ma queue se souvenait encore trop bien du plaisir ressenti quelques minutes plus tôt, en cet électrisant orgasme qui m’avait frappé. Proche de jouir encore, je sortais doucement de la chatte de Roxane, la bite en main. Lâchant ses beaux cheveux pour l’inciter à se tourner vers moi, je faisais lentement rouler les énormes veines de mon sexe entre mes doigts.
« Mais avant ça… aaa-ah… j’aimerais faire ça sur ton visage… Oooh… »