Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Les mercredis après-midi (PV Nadia)

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Bando

Humain(e)

Les mercredis après-midi (PV Nadia)

mercredi 15 décembre 2021, 13:58:35

Ces derniers temps, je n’suis plus si seul.
Nan, ça doit faire quoi, un mois ? Deux mois ? Ouais, un truc comme ça. Deux mois que mes nouveaux voisins ont emménagés dans la petite maison mitoyenne à la mienne et, pour ainsi dire, tout roule. Enfin je crois. Une jeune mère célibataire, à peine plus âgée que moi et sur laquelle j’ai peut-être des vues... et son fils. Il doit avoir 17 ou 18 ans, j’suis pas sûr d’avoir vraiment prêté attention quand sa mère m’en parlait, la première fois qu’elle est venue se présenter au pas de ma porte. Disons que mes pensées devaient être ailleurs.

Toujours est-il que, allez savoir pourquoi, j’avais très vite fini par céder et avais accepté de jouer les chaperons. C’était pas l’mauvais gars mais... sa mère semblait penser qu’il avait besoin de passer un peu de temps auprès d’autres hommes, histoire d’avoir une figure paternelle... je suppose. Sachant que j’avais dans l’idée de me faire bien voir par la maman... voilà, j’avais dit oui. J’avais dit oui et depuis, il ne se passait plus un jour ou presque sans qu’il ne vienne troubler mon habituelle quiétude. Il n’était pas méchant. Un peu... timide, un peu trop d’ailleurs, il avait découvert ma bibliothèque, mes livres -ceux que j’écris- et avait depuis décidé d’élire domicile pas loin de mon bureau, au moins chaque mercredi après les cours. Il potassait mes notes, mes recueils, mes romans, mais s’était surtout trouvé attiré par mes derniers en date. Ceux qui parlaient de cul. Illustrés et tout. Bah tiens, venant d’la part d’un ado, le contraire m’aurait étonné. Il lisait, lisait et relisait encore avant de me poser question sur question, espérant trouver auprès de moi le... coach, qu’il lui fallait. Vierge, il l’était... et allez savoir pourquoi, il comptait sur moi pour l’amener sur la voie du changement. Ben voyons.

Il me parlait de cette fille qui lui plaisait au lycée, qu’il ne savait pas comment aborder. Il s’emballait parfois en détails, me rabâchant sans cesse comme elle était « bonne » et comme il aimerait que sa première fois se fasse avec une telle créature de rêve. Il prenait dans mes carnets à croquis pour demander avis et conseils sur certaines positions, me faisant hausser les yeux à répétition alors qu’il se complaisait à décrire comment il aimerait la prendre, quel que soit l’heure et l’endroit. C’était amusant, en un sens. Mais ça avait aussi son côté bizarre. Quoiqu’il en soit, ça m’occupait un peu et... ça faisait une présence.

Voilà cependant quelques jours que je ne l’avais pas vu. Il devait sauter le pas et déclarer sa flamme, l’inviter à sortir au moins, comme je le lui avais conseillé. J’ignorais donc si ça avait marché... mais bon. Soit. Nous voilà de nouveau mercredi et, s’il est occupé, ou démoralisé comme jamais, il y a des chances pour que je puisse passer l’après-midi tranquille cette fois. Pas de questions à tout bout de champ, juste un peu de calme.

Il est 14h et je sors en vitesse de chez ma voisine, me rhabillant en hâte alors que son fils est supposé revenir des cours. Oui, après quelques semaines de flirts, des services rendus ça et là, accompagnés d’invitations à prendre un café à toute heure, j’avais enfin conclu. Un thé au beau milieu de la matinée puis... je ne vous fais pas un dessin.

Bref. Je rentre en vitesse et retourne à mes occupations, affalé au beau milieu de mon bureau à griffonner quelques trucs qui me trottent en tête depuis ce matin. Je souris bêtement et redessine de mémoire le magnifique postérieur de la jolie maman, sans oublier ce petit grain de beauté que je marque d’un point... hop.

Presque 15h. On frappe à la porte et mes rêveries s’interrompent d’un coup d’un seul.

« Deux secondes, j’arrive. »

Je soupire puis me lève pour aller ouvrir. Il est là, à la porte. Et vous savez quoi ? Il n’est pas seul.

« Hum... euh. Salut, entre, entre. »

Je me recule un peu en ouvrant grand la porte, sans prêter trop attention dans un premier temps, me redirigeant vers le salon.
« Modifié: mardi 21 décembre 2021, 14:49:42 par Bando »

Nadia Oyama

E.S.P.er

Re : Les mercredis après-midi (PV Nadia)

Réponse 1 mardi 21 décembre 2021, 12:19:57

Ce n’était pas son premier petit ami, elle en avait eu un certain nombre mais cela finissait toujours pareil, les garçons se fichaient bien d’elle et voulait juste la sauter, il n’y avait pas vraiment besoin d’aller jusqu’à être son petit ami pour le faire. Mais elle avait tout de même accepté, de toute façon ce n’était pas comme si elle était amoureuse, quand on avait son pouvoir c’était difficile d’être exclusive et même si parfois on abusait d’elle, souvent c’était elle qui avait envie de sexe. On ne pouvait pas dire qu’elle était très fidèle car si parfois son pouvoir se déclenchais sans qu’elle le veuille, quand elle voulait s’amuser avec un garçon elle le déclenchait d’elle-même pour faciliter le rapprochement, sans compter les fois où son corps suffisait à convaincre les hommes de lui offrir leur sucette.

Ce mercredi après-midi son copain l’avait amené chez son voisin, à ce qu’il parait il passait beaucoup de temps chez lui pour lire, la lecture ce n’était pas franchement son truc et elle ne comprenait pas l’intérêt qu’elle vienne avait lui pour ça. Ils auraient pu passer l’après-midi ensemble mais puisqu’elle avait accepté de l’accompagner, la voila qui se retrouvait là. Il ne l’avait prévenu de se programme que lorsqu’elle l’avait retrouvé alors elle avait malgré tout une tenue très aguichante, ses gros seins débordait d’un top trop serré et sa mini-jupe dévoilait ses fesses à chaque mouvement, une tenue de parfaite salope qu’elle avait mise pour exciter son copain à la base.

