Résumons rapidement. Mon jeune voisin que j’avais aidé à draguer l’élue de son coeur, en vue d’un dépucelage en règle, avait fini par toucher au but et avait attiré ladite demoiselle chez moi, qu’elle puisse découvrir un peu plus de lui et de ses passions. Après une fellation un peu trop courte et décevante, la jeune femme, sorte de beauté fatale aux arguments plus qu’imposants, s’était décidée à changer d’air un moment pour partir à l’exploration de ma maison. Me prenant en flagrant délit alors que j’envoie des dickpicks à la mère du garçon, la jeune fille me reluque et s’avance, sans honte et avec tout le sérieux du monde, pour me proposer de me prendre en bouche à mon tour...
Les choses étant ce qu’elles sont et, elle, étant surtout ce qu’elle est, je cède bien vite et accepte avec envie de lui servir de sucette, bien trop envieux à l’idée de prendre mon pied en matant cette véritable bombe.
Les minutes passent à une allure folle et les surprises ne cessent de s’enchaîner. Ses caresses, ses coups de langues et sa créativité dans de tels moments sont à tomber, dignes d’une professionnelle affamée, en mal de sensations fortes... très fortes.
Je passe pas loin d’une demi heure dans sa bouche, à me retenir de hurler comme c’est pas permis, à m’agripper à ses formes généreuses avant d’exploser dans un orgasme dévastateur, mais qui ne me fait pas faiblir pour autant, tant tout en elle m’excite.
Après une expérience pareille, comment pourrais-je imaginer la laisser repartir comme ça, sans la baiser des heures durant ? Bien sûr que j’en crève d’envie. J’ai pas envie de m’retenir, de laisser passer une telle occasion, de manquer un tel moment. Je veux la prendre sans retenue, sauvagement, déglinguer mon lit en la tringlant si fort... je veux qu’elle hurle, l’entendre jouir directement au creux de mon oreille, que mon sexe touche chaque parcelle de sa peau, lime chacun de ses trous tour à tour, jouir en elle autant de fois qu’il me sera possible de le faire...
Cependant, si j’avais oublié toute morale quant au garçon et, même si l’idée de me faire prendre m’excitait un peu aussi, l’idée de ne pas la labourer en y allant à fond me contrariait. J’avais vraiment envie de l’entendre.
Alors qu’elle m’échappait en gloussant, traînant ses seins sur le sol en se baladant à quatre pattes, toute taquine qu’elle était, je ne pouvais m’empêcher de serrer les poings, crispé à l’idée de la laisser partir. Elle me menait vraiment par la queue... c’était excitant oui... mais j’avais encore un peu de contrôle à exercer. Après tout, c’est elle qui me tendait son cul, toute soumise et envieuse. Je n’allais pas faire comme si je n’avais rien vu.
Debout, marchant derrière elle pour aller à sa rencontre, je la rattrapais bien vite. Posant mes grandes mains sur son cul, je l’attirais à moi.
Posant un genou à terre, je fais battre ma bite sur son arrière-train comme s’il s’agissait d’un tambour tout tendu et rebondi. Elle est si bonne... il n’y a rien que je puisse faire d’autre que partir à l’assaut, hein ?
Serrant son cul entre mes doigts pour la toute première fois, je le malaxe, profite de cette vue complètement bandante, frottant mon torse brûlant contre son dos.
« Tu veux qu’il sache que j’te baise, hein ? »
Queue en main, je coulissais lentement entre ses cuisses, mon gland tapant contre ses seins. Frottant doucement son petit sexe trempé, je vais et je viens longuement pour la faire languir toujours plus, agrippant son cul avec force pour qu’elle ne reparte pas.
Après tout, même si ce n’était pas optimal, la plupart des pièces de la maison avaient été insonorisées, de sorte à ce que je puisse travailler partout dans le calme. Peut-être cela ne suffirait-il pas, mais au moins pourrais-je m’en donner à coeur joie.
« Dis-le. »
Ramonant toujours dans le vide, je murmurais chaudement à son oreille, palpant ses fesses avec envie.
« J’veux qu’tu continues à m’parler comme ça... te faire hurler. »
Je me recule alors, mon gland posté aux portes de sa chatte trempée. Je remue et enduit mon gros bout de viande de sa mouille, le faisant luire à la lumière du jour. Mes mains écartent toutefois ces fesses auxquelles je me cramponne, comme si j’étais prêt à lui rentrer dedans à tout moment.
« Ok... si t’en as vraiment envie, j’vais pas me priver. Mais va falloir écarter grand les cuisses quand j’en aurai fini avec ton cul. Deal ? »
Remontant doucement mon gland contre ses fesses, je pousse doucement sur sa raie que j’écarte en la tamponnant par à-coups.
« Cramponne-toi et laisse-toi complètement aller à ce que tu ressens. »
Me pinçant durement les lèvres, je pousse alors. Mon gland se presse en hâte contre sa petite rondelle que mes doigts avaient déjà couverte d’huile, me facilitant son accès. Je presse toutefois comme un forcené tandis que cet orifice n’est certainement pas fait pour accueillir un engin d’un diamètre pareil.
« NNnhhgh... oh. Oooh. »
Un... « blop » très sonore et me voilà entré, mon gland tout entier s’étant fait une place dans ce cul tout huileux. Le plus large étant passé, il ne me reste qu’à pousser... à ramoner lentement, jusqu’à y enfoncer tout ce que je peux enfoncer d’un sexe aussi raide.
Tirant son cul à moi tout en poussant en elle avec force, je me fraye lentement un passage. De longues, très longues secondes défilent alors que j’explore, allant d’avant en arrière pour que son anus prenne en mémoire les contours de mon sexe, qu’il se dilate bien assez. Vingt premiers centimètres. C’est déjà énorme.
« Mmmh. On va s’amuser. »
Me retirant longuement, presque tout entier, je repars d’un coup vers l’avant sans prévenir, dans un premier coup de butoir violent, me permettant de forcer le passage pour cinq autres centimètres bien tassés.
« OOH ! »
Une petite claque sur les fesses et je m’y mets, besognant son cul tout élargi en de premiers va-et-vient dignes du passage annuel du ramoneur dans vos cheminées.