Orgies et bonnes notes (RP libre)

Au Japon l'éducation est quelque chose d'essentiel que les parents se font un devoir d'inculquer à leur progéniture. "Étudie pour avoir de bonnes notes et trouver un bon travail dans une grande entreprise plus tard" est une phrase qui revient si souvent dans les oreilles des jeunes adolescents que cette notion leur est restée ancrée dans l'esprit en grandissant.

Shinnosuke, plus souvent surnommé Shin, est un lycéen de 17 ans qui a décidé de rejoindre un lycée prestigieux à la sortie du collège. Il entama donc en toute logique sa seconde année dans cet établissement qui est réputé pour avoir le meilleur taux de réussite aux examens d'entrée dans les plus grandes facultés de tout le pays.

Comment le corps enseignant et la direction parviennent donc à réaliser de tels exploits ? La question n'a, à ce jour, jamais trouvée sa réponse malgré les nombreuses enquêtes menées par des journalistes d'investigations. Ce secret est terriblement bien gardé.

Pourtant la solution à ce si grand mystère est des plus simples : satisfaire les besoins des élèves.
Les élèves qui parviennent à figurer dans le TOP-10 on droit à diverses récompenses allant du recrutement d'un chef étoilé pour préparer leurs déjeuners durant un trimestre entier à l'organisation d'une orgie où peuvent aussi bien être conviées des des enseignantes, des élèves ou les mères de ces dernières si un élève en fait la demande. En toute logique les parents sont mis au courant des agissements qui ont lieu dans le lycée et doivent signer une clause de confidentialité et de participation à des activités diverses si le besoin s'en fait ressentir.

Figurant dans les trois premières places du classement général de l'établissement déjà lors de sa première année, Shin n'a pas eu trop de mal à continuer sur sa lancée pour obtenir la seconde place.
Le jeune homme reçoit alors un courrier chez lui le samedi suivant l'annonce des résultats pour lui signifier qu'il est convié à participer à une orgie qui aura lieu le dimanche de la semaine suivante. Il devra se rendre dans le gymnase à 21h, seul, munie de son invitation. Bien entendue cela n'était pas inscrit tel quel sur le document. Le tout était codé pour éviter les possibles fuites, mais ce dernier savait clairement de quoi il était question.

=== Le jour J ===

Shin n'a jamais eu de relation sexuelle à ce jour. La seule chose qui pourrait se rapprocher d'un contact rapproché avec la gente féminine serait d'avoir tenue la main d'une fille avec qui était en rang en école primaire.

Hésitant encore quelques secondes, il avale sa salive et décide de se tenter l'expérience. A proximité de l'entrée se trouve une armoire à glace qui lui tend la main, paume vers le haut, sans dire un mot. Shin lui donne son invitation puis entre quand l'inconnu lui fait un signe de la tête.

L'ambiance des lieux est tamisée et un bac avec divers masques avec le mot "Le port du masque est obligatoire" est disposée sur sa droite. Masques chirurgicaux classiques, masques d'animaux, de masquerade... Tout y est. Shin décide d'opter pour un masque de Joker avant de pénétrer enfin dans l'enceinte du gymnase qui est déjà peuplée d'une trentaine de personnes qui discutent encore bien sagement pour le moment.



Quelques petites règles rapides :

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- N'importe qui est libre de rejoindre le RP en cours de route tant qu'on reste dans une limite de 4-5 participant(e)s en tout.
- Vous êtes libre d'incarner le personnage de votre choix en restant quand même dans le thème.
- Restons dans un cadre de messages allant jusqu'à 400-500 caractères maximum environ pour garder le RP dynamique.
- Inutile d'attendre un tour complet pour répondre si jamais quelqu'un est absent.
- Voyez avec votre/vos partenaires pour les pratiques si nécessaires.

Pour tout le reste, je suis disponible par message privé. 