Elle était de fait assez gênée de se montrer dans cet accoutrement chez quelqu’un, elle était une fille facile mais ce n’était pas pour autant qu’elle portait ce genre d’habit couramment. En arrivant, elle salua le voisin avant qu’il ne les laisse entrer :

« Bonjour, monsieur. »

A peine entrée que son copain se dirigea directement vers son endroit de lecture et elle le suivit, elle essaya de prendre un livre mais cela la saoula au bout de seulement deux pages, trouvant plus amusant à faire. Regardant que le voisin ne soit pas à portée de vue, elle se glissa sous le bureau pour sucer la queue de son petit ami pendant sa lecture, ça au moins elle savait le faire et elle le faisait bien mais à peine avait-il lâcher la sauce une fois qu’il s’était ramolli instantanément, la frustrant un peu. S’essuyant la bouche, elle décida d’aller faire un tour dans la maison, c’était toujours plus amusant que de lire même des livres de culs.

Bando

Humain(e)

Re : Les mercredis après-midi (PV Nadia)

Réponse 2 mardi 21 décembre 2021, 14:48:53

À peine les deux jeunes gens entrés, je regagnais mon salon pour me remettre au travail. J’avais ressorti quelques bouquins et laissaient les deux tourtereaux à leur exploration. Après tout, lui commençait à avoir l’habitude, il connaissait la maison. Ainsi ça ne manqua pas, aussitôt arrivé, le voilà parti en direction de la bibliothèque, attirant sa jeune amie avec lui.

Quelque part, je souriais intérieurement, content pour lui que le plan que nous avions élaboré ensemble ait fonctionné. Avec de la chance, il ne resterait plus puceau très longtemps. M’enfin, je devais l’admettre, pour un premier rendez-vous, je l’aurais cru plus imaginatif... Allez savoir ce qu’il avait en tête. À peine s’était-il trouvé une copine qu’il la ramenait chez moi au lieu de tenter quelque chose. Bon, en même temps, je comprenais qu’avec sa mère à la maison, il avait dû penser que ce ne serait pas pour tout de suite.

Bref. Histoire de les laisser un peu tous les deux, je décidais de travailler depuis mon salon exclusivement, bien que ce ne soit pas des plus pratiques.
Si peu pratique d’ailleurs qu’il ne me fallut pas plus d’une dizaine de minutes pour pester, constatant qu’il me manquait deux ou trois livres qui auraient pu m’être plus utiles encore.

« Bon ben, les amis... »

Me relevant, je prenais la direction de la bibliothèque, me disant que je n’allais faire que passer et qu’aussitôt je repartirai, que tous les deux puissent discuter. Eh bien... autant vous dire que je me retins vite d’entrer. À peine à quelques mètres de la porte, je reconnaissais bien vite ces quelques bruits qui venaient chatouiller mon oreille. De petits gémissements, étrangement aigus, accompagnés de délicieux, langoureux et pleins de salive bruits de succion. Je reconnaissais même à ces bruits un certain savoir-faire, pour ne rien vous cacher. C’était bien assez bruyant pour que j’imagine que mon jeune poulain avait affaire à un véritable aspirateur...

Bingo. L’oeil glissé dans l’encadrement de la porte, je les prenaient sur le fait. Lui assis à mon bureau, les fesses à l’air dans mon fauteuil de cuir, à se faire reluire la bite pour la toute première fois, par sa jeune compagne dont je devinais la chevelure en ces rapides mouvements de va-et-vient qu’elle faisait de la tête.

Toutefois, je me retirais rapidement, mon sourire s’affaissant vite. Raah quel sale petit con ! Je lui ouvre ma porte et lui ne trouve rien d’autre à faire que de baiser sur mes affaires ? Bon, cela dit... c’est pas comme si j’allais faire grand-chose. Je n’pouvais pas lui reprocher ça quand, le matin même, je m’étais envoyé sa mère jusque dans sa chambre... Fair-play.

Vite fait bien fait, je fais demi-tour en soufflant. Je monte à l’étage et vais jusqu’à ma chambre, sortant mon téléphone pour envoyer quelques petits messages alors que me vient une petite idée. Puisque lui ne se gênait pas, alors moi non plus, j’allais pas m’priver ! Quelques petits messages à la maman chéri du jeune homme et me voilà à déboutonner mon pantalon face à l’immense miroir qui trônait derrière mon lit.

J’ouvrais juste ma braguette et en sortait mon sexe, encore au repos. Je sortais bien le tout, jusqu’à ce que vienne pendre entre mes cuisses cette troisième jambe, molle mais épaisse, sur pas moins de 25cm.
Portable en main, je prenais quelques clichés salaces, que j’envoyais aussitôt à la maman de notre jeune ami, histoire de relancer la machine, alors qu’elle me répondait déjà ô comme je lui manquais.

Debout face à la glace, j’écris un nouveau message, un sourire se dessinant sur mes lèvres.

Nadia Oyama

E.S.P.er

Re : Les mercredis après-midi (PV Nadia)

Réponse 3 mardi 21 décembre 2021, 15:45:55

Les livres n’étaient clairement pas quelque chose qui l’excitait et même si elle avait passé quelque minute à sucer son copain, l’excitation venait surtout du fait d’essayer de ne pas se faire voir que du lieu en lui-même. Et puis comment être rassasié alors qu’il avait gicler si vite, elle ne savait pas qu’il était encore puceau, il parlait tellement de cul qu’elle ne l’avait même pas pensé et elle s’était retrouvée à avaler seulement quelque minute après avoir commencer à le pomper. Elle l’avait laissé à sa lecture, elle aurait aimé aller plus loin mais l’endroit ne lui disait pas mais après avoir commencé, elle avait terriblement envie de continuer. Elle était programmée pour faire la totale quand elle commençait et il fallait un membre puissant pour tenir tous les assauts de la jeune lycéenne mais déjà professionnelle qu’elle était.

