Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Ride the white horse [Pv. CORA]

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Ryo

Humain(e)

Ride the white horse [Pv. CORA]

dimanche 12 décembre 2021, 09:13:49

"Comment c'est arrivé?"

Ryo se tenait à quelques pas de la morte qu'il avait bien connu. Et pour cause, c'est lui qui l'avait introduite dans le métier. Autrefois, elle avait été belle. Ses longs cheveux blonds, son visage fin, ses yeux émeraude et son corps de dingue rendaient fous ses clients. Elle était canadienne, s'il se rappelait bien. Elle devait avoir une petite vingtaine d'années et prévoyait d'intégrer l'université de Seikusu pour suivre un cursus linguistique. Ca, il s'en souvenait car après l'avoir kidnappée, elle l'avait rabâché en pleurant jusqu'à ce qu'il lui colle une baffe qui avait failli la tuer. Dommage pour elle. Au mauvais endroit au mauvais moment. Les clients des bordels tenus par les yakuzas kiffaient les putes occidentales mais plus encore, les plus fortunés d'entre eux préféraient les jeunettes  innocentes pour les violer en leur faisant mal. Rien de mieux qu'une touriste ou une étudiante pour s'adonner à ce genre de jeu. En un an, c'était la deuxième que Ryo voyait crever et bien qu'il s'en foute, la suite le faisait chier royalement.

"Le client lui a fait prendre un rail de coke pure, elle a claqué en deux minutes."

"Fais chier! Ca fait qu' deux mois que je vous l'avais ramenée."

"Désolé Ryo, le mec a craché une fortune. De toute manière, elle était destinée à finir comme ça hein?"


Le grand flic haussa les épaules. Boss Takeda, propriétaire du bordel, yakuza puissant et ami de circonstance, lui avait déjà commandé une nouvelle fille. S'en procurer était un travail long et laborieux, précédé d'une préparation minutieuse. Les disparitions d'étrangères n'étaient pas prises à la légère par les services de sécurité au Japon. Le ripoux le savait bien, il avait déjà diligenté une enquête sur ses propres agissements. Le cas avait bien sûr été classé ...

"Faites dissoudre le corps dans de l'acide et virez moi tout ça dans les égouts."

Ryo quitta l'établissement situé dans une rue discrète du quartier de la Toussaint. A l'extérieur, la population habituelle pullulait, fidèle à elle-même. Des parias, des camés, des putes de trottoir, des petites frappes, erraient  en quête d'un sens à donner à leur vie misérable. Des berlines de luxe déposaient des mafieux ou de riches officiels devant des bâtiments où se tramait l'avenir criminel de la cité. Il flottait ici un sentiment de danger permanent qui corrompait même les flics les plus endurcis. Ryo était né dans ce quartier et en connaissait les moindres fluctuations. Il n'était pas entré dans la police pour faire appliquer la Loi mais pour l'utiliser à son propre profit. Il était pourri jusqu'à la moelle. Son loft n'était pas loin aussi était-il venu à pied. Les rues étaient salles et les rats s'y faisaient des festins. Souvent, des junkies crevaient seuls, reclus dans des cabanes en cartons et détritus et quand on retrouvait leur corps, les rats s'étaient déjà bien régalés.

La petite avenue que Ryo remontait à présent était appelée "La petite Saïgon" en référence aux innombrables bordels de la ville vietnamienne lors de la guerre contre les USA. Il faisait déjà nuit et les néons multicolores diffusaient leur lumière criarde à en faire mal aux yeux. Des rabatteurs harcelaient les passants et les vigiles dévisageaient quiconque s'approchait de leur zone à protéger. Quelque uns, reconnaissant le flic, lui firent un signe amical. Ryo était connu dans le quartier et mieux valait l'avoir comme ami que l'inverse.

Le flic haussa un sourcil. Devant lui, un groupe de parasites, des néo-punks faisaient chier une personne qu'il ne voyait pas. Il détestait ces mecs qui puaient la pisse et ne servaient à rien. Même dans le milieu criminel, leur utilisation était limitée. En s'approchant tranquillement, son intérêt s'éveilla d'un coup. La nénette importunée par le groupe d'abrutis était un joli pt'it lot digne de toutes les attentions. Bien foutue où il fallait comme il fallait, une gueule d'ange avec ses cheveux courts et une paire de loches comme les japonaises n'en portaient pas! La fille était paumée, ça se voyait comme les yeux au milieu de la figure, elle n'avait pas le profil du coin. Qu'est-ce qu'elle foutait là? Grand mystère ... Ryo entendit une exclamation en anglais. Putain! Il n'aurait pas à se faire chier à courir après une occidentale pour remplacer Johanna. Elle lui tombait directement dans les bras, et au bon endroit en plus! Du pain béni!

Le grand flic s'afficha un sourire de circonstance, pas facile, il souriait rarement, roula ses larges épaules dans son cuir usé et avança pour poser son énorme paluche sur l'épaule d'un des abrutis.

"Dégagez!"

L'autre se retourna brusquement.

"Va t'faire foutre connard!"

Le gros poing de Ryo lui brisa le nez, la mâchoire et quelques dents au passage. Le type vola pour s'effondrer contre un mur. Un comparse sortit une lame de sa poche avant de se pétrifier. Le canon du .44 de Ryo contre son front l'incita à ne pas continuer sa connerie.

"Faut rester cool mec hein! Déconne pas là hein, on s'barre ok? Reste cool!"

Les déchets détalèrent et Ryo put enfin prendre la mesure complète de la beauté qui lui faisait face. Superbe! Un joyau perdu dans l'écrin de merde de la Toussaint. Le grand flic la dépassait de deux bonnes tête et sa largeur d'épaules .... Bref, il était une montagne de muscles. Avec son jean, ses godillots et son gros cuir, il représentait l'image parfaite du flic des rues. En plus, il était rasé de près aujourd'hui, fait rare! Peut être qu'il pourrait inspiré confiance. Mais pour assurer le coup, il exhiba sa carte officielle.

"Inspecteur Nagata! Police de Seikusu! Il semblerait que vous ne soyez pas chez vous ici mademoiselle. Je peux vous aider?"

Comble de la chance, un éclair zébra le ciel et le tonnerre gronda au dessus de la ville. La saucée qui allait s'y abattre serait sévère. Quelques gouttes commencèrent à tapoter sur le trottoir et Ryo invita l'inconnue à se mettre à couvert sous la devanture d'un troquet tout proche. Le tenancier, qui le connaissait, crut que Ryo venait le taxer comme assez régulièrement.

"Inspecteur!! Venez donc vous asseoir à table! Entrez entrez! Je vais vous servir une soupe de poisson délicieuse, à vous et à votre amie."

"Ouais, bonne idée."

La salle était petite, discrète et parfumée des odeurs traditionnelles d'un troquet japonais.

"Et un remontant sera pas de trop je pense. Amène une bouteille de Saké!"

Cora Travers

E.S.P.er

Re : Ride the white horse [Pv. CORA]

Réponse 1 dimanche 12 décembre 2021, 14:34:42

Ordinairement, Cora savait se diriger dans le quartier de la Toussaint. Elle savait quelles rues éviter pour ne pas se faire emmerder, quel raccourcis prendre pour regagner tranquillement son appartement, et quand baisser la tête et remonter sa capuche pour éviter d’être repérée par les proxénètes. Mais ce soir, ce n’était pas un soir ordinaire. L’oreille collée au téléphone, Cora avait une discussion animée et fascinante avec l’un de ses nouveaux collègues au labo sur un projet tout juste démarré. Tellement prise dans sa discussion, la blonde ne faisait pas attention aux routes qu’elle empruntait.

Sa petite veste en cuir noir scintillait presque sous les lampadaires fatigués, les boutons et la fermeture dorée étincelant à chaque mouvement. En-dessous, le bustier de dentelle corseté maintenait sa lourde poitrine de façon arrogante et soulignait sa taille fine et ses hanches plus évasées. Et le jean noir qui moulait plutôt bien ses fesses rebondies complétait sa tenue avec perfection. Le bruit de ses bottines à talon aiguille, claquant sur les pavés, résonna soudain à ses oreilles alors qu’elle raccrochait.

Ses prunelles pâles effleurèrent les bâtiments devant lesquels elle passait, et elle jura soudainement entre ses dents.

Non seulement la laborantine avait reconnu la rue où elle était -et ce n’était pas une bonne nouvelle- mais elle avait aussi entendu des bruits de pas derrière elle. Et dans ce quartier, ce n’était pas une bonne nouvelle. Si sa mémoire était exacte, elle n’était pas loin du quartier phare de la prostitution en plus.

Nerveusement, elle tourna à droite, puis à gauche tout aussi rapidement, commençant à courir. Avant de se rendre compte qu’elle venait de marcher droit dans un cul de sac. Elle se tourna, dos au mur, pour apercevoir un groupe d’hommes, chacun avec un style clairement néo-punk, s’approcher d’elle. Clairement, vu les regards qu’ils posaient sur elle, ça faisait un moment qu’ils la suivaient.

Plus ils avançaient, plus elle reculait. Jusqu’à ce que son dos heurte le mur derrière elle. Et ils approchaient encore. Ils étaient quatre, et probablement bien imbibés si l’odeur qui émanait d’eux était un indice. Ils ricanaient grassement, ayant probablement déjà discuté de ce qu’ils voulaient lui faire.

Ils étaient trop proches à son goût, maintenant. L’un d’eux tendit une main, que Cora battit sévèrement de la sienne pour la repousser. Ils s’enhardirent, et la jeune femme sentit une main agripper le galbe de sa poitrine quand une autre claquait ses fesses.

« Fuck, jura-t-elle, repliant le poing pour donner un coup à un troisième qui venait de choper sa nuque pour l’attirer à lui. »

Ses phalanges frappèrent un nez, et un craquement retentit. La douleur se propagea aussi dans sa main alors qu’elle la ramenait vers elle. Malheureusement, les trois autres en profitèrent pour la tirer à eux, la plaquant entre deux d’entre eux pendant que le quatrième jurait avec son nez cassé.

Soudainement, une grande silhouette s’interposa. Un autre des quatre lascars eut un nez brisé. Malgré le bruit, Cora entendit le bruit d’une lame sortie, mais bien vite, ses agresseurs se dispersèrent. Les prunelles bleues de la jeune femme se posèrent sur le canon de l’arme qui avait fait fuir les autres. Un gros calibre, assurément. Elle comprenait un peu mieux la dispersions des punks. Puis ses yeux prirent en compte son sauveur, et elle comprenait totalement que les lascars se soient enfuis. Elle devait limite lever la tête pour le détailler complètement, tant il était grand par rapport à elle. Et large. Mais dans le bon sens, pas large comme une barrique. Large, comme un puissant étalon, plutôt.

