Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Dessins. À ne plus savoir qu’en faire, sinon aiguiser ma plume (PV Natsumi)

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Bando

Humain(e)

Un ancien hangar, rénové pour devenir une sorte de cabinet d’artiste, fleuri de partout, couvert de plantes grimpantes ça et là. Un coin boudoir, quelques sofas disposés à quelques endroits de l’immense pièce si lumineuse tant elle comptait de fenêtres en hauteur, sans vis-à-vis... Un chevalet, quelques toiles, des carnets à croquis dans tous les coins, de la peinture à ne plus savoir qu’en faire... Voilà un lieu peu commun qui raviraient certains. Il n’y avait pas de doute à avoir, nous étions bien dans les quartiers un peu chics de la ville.

Que foutais-je là, au beau milieu de la matinée ? Je vous le donne en mille... et sans attendre : bientôt devait démarrer la publication de mon dernier recueil en date... et quel recueil ! Pour cette fois, je n’étais pas passé par mon éditeur habituel, mais plutôt par un tiers, plus enclin à publier quelques-uns de ces textes qu’on qualifiera de plus « osés ». Ouais. Ok, ce n’était pas le premier recueil de nouvelles érotiques que je publiais, mais... je ne sais pas, peut-être que celui-ci m’était plus personnel, puisque ponctué de poèmes et d’anecdotes tirées de mes propres expériences auprès de la gente féminine. Jamais je n’y faisais mention de mon nom, mais j’y contais toutefois tout un paquet de rencontres et de situations, les quelques rêves et fantasmes, les poésies que toutes celles-ci m’avaient inspiré.

Alors voilà. Mon nom est quelque peu connu maintenant mais, pour vendre davantage de ce genre de recueils, était venue à l’idée de ce nouvel éditeur de l’agrémenter d’un « petit quelque chose en plus ». Voilà l’idée : à l’image d’un carnet de voyage, chacune, ou presque, de ces nouvelles, se verrait être accompagnée d’une esquisse, d’un croquis évocateur, censé renforcer davantage l’idée d’érotisme qui se dégagerait de mon manuscrit à venir. Pas forcément contre l’idée, mais tout de même un peu curieux, j’avais quand même obtenu de l’éditeur en question d’avoir un droit de regard quant aux croquis qui seraient publiés. Certains de mes textes étaient assez évocateurs, mais d’autres étaient plus... subtils, et j’en avais fini par craindre que les mots puissent perdre de leur pouvoir d’évocation. Voilà donc la raison de ma présence ici, vous le comprendrez.

Ne désirant pas gêner le travail de l’illustratrice mise sur le coup, je m’étais fait attendre et ne m’étais décidé à venir qu’en milieu de matinée, alors que le travail serait déjà bien entamé. Je n’avais eu de détails sur rien, si ce n’est que je retrouverai mon illustratrice habituelle, que je ne manquais pas de saluer en entrant et que, celle dont l’on croquerait les formes aujourd’hui, serait tellement connue du public que les ventes de mon livre pourraient bien exploser... C’est que cet éditeur n’avait pas froid aux yeux, à m’avancer des trucs pareils.

Qu’importe, je m’étais donc pointé bien tranquillement et, sans un mot, après avoir croisée ma chère amie dessinatrice, m’étais installé dans un petit coin de l’immense pièce, dans un sofa confortable. La modèle n’était pas là. Peut-être étais-je arrivée sur son temps de pause. Ou bien était-elle en train d’enfiler quelque chose... ou de se dévêtir... je n’avais même pas posé la question. En attendant, je me remettais à feuilleter mon manuscrit. Qui sait, s’il me venait d’autres idées, peut-être pourrais-je convaincre mon éditeur d’ajouter quelques pages au livret...

La journée s’annonçant plutôt calme, je me détendais donc. Vêtu d’une simple chemise et d’un pantalon clair, bien cintré, comme d’habitude, on y voyait bien que je n’étais pas là pour un gala.

Natsumi Ishikawa

Humain(e)

Depuis quelques années maintenant, elle était assailli de projet qui la faisait sortir du film pour adulte, évidemment il était toujours question qu’elle joue de ses atouts et qu’elle finisse nue à un moment donné mais ce n’était pas pour performer et aujourd’hui elle était dans un hangar transformé en atelier d’artiste pour un de ses projets qu’elle avait trouvé plutôt intéressant. Un écrivain devait sortir un recueil de texte érotique et son éditeur voulait que des croquis viennent illustrer certains pages et il avait voulu que ce soit elle qui vienne poser pour cela. Elle était bien plus habitué à poser pour des photographes mais ce ne devait pas être si différent pour une illustratrice.

