Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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A little bit of lust [PV Akita Celebrindal]

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Automne Maleki

Humain(e)

A little bit of lust [PV Akita Celebrindal]

jeudi 26 mai 2022, 21:33:44

Habiter dans une grande ville apporte des avantages que la campagne ne possède pas. Prenez par exemple l’activité. Si vous êtes amateur de moutons ou de vaches, le quotidien dans un village vous conviendra, mais ne comptez pas vous rendre à la dernière exposition en vogue à pied. Ne parlons pas des séances cinéma, des après-midi shopping ou des concerts. Le problème s’accentue encore plus la nuit. Oh, dans votre petite bourgade de 500 habitants, vous serez tranquille, c’est certain. Mais ce qu’Automne a toujours aimé, c’est la vie, l’effervescence. Ainsi, il était minuit passé cette nuit-là lorsqu’elle poussa la porte de la salle de fitness la plus proche après avoir fait biper sa carte dans le lecteur. Dieu bénisse l’automatisation. A l’intérieur, seuls une poignée d’acharnés soulevait des poids, poussait des leviers et gonflait les muscles. A l’arrivée de la punk, tous les regards se tournèrent vers elle. Ce n’était pas pour lui déplaire : être le centre de l’attention est parfois agréable.

Casque sur les oreilles, musique à fond, enfermée dans sa bulle, elle enchaîna les exercices et les répétitions, perdant toute notion du temps, focalisée sur l’effort et la douleur, cette délicieuse douleur qu’elle avait accepté et apprivoisé pour en faire l’une de ses compagnes les plus fidèles et appréciables. Inconsciente de son environnement, elle ne s’extirpa de sa forteresse mentale qu’une fois qu’elle avait atteint ses objectifs pourtant très élevés. Un bref coup d’œil à l’horloge lui fit comprendre qu’elle venait de se torturer pendant quasiment trois heures. Elle ne put s’empêcher de lâcher un petit rire satisfait, que personne ne pouvait de toute façon entendre : les derniers sportifs avaient quitté le navire depuis déjà bien longtemps. Seule dans ce paradis pour masochistes dans son genre, elle épongea sa nuque avant d’aller admirer le fruit de son dur labeur dans l’immense miroir recouvrant le fond de la salle. Il y avait peut-être un petit (non) côté narcissique à faire ça, mais il s’agissait là de son plaisir coupable. Elle ne le faisait que quand elle était seule. Après tout, un petit boost de confiance en soi, ça ne se refuse pas.

Et après l’effort, le réconfort. Automne prit tout son temps pour rassembler ses affaires et les ranger dans un casier qu’elle ne prit pas la peine de fermer à clé. Tout ce qu’elle emporta fut une serviette propre, du gel douche qui sent la pomme et du shampoing. Elle poussa le vice jusqu’à se dévêtir devant les casiers, et si quelqu’un passait dans la rue – ce qui n’arrive jamais à cette heure avancée – il aurait eu une vue imprenable sur ce petit corps musclé. Avoir les douches communes pour elle seule était inédit. C’était trop d’espace pour pas grand-chose. Elle tourna le petit robinet, qui cracha un jet d’eau froide sous pression qui martela sa peau brûlante. Le choc thermique fit se dresser tous les poils de son corps, mais le jet ne tarda pas à se réchauffer. Quel plaisir intense, une bonne douche après le sport, surtout seule. Mais l’était-elle réellement ?

Akita Celebrindal

Créature

Re : A little bit of lust [PV Akita Celebrindal]

Réponse 1 jeudi 26 mai 2022, 23:35:57

Cette ville était grande, comme une forêt sinistre et puante. Mais Akita commence à s’habituer à l’environnement. La nuit, elle peut se déplacer sans attirer l’attention. Le jour est beaucoup plus compliqué à gérer pour elle. Car sa seule silhouette ne peut plus faire illusion, elle doit adapter de nouvelles stratégies si elle veut se déplacer le jour. Soit la dame-plante prend l’apparence d’une plante, d’une fleur ou d’un arbre et peut passer totalement inaperçue, mais elle doit reste totalement immobile, suivre les mouvements du vent et ne peut pas se déplacer, quelque soit les circonstances. Mais, depuis peu, Akita a appris une nouvelle compétence. Celle de prendre l’apparence d’êtres de chair qu’elle croise. Ce n’est pas forcément si facile, cela demande un effort certain, surtout au niveau des couleurs de la peau, pour être le moins visible possible. Mais désormais, elle peut se déplacer avec un minimum de risques, tant qu’elle se conduit comme eux.

