Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Ride the white horse [Pv. CORA]

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Cora Travers

E.S.P.er

Re : Ride the white horse [Pv. CORA]

Réponse 15 samedi 18 octobre 2025, 15:31:06

Avec un amant tel que Ryo, Cora est servie. Elle voulait du sale, du brutal ? Elle a le droit à la totale. La drogue joue sûrement un rôle dans l’abandon avec laquelle elle se livre sans rechigner à la moindre cochonnerie venue. Oui, elle est libérée, mais la blonde n’est pas suicidaire. Et la façon dont elle manque d’air parfois, dont il comprime sa gorge sans douceur… Sans la drogue, elle aurait probablement mis un stop à ces tentatives d’étouffement.

Comme elle est droguée, elle se complaît plutôt dans cette sensation de ne devoir la vie qu’à la bonté de Ryo. Elle mouille à la pensée qu’elle est ainsi à sa merci. Elle gémit, crie quand elle le peut, son plaisir de se faire ainsi maltraiter. Elle jouit alors qu’il ne fait que l’ouvrir en deux avec son chibre avant de lui remplir les entrailles de cette semence brûlante à laquelle elle a déjà goûté.

Elle s’affaisse littéralement comme une poupée quand il la relâche enfin et elle doit lui offrir un spectacle bien pitoyable. Ruinée, ravagée, dégoulinante de foutre…. Et l’air totalement béat de celle qui vient d’avoir un putain d’orgasme. Elle ne proteste pas alors qu’il empoigne sa courte crinière blonde pour la faire se mettre à genoux devant lui. Elle lève un regard embrumé vers le mâle, ne tiquant pas quand il se sert de ses cheveux pour s’essuyer la queue. Elle se mord la lèvre, alors que l’excitation court toujours dans ses veines. Elle se frotte les cuisses l’une contre l’autre quand il lui crache au visage. Son corps tremble, noyé sous l’extase et la drogue qui bouleverse sa chimie interne. Elle halète, gémit alors qu’il la traîne par les cheveux jusqu’à sa salle de bain, le suivant à quatre patte comme elle le pouvait.

Elle retrouve une position agenouillée devant lui, les jambes écartées, mais dans la douche cette fois-ci. Hagarde, haletante, cherchant toujours à retrouver le plaisir de l’orgasme, la mutante lève un regard enfiévré vers le flic. Avec l’alcool et la drogue qui se mélangent dans son sang, la blonde ne réfléchit plus. Elle se contente d’agir, de réagir. Quand le mandrin de Ryo tape contre son visage, elle cherche à le happer de ses lèvres. Ses mains viennent se caler entre ses cuisses pour frotter contre sa perle gonflée. Il peut voir à quel point elle est désespérée pour une autre jouissance alors même qu’il commence à lui uriner dessus. Elle ne tique pas, acceptant la douche dorée comme elle aurait accepté un bukkake. Elle ouvre même la bouche et lui offre un spectacle obscène en se gargarisant avec, ses mains frottant toujours contre son clitoris malmené, ses doigts essayant sans succès de combler le vide de sa fleur mais incapable de reproduire l’effet de la queue de son amant.

A vrai dire, à ce moment, elle ne réfléchit plus du tout. Son cerveau cesse de fonctionner, n’enregistre plus le moindre souvenir. Elle n’est qu’instinct et besoin. Elle s’offre à la douche dorée autant qu’à la vraie douche qui suit. Elle le suce avec entrain même s’il ne décharge pas de quoi l’étouffer avec son foutre cette fois-ci. Cora est ravagée mais surtout sous le coup de la drogue. Elle qui n’en avait jamais pris auparavant -si on exclut l’opium avec laquelle elle avait été droguée une fois- et ça se ressentait dans sa façon d’agir.

Elle glousse quand il la porte pour l’emmener au lit, et se colle contre lui sous les couettes. Elle se love de manière à pouvoir l’allumer de plus belle, ses courbes généreuses contre ce colosse au chibre ravageur. Sa voix se casse alors qu’elle profite de cette dernière sodomie, et son corps atteint enfin cette jouissance qui lui avait manqué après celle d’avant. Rassasiée -ou peut-être juste trop épuisée- la mutante se laisse sombrer enfin dans le sommeil réparateur dont elle a bien besoin. Non sans gémir d’approbation quand il murmure des insultes à son encontre.



Le réveil est brutal. Pas autant que la soirée de la veille, mais son crâne est martelé par un pic-vert invisible. Elle a la gorge sèche, irritée. La bouche pâteuse. La cuite de la veille était une bonne. Elle rechigne à ouvrir les yeux alors même que la voix de Ryo lui parvient au travers de la couette dans laquelle elle s’est emmitouflée.

« J’dirais qu’on s’est violenté m’tuellement, marmonne-t-elle en levant un pan de couette pour darder son regard clair sur le beau brun. »

Ses prunelles accrochent le verre qu’il a posé sur la table de chevet. L’idée de boire ou de manger quelque chose à cet instant lui était insoutenable. Mais la curiosité était visible sur ses traits encore relâchés par le sommeil.

« Qu’essessait ? énonce-t-elle sans réussir à articuler. »

Elle s’étire légèrement sous la couette, et une grimace déforme alors son visage brièvement. Ouch. Elle la sent bien la nuit passée. Mais un sourire satisfait étire ensuite ses lippes.

« Daaaamn, tu m’as bien ravagée cette nuit, glousse-t-elle d’un air comblé. »

Reportant son attention sur Ryo, elle rejette un peu plus la couette, exposant son corps nu et encore brûlant de sommeil à l’air frais du loft. Au passage, son regard accroche la réflexion de la lumière dans le miroir posé sur la table de chevet à côté du verre. Et la ligne de coke.

Troublée, elle ouvre les lèvres pour parler mais pas un son n’en sort. Elle n’aurait pas dû accepter la drogue hier, mais elle l’a fait. Remettre ça, en revanche ? Elle n’était pas certaine que ce soit un choix judicieux. Et que ce soit proposé par un flic ? Un millier de question se bousculaient soudainement dans son esprit.

« Tu es sûr pour… ça ? Demande-t-elle finalement en désignant la drogue du menton. Si tu voulais une excuse pour me mettre les menottes… Il fallait juste demander ! Tente-t-elle de plaisanter. »

cc99ff - Paroles de Cora.

Ryo

Humain(e)

Re : Ride the white horse [Pv. CORA]

Réponse 16 dimanche 19 octobre 2025, 16:15:07

La frontière entre délire, alcool, stups, sexe et réalité était ténue. Il suffisait de peu pour que tout bascule d'un côté ou de l'autre, entre une plongée dans le monde de la déchéance et un retour à une normalité plus rassurante. Cora en était là. Elle pouvait être prise d'un rejet violent de ce qu'elle avait fait ces dernières heures ou alors elle pouvait s'enfoncer en espérant retrouver les sensations intenses qu'elle avait vécu.
Devant son hésitation, Ryo revint vers elle, et d'une manière très virile, très masculine, la prit par le menton pour la tirer à lui et l'embrasser. Cora n'était pas une poupée de porcelaine. Pour la conquérir, il fallait être puissant, dominant, sûr de soi. Ce salopard de flic pourri le savait, l'avait compris. Une fille comme Cora, on ne lui faisait pas l'amour, on l'enculait comme une pute pour qu'elle puisse atteindre son point de jouissance.

"Te mettre les menottes ... MMmm c'est une idée en effet. Mais pour cela, il faudrait que tu m'offenses et là, tu es la plus adorable merveille qu'un mec voudrait trouver dans son lit."

Il lui pelote un sein, ne mentionne ni ne regarde le rail de coke, puis retourne se faire couler un nouveau café, offrant à sa proie la vue de ses dorsaux massifs surmontés d'épaules de buffle.

"Tu devrais boire ma mixture même si ce n'est pas ragoutant. Avec ça, dans une heure, tu me grimpes dessus."

Il la laisse faire. Là, elle tergiverse et la presser d'une manière ou d'une autre pourrait être désastreux. Cora dispose d'un très gros potentiel et nul doute qu'une fois pervertie, elle fera un superbe objet sexuel pouvant peser lourd dans certaines négociations.

------------------------------------------------------------

One month later ...