Fuck, songea-t-elle alors qu’elle sentait ses reins s’échauffer rien qu’à observer l’homme. L’inspecteur Nagata, comme il se présenta un peu après.

« Enchantée, inspecteur, souffle-t-elle en se décollant du mur pour promener brièvement ses yeux sur la carte brandie avant de les ramener sur lui. J’habite à l’autre bout du quartier, je me suis égarée, offrit-elle ensuite, opinant à la mention qu’elle n’était pas du coin. »

Elle s’apprêtait à lui demander s’il pouvait lui indiquer la direction pour retrouver le chemin des rues un peu moins dangereuses du quartier de la Toussaint quand le tonnerre gronda après un éclair lumineux. Sans protester, elle suivit l’inspecteur pour s’abriter de la pluie, n’ayant pas pensé à prendre un parapluie le matin en partant au taff.

Le propriétaire du troquet devant lequel ils s’abritèrent reconnu le grand flic et les invita à entrer et à se mettre à table. Cora protesta faiblement, Je ne suis pas très fan de la soupe de poisson, vraiment, ce n’est pas la peine, mais finit par suivre son sauveur et s’installa à une table après qu’il eut demandé à boire en plus. Le saké, c’était une meilleure idée, déjà.

« Merci pour votre intervention, inspecteur. J’ai été négligente, et je n’ai pas fait attention où j’allais, ça aurait pu mal tourner. »

Elle lui offre un sourire, reconnaissante, tout en se morigénant mentalement. Elle avait été complètement idiote de se laisser accaparer par sa conversation téléphonique ainsi. Elle se jura de se montrer plus prudente à l’avenir.

« Je m’appelle Cora, inspecteur, se présenta-t-elle finalement en se rendant compte qu’elle ne l’avait pas fait jusqu’ici. Cora Travers. Quand l’orage sera calmé, est-ce que ça vous dérangerait de m’accompagner ? Je connais mal ce coin, et j’aimerais éviter d’autres rencontres aussi… Désagréables. »

Elle se tut quand le propriétaire du troquet apporta une assiette de soupe de poisson pour l’inspecteur, et une bouteille de saké. Deux verres furent déposés sur la table avant qu’il ne s’éclipse, un sourire obséquieux aux lèvres qui ne montait pas jusqu’à ses yeux. Au moins, il avait écouté ses faibles protestations sur la soupe de poisson.

Tournant son regard vers l’extérieur, laissant au flic le soin de leur servir un verre, la blonde grimaça en voyant le torrent qui s’abattait à présent sur les pavés. Elle espérait que ce serait aussi court qu’intense, elle ne rêvait que de rentrer et de se caler dans le lit avec un livre.

Ou de rentrer et de déshabiller ce grand inspecteur, songea-t-elle en reportant son regard sur le colosse, posant une main contre son ventre comme si elle pouvait sentir la chaleur qui s’y diffusait rien qu’à l’imaginer sans ses habits.
cc99ff - Paroles de Cora.

Ryo

Humain(e)

Re : Ride the white horse [Pv. CORA]

Réponse 2 dimanche 12 décembre 2021, 17:49:05

"Alors Cora, je suis totalement d'accord avec vous! La soupe de poisson est immonde ici mais la moindre pièce gagnée est importante dans ce coin. Les rares commerçants honnêtes du quartier méritent qu'on les aide un peu. Je fais un effort et j'avale cette cochonnerie. En revanche, le saké est de première qualité!"

Il leur servit une rasade généreuse, trop généreuse, et leva son verre.

"Kampai!"

Il prit une seconde pour que Cora le suive à l'imitation et s'envoya son shot cul sec.

Heureusement que la salle était à peu près chauffée car dehors, les premières gouttes se transformèrent en déluge. La rue se vida de ses passants et les putes reçurent l'autorisation d'aller s'abriter. La pluie crépitait sur les devantures en tôle, faisant un boucan d'enfer.

"Il semblerait qu'on en ait pour un moment ... Mais, bien sûr, je vous accompagnerai jusqu'à votre domicile. Ce n'est pas tous les jours qu'il m'est donné d'escorter une étrangère dans ce quartier miteux."

Cette discussion lui demandait un effort de concentration. A force de vivre au milieu e cette populace, il parlait comme elle, et c'était loin d'être correct. Son cerveau fonctionnait à cent à l'heure, élaborant une stratégie. Il aurait aussi bien put assommer la fille et la livrer à son commanditaire mais la manière dont elle l'avait regardé l'avait retenu. Il se savait désiré par le sexe faible, tout du moins, jusqu'à ce qu'il devienne violent. S'il pouvait sauter cette nénette avant de la refiler aux yakuzas, ce serait pas mal. Et puis, il allait connaitre son adresse sans avoir à bosser ...

La première cuillerée de soupe le fit grimacer, il n'avait pas à se forcer, et il sourit tristement à la fille.

"... pour le bien de nos commerçants hein!"
La seconde lui arracha la même mimique. Du coup, il s'empressa de leur resservir un verre aussi plein que le premier. Il se l'envoya de la même façon.

"Faut pas hésiter! Le saké réchauffe le sang et on va en avoir bien besoin."


A interpréter comme on voulait, toutes les possibilités restaient ouvertes. D'autant plus que Ryo pouvait maintenant détailler Cora sous toutes les coutures. Un sacré canon, digne de figurer dans les meilleures productions pornos! il la violerait bien sur la table, maintenant, mais l'odeur de la soupe de poisson ne l'aida pas à favoriser ce choix. Cependant, il bandait presque. Son esprit pervers s'imposait à sa volonté. Pour contrer l'effet de ses pulsions, il se leva pour débarrasser l'assiette au plus loin de leur table.

"Merci pour votre fair-play, dans un pays étranger au mien, j'aurais créé un scandale pour une horreur pareille."

Il sourit du sourire le plus candide qu'il put produire.

"On boit encore, vous m'avez l'air d'être une guerrière des rues Cora, j'admire votre résistance."


Il parla beaucoup, les servit encore, descendit des shooters en claquant les verres sur la table. L'ambiance était sympa et il n'eut aucune difficulté à diluer un peu de poudre d'ecstasy dans le verre de Cora. Pas de quoi la défoncer mais juste de quoi augmenter sa stimulation sociale et sexuelle. C'est elle qui devrait faire le premier pas vers lui pour ne pas éveiller les soupçons, si jamais ça devait se produire aujourd'hui. La demie heure suivante vit   mourir la bouteille de Saké, l'humeur était détendue et le regard de Ryo glissait régulièrement dans le corsage de Cora.

Quand la pluie cessa, il décida qu'il était temps de partir. Il laissa un billet généreux sur la table et se promit de revenir défoncer le patron pour lui avoir servit une merde pareille. S'il choppait la chiasse cette nuit, il foutrait le feu au restaurant!

Dehors, un vent frais s'était levé et il ôta sa lourde veste de cuir imprégnée de son odeur de mâle pour la déposer sur les épaules de Cora. Lui, restait en t-shirt, dévoilant son torse musculeux et ses bras de mastard. Son flingue passé dans un étui de ceinture paraissait petit contre ce corps massif.
Il serra amicalement et sans excès Cora contre lui et la guida en suivant ses indications.

"Personne ne nous importunera, ne vous inquiétez pas."

Elle était tiède et délicieusement alléchante.

"Vous savez que je vais provoquer une vague de jalousie dans le quartier à marcher à vos côtés?"

Cora Travers

E.S.P.er

Re : Ride the white horse [Pv. CORA]

Réponse 3 dimanche 12 décembre 2021, 18:41:00

Cora retint un gloussement en voyant la grimace de l’inspecteur face à la soupe, et se trouva soulagée de n’en avoir pas eu. Même si c’était pour le bien des commerçants, il y avait des limites à ce qu’elle était prête à s’infliger. Elle eut envie de s’asseoir à ses côtés, plutôt qu’en face, pour le réconforter quand il avalait une cuillérée de soupe, mais elle croisa les mains entre ses cuisses pour se retenir de quoi que ce soit de déplacé. Foutues hormones. Et elle ne pouvait pas non plus blâmer le saké, dont elle n’avait bu qu’un verre en imitant le flic.

Un petit rire lui échappa malgré tout quand il leur resservit un second verre, et qu’il s’empressa de vider le sien pour faire passer le goût de la soupe. Elle l’imita, mais juste pour ne pas le vexer en ignorant son verre. Et peut-être aussi parce que l’alcool passait toujours bien, quelle que soit la situation.

« Oh, je cherche à éviter les scandales, personnellement. C’est pas toujours évident, mais je fais ce que je peux, souffle-t-elle en songeant a son histoire avec les forces de l’ordre et les malfrats, dans son pays natal. Ici, pour l’instant, mis à part l’incident à son premier labo, avec le Wolverine, elle n’avait pas eu à faire aux flics pour des histoires louches. »

Elle le suivit en riant, quand il les resservit, encore et encore, jusqu’à ce que la bouteille soit vide. La blonde était bien, détendue, et parlait avec de grands gestes quand elle décrivait quelque chose pour l’inspecteur. Cora se sentait totalement à l’aise, et plus d’une fois elle dû se retenir de ne pas se pencher sur la table pour effleurer la joue du flic quand il les resservait, ou se retenir de ne pas étendre ses pieds pour les mêler aux siens sous la table.

L’alcool n’aidait pas à réfréner ses désirs, et c’est presque avec un soupir de soulagement que la jeune femme accueillit la fin de la bouteille et l’arrêt du déluge. Elle suivit avec gratitude le colosse hors du restaurant, frissonnant à peine avec le vent frais. L’alcool réchauffait, disait-on. Et ce n’était pas faux. L’excitation aussi, apparemment. Mais elle ne refusa certainement pas la veste galamment posée sur ses épaules. La veste qui avait l’odeur de l’inspecteur imprégnée, et sa chaleur. Un autre genre de frisson la parcourut, et elle retint à grand peine un soupir alors qu’elle se retrouvait contre le flanc de l’homme qui la raccompagnait.

« Vous m’en voyez infiniment soulagée, inspecteur, pépia-t-elle quand il affirma que personne ne les importunerait. »

Si la mutante se colla un peu plus contre lui tout en lui indiquant le chemin pour aller chez elle, elle n’en eut aucune honte. Un gloussement se fraya un chemin entre ses lèvres ensuite, quand il parla de provoquer la jalousie, et elle prit un pas d’avance sur lui pour s’arrêter face à lui. Levant les yeux pour les plonger dans les siens, elle se mit sur la pointe des pieds et glissa une main dans sa nuque pour l’inciter à baisser la tête vers elle.