La nuit est tombée et la rareté des personnes lui permettent de mieux se déplacer. Mais le manque d’eau commence à se faire sentir. Cependant elle sent la présence de l’eau, non loin. Elle s’approche du bâtiment, mais celui-ci ne ressemble pas à un bâtiment qui pourra contenir de l’eau, pourtant elle se glisse à l’intérieur. Assez facilement d’ailleurs, personne ne semble être présent. La femme-plante reste, quand même, sur ses gardes. Une fois à l’intérieur, elle perçoit le bruit de l’eau. Ses pas la rapprochent de la pièce d’où provient et ses yeux voient alors un endroit blanc, au plancher, aux mur et au plafond de pierre lisse. Une personne, une humaine se trouve à l’intérieur. Mais elle lui tourne le dos et est trop absorbée par ce qu’elle fait pour s’occuper d’elle.

Akita se place sous la douche et prend la forme d’une femme bien plus grande que celle présente, à la poitrine bien plus voluptueuse avec de petits piercings aux tétons et au nombril, à la chevelure blonde plus grande, aux muscles plus prononcés, le corps marqué de motifs pour faire penser à des tatouages. C’est sous cette forme qu’Akita s’étire sous l’eau bienfaisante.


"-Aaaaaaaaaaaaaaaaaah ! Ça fait du bien !"

Automne Maleki

Humain(e)

Re : A little bit of lust [PV Akita Celebrindal]

Réponse 2 vendredi 27 mai 2022, 16:50:37

La solitude, c’est agréable, oh que oui. Surtout quand on se douche. Bien plus agréable en tout cas que quand on est entouré de dizaines de personnes qui empiètent sur notre espace vital, parlent trop fort, sentent trop fort, bougent trop fort. Et Automne en profitait bien, de cette solitude. Elle chantonnait se savonnant de son gel douche à la pomme, tournait, moussait, gloussait, ce qu’elle ne pouvait pas faire lorsque la salle est bondée. Sauf que…

"-Aaaaaaaaaaaaaaaaaah ! Ça fait du bien !"

La punk lâcha un cri de terreur et de surprise qui semblait venir du plus profond de son âme, sursauta et manqua de se casser la gueule à terre, ne devant sa survie qu’à la barre à laquelle elle se rattrapa in extremis. Depuis quand cette inconnue l’avait-elle rejointe ? Et comment était-elle arrivée là ? Peut-être qu’Automne n’avait juste pas fait attention ? C’était sans doute ça, oui. Persuadée d’être seule, elle n’avait pas imaginé un seul instant qu’une autre personne puisse se trouver dans la salle. Elle devait jusqu’alors se trouver aux toilettes, ou à une machine bien cachée, elle n’en savait rien.

« D-désolée, je m’attendais pas à voir quelqu’un arriver ! »

Maintenant qu’elle s’était (un peu) calmée et que son rythme cardiaque était repassé sous les 200 battements par minute, elle pouvait observer un peu mieux la belle plante qui se trouvait sous ses yeux. Et dire d’elle qu’elle était belle ne lui rendait absolument pas justice. Jamais créature n’avait été aussi parfaitement proportionnée. Plutôt grande, fine, musculeuse, avec des seins à tomber et un fessier à se damner, elle se payait en plus le luxe d’arborer un visage sans aucun défaut et une sublime chevelure blonde. Quelques tatouages aux motifs étranges marbraient son corps de rêve, avec une étrange homogénéité. L’ensemble était absolument parfait, presque...artificiel ? Comme si une créature aussi superbe ne pouvait pas être humaine.

La polonaise reprit sa toilette, sans pour autant quitter la blonde des yeux. Elle en était tout simplement incapable, comme hypnotisée par sa beauté et sa grâce. La créature se délectait de l’eau qui s’écrasait sur sa peau, comme si elle...l’absorbait ? Non, impossible. Elle devait se faire des films. En glissant ses mains entre ses cuisses pour se savonner, elle se rendit compte que l’humidité qui s’y trouvait n’était pas due qu’à la douche. La simple vision de cette créature l’excitait. Sans qu’elle ne puisse réellement se contrôler, son index et son majeur se glissèrent entre ses lèvres, et elle lâcha un petit gémissement.


« Oups... »

Akita Celebrindal

Créature

Re : A little bit of lust [PV Akita Celebrindal]

Réponse 3 vendredi 27 mai 2022, 18:15:44

L’eau était un peu chaude pour être absorbée par le corps de la dame-plante, mais elle saurait s’en contenter. Sa peau végétale ne s’était pas desséchée sous le soleil, il faut cependant qu’elle puisse s’hydrater. L’eau de cet endroit n’était pas pure et était déminéralisée. Mais elle trouvait les minéraux dans le sol et son corps peut filtrer les produits toxiques que les humains mettent dans l’eau pour la purifier, selon leurs termes. Ces êtres de chairs ne sauront jamais apprécier l’eau que fournit la nature à sa juste valeur. Akita n’avait pas imaginé l’effet que ferait son intrusion dans cet endroit sur la personne qui s’y trouvait déjà. Ce n’était pas la première fois, qu’elle surprenait des gens. Mais avec cette intensité, cela n’était jamais arrivé. A sa remarque, la nouvelle venue se fend d’un large sourire.