Ryo attend au volant de sa Mustang. Il est garé devant l'entrée d'un labo dont le nom est connu de la communauté scientifique. En double file, il emmerde tout le monde et répond aux coups de klaxons polis par des doigts d'honneur bien plombant.
Cora ne va pas tarder à sortir. Sa petite cocaïnomane a plongé. Ce fameux rail de coke, elle se l'est envoyé et ça a été le départ d'une accoutumance consommée. De la coke, il en a toujours sur lui mais il joue le pote, l'amant, le maitre, protecteur :"Doucement Cora, c'est trop là..." ; "Ça suffit pour aujourd'hui ma belle".
Il s'arrange pour qu'elle demande, et pas que lui propose. Là est toute la différence. Et quand généreusement, il la poudre, généralement, il la défonce juste après. Parfois, ça va loin. Une fois, elle n'a pas pu aller au travail tellement son cul lui faisait mal...

La porte du labo s'ouvre en coulissant et les vigiles s'écartent. Boom! Prends ça dans ta gueule Ryo. C'te salope sait se faire remarquer, même quand elle s'habille comme une humaine et pas comme une chienne en chaleur. De loin, il lui fait un geste.

Ils vont faire du shopping ... Du putain de shopping de merde! Trainer dans des rayons à choisir des daubes qui finiront arrachées. L'angoisse...
Enfin ... il a promis et comme c'est un peu nécessaire pour ses projets, il va essayer d'y mettre du sien. Ils ne vont pas aller au mall sympa du centre où tous les débiles de Seikusu vont se fringuer "à la mode". Non, il l'emmène là où les putes se sapent. Y'a tout un tas de boutiques tenues par des maquerelles à la retraite  qui n'attendent qu'une pute occidentale à fringuer. Là bas, pas d'élégance: on exhibe pour gagner du fric. Et le corps de Cora, c'est un putain argument de vente.

"Salut ma belle!"

Ses lèvres sont fraiches, son parfum enivrant.

"Prête à vider mes poches?"
« Modifié: lundi 10 novembre 2025, 16:35:35 par Ryo »

Cora Travers

E.S.P.er

Re : Ride the white horse [Pv. CORA]

Réponse 17 dimanche 26 octobre 2025, 17:41:33

La jeune mutante avait résisté à l’attrait de la drogue, au début. Elle avait fait comme si elle n’en avait jamais pris, comme si elle n’avait pas ressenti des choses merveilleuses alors qu’elle était sous l’emprise de la coke. Mais elle n’avait pas tenu. Le sexe avec Ryo était bon, c’était indéniable. Mais il lui manquait quelque chose pour retrouver les sensations de cette nuit-là. Et Cora avait flanché. Elle avait sniffé ce second rail. Et puis un troisième. Et ainsi de suite. Jusqu’à ce qu’elle soit devenue irrémédiablement accro. Et, un mois plus tard, la mutante n’avait pas décroché.

Oh, elle faisait illusion pour ses collègues. Elle mettait ses retards ou ses absences sur le compte de sa vie amoureuse bien remplie, de maladies éphémères ou autres mensonges. Elle ne se droguait pas au taff, mais c’était là l’une des seules limites qu’elle s’était imposée.

Ce jour-là, elle sort du labo avec un sourire radieux en voyant que Ryo l’attends déjà. Elle ne s’attendait pas à ce que leur relation soit autre chose qu’une nuit sans lendemain. Pourtant, elle a l’impression d’être aussi accro à sa présence qu’à la drogue qu’il lui fournit avec hésitation. Le sexe entre eux est fabuleux. La mutante est comblée par cet amant fougueux. Elle n’imagine pas trouver quelqu’un d’autre qui puisse la satisfaire. Mais ils s’entendent bien aussi. Du moins, elle en a l’impression, même quand elle n’est pas droguée.

Ignorant les vigiles qui s’écartent pour la laisser passer, la jeune femme aux courts cheveux teintés en rose se précipite vers la voiture où attend le flic qui partage sa vie et ses nuits. Elle contourne le véhicule et s’installe côté passager, se penchant vers lui, écrasant sa poitrine contre son torse alors qu’elle l’embrasse pour le saluer.

« Hello darling, réplique-t-elle en souriant après s’être redressée sur son siège. Et pas que tes poches ! Mmh, d’ailleurs, tu aurais un petit quelque chose pour me requinquer, après cette journée de taff éprouvante ? »

Elle lui offre un regard suppliant, écarquillant ses grands yeux bleu pâle, sa main venant caresser la cuisse de l’homme alors même qu’il semble prêt à se réinsérer dans la circulation. Il peut voir que la main qui se rapproche de son entrejambe tremble légèrement, signe certain de manque alors qu’elle n’a pas pris de drogue depuis hier soir. Cora sourit, penchant légèrement la tête sur le côté et arquant son corps pour mettre en valeur cette poitrine qui n’en avait guère besoin.
cc99ff - Paroles de Cora.

Ryo

Humain(e)

Re : Ride the white horse [Pv. CORA]

Réponse 18 lundi 27 octobre 2025, 16:29:19

Alors que Cora recherche l'appât du gain, c'est à dire la grosse queue du flic et un rail de coke, Ryo reçoit un message. Boss Takeda!

Citer
"Hey Ryo!  J'espère que tu ne m'as pas oublié. On m'a dit qu'on te voit pas mal avec une bombe ces derniers temps. C'est ma marchandise?"

Ryo crispe ses mâchoires d'irritation. Le yakuza sait tout; la Toussaint, c'est son quartier et c'est vrai que Ryo lui a promis de lui rapporter une pute occidentale de qualité pour remplacer la dernière ... S'il met Cora entre ses mains, elle finira comme l'autre: dissoute dans un bain d'acide une fois qu'elle aura trop servie ... Mais il a d'autres plans pour elle, des plans plus personnels. Il répond sans attendre, Boss Takeda n'est pas homme à prendre à la légère.

Citer
"Je n'oublie pas mes promesses Boss mais celle-ci est mon casse dalle perso. Et puis, elle est déjà pas mal usée, elle en a pas pour longtemps. Ce serait de la mauvaise came pour vos clients spéciaux. Je traine pas et je vous en rapporte une premium."

De la mauvaise came? Surement pas. Cora c'est de la top qualité made in america. Il la regarde, alors qu'elle se trémousse façon junkie qui peut se lâcher, loin des regards de ses collègues. C'est une toute petite quantité de dope qu'il l'autorise à s'enfiler: pas assez pour se shooter, mais suffisamment pour combler le vide qui s'installe. Ensuite, il baisse sa braguette, sort sa grosse nouille, prend Cora par la nuque et ramène sa tête entre ses cuisses.

Le gros moteur de la Mustang vrombit quand il démarre et il s'engage dans le flux intense de la circulation de Seikusu. Quand ils arrivent et s'arrêtent devant la devanture rose fuchsia du Lady in Pink, il lui a déjà massivement giclé dans la gorge et il ne l'autorise à se redresser que quand il coupe le V8.

Le Lady in Pink est tenu par Sakura Masada, une ancienne pute qui a gravi les échelons jusqu'à tenir simultanément quatre bordels. Intelligente, elle s'est reconvertie dans la mode quand les Grands ont commencé à s'intéresser à ses business. Maintenant, elle gagne encore plus de frics en habillant une majorité des escorts et putes de la ville, et en fournissant aussi les clubs des yakuzas.

"Ryo ... Ça fait longtemps ... Tu m'amènes une ... amie?"

"Ouais madame, c'est une amie qui m'est ...chère."

"Et tu veux lui faire un petit cadeau pour la rendre encore plus ... expressive?"


"Ouais, c'est l'idée, plusieurs cadeaux même ... pour diverses activités."

"Très bien, laisse la moi, reviens dans une heure, je te la prépare."

--------------------------

Une heure plus tard, le flic est de retour. Sakura est une pro et elle dispose encore d'une grande influence dans le Milieu. Sa boutique, elle la gère, c'est elle qui habille les filles et elle sait y faire. Deux gros sacs estampillés Bitch of the Day attendent sur le comptoir, bien remplis. Vêtements, pompes, accessoires, il y en a pour un demi million de yens. Putain! Il retira ça de ses impôts en frais courants! Mais au moins, ça envoie sévère et l'investissement vaut le coup pour la suite. Sakura a tiré quelques clichés pour présenter ses produits sur Cora et le résultat est époustouflant.
Ryo passe son bras autour des épaules de Cora.

"Ca t'as plu? Dès ce soir, tu pourras en porter une. On sort! Un diner élégant avec des personnes importantes ..."