« S’ils sont jaloux rien que parce que vous me raccompagnez, qu’est-ce que ça sera quand je vous embrasserais ? Murmura-t-elle, les seins plaqués contre son torse puissant, appuyant un peu plus sur sa nuque pour pouvoir joindre le geste à la parole. »

Comme si le simple contact de leurs lèvres scellées ne suffisait pas, la blonde s’enhardit et remonta une jambe contre les hanches de l’inspecteur, pour ensuite se hisser complètement et nouer ses jambes derrière ses fesses pendant que ses mains s’agrippaient à ses épaules et sa nuque pour la maintenir.

« J’imagine que la jalousie sera d’autant plus exacerbée quand ils vous verront entrer chez moi, et ne pas en ressortir tout de suite, mh ? Souffla-t-elle d’une voix caressante, essayant de ne pas lâcher prise malgré le gros calibre qui poussait contre la chair de ses cuisses de façon légèrement inconfortable. Sauf si vous préférez leur offrir un spectacle en me défonçant contre la porte de l’immeuble ? »

Cora était directe. Plus que d’ordinaire, et elle n’avait déjà pas froid aux yeux, d’ordinaire. Mais ce soir, il lui fallait s’approprier l’inspecteur Nagata. Elle avait besoin de le sentir la ravager avec son deuxième gros calibre qu’elle devinait sous le jean qu’elle avait détaillé plus tôt en espérant ne pas en avoir l’air. Elle ne comprenait pas d’où lui venait ce besoin subit, mais la violence de son désir éradiquait toute pensée parasite.

« Fuck me, inspecteur. En public ou en privé, I don’t care, mais j’ai besoin… Elle gémit langoureusement en contractant les abdos pour pouvoir rouler des hanches contre lui. I need you to fuck me now, haleta-t-elle en plantant ses ongles dans le tee-shirt au niveau de ses épaules. »
cc99ff - Paroles de Cora.

Ryo

Humain(e)

Re : Ride the white horse [Pv. CORA]

Réponse 4 dimanche 12 décembre 2021, 21:46:53

Si ca pouvait être aussi facile tous les jours, la vie ne serait pas ce qu'elle est. Ryo n'aurait jamais cru qu'il suffise d'une si petite étincelle pour provoquer un incendie pareil. Son ventre s'était embrasé d'un coup devant l'effronterie de Cora. Ca se passait comme ça dans son pays? On baise? Ouais allez, c'est parti! Faudrait qu'il pense peut être à s'y installer. Bitchland hein?

Trente secondes avant, Cora était passée du statut de protégée à celui de salope patente. Il s'était arrêté quand il lui avait fait face, sans savoir à quoi s'attendre, et la sangsue américaine s'était accrochée à lui pour lui rouler une galoche dont seules les occidentales ont le secret. Un truc bien gras avec la langue qui colle ... Ses gros nibards avaient semblé jaillir du corset quand elle s'était appuyée contre lui. A eux seuls, il pouvaient faire tomber une dictature ...

Elle savait rouler une pelle la cochonne. Une vrai vamp. Ses lèvres devaient faire des miracles scellées autour d'une queue. Ryo se retint de la traiter de pute qu'elle s'enroulait autour de lui comme un boa, sûr de ne pas lâcher sa prise. Elle en avait après sa nuque comme si elle avait peur qu'il la jette. Putain! Elle le bouffait littéralement, et en le chauffant en plus. Ses paroles allaient dans le même sens que ses actes. Aphrodite pouvait en apprendre sur l'art de teaser un mec, avec elle. Bordel! Elle devenait vulgaire. Le flic se demanda un instant s'il ne s'était pas planté avec la dose d'excta mais non, il apparaissait que Cora était tout simplement une machine à baiser. rien que des points positifs ce soir. Finalement, c'était bien que Johanna ait claqué. On remplacerait une pute moyenne par une top class escort. Le blé allait retomber en pluie fine.

On arrivait au bout du plaidoyer. Cora plaidait sa cause comme une pro. ben oui bien sûr, personne allait s'opposer à ce genre de demandes.

"I need you to fuck me now."

Ryo aurait explosé un titan pour baiser une meuf pareille. Le grand flic claqua ses mains sur le cul de Cora et les y laissa, ses doigts ancrés dans le tissu du jean. Il grogna d'anticipation. C'était bien de jouer le flic sympa, y'avait des limites au théâtre. Elle voulait se faire troncher, fallait pas lui dire deux fois. En deux pas, il s'enfonça dans un recoin sombre et la plaqua contre le mur en briques d'un immeuble vétuste. Elle jouait des reins, il joua des siens, augurant une joyeuse intrusion vaginale. Il chercha encore une fois sa bouche pour la déguster goulument. C'était sale et follement excitant.

"Ici et chez toi, la nuit va être longue, tu vas tâter d'ma queue."

C'était rugueux, âpre, ça venait des tripes, elle allait morfler. Tout de suite. Ryo lui aurait bien baiser la gueule, ou se serait branler entre ses seins mais là, non ... Ca viendrait plus tard.

Il attrapa Cora par les hanches et la retourna.

"Baisse ton fût!"


Si elle hésitait, il la broierait.

Quand son petit cul se dessina dans l'obscurité, il ne perdit pas de temps et écarta ses jambes avec ses pieds. Il la tira un peu en arrière qu'elle puisse s'appuyer au mur et lui présente un angle idéal pour se faire prendre.

Ryo se défroqua et laissa son jean tomber sur ses chevilles. Sa queue jaillit de son boxer, face au paradis. Avec son engin, il en avait déchiré des filles. Il était énorme, veineux, trapu, massif. Tous les adjectifs signifiant gros lui allait. Manquait plus que monstrueux et le tour était fait. Ryo chopa sa queue et chercha un court instant entre les cuisses de Cora. Rien que le contact de sa peau pouvait le faire venir à présent. Dès qu'il sentit la moiteur caractéristique de l'entrée, il l'embrocha d'un coup, partiellement mais pour une première, c'était déjà considérable. Il ressortit pour revenir plus sauvagement. Il empala la fille jusqu'à la garde, tapant loin dans son ventre. Elle pourrait gueuler, il s'en branlait. En trois coups de reins, il termina de l'ouvrir. La résistance avait été fugace. L'élasticité de sa petite chatte avait été mise à rude épreuve, et bien qu'elle soit trempée de la moule, Cora avait dû douiller. Le grand flic ahanait comme une bête, accompagnant ses pénétrations de grognements sauvages. Il agrippa Cora par sa tignasse courte et la tira contre lui, arquée, tandis qu'il saisissait sa gorge de sa main libre. Par derrière, il lui explosait le vagin, détruisant les muqueuses sans pitié, de son énorme membre.

"Bordel!"

Il avança d'un pas et la colla au mur. Ne lâchant pas ses cheveux, il la secouait de tout son poids. La démembrer aurait été plus sympa. Ryo fléchissait sur ses jambes et remontait brutalement. Quand il se viderait en elle, ce serait une inondation.

---------------------

A quelques mètres d'eux, trois clodos s'étaient extirpés de leurs cartons pour les mater. Deux d'entre eux se branlaient tandis que le troisième arguait qu'une pute comme elle devrait se faire sodomiser.


Cora Travers

E.S.P.er

Re : Ride the white horse [Pv. CORA]

Réponse 5 dimanche 12 décembre 2021, 23:20:11

Une vague de soulagement traversa Cora lorsqu’elle sentit le flic répondre à ses avances, à ses baisers. Un frisson d’anticipation la saisit quand elle sentit les mains -larges et viriles- de l’homme claquer contre ses fesses, se crispant dans le jean sombre. L’américaine n’avait pas froid aux yeux, et elle pouvait encaisser beaucoup, pour un petit gabarit comme le sien. Déjà, ses reins s’enflammaient à l’idée de se faire ravager par le colosse. A la pensée de ce plaisir et de cette douleur qui se mêlent quand la chevauchée est rude.

Elle gémit presque alors qu’il les amena dans un coin sombre, que son dos cogna contre la brique. Elle gémit totalement alors qu’il l’embrassait pendant que leurs bassins s’entrechoquaient déjà, délicieux prémices de ce qui allait suivre. Les paroles rudes de l’inspecteur ne faisaient que redoubler l’anticipation de la blonde, et elle se tortillait contre lui comme une chienne en manque.

Une part de son esprit se demandait ce qui lui prenait, de se comporter comme la pire des salopes dès le début. Mais le reste était noyé dans le désir qu’elle éprouvait pour le flic. Sa carrure, sa voix, ses paroles… Elle frissonna de plus belle quand il la retourna contre le mur, et lui ordonna d’enlever son jean. Avec un petit soupir, elle s’exécuta, déboutonnant et repoussant le vêtement contre ses cuisses tout en se déhanchant pour le faire glisser le long de ses jambes. Le tout petit bout de coton -détrempé à présent- qui lui servait de sous-vêtement descendit en même temps, livrant son intimité et sa croupe à l’air frais de la nuit. Et aux mains du colosse.

Dès que le jean fut abandonné sur le sol, à ses chevilles et par-dessus ses bottines à talon, la blonde ne cacha pas son gémissement quand il la guida pour une position adaptée. Le mur serait son seul soutien quan-

L’esprit de la mutante s’arrêta de fonctionner un court instant, alors que le chibre massif se frayait un chemin entre ses chairs trempées. Une fois. Deux fois. Et elle se sentit enfin complètement planté en elle la troisième fois. La douleur d’une pénétration aussi rude était court-circuitée par le plaisir que la blonde prenait à se sentir élargie, dominée, remplie. Elle cria, oui, mais c’était pour l’encourager. Elle allait prendre son pied, ce soir, et tant pis pour les conséquences (marcher allait être difficiles les jours d’après).

« Oh, fuck yes ! Réussit-elle à grogner alors qu’elle se livrait sans résister aux assauts du colosse. Tu es si -ah !- si gros, complimenta l’américaine malgré sa gorge prisonnière de la grande main du flic. »

Elle se pliait souplement à la violence de leurs ébats, encaissait chaque coup de rein d’un couinement satisfait. Elle n’entendit, ni ne vit, les trois clochards qui assistaient à son rodéo. Elle ne faisait que souffler des yes assortis de compliments sur la vigueur et les mensurations de l’inspecteur.

Et son premier orgasme, issu d’un plaisir souligné de douleur, la prit par surprise. Cora sentait son corps se contracter comme il le pouvait autour de la masse qui remplissait déjà son intimité. Elle ne sentit plus le mur de brique contre lequel elle était plaqué, ni la main autour de sa gorge, ou celle dans ses cheveux. Elle n’était consciente que de la chaleur qui coulait dans ses veines comme de la lave en fusion. Elle n’était consciente que de l’éruption d’étoiles derrière ses paupières fermée.

Il lui faudrait sûrement plusieurs jours pour se remettre de cette nuit. Mais vu comment elle commençait, la mutante n’avait pas de doute que ça le vaudrait totalement.