"-Désolée, je ne m’attendais pas non plus à faire autant d’effet. Je ne voulais faire peur à personne."

La femme-plante repris sa pause pour apprécier l’eau. Ses mains derrière sa nuque, le corps étiré. Elle se sent observé, elle se sait observé. Son corps est couvert de couleur et tout autre couleur que le vert lui permet de capter la lumière. Cette dernière traverse sa peau végétal et est ainsi capté par les cellules qui lui permettent d’observer son environnement. Ainsi elle perçoit sa voisine avec plus de détails que cette dernière. Elle peut percevoir son corps avec une myriade de détails et de nuances. C’est ainsi qu’Akita peut voir qu’elle fait un tout autre type d’effet sur la jeune femme. Cette dernière semble médusée par le seul fait de la regarder. La dame-plante curieuse se tourne alors dans sa direction. Elle pose une main sur la surface lisse du mur et se poste très près, tout près de la jeune femme.

"Akita fait toujours de l’effet visiblement."

Son corps est vraiment très près, il effleure celui de sa voisine. Sa poitrine est à la hauteur du visage de l’humaine. Un doigt soulève légèrement un anneau glissant au travers d’un téton. Ses lèvres s’approchent de celles de la jeune femme. Elles descend dans son cou, au-dessus de sa poitrine, sur le téton dont l’anneau est prisonnier de son doigt, son ventre, son nombril et observe un instant son intimité assaillie par des doigts intrusifs. Elle se redresse alors, tenant toujours l’anneau dans son doigt.

"Se caresser sous la douche devant Akita. Comme des désirs à assouvir ?"

Ce que la dame-plante ignorait. C’est que ses phéromones agissaient naturellement, à ce moment-là. Et malgré l’eau qui tombait, une partie d’entre eux se mêlaient à l’eau et atteignaient sa voisine. Certes de manière diluée, mais ils font quand même un certains effets à la jeune humaine.

Automne Maleki

Humain(e)

Re : A little bit of lust [PV Akita Celebrindal]

Réponse 4 vendredi 27 mai 2022, 19:57:58

La chaleur commençait à se faire écrasante, étouffante. Ce n’était pas tant la moiteur des douches qui en était la cause principal, car elle émanait de son corps, d’elle-même. Automne brûlait d’envie et de désir. Bien que l’inconnue lui tournait le dos, elle avait l’impression qu’elle la regardait, comme si un sixième sens l’habitait. Et elle jouait de ses charmes, s’étirant et se tournant, massant sa voluptueuse poitrine à l’apparence si ferme et délicieuse, se sachant épiée, ou plutôt admirée. Une odeur douce flottait dans l’air, comme une brise printanière, qui s’échappe après la pluie en vous caressant les narines de sa délicatesse. Une fragrance naturelle qui la prenait au corps, dont elle voulait se gorger, dans laquelle elle voulait se draper et se noyer, qui la réchauffait encore un peu plus et la poussait à se plonger dans l’amour et la tendresse.

La polonaise ne put stopper ses masturbations lorsque l’étrangère se tourna vers elle et s’approcha. Les effluves avaient redoublé d’intensité, se faisant plus sucrées, plus fruitées, et surtout bien plus puissantes. Nul doute qu’elles émanaient d’elle. Un fugace contact entre leurs corps lui donna la chair de poule, désireuse qu’elle était d’enlaçades et de caresses. La différence de taille entre les deux femmes la mettait en position parfaite pour admirer son opulente poitrine, mais elle n’eut pas le temps de poser ses lèvres sur l’un des mamelons qui lui était offerts que c’était un visage qui se trouvait à porter. D’un doigt expert, la déesse tira sur l’anneau qui traversait l’un de ses tétons, lui arrachant un long soupir d’aise qui se prolongea quand la bouche téméraire commença sa lente exploration.


