« Oh, vous n’me dérangez pas du tout. »
Aussitôt m’avait-elle réveillé que la charmante professeure semblait sur le point de s’en aller, tout comme elle était venue, telle une apparition soudaine.
Mais… bon, si la solitude avait du bon, il me fallait bien avouer qu’avoir un peu de compagnie aussi. Puis, quand bien même je ne me permettais pas non plus de la dévisager, il fallait toutefois le dire, elle était un régal pour les yeux.
Sa voix, ce petit accent venu de je ne sais où, ses manières et son petit rire d’apparence aimable et innocent… Aussi bien s’excusait-elle, aussi bien je ne pouvais lui tenir rigueur de rien. C’était un fait, elle n’était pas de mauvaise compagnie. Je ne voyais pas d’objection à ce qu’elle reste un peu, histoire de discuter cinq minutes, au moins.
Un petit sourire amusé se dessinant sur mes lèvres, je tirais une nouvelle bouffée et ne manquait pas de rire à mon tour des remarques qu’elle avait pu faire.
« Vous pouvez rester un peu si vous voulez, ils peuvent bien attendre encore un peu leur maîtresse, j’imagine. »
Oui, allez savoir pourquoi, à voir ce rayonnant bout de femme, je n’avais pu l’imaginer autrement qu’auprès de jeunes enfants. Un joli soleil pour leurs vies, délicate et aimante et… faisant sans doute tourner la tête de tous les jeunes papas célibataires…
Mon imagination ne put toutefois faire plus de chemin tant je constatais avec une légère déception comme notre belle maîtresse des écoles était prête à partir.
Le temps d’un petit geste de la main pour la saluer amicalement et… elle me tombait dessus, tête (ou presque) la première. J’eus à peine le temps de lever les bras, prêt à la retenir, qu’elle chavirait pour m’écraser de tout son poids. Retenu fermement sur un bras, j’avais réussi l’exploit de ne pas m’écrouler non plus, mais m’en trouvais vite écrasé, le nez niché tout contre son décolleté.
« Hmmmpf ! »
Se confondant en excuses, la jeune femme s’agitait inlassablement, sans me laisser une seconde pour bouger. Gigotant d’un côté, puis de l’autre, je pus la sentir remuer, passer entre mes jambes tandis qu’elle tentait de prendre appui sur l’une d’elles.
Le visage blotti entre ses seins, je n’osais même plus faire le moindre mouvement, de peur de la gêner davantage. Le contact d’un peu de sa peau, comme celui de ces petites billes roses contre mes lèvres me firent comprendre aisément qu’elle ne portait absolument rien sous cet énorme bustier. Gigantesques et… si lourds, si doux et chauds, ses seins étaient… -devaient être- incroyablement beaux. Un bonnet F ? Au moins. Peut-être plus ?
M’arquant vers l’arrière pour me dégager de son buste, aussi confortable soit-il, je reprenais mon souffle, rouge et confus que j’étais.
Sa main vint se poser sur mon autre cuisse et, rapidement encore, j’en vins à rougir davantage, levant les yeux pour tenter d’accéder aux siens, au-delà de ce dantesque décolleté.
Je sentis comme sa main se baladait, d’avant en arrière, tout contre l’énorme hampe qu’elle avait pu trouver reposant contre ma cuisse et, la sentant faire ainsi, je ne pus me résoudre à croire qu’elle n’avait aucune idée de ce qu’elle était en train de faire. Sa main montait, descendait et malaxait comme s’il s’agissait là de préliminaires cachés… Il était impossible qu’elle ne sache pas qu’elle tenait ma bite entre ses doigts.
Sa robe ayant légèrement remonté dans sa chute, je pus entrevoir ses cuisses, le début de contour de l’une de ses fesses, qui ondulait contre ma jambe alors qu’elle se tortillait… la ficelle d’un dessous très, très léger, marquant sa hanche découverte.
« Hum… At-attendez. Pas là… »
Ma main libre se posant sur la sienne, je l’attrapais et la déplaçais jusqu’au sol, entre les brins d’herbe.
Si je pouvais comprendre qu’elle soit laissée aller, sans doute surprise, je préférais éviter tout malentendu qui soit, mais restais prêt à lui venir en aide.
Me reculant assez pour enfin pouvoir la voir, je la regardais de longues secondes, le souffle déjà court.
« Ça va ? »
Me penchant d’un côté pour voir cette fameuse cheville endolorie, près de sa cuisse nue, j’observais ce pied qu’elle laissait reposer contre ma jambe, tentant de faire au mieux pour ne pas regarder comme d’ici, son string dessinait le galbe d’un fessier énorme et sacrément rebondi.
« Vous voulez que je regarde ? »