« Oh, inspecteur ! Si… Si gros… Si... Puissant ! Haletait-elle, toujours contractée autour de sa queue gonflée. En-Encore ! Gémissait-elle, l’appétit à peine aiguisé par cet orgasme en entrée. Où t-tu veux… Aah ! Pour m-me remplir… Je veux que tout le m-monde sache que… Que tu m’as tringlée ! »

Et elle ne donnait pas de signes que son désir faiblissait, malgré sa première jouissance. Son corps souple encaissait toujours autant, et elle se démenait pour essayer d’amplifier chaque coups de reins avec les siens. Petite chose menue contre un tel colosse, l’américaine n’avait pourtant pas la moindre crainte.

Ou peut-être que c’était la drogue qui la désinhibait aussi totalement, et qui annihilait son sens de la sécurité.
cc99ff - Paroles de Cora.

Ryo

Humain(e)

Re : Ride the white horse [Pv. CORA]

Réponse 6 lundi 13 décembre 2021, 12:29:00

L'inspecteur Nagata s'était effacé pour laisser la place à Ryo, la brute des bas-fonds. Heureusement que Cora ne voyait pas son visage car elle aurait eu peur. Les mâchoires crispées, les yeux fous, il incarnait la brutalité pure d'un esprit dérangé. Il s'acharnait dans le corps de Cora et lorsqu'elle jouit, il ne s'arrêta pas un instant, la pilonnant comme un sauvage. Sa grosse queue plongeait dans la chatte inondée de sa partenaire, comprimant les fluides qui s'en échappait.

Elle couinait, demandait, de cette voix de salope qui lui allait si bien. Et lui, de continuer à la baiser comme une chienne. Il était en feu.  Ryo réprima l'envie de lui faire mal, d'écraser sa gueule de pute contre le mur de briques. Dans cet état, il était dangereux, il ne fallait pas que ça dérape.

D'une poussée démente, il se ficha au plus profond du corps de Cora et gronda de plaisir. La jeune femme perdit pied, fut soulevée, ses jambes battant l'air, à trente centimètres du sol. Seulement maintenue par le pieu qui l'empalait, son vagin était écartelé. Ryo cria. Il devait faire quelque chose de ses mains. Sa poigne dans les cheveux courts fut plus rude et il glissa deux doigts dans la bouche de la salope. Son corps massif cachait celui de Cora, compressé contre le mur. Il s'immobilisa, prêt à gicler.

"Putain! Comme t'es bonne!"

Il se retenait. Fallait pas que ça cesse. Il transpirait la luxure à grosses gouttes quand il avisa un bout de matelas, sûrement celui d'un des clodos. Il se décala et en deux pas s'effondra dessus, emmenant Cora dans le mouvement. Trimballée comme une chiffe molle, elle paraissait morte, empalée de la sorte. Elle n'avait pas son mot à dire, même quand Ryo prit appui sur ses épaules, l'enfonçant dans le matelas défraichi. Il reprit ce qu'il avait si bien commencé, la pulvérisant sous ses coups de boutoirs. Le petit cul de la belle tressautait à chaque assaut, c'était divinement bon et le flic ne se souciait que de son plaisir. Il bourrinait tellement fort qu'il glissa et s'abattit sur le dos de l'américaine. Rien à foutre. Son bassin roulait, puissant et inarrêtable. Où qu'il cogne, son gland ne rencontrait que muqueuses dilatées, chaudes, et humides. Quand il se redressa, il agrippa les coudes de Cora et l'arcbouta en arrière. Peu après, il la saisit à nouveau par sa tignasse pour la marteler de plus belle.

Un des clodos s'approcha, visiblement prêt à gicler au visage de la fille.

"DEGAGES!!!!!!!!!!!!!" hurla Ryo, une lueur meurtrière dans les yeux, et l'autre, comme ses comparses, fila sans demander son reste. Ce connard venait d'ôter l'envie de jouir à Ryo, ce qui n'était pas plus mal aussi. 

Il ne prit le temps de se retirer que pour retourner Cora sur le dos. Il la voyait ravagée, le visage défait, superbe. Il lui attrapa les chevilles et l'écartela presque tant il y alla fort. Sans regarder, il s'abaissa sur elle. Sa queue appuya durement contre sa petite rondelle, son petit fion bon à être cassé mais glissa tant elle était mouillée. il dérapa et s'engouffra à nouveau dans sa chatte de salope, jusqu'à la garde. Tant pis! Plus tard! Il bourrina comme un malade. Le bout de son sexe apparaissait dans le ventre de Cora, le déformant en une protubérance ronde à chaque à coups. Il haletait, dégoulinait sur elle, la maintenait accessible en tirant sur ses chevilles pour lever son bassin. Le coït dépassait les règles même de la pornographie et se réduisait à une baise primaire et instinctive où curieusement, le plaisir dominait.

La pulsion qui lui vrilla le cerveau faillit le faire défaillir. Il s'ancra aux hanches de Cora et hurla tandis qu'il se vidait en elle, déversant des flots de sperme au plus profond de son ventre. Il trembla comme un fou, s'effondra sur elle, l'embrassa goulument, cherchant la douceur de ses lèvres ... de pute.
Reprendre son souffle fut un effort, même pour ce sportif accompli. Il bascula sur le côté, à côté d'elle. Son sexe avait glissé hors du vagin pulvérisé avec un suintement visqueux.

"Bon sang ... T'es encore vivante? Tu t'es piquée au gingembre ce soir?"

Autant jouer le mec étonné ... Ryo peina à se redresser puis se leva pour se refroquer. Son flingue était tomber sans qu'il s'en aperçoive et il le remit dans son étui. En temps normal, il aurait pisser sur la pute qu'il venait de martyriser mais ... non, pas ce soir. Au contraire, il aida Cora à se relever. La bimbo n'avait plus rien d'honorable. Son visage ruiné et ses cheveux en bataille prouvaient l'intensité du moment qu'elle venait de vivre, et ses cuisses maculés de foutre et de cyprine confirmaient qu'elle avait donné.

"Tu m'en voudras pas si je te dis que t'es ultra sexy comme ça?"

Un vent frais les fit frissonner, annonciateur de nouvelles pluies. La nuit n'était pas si avancée que ça. la baise avait été intense mais pas si longue qu'il aurait cru.

"J'habite pas loin d'ici ... si tu n'as pas peur de visiter l'antre de la Bête ..."

Comme pour ponctuer sa phrase, un claquement de tonnerre résonna tandis qu'un éclair zébrait l'obscurité de ce ciel nocturne.
Il ajouta en rigolant, tout du moins d'un rire qui sonna honnête.

"J'ai encore des réserves au cas où ..."


Cora Travers

E.S.P.er

Re : Ride the white horse [Pv. CORA]

Réponse 7 jeudi 16 décembre 2021, 20:15:38

Le plaisir qui inondait ses veines persistait, chaque coup de rein l'amplifiant si cela était possible. Elle ne sentait pas le mur racler contre son buste, salissant la dentelle du bustier. Elle ne sentait pas le froid de la nuit s'insinuer contre la peau nue de ses jambes non plus. Elle ne ressentait que l’épais chibre qui la défonçait, la silhouette puissante de Ryo derrière elle, les coups de reins presque exagérés qui menaçaient de lui briser les os, et le souffle brûlant de l'homme contre sa nuque. Elle chevauchait l'orgasme comme si c’était un étalon sauvage, tentant de le dominer sans se faire éjecter.

Ses doigts râpaient le mur de brique, cherchant une prise alors qu'elle ne touchait plus le sol, qu'elle n’était retenue que par la fougue du mâle qui la martelait sans répit. Sa tête s’inclina vers l’arrière, docilement, appréciant la prise brutale dans ses cheveux, et ses lèvres accueillaient sans broncher -avec gourmandise, même !- les doigts qui s'y inséraient. Sa langue les léchaient, comme elle le ferait avec une queue, et elle les aspirait, les suçaient avec appétit. Ses cris et gémissements s'étouffaient contre eux.

Et puis contre le matelas crasseux où les emmena ensuite le grand flic. Cora était presque écartelée de l’intérieur, son corps mis à rude épreuve avec l’intensité des coups de butoir de l'homme, avec la taille imposante de son organe mâle. Et le plaisir ne cessait pas, pulsant dans ses veines au rythme des battements effrénés de son cœur. La blonde, sous sa coloration rosée, ne vit pas arriver le clochard en érection qui était prêt à lui repeindre le visage. Elle était tellement inondée de sensations délicieuses qu'elle en aurait probablement jouit une seconde fois. Mais Ryo veillait. Et son rugissement découragea l'audacieux autant qu'il excita la mutante.

La seconde d’après, la belle pouvait observer le visage de son amant, déformé par le plaisir qu'il prenait à la ravager. Et il n'en était que plus attirant. Ses lèvres formèrent un cri de plaisir qui s'étrangla dans sa gorge alors qu'il appuyait contre son anneau serré. Trop, peut-être, contractée comme elle l’était par les vagues orgasmiques qui la dévastaient, car il glissa et revint brusquement taper contre ce point interne non loin de son utérus. Et déclencha le second orgasme de sa soirée.

« Fuck, fuck, fuck, réussit-elle à articuler quand l'assaut de ses sens se calma. »

Elle gémit contre l'inspecteur quand ce dernier l’embrasse, répondant avec autant de fougue qu'il en mettait. Un soupir déçu lui échappa ensuite, quand il se laissa tomber sur le matelas à ses côtés, alors que sa hampe quittait le cocon malmené de sa fleur. Un petit rire suivit ce soupir, en réponse aux paroles de son amant.

« Je ne sais pas vraiment, murmura-t-elle. Je sais que je suis le genre de femme à savoir ce qu'elle veut et à se démener pour l’obtenir, mais je t'assure que je n'avais jamais été aussi rapide. Par contre, je pense pouvoir dire avec honnêteté être toujours aussi… peu fragile… pour les parties de jambe-en-l'air, termina-t-elle avec un sourire en coin. »

Ses prunelles observèrent le colosse se rhabiller avec une moue appréciatrice. Un sourire amusé se glissa sur ses lèvres à son compliment, et elle secoue la tête pour lui assurer qu’elle ne lui en voulait pas. Elle accepta volontiers son aide pour se relever, et se démerda comme elle pu pour trouver un mouchoir dans une poche et essuyer au mieux entre ses cuisses. Elle enfila ensuite son jean -tombé au sol avec ses bottines et sa culotte pendant l'acte- en grimaçant, songeant que le tissu serait vite poisseux entre ses cuisses. Elle ne s'embêta pas à remettre sa culotte, la glissant avec un clin d’œil dans une poche de pantalon de l’inspecteur. Cora se penche finalement en avant, pliée en deux pour terminer de remettre ses bottines. Et si elle s’était placée de telle manière a ce que Ryo ait une vue imprenable sur ses fesses, ça resterait entre elle et lui.