« J’ai chaud...Akita me donne chaud... »

Elle avait l’impression de perdre la tête, ne pensant qu’à cette Akita qui se trouvait devant elle et à ce qu’elles pourraient faire durant les prochaines heures. Incapable de réfléchir correctement, elle plongeait à corps perdu dans le désir qui la brûlait toujours plus. Cette fois, elle ne laisserait pas passer sa chance. Elle glissa sa main libre dans la chevelure de la créature et se rua sur ses lèvres lorsqu’elles furent à portée. Un baiser. Cela faisait trop longtemps qu’elle n’en avait ni offert ni reçu. Avaient-t-ils tous été si délicieux ? Dans ses souvenirs, ils étaient certes agréables, mais pas à ce point. Sa langue s’enroula avec celle de sa nouvelle partenaire, goûtant sa saveur acidulée, se régalant de la souplesse et de l’agilité de cette dernière. Après quelques secondes bien trop courtes pour elle, Akita s’éloigna de quelques centimètres, laissant Automne la dévorer du regard.

« Qui es-tu, Akita ? »

Ce n’était pas une simple femme comme les autres, elle en avait la certitude. Quelle créature se cachait donc sous cette divine plastique ? Tous les voyants étaient au rouge, son instinct lui criait de prendre gare, mais son corps n’écoutait pas, son esprit était embrumé. Sa main se posa sur sa poitrine qu’elle caressa, ce sein si rond, si gros, si ferme qu’il en paraissait irréel, ce mamelon durci par le désir, cette peau trop douce et trop lisse pour être vraie, mais si belle et si agréable qu’elle mourrait d’envie de la lécher. Elle ne se fit pas prier d’ailleurs, sa langue venant d’abord effleurer le dessous de son sein avant de remonter jusqu’à son téton qu’elle titilla de la pointe.

« Quelle créature es-tu… ? »

Akita Celebrindal

Créature

Re : A little bit of lust [PV Akita Celebrindal]

Réponse 5 vendredi 27 mai 2022, 21:39:41

"-Akita donne chaud ? Mmmmmmmmmh !"

La dame-plante n’eut guère le temps de finir sa phrase, que la jeune femme lui donne un baiser passionnée. Plaquant ses lèvres sur les siennes en pressant sa nuque au milieu de son opulente chevelure blonde, la langue humaine danse sur celle de la créature végétale. Akita se laisse faire, savourant étrangement ce geste qu’elle ne comprend guère. Mais avec un contact aussi direct, l’humaine s’expose aux phéromones de la manière la plus intense qui soit. Sa langue, plus souple, joue avec l’humaine. Mais elle se recule, avant que sa véritable nature soit éventée. Elle ne pouvait pas répondre à sa question, tout simplement parce qu’elle ne se pose pas et qui n’a aucun sens pour elle.

La femme-plante mime un frisson en sentant la main caressant un de ses voluptueux seins. Un nouveau frisson est mimé lorsqu’elle sent la langue vient caresser son sein et caresser doucement son téton. Akita ôte sa ma main du mur et la glisse derrière la nuque de la jeune femme pour l’inciter à aller plus loin sur son sein. Puis elle glisse le long de sa nuque, sur ses hanches, ses fesses. Les jambes de l’humaine sont écartées et la dame-plante attrape la main humaine pour la glisser entre ses propres cuisses. Son intimité végétale produit alors sa propre substance pour rendre son intimité aussi humide qu’elle puisse l’être. La main de la femme végétale prend place entre les cuisses humaines, sur son intimité. Deux doigt se glissent, sans peine, dans le sexe féminin, ces doigts, plus agiles que n’importe quels doigts humains, remuent lentement dans le vagin. Deux autres doigts caressent les lèvres intimes de la vulve. Le pouce s’amuse avec le clitoris de la jeune femme. Elle tire un peu plus sur le piercing, jouant avec.

"Akita donne chaud alors Akita va s’occuper de ça, d’abord. Ensuite Akita dira tout, si tu acceptes tout ce que donnera Akita."

Les doigts s’affairant sur l’intimité remuent avec un peu plus de vigueur. Sa main alterne entre les deux téton percés ne voulant en négliger aucun des deux. Puis, vient caresser et masser les fesses de son amant, se hasardant même à passer un doigt entre elle, avant de reprendre ses assauts sur la poitrine. Celle d’Akita se presse un peu plus contre la jeune humaine.

Automne Maleki

Humain(e)

Re : A little bit of lust [PV Akita Celebrindal]

Réponse 6 vendredi 27 mai 2022, 22:23:36

L’eau avait cessé de couler, les enceintes de la salle adjacente de grésiller. Les seuls sons audibles étaient ceux crées par la jouissance des deux amantes. A vrai dire, seule Automne était réellement bruyante. Elle soupirait, soufflait, gémissait sans retenue, à chaque nouvelle douceur que la créature lui offrait. Sur sa langue courait encore la saveur délicieuse qu’elle avait récolté lors de leur baiser, une saveur qui refusait de partir à son plus grand bonheur. Ses sens étaient en exergue, et Akita savait les flatter, tous les cinq. La langue de l’humaine continuait à lécher le sein qui lui était offert, avant que ce ne soit sa bouche qui s’en occupe, pressée par sa partenaire. Elle embrassait, suçait, mordillait cette poitrine ferme qui en redemandait encore et encore. Le contact de ses doigts avec l’intimité de la créature la fit mordre plus fortement sa chair. Ses doigts écartèrent ses lèvres qui s’ouvrirent presque mécaniquement, caressèrent ses parois, glissant dans cette antre chaude, humide et sans doute délicieuse.

