Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

Bonjour et bienvenue.

Ce forum présente des œuvres littéraires au caractère explicite et/ou sensible.
Pour ces raisons, il s'adresse à un public averti et est déconseillé aux moins de 18 ans.

En consultant ce site, vous certifiez ne pas être choqué par la nature de son contenu et vous assumez l'entière responsabilité de votre navigation.

Vous acceptez également le traitement automatisé de données et mentions légales de notre hébergeur.

I love you, I hate you, but most of all, fuck you [Red King]

Nos partenaires :

Planete Sonic Reose Hybride Yuri-Academia L'Empire d'Argos Astrya Hybride Industry Iles Mystérieuses THIRDS Petites indécences entre amis
Inscrivez-vous

Aphrodite Pandemos

Dieu

- Tu sais que tu en as envie, susurra-t-elle à l'oreille de la jeune guerrière alors que son second la dévorait du regard. Et tu sais qu'il te veut aussi, alors, bois ta dernière gorgée et en selle, ma belle.

Écouter les voix dans sa tête n'était peut-être pas toujours une bonne idée, mais lorsque cette voix était celle d'Aphrodite, que vous le vouliez ou non, vous alliez agir en fonction de vos désirs refoulés. Siene n'était pas du genre à abuser de sa position au sein de l'armée Meisaenne simplement pour prendre son pied, mais lorsqu'elle regardait ce joli garçon de Promélé, elle n'avait qu'une envie, c'était de le gober tout entier. C'est donc d'une traite, se leva puis se dirigea d'un pas décidé vers l'objet de son désir. Le jeune homme remarqua visiblement qu'elle s'approchait à grand pas, et s'apprêta à la saluer quand il vit ses sourcils froncés et son visage déterminé. Il jeta un coup d'oeil nerveux derrière lui, comme s'il s'attendait à ce que quelqu'un d'autre soit dans la tente, mais lorsqu'il comprit qu'il était la cible de ce regard, il était trop tard pour se faire violence, parce que sa supérieur l'agrippa par les cheveux et plaqua sur ses lèvres un baiser fougueux.

Aphrodite profita de l'instant pour se glisser derrière Promélé et entreprit de le guider. Malgré sa confusion, sa surprise et sa panique, il sentit ses mains laisser tomber sa coupe et son fromage au sol; une vint se placer au creux des reins de la jeune femme, l'autre se glissa sous l'épaule de la jeune femme, l'entoura et la serra contre lui, alors qu'il luttait pour garder l'équilibre. Après quelques baisers, il tenta de la raisonner, de lui dire qu'elle avait peut-être trop bu, mais Siene ne se dégonfla pas pour autant. Elle le poussa dans sa tente et referma les rideaux derrière elle. Elle retira alors sa veste de maille ainsi que son justaucorps noir, dévoilant une poitrine nue à la vue du jeune homme, qui comprit dès cet instant qu'il avait un choix à faire; refuser ses propres désirs et ceux Siene par égard pour la hiérarchie militaire, ou alors succomber à sa passion. Un choix difficile, mais qui fut jeté aux orties lorsqu'elle s'approcha rapidement de lui et qu'elle le plaqua dans son lit de plumes. Elle grimpa sur lui, prenant ses mains dans les siennes alors qu'elle l'embrassait de nouveau, encore et encore, réduisant à néant tous ses scrupules.

Voyant que son travail était accompli, la Déesse de l'Amour se félicita elle-même, comme toujours, de sa redoutable efficacité. Elle piétina soigneusement l'herbe autour de la tente pour s'assurer que personne ne vienne les déranger, et elle aperçut Dionysos du coin de l'oeil, ou du moins un de ses avatars, et s'approcha de lui.

- Tu veux me faire une faveur, chéri ?
- Pour vous, Aphrodite? Vous n'avez qu'à demander.
- J'ai un couple important en train de faire plus ample connaissance dans la tente, et je voudrais m'assurer qu'ils ne soient pas dérangés.
- Cela ne devrait pas poser trop de problème; la plupart des soldats en permission sont à moitié ivre et les autres sont à leur poste de garde, mais je veillerai à ce qu'aucun ivrogne ne les perturbe.
- Parfait.

Elle se pencha sur le jeune Dieu du Vin et posa sur sa joue un baiser.

Dionysos sentit son désir monter en flèche au simple contact de la déesse, et s'il n'était pas maître de se contrôler lorsque ses sens étaient enivrés, il lui aurait peut-être sauté dessus à son tour. Visiblement, Aphrodite pariait là-dessus, puisqu'elle limitait au maximum son contact avec les autres divinités.

- Je regagne l'Olympe. Une bonne soirée à toi.
- Bonne soirée, Aphrodite.

Immédiatement après sa réponse, la déesse se dématérialisa sous ses yeux.