« J'en serais ravie, répliqua-t-elle quand il proposa d’aller chez lui. Le tonnerre ne put que l’encourager. Et, cette Bête à un prénom ? S'enquit-elle ensuite avec un rictus amusé. Pas que ça m’ennuie de continuer à crier « Inspecteur ! » pendant l’action, hein, termina-t-elle en riant, glissant un bras sous le sien. »

Elle le laissa mener pour aller chez lui, flirtant outrageusement avec lui sur le chemin. Elle se collait pratiquement à lui pour marcher, appréciant sa carrure imposante et la chaleur qu'il dégageait. Elle qui pensait rentrer tôt et se coucher de bonne heure pour une fois, il s’avérait que sa nuit serait longue. Et riche en sensations. Ça ne lui déplaisait pas du tout, pour être honnête. Elle anticipait même la suite avec impatience.
cc99ff - Paroles de Cora.

Ryo

Humain(e)

Re : Ride the white horse [Pv. CORA]

Réponse 8 jeudi 16 décembre 2021, 22:45:16

C'est vrai que le terme inspecteur donnait une importance à celui qui portait ce titre: inspecteur de police, inspecteur des impôts, inspecteur de ... mon cul.

"Ryo, je m'appelle Ryo. Je trouve que ça matche bien avec Cora."

Le grand flic se dit qu'il se débrouillait assez bien à jouer le rôle du policier sympa. Bon, après la séance de baise qu'il venait de vivre, même lui pouvait avoir des pensées positives. D'autant plus que l'objet de son plaisir s'accrochait à lui comme une sangsue affamée. Cora était une bonne vraie salope nymphomane comme il en avait rarement rencontrée. Les putes et autres bonnes femmes, qui n'avaient comme utilité que de le purger, gueulaient souvent, mais jamais de plaisir. Cora l'avait avalé comme s'il avait un chibre de politicien, une 'tite bite quoi. Il n'en était pas vexé mais juste étonné. La jeune femme, hormis ses nibards de dingue, n'était pas épaisse, bien foutue mais pas pouliche. Elle avait dû se former à chevaucher des kilomètres de queues dans son pays ...

Sur ses pensées philosophiques, il l'emmena à travers les rues sales du quartier de la Toussaint vers son antre. Ils marchèrent assez rapidement et chaque ondée qui passait, ils trouvaient refuge qui sous un porche, qui sous un abri bus. Chaque occasion était bonne pour se peloter, se frotter l'un à l'autre et continuer de manière plus soft ce qu'ils avaient si bien commencé. Dans la ruelle, Ryo n'avait qu'à peine profité, juste avec les yeux en fait, de ce que représentait la poitrine de Cora. Quand sous la lumière blafarde d'un lampadaire, elle jaillit devant lui alors qu'il malmenait le corset, le grand flic Ryo, la terreur des rues, en resta abasourdi. Ca! Chez une fille normale, même pas actrice X! Ca relevait du miracle. Il la pétrit de ses gros doigts, sans douceur, écrasant ces mamelles l'une contre l'autre.

"C'est pas possible! Rappelle moi d'y glisser ma queue!"

Sale pute, t'es qu'une trainée de caniveau bonne à pomper du foutre! c'est ce qu'il aurait dit ... mais non. Quand ils repartirent, seuls sur le trottoir, le corset était toujours défait et un bras par dessus les épaules de Cora, il lui serrait un sein comme on serre une poire de lavement.

Marcher lui permettait de réfléchir, il avait prévenu Cora que le quartier à cette heure ci craignait vraiment, et en plus d'observer les alentours, il pensait à la suite. La suite d'après, la suite des jours à venir. Boss Takeda voulait une nouvelle pute occidentale et Cora en valait dix. Un coup d'œil bref à l'américaine et sa trique revint à la vue de la poitrine tressautant. Ouais, au moins dix. Elle durerait peut être un an, voire un peu plus si les yakuzas la préservait un peu. Elle leur rapporterait une petite fortune et finirait dans l'acide. et il faudrait recommencer.

Putain, mais quelle chaleur elle dégage! Cora est collée à lui, se dandine, l'allume. L'alcool c'est bien, l'ecstasy c'est mieux. Non Ryo, déconne pas! Y'a le business qui prime, le reste ca compte pas. Est-ce qu'elle suce bien? Parce que là, il l'a baisé mais si elle prend l'initiative, ça donne quoi? Il se doute de la réponse. Salope! Stop Ryo, t'y penses pas en fait. Ben si j'y pense et je sais déjà que j'vais merder.

A la Toussaint, quand tu trouves un diamant dans la rue, tu le gardes pour toi. Ryo réfléchit à cent à l'heure, répond en souriant à Cora, lui indique qu'ils ne sont pas loin. Il va se le garder ce petit morceau de vice incarné chienne. Rien que pour lui, enfin presque. La location, ca existe aussi. Et puis avoir en réserve une paire de loches pareille pour ouvrir les portes, c'est utile.

Cora vient de se trouver un copain à Seikusu, elle en a de la chance. Elle ne devrait pas lui coûter bien cher. Du fric, il en a. Du tout pourri, du bien moisi, des biens aussi, à l'image de son loft qu'il a récupéré il y a maintenant 2 ans à un gros dealer récalcitrant. c'était pas un arrangement, le mec dort toujours six pieds sous terre à la cave. Faudra se débarrasser du corps un jour quand même.

"On arrive, c'est là!"

Il désigne du doigt un immeuble en brique style Chicago années 70. Y'en a quelques uns comme ça dans le quartier, occupés par des mecs qu'on a pas envie d'emmerder. Son loft occupe la totalité de ce qui était les deux derniers étages. Bien foutu, cossu, ordonnancé, propre, la femme de ménage était passée le matin même et l'ancien proprio avait bon goût.

Ryo tape le code d'entrée et entraine Cora dans le hall. De douces lumières s'allument automatiquement. Il y fait bon après la fraicheur de l'extérieur. L'appel du cul.

Ryo plaque sa compagne au lambris onéreux qui tapisse les murs. Fini le petit couple qui  marche amoureusement sous la pluie. On arrête les conneries et on re-mélange les cartes. Il lui malaxe les seins qu'il arrive presque à couvrir de ses paluches. Vicieusement, il lui agace les tétons avant d'ancrer ses doigts dans la chair molle pour y laisser leurs marques.

"J'ai vraiment envie de vérifier à quel point t'es pas fragile ... et si tu me regardes encore avec cet air là, je crois que je te viole la bouche."

Il se frotte à elle. Sans être athlétique, elle est sculpturale, belle et foutrement bandante. Les mains de Ryo libèrent ces seins dantesques pour suivre la courbe des épaules, remonter le long de son visage et saisirent ses cheveux qu'elles maltraitent.

"J'ai envie de t' baiser les seins."

Il tire les cheveux pour lui faire incliner la tête avant de la redresser et de lui lécher les lèvres.

"J'ai entendu dire que les américaines sucent comme des déesses ..."

C'est susurré à son oreille avant qu'il y glisse sa langue.

"J'ai envie de te casser le cul. Tu veux me sentir ravager ton fion?"

Sa pression sur le corps de Cora est totale.

"Je veux te remplir à nouveau et me purger en toi."

Sa grosse queue qui palpite contre le ventre de Cora rend acte.

A ce moment, un "clac" annonce l'ouverture du sas de l'entrée. Un asiatique costaud en sort, bien foutu dans un costume blanc. Kio, le yakuza du premier.

"Salut Ryo! T'évites d'en foutre partout dans le hall, l'entretien coûte une fortune. Tu serais sympa..."

Aussitôt dit, aussitôt parti en quittant l'immeuble.

"Putain!"

En rut, Ryo tire Cora plus loin, appelle l'ascenseur privé, y enfonce sa clé, et roule une galoche monstrueuse, baveuse à souhait, à sa bimbo tandis que l'ascenseur s'élève. 10 secondes de montée, la grille s'ouvre et ils déboulent dans le salon du policier. L'antre de la Bête.

« Modifié: jeudi 16 décembre 2021, 22:55:04 par Ryo »

Cora Travers

E.S.P.er

Re : Ride the white horse [Pv. CORA]

Réponse 9 samedi 18 décembre 2021, 21:03:59

Ryo, répéta mentalement la mutante, souriante. Ça lui allait bien. Et elle se voyait tout à fait gémir ce nom quand il glisserait ses grandes mains partout sur son co-

Focus Cora, attends au moins d’être chez lui pour te lâcher à nouveau !, se gourmande-t-elle. Mais se concentrer, c’est dur. Surtout quand le duo s’arrête régulièrement pour se galocher ou se tripoter, sur le chemin. Cela dit, elle ne s’en plaint pas. Les compliments -bruts- de l’homme la feraient presque rougir. Elle prend soin de laisser sa poitrine sortie du corset pour le laisser l’admirer, et la toucher, alors qu’ils marchent. Elle a le sourire aux lèvres, les yeux brillants de convoitise dès qu’elle les pose sur la silhouette imposante qui la protège des dangers du quartiers, et les reins qui bouillonnent d’envie.

Quand ils arrivent finalement, l’américaine est chaude. Son corps est fiévreux, malgré la température fraîche au-dehors, et son souffle semble haché par moment. Elle gémit même lorsqu’il la plaque contre le lambris du hall. Son corps réagit tout de suite aux sollicitations de Ryo. Son dos se creuse pour lui offrir sa poitrine un peu plus, et Cora soupire langoureusement lorsqu’il la maltraite. Un petit rire lui échappe alors qu’il la prévient qu’il risque de lui violer la bouche et elle murmure d’un air taquin :

« Est-ce que c’est vraiment un viol si je suis consentante ? »

Elle frotte ses cuisses l’une contre l’autre alors qu’il continue, son excitation ne cessant de grandir. Elle craint de finir par se consumer totalement avant qu’il ne l’emmène chez lui à proprement parlé. Une combustion spontanée, pour cause d’excitation trop intense. C’est assez classe, comme mort.

Mais elle préfère la petite mort de l’orgasme, et elle répond à chaque parole de Ryo par un acquiescement soufflé d’un ton rauque, chargé de désir. Elle se presse autant contre lui qu’il ne le fait contre elle, à tel point qu’on pourrait les croire soudés si elle se ne frottait pas tant à lui.

Le claquement du sas d’entrée la fait à peine réagir, si ce n’est pour constater que le grand flic décide de l’emmener plus profondément dans son antre. Elle bouillonne de désir, et les dix secondes d’ascenseur paraissent presque trop longues pour la mutante. Mais presque trop courtes, aussi, alors qu’elle répond avec fougue au baiser, qu’elle agrippe ses doigts dans le dos et la nuque de l’inspecteur, qu’elle s’enroule presque autour de lui comme une liane.