Saya Suzumaki est perplexe. Assise en tailleur sur son canapé, elle vient d'ouvrir la lettre à son nom que son petit copain a remonté en revenant de son travail. Elle ne s'attendait vraiment pas à recevoir ce courrier étant donné que ... d'habitude c'est elle qui l'envoyait. Secrétaire dans un  prestigieux lycée où les places coutaient chères, elle travaillait directement pour la Direction et en connaissait la plupart des secrets. Un mois plus tôt, le directeur du lycée lui avait dicté un texte qu'elle s'était chargée de retranscrire et d'envoyer à une liste de noms qu'on lui avait fournie. Le problème, c'est qu'à ce moment là, elle ne figurait pas sur cette liste. Un élève méritant avait dû demander en récompense qu'on l'y ajoute...

Saya connaissait bien les règles de l'établissement, elle était chargée, entre autres, de l'archivage des chartes de confidentialité qu'elle même était obligée de signer chaque année. C'était la condition pour qu'elle conserve son emploi qui était particulièrement bien rémunéré.

"Qu'est ce que c'est?" lui demanda Mako, son amoureux.

"Oh ... Rien ... Une lettre du lycée. On demande ma présence pour une activité dimanche, dans dix jours. Je ne peux pas ne pas y aller. Ils ont besoin de moi."

Mako s'approche pour l'embrasser sur le front.

"T'es la meilleure, c'est pour ça."

Il est gentil et Saya lui sourit. En vérité, ce n'est pas rien, comme elle l'a dit. Les orgies récompenses étaient un rituel imparable du cycle de ce lycée. Elles conditionnaient les brillants résultats nationaux des étudiants surmotivés. Illégales et complètement contre nature, elles étaient une mise en scène bien orchestrée par la Direction. Y participer ne signifiait qu'une chose: qu'elle allait devoir offrir son corps à une bande de jeunes puceaux avides. Elle soupira, fataliste. Heureusement qu'elle n'était plus vierge car cela aurait été difficile de s'expliquer auprès de Mako ... Pauvre Mako ... bientôt cocu.

Le jour J...

Mako est au travail et Saya s'observe dans un miroir. Elle a passé un petit ensemble ultra sexy qui lui va à ravir. Sans être une bimbo, elle a un joli corps bien proportionné. La jupe courte et noire moule un fessier comme il faut, ses bas noirs et escarpins ajoutent à la touche de la secrétaire aguichante et son mini haut est une invite à la profanation. Elle a arrangé sa coupe courte et asymétrique, s'est discrètement maquillée et attend le taxi qu'elle a commandé.

L'orgie a lieu tard, au gymnase du lycée. Elle s'y présente à l'heure et tend sa lettre à l'agent de contrôle qu'elle connait bien. Il reste impassible pour la circonstance. Elle choisit un masque chirurgical noir, inutile de cacher son identité puisque sa présence est requise. Ses talons claquent sur le parquet et quelques têtes se tournent vers elle. Saya reconnait des cadres du lycée et le directeur caché derrière un masque de cochon souriant. Quelques étudiants sont déjà là aussi.

Ayanokoji était l'élève transparent par excellence, ne parlant jamais de son passé; duquel il s'était échappé en utilisant son intellect depuis quelques années; il avait sous un faux nom réussi à intégrer le lycée le plus prestigieux du pays, bien que ses papiers n'étaient pas en règle, au vue de ses résultats, l'administration avait choisi de fermer les yeux pour ne pas laisser échapper un tel talent. Ne participant à aucun club, ni aucune activité avec ses camarades, il avait choisi de rester sous les radars au maximum pour ne pas être retrouvé et laisser son passé derrière lui. En vérité, Ayanokoji ne ressent rien, aucune émotion, depuis aussi longtemps qu'il se souvienne. Ni joie, ni peine, ni colère, ni désir, ni amour, une vrai carcasse vide.

C'est ainsi qu'en recevant au dortoir un courrier de l'administration, lui proposant de participer à une orgie pour récompenser les plus méritants, sa première réaction était de jeter le courrier dans la première poubelle sous la main sans prêter attention. Cependant, quelque chose qu'il ne reconnaitra peut être jamais est qu'il est curieux, se demandant si un jour quelque chose lui fera ressentir ce que le monde autour de lui vis. S'il ressentira la moindre émotion. Le sex était une chose nouvelle à laquelle il n'avait jamais pensé, et sur laquelle il n'avait porté aucun intérêt. Reprenant la lettre il la relut de manière détaché, et haussant les épaules, se disant qu'à part du temps, ça ne coutait rien d'aller jeter un œil.