Elle marchait donc dans la maison pour visiter les lieux, elle évitait de trop toucher à ce qu’il y avait sur les meubles pour ne pas les déranger. Le rez-de-chaussée était désert, le voisin était peut-être parti, ça l’étonnerait qu’il les laisse les deux seuls chez lui-même si son copain avait l’habitude de venir, il avait dû monter à l’étage, elle avait vu un escalier. Continuant son exploration, elle monta justement les escaliers pour voir ce qu’il y avait à l’étage, après être passé devant quelque pièces, elle se retrouva face à la chambre du propriétaire des lieux, la porte était ouverte et elle le surprit en train de se prendre en photo le sexe à l’air devant le miroir, même les vieux semblaient donc envoyer des sexto et des dickpics. Il ne semblait pas l’avoir remarqué mais elle le regardait bien et était un peu étonner de son engin, elle aimait les grosses queues et elle en avait une devant elle et ça lui donnait des envies.

Elle entra dans la chambre pour s’approcher :

« Elle est sacrément grosse ! Je peux goûter ? »

Ca avait le mérite d’être clair, ce n’était pas la plus grosse qu’elle avait vu mais elle avait envie de la toucher maintenant. Après la frustration de la pipe express, elle avait faim.

Bando

Humain(e)

Re : Les mercredis après-midi (PV Nadia)

Réponse 4 mardi 21 décembre 2021, 16:55:21

Bien trop occupé à prendre mon sexe en photo sous tous les angles pour allécher la jeune maman de mon voisin, bien occupé lui aussi, là en bas, je ne m’étais rendu compte de rien.
Comme le parquet, les escaliers grinçaient et pourtant, rien. J’étais bien trop perdu dans mes pensées et ne m’étais pas douté un seul instant qu’un de mes convives serait monté me rejoindre... En même temps, vu comment je les avaient laissés, qui aurait pu deviner ?

Même pas une annonce discrète, même pas un raclement de gorge... la phrase qui retentit dans ma chambre, des plus surprenantes, me pris d’abord par la surprise, me faisant sursauter. J’en lâchais mon téléphone qui retombait aussitôt au sol, passant, sans que je le remarque, un appel à mon dernier contact, à savoir, mon jeune voisin retenu en bas par ma bibliothèque. Celui-ci ne répondant pas, voilà qu’il aura sans doute une petite surprise quand il en viendra à écouter sa messagerie... enfin... ça se pourrait.

Les yeux écarquillés, j’apercevais vite la jeune femme dans le reflet du miroir. Je me retournais tout aussi subitement vers elle, les mains plaquées sur ma queue. Bien évidemment, ce n’étaient pas deux mains qui allaient suffire à cacher tout ça.

« Oh putain ! »

La surprise passée, j’en gardais toutefois le souffle court, et reprenait rapidement mon calme. Après tout, vu la situation, la discrétion semblait de mise. Qu’est-ce qu’elle foutait là ? Elle était sérieuse ?

Alors que je la regarde s’avancer, je me recule lentement. Merde. Je n’y avais pas prêté attention lorsque les deux jeunes gens étaient arrivés mais... wouaw, je ne m’y attendais pas. Je comprenais maintenant en regardant la jeune femme pourquoi mon petit puceau de voisin s’était entiché de cette fille. J’ignore ce qu’elle avait en tête aujourd’hui -peut-être pas, en fait-, mais elle s’était sacrément apprêtée...
La dévisageant vite et sans la moindre discrétion, je regardais comme le petit courant d’air à l’étage soulevait sa toute petite jupe, comme ses énormes seins semblaient vouloir s’évader de leur prison... Elle faisait quoi, un bonnet E ? F ? Autant vous avouer ma faiblesse face à de tels arguments. Les grosses poitrines avaient toujours eues cet effet sur moi. J’y peux rien !

Remontant bien vite à ses yeux, je reculais encore, très lentement.

« Hum... quoi ? J-je... j’suis pas sûr que ce soit une bonne idée. Tu vois... »

Des yeux, je lui indiquait l’étage inférieur, pour mentionner son tout nouveau petit-ami, qu’elle pompait goulûment il n’y a même pas dix minutes. À ce propos... ils avaient déjà fini ?
La matant sans honte, je finissais par décroiser les mains. Elle avait déjà tout vu de toutes façon puis, j’avouais que l’idée de me faire mater n’était pas pour me déplaire. Je repensais alors aux bruits que faisaient sa bouche, me laissant envahir par l’idée que passer à côté d’une telle expertise serait pure folie... Raaaah, merde alors ! Je pouvais pas faire ça au gamin... déjà que depuis c’matin, la relation entre sa mère et moi avait... « évoluée », j’allais pas non plus me taper sa meuf, si ? Réfléchissant, je lâchais un petit souffle.

« Euh... Ok, hum. Je... tu es... arf. Comment dire. Ça... ça me plairait beaucoup, mais j’peux pas lui faire ça. Ce serait pas bien. »

Ne sachant plus trop où me mettre, perdu entre une excitation soudaine et tout le recul que je pouvais prendre sur la situation, voilà que je me mordais les lèvres, mes yeux retournant plonger droit dans son profond décolleté.

« Juste une pipe. »

Me disant très vite que si elle était montée, c’est qu’elle n’avait pas été satisfaite là en bas, je repris vite.

« Les préliminaires. Si... si on fait pas de bruit, ok. Mais pas plus loin... pas tant qu’il est là en tout cas. »

Soutenant son regard un court instant, je finis par prendre place sur le lit.

« Ferme la porte. »

Nadia Oyama

E.S.P.er

Re : Les mercredis après-midi (PV Nadia)

Réponse 5 mardi 21 décembre 2021, 22:37:11

Bien qu'il puisse le sembler son acte n'était pas prémédité, elle était juste monter à l'étage pour voir ce qu'il y avait et non pas pour se retrouver avec le maître des lieux.

Cependant, il fallait avouer qu'avec une sexualité comme la sienne alternant entre viol, prostitution et envie coquines plusieurs fois par semaine, il lui était difficile de vraiment différencier ce qu'il était bien de faire ou pas. Son petit ami était allé bien trop vite et maintenant qu'elle avait commencé elle avait envie d'aller au bout. Elle était une insatiable de sexe et à force de le faire plusieurs fois par jour, elle était programmer pour ça.

Elle regardait donc le propriétaire des lieux et surtout son membre avec envie. Lui semblait hésiter mais il l'a matait sans aucune gêne et il finit par céder. Une pipe et les préliminaires, elle n'allait sûrement pas s'arrêter là. Elle ferma la porte en haussant les épaules comme il lui avait demandé puis de glissa à quatre pattes sur le lit. Dans cette position sa poitrine pendait malgré son top et on pouvait voir à quel point elle était massive, deux énormes et lourds seins qui déformaient un peu sa petite silhouette mais qui ne laissait jamais indifférent.