Quand ils pénètrent enfin dans l’appartement –le loft ! se corrige-t-elle immédiatement- la blonde n’a que le temps d’apercevoir ce qui fait office de salon, avec les canapés et fauteuils agencés autour d’une table ronde à base de rondins de bois et d’un plateau en verre. Elle tire sur la veste de Ryo, qu’elle lui a rendu à un moment pendant leur marche puisqu’elle était aussi chaude qu’une bouillotte, et l’entraîne vers le canapé. Elle l’y pousse, peut-être un peu soudainement, pour qu’il s’y affale.

L’observant d’au-dessus, elle lui décoche un sourire ravageur et se laisse tomber sur ses genoux après avoir poussé la table basse pour se faire de la place.

« Tu vas avoir l’opportunité de vérifier par toi-même si les Américaines sucent bien, lui susurre-t-elle. »

Sans perdre plus de temps, elle s’active pour le débarrasser des vêtements superflus pour ce genre d’activité, et elle prend entre ses mains fine la grosse hampe qui l’a si bien remplie plus tôt. Son regard gourmand quitte celui de Ryo pour se concentrer sur le chibre qu’elle tient entre ses mains, certaine de pouvoir le prendre en entier avec un peu d’aide de sa part.

Les lèvres de la mutante se promènent sur la chair sensible, de haut en bas, embrassant chaque parcelle, avant qu’elle ne sorte la langue pour le lécher comme une glace. Elle s’attarde particulièrement sur le gland à la fin, et humidifie ses lèvres avant de les arrondir pour le happer entre elles.

Cora aspire la chair violacée, laissant sa langue jouer contre la courbure, avant de laisser descendre sa tête plus bas. Elle s’est mise à quatre patte devant le canapé, et essaye de garder sa trachée alignée pour l’enfoncer au maximum entre ses lèvres. Elle prend soin de jouer avec ses testicules d’une main, l’autre s’agrippant à sa cuisse, et des petits gémissements étouffés lui échappent. L’américaine remonte après avoir humidifié un premier tiers, et redescend de plus belle, plus bas. Elle recommence ce manège, encore et encore, cherchant à le sentir taper au fond de sa gorge, à le faire forcer la barrière de sa glotte. Quand elle lève un regard complice vers lui, elle l’autorise à aider s’il veut. Ou à prendre les rênes, maintenant que la hampe est bien luisante.

Son fin collier avec une perle d’obsidienne cogne parfois contre la chair tendre des bourses lorsque sa main s’égare sur la cuisse, ou le bas-ventre de son amant, sans que la blonde ne s’en rende compte. Ses mèches courtes, en bataille et d’une légère teinte rosée, tombent parfois devant son regard.
cc99ff - Paroles de Cora.

Ryo

Humain(e)

Re : Ride the white horse [Pv. CORA]

Réponse 10 samedi 18 décembre 2021, 23:16:06

Ici, c'est chez Ryo.

Il n'y a qu'à cet endroit que l'on peut retrouver des fragments de l'histoire de cet homme, ou des objets qui lui sont familiers et auxquels il tient. Pour tenir dans ce milieu de merde, à côtoyer les pourris, les crevures et la moisissure humaine de cette ville, il est nécessaire d'avoir un cocon dans lequel se réfugier et être quelqu'un d'autre  qu'un flic corrompu. Le loft de Ryo est cosy, loin de l'image qu'on pourrait s'imaginer d'un domicile lui correspondant. C'est là que, quand il vire ces groles et son cuir râpé, il se pose sur son canapé après avoir lancé un Vinyle des Doors. Il aime se servir un verre et s'évader, accompagné par la voix de Jim Morrison. Quel queutard aussi ce Jim!

Personne n'est jamais invité chez lui. Il n'accepte aucune intrusion dans cet espace intime sacré. De mémoire, même bourré, il n'y a même jamais ramené une fille à tringler. Cora est la première, et   entrer chez lui avec ce canon enlacé à sa taille est comme une révélation.

Là, on mettra le parc à bébé. De ce côté de la table, on posera la chaise haute. Dans ce placard, on pourra stocker des cartons de couches et bien entendu, le berceau sera à côté de leur lit, dans la mezzanine. Ryo se rangera, deviendra un bon policier et sera décoré pour ses mérites. Et quand il reviendra chez lui, Cora l'accueillera, bardée de son tablier de cuisine et préparant des cookies ...

Foutaises! Il va la troncher dans le canapé, lui exploser le cul sur le comptoir de la cuisine, lui pisser dans la bouche au dessus des chiottes, et la faire ramper jusqu'à son lit! c'est une bien meilleure idée.

Il fait bon dans le loft. A l'extérieur, la pluie crépite sur les grandes baies vitrées. Il faut s'y habituer mais Ryo trouve ça reposant. La vue donne sur les toits du quartier, il n'y a pas de vis à vis. le grand flic, malgré son excitation se dit qu'une douche serait nécessaire pour eux deux. Cora n'a pas l'air d'y penser et le tire derrière elle. Elle a déjà un truc en tête car elle le pousse sur le canapé vert - son préféré - et se campe devant lui. Trop bonne! Allumée, dépoitraillée, campée sur ses jambes écartées, une vraie Mata Hari!


"Tu vas avoir l’opportunité de vérifier par toi-même si les Américaines sucent bien"


"Oh putain ouais, fait moi voir ça!"

Il a tripé sur cette bouche à bite durant tout le repas au restaurant. Ses lèvres pulpeuses ne peuvent avoir qu'une seule fonction, sertir une bonne grosse queue! Godasses, futal, boxer, tout jarte de partout. Elle la veut sa bite! Tombée à genoux Cora offre le plus tableau qu'un mec puisse rêver. A quatre pattes entre les cuisses de Ryo, ses loches massives se balançant au rythme de ses coups de langue, elle le mate, le lèche, le cajole comme un objet sacré. Putain, ils devraient vraiment prendre une douche! Ca n'a pas l'air de la déranger, elle. C'est sûr qu'après la soupe de poisson et le matelas des clodos, on peut tout accepter.

De toute manière, Ryo bande à mort et Cora l'a déjà englouti. Lui câliner le gland n'a pas suffit, la cochonne veut aussi bouffer le chêne. La bouche de Cora, c'est comme un écrin de bonheur, rien à voir avec sa chatte confortable, c'est différent. C'est plus étroit, il s'y sent compressé dès qu'elle en gobe le tiers. Il sent ses dents même si elle fait l'effort de développer une technique de Wondersuceuse. C'est salement bon! Et elle en veut plus. Ryo a le front humide. Elle se dandine pour choisir le bon angle et tente de l'avaler. Ca coince sérieusement, en largeur, en longueur. le gros gland se heurte au goulot défendu par la luette. Elle se retire, recommence, plusieurs fois, ramenant avec elle des trombes de salive, et ses propres fluides à lui. Et ce regard de pute ... bordel!

Malgré toute sa volonté, l'échec est proche et il n'est pas question que Ryo foire un moment pareil. alors qu'elle revient à la charge, il se redresse sans prévenir, la saisit par la tête et appuie de toutes ses forces. Il sent qu'il part de traviol, qu'il râpe là où il ne faut pas. Si elle dégueule, il s'en branle. Il ajuste son bassin et glisse brusquement dans la gorge de Cora qui gonfle sous l'intrusion. C'est pas fini, il en manque. Sans douceur et par à coups, il l'investit. C'est serré, le goulet distendu qu'il vient de forcer le comprime. Attend, elle roule des yeux là? Rien à foutre! Avale ma grande! il vire les mains de la fille qui veulent peut être le repousser, ou l'attirer encore plus.

"RHHHAAA bordel Cora! T'es la meilleure bouche à pipe que j'ai pu croiser! J'te garde pour moi!"


Il est tout en elle et la laisse mariner jusqu'à ce qu'elle ne tienne plus. Il la repousse, la regarde inhaler l'air qu'il lui a interdit par sa présence. Elle bave sur ses seins qui paraissent prêts à exploser. Et puis c'est reparti.

"Tes mains! Dans ton dos!"

Il s'accroche à cette tignasse blonde aux reflets rosés qu'il kiffe à mort et la ramène entre ses cuisses. Plus de papouilles et trucs sympas. Là c'est de la gorge profonde bien cradingue qu'il veut. Sans que ce soit facile, il revient forcer l'étroit passage en guidant la tête de Cora comme il le veut. Elle doit morfler, il lui tire les cheveux et lui cogne le nez contre ses abdos en béton à chaque ravalement. C'est dégueu, c'est le top! Le cliché du mec affalé sur le canapé qui utilise la bouche de sa copine en prévision d'une vidange bien grasse.

Ryo la qualifie d'adjectifs flatteurs tous liés au milieu de la prostitution. Les bruits qui s'échappent de la bouche de Cora sont obscènes, visqueux, sonores, moitié régurgitation, moitié gobage forcé. Et plus les minutes passent, la laissant se remettre au minimum, plus la pression des mains du grand flic sur la tête de la bouche à pipe s'accentue. Le rythme et la vitesse aussi. Elle a la gueule ravagée et noyée de larmes mais ne semble pas pour autant blasée du traitement. Non, ce genre de salope n'a pas de limites.

Ryo soupire d'aise. Il pourrait rester comme ça toute la nuit mais en s'étirant, sa main heurte un truc dur. Une bouteille de whisky, collée sous un coussin, du bourbon US!

Il fait sauter le bouchon et s'en enfile une rasade avant de saisir Cora par la gorge et de lui coller le goulot dans la bouche.

"Bois! C'est de chez toi!"

Ouais elle boit et il lui maintient la tête.

"Merde Cora, tu kiffes vraiment ça? Attends, bouge toi comme ça!"

Il se lève et la retourne. Elle reste accroupie sur ses talons, le dos contre les coussins d'assise du canapé, la tête disponible. Il va lui baiser la gueule méchamment. De toutes ses forces. Mais alors qu'il presse son gland contre les lèvres de la salope, il aperçoit par terre un petit sachet. Ouais, pourquoi pas commencer maintenant? Il s'interrompt et ramasse le truc pour l'agiter devant les yeux de Cora.

"Si tu crois savoir ce qu'est un orgasme, tu te trompes! Avec ce truc, on va grimper bien plus haut qu'le paradis. Tu veux tester? J'taccompagne."

Il va la shooter à la coke. Ryo cale deux lignes sur un petit miroir qu'il sort d'un tiroir de la table basse et une petite paille. Les rails de coke sont ridicules mais il aimerait éviter que Cora claque chez lui. Il s'envoie la première ligne qui lui brûle les narines.

