C’est avec gratitude que la blonde embrasse Ryo avant de s’excuser pour aller aux toilettes, les doigts serrés contre le petit pochon de drogue qu’il vient de lui refiler. Elle prend soin de rouler des hanches, bien entendu, avant de disparaître de la vue des hommes à table. Une fois seule, les toilettes étant désertées pour le moment, la mutante sort un petit miroir de la pochette qu’elle traîne avec elle et une carte de crédit. Avec dextérité, elle se fait un rail et se l’enfile sans faire de manière.
Pendant qu’elle prend son temps à ranger son matériel, la jeune femme sent la drogue agir. Un coup de fouet, une envie de bouger, de danser… De baiser. Contrairement à l’habitude, son corps s’échauffe sans même que Ryo ne soit responsable. Dans le miroir, la blonde voit ses pupilles s’élargirent alors qu’elle a du mal à s’empêcher de se trémousser pour frotter ses cuisses l’une contre l’autre. Diablement efficace, cette addition dont elle n’est pas consciente dans sa dose habituelle.
Elle se lave les mains, pour donner le change alors que quelqu’un d’autre rentre dans les toilettes, et retourne dans la salle. Par-dessous le tissu ajusté de la robe, la pointe de ses tétons se fait connaître. La pauvre mutante, arrivant à la table, est déjà bien échauffée. Avec dépit, Ryo se lève quand elle se réinstalle. Son regard le supplie de ne pas la laisser seule, mais il lui fait comprendre qu’il va revenir et elle se rassure.
Un sourire hésitant orne ses lèvres peintes en rouge. Il se fige alors que Nobu se fait plus entreprenant, sans prendre de gants. Le souffle de la blonde devient erratique alors que sa main est posée contre l’entrejambe de l’élu et que sa cuisse est prise d’assaut sans vergogne. Mais, consentante ou non, son corps réagit à l’extrême. Comme si un courant électrique la parcourait. Ses lèvres s’entrouvrent de surprise quand l’ordre est donné. Elle déglutit, mais la tension dans ses reins se fait plus forte. Elle a besoin de sexe.
Dans un état second -probablement dû à la drogue-, la jeune femme obéit sans broncher et se glisse sous la table. Agenouillée, avec la vision de quatre paires de jambes qui s’écartaient comme pour l’attirer, la blonde n’hésite qu’un instant avant que la main qui est plaquée contre la trique de l’élu ne s’anime. L’autre la rejoint pour libérer l’engin –beaucoup moins imposant que Ryo, se dit-elle avec dépit- et le branler d’abord doucement.
« Suce, et dépêche-toi, intime Nobu comme elle hésitait. Et n’oublie pas de t’occuper de mes voisins également… »
Une paire de jambe bouge et fait le tour de la table pour s’installer à la place libérée par la mutante aux cheveux roses. Presque comme dans un rêve, elle guide d’abord le sexe de l’élu entre ses lèvres, se rapprochant pour être quasiment lovée entre les jambes de l’homme, et ses mains se dirigèrent à tâtons de chaque côté, vite aidée par les hommes qui calèrent leurs sexe raidis entre ses doigts et se servirent allègrement de ses mains pour se branler.
« C’est ça, petite pute. Suce bien, avale bien ma queue, c’est tout ce que tu mérites ! Qu’elle entend Nobu dire, l’imaginant bien reposer sa tête contre le dossier du siège pour profiter de sa pipe. »
Les mains de l’élu ne tardent d’ailleurs pas à venir se caler sur son crâne. Il la laisse découvrir à son rythme pour un temps, n’appuyant sur son crâne que pour la maintenir quand son nez s’enfouit contre sa toison et la relâchant après quelques longues secondes.
« Quelle petite bouche délicieuse, complimente-t-il tandis qu’elle augmente un peu le rythme des allers-retours de ses lèvres contre sa tige. Vas-y, petite salope. Etouffe-toi contre ma queue ! »
De chaque côté de l’élu, les hommes grognent doucement, ayant hâte de sentir sa bouche chaude contre leurs triques. Ils se branlent sans vergogne avec ses mains pour l’instant, mais ils n’attendaient qu’une chose : Que Nobu lui remplisse la gorge avant qu’ils ne puissent se l’approprier.
La mutante prend vite de la vitesse quand les doigts huileux du maire adjoint se crispent dans ses cheveux. Mais, bientôt, il prend le contrôle et dirige sa tête sans vergogne pour lui baiser la gorge. Il lui cogne le nez contre son aine, encore et encore, puis se crispe alors qu’il est au fond de sa gorge. Il lâche la sauce, exhalant de plaisir.