Elle pris son sexe en main et le branla un peu pour le tendre même s'il l'était déjà bien. Elle approcha ensuite sa tête du gland et l'enveloppa de ses lèvres avant de le prendre en bouche de ton son long comme si de rien était et elle commença à le pomper goulument.

Bando

Humain(e)

Re : Les mercredis après-midi (PV Nadia)

Réponse 6 mardi 21 décembre 2021, 23:13:45

C’était du jamais vu. Une situation des plus imprévues... et des plus surprenantes.
Sans dire un mot, la jeune fille s’était contentée d’un petit haussement d’épaules en guise d’acquiescement et s’était avancée vers moi. Pas un mot, pas un seul. Pas une explication, rien. Elle ne rétorquait pas, ne disait rien, ne faisant que fixer ma bite qui balançait de droite à gauche entre mes cuisses, comme pour me faire comprendre que rien d’autre ne l’intéressait. Pas moi, nan... c’était bien la seule vue de ce chibre épais qui la mettait en appétit. Bon, après tout... soit. Je n’avais rien contre une petite fellation l’après-midi, en matant une énorme paire de seins se balançant avec toute l’indécence du monde.

Me reculant encore un peu, j’avais fini par m’asseoir au bord du lit et la jeune fille, dont je ne connaissais pas encore le nom, ne s’était pas faite attendre pour m’y rejoindre. Sensuellement, la voilà qui grimpe tout contre moi, à quatre pattes, m’offrant dès lors une vue imprenable sur ses gros seins que j’entrapercevais plus tôt. De quoi commencer à me faire durcir doucement. Tout doucement.

Ma queue était encore molle, bien loin d’être raide encore, mais la jolie demoiselle me fait rapidement comprendre qu’elle n’a pas de temps, juste très faim. Toujours sans un mot, elle m’attrape entre ses doigts pour me gratifier d’une merveilleuse branlette bien comme il faut, s’activant pour que je me dresse devant elle au plus vite.

Et pourtant elle n’attend pas. Mon chibre n’est toujours pas enflé de sang qu’elle ouvre grand la bouche pour coller mon gland bien au chaud tout contre sa langue, me tirant au passage un énorme soupir de satisfaction.
Et, sans crier gare, elle avance, avance et avance encore, glissant ma bite toute entière dans sa bouche d’un seul coup. Certes je suis encore au repos et bien loin du plein volume... mais je devais bien admettre que c’était là une impressionnante performance.

« Ouh... oooooooh. »

Ça commence. Je sens déjà sa salive partout sur mon sexe, désormais lubrifié à souhait, et la voilà maintenant qui s’y met sans peine et à grands bruits. Dès lors ma bite gonfle vitesse grand V. Mon sang ne fait qu’un tour et ma queue s’allonge, enfle et palpite pour presque doubler, tripler de volume... Des 25cm, j’approche désormais les 40, dressé fièrement en un arc de cercle pointant vers le haut. Mes veines pulsent jusqu’à ce que les doigts de la belle ne suffisent plus à m’entourer, mon gland luisant prenant la taille de poing, si gros qu’il en deviendra bien vite difficile de l’extirper de sa bouche qui se déforme sous mon érection...

Couvrant ma bouche pour ne pas faire trop de bruit, je me courbe un peu vers l’avant. Posant un doigt sur le tissu fortement tendu de son haut, je tire doucement pour dégager sa poitrine, la découvrir dans sa dernière prison affriolante, son soutien-gorge. Je la mate bien, tant qu’elle m’est bien offerte, à quatre pattes, constatant comme sa petite jupe est remontée et comme j’ai une vue parfaite sur son cul.

« Oh oui. Comme ça. Là, juste là, comme ça. »

Alors qu’elle déniche un autre de mes points sensible, je glisse une main dans ses cheveux avant de les attraper en queue de cheval.

Nadia Oyama

E.S.P.er

Re : Les mercredis après-midi (PV Nadia)

Réponse 7 mardi 21 décembre 2021, 23:59:22

Elle ne savait pas combien de queues étaient passées dans sa bouche, il y en avait tellement eu qu'elle avait perdu le compte depuis longtemps mais il y en avait bien eu plusieurs centaines. Certains jour elle avait enchaîner jusqu'à cinq rapports avec des hommes différents sans compter les fois où elle s'occupait de plusieurs mâles à la fois, le nombre montait donc assez vite. Son pouvoir l'avait certes mis dans de mauvaises situations très souvent mais elle était tout de même une sacrée avaleuse de sabre sans lui.

La queue qu'elle avait en bouche était énorme mais elle n'en faisait tout de même qu'une bouchée comme une simple sucette. Sa langue s'agitait autour de ce pieu de chair continuant de le lubrifier alors que ses aller et venu dessus la faisait le prendre en gorge profonde. Cela semblait si facile pour elle que s'en était déconcertant.

A ce moment, elle se fichait bien de qui elle suçait, elle le faisait et c'est tout. Elle n'avait pas besoin de parler, les bruits qu'elle faisait étaient suffisant pour comprendre qu'elle était dans son élément. Au moment où il posa sa main dans se ses cheveux, elle compris ce qu'il voulait faire mais elle connaissait bien mieux. Elle se redressa alors :

"Attends, j'ai mieux."

Elle en profita pour se déshabiller et alla se coucher sur le lit en laissant pendre la tête en arrière du bord et ouvrir grand la bouche :

"Vas y baise moi la bouche."

C'était bien plus amusant que de se faire relever et baisser la tête sur une bite et les garçons avec qui elle l'avait déjà fait étaient d'accord que ça donnait bien plus de sensations.

Bando

Humain(e)

Re : Les mercredis après-midi (PV Nadia)

Réponse 8 mercredi 22 décembre 2021, 00:34:09

Notre petite pause coquine ne commençait qu’à peine et pourtant, la jeune fille ne cessait de m’impressionner, autant par ses prouesses et son talent que par le plaisir qu’elle me donnait... plaisir qui n’en finissait pas de monter en flèche à chaque nouveau bruit de succion, marquant de façon si sonore chaque nouveau centimètre qu’elle avalait goulûment.