"Putain!" A toi ..."

Le rail de coke et la défonce de gueule après. Le pied!
« Modifié: vendredi 31 décembre 2021, 12:07:22 par Ryo »

Cora Travers

E.S.P.er

Re : Ride the white horse [Pv. CORA]

Réponse 11 jeudi 30 décembre 2021, 20:29:56

L’américaine ne se plaint pas du tout du traitement vigoureux infligé par Ryo. Elle lui a offert les rênes de bon gré, et elle apprécie pouvoir le gober en entier malgré sa taille et les désagréments que ça occasionne. Oh, elle aura probablement mal à la gorge le lendemain, mais elle ne s’en soucie pas. Elle prend son pieds à le sucer. Non, à se faire baiser la bouche. Elle bave, elle manque d’air, mais elle kiff. Un seul regard entre ses cuisses suffit à le constater. Elle mouille, et pas qu’un peu.

Frottant ses cuisses l’une contre l’autre, mais sans tricher en glissant une main entre elle pour se soulager, la mutante déglutit autant l’excès de salive que la boisson qui coule dans sa gorge alors que le grand flic partage son whisky. Elle rit, se frotte les yeux pour en chasser les larmes, et s’installe contre le canapé comme le lui demande son amant. Elle l’observe avec un sourire gourmand, et ouvre déjà la bouche pour le retrouver caler au fond de sa gorge quand le gland se retire alors qu’il n’était même pas totalement calé entre ses lèvres.

Cora arque un sourcil en voyant Ryo ramasser un sachet au sol, et se force à ne pas loucher alors que la chaleur de l’alcool s’ajoute à la sienne et que la tête lui tourne légèrement. Saké plus tôt, et Whisky juste avant, ce n’est peut-être pas une bonne idée les mélanges. Mais elle est trop excitée pour s’en soucier.

De même qu’elle ne percute pas tout de suite que c’est de la drogue que lui propose le colosse, et elle accepte sans hésiter. Quand son cerveau rattrape son retard, elle ne se dérobe pas pour autant. Il a bien dit que les orgasmes étaient encore mieux avec ça, non ?

Elle rit de plus belle, et se sniffe le rail sans tarder en suivant l’exemple de son compagnon de la soirée. Peu habituée, voire pas du tout, elle manque d’éternuer après coup, mais se frotte le nez en grimaçant avant de se replacer contre le canapé, enlevant son jean et son bustier ruiné, après un instant de flottement.

« Okay, on reprend ? Questionne-t-elle avec un sourire amusé, provocateur. J’ai bien envie de te vidanger une première fois avec ma gorge. Je n’ai pas pu goûter tout à l’heure, souffle-t-elle, impatiente. »

Elle ouvre même la bouche pour l’accueillir alors qu’elle est à genoux face à lui, les jambes écartées. Il peut voir qu’elle ne ment pas. Ses cuisses sont luisantes de son excitation. Le jean avait absorbé pas mal, et maintenant qu’il n’était plus là ça coulait librement. Elle tire également la langue, comme ces actrices dans les pornos, pour l’inciter à revenir envahir sa gorge.
cc99ff - Paroles de Cora.

Ryo

Humain(e)

Re : Ride the white horse [Pv. CORA]

Réponse 12 vendredi 31 décembre 2021, 15:12:28

Cora est follement allumée ... non, carrément cramée! Ryo la pulvérise et elle se marre là toute autre aurait déjà fini aux chiottes. Elle n'a pas les idées claires mais le flic se demande si même sobre, elle ne s'essaierait pas quand même à tout. Elle a le profil de la nénette qui assume et qui n'a peur de rien. Elle tabasse! Ryo serait un mec normal, il la choierait pour se la mettre dans la poche et ce serait surement un échec. Elle n'était pas du genre à papouiller à tout bout de champ.

Elle s'enfile la ligne de coke sans sourciller. Faudra que Ryo lui demande si c'est sa première ...  car ça n'a pas vraiment l'air de la choquer. Tant mieux! Elle le prend bien, proprement, et en d'autres temps d'autres lieux, sa mimique aurait été adorable. Ryo trouve qu'elle a la plus gueule du monde à cet instant. Bordel! Lui aussi s'est envoyé un rail et l'euphorie monte. Quand elle se désape, c'est l'hallali. Putain, ce corps de malade!

"Okay, on reprend? J'ai bien envie de te vidanger une première fois avec ma gorge ...."

Le spectacle qu'elle lui offre est de la pure luxure. Elle renverrait n'importe qu'elle actrice porno au vestiaire. Elle a de la poudre qui lui colle au narine. Ryo y écrase son pouce pour l'essuyer et se lécher le doigt après. C'est l'heure de la poésie.

"T'es vraiment une sale petite pute tu sais...."

Il se cale bien en face d'elle, lui saisit la tête, et lui éperonne la gorge d'un coup de queue magistral. Même si il se foire et qu'il la prend de travers, ça ne l'empêche pas de farfouiller pour s'ouvrir le passage. Il ne s'arrête que quand la pute à ses lèvres serrées à la base de sa queue.  Il appuie sur la nuque de la chienne en chaleur qui se caresse comme une folle. Et quand elle vient à manquer d'air, il la maintient. Elle veut du foutre, il va lui en donner. Elle joue la salope, va falloir qu'elle assume. Quand il la sent prête à s'étouffer méchamment, il la libère, lui serre le visage en la tenant par la mâchoire avec sa grosse paluche, et lui crache la gueule. Le molard lui colle aux cils, participant au désordre de ce visage ravagé. Son maquillage ruiné la classe dans la catégorie pute de caniveau. De longues trainées noirâtres marquent ses joues rougies par le mélange détonant de sexe/alcool/coke.

 Ryo revient à la charge, plus bestial, plus sec. C'est coups de reins perforent la gorge de Cora. C'est rapide et dense, il ne la laisse pas souffler, profitant pleinement de ce deepthroat extrême. Furieusement, il lui secoue la tronche pour accentuer ce qui n'est déjà plus possible. Mes mèches de la pute volent, se collent à ses abdos humides. Putain qu'elle bave! En fait, elle ne maitrise rien, servant seulement de défouloir et de trou à bite. Ryo fait un pas en avant et pose un pied sur le sofa. Cora est calée sous lui, entre ses cuisses. Il lui étire les bras vers le haut et les verrouille contre ses pecs. Les épaules de la jeune femme sont en extension vers l'arrière. La pose doit être désagréable, contraignante, mais pour lui forcer cette bouche durement, la malmener, dilater cette gorge trop étroite pour sa queue malgré ce déferlement de violence. La fille est tendue à l'extrême. Ryo est compressé en elle, chaque mouvement pour la baiser est accompagner d'une poussée râpeuse qui accroche les muqueuses. C'est tellement physique que son plaisir déboule sans prévenir. Sa grosse queue gonfle alors qu'il est niché au plus profond de sa gueule. il fléchit des jambes, l'écrase et en grognant comme un animal, se décharge en lui secouant la tête. Il lui remplit le bide de foutre sans passer par la case "swallow". Depuis le début de leur petit jeu, il en a envie de se vider putain. Les jets de sperme chaud se succèdent, il pulse dans cette gorge serrée.

Et quand il se retire, tout suintant, c'est totalement purgé même s'il reste virilement bien dressé. Il tient toujours la fille par les cheveux, comme s'il tenait un seau. D'une rotation, il lui gifle la gueule d'un revers de bite. Puis encore une fois. Il s'essuie le bout du gland contre la joue maltraitée, y étalant ses derniers relents de plaisir.

Puis sans s'inquiéter de montrer une quelconque affection, il la cambre, le dos posé sur l'assise du sofa, et vient loger sa queue entre ses énormes mamelles.

"Rhhha bordel ouais!!"

Il crache à nouveau sur sa partenaire et bouge ses hanches pour profiter de la tiédeur de ses loches.

"Presse les! Fais bien ta chienne! ... You fucking whore!"

Il la laisse bosser, se contentant de limer cette poitrine superbe. L'idée lui vient d'immortaliser l'image. il se tord pour récupérer son portable et filme sa grosse queue coulissant dans ce fourreau soyeux. il prend quelques clichés, tous plus salaces les uns que les autres. Un plan large de Cora qui s'adonne sourire aux lèvres à une branlette espagnole d'exception. Cora, le visage enduit de salive, une lueur de pute scintillant dans son regard shooté. Cora qui lèche le gland dès qu'il passe à portée de sa langue ...

Encore une fois, Ryo ne contrôle pas son orgasme. il balance la purée comme un enfoiré. La première giclée balafre le visage de Cora sur toute la longueur. La deuxième finit dans ses cheveux, la troisième, elle se la prend dans un œil. Là encore, photos à l'appui, Ryo immortalise l'instant. Il pèse sur le ventre de l'américaine, s'y frotte le cul.

"On s'occupe de ton backdoor maintenant?"


Cora Travers

E.S.P.er

Re : Ride the white horse [Pv. CORA]

Réponse 13 samedi 08 janvier 2022, 13:55:10

Elle n’a plus le contrôle, quand Ryo revient envahir sa bouche. Mais elle ne se plaint pas. Elle ne sait pas si c’est la drogue, ou l’alcool, ou juste une face cachée de sa personnalité, mais elle adore ça. Le manque d’air l’emmène au bord de la jouissance plus d’une fois, alors que son amant investit sa gorge comme s’il était propriétaire des lieux. Mais il la libère toujours avant qu’elle ne s’évanouisse, avant que l’orgasme ne la terrasse. Et il recommence, et elle est pire que trempée. La dégradation, l’humiliation, ne font que booster son excitation.

Quand il se déverse en elle, quand elle sent les jets de sperme couler dans sa gorge sans qu’elle ne puisse les goûter de sa langue, Cora est à la fois déçue et embrasée. Ses lèvres tentent d’aspirer la peau fragile qui se retire, sans grand succès. A peine réussit-elle à laper le gland qui s’enfuit. Son regard pâle, assombri par le désir, l’alcool et la drogue, se lève vers l’inspecteur qui la maintient toujours, et elle lui offre un sourire amusé. Elle est haletante, le visage trempée de larmes et de salive, mais elle reste fière et échauffée. Passionnée. Exigeante. Elle gémit même alors qu’il la gifle de sa queue, aller et retour, ajoutant salive et sperme mêlés contre sa peau rougie. Si elle avait un miroir, elle ne se reconnaîtrait probablement pas.

L’américaine se laisse faire alors qu’il prend une nouvelle initiative, et elle place instinctivement ses mains contre ses seins pour les presser autour de la queue qui vient coulisser entre eux. Un autre que le grand flic aurait été littéralement « avalé » par la chair mammaire. Mais Ryo est bien monté, et il se fait compresser entre les seins de Cora sans voir son sexe disparaître complètement. Un nouveau gémissement échappe aux lèvres de la jeune femme alors qu’il lui crache à nouveau dessus, et elle garde les lèvres entrouvertes et accueillantes, si jamais il voulait recommencer, se sentant tout à fait indécente mais appréciant énormément.