Elle-même n’était pas en reste, chouchoutée par son amante nocturne. Ses doigts fins s’occupaient de sa vulve avec maestria, deux qui remuaient, tortillaient, se tordaient comme si ils n’avaient ni os ni articulations, deux autres qui lui caressaient les lèvres et les écartaient adroitement, et le pouce qui jouait avec son clitoris et le bijou qui l’ornait. Jamais partenaire ne s’était aussi bien occupé d’elle : en réalité, aucun humain normalement constitué ne pouvait réaliser de telles prouesses. Qu’importe la race de cette créature, ses talents avaient conquis son cœur et son corps, la faisant plonger à corps perdu dans la luxure.


« Oh oui, Akita peut tout donner à Automne, Automne sera heureuse ! »

En réaction aux caresses qu’elle offrait à sa croupe, la punk la remua, la laissant écarter sa raie comme pour l’inciter à se hasarder un peu plus loin, ce qu’elle ne fit malheureusement pas. Désormais, les deux femmes étaient collées l’une à l’autre, se masturbant mutuellement dans une chaleur torride. Sa main libre, celle qui n’était pas occupée à doigter, claqua les fesses d’Akita avant de les griffer tendrement. Le contact était différent, mais pas désagréable, avec une souplesse et une fermeté inhabituelle, comme si rien ne pouvait réellement abîmer cette peau et ce corps bénis des dieux.

Prise d’un élan de témérité, Automne repoussa sa compagne contre le mur, s’accroupit avant d’enfouir son visage entre ses cuisses. L’odeur ici y était incroyable, encore plus puissante qu’auprès de sa bouche, à la fois sucrée, fruitée et chargée de phéromones. Complètement envoûtée par ceux-ci, elle embrassa la chatte qui lui était offerte, une fois, deux fois, cinq fois, avant d’enfoncer sa langue entre ses lèvres pour récolter sa sève délicieuse. Son pouce pressait son clitoris, le titillait du bout des ongles, et ses autres doigts s’occupaient de griffer délicatement son bas-ventre. Elle ne se privait pas de lâcher gémissements et soupirs entre deux léchouilles bruyantes.


« Akita est délicieuse...Automne en veut encore plus... »

Akita Celebrindal

Créature

Re : A little bit of lust [PV Akita Celebrindal]

Réponse 7 samedi 28 mai 2022, 16:09:00

Les doigts végétaux sentent la chaleur intense de l’intimité humain, sa chaleur et son humidité débordante. Ils en parcourent les moindres parcelles, comme pour en garder la mémoire pour une autre visite. Tout comme le pouce qui caresse l’entièreté du clitoris. Sa voluptueuse poitrine caressant celle de l’humaine plus menue. Cette dernière devait être d’ailleurs déçue qu’Akita ne s’occupe de son postérieure, mais ce n’était que partie remise. Elle avait tout son temps pour en disposer et n’allait pas se priver de le faire. Les claques et les griffures sur les fesses végétales ne laissent aucun doute sur la passion qui anime désormais le corps de l’amante humaine. Désormais sous l’influence des phéromones, elle ne se contrôle presque plus. La femme-plante n’y peut rien, mais cela lève le peu de scrupules qu’elle a sur ce qu’elle fera à Automne. Surtout qu’en plus de lui donner son nom, cette dernière lui donne une autorisation totale sur son corps, sans savoir la réelle nature de son être.

Mais Automne semble gourmande, très gourmande. Son amante végétale la voit se jeté, comme affamée sur son entrejambe. Ses lèvres embrassent à plusieurs reprises l’intimité d’Akita, ce qui fait couiner de plaisir la dame-plante. Elle pousse un petit cri en sentant la langue pénétrer son sexe et gémit de plaisir sous les assauts de la langue et les caresses sur son clitoris. Les jambes s’écartent autant qu’elles peuvent pour donner toute liberté à cette assaut gourmand. Ses doigts glissent dans les cheveux, les caressent et les tirent parfois. Un doigt vient même jouer avec un des piercing sur les tétons de l’humaine. Au bout d’un long moment, une main plaque la tête d’Automne entre les cuisses et son amante jouir, répandant sa sève dans la bouche de celle qui la butine comme un papillon affamé. Lui en offrant même plus qu’une humaine normale pourrait lui donner.