Cora Travers

E.S.P.er

Re : Ride the white horse [Pv. CORA]

Réponse 19 samedi 01 novembre 2025, 17:20:10

Cora sniff avec joie la poudre présentée. Pas une grosse dose, cette fois-ci, mais ça comblera les effets du manque qui se font ressentir. Elle ne cille pas devant les manières brusques du flic. Elle s’y est habituée, depuis un mois. Et elle aime le sentir ainsi dominateur. Sans broncher et avec enthousiasme, la jeune mutante entreprend alors de le sucer puisqu’il lui a si gentiment collé sa queue entre les lèvres. Avec ardeur et savoir-faire, la blonde avale la chair rigide jusqu’à ce qu’il cogne contre sa gorge et plus loin encore. Son nez finit par toucher l’aine de l’homme alors que sa gorge se contracte, et elle redresse la tête. Encore, et encore, elle l’aspire, elle lèche et creuse les joues, elle le dorlote tant et si bien qu’il finit par venir et elle peut sentir le sperme chaud couler dans sa gorge alors que sa salive enduit le manche solide et tache probablement le pantalon.

Elle déglutit comme elle peut avec cette queue qui lui occupe la gorge et continue son œuvre alors même qu’il n’a pas fini d’évacuer cette jouissance. La laborantine adore sentir sa main contre sa tête, la maintenant en place pendant qu’il conduit. Elle ne se soucie pas du levier de vitesse qui rentre dans ses côtes parfois alors qu’il change de vitesse, ni même de sa petite culotte qui se retrouve vite trempée.

Quand ils arrivent finalement à destination, la jeune femme s’essuie la bouche avec un mouchoir et réapplique rapidement une touche de rouge à lèvre avant de suivre Ryo dans la boutique face à eux. Elle garde le silence, collée contre lui, observant les échanges qu’il a avec la patronne. Elle l’embrasse avec affection avant qu’il ne parte, et se laisse ensuite guider par la vendeuse pour aller essayer des fringues.

Tout ce qui est dans la boutique est vulgaire. C’est fait pour montrer sans complexes. Il n’y a pas la moindre tentative de cacher ou d’esquisser plutôt que de dévoiler. Mais ça ne dérange pas Cora. Et si ça plaît à Ryo, alors encore mieux ! Elle ne porterait pas ça pour aller au boulot, mais elle imagine déjà les petites soirées qu’ils pourraient faire, tous les deux.

Quand il revient la chercher, plus tard, les sacs sont prêts et chargés. Cora a laissé la patronne choisir les pièces qui lui allaient le mieux, n’ayant pas vraiment de préférences. Ce n’est pas son style habituel, alors elle fait confiance à celle qui connaît sa marchandise. Et ses clients.

« Oh, super, darling. Il va falloir que tu m’aides à me préparer par contre, rit-elle en se collant à lui. Certaines de ces fringues, tu n’imagines pas ce qu’il faut faire pour les faire tenir ! »

Il paye, et elle l’entraîne avec lui pour sortir de la boutique, saluant Sakura d’un geste de la main. Elle remonte dans la voiture et attends qu’il remette le contact pour venir à nouveau laisser ses mains s’égarer sur lui. Elle ne tremble plus comme à la sortie du taff, mais il peut néanmoins sentir la tension qui guide ses gestes. Cora attends toutefois qu’ils soient arrivés chez lui pour venir lui faire d’autres avances, le poussant littéralement sur le sofa avant de venir s’installer sur ses cuisses.

« Si tu savais comme la journée a été longue… Et je ne pensais qu’à une chose, susurre-t-elle en ondulant sur lui comme une petite chatte en chaleur. On peut peut-être s’amuser un peu, avant de se préparer pour le dîner, mh ? Une petite dose de bonheur, une grosse dose de ton foutre partout sur moi et en moi, et à la douche ? Je pense que c’est un bon programme, tu en dis quoi ? »

Tout en parlant, ses mains cherchaient déjà à le déshabiller. Elle avait ôté sa veste et son débardeur et collait sa poitrine sous le nez du flic sans aucun remords.

« J’ai vraiment très envie de toi Ryo. Je crois même que c’est un besoin à ce niveau-là… »
cc99ff - Paroles de Cora.

Ryo

Humain(e)

Re : Ride the white horse [Pv. CORA]

Réponse 20 lundi 03 novembre 2025, 12:12:30

Si Ryo s'était considéré comme une bonne personne, alors il aurait mesuré la chance d'avoir une bombe telle que Cora comme copine ... ou quel que soit le nom qu'on pouvait donner à leur relation. Elle représentait tout ce qu'un mec standard pouvait attendre de sa nénette, tant en comportement qu'en présence physique.
Mais le flic n'était pas un bon mec et la considération qu'il portait à l'américaine se limitait à ses capacités exceptionnelles à assumer sa condition de petite salope. Quoique ... peut être pas seulement car Cora diffusait aussi sa bonne humeur contagieuse et plus d'une fois, elle l'avait fait rire franchement. Lui qui était plutôt du genre loup solitaire se plaisait de la compagnie de sa cochonne de service, et même s'il la shootait volontairement et qu'il abusait d'elle à outrance, on pouvait considérer qu'il en prenait soin, à sa manière.

L'homme posa ses mains sur les hanches de Cora. Elle se dandinait sur ses cuisses, véritable vestale du culte du cul, topless, et ses grosses loches ballotaient sous le nez du flic qui durcissait déjà face à ce spectacle lourd de promesses.
Les doigts de Cora, agiles et expert dans le domaine du déshabillage d'opportunité, couraient sur les vêtements de Ryo et en moins de deux, il était torse nu, débraguetté, et le chibre à l'air.

Il était arrivé à ses fins et Cora était prête à être employée de la meilleure des manières. L'américaine était dépendante de ses services et il dosait savamment les rails qu'il lui permettait de s'envoyer pour la garder sous contrôle sans pour autant qu'elle se grille, et le cerveau, et au boulot. Il avait réfléchi un peu. Il l'aurait bien gardé juste pour lui mais elle représentait un atout pour ses business. Avec elle, il pouvait obtenir ce qu'il voulait. Le premier test serait pour le soir même.

Ryo lâcha les hanches de Cora pour saisir ses seins à pleines mains. Il les claqua entre eux, les pressa plus que nécessaire, imprimant la bonne mesure pour creuser un sillon à branlette espagnole. C'te paire de mamelles, il la kiffait. Très souvent, c'est par là qu'il commençait,et c'est aussi là qu'il se terminait, l'inondant de crème épaisse.

Mais à cet instant, alors qu'elle l'avait bien chauffé, il voulait autre chose. Rien de respectueux ni de mignon, non. Il se leva sans effort et pivota faisant glisser Cora sur l'assise du canapé. Elle s'y affala comme une loque et il lui retira son futal et sa culotte. Il allait l'enculer, lui faire le fion, lui péter le cul.
Depuis qu'il la connaissait il avait toujours un tube de lubrifiant à proximité et il s'enduisit la queue de la substance nécessaire à ce qui allait arriver. Ryo se laissa tomber sur elle de tout son poids, relevant une jambe de Cora et écartant l'autre. Il chercha à se guider sans trop y voir et quand il sentit la rondelle serrée s'opposer à son introduction, il y alla franco en grimaçant.  Ça faisait toujours mal au début mais il s'en foutait. Son gros gland domina la résistance et la perfora pour qu'il s'enfonce en elle et sente son rectum l'envelopper totalement. C'est seulement à ce moment là qu'il lui répondit.

"J'en dis que t'es une super coach du cul et que je vais te remplir le fion. Et si t'es une bonne salope, j'te repeindrai la gueule aussi."

Maintenant, elle avait l'habitude de sa vulgarité et des ses petits mots gentils. Pute, salope, cochonne,  sac à foutre, étaient des qualificatifs assumés que Cora savait authentifier à la perfection.

Il la défonça sauvagement. Elle pouvait gueuler ce qu'elle voulait, cela ne changeait rien. Quand il la sodomisait, il fallait que cela soit brutal, dur, intransigeant sur l'extrême violence de sa manière de faire. Cora était écrasée, tordue sous lui, dominée, contrainte. Comme toujours, Ryo cogna jusqu'à ce que Cora ait le cul explosé, et il s'y vida comme un porc en longues giclées poisseuses.

Bien sûr, il n'oubliait pas son plaisir à elle mais à défaut de bite, il utilisa une bouteille vide pour lui ramoner le vagin. Pratique dégradante et humiliante mais perchée comme elle l'était ... Et puis si elle l'ouvrait trop, il lui poudrait le nez et elle devenait enragée du cul. C'était une spirale sans fin.

Il s'était retirée d'elle, laissant une rondelle éclatée qui mettrait un moment avant de retrouver son élasticité. Il se redressa et la releva en la prenant par les cheveux, hissant sa tête à hauteur de sa queue. Il la tenait bien, les mèches de cheveux blonds-roses pointant entre ses doigts serrés.

"Nettoie!"