Après trois heures, elle demanda à faire une petite pause pour boire quelque chose et un assistant avait eu la bonne idée de l’accompagner comme son poste d’assistant le demandait mais bien évidemment tout ne s’était pas passer comme prévu. Elle avait voulu lui monter dessus mais l’homme avait réussit à résister à la belle à laquelle il aurait cédé s’il n’était pas en plein travail, elle n’en resta tout de même pas là et le laissa se convaincre qu’elle avait bien le temps de lui sucer la queue et il eu le droit à la meilleure fellation de sa vie. La pause dura pour une simple envie de boire un verre d’eau mais Natsumi revint là où elle devait poser comme si rien ne s’était passé et se remit totalement nue pour la prochaine pose.

Elle remarqua une nouvelle personne dans un coin qui avait du arriver pendant sa petite pause et elle lui fit un signe de la main pour lui dire bonjour alors qu’elle recevait les instruction de la dessinatrice sur comment elle devait se positionner pour la suite.

Bando

Humain(e)

Je dus me perdre quelques minutes dans mes pensées, à relire mes notes ça et là, mais ce ne dut pas être si long je pense, tant, bien vite, je fus tiré de mes songes au bruit très léger de ces talons qui, plus loin, heurtaient en douceur le parquet.

Même depuis l’autre bout de l’immense studio, je n’eus aucun mal à distinguer toute la grâce qui se dégageait de la belle asiatique qui s’avançait promptement, laissant au passage tomber son doux peignoir de soie pour se trouver, aussi vite qu’elle était arrivée, entièrement nue, prête à reprendre la pose sur le sofa que lui désignait l’illustratrice. La tête levée de mon bouquin, j’observais discrètement et silencieusement, tandis que, bien obéissante qu’elle était, la voilà qui prenait une pose des plus lascives, étendue de tout son long sur le divan, ses longues et fines jambes tenues bien hautes, ses talons aiguilles toujours aux pieds.

Aussi loin que je pouvais être, je ne pu bien sûr aucunement manquer un certain... détail, qui attisait bien ma curiosité, sinon plus. Déjà lorsque son peignoir l’avait quitté pour découvrir ses courbes avais-je pu remarquer, le souffle coupé, l’étonnant volume de sa somptueuse poitrine qui pointait fièrement vers l’avant. Une taille de bonnet comme on n’en voit que peu... Pour l’amateur de grosses poitrines que j’étais, il n’en fallait pas plus pour attirer ne serait-ce qu’un peu mon attention. M’apercevant dans le même temps qu’elle prenait la pose indiquée, la jeune femme me gratifia d’un petit salut de la main, auquel je répondis d’un simple mais fin sourire, accompagné d’un petit signe de tête.

Me levant alors, je me décidais à m’approcher de la scène, me postant un instant aux côtés de l’illustratrice pour détailler ces quelques traits qu’elle captait du bout de son crayon. Mon regard fit dès lors quelques allers retours entre la toile et son modèle, avant que je finisse par me concentrer que sur cette dernière, dont les voluptueuses courbes n’avaient évidemment de cesse d’attirer mes yeux curieux.

Tirant à moi un petit fauteuil, je me posais, proche de ma collègue, mais un peu plus encore de la jeune femme, croisant les jambes pour masquer ce qui, si je restais bien trop longtemps ainsi, risquerait également d’attirer l’œil. Même si je ne pouvais dire que l’excitation me gagnait, il restait tout de même clair que choisir un pantalon aussi cintré aujourd’hui n’était pas un choix des plus judicieux quand, même au repos, celui-ci venait me dessiner comme un troisième avant-bras, courant de mon aine, presque jusqu’à mon genou gauche. Tenant à rester discret, mais observateur, sans pour autant me faire remarquer plus qu’il ne le fallait, je tentais donc de retourner à ma lecture, mes yeux oscillant entre quelques-uns de ces traits de crayons, quelques lignes de mes propres textes... puis, venaient se perdre furtivement à tracer le contour épais de cette poitrine somptueuse et dressée, à quelques mètres de moi, à peine.

De nouveau, je fus sortis de mes pensées, par l’illustratrice cette fois, lorsqu’elle en vint à me demander mon avis sur son croquis, que je validais d’un petit signe de tête approbateur. Il fallait l’avouer, elle savait tirer tout le... sexy, de la chose, toute sa beauté et sa sensualité. C’était évocateur, mais poétique à la fois. Parfait. S’approchant un peu plus de moi, elle glissait à mon intention une photocopie de l’un de mes poèmes.

« Hmm, je n’suis pas experte, mais... dans celui-là, le sous-texte j’veux dire... tu parles de fellation, ou c’est moi ? »

J’esquissais un nouveau petit sourire à ces mots, lui répondant par l’affirmative.

« C’est ça. Tu vois, t’es pas si mauvaise en poésie. »

« Ok, hum... eh bien, on passe à celui-ci. Natsumi ? C’était parfait. Pour le suivant... j’aurais besoin que tu te mettes à genoux, les mains... pleines, la bouche grande ouverte, langue sortie. Tu vois le tableau ? »

D’un petit raclement de gorge, je n’faisais semblant de rien et m’en retournais vite à mes lectures.


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