Après s’être assurée que l’humaine a bien savouré toute la sève offerte, Akita l’allonge et vient l’embrasser aussi fougueusement qu’elle l’a fait au début de leur étreinte. Les lèvres descendent sur le cou, la naissance de la poitrine, sur les tétons, jouant de sa langue avec les piercing, glissent sur le ventre et chatouille le nombril, embrassent le pubis et souffle sur le clitoris. La dame-plante observe un instant le sexe qui s’offre à elle, avant de plaquer sur les lèvres sur les lèvres intimes. Sa langue se glisse alors dans le vagin brûlant et humide, traversant les chairs intimes et atteignant l’entrée de son utérus. Elle remue avec vigueur, caressant la moindre parcelle, absorbant le jus intime sans laisser la moindre goutte lui échapper. Pendant que sa langue s’amuse, ses lèvres viennent aspirer le clitoris et jouer avec le piercing qui l’orne. Ses mains écartent les fesses musclées d’Automne, un doigt vient titiller son œillet brun, avant de de le perforer, se glissant alors profondément dans sa raie. Remuant dans cet orifice obscur aussi vigoureusement que la langue et les lèvres sur le sexe. Un autre doigt vient alors le rejoint, s’immisçant, à son tour, dans les profondeurs de sa croupe. La femme végétale ne laisse aucun répit à son amante, jouant de sa main avec l’un de ses tétons percé et l’anneau qui l’orne. Elle attend l’inévitable orgasme d’Automne. Et vient alors savoure le jus intime de l’humaine, fruit de sa jouissance.

Une fois rassasiée, elle ne lui laisse pas un instant de répit. Ses doigts se retirent lentement de ses fesses. Et son corps s’allonge sur le sien, sa voluptueuse poitrine se colle à la sienne, ses mains emprisonnent ses poignets. Son bas-ventre remue, sa vulve vient caresser le pubis et le sexe, les souillant de sa sève. Son bassin remue et elle vient embrasser délicatement la jeune humaine sur les lèvres.

"Akita va tout donner à Automne. Ne faire qu’un avec elle."

Alors que son bassin ondule avec douceur, un membre long et ferme commence à pousser entre ses jambes. Recouvert de sève, il n’a aucun mal à se glisser dans l’intimité d’Automne. Dans un bruit de succions assez pervers et sous les gémissements de plaisir de la femme-plante, le phallus progresse. Se frayant un chemin dans les chairs intimes, il prend plus de volume et finit par atteindre le fond de son vagin, l’entrée de son utérus. Akita écarte et relève les cuisses d’Automne pour mieux la pénétrer. Elle commence de lents, mais puissants mouvements de va et vient, caressant vigoureusement de son membre l’intimité de son amante. Sa poitrine caresse alors celle de l’humaine dans un mouvement de plus en plus rapide. Son bassin ondule de plus en plus fort. Le membre glisse de plus en plus puissamment dans les chairs intimes, butant contre l’extrémité du vagin.

"Akita... Han ! Han ! Han ! Han ! Han ! Aime fort... Han ! Han ! Han ! Le corps d’Automne. Han ! Han ! Han !"

Au plus fort de ses mouvements, elle plaque son corps contre celui de son amante, ventre à ventre, vulve à vulve, clitoris contre clitoris, membre au plus profond de ses reins. Le phallus enfle et desserve la semence végétale, inondant l’utérus, le vagin, souillant la vulve. Akita s’était laissé allé, mais elle était ravie et ne comptait pas s’arrêter. Cette fois, Automne avait des phéromones en elle, en contact direct avec l’intérieur de son corps et pour un bon moment. La femme-plante s’extrait, à regrets, du sexe de l’humaine, lui offrant un baiser en dédommagement. Elle se couche à côté d’elle et couche son amante sur le côté. Une main lève une jambe d’Automne et le membre, après avoir rétrécit, vient se glisser entre ses fesses musclées. Son gland vient appuyer contre l’orifice étoilé.

"Akita en veut plus aussi."

Le membre finit par perforer l’orifice obscur et le bassin commence ses mouvements de va et vient dans la croupe d’Automne, les jambes de cette dernière bien écartées.