Elle n’en finissait pas de me pomper, de me lécher la queue telle une machine avide de traire jusqu’à la moindre goutte de ma semence. J’avais l’impression d’être dévoré tout entier, ainsi pris en gorge profonde. C’était brûlant, doux... mon sexe était déjà trempé de sa salive qui débordait en se mêlant à mes fluides. Toujours plus vite, toujours plus profond. Hmmm... j’avoue ne pas regretter un seul instant d’avoir cédé, lorsqu’elle m’avait demandé si elle pouvait la goûter.

Toutefois, ce n’était pas assez. Les choses allaient s’accélérer, je ne le savais que trop bien, mais là encore, je ne pensais pas que cela serait allé aussi vite.

M’arrêtant net, elle me repousse et se relève pour se foutre à poil, sans faire durer l’instant. J’y comprends là encore qu’elle n’a aucune volonté de me plaire, seulement celle d’avoir ma bite pour elle. Le souffle court, je déglutis en la regardant, en voyant ses énormes seins, si lourds, retomber quand elle se défait de ses derniers vêtements. J’admire son corps tout entier, ses hanches, ses cuisses... sa petite chatte que j’ai désormais face à moi. Oh putain... mais dans quoi me suis-je encore fourré ?
Je me mords les lèvres en la matant, me promettant que si nous arrivions à faire partir son copain pour quelques heures, alors je la baiserai autant qu’elle le voudrait, comme elle le voudra.

Rapidement, elle s’allonge et je me lève en comprenant son manège.
Au bord du lit, j’écarte doucement les jambes et fléchis les genoux pour guider mon gland jusqu’à sa bouche, dans laquelle j’entre sans mal, tant elle ouvre grand.

« Aah... mmmh oui. C’est ça. »

Et alors, d’un lent mouvement de bassin, je m’enfonce longuement dans sa bouche, caressant sa langue bien tendue à grands coups de queue. Je me penche, posant une main sur le lit, puis vient à les poser, toutes les deux, sur ses deux gros seins que j’attrape. Doucement d’abord, je les masse, les malaxe et les découvre tandis que mon bassin ne cesse aucun va-et-vient... puis je les prends en mains, glissant ses tétons entre mes doigts pour les pincer doucement. Je me penche encore et en attrape un dans ma bouche. Je commence alors à la téter langoureusement, comme un affamé, quand l’une de mes mains vient parcourir son ventre, traçant de petits cercles jusqu’à sa vulve.

J’écarte doucement ses lèvres et vient très vite insister en de petites caresses sur son petit bouton d’amour, toujours sans arrêter la moindre de mes actions. Du bassin, j’accélère doucement, quand de ma bouche, je m’occupe de ses magnifiques monts de chair que je lèche, suce et lèche encore, les mordillant affectueusement tout en cachant encore bon nombre de mes gémissements, toujours plus graves.

« Hoo. Mmmh... mmh... mooooh oui, suce-moi bien. Encore... encore... »

Finissant par délaisser son petit sexe, je reprends ses deux obus en mains pour y enfouir ma tête, dévorant ses énormes seins sans jamais m’en lasser.

Nadia Oyama

E.S.P.er

Re : Les mercredis après-midi (PV Nadia)

Réponse 9 mercredi 22 décembre 2021, 11:24:16

La séduction ne faisait pas vraiment partie de ce qu’elle savait faire, généralement son corps suffit pour convaincre les autres de se l’offrir quand ce n’est pas son pouvoir qui les y pousse en intensifiant leur attirance pour elle. En vérité, elle se fiche bien d’avec qui elle couche, cela n’a pas vraiment d’importance pour elle, parfois elle se demande si elle en tire encore du plaisir tant baiser était devenu un acte habituel et machinale pour elle. Il suffisait que la moindre envie coquine lui passe par la tête pour que tous les hommes à la ronde aient envie de la sauter et dans la grande majorité du temps c’est ce qu’il se passait qu’elle le veuille vraiment ou pas, ainsi donc l’acte en lui-même n’avait plus rien de particulier pour elle, c’était une banalité.

La première fois qu’elle avait vu cette position c’était dans un film porno, elle n’y avait jamais pensé avant mais il était vrai que la bouche était comparable à sa petite chatte et c’était un trou comme un autre alors elle pouvait se faire limer par là aussi et pas seulement se contenter de la fellation classique. Elle le laissait donc faire son affaire tout en continuant de faire valser sa langue autour de sa buche gorgée de sang, c’était bon et elle aimait ça. C’était si long que lorsqu’il entrait en entier on pouvait clairement voir la déformation de sa gorge et pourtant cela ne semblait aucunement la gêner, preuve d’une certaine maitrise de la chose, la première fois qu’elle avait pris une queue den gorge profonde elle avait vomit et c’était quelque chose de bien moins long mais maintenant cela ne lui faisait plus grand-chose, c’était juste agréable. Il ne fallait cependant espérer qu’elle dise quelque chose car quand bien même, elle gérait très bien cette intrusion en profondeur, aucun son ne pouvait passer, de toute façon c’était rare qu’elle parle pendant l’acte, elle n’était pas de ce genre à crier à chaque mouvement, se contentant de simple indication ou si on lui demandait de l’être.

Le seul point négatif de cette position c’est qu’elle ne pouvait pas faire grand-chose d’autre pendant qu’il parcourait son corps de sa bouche et ses mains, elle bougeait simplement la tête pour accompagner ses va et vient. Elle tendit cependant les mains au-dessus de sa tête pour aller attraper les bourses de son partenaire et commença à les masser et le stimuler pour qu’il finisse par gicler.

Bando

Humain(e)

Re : Les mercredis après-midi (PV Nadia)

Réponse 10 mercredi 22 décembre 2021, 16:06:26

À l’étage, tout se passait bien... et encore, le mot est faible.
J’en avais reçues des fellations, plus que je ne saurais les compter d’ailleurs, mais quand bien même, celle-ci demeurerait mémorable. Ce pompage en règle n’était pas terminé, mais je prenais un tel pied !