Cora Travers

E.S.P.er

Re : Ride the white horse [Pv. CORA]

Réponse 21 mardi 04 novembre 2025, 19:35:00

La mutante se dandinait sur les cuisses de Ryo, offrant sans complexe sa poitrine avec laquelle il adorait jouer. Elle se frottait contre l’érection qu’elle sentait prendre de l’ampleur, mouillant déjà rien qu’en repensant aux nombreuses fois où elle l’avait remplie. Peu importe l’orifice, elle en retirait autant de plaisir.

Un cri de surprise lui échappa quand le grand flic retourna la situation, mais elle s’empressa de l’aider alors que le jean et la culotte valsaient. Ses pupilles s’étaient dilatées encore plus que lorsqu’elle avait sniffé son petit rail dans la voiture tout à l’heure, rendant ses prunelles glacées aussi sombres qu’une nuit d’hiver. Elle sut immédiatement où est-ce qu’il allait la remplir quand elle le vit prendre le tube de lubrifiant non loin, et ses lèvres s’étirèrent en un sourire d’anticipation. Elle gigota un peu alors qu’il se positionnait, jusqu’à ce que l’une de ses jambes repose confortablement sur l’épaule du colosse et que l’autre menace de renverser ce qui se trouvait sur la table basse.

Un halètement lui échappa quand elle le sentit forcer l’entrée et s’insérer brutalement, mais le plaisir prit bien vite ses aises dans son corps. Autant que Ryo, d’ailleurs. Les lèvres de la blonde s’écartèrent mais aucun son ne franchit le passage alors que ses yeux roulaient presque dans leurs orbites. Damn, ce qu’elle aimait ça ! Sentir le flic user et abuser de son corps était divin. Peut-être était-ce la coke qui parlait, où l’accoutumance depuis ce mois qu’ils se connaissaient. Mais elle s’en fichait, parce que les sensations qu’il lui procuraient valaient bien le coup.

« Fuck yes !, s’exclama-t-elle d’une voix plus stridente que la normale, le programme l’enchantant décidément beaucoup. Ravage-moi, Ryo ! Mmmh, que je ne puisse plus m’asseoir confortablement quand on dînera ! »

Et il entreprit de faire exactement ça. La jeune scientifique prenait clairement son pieds, à l’entente des gémissements et des cris qui lui échappaient. Et quand elle atteignit le sommet, quand son esprit cessa toute activité pour ne faire que ressentir l’extase ultime, ses ongles se plantèrent fermement dans les épaules de son amant. Elle le sentit d’ailleurs se vider peu après, lui remplissant les entrailles et prolongeant les vagues de délice qui la faisait trembler contre lui.

Encore groggy après cet orgasme foudroyant, la mutante était aussi malléable qu’une poupée. Et quand le colosse lui ordonna de nettoyer sa queue poisseuse, elle ne put que s’y plier de bon cœur. Ses lèvres s’arrondirent pour venir happer le gland, suçotant et usant de sa langue pour nettoyer les fluides qui le couvrait. Une main vint se caler contre les hanches de Ryo tandis que l’autre venait caresser les bourses, comme pour les remercier de lui offrir tout ce bon foutre brûlant.

Bientôt, ses lèvres s’enhardirent. Elles aspirèrent de plus belle et progressèrent le long de la tige veineuse. La jeune femme prenait les ordres de son amant très au sérieux, et elle le nettoyait méthodiquement. Chaque centimètre carré de peau était aspiré, léchée, possiblement mordillée aussi. Enfin, le gland toucha la glotte. Puis passa outre alors que la blonde continuait jusqu’à ce que son nez s’écrase contre le pubis de l’homme. Là, elle le garda prisonnier de longues secondes, ne luttant plus que vaguement contre le réflexe qui voulait qu’elle ait des haut-le-cœur. Avec soin, elle contracta sa gorge autour du gland avant de relever la tête, reprenant son souffle un instant. Et revint aussitôt ensuite, prenant un rythme soutenu pour espérer recevoir sa récompense. De temps à autres, la mutante relevait les yeux vers Ryo et le ressortait d’entre ses lèvres pour jouer avec le gland contre sa langue, pour frotter son visage contre la hampe luisante de salive. Elle prenait plaisir à lui offrir ainsi sa bouche et sa gorge. Et il pouvait le lire dans son regard assombri, dans son empressement à venir l’avaler ou encore dans la manière dont ses cuisses se frottaient entre elles et luisaient de cyprine.

Quand elle le sentit sur le point de venir, la petite délurée s’empressa de venir coller son nez contre l’aine de Ryo, lui laissant libre usage de sa gorge abusée. Elle comptait bien recevoir sa dose de foutre directement dans l’estomac pour ne pas en perdre une goutte.
cc99ff - Paroles de Cora.

Ryo

Humain(e)

Re : Ride the white horse [Pv. CORA]

Réponse 22 mercredi 05 novembre 2025, 16:36:06

Quelle faiblesse que celle de l'homme face à l'expertise d'une suceuse de l'envergure de Cora. S'il avait vraiment voulu s'arrêter là, il n'aurait pas réclamer la voracité de sa bouche. On n'interrompait pas gentiment une pipe de l'américaine comme on éteignait la télé. Non, nécessairement il fallait aller jusqu'au bout car lui comme elle ne toléraient pas la demie mesure. Si limites il devait y avoir à leurs relations, principalement sexuelles, ce serait comme restreindre un réacteur nucléaire au fonctionnement d'une mobylette.

Aussi quand Cora passa d'une fellation gourmande à une gorge profonde cradingue, Ryo ne put que suivre le mouvement et prit son tour de responsabilités.

Il fallait voir la scène que même un réalisateur de porno confirmé n'oserait pas demandé à une actrice chevronnée. Le sofa était le support de l'acte, les protagonistes une putain vampirique conditionnée au sperme et un colosse ultra violent sans aucune moralité, et l'objectif: purger les burnes de l'un pour remplir l'estomac de l'autre.
Ryo retira les mains de Cora de son corps et craqua un rictus quand il constata qu'elle l'avait griffé au sang: adorable! Il l'arracha à sa queue et la repoussa sur l'assise du sofa, mal foutue, à moitié posée sur le dos, à moitié prête à en tomber. Lui, vint s'agenouiller au dessus de la poitrine de Cora. Il lui coinça un bras contre le sofa en calant son genou au dessus du creux du coude de la jeune femme pour ne pas la blesser non plus. Ensuite il pivota son bassin pour accéder à son visage. Pas d'avertissement! Il pèse et force les lèvres pour lui plomber la gorge, de traviole, c'est dégueulasse. Qu'elle encaisse ou pas, rien à foutre! Le colosse neutralise l'autre bras de Cora en le verrouillant au dossier de sa poigne de fer. Elle est à lui, sa gueule de salope est à lui, exclusivement et totalement.

"HAN!"

Sa force pourrait lui déboiter la mâchoire.

"HAN! HAN!"

Deux coups de reins mal gérés l'empêche de passer là où il veut. Il remue, ajuste!

"PUTAIN, PRENDS CA!"

Il sait très bien que ce n'est pas clean tellement ça râpe sur les bords. Putain qu'il explose. La gueule de Cora, c'est une fosse, pas sceptique, mais pas loin.

"HA! HA! HA! BORDEL! ARGH !!!"

Les mouvements du flic sont désordonnés. Il nique comme un sauvage et la tête de Cora est prise dans un étau sans pitié. Le pelvis de l'homme s'y écrase furieusement. Là, on a dépassé l'acte sexuel, on est déjà plus dans l'extrême démesure de la décadence de ce couple improbable.

Et quand l'orgasme arrive, Ryo hurle comme un animal blessé et se fiche au plus profond de la gorge de Cora. Son énorme gland gonflé de sang se loge dans l’œsophage de la jeune femme, forçant le conduit à se dilater comme il ne l'a jamais fait. C'est une première fois ... et quelle première fois ...
La tête et les épaules de Cora sont masqués par l'énorme masse du flic. Il la comprime, lui interdit tout mouvement, empêche les spasmes de se libérer. Magnifique bouche à foutre, superbe outre à sperme que la nymphomane américaine.

Ryo ne la relâche pas, NE L'Y AUTORISE PAS!


Il abuse égoïstement et reste en elle. Putain ouais qu'il sent qu'elle veut réagir. Mais non salope! Encaisse putain!

C'est trop, c'est extrême. Et quand il se retire enfin, c'est avec une immense satisfaction qu'il contemple SA loque.

"J'vais pisser. Si t'as encore soif ..."