Automne Maleki

Humain(e)

Re : A little bit of lust [PV Akita Celebrindal]

Réponse 8 mercredi 22 juin 2022, 21:36:08

De léchouilles en caresses, les gémissements de l’étrange femme se faisaient de plus en plus rapprochés, de plus en plus longs, de plus en plus aigus, de plus en plus intenses. Abreuvée généreusement, la langue d’Automne continuait son œuvre, lapant sans faiblir, explorant la cavité humide, remuant énergiquement. Son amante ondulait du bassin, s’offrant peut-être inconsciemment un peu plus à la polonaise, qui n’en demandait pas tant. Quand les doigts perdus dans sa chevelure colorée renforcèrent leur emprise et plaquèrent son visage contre cette petite chatte délicieuse, elle comprit immédiatement. Il ne fallut qu’une poignée de seconde pour que se déverse à grands volumes le fruit de la jouissance d’Akita. Fruit, en effet, car c’était la première chose à laquelle le goût faisait penser. Son jus épais et sucré coulait dans sa bouche, recouvrait sa langue, flattait ses papilles, et elle n’en laissa pas échapper la moindre goutte, avalant le tout en levant le regard vers sa nouvelle amie.

« Akita est délicieuse...vraiment délicieuse ! »

Elle n’opposa aucune résistance quand celle-ci l’allongea sur le carrelage froid du vestiaire, qui lui tira quelques frissons fort agréables et l’incita à chercher encore un peu plus de chaleur contre son corps végétal. Elle l’enlaça lors du long baiser, caressa sa chevelure lorsqu’elle entama sa descente ponctuée de quelques soupirs et gémissements, se tendit lorsque son bouton de plaisir se fit taquiner, plaqua le visage d’Akita contre son intimité lorsqu’elle commença à la lécher. Humaine, elle ne l’était décidément pas. Quelle personne normalement constituée pouvait avoir une langue si longue qu’elle venait explorer l’intégralité de sa caverne ? A cette pensée, elle aurait habituellement paniqué, et aurait repoussé violemment l’assaillante. Mais dans ce vestiaire public, à pouvoir se faire surprendre en pleins ébats par n’importe qui, en compagnie d’une créature dont elle ne connaissait ni la nature ni les réelles intentions, elle ne pouvait que s’adonner à la luxure. Un doigt enfoncé sans délicatesse entre ses fesses lui arracha un petit cri, mélange de surprise et de plaisir, rejoint sans tarder par son homologue qui eut le même effet. Quelques secondes plus tard, son corps, comme traversé par une décharge électrique, se raidit, et offrit son jus à la bouche gourmande de son amante, avant de s’écrouler, comme vidé de toute énergie.

Elle n’eut pas le temps de chercher la chaleur et la tendresse de son amie, qui colla son corps aux formes voluptueuses à celui, menu et musclé, de la punk. De quoi avait-elle envie, actuellement ? De repos, peut-être un peu. De tendresse, un peu plus. De se faire baiser encore et encore par Akita, surtout ! Comme si son vœu avait été entendu et exaucé, elle sentit une pression familière entre ses lèvres intimes. Un doigt ? Impossible, ce qui écartait sa vulve était bien trop gros pour cela. Il ne lui fallut pas longtemps pour comprendre qu’il s’agissait d’un phallus, que la créature ne possédait pas quelques secondes auparavant. Étrange pouvoir que celui de se faire pousser une verge, mais elle n’allait pas s’en plaindre, elle qui aimait tant se faire prendre !


« Oh...Ah...Akita est bien...haaa...très bien montée ! »

Et savait très bien s’en servir. Alors qu’elle sentait le membre gonfler dans sa chatte, atteignant des dimensions humainement impossibles, les coups de reins de la femme-plante redoublèrent d’intensité, ne lui laissant aucun répit. Automne gémissait, couinait, jamais personne ne l’avait baisée aussi fort, ni aussi bien !

« Et Automne...haaaaa...adooooore...mmmmh...la bite d’Akita ! »

Ses ongles griffaient la peau étrange de sa partenaire, labourant son dos sans même s’en rendre compte, ses lèvres se plaquaient contre leurs homologues, sa langue dansait avec sa jumelle, elle raffolait de sa salive délicieuse, aussi sucrée que le reste de ses fluides, bourrée de phéromones, qui inondait sa bouche jusqu’à couler de la commissure de ses lèvres. Plus bas, le membre continuait encore de gonfler, se rapprochant plus de l’équidé que de l’Homme lambda, et commençait à pulser,  d’abord doucement, puis de plus en plus rapidement et puissamment.

« Remplis-moi, Akita ! »

Immédiatement, celle-ci obéit, déversant sa semence brûlante et épaisse au plus profond d’une Automne qui sentit presque son ventre se gonfler, tant l’éjaculation était généreuse. Le faux sperme abondait, dégoulinant de ses lèvres intimes malgré la présence de l’énorme membre entre celles-ci. Et lorsqu’il se retira, elle put sentir l’air s’engouffrer dans sa chatte restée grande ouverte, malmenée par la taille et la brutalité de son amante. N’importe quelle femme aurait supplié pour arrêter là, mais pas la jeune sportive. Les muscles dessinés sous sa peau pâle, tendus par l’effort continuel, elle avait enfin trouvé une utilité à toutes ces années d’exercice intensif et à ce corps d’athlète. Son endurance était loin d’être consommée, de nombreuses heures de sexe les attendaient encore. Elle écarta volontiers la jambe lorsqu’elle y fut invitée, et gloussa lorsqu’elle sentit le gland presser contre son œillet.