Prenant bien attention à ne pas faire trop de bruit, histoire de ne pas alerter le mec de cette charmante demoiselle qui s’offrait nue devant moi, je ralentissais mes assauts, me prenant au jeu de ne coulisser ma queue en sa gorge qu’en de très longs mouvements, que je puisse sentir sa langue chatouiller chaque parcelle de mon sexe.

Je bouffais ses incroyables seins avec insistance, les pressant comme pour les traire tandis que je les prenais en bouche, désormais sans délicatesse aucune. Je malaxe, pétris, lèche et baise férocement, hume son parfum sucré et me délecte de sa bouche merveilleuse. Je ne la lâche qu’un instant pour faire tomber mon pantalon à mi-cuisse et pour me sentir plus souple quand elle vient à me palper les couilles. Ses mains sont chaudes, habiles... Je relève la tête dans un profond soupir, coulissant ma queue vers l’arrière pour la sortir de ses lèvres baveuses.

« Haan... »

Relevé et debout face à elle, je me défais à mon tour de mon bas, puis de ma chemise, avant de revenir tout près. J’ouvre un petit tiroir de mon coffre de lit pour en sortir une fiole d’huile pour le corps. Doucement, je la secoue puis l’ouvre. Le bras tendu au dessus d’elle, j’en verse en grande quantité sur son ventre, sur ses seins, avant de m’en badigeonner sur le sexe.

Reprenant position, je pose ma queue sur son visage en la secouant doucement, amusé, puis je viens me pencher plus au-dessus d’elle pour étaler la lotion. Ceux-ci m’excitant bien trop, je commence bien sûr par ses lourds obus que je soupèse, avant de passer au reste. Ses épaules, ses bras, son petit ventre plat, puis l’intérieur de ses cuisses.
Finissant par monter sur le lit comme elle l’avait fait avant moi, je me place à quatre pattes au-dessus d’elle, caressant ses cuisses tout en douceur avant d’en venir à sa petite chatte que j’écarte lentement. Baissant la tête, je la sens, puis l’embrasse.

Sans un mot, je viens triturer son bouton de plaisir avant d’enfourner la pointe de ma langue en elle. Écartant ses petites lèvres pour y coller la mienne, j’entre sans mal, barbouillant le bas de mon visage de sa mouille abondante. Chaudement, je m’active pour la brouter comme il se doit, entamant de petits gestes circulaires du bout de mes doigts sur son appétissante petite chatte.

M’étant retenu comme je le pouvais jusqu’ici, pour rattraper la médiocrité de son amant précédent, je savais cependant très bien qu’après un bon quart d’heure passé dans une bouche aussi experte, je ne tarderais pas à me déverser en elle en des flots incessants de semence. Je l’espérais prête à boire la tasse...
« Modifié: jeudi 23 décembre 2021, 00:08:19 par Bando »

Nadia Oyama

E.S.P.er

Re : Les mercredis après-midi (PV Nadia)

Réponse 11 jeudi 23 décembre 2021, 11:58:29

Elle ne sentait plus que cette queue qui entrait dans sa bouche en de long va et vient pour se loger au plus profond de sa gorge, elle sentait chaque moment où cette lance de chair venait dilater son orifice buccale en le déformant, elle aimait ça et en bavait de plaisir. Elle avait grogner quand il s’était retirer un instant pour aller chercher de l’huile afin de lui en badigeonner le corps, il en mit également sur sa queue mais ce n’était pas vraiment utile tant cela glissait si bien dans sa bouche. Dès qu’il fut de nouveau à portée elle l’attrapa pour le reprendre en bouche comme pour récupérer un jouet qu’on lui aurait retirer.

Alors qu’il est penché sur elle pour avoir accès à sa petite minette pour la lécher, elle se retrouve avec son sexe bien ancré dans sa gorge, si profond que ses lèvres touches ses couilles, elle fait de long et lent cercle avec sa langue tout autour de se corps étranger alors que sa tête bouge pour faire de petit va et vient. Elle avait faim et s’amusa à presser légèrement de ses dents ce long vers qui logeait là, elle se fichait bien qu’il décide de lui gicler à l’intérieur ou de se retirer pour la recouvrir, elle aimait la sensation des deux.

Le bas de son corps quant )à lui commencer un peu à s’impatienter, il la lécher, lui mangeait la chatte et elle faisait des mouvement de bassin pour se frotter à son visage. Cependant pour lui montrer le petit trou qu’elle préférait utiliser quand elle avait à faire à de longue queue, elle essaya de faire l’acrobate pour remonter le bas du corps en se balançant pour lui montrer ses fesses. L’effort étant peu concluant, elle descendit une main pour se la poser sur une fesse et la presser en l’écartant et se titiller l’enter de l’anus du majeur, après qu’il ait lâcher la sauce, elle voulait qu’il l’encule.

Bando

Humain(e)

Re : Les mercredis après-midi (PV Nadia)

Réponse 12 jeudi 23 décembre 2021, 16:29:34

Pour mon plus grand plaisir, ma jeune inconnue ne lésinait en rien sur ses attentions à mon encontre, se montrant plus généreuse à chaque seconde pour combler mes envies. Et les siennes évidemment.
Avide, je la remarquais même agacée alors que ma bite quittait ses lèvres. Mécontente, elle grognait pour m’attraper ensuite d’une simple bouchée, bien trop impatiente de me reprendre en bouche. Ça c’était excitant. Terriblement bandant, même, de voir comme elle pourrait soulever des montagnes, ne serait-ce que pour jouer encore avec mon sexe. Je trouvais ça torride.

À mon tour je feulais, incapable de me retenir quand elle me reprenait en ses lèvres pour me bouffer la queue. Ses petites dents venaient me taquiner, me mordiller en douceur quand sa langue, elle, ne cessait de s’agiter dans un ballet indécent. Sa salive recouvrait alors jusqu’à mes bourses bien pendues, qu’elle n’oubliait bien sûr pas de pourlécher. Cette gâterie était un don du paradis, à n’en pas douter. Vingt minutes à se faire pomper ainsi, voilà une scène des plus surréalistes.