Elle se rematérialisa sur l'Olympe immédiatement, accueillie de suite par ses dames de compagnie, qui s'empressèrent de lui enlever ses vêtements et dénouer ses cheveux, avant de l'emmener vers le bain chaud où elle pourrait profiter du coucher du soleil et de la naissance de la nuit.

Elle savait que bientôt, Phobos irait voir Arès, son père, pour lui dire que l'ennemi de son parti pris passait une excellente soirée et que la commandante qui aurait dû être prise d'angoisse et de terreur à l'idée de se retrouver de nouveau devant un ennemi allait se réveiller le lendemain vidée de son anxiété. Elle n'avait pas pour habitude de ruiner les efforts d'Arès, mais c'était maintenant la seule manière qu'elle avait de lui faire part de son mécontentement. Voilà maintenant plusieurs siècles que cet idiot l'ignorait sciemment, et même si elle savait que leur rupture n'avait pas été facile, pour elle comme pour lui, elle trouvait qu'il avait un sacré culot de l'ignorer, surtout alors qu'ils avaient passé une grande partie de ce qui pouvait être qualifiée de "divine jeunesse" à se courir après comme des adolescents.

Maintenant, c'était moins pour le faire culpabiliser que simplement pour l'emmerder. Comme il n'y avait que la guerre qui l'intéressait, et qu'il n'attendait que de voir les conflits armés sur le continent d'Ayshanra se déclencher, elle utilisait son don et ses prérogatives divines pour nuire à ses projets de déclencher de nouvelles grandes guerres, devant seulement se contenter de petits conflits armés à droite et à gauche.

Red King

Dieu

Re : I love you, I hate you, but most of all, fuck you [Red King]

Réponse 1 vendredi 21 octobre 2022, 10:37:51

Le temps a bien peu d'emprise sur nous, êtres éternels ? Vivant depuis des temps immémoriaux et guidant les hommes, ainsi que tant d'autres créatures. Que nous créons... et détruisons à notre bon gré.
Incarnation de temps de chose, nous sommes là, à observer l'évolution de ces mondes. Et les choses changes, pas à pas, avec parfois des soubresauts puissants, faisant des bonds en avant, quand d'autres stagnes et même parfois recule. Apprenant ou non de leurs erreurs.

Même moi, voir surtout moi, avec mes siècles, nous, dieux, avons certainement commis le plus d'erreurs, mais rares sont ceux qui l'avouent, ou du moins, pas haut et fort, peut-être plus dans leur couche ?
Et j'avais commis une erreur, une traitrise ? Qui durai depuis bien trop longtemps. Aphrodite, ma bien-aimée, ma moitié, si j'étais le destructeur, elle était la créatrice. Nous étions complémentaire, s'en rendait-elle compte ? Lui avais-je dis ? Pas sûr, j'étais bourrus et ne pouvait-être une force attachée, je devais gardé ma liberté, là, où, lui dire cela aurait pu m'enchaîner, me soumettre à elle. Car sans elle, je n'étais que chaos et vide.

Il y a deux forces en cet univers qui fait tourner les âmes qu'elle contient. Le désir de force pour écraser ses ennemis et soumettre quiconque, et l'amour, cette autre force qui pousse les gens à puiser aux fonds d'eux mêmes des ressources qu'ils n'emploieraient pas pour eux-mêmes. Le désir de protéger et parfois de se venger, la jalousie et la rancoeur d'avoir perdue l'être aimé. Pour la personne la plus importante de notre monde intérieur, nous sommes prêt à tous, même à la guerre.

C'est pourquoi j'eus un sourire intérieur, lorsque mon fils, Phobos m'appris que mes plans risquaient de s’étioler, avec l'entremise de ma chère et tendre Aphrodite, visitant l'esprit de mes "proies". De face, je ne pus montrer que colère et énervement, surveiller, mais bientôt, je serais libre de pouvoir me libérer de mes chaînes.

- Ainsi tu ne m'oublies pas... Aphrodite.

Depuis maintenant, trop longtemps, j'étais enchaîné par un contrat avec Héphaïstos, un acte secret m'interdisant d'approcher mon aimée. J'avais cherché un moyen de le rompre, mais Zeus, pour faire bonne figure avait ployé devant son épouse pour me punir. Cependant, ce soir j'avais enfin obtenu un moyen de pression pour révoquer le contrat.

J'avais ainsi fait appeler les deux dieux, et après une discussion animé, le contrat divin fut retiré. Libéré, j'étais soulager, mais point encore défait de tous soucis. Cela sonnerait pour Aphrodite comme une lâche excuse, même si j'étais un dieu de parole et d'honneur, je l'avais blesser et ce temps passé, ne pouvais être rattrapé.

Malgré tout, je pouvais maintenant allez la rencontré, sans subir le courroux divin !