*Hmm...comment on est censé s'habiller dans un truc pareil ?*

Jour J

Aucun effort, ce fut la réponse à sa question de l'autre soir, se contentant de son uniforme scolaire, il se retrouvait devant le bâtiment indiqué sur l'invitation, seul à l'extérieur, une sorte de gorille semblait garder l'entrée, sans dire un mot et sans même prendre la peine de lui lancer un regard, Ayanokoji tandis l'invitation sans s'arrêter, la main dans une poche et le regard toujours aussi vide de toute expression, il vit un bac rempli de masque en tout genre, visiblement il était obligatoire d'en porter un ce soir, il prit le premier lui passant sous la main, tout à fait classique

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puis passa derrière un rideau où le choses devraient se dérouler, il y avait du monde sur place, élèves, profs, et lumière tamisé.

L'ambiance est si particulière qu'il est difficile pour Shin de parvenir à mettre des adjectifs très précis dessus. Jusque là il ne reconnait personne de précis même si il a bien quelques suppositions en regardant les formes, parfois généreuses, de certaines femmes présentes dans l'enceinte du gymnase dont les portes finissent par se refermer dans un son audible pour toutes les personnes présentes.

La lumière déjà faible change de teinte pour quelque chose de violet, voir de rose par endroit. L'intensité de toutes les ampoules est également plus faible alors que des bibelots diffusant de l'encens sont disposés divers endroit du gymnase sur des tables où sont disposés nourriture et boissons par des hommes et femmes en costume.

L'excitation et l'appréhension empêchent le jeune homme de prendre la moindre décision. Ce qui n'est pas le cas de certains groupes qui semblent n'avoir aucun mal à se lancer.

Alors qu'il tourne la tête sur sa droite pour voir ce qui se passe, il remarque plusieurs formes. Deux d'entre elles semblent être des femmes à première vue. Difficile de les reconnaître vu qu'elles sont logiquement masquées. Mais quelque chose émerge au fond de lui à leur vue, comme si son instinct prenait les commandes de son corps. Son regard est comme embrumé et il s'approche d'elles pour venir poser une main sur un sein de chacune d'entre elles.

En temps normal il se serait excusé pour son geste. Mais celui-ci est traité comme quelque chose de naturel dans son cerveau. Il se sent comme un homme nouveau et seul l'avenir montrera jusqu'où il sera capable d'aller durant cet évènement si spécial.

Un claquement signale le début de l'évènement. les portes viennent de se refermer, indiquant que l'ensemble des participants est présent ce soir. Tout le monde est à l'heure entre ceux qui sont là pour en profiter et ceux comme Saya, qui n'ont pas vraiment le choix. La jeune femme s'est mêlée au groupe principal. Si elle reconnait les adultes, principalement des personnes qu'elle fréquente au lycée, elle ne distingue aucuns des étudiants. Il est vrai qu'elle travaille plus à l'étage administratif qu'au niveau des zones scolaires. Le directeur ne s'adresse qu'une seule fois à elle alors qu'ils se croisent.

"Très heureux de vous voir mademoiselle Suzumaki. Vous êtes très en beauté ce soir."
"Merci monsieur le directeur."

Que dire d'autre? Qui a demandé à me baiser? L'ambiance est étrange. Beaucoup se réjouissent, certains se cherchent, d'autres n'ont aucuns complexes à commencer à se rouler des pelles. N'étant pas une habituée de la chose, et surtout en public. Oh! Mademoiselle Aoi est là aussi! Difficile de la rater, son physique voluptueux ne passe pas inaperçu...

Instinctivement, Saya s'approche d'elle. Les deux jeunes femmes se connaissent et discutent parfois ensemble autour d'un café en salle des professeurs. Au moment où, elle va la saluer, une ombre s'interpose, en la personne d'un étudiant svelte et lui aussi masqué. Il pose ses mains sur leurs poitrines et semble attendre la suite. Qu'est ce qu'elle est censée faire?