Il se dirige vers la salle de bain.
« Modifié: jeudi 06 novembre 2025, 15:30:20 par Ryo »

Cora Travers

E.S.P.er

Re : Ride the white horse [Pv. CORA]

Réponse 23 mercredi 05 novembre 2025, 19:50:49

La mutante ne tarde pas à sentir la situation se renverser. Repoussée contre le sofa dans une position qui pourrait certainement être plus confortable, la blonde se retrouve bien vite coincée. Mais loin d’elle l’idée de protester. Au contraire. Ses lèvres s’ouvrent en grand, prête à accueillir de nouveau la trique épaisse de Ryo.

Dans l’état d’excitation où elle était, Cora n’avait plus de limites. Plus c’était brutal, plus elle appréciait. Ou peut-être que c’était son amant qui l’avait conditionnée de la sorte après un mois. Mais, dans tous les cas, elle se livrait bien volontiers à cet assaut sexuel brutal. Quitte à avoir la mâchoire endolorie ensuite. Elle n’en avait cure. Elle voulait juste cet orgasme qui la narguait de plus belle.

La force avec laquelle le flic investissait sa bouche, sa gorge, était anticipée. Le manque d’air qui se faisait parfois sentir aussi. La laborantine avait les yeux qui se révulsaient presque alors que le plaisir montait toujours plus dans son corps maltraité. Les grognements de son amant, les mots « doux » qu’il pouvait avoir à son encontre, la puissance de ses coups de reins… Tout ça faisait parti des déclencheurs de son deuxième orgasmes. Mais ce qui la fit basculer, ce qui l’envoya directement au-delà du septième ciel, ce fut le manque d’air. Dans son corps à la chimie chamboulée par la drogue, le manque d’air qui la faisait trembler et se débattre futilement contre la puissance de Ryo fut le moment décisif pour faire de la nymphomane blonde une femme fontaine. Ses cuisses n’étaient plus humides, elles étaient trempées.

Son corps qui se débat toujours vainement contre la prise que l’homme avait sur elle. Le manque d’air commence à lui faire tourner la tête en plus de la faire jouir. Elle tremble, la pauvre, la gorge pourfendue par l’épaisse queue du flic.

Enfin, finalement, il la relâche. Cora tente de prendre une grande inspiration. Elle tousse, son corps agité de soubresaut alors qu’il se réhabitue à l’air qui circule de nouveau dans ses poumons. Elle manque de vomir, mais retient l’impulsion avec peine. Elle bave, en revanche. Elle pleure. Elle a le nez qui coule. Mais, malgré tout, elle plane. Vaguement, elle entend les paroles de son amant. Il faut un certain temps avant que la signification de ce qui avait dit lui parvienne au cerveau.

Une lueur salace éclaire son regard larmoyant alors qu’elle lève la tête pour voir son dos s’éloigner en direction de la salle de bain. Elle tente de se relever mais chancelle et se ramasse contre le tapis. Tant pis, elle ira à quatre patte. La jeune femme atteint péniblement sa destination et, comme elle l’avait deviné, il est là, l’attendant dans la douche. Elle se rapproche aussi vite qu’elle peut, avant de s’installer à genoux devant lui.

Cora ferait presque peur à voir avec son visage au maquillage ruiné par les larmes, la morve et la salive. Mais le regard qu’elle lance à Ryo est pleinement satisfait. Elle sait qu’elle aura certainement le droit à un autre rail de coke après la douche, et elle en frissonne d’anticipation. Elle lui adresse un sourire salace avant d’ouvrir grand la bouche et de tirer la langue, prête à s’humilier de plus belle en se faisant arroser d’urine.

La mutante était vraiment devenue une bonne chienne bien dressée, il n'y avait pas à dire.
cc99ff - Paroles de Cora.

Ryo

Humain(e)

Re : Ride the white horse [Pv. CORA]

Réponse 24 jeudi 06 novembre 2025, 15:39:46

La porte de la salle de bain était ouverte et Ryo l'avait vue, sa chose dépravée, sa catin de luxe incapable de se sorti du filet dans lequel il l'avait enfermé. Le loft du flic était devenu l'antre de la perversion, de la décadence et de la débauche.  Pas un meuble n'avait échappé aux positions imposées par Ryo à Cora. Écrasée contre un placard, allongée sur une commode, prise sur le plan de travail de la cuisine, bourrinée d'innombrables fois sur le grand sofa.  Et pas que ... Leurs jeux les avaient poussé jusqu'à utilisé des objets de la vie courante, tous insérés dans le corps de Cora: bouteilles de tailles et formes diverses et d'autres choses improbables.

Cora avançait comme une chienne blessée, à quatre pattes, se trainant vers sa gamelle: la douche, et son maitre: Ryo. L'homme l'attendait, grand seigneur, la bite molle mais fourmillante de ce qu'il avait a purgé. Gaver Cora de foutre n'était pas tout. L'esprit malade du policier voulait aller plus loin, tester d'autre chose, repousser les limites de la jeune femme et en faire l'objet sexuel parfait, capable de s'acquitter de toutes les ignominies. Il ne l'aida pas, la laissant galérer pour le rejoindre, ne bougeant pas d'un iota jusqu'à ce qu'elle s'agenouille devant lui, offerte mais aussi désireuse de s'abreuver du supplément proposé.

Il avait gagné. La coke et sa queue avaient fait de Cora ce qu'il en voulait: une femme capable de jouer les putes de caniveau comme les escorts de luxe, celles que l'on ne trouvait que dans les grands palaces, disponibles aux bars de ceux-ci, sirotant un champagne hors de prix dans l'attente d'un richissime client.
Cora était belle, sublime même, quel que soit son état. Il suffisait dorénavant de la gérer, c'est à dire de la maintenir dans un état acceptable pour en faire un atout de première main. Et premier test, ce soir!
Mais en attendant ...

"Arrête de gigoter putain, on dirait que c'est toi qui veux pisser. Redresse toi, ouvre bien la bouche. Ouais, comme ça. Interdit de cligner des yeux! Et tu recraches pas!"

Ryo orienta sa queue vers le visage de l'américaine et ne prit pas la peine de viser. Le geyser d'urine jaillit, assez chaotique. Si la trajectoire directe parvint à la bouche de Cora, des éclaboussures imbibèrent ses cheveux et son visage. Et puis, il y en avait bien trop en réalité donc il secoua sa molle un bon coup et termina de ruiner SA femelle.

"Bonne petite chienne. Lave toi maintenant et prépare toi ensuite. Applique toi, il faut que tu sois belle. Fais ça bien et j'te préparerais un kiff à la cuisine." (Il entendait par là un rail conséquent qui ramènerait Cora à une réalité sereine, loin des nécessités de la dépendance).

Il se lava, monopolisant la flotte et la laissa glander ensuite alors qu'il se préparait. Ils allaient rencontrer un élu de la ville, le directeur des projets immobilier et adjoint au maire actuel. Ce type était une crapule, un salopard de la pire espèce, fabuleusement efficace devant les médias mais cruel, avide et totalement corrompu dans son activité professionnelle. Il gérait ses petites affaires d'une main de maitre et Ryo le soupçonnait d'être justement soutenu par le maire contre lequel personne n'avait rien à dire ....

Mais ce qui amenait Ryo a rencontré l'homme véreux ce soir, c'était l'ouverture d'une tripot clandestin au cœur du quartier de la Toussaint. Par tripot, on entendait un établissement de luxe enterré sous les fondations d'un vieil hôtel pouilleux. Les yakuzas aimaient le jeu et les bimbos occidentales et les fonds dont ils disposaient intéressaient bien évidemment les loups des business moisis. Le quartier de la Toussaint, c'était le territoire de Ryo, son terrain de chasse et sa zone de prospection. Avec lui, l'élu voulait éviter l'intéressement de la police mais ce n'était pas gratuit et cette petite soirée allait définir les "avantages" que Ryo allait tirer de cette "collaboration". Et Cora allait contribuer à la générosité de l'élu, qui serait accompagné de "collaborateurs" importants.

Une fois n'est pas coutume, il se rasa et passa un costume couteux (sans cravate). Autant faire bonne impression, et particulièrement ce soir-ci.

Après, en attendant Cora, il lui prépara son rail , hautement mérité, puis s'alluma une clope.
« Modifié: vendredi 07 novembre 2025, 15:31:46 par Ryo »

Cora Travers

E.S.P.er

Re : Ride the white horse [Pv. CORA]

Réponse 25 jeudi 06 novembre 2025, 18:53:12

Le regard clair de la mutante se fixe sur Ryo alors qu’elle cesse de se tortiller. Sagement, elle obéit aux injonctions et n’a pas à attendre longtemps pour être un peu plus dégradée encore. Elle fait son possible pour avaler au maximum ce qui inonde sa bouche, mais une grande partie lui coule sur les joues, le menton et termine sa course le long de sa poitrine. Elle essaie de ne pas ciller, de se montrer parfaitement obéissante pour faire plaisir à son amant, et son regard larmoie de plus belle alors qu’elle se fait arroser comme si elle était sous la douche.