Pour mon plaisir également, je constatais, pas mécontent, que mes caresses et léchouilles incessantes ne restaient pas sans effet. Nue, écrasée sous le poids de mon corps, je la sentais se tortiller, lever son magnifique petit cul pour amener sa chatte à ma bouche, la frotter frénétiquement contre ma langue que j’agitais langoureusement, comme pour lui rendre la pareille vis-à-vis de ces caresses divines qu’elles me prodiguait.
Mais, si mon plaisir ne faisait que grimper, je constatais toutefois comme sa faim aussi, se faisant toujours plus dévorante, la tenaillant jusqu’à l’excès.

Remontant ses fesses comme elle pouvait, les prenaient en main pour les écarter sous mes yeux curieux. Sans arrêter de la dévorer pourtant, je la fixais, toujours plus excité en la voyant dessiner de petits cercles concentriques autour de son second petit trou. Comprenant bien vite son envie de jouer, je plongeais trois de mes doigts dans sa chatte pour la chatouiller quelques instants de l’intérieur. Les sortant ensuite, je dégageais sa main pour prendre sa place, enfonçant déjà mon index en elle, alors que mes lèvres lâchaient son clitoris.

« Hmm... Ici aussi ? »

Lentement, j’enfonçais ce doigt, puis mon majeur tout entier dans son cul. J’entamais alors quelques va-et-vient rapides, gardant mon pouce bien actif contre son sexe que je ne comptais pas délaisser.
Fermant les yeux, je me laissais pleinement aller, m’activant en m’oubliant, profitant bien de cette pipe magistrale dont je voyais le bout à regret. Oh j’aurais pu faire ça pendant des heures...

Finissant par me redresser d’un bond, je me retournais, les couilles posées entre ses énormes seins. Une main passant sous sa tête, l’autre soupesant ma verge sur le point d’exploser, je laissais mon gland retomber sur son menton, gémissant toujours plus, sur le point de défaillir. Sans plus tarder, j’activais ma main sur ma queue, pressant à sa base pour être sûr de me retenir jusqu’au meilleur moment.

« Oh ! Ooooh... ouvre grand... oooh »

Sa bouche ouverte comme il faut, je finis de me branler comme un forcené, jusqu’à ce que chacun de mes muscles vienne à se contracter. Je m’arque de plaisir, sans quitter des yeux son visage innocent, déformé par nos vices. Me mordant les lèvres avec force pour limiter les décibels, je me lâche enfin.

« MMMmmmMMmmh... mooh... MMMMMMHH... MMmh oh oui... oh oui... oui... oui... Mmmoh... oh putain... OOOOH »

J’explose littéralement quand un énorme jet de semence est expulsé, bien trop violent pour n’emplir que la bouche de la jeune fille. La majeure partie vient recouvrir son joli minois et c’est loin d’être terminé. Un second jet, plus violent encore, plus épais. Puis un troisième, un quatrième... Mes doigts ralentissent alors que les vannes commencent à peine à se fermer. Les derniers jets, moins puissants, finissent par se déverser à grosses gouttes dans sa bouche. Je tapote ma queue contre ses lèvres, contre sa langue envieuse.
Je gicle encore un peu, m’arquant en arrière. Je lâche sa crinière et retrouve ses deux petits trous, dans lesquels je viens renfoncer mes doigts doucement.

Le nirvâna atteint, je reprends mon souffle, apaisé. Mon sexe, toujours vif et lourd, tapote le visage de la jeune ingénue couverte de mon sperme...

« Ooh... merde. C’était... »

Lâchant enfin ma bite, bien assuré qu’elle restait dressée pour le prochain plat au menu, je retournais tripoter ses seins, pinçant délicatement l’un de ses tétons que je faisais rouler entre mes doigts habiles.

« Trouve le moyen d’dégager ton mec une heure ou deux... »

Me repositionnant, je retournais à quatre pattes pour redescendre jusqu’entre ses cuisses. Les prenant bien en mains, je les écartais en grand pour retourner coller ma langue en elle. Deux de mes doigts retourneaient astiquer son anus quelques longues secondes, avant que je ne m’arrête.

« Deux heures... ou trois... ou quatre. Je te baiserai par tous les trous, aussi longtemps que tu voudras... faut juste l’occuper un peu ailleurs. »
« Modifié: jeudi 23 décembre 2021, 16:49:50 par Bando »

Nadia Oyama

E.S.P.er

Re : Les mercredis après-midi (PV Nadia)

Réponse 13 jeudi 23 décembre 2021, 21:08:31

Une fois qu'elle avait commencé il était quasiment impossible de l'arrêter, infatigable elle vidait complètement ses partenaires. Elle était faite pour ça et elle avait accepté le fait d'être une salope comme il y en avait peu.

Quand il se retira de sa bouche pour se positionner sur elle afin de se branler avant de gicler, elle le regardait avec appétit. Elle ouvrit grand la bouche afin de récupérer une bonne partie du fluide, le reste finissant sur son visage. C'était une véritable douche et elle adorait ça, s'efforçant de ne pas avaler tout de suite. Quand il eut fini, elle se pencha vers lui la gueule grand ouverte faisant des gargarismes et se servant de sa langue pour agiter le tout, c'était plutôt dégoûtant à regarder mais elle aimait bien faire, elle avala ensuite le tout d'une traite avant de sourire, le visage dégoulinant du sperme n'ayant pas atterrit dans sa bouche. Comme si c'était un baume elle se l'étala sur le visage puis les seins.

Elle pencha la tête sur le côté d'un air interrogatif quand il lui demanda de trouver un moyen de faire partir son copain :

"Ça me dérange pas qu'il reste là moi. C'est excitant de risquer de se faire prendre."

Et puis s'il les voyait, elle ne dirait pas non à un plan à trois, deux queue juste pour elle, elle ne demandait que ça.

Elle gloussa avant de s'échapper à son partenaire et se mettre à quatre pattes au sol, les fesses tendu vers le voisin dont elle ne connaissait toujours pas le nom :

"Viens donc mettre ta queue dans mon cul et fais le fort."


C'était peut être elle qui se faisait démonter mais quand il s'agissait de sexe, elle menait malgré tout la danse. Elle commençait d'ailleurs à avancer en restant à quatre pattes pour sortir de la chambre, qui sait où elle pouvait aller s'il ne l'attrapait pas.