"C'est toi qui a demandé à ce que je sois là?"

Les groupes se resserrent et les proximités se rétrécissent. D'autres étudiants sont tout proches de leur trio.

La soirée semblait commencer doucement, des hommes et des femmes se mettant à se toucher, s'embrasser, se déshabiller, tandis que d'autres visiblement plus timides restaient près du bar à regarder sans oser y aller

*pathétique* pensai-t-il en les observant, les meilleurs élèves de l'école mais tétanisé pour approcher une femme, ou un homme d'ailleurs.

Ne reconnaissant pas grand monde, Ayanokoji aperçoit en posant son regard, la secrétaire de l'établissement avec une de ses professeurs, visiblement accompagné d'un étudiant qui lui disait vaguement quelque chose, n'était-il pas dans sa classe ? Peut importe, autant commencer par là, peut être une affinité naitrait plus facilement auprès d'humanoïdes qu'il avait déjà cotoyé. Mettant virtuellement son masque pour se fondre dans la masse, il s'approche et constate que son comparse semblait déjà avoir eu les mains baladeuses.

Dévoilant mon sourire le plus charmeur, je glissai mes mains sur leurs fesses, leurs seins étant déjà pris.

- Belle soirée mesdames, vous permettez que je me joigne à vous ?

Le lycéen semble être dans un état second et ses pensées ont du mal à se former dans son esprit. Ce dernier ne semble pas être le seul dans cet état vu les agissements d'autres personnes dans des groupes proches du sien. Sa main est solidement ancrée sur la poitrine opulente d'une femme qui doit possiblement avoir le double du sien. Faire le tour de cette forme avec sa petite mimine relève du domaine de l'impossible. Tout ce qu'il parvient à faire c'est tirer sur le haut de son tailleur pour en libérer sa chemise sans vraiment faire exprès.

Son autre main tente d'en faire autant sur une poitrine au volume moindre mais plus ferme et tonique. La seconde femme se trouvant face à lui a une tenue bien plus révélatrice et sexy. Cette femme dont il perçoit difficilement les traits du visage lui demande si il l'a invitée ici.

- Oui...

Sa réponse est évasive, presque robotique. Elle pourrait lui demander si il est la réincarnation d'un homme poulet voulant conquérir le monde qu'il répondrait également par l'affirmative.

Les lèvres de la femme aux cheveux courts ont l'air si douce sous son petit nez. Au point que le jeune homme se penche sans réfléchir en leur direction avec un regard plein de désir. Non sans s'arrêter de venir découvrir les formes de ces deux beautés face à lui.

Grâce à l'aide de la femme en tailleur, sa main droite entre rapidement au contact de la douce peau de cette poitrine moelleuse qu'il caresse en venant se frotter à son soutien gorge par moments.

Une bosse se met alors rapidement à déformer son pantalon. Il ne faut, de base, pas grand chose à un adolescent pour avoir une érection. Alors un puceau qui se retrouve dans cette situation pourrait même se trouver proche de l'incident industriel dans une situation similaire.

Le trio passe quatuor. Une autre main étrangère vient se poser sur elle, sur ses fesses cette fois. Saya frémit en s'imaginant des situations très particulières qu'elle n'a jamais vécu. Instinctivement, elle se cambre, creusant sa chute de reins. Une bouffée de chaleur lui rosit les joues et elle baisse son masque pour pouvoir respirer correctement. Encore une fois, elle n'a pas à cacher son identité.

Le garçon qui la pelote répond par l'affirmative. Ainsi, c'est donc lui ! Elle l'observe sans mettre un nom sur cet étudiant. Elle ignorait avoir un admirateur secret et curieusement, s'en sent flattée. Elle doit avoir peut être une dizaine d'années de plus que lui et qu'elle l'intéresse ... lui plait. Saya se mord les lèvres et ose poser sa main sur l'entre cuisse du garçon aux yeux verts. Ses doigts s'y crispe et elle devine à la masse dure qu'il y cache un membre de taille correcte. De son autre main, elle part à la recherche de l'autre garçon qui lui caresse les fesses. Mais au lieu de trouver la place libre, elle y trouve les doigts de Mlle Aoi. Saya pouffe.