Quand le jet se tarit enfin, la blonde referme la bouche et cligne rapidement des paupières. Dans l’état où elle est, abrutie par le plaisir et la drogue, elle ne s’offusque absolument pas du ton ou des manières brusques du flic. Elle lui offre au contraire un sourire satisfait et attends sagement qu’il termine de se doucher.

S’aidant du mur, Cora réussit enfin à se redresser et tourne immédiatement le jet d’eau plus chaud, fermant les yeux en savourant le bien-être que l’eau chaude procure à son corps abusé. Si elle avait eu le temps, elle se serait prélassée dans un bain chaud pendant un long moment. Mais il fallait penser à la réservation qu’avait Ryo pour le dîner, aussi fit-elle en sorte de limiter le temps passé sous la douche.

Sèche, elle retourna dans le salon entièrement nue pour y saisir le sac de fringues que l’homme venait de lui acheter. Avant de retourner à la salle de bain pour s’habiller, elle lui demande quelle tenue il préfère qu’elle porte ce soir. Puis elle va se déguiser dans le costume choisi. Oui, pour Cora, toutes ces fringues ne sont que des déguisements. Tant qu’elle ne les met pas dans la vie de tous les jours pour aller bosser ou faire des courses, ça restera ainsi.

Une fois prête, elle prend le temps de souligner son regard de khôl, d’allonger et épaissir ses cils avec du mascara et, enfin, elle peint ses lèvres au rouge à lèvre. Comme coiffure, sa courte crinière ne permet pas grand-chose. Aussi se contente-t-elle de les sécher avec soin et de les brosser. Une paire de boucle d’oreille complète la session maquillage. Pour terminer, elle glisse ses pieds dans les chaussures assorties au déguisement et descend enfin retrouver le flic dans la cuisine.

« Comment tu me trouves, Darling ? Demande-t-elle en venant près de lui, tournoyant sur elle-même pour lui faire admirer la vue. Oh, c’est pour moi ? Demande-t-elle en avisant le rail de coke déjà préparé. Tu crois que tu pourras en amener pour le dîner ? Je ne m’excuserais pas longtemps pour me « repoudrer le nez » comme le veux l’expression, je te le promets. C’est juste pour être en mesure d’apprécier la soirée encore plus, mmh ? »

Et elle ne tarde pas à sniffer la récompense quand il lui donne le feu vert, rejetant ensuite la tête en arrière avec un frisson qui lui parcourt tout le corps. A la limite de ronronner, elle se colle après contre lui comme une chatte en chaleur, le remerciant de sa générosité à son encontre.
cc99ff - Paroles de Cora.

Ryo

Humain(e)

Re : Ride the white horse [Pv. CORA]

Réponse 26 vendredi 07 novembre 2025, 15:35:45

Superbe. Il fallait, et ce n'était pas difficile, le reconnaitre. La présence de Cora était absolument fascinante. Ryo en oublia de tirer ses taffes et apprécia chaque détail qu'elle lui exposait. Cette robe fourreau ivoire, d'une indécence absolue, était ce qui caractérisait le mieux la jeune femme: outrance, exposition, exhibition, déballage des atouts physiques. On ne pouvait que se perdre dans ce décolleté tellement profond qu'il ne cachait presque rien. La taille, les hanches étaient définies parfaitement et la coupe verticale sur le coté droit permettait un visuel effarant sur les bas ravageurs que portait Cora. Baisable comme jamais. S'il la lâchait ainsi sur le trottoir, le premier mec qui passait la foutait à quatre patte et la plombait en public.

"T'es craquante Cora. Me chauffe pas, faut qu'on y aille."

Il sort de sa poche intérieure un pochon de coke qu'il lui montre pour répondre à sa question et le remet à sa place. Bien sûr qu'elle va y avoir droit. Pour ce qu'elle va avoir à faire ce soir, elle en aura bien besoin. L'élu en question  n'est pas un beau gosse. Et nul doute que ce qu'il conserve dans son futal n'est pas des plus reluisants. L'abus d'alcool et de tabac se devine à la couleur de sa peau, plus foncée que le commun des asiatiques.

La rencontre à lieu au Takashiro's . Il s'agit d'un restaurant huppé, apprécié des connaisseurs pour la qualité de ses prestations mais aussi pour la discrétion du personnel. Et pour cause, le patron est un yakuza notoire et il a tout intérêt à faire de cet établissement prisé un lieu où l'argent transite loin des regards.

Quand Ryo s'y présente, Cora accrochée à son bras, fervente amoureuse au regard amouraché, l'effet est triomphal bien malgré eux. Quel couple parfait digne des meilleurs comptes Onlyfans! Beaucoup de tête se tournent et là  où les nénettes devraient engueuler leur mari trop voyeur, elles matent le flic colossal en retour. Après quelques pas sur une moquette épaisse, un maitre d'hôtel vient s'enquérir de leurs qualités, non sans manquer tomber dans le décolleté de Cora dont les seins semblent vouloir jaillir de l'ensemble.
Sobrement, Ryo donne juste un numéro de table et l'homme affable acquiesce et les mène dans le fond de la grande salle. Là, quelques box savamment isolés permettent aux Grands et aux Riches de faire leur petites affaires. Au numéro 2, le maitre d’hôtel tire un rideau lourd et leur permet le passage. Là, une table ronde, six fauteuils autour, et 4 occupants déjà bien installés. Tout comme le reste du restaurant, l'endroit est ultra luxueux. La table est nappée de draperies françaises, la vaisselle est de haute marque allemande et le vin déjà ouvert et servi est hors de prix. Le prix d'un seul des fauteuils doit valoir le salaire annuel d'un cadre moyen et le capitonnage du box est à l'épreuve des balles autant qu'il isole des bruits entrants et sortants. La lumière n'est ni douce ni vive, juste suffisante pour que tout soit apprécier à sa juste valeur.
En bref, ça pue le pognon.

Les quatre personnes présentes, tous des hommes, se lèvent à l'entrée du couple. Tous se foirent en louchant sur Cora. Si le japonais est réputé pour savoir masquer ses émotions, ce n'est pas le cas ce soir. Nobu Toshida, l'élu, les salue tandis que les autres s'inclinent. L'homme est gras, ventripotent même. Court sur patte et large, il occupera bien toute l'assise de son fauteuil. Son visage est un masque de tofu jaunâtre et ses cheveux noirs épars sont collés à son crâne à grands renforts de laque. On voit bien qu'il a chaud et le col boutonné de sa chemise lui rentre dans le gras du cou. Affreux ... mais important.

"Ryo! Mon brave Ryo ... Je disais justement à mes collaborateurs à quel point je t'apprécie."

"J'en suis ravi monsieur Toshida."

"Et tu nous fait le cadeau de nous amener une ... ton amie. C'est bien, c'est très bien! Bienvenue mademoiselle. Enchanté de faire votre connaissance. Nobu Toshida. Maire adjoint à la ville. Le titre est pompeux mais d'importance, vous comprenez? Asseyez vous donc."

Cora est assise entre Nobu et Ryo; Les autres hommes ne ressemblent ... à rien si ce n'est à des marionnettes dédiées au service de l'élu. Mais ils portent les attributs d'hommes aisés: montres de luxe, costumes de grandes maisons, mains entretenues ...

S'ensuivent les inévitables flatteries et de longues louanges, autoproclamées de l'élu. Tous approuvent, lèvent leur verres, puis après quelques minutes insupportables, le véritable sujet est déballé. Ryo n'en peux plus, il est prêt à exploser. Heureusement que les choses commencent.

"Ryo, mon ami, j'ai étudié tes tarifs. Je comprends ton point de vue mais mon établissement n'est pas lancé. Pour débourser de telles sommes, j'ai besoin d'asseoir la réputation de ma salle. De belles recettes entrainent de belles dépenses mais ce n'est pas pour tout de suite."

"C'est la cinquième salle que vous ouvrez monsieur. Les recettes seront de l'argent de poche; Mes tarifs sont calculés au plus bas, parce que nous nous apprécions."

"OH OH OH! Ryo Ryo ... Tu es malin. Tu prends notre amitié en otage. J'aime ta franchise mais tes tarifs sont trop élevés."

Les cinq derniers mots étaient tombés comme un couperet. C'est là que les négociations commençaient.

L'homme gras se tourna vers Cora et posa ses doigts huileux sur son avant-bras.

"Vous devez vous ennuyez mademoiselle. Parlez-nous un peu de vous. Vous aimez le vin? Quel est votre point de vue. Participez donc."