« Ouais, avale bien tout, c’est tout ce à quoi tu es bonne, catin. »
Enfin, il la relâche. La blonde a le menton couvert de salive et un peu de foutre lui coule au coin des lèvres. Le manche de Nobu est couvert de son rouge à lèvre. Il lui intime encore quelques vas-et-viens, lui ordonnant de nettoyer sa queue poisseuse, avant de la repousser sèchement contre les jambes de celui qui a pris sa place.
« Sa petite bouche de suceuse est toute à vous, les amis, indique Nobu alors que son voisin de table attrape les cheveux teints en rose pour lui coller la bouche sur son propre sexe. »
De taille moyenne, mais fin, il ne tarde pas à utiliser sa bouche comme son vide-couille personnel. La branlette de ses doigts fuselés l’a mis en appétit. Avec quelques rudes allers-retours, il se lâche à son tour, tapissant sa gorge et -retirant son sexe au dernier moment- son visage. Il râle de plaisir, ne la lâchant pas alors qu’il revient lui fourrer son sexe entre les lèvres pour qu’elle nettoie la salive et le foutre qui restent sur sa tige.
« Putain ouais, elle est trop bonne. A vous, les gars ! »
Et, à son tour, il la repousse. Il se lève peu après pour reprendre sa place, reboutonnant son pantalon d’un geste brusque. Et la pauvre Cora est de nouveau attrapée comme si elle n’était qu’une poupée. Elle ne résiste pas, son corps brûlant d’envie de se faire démonter, et ouvre même la bouche avant qu’une main ne vienne la traîner jusqu’à une queue aussi grande que Ryo mais plus fine, plus insidieuse.
Sans se soucier de l’odeur de ce sexe, ses lèvres se referment sur la peau tendue tandis qu’une main la pousse à le prendre en entier dès le départ. La main appuie sur son crâne sans douceur tandis que le gland passe sa glotte et se loge dans sa gorge, manquant de la faire tousser. Bien décidé à se servir lui aussi de cette délicieuse bouche à pipe, il ne prend pas de gants et entame dès le début un rythme soutenu. La blonde en a les yeux qui pleurent alors qu’elle peine à respirer. Elle bave abondamment comme elle n’a pas le temps de déglutir, et son décolleté ne tarde pas à être inondé de sa salive. Son rouge à lèvre est ruiné, à ce point, laissant toutefois encore des marques sur la trique qui cherche à lui pourfendre la gorge.
Une main est prise d’autorité pour se refermer sur un sexe de taille moyenne, une nouvelle fois, mais plus large que tous les précédents. Son pouce et son index n’en font pas le tour. Tandis que sa gorge se fait pilonner sans merci, sa main est utilisée pour branler le dernier des hommes.
Un peu plus tard, le nez enfoui contre l’aine de l’homme qu’elle suce, Cora a de nouveau la gorge repeinte. Elle manque de s’étouffer tant celui qu’elle suce presse sa tête contre sa queue et de la semence coule de nouveau au coin de ses lèvres. Alors qu’elle se sent défaillir avec le manque d’air, que ses doigts se crispent contre la bite qu’elle branle à côté, il la relâche finalement pour lui imprimer quelques mouvements de plus afin de se nettoyer la queue.
« Ryo n’a pas menti. Putain, sa bouche est bonne. J’aimerais bien voir le reste également, patron ! »
Tremblante, la jeune femme est enfin attirée vers la dernière paire de jambe. Vers ce sexe de taille moyenne mais si épais que ses doigts n’en font pas le tour. Pas au niveau de Ryo, certes, mais quand même. Cora ne saurait dire si Ryo est revenu entre temps, elle n’a pas le temps de se le demander. De nouveau, sa bouche est prise d’assaut. Un rythme violent est imposé, le gland violacé butant contre sa gorge sans pitié tandis que la main dans ses cheveux garde une prise ferme.
« C’est un bon vide-couille, c’est sûr. Hey, Ryo ! Elle sert aussi d’urinoir, ta pute ? Demande le dernier qui pilonne rudement la gorge de la blonde. »
Sans pouvoir s’en empêcher, Cora laisse un gémissement s’étouffer contre la queue qu’elle gobe. A quatre patte sous la table, sa croupe est directement tournée vers la place que Ryo occupait. S’il se penche -pour ramasser une serviette tombée, par exemple- il pourra clairement voir sa petite chatte trempée et ses cuisses luisantes.