"Oh ... je crois que nous allons avoir des choses à partager ce soir mademoiselle A..."

Elle se retient in extremis de prononcer son nom, au cas où les garçons ne la connaitraient pas. Autour d'eux, des corps s'enlacent. Comme des animaux recherchant la protection du groupe, les isolés rejoignent les groupes, où pour voir, ou pour toucher. L'un deux la bouscule, la poussant contre l'imposante poitrine de la professeur. La sienne à côté semble bien petite. Là où il y a de la place pour une, il y en a pour deux. Saya caresse les queues des deux garçons. Ses doigts s'emmêlent à ceux d'Hase Aoi et elle pouffe. On croirait deux salopes en manque.

Dans un coin, une fille laisse échapper un cri. un gamin tout maigre est déjà entrain de la pénétrer avec acharnement. Saya croit reconnaitre Mme Hanato, une prof de sport. Elle se tourne alors vers le brun qui l'a sollicitée.

"Tu vas me baiser comme ça?"

De toute manière, vu comme c'est parti, ils vont tous les quatre se passer dessus à un moment ou à un autre.

Ayanokoji sentait d'instinct la tension grandissante dans la salle, que ce soit dangereux ou sexuelle il ne distingue aucune différence, à ceci près de la main de sa prof qu'il avait facilement reconnu, mais décida de respecter l'anonymat de tous, il n'y avait de toute manière aucun intérêt à aller à son encontre. Une main tremblante ceci dit, bien qu'elle tente de le cacher, Ayanokoji a beau ne pas avoir d'expérience, il sait lire, à défaut de les comprendre les réactions humaines.

Malgré son âge elle ne devait certainement pas avoir particulièrement d'expérience, contrairement à sa voisine qui semblait plus détendu. Ce n'était pas plus mal, pour son expérience de pouvoir tester deux spécimens à un stade différent. Ce fil de pensée ne dura qu'une fraction de seconde, avant de se montrer plus entreprenant, se fiant aux recherches qu'il a faites en prévision de l'évènement, venant sans trembler chercher les lèvres de sa prof, attrapant son menton pour pencher son visage et atteindre ses lèvres plus facilement, ne lui laissant pas vraiment le choix, avant de resserrer son emprise sur le fessier bombée de madame la secrétaire, lui donnant une claque en passant.

La seconde main quitta les fesses de sa prof, venant attraper son dernier sein libre. Sans aller jusqu'à perturber le rythme cardiaque, ou l'ennui d'Ayanokoji, il commença à sentir une certaine pression dans son pantalon.

- Et toi, ça ne te dérange pas de les dévorer avec moi ?

Le regard se porta alors sur son homologue masculin tandis que mes doigts vinrent attraper le téton de celle qui ce soir passerai du corps enseignant à outils.

La question de la femme qui s'est mise à venir caresser la bosse qui déforme son pantalon ne lui est pas adressé et pourtant il ne peut s'empêcher de reprendre dans la foulée en répétant un mot qui lui résonne en tête.

- Baiser...

Tout ce beau monde est là pour ça de toute manière. Que ce soit de façon sensuelle, sauvage, classique ou débridée. Du sexe il y en avoir sous tous les formes possibles et imaginables au sein de ce vaste gymnase équipée spécialement pour l'évènement.

Son attention se porte ensuite de manière inattendue vers un garçon de son âge qui lui demande si se les faire en sa compagnie le dérangerait. Pas en ces termes en tout cas. Là encore, il reprend de manière robotique une partie de la question qui lui est posée.

- Oui, j'ai envie de les baiser. Toutes les deux.

Les mains des deux femmes font des merveilles. Autant sur son cerveau que sur sa bosse qui gonfle sous l'épaisse couche de tissu qui le comprime autant que possible. Les idées lui semblent plus clair au fil des secondes. Heureusement que la femme aux formes imposantes l'aide rapidement à se libérer en venant déboutonner son pantalon et baisser sa braguette dans la foulée. Ce qui a pour effet de faire tomber son pantalon sur ses chevilles.