D'un pas assuré, je me dirigeais vers la demeure de la belle Aphrodite, l'appréhension montant, mais je devais assumé mes actes et leur conséquence. J'aurais presque pu rire, lorsque les suivantes de la déesse me virent entrés, elles me regardèrent d'abord comme si je fus un fantôme avant de me regardé avec haine et me demandé poliment de ne pas déranger leur déesse.

- Je suis venu pour parler avec votre déesse, je ne partirais pas avant qu'elle ne m'ai reçut.

La nuit était tombée, dormait-elle ? Je restais planté dans le hall, prêt à attendre le temps qu'il faudrait pour qu'elle m'ouvre les portes de sa demeure. Que ce soit des heures, des jours ou des semaines. J'avais attendue des siècles pour cela, alors j'étais prêt à patienter autant qu'il le faudrait.
Si j'aurais pu/dû ? Rester dehors, je ne voulais pas attiré l'attention et mettre plus de pression, ou de rumeur sur ce qui se passait ici. Non, que mon image ne compte, à devenir la risée des dieux, mais que cela nous regardais nous et non les ragots divins en tout genre.

Bras croisé, fixer tel un pilier à l'entrée de sa demeure, j'attendais. Si les serviteurs passaient, je n'étais même pas sûr qu'une de ces dames, soient allez l'informer de ma présence. Vue la colère envers moi, je ne serais pas étonné qu'on évite de la déranger pour lui laisser une nuit plus plaisante, que de rencontrer un amant disparu.

Aphrodite Pandemos

Dieu

Re : I love you, I hate you, but most of all, fuck you [Red King]

Réponse 2 lundi 24 octobre 2022, 21:10:28

"Maîtresse?" fit la voix hésitante d'une de ses dames de compagnie.

Les doigts experts de Cassiopée dans ses cheveux, massant son crâne avec un talent indéniable, avaient un talent rare, c'était celui de plonger la Déesse dans un état de semi-transe, tant elle était emplie de confort et de paix, mais un murmure de Cassiopée à son oreille l'arracha à cette paix intérieure, la forçant à ouvrir les yeux et à planter son regard doré vers la jeune Andromède, qui détourna les yeux immédiatement pour regarder ses pieds, comme une petite fille prise en faute.

"Qu'y a-t-il, Andromède? Pourquoi évites-tu ainsi mes yeux?" demanda la déesse de la passion, qui se redressa lentement, s'adossant contre le tronc de sa servante.

Andromède hésita, constatant qu'elle avait inquiété sa protectrice, et dit d'une voix très rapide:

"Maîtresse, le seigneur Arès est devant votre palais, il insiste pour vous voir."

Ses mots mitraillèrent la déesse à un tel débit que Cassiopée dût répéter les mots plus lentement des lèvres pour parvenir à en faire un sens, sens qu'elle traduisit immédiatement pour sa maîtresse, au creux de son oreille, avec une voix douce et détendue, comme pour compenser les émotions que cette nouvelle risquait d'évoquer à la grande souveraine de la passion, une déesse qui, par sa nature, était sujette à des émotions plus qu'intense. Le regard d'Aphrodite passa du plaisir confortable à la surprise, avant de sauter vers l'incompréhension puis enfin la colère. Des siècles de silence et cet enfant de mégère ose se présenter devant sa porte, sans même s'annoncer.

La déesse resta silencieuse un moment, avant de poser une main sur le genou de Cassiopée et s'en servir comme appui pour se relever. Dès que sa maîtresse fut debout, Cérès se précipita vers elle avec une grande robe de bain et l'emmitoufla dans le vêtement. Pas que les Dieux avaient tendance à prendre froid, mais dans ces ères récentes, ils ne semblaient plus aussi invincible qu'à l'origine.

Aphrodite n'avait pas envie de voir Arès. En soit, elle préférait, et de loin, ne jamais devoir poser les yeux sur lui de nouveau, parce qu'elle ne savait simplement plus quoi lui dire après tout ce temps. Devrait-elle être furieuse? Devrait-elle être accusatrice? Agressive? Peinée? Non, rien ne lui semblait correct. Son silence serait relativement récent, il se serait peut-être pris une gifle, tout au plus, mais maintenant, rien ne semblait assez fort ou justifié.

Elle considéra même l'idée de le faire poireauter, jusqu'à ce qu'il parte, mais Arès venait d'assiéger sa demeure, et il était probablement assez têtu pour rester sur place pour les prochains siècles. Ce n'est pas comme s'il pouvait mourir de faim ou d'ennui, de toute façon.

Avec un soupir, elle prit la direction de la porte principale de son palais, traversant le cénacle puis la cour et les jardins. Lorsque la grande porte s'ouvrit, Arès vit Aphrodite, entourée de ses plus proches concubines et demoiselles d'honneur, se présenter devant lui, la première fixant un regard froid, agacé et outré sur sa personne.