Son avis, il s'en cognait. Là aussi, les négociations commençaient.


Cora Travers

E.S.P.er

Re : Ride the white horse [Pv. CORA]

Réponse 27 vendredi 07 novembre 2025, 17:21:15

Un grand sourire étire les lippes de la mutante. La douche lui a fait du bien et elle marche presque comme si elle ne s’était pas fait défoncer le cul juste avant. Entendre le compliment de Ryo lui faisait plaisir, autant que de voir le petit pochon de poudre blanche qu’il avait dans sa poche. Elle rit, doucement, et le laisse l’entraîner vers la sortie, la voiture puis le restaurant. Durant le trajet, elle le questionne un peu sur les gens avec qui ils vont dîner. Sur le rôle qu’il veut la voir jouer. Parce qu’elle est peut-être droguée et incapable de lui dire non, mais elle n’est pas conne. Elle est même plutôt intelligente, tant au niveau académique que social.

Bien entendu, elle sait jouer la petite dinde superficielle et qui ne pense qu’à sa prochaine dose de coke. Et s’il veut la voir jouer ce rôle, s’il veut qu’elle ne soit qu’un appât pour que quelqu’un morde à l’hameçon, elle ne va pas refuser de l’aider.

Quand ils entrent finalement dans le restaurant, la blonde s’accroche au bras du flic comme si elle n’était qu’une bimbo faisant parti de son style, de sa décoration. Le regard amouraché qu’elle lui glisse n’est pas feint, mais l’apparente futilité de son être, en revanche, oui. Elle observe les lieux à mesure qu’ils avancent et qu’ils se retrouvent dans une alcôve privée.

Cora sourit joyeusement aux quatre hommes déjà présent, inclinant le buste profondément dans une parodie de respect alors qu’elle captait juste leur attention avec sa poitrine savamment mise en valeur. Elle feint d’être impressionné quand l’homme le plus important face à eux se présente, et glousse doucement, nerveusement, comme si l’idée d’être présenté à quelqu’un de si haut placé lui fait de l’effet.

« Cora Travers. C’est un honneur de vous rencontrer, monsieur ! S’exclame-t-elle pour le flatter avant de prendre place. »

Elle écoute attentivement les hommes parler, jouant distraitement avec le pourtour de son verre de vin du bout de l’ongle. Une main se loge sur la cuisse de Ryo, comme pour s’assurer de sa présence. Cora -pensant qu’elle n’est là que pour les distraire- joue de son corps pour sans cesse attirer les regards. Soit elle s’appuie contre la table, réhaussant sa poitrine, soit elle se prélasse contre le dossier de sa chaise, croisant et décroisant les jambes sous la table, frôlant régulièrement le maire adjoint dans ses mouvements.

Elle comprend bien que Ryo souhaite les assouplir pour son propre bénéfice. Et elle joue le jeu. Quand son voisin de table s’adresse finalement à elle, une main se posant sur son avant-bras, la blonde resserre un instant son étreinte sur la cuisse du flic à ses côtés. Puis, forçant un sourire joyeux, elle tourne la tête pour regarder son interlocuteur.

« Oh, vous savez, je trouve toujours à m’occuper pour ne pas m’ennuyer, commence-t-elle avec un petit gloussement qui voulait tout dire. Je n’aime pas particulièrement le vin, non. Je suis plus adepte de bière, ou d’autres alcools plus fort encore. »

Un clin d’œil est adressé à Nobu tandis qu’elle ramène un bras sous sa poitrine, le long de la table. Elle peut voir les regards s’y diriger mais feint de ne pas y faire attention.

« Vous désirez mon point de vue ? Mince, je n’ai pas prêté attention à la conversation, je pensais n’être là que pour faire joli, plaisante-t-elle, tirant un rire aux quatre japonais. En réalité, je me dis que vous devriez vraiment accepter les termes de Ryo. Je ne prétends pas avoir vos connaissances des affaires, mais je sais que my darling travaille dur et sait de quoi il parle. »

La mutante ne tique pas alors que la main de l’élu glisse contre son bras, venant serrer son épaule avant de revenir sur la table. Elle sait qu’ils se fichent de son avis. Elle le voit bien. Son regard clair glisse sur son amant alors qu’elle sent la main de Nobu venir tâter sa cuisse, glissant sous le tissu de la robe en profitant de la fente qui dévoilait ses bas. Elle voudrait bien gifler cet importun, peu attirant au demeurant, mais ça n’irait pas dans le bon sens pour les négociations que le flic espérait mener.

Mmh, peut-être était-il temps d’un petit repoudrage de nez ? Ses prunelles questionnent le grand flic en dardant sur la poche intérieur de son blouson puis revenant à ses yeux. Au moins, avec de la coke, elle pourrait supporter plus facilement les attouchements de son voisin de table.
cc99ff - Paroles de Cora.

Ryo

Humain(e)

Re : Ride the white horse [Pv. CORA]

Réponse 28 lundi 10 novembre 2025, 16:40:22

Au moins deux des acolytes de l'élu s'imaginent très bien caler un shooter entre ses deux mamelles incroyables pour venir s'y abreuver alors que Cora les met en avant en parlant d'alcools forts. Tous sourient poliment à sa plaisanterie sans y accorder une once d'intérêt. Qu'une femme soit assise à leur table relève de la limite presqu'acceptable mais le fait qu'elle soit sexuellement si parfaite compense l'insulte. Son avis passe à des années lumières de leur considération mais au moins, la partie "échanges de politesse" est faite.

Ryo observe. Les choses vont évoluer. Là, on pose les bases. Chacun émet son point de vue. C'est très japonais comme hypocrisie, surtout en sachant que tout peut terminer dans un bain de sang très rapidement si susceptibilité blessée il y a. En vérité, Nobu va payer et Ryo touchera bien moins que le prix demandé; mais comme celui-ci est déjà calculé avec la perte des négociations ...

Les mouvement moyennement discrets de l'élu à l'égard de Cora ne lui échappent pas non plus, comme à personne. C'est pour cela, à minima, qu'elle est là. Elle fait de gros efforts pour rester américainement courtoise et c'est tout à son honneur; l'homme est répugnant.
Le flic a bien compris l'objet de ses œillades discrètes et il lui sourit. C'est un peu tôt pour la dose mais si elle en exprime le besoin, c'est qu'il existe. Alors que les attentions se plombent dans le décolleté de Cora, Ryo lui glisse ce qu'elle demande dans la main. En revanche et elle ne le sait pas, la coke est couplée avec un truc bien plus pernicieux, le genre de substance qui incite à bien plus que des papouilles tant ça chauffe le corps. C'est dégueulasse mais ... c'est comme ça.

Ryo s'est posé des questions à ce sujet mais quand on parle pognon ... y'a des priorités. Cora aura un petit billet, il la niquera bien méchamment après, et ce sera oublié ... Et puis au pire si elle fait chier, il a des films et des photos qui entrent dans la catégorie super compromettante. Il avait hésité, il l'aime bien Cora. Elle l'aura son diamant ...

Quand elle est partie, son cul captant encore toutes formes de fantasmes, il se cale dans sa chaise.

"Tu veux quoi?"

"Ta pute."

"Elle est pas à vendre Nobu."

"Ta pute, aujourd'hui et quand j'en ai envie. Et tu prends 15000 par mois"

"18000. Y'a aussi le palais de justice à endormir."

"... "

" ... "

"Elle suce bien?"


"Y'a pas mieux."

"Tu nous laisses un peu?"

"18000 ?"

"18000"

 Quand Cora revient, Ryo se lève à son tour pour aller aux chiottes. La fille a les yeux qui brillent, légèrement vitreux. J'reviens qu'il lui dit mais il ne va pas se presser.

Dans le box, Nobu admire le retour de sa marchandise. C'est d'autorité qu'il lui palpe sa cuisse et qu'il prend la main de Cora pour la poser sur son paquet. Le déballage pourrait être imminent ... enfin, les déballages car ils sont quatre à convaincre, pour la forme.

"Passe sous la table."

C'est déjà moins sympa comme ton ...


   

Cora Travers

E.S.P.er

Re : Ride the white horse [Pv. CORA]

Réponse 29 lundi 10 novembre 2025, 19:58:08

C’est avec gratitude que la blonde embrasse Ryo avant de s’excuser pour aller aux toilettes, les doigts serrés contre le petit pochon de drogue qu’il vient de lui refiler. Elle prend soin de rouler des hanches, bien entendu, avant de disparaître de la vue des hommes à table. Une fois seule, les toilettes étant désertées pour le moment, la mutante sort un petit miroir de la pochette qu’elle traîne avec elle et une carte de crédit. Avec dextérité, elle se fait un rail et se l’enfile sans faire de manière.