La température grimpe en lui de façon soudaine. Son sang ne fait qu'un tour dans son cerveau. Timide l'instant d'avant, il ne se prive pas de venir embrasser la femme aux cheveux courts de façon hasardeuse vu qu'il n'a pas de grande expérience dans le domaine. Ses lèvres sont si douces au contact des siennes et il serait bien resté ainsi plus longtemps si il n'était pas aussi excité.

Shin a tellement chaud qu'il a l'impression que son corps va prendre feu s'il ne fait rien pour l'empêcher. D'un geste rapide il tire sur l'élastique de son boxer afin de dévoiler un sexe tendu et gonflé à bloc. En y regardant bien on peut même déjà voir quelques gouttes de liquide transparent perler au bout de son gland.

Il effectue un nouvel échange de salive avec sa partenaire le temps de quelques secondes pour se jeter dans la foulée sur le sein gigantesque qu'il caressait l'instant d'avant. Sa bouche part à la recherche de sa pointe rosée sans y parvenir. Ses gestes sont trop désordonnés pour parvenir à réaliser quoi que ce soit.

Il s'arrête alors brusquement en leur demandant à toutes les deux pour augmenter ses chances.

- - Ma bite me brûle.

Une manière détournée de demander à se faire tailler une pipe en bonne et du forme.

L'atmosphère devient incandescente. Le garçon aux yeux verts prend l'initiative d'embrasser Saya. Il le fait maladroitement, leurs dents se heurtent. Il est pressé mais inexpérimenté. Il va falloir qu'elle lui apprenne... Non! C'est juste pour ce soir et rien de plus ne se passera une fois l'orgie terminée. Cela restera un évènement qui ne se sera jamais passé! Mais en attendant, elle doit faire ce pour quoi on lui a imposé d'être là.

Comme une bonne salope, Saya glisse à genoux entre les garçons. La queue du premier vient aussitôt pousser contre son menton et elle entrouvre les lèvres, donne une pichenette au sexe pour le faire redresser un peu plus et accepte que le gland vienne l'investir. Elle a déjà sucer Mako, son petit copain. Ca lui arrive de temps en temps quand elle est d'humeur joueuse, sans qu'elle soit experte non plus. Par contre, il adore jouir dans sa bouche!

Saya referme ses lèvres sur le manche raide et s'applique sans attendre à le sucer. L'odeur musquée du garçon est forte et emplit ses narines de fragrances très masculines. Saya, la jolie secrétaire de la Direction taille une pipe à une étudiant! Qui aurait cru ça ? Elle s'applique, aspire, engloutit sans toutefois aller trop loin, le pousse à l'intérieur de ses joues pour dévier les coups de reins trop entreprenants. Un commentaire fuse dans type, dans son dos.

"Elle suce bien la pute."

La pute? Dans la rue, il aurait prit une gifle. Là, ça ne fait que plus l'exciter. Tout un pratiquant sa fellation, elle s'attaque à la ceinture du pantalon de l'autre garçon qui ne met pas longtemps à glisser sur ses chevilles. Lui aussi bande ... bien travaillé par les doigts d'Hase Aoi. Saya ne s'interrompt que pour lui dire:

"Je le goûte un peu avant de te le rendre."

Elle bascule pour changer de bite et plonge son visage entre les cuisses du deuxième. Sa queue est aussi délicieuse que l'autre et elle s'acharne dessus comme une goulue, plus à l'aise maintenant qu'elle s'est lancée. Ce n'est pas pour autant qu'elle oublie son premier partenaire qu'elle masturbe contre son visage au même rythme qu'elle suce. Cette nouvelle queue à un goût différent et elle l'enfonce plus loin dans sa bouche. Sous peu, elle pourrait avoir envie de l'avaler.

Madame Aoi, se révèle intéressante, timide et peu assuré il y a quelques instants, la voilà bien plus entreprenante, bien que notre étudiant remarque qu'elle est en devient empressée, ou a en tout cas moins de contrôle sur elle, que sa collègue. Sentant la main de son amante du soir se glisser tant bien que mal dans son pantalon pour agripper sa queue, Ayanokoji découvre pour la première fois la sensation de se faire branler. Force est de constater que c'est loin d'être désagréable, il cependant doit reconnaître qu'il espérait plus de grandiose, vue de l'importance de la procréation dans l'espèce humaine.