Bando

Humain(e)

Re : Les mercredis après-midi (PV Nadia)

Réponse 14 jeudi 23 décembre 2021, 21:56:55

Résumons rapidement. Mon jeune voisin que j’avais aidé à draguer l’élue de son coeur, en vue d’un dépucelage en règle, avait fini par toucher au but et avait attiré ladite demoiselle chez moi, qu’elle puisse découvrir un peu plus de lui et de ses passions. Après une fellation un peu trop courte et décevante, la jeune femme, sorte de beauté fatale aux arguments plus qu’imposants, s’était décidée à changer d’air un moment pour partir à l’exploration de ma maison. Me prenant en flagrant délit alors que j’envoie des dickpicks à la mère du garçon, la jeune fille me reluque et s’avance, sans honte et avec tout le sérieux du monde, pour me proposer de me prendre en bouche à mon tour...

Les choses étant ce qu’elles sont et, elle, étant surtout ce qu’elle est, je cède bien vite et accepte avec envie de lui servir de sucette, bien trop envieux à l’idée de prendre mon pied en matant cette véritable bombe.
Les minutes passent à une allure folle et les surprises ne cessent de s’enchaîner. Ses caresses, ses coups de langues et sa créativité dans de tels moments sont à tomber, dignes d’une professionnelle affamée, en mal de sensations fortes... très fortes.

Je passe pas loin d’une demi heure dans sa bouche, à me retenir de hurler comme c’est pas permis, à m’agripper à ses formes généreuses avant d’exploser dans un orgasme dévastateur, mais qui ne me fait pas faiblir pour autant, tant tout en elle m’excite.

Après une expérience pareille, comment pourrais-je imaginer la laisser repartir comme ça, sans la baiser des heures durant ? Bien sûr que j’en crève d’envie. J’ai pas envie de m’retenir, de laisser passer une telle occasion, de manquer un tel moment. Je veux la prendre sans retenue, sauvagement, déglinguer mon lit en la tringlant si fort... je veux qu’elle hurle, l’entendre jouir directement au creux de mon oreille, que mon sexe touche chaque parcelle de sa peau, lime chacun de ses trous tour à tour, jouir en elle autant de fois qu’il me sera possible de le faire...

Cependant, si j’avais oublié toute morale quant au garçon et, même si l’idée de me faire prendre m’excitait un peu aussi, l’idée de ne pas la labourer en y allant à fond me contrariait. J’avais vraiment envie de l’entendre.

Alors qu’elle m’échappait en gloussant, traînant ses seins sur le sol en se baladant à quatre pattes, toute taquine qu’elle était, je ne pouvais m’empêcher de serrer les poings, crispé à l’idée de la laisser partir. Elle me menait vraiment par la queue... c’était excitant oui... mais j’avais encore un peu de contrôle à exercer. Après tout, c’est elle qui me tendait son cul, toute soumise et envieuse. Je n’allais pas faire comme si je n’avais rien vu.

Debout, marchant derrière elle pour aller à sa rencontre, je la rattrapais bien vite. Posant mes grandes mains sur son cul, je l’attirais à moi.
Posant un genou à terre, je fais battre ma bite sur son arrière-train comme s’il s’agissait d’un tambour tout tendu et rebondi. Elle est si bonne... il n’y a rien que je puisse faire d’autre que partir à l’assaut, hein ?
Serrant son cul entre mes doigts pour la toute première fois, je le malaxe, profite de cette vue complètement bandante, frottant mon torse brûlant contre son dos.

« Tu veux qu’il sache que j’te baise, hein ? »

Queue en main, je coulissais lentement entre ses cuisses, mon gland tapant contre ses seins. Frottant doucement son petit sexe trempé, je vais et je viens longuement pour la faire languir toujours plus, agrippant son cul avec force pour qu’elle ne reparte pas.

Après tout, même si ce n’était pas optimal, la plupart des pièces de la maison avaient été insonorisées, de sorte à ce que je puisse travailler partout dans le calme. Peut-être cela ne suffirait-il pas, mais au moins pourrais-je m’en donner à coeur joie.

« Dis-le. »

Ramonant toujours dans le vide, je murmurais chaudement à son oreille, palpant ses fesses avec envie.

« J’veux qu’tu continues à m’parler comme ça... te faire hurler. »

Je me recule alors, mon gland posté aux portes de sa chatte trempée. Je remue et enduit mon gros bout de viande de sa mouille, le faisant luire à la lumière du jour. Mes mains écartent toutefois ces fesses auxquelles je me cramponne, comme si j’étais prêt à lui rentrer dedans à tout moment.

« Ok... si t’en as vraiment envie, j’vais pas me priver. Mais va falloir écarter grand les cuisses quand j’en aurai fini avec ton cul. Deal ? »

Remontant doucement mon gland contre ses fesses, je pousse doucement sur sa raie que j’écarte en la tamponnant par à-coups.

« Cramponne-toi et laisse-toi complètement aller à ce que tu ressens. »

Me pinçant durement les lèvres, je pousse alors. Mon gland se presse en hâte contre sa petite rondelle que mes doigts avaient déjà couverte d’huile, me facilitant son accès. Je presse toutefois comme un forcené tandis que cet orifice n’est certainement pas fait pour accueillir un engin d’un diamètre pareil.

« NNnhhgh... oh. Oooh. »

Un... « blop » très sonore et me voilà entré, mon gland tout entier s’étant fait une place dans ce cul tout huileux. Le plus large étant passé, il ne me reste qu’à pousser... à ramoner lentement, jusqu’à y enfoncer tout ce que je peux enfoncer d’un sexe aussi raide.
Tirant son cul à moi tout en poussant en elle avec force, je me fraye lentement un passage. De longues, très longues secondes défilent alors que j’explore, allant d’avant en arrière pour que son anus prenne en mémoire les contours de mon sexe, qu’il se dilate bien assez. Vingt premiers centimètres. C’est déjà énorme.

« Mmmh. On va s’amuser. »

Me retirant longuement, presque tout entier, je repars d’un coup vers l’avant sans prévenir, dans un premier coup de butoir violent, me permettant de forcer le passage pour cinq autres centimètres bien tassés.

« OOH ! »

Une petite claque sur les fesses et je m’y mets, besognant son cul tout élargi en de premiers va-et-vient dignes du passage annuel du ramoneur dans vos cheminées.
« Modifié: jeudi 23 décembre 2021, 22:11:49 par Bando »


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