"Tout ce temps passé sur le champ de bataille semble avoir eu des effets sur tes pensées, Arès, Dieu de la Guerre. Est-ce la bravoure d'Héraclès ou la folie de Mania qui t'a menée jusqu'à ma porte, ou est-ce ta curiosité par rapport à ta propre mortalité?"

Le ton d'Aphrodite n'avait rien pour rassurer le Dieu de son affection. Certaines de ses dames de compagnie se désolèrent même de ne pas avoir pu contacter Harmonie pour garder ses parents sous contrôle, mais la Déesse avait dû se faire la malle dès qu'elle avait appris qu'Arès se dirigeait vers le palais de l'Amour, histoire de ne pas devoir jouer les arbitres et la voix de la raison pour les deux incarnations des émotions les plus fortes ressenties par les mortels. Peut-être savait-elle qu'elle risquait de s'en prendre une par ricochet.

Red King

Dieu

Re : I love you, I hate you, but most of all, fuck you [Red King]

Réponse 3 mardi 25 octobre 2022, 10:11:06

J'étais là, planter dans le hall, massif, puissant, le regard perçant, bien que les yeux clos pour ne pas rendre la situation plus pesante pour ceux la subissant. Etais-je calme intérieurement ? ... Non. J'étais à la fois très heureux de pouvoir revoir ma bien-aimée et quelques peu angoissé de me faire éconduire. J'en rigolais discrètement, j'avais l'impression d'être à nouveau dans ma jeunesse, à la poursuivre et lui faire la court.

Elle était une des rares à m'accepter, mes propres "parents" me reniant, pure hypocrisie de la part de dieu amenant autant de paix et de discorde en allant désigner leur champion humain et leur conflit. Père, Zeus n'avait-il pas affronté son propre père et fait couler le sang ? Cela m'amusait parfois, que les dieux me rejette et pourtant attire vers eux, morts et destruction. Mais j'étais le bouc émissaire parfait, tel étant mon rôle et je m'y ployais. Depuis plus longtemps que tous auraient pu le croire...

L'agitation sembla se calmer, avant que je ne comprenne que celle-ci se concentrait sur la maitresse des lieux qui arrivaient. La porte s'ouvrit et mon coeur s’exalta une seconde, avant d'être broyé par le regard méprisant d'Aphrodite. Je l'avais sorti de son bain, ses divines courbes attisaient en moi la flamme du désir et son aura venait aussitôt la souffler.

A son entrée, je posa un genoux à terre, chose extrêmement rare, je ne m'inclinais jamais. Cependant, si je restais sur ma fierté, il nous serait impossible de converser, car nous n'étions pas d'égale à égale dans cette relation, que j'avais coupé de moi-même, sans accord et sans prévenir. J'étais celui en tord.

Ses propos me firent sourire, certains aurait été outré, mais ma renommé était au delà de tout ça et les insultes pleuvaient le plus souvent. Par contre, je mis quelques secondes à comprendre sa dernière phrase. Une menace ?

- Je te salue Aphrodite Pandemos, déesse de l'amour. Je te prie de pardonné mon arrivé en cette heure tardive, mais je ne pouvais pas attendre.

Je me relevais et vint la fixer. Je devais retenir un élan à venir l'étreindre de force, montré ma dominance, ma force ne me ferait rien gagner. Je n'étais pas le dieu le plus intelligent, mais je sais qu'il y a des guerres, qu'on ne peut gagner avec la force brute. Tuer son adversaire ou le privé de libre arbitre, n'est pas gagné selon notre but.

- Je suis venus ici pour subir ton courroux et chercher ton pardon. Alors oui, peut-être que la folie de Mania m'a toucher.

Toujours aussi directe, mes propos laissèrent un silence pesant et déconcertant. Je n'étais pas de celui qui venait demandé pardon, j'assumais haut et fier les conséquences de mes actes. Seul quelques rares cas m'avait fait regretté, non pas mon choix, mais ses conséquences. Certains m'auraient traité de fou de penser ainsi, mais je n'aime pas être hypocrite, ainsi mes choix sont toujours fait avec le coeur ardent et déterminé. Ensuite, comme je ne suis le destin, ceux qui arrivent confirme mes décisions ou provoque de terrible dégât.

Aphrodite pouvait se moquer de moi, ou se poser bien des questions. Je ne pourrais tout dire, je devais respecter certaines choses et éviter de me trouver des excuses. Me croirait-elle ? Me tendrait-elle la main ?
J'aurais bien renvoyé ses dames pour être à deux, mais j'étais sur son territoire et si je m'imposais plus que cela, elle se fermerait d'autant plus.

Cette fois-ci, c'est moi qui viens les bras ouverts, sans armes, sans armure, prêt à recevoir ce qu'elle me donnera.


Répondre
Tags :