Ce n'est pas qu'elle ne se débrouillait pas, au contraire, elle fait clairement de son mieux et y met du cœur, autrement Ayanokoji ne ressentirai rien du tout et son pieu retomberait comme un soufflé, ce qui n'était pas le cas. Continuant à embrasser sa prof à pleine bouche, lui tirant la lèvre avec ses dents avant d'enrouler leurs lèvres, une scène eut un impact puissant en lui lorsqu'il rouvrit les yeux.

Entre temps madame la secrétaire se retrouvait à genoux à pomper allègrement l'autre étudiant  et cette scène éveilla un feu auquel Ayanokoji ne s'attendait pas, mais pour quelle raison ? Depuis son entrée dans le monde, et avoir fui la « chambre blanche » où il a été élevé de la façon la plus cruelle et strict qui soit pour être au-dessus du lot, notre lycéen voyait les gens comme des outils qu'il pouvait manier à sa guise pour arriver à ses fins, ça l'amusait un peu et nourrissait son sentiment de supériorité.

Mais voir quelqu'un, à genoux face à lui, il était décontenancé pour la première fois, ne sachant quoi penser, il poussa son premier gémissement rauque de la soirée lorsqu'il passa au centre de l'attention de la soumise à ses pieds. En oubliant presque sa voisine, sur qu'il posa un regard sombre et un sourire carnassier, l'attrapant par la nuque, la forçant à tenir son regard.

- A genoux toi aussi, occupes toi de notre ami, qu'il ne soit pas jaloux.

Sa main libre agrippa les cheveux de la chienne en train de le sucer pour sentir l'emprise qu'il a sur elle à cet instant

La vision de sa première fois avec la gente féminine est à des années lumières de la réalité. Ce qu'il est actuellement en train de vivre et cent fois meilleur que tout ce dont il avait pu rêver auparavant. Les fellations étaient devenus un classique dans le quotidien des adolescents d'aujourd'hui. Idem pour les films pornos qui metent en avant ce genre de pratique comme si rien n'était en général.

Un premier frisson vient parcourir sa colonne quand la femme aux gros seins vient se saisir de ses testicules sensibles avant de venir lui caresser la tige délicatement. Personne ne l'avait touché ici en dehors de lui-même lors de ses sessions de masturbation le soir. Alors qu'une femme vienne le décpuceler de cette façon le fait se tendre comme un piquet.

C'est alors que la seconde vient littéralement prendre les choses en bouche pour le dévorer comme une affamée alors qu'il s'attendait à ce que les choses démarrent tranquillement. Des gémissements s'échappent rapidement de ses lèvres pour exprimer oralement son plaisir. Sentir ses douces lèvres auxquelles il a goûter quelques minutes auparavant entourer sa trique gonflée est un plaisir sans pareille comparé à une vulgaire masturbation. La chaleur, l'humidité de cette bouche clairement experte en la matière le fait chavirer dangeureusement avant qu'elle ne s'arrête d'un coup.

La déception est aussi grande que le soulagement de ne pas finir trop vite dans cette bouche. Sauf que le repos s'évère très court. A la demande de son camarade, la seconde femme vient se positionner entre ses cuisses pour venir lui caresser les boules avec autre chose que sa main cette fois. Ouuuh la la ! Qu'est-ce qu'il lui arrive ? La sensation est différente. Tout aussi agréable et excitante que la précédente mais différente.

- J'adore ce que vous faites ! Continuez ! Essayez de les prendre toutes les deux !

Jamais il ne serait attendu à ce qu'ne chose pareille lui arrive. Il ne manquerait plus que la première femme prenne cette pratique surprenante pour une invitation de revenir le tourmenter pour se décider de l'achever cette fois. De toute manière tout dépendra des envies de son camarade. Pour le moment SHin se contente de savourer en lui exprimant son plaisir.