Elle baisse néanmoins la tête pour venir suçoter le gland quand il passe à portée de son visage, frottant ses cuisses l’une contre l’autre avec impatience dès lors qu’elle le serre entre ses lèvres. Elle ne calcule pas tout de suite le téléphone sorti, son attention concentrée sur cette masse rigide de chair virile qu’elle presse entre ses seins. Mais quand elle le remarque, elle ne s’offusque pas, et prend même parfois la pause pour l’objectif, relevant la tête avec la bouche ouverte et la langue sortie, ou gobant le gland violacée entre ses lèvres en penchant la tête vers l‘avant.

La seconde fois où Ryo crache la purée, Cora est à l’affût. La bouche ouverte, et la langue sortie, elle réussit à recevoir une partie, et garde la pose alors qu’il continue de la prendre en photo. Les yeux fermés, pour éviter que le sperme de soit directement dans son œil, elle lâche un rire bas, empli de désir. Frottant juste son œil pour retirer le sperme, elle lèche ses doigts en relevant les yeux vers l’inspecteur.

« Mmmh, fuck yes ! Rétorque-t-elle en finissant de lécher le sperme sur ses doigts. »

Et avec plus de force que son apparence ne le laisse supposer, elle s’extirpe d’entre les cuisses de son amant pour se retourner, les bras appuyés sur le dossier du canapé, et cambrant les reins en présentant sa croupe au flic.

« Crache bien dessus, hein ? Même si je mouille surement assez pour lubrifier le passage pour un tronc d’arbre… Souffle-t-elle en tournant la tête, se léchant les lèvres. »

Et puis, laissant à peine le temps à Ryo de choisir de faire ou non ce qu’elle demandait, elle étire un bras vers l’arrière, agrippant la queue toujours rigide, et la guide entre ses fesses. Elle la fait d’abord tremper dans la cyprine qui macule ses cuisses et ses lèvres intimes, et elle l’amène ensuite contre sa rondelle. Avec un gémissement affamé, elle pousse sur ses reins et sur la queue qu’elle maintient pour s’empaler d’elle-même, forçant son anneau jusqu’à ce qu’il libère le passage pour faire pénétrer le gland.

Relâchant le mandrin de sa main, elle s’agrippe au dossier du canapé et pousse de nouveau sur ses reins, venant l’enfiler jusqu’à la garde entre ses entrailles.

« Mmmh, yes, yes, yes ! Gémit-elle, s’immobilisant contre l’aine du flic. Vas-y, défonce-moi ordonne-t-elle presque en se contractant autour de lui. Je regrette presque que tu n’aies pas deux bites, marmonne-t-elle ensuite, les yeux fermés, concentrée sur la sensation de le sentir l’écarteler de la sorte. »

Et si elle lui a ordonné de la défoncer, elle n’est pas en reste. La blonde donne du sien pour cette sodomie, et bouge les reins avec ferveur pour amplifier les mouvements. Elle a envie de jouir, bien sûr. Mais elle a envie de sale aussi. Elle a besoin de se sentir écartelée, de se sentir investie à la limite du possible.

« Fuck, Ryo, plus fort ! Halète-t-elle, et elle vient lui attraper une main pour la guider vers l’avant, pour l’entourer autour de sa gorge. Serre, intime-t-elle, le souffle court et la voix rauque. »
cc99ff - Paroles de Cora.

Ryo

Humain(e)

Re : Ride the white horse [Pv. CORA]

Réponse 14 dimanche 09 janvier 2022, 14:15:59

Non ne doit pas être un mot que Cora utilise souvent. Aussitôt suggéré, aussitôt réalisé. Ce que veut Ryo à présent emballe la jolie femme peut être plus encore que lui-même. Ryo la kiffe. Elle est ravagée, à du foutre plein la gueule et elle trouve encore le moyen de sourire et d'exiger plus. Il n'a même pas à forcer le passage qu'il se retrouve emmanché dans ce cul divin jusqu'à la garde. C'est elle qui vient de prendre le lead et la brute ne trouve pas ça désagréable. La facilité avec laquelle elle s'est enfilée son chibre est sidérante. Elle l'a avalé comme une huitre, et sans montrer le moindre signe de rejet ou de douleur. Cora est défoncée, si c'est bien l'effet de la poudre qui la transcende en super-pute. Et quand elle exprime la volonté d'y aller plus durement, il ne se fait pas prier. Il lui serre le cou de sa grosse paluche, plus qu'il ne faudrait et suffisamment pour qu'elle hoquète. S'il elle n'était pas fumée, elle paniquerait. Le geste est significatif de la violence qui va s'instaurer entre eux. Il comprime vicieusement sur la trachée de Cora, presse sur ses carotides pour bloquer l'afflux sanguin et quand elle manque défaillir, il relâche la pression pour que le retour noie le cerveau de la fille sous un tsunami d'oxygène. Il lui fait mal, à taper durement dans son cul, il y met tout son poids, toute sa virilité. Elle est écrasée  contre le dossier du sofa et chaque coup de reins de Ryo est un empalement profond. Il lui défonce le fion, l'écartèle sans merci, se rate, glisse hors de son cul pour y revenir en poussant de travers. Les entrailles de la fille sont ravagées, tordues, dilatées alors qu'il y bourrine comme un marteau-pilon. Il libère son cou de son emprise pour ramener les bras de Cora dans son dos. Il la verrouille à lui déboiter les épaules, creusant son dos en une cambrure extrême.

"Si tu veux plusieurs queues dans le cul, j'peux t'arranger ça un d'ces quatre."


Il y pense déjà. le bénéfice d'avoir une chienne pareille à sa disposition peut être un boost pour ses finances. Tout en gardant la primeur de l'utiliser comme un sac à foutre, il pourrait la louer à prix d'or. Des gros élus ou magistrats véreux de Seikusu paieraient une fortune pour troncher l'américaine.
Ryo grogne comme une Bête. Une main lui suffit à la maitriser. Il la domine physiquement et ne laisse pas s'échapper. Elle portera demain les marques de ses doigts et aura des bleus. Il s'affale sur elle, s'emboite sur ce corps voluptueux. La gueule de la petite s'enfonce dans le coussin moelleux. Rien à foutre! Il la pulvérise comme elle l'a demandé. D'une main, il lui relève la gueule qu'elle puisse respirer et la replaque avant qu'elle est terminée. Plusieurs fois, sans jamais qu'elle puisse trop récupérer, toujours la maintenant sous tension. Il a une furieuse envie de la gifler. Quand elle ne peux plus supporter son poids, elle s'effondre, tordue sous lui. Sa nuque pourrait céder qu'il s'en fout. Il ne peut plus s'arrêter de la baiser. Elle tressaille, elle gigote, il l'encule. Son cul n'est plus qu'un trou à bite, un garage à queue, béant, le sphincter détruit. Quand l'orgasme monte, il rugit, martèle de toutes ses forces pour finalement s'ancrer le plus loin possible et se purger de toute sa semence alors qu'il gueule tout ce qu'il a.  Il transpire, elle aussi. Quand il décide de la libérer, il se redresse. Cora est un morceau de chair ravagé. Son cul ne se referme pas et des flots de foutre en dégoulinent.

"Viens par là salope!"

Par les cheveux, il la tire du canapé et l'agenouille au sol. Il s'essuie la queue dans ses cheveux qui gardent les traces du passage par sa cavité anale. Ryo halète. Mine de rien, le shoot lui fait de l'effet aussi. Cette pute est un appel au vice. Une nouvelle fois, il lui crache au visage et l'emmène à la salle de bain, sans lâcher ses mèches. Qu'elle suive en titubant ou à quatre pattes n'est pas son problème. Il la traine dans la douche où il se campe face à elle. Elle veut du hard, c'est pas fini. Il tape sa queue contre le beau visage avant de faire un pas en arrière. Si elle n'a pas deviné ce qui va arriver, elle va être surprise. La chaleur monte et il se libère de son envie. Il lui pisse dessus comme il pisserait contre un arbre, longuement, jusqu'à la dernière goutte. La boucle est bouclée. Re-photo. il actionne le levier de la douche est fait monter la température de l'eau à la limite du supportable. Ryo refait un passage par la case fellation mais n'a plus grand chose à décharger. Cora est pleine de son foutre et il va falloir qu'il recharge les cuves. Il se lave, et dans un élan purement intéressé, aide l'américaine à se débarrasser de sa crasse. Peu de mots sont échangés. L'eau brulante fait un bien fou.

Une fois séchés, il la prend dans ses bras et la monte dans sa chambre, sur la mezzanine. Le lit est spacieux et confortable. Ils s'enfouissent sous la couette et Ryo retrouve une nouvelle vigueur alors qu'elle s'emboite contre lui. L'idée qu'elle pourrait le faire crever de trop baiser lui traverse l'esprit. Ce serait une belle mort.

"Arrête d'me chauffer Cora!"

Il est dur comme la pierre. Il la fout sur le dos et après s'être enduit la queue de lubrifiant (il en a toujours dans le tiroir de son chevet), il s'abat entre les cuisses pour lui enfiler le cul à nouveau. Il y entre tout simplement alors qu'il écrase ses lèvres contre les siennes. le pieu souffre de cette agitation brutale qui le secoue. Encore une fois, il la défonce et fait de son corps, un temple de la sodomie. il vient rapidement même si ce n'est que de quelques gouttes avant de s'effondrer. Il s'endort fiché en elle et en murmurant des vulgarités ... très vraies.

C'est tard qu'il se réveille le matin suivant. Cora pionce encore. Il descend prendre une douche et s'envoie un verre de whisky. Ils ont picolé comme des trous. Le loft nécessite un bon coup de propre, la femme de ménage va avoir du boulot. Ryo passe un boxer et s'allume une clope. Quelques minutes plus tard, il remonte dans la mezzanine et s'assoit côté Cora. Il pose sur le chevet un verre contenant un mélange vin rouge-coca, le top pour se remettre d'une cuite, il faut toujours relever le taux d'alcool quand on se sent mal. Et sur un petit miroir, une petite ligne de coke coupée. Elle va peut être se réveiller avec une gueule de bois monstrueuse. Autant qu'elle s'y habitue. la dépendance ne pourra qu'être bénéfique pour les projets du flic.

"Hey salut beauté! Tu te souviens de moi? Le type sympa que t'as sauvagement violenté toute la nuit...."

Il se marre, c'est pas faux. Il est bien, rien à voir avec un réveil aux côtés d'une pute anonyme.



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