Pendant qu’elle prend son temps à ranger son matériel, la jeune femme sent la drogue agir. Un coup de fouet, une envie de bouger, de danser… De baiser. Contrairement à l’habitude, son corps s’échauffe sans même que Ryo ne soit responsable. Dans le miroir, la blonde voit ses pupilles s’élargirent alors qu’elle a du mal à s’empêcher de se trémousser pour frotter ses cuisses l’une contre l’autre. Diablement efficace, cette addition dont elle n’est pas consciente dans sa dose habituelle.

Elle se lave les mains, pour donner le change alors que quelqu’un d’autre rentre dans les toilettes, et retourne dans la salle. Par-dessous le tissu ajusté de la robe, la pointe de ses tétons se fait connaître. La pauvre mutante, arrivant à la table, est déjà bien échauffée. Avec dépit, Ryo se lève quand elle se réinstalle. Son regard le supplie de ne pas la laisser seule, mais il lui fait comprendre qu’il va revenir et elle se rassure.

Un sourire hésitant orne ses lèvres peintes en rouge. Il se fige alors que Nobu se fait plus entreprenant, sans prendre de gants. Le souffle de la blonde devient erratique alors que sa main est posée contre l’entrejambe de l’élu et que sa cuisse est prise d’assaut sans vergogne. Mais, consentante ou non, son corps réagit à l’extrême. Comme si un courant électrique la parcourait. Ses lèvres s’entrouvrent de surprise quand l’ordre est donné. Elle déglutit, mais la tension dans ses reins se fait plus forte. Elle a besoin de sexe.

Dans un état second -probablement dû à la drogue-, la jeune femme obéit sans broncher et se glisse sous la table. Agenouillée, avec la vision de quatre paires de jambes qui s’écartaient comme pour l’attirer, la blonde n’hésite qu’un instant avant que la main qui est plaquée contre la trique de l’élu ne s’anime. L’autre la rejoint pour libérer l’engin –beaucoup moins imposant que Ryo, se dit-elle avec dépit- et le branler d’abord doucement.

« Suce, et dépêche-toi, intime Nobu comme elle hésitait. Et n’oublie pas de t’occuper de mes voisins également… »

Une paire de jambe bouge et fait le tour de la table pour s’installer à la place libérée par la mutante aux cheveux roses. Presque comme dans un rêve, elle guide d’abord le sexe de l’élu entre ses lèvres, se rapprochant pour être quasiment lovée entre les jambes de l’homme, et ses mains se dirigèrent à tâtons de chaque côté, vite aidée par les hommes qui calèrent leurs sexe raidis entre ses doigts et se servirent allègrement de ses mains pour se branler.

« C’est ça, petite pute. Suce bien, avale bien ma queue, c’est tout ce que tu mérites ! Qu’elle entend Nobu dire, l’imaginant bien reposer sa tête contre le dossier du siège pour profiter de sa pipe. »

Les mains de l’élu ne tardent d’ailleurs pas à venir se caler sur son crâne. Il la laisse découvrir à son rythme pour un temps, n’appuyant sur son crâne que pour la maintenir quand son nez s’enfouit contre sa toison et la relâchant après quelques longues secondes.

« Quelle petite bouche délicieuse, complimente-t-il tandis qu’elle augmente un peu le rythme des allers-retours de ses lèvres contre sa tige. Vas-y, petite salope. Etouffe-toi contre ma queue ! »

De chaque côté de l’élu, les hommes grognent doucement, ayant hâte de sentir sa bouche chaude contre leurs triques. Ils se branlent sans vergogne avec ses mains pour l’instant, mais ils n’attendaient qu’une chose : Que Nobu lui remplisse la gorge avant qu’ils ne puissent se l’approprier.

La mutante prend vite de la vitesse quand les doigts huileux du maire adjoint se crispent dans ses cheveux. Mais, bientôt, il prend le contrôle et dirige sa tête sans vergogne pour lui baiser la gorge. Il lui cogne le nez contre son aine, encore et encore, puis se crispe alors qu’il est au fond de sa gorge. Il lâche la sauce, exhalant de plaisir.

« Ouais, avale bien tout, c’est tout ce à quoi tu es bonne, catin. »

Enfin, il la relâche. La blonde a le menton couvert de salive et un peu de foutre lui coule au coin des lèvres. Le manche de Nobu est couvert de son rouge à lèvre. Il lui intime encore quelques vas-et-viens, lui ordonnant de nettoyer sa queue poisseuse, avant de la repousser sèchement contre les jambes de celui qui a pris sa place.

« Sa petite bouche de suceuse est toute à vous, les amis, indique Nobu alors que son voisin de table attrape les cheveux teints en rose pour lui coller la bouche sur son propre sexe. »

De taille moyenne, mais fin, il ne tarde pas à utiliser sa bouche comme son vide-couille personnel. La branlette de ses doigts fuselés l’a mis en appétit. Avec quelques rudes allers-retours, il se lâche à son tour, tapissant sa gorge et -retirant son sexe au dernier moment- son visage. Il râle de plaisir, ne la lâchant pas alors qu’il revient lui fourrer son sexe entre les lèvres pour qu’elle nettoie la salive et le foutre qui restent sur sa tige.

« Putain ouais, elle est trop bonne. A vous, les gars ! »

Et, à son tour, il la repousse. Il se lève peu après pour reprendre sa place, reboutonnant son pantalon d’un geste brusque. Et la pauvre Cora est de nouveau attrapée comme si elle n’était qu’une poupée. Elle ne résiste pas, son corps brûlant d’envie de se faire démonter, et ouvre même la bouche avant qu’une main ne vienne la traîner jusqu’à une queue aussi grande que Ryo mais plus fine, plus insidieuse.

Sans se soucier de l’odeur de ce sexe, ses lèvres se referment sur la peau tendue tandis qu’une main la pousse à le prendre en entier dès le départ. La main appuie sur son crâne sans douceur tandis que le gland passe sa glotte et se loge dans sa gorge, manquant de la faire tousser. Bien décidé à se servir lui aussi de cette délicieuse bouche à pipe, il ne prend pas de gants et entame dès le début un rythme soutenu. La blonde en a les yeux qui pleurent alors qu’elle peine à respirer. Elle bave abondamment comme elle n’a pas le temps de déglutir, et son décolleté ne tarde pas à être inondé de sa salive. Son rouge à lèvre est ruiné, à ce point, laissant toutefois encore des marques sur la trique qui cherche à lui pourfendre la gorge.

Une main est prise d’autorité pour se refermer sur un sexe de taille moyenne, une nouvelle fois, mais plus large que tous les précédents. Son pouce et son index n’en font pas le tour. Tandis que sa gorge se fait pilonner sans merci, sa main est utilisée pour branler le dernier des hommes.

Un peu plus tard, le nez enfoui contre l’aine de l’homme qu’elle suce, Cora a de nouveau la gorge repeinte. Elle manque de s’étouffer tant celui qu’elle suce presse sa tête contre sa queue et de la semence coule de nouveau au coin de ses lèvres. Alors qu’elle se sent défaillir avec le manque d’air, que ses doigts se crispent contre la bite qu’elle branle à côté, il la relâche finalement pour lui imprimer quelques mouvements de plus afin de se nettoyer la queue.

« Ryo n’a pas menti. Putain, sa bouche est bonne. J’aimerais bien voir le reste également, patron ! »

Tremblante, la jeune femme est enfin attirée vers la dernière paire de jambe. Vers ce sexe de taille moyenne mais si épais que ses doigts n’en font pas le tour. Pas au niveau de Ryo, certes, mais quand même. Cora ne saurait dire si Ryo est revenu entre temps, elle n’a pas le temps de se le demander. De nouveau, sa bouche est prise d’assaut. Un rythme violent est imposé, le gland violacé butant contre sa gorge sans pitié tandis que la main dans ses cheveux garde une prise ferme.

« C’est un bon vide-couille, c’est sûr. Hey, Ryo ! Elle sert aussi d’urinoir, ta pute ? Demande le dernier qui pilonne rudement la gorge de la blonde. »

Sans pouvoir s’en empêcher, Cora laisse un gémissement s’étouffer contre la queue qu’elle gobe. A quatre patte sous la table, sa croupe est directement tournée vers la place que Ryo occupait. S’il se penche -pour ramasser une serviette tombée, par exemple- il pourra clairement voir sa petite chatte trempée et ses cuisses luisantes.
« Modifié: lundi 10 novembre 2025, 22:11:42 par Cora Travers »
cc99ff - Paroles de Cora.


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