- Vous êtes une sacrée salope pour venir me manger les noix directement. Même dans les pornos ils ne font pas toujours ça. Ca vous plaît ? Elles sont bonnes ?

Parler pour ne rien dire et se prouver des choses, la routine pour un puceau.

Saya pompe dur. Les deux garçons ont des caractères bien différents. Le premier serait plutôt du genre à se laisser faire tandis que le deuxième serait plus entreprenant, et moins émotif aussi. Quand il s'agrippe à ses cheveux, c'est pour asseoir sa virilité? Saya lève les yeux vers lui et tandis qu'elle continue à le sucer, elle lui lance un clin d'œil pour le dérider. Sa pipe se fait plus rapide. La chair dure et chaude s'enfonce dans sa bouche et elle aime ça. Elle salive à l'idée de donner l'image de ce qu'elle n'est pas.

Saya gémit de plaisir. Elle était loin de se douter en venant ici qu'elle apprécierait ce moment. Qu'est ce qui clochait chez elle? Elle s'arrange sur ses genoux et vient vraiment se coller au garçon. Elle enlace son bassin de ses bras et le tire tout contre elle, provoquant ce qui fatalement devait arriver. Le sexe du garçon vient titiller sa luette et passé le premier hoquet de surprise, elle tente de déglutir pour avaler plus encore de cette queue délicieuse. Ce n'est pas facile et elle persévère donnant des coups de tête de l'avant. Son petit nez s'écrase  contre le bas-ventre du garçon et elle le sent enfin glisser dans son gosier. Elle tousse, retient un haut-le-cœur, stupéfaite d'y être arriver aussi vite et facilement. Le corps étranger gonfle  son cou à chaque passage et elle relâche juste un instant son emprise sur le garçon pour se toucher la gorge où elle le sent bouger. La sensation est bizarre mais quand elle s'y habitue, elle y va plus fort, aspirant cette queue jusqu'à ce que ses lèvres viennent se verrouiller à la base de la queue du garçon.

"MMMFFFF!"

Saya recrache la queue, accompagnée d'une masse excessive de salive. Elle a les yeux larmoyants et renifle mais ça n'a rien à voir avec une contrainte. Elle pose sagement ses mains par terre et ouvre grand la bouche en regardant le gosse.

"A toi!"

Surpris par la facette entreprenante de Saya, Ayanokoji sent quelque chose monté en lui, une sensation de chaleur qui lui donne envie de profiter pleinement de la soirée, la langue de la secrétaire sur sa queue lui fait fermer les yeux pour profiter de l'instant en resserrer sa prise, lorsqu'il les rouvrit, il aperçu le clin d'oeil de son amante, laissant deviner qu'elle apprécie ce moment au moins autant que lui, alors qu'il commençait à trembler d'excitation et à se cambrer tout en se mordant gémissant sans retenu.

- Chienne....tu es une vraie chienne...

Se sentant durcir entre les lèvres de la dépravée à ses pieds, il prit un malin plaisir à s'enfoncer au fond de sa gorge au maximum, quitte à ce qu'elle s'étouffe, peu importe, tant qu'elle n'en meurt pas et qu'elle y prend un malin plaisir c'est tout ce qui compte. Cela étant au bout d'un moment, Ayanokoji sentait quelque chose de puissant monter en lui, mais également le long de sa queue, comme une envie d'uriner, mais une sensation bien plus agréable, qui fut coupé par Saya en se retirant à ce moment là pour reprendre son souffle et se jeter sur la seconde queue à disposition. Était-ce ça un orgasme ? À cette pensée un sourire se dessina

Retirant ses chaussures, il glissa un pied entre les cuisses de Hase, la sentant trempée, à se demander si elle ne s'était pas pissé dessus à ce niveau, mais il attira ses lèvres vers sa queue pour qu'elle l'honore également.

- Vous êtes sublimes à nos pieds mesdames, avec un talent indéniable à reconnaître, habituez vous à cette position. Maintenant, la première à faire jouir l'un de nous, sera la première à être baisée par celui de son choix, voir les deux si elle en a vraiment envie.

La domination c'est bien, mais la compétition, est encore mieux, l'une des deux sera bien frustré, mais laquelle ?