« Akita va m’enculer ? Oh oui ! »

Sa queue avait bien rétréci en volume, ce qui, certes, la déçut quelque peu, elle qui adorait la brutalité, la violence et la douleur, mais c’était peut-être mieux pour sa survie. Son postérieur ondula, et elle s’empala d’elle-même sur le membre bien lubrifié d’Akita, qui lui dilata l’anus sans effort. Quand la totalité de la verge fut engloutie, elle écarta encore les jambes jusqu’à un grand écart parfait, face contre terre, offrant totalement son cul à sa partenaire.

« Est-ce que les partenaires d’Akita savent faire ça, d’habitude ? »

Akita Celebrindal

Créature

Re : A little bit of lust [PV Akita Celebrindal]

Réponse 9 lundi 10 octobre 2022, 17:41:35

Le membre se dilate lentement atteignant la largeur et la longueur maximales qu’Automne peut supporter sans lui causer des blessures. Les hanches de la femme-plante commence à faire alors de lents mouvements. La position d’Automne est parfaite pour que la dame-plante la pénètre de manière idéale. Mais elle fait quand même attention à ne pas trop la forcer. Même habituée à ce genre de pratiques, l’humaine aurait du mal à contenir toute l’ardeur de son amante végétale. Et puis, elle veut prendre son temps, apprécié longuement cette pénétration.

"-Akita ne savait pas les humains si souples."

Une des mains végétales claque légèrement le fessier musclé de la jeune femme. Le souvenir du goût pour la fessée de ces êtres de chair s’appelant humains est resté présent dans l’esprit de l’être végétal. Ce dernier claque donc le postérieur sur un rythme irrégulier, alors qu’elle continue cette pénétration anale sur un rythme toujours aussi lent. Elle apprécie cette pénétration dans cet orifice aux parois si étroites. Des soupirs de plaisir émanant d’Akita se font entendre et son membre enfle et s’allonge légèrement.

Malgré la position très acrobatique de son amante, la verte amante arrive à cambrer le haut de son corps pour l’appuyer sur celui d’Automne. Sa voluptueuse poitrine vient s’écraser contre son dos, ses tétons viennent caresser le dos dans un lent mouvement de haut en bas. Ses mains viennent tirer sur les tétons de la jeune humaine, tirant sur ses piercing. Son clitoris est lui aussi caresser, ainsi que le piercing de celui-ci.

Afin de donner plus de plaisir à l’humaine Automne, son amante végétale fait pénétrer plusieurs membres dans le vagin accueillant. L’un d’entre eux, long et fin vient titiller l’entre de l’utérus. Un autre, plus large, caresse les parois vaginales de ses protubérances. Un autre vibre légèrement. Cette dizaine de membres différents font des mouvements de va et vient, vont à des vitesses et des rythmes différents et irréguliers. Mais tous les membres, incluant celui dans les fesses d’Automne, viennent appuyer sur la vessie de cette dernière. Des vrilles viennent caresser les lèvres intimes et une vient même titiller l’urètre, afin d’aider Automne à se soulager si l’envie lui en prenait.

Les mouvements de va et vient sont de plus en fermes, de plus en plus intenses. La pression en son membre est telle qu’il s’élargit en dilatant au maximum l’œillet brun de la sportive  humaine. Akita finit par jouir dans un râle rauque. Sa semence se répand. Elle inonde les fesses de son amante, aussi loin qu’elle peut, autant qu’elle le peut. L’utérus est lui aussi emplie par l’épais liquide de plaisir. Mais autant de membres, libérant autant de semence ne saurait s’en contenter. La semence de l’être végétal fait enfler l’utérus et le venter de la sportive, il déborde son vagin et s’écoule sur ses lèvres intimes, le long de ses cuisses, jusqu’à former une flaque au sol. Malgré l’abondance du fluide végétale et la fatigue que lui engendre un tel débordement de plaisir, la femme-plante continue l’étreinte, soutenue par l’atmosphère humide du lieu. Après un long moment et après avoir répandu son liquide de plaisir, la voluptueuse femme-plante retire, lentement, un à un, ses membres du corps de son amante humaine, laissant leurs fluides mêlés s’échapper, mais retenant l’humaine.


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