La Terre était un endroit toujours aussi étrange pour Ophélia, le niveau de conscience de ses habitants n’était absolument pas uniforme et si certains semblaient au courant des créatures, de a magies et autres choses surnaturelles, la grande majorité semblait croire que ça n’existait pas. Mais elle aimait bien s’y rendre quand même, pour le moment, elle ne s’étend rendu qu’à Seikusu et la ville était si immense qu’elle n’avait pas besoin d’en sortir, lors de son premier voyage là-bas, elle avait été plutôt surprise que la langue parlée là-bas soit la même que chez elle.
Elle ne se cachait pas vraiment lorsqu’elle se rendait dans les rue et aux milieu de cette forêt d’immeuble gigantesque, cependant elle qui vivait toujours nue elle prenait tout de même la peine de s’habiller pour s’y rendre même si elle n’aimait pas vraiment les vêtements, elle se trouvait trop limiter dans le tissu. Les humains de Seikusu n’était pas bien différent de ceux de Terra en terme d’envie ou de passe-temps, seule la technologie était plus importante mais Ophélia avait comprit comment fonctionnait la plupart des choses qu’elle y avait découverte. Il fallait dire que son maître avait beaucoup d’objet provenant d’ici chez lui.
Ce qu’elle aimait bien aussi avec les humains d’ici c’était leur liberté sexuelle, il y avait des endroits pour se rencontrer partout et la plupart ne cachait pas que s’ils voulaient rencontrer des filles c’était juste pour s’amuser et ça c’était comme elle. D’ailleurs aujourd’hui, elle était encore en chaleur, voyager d’un monde à l’autre sans arrêt semblait quelque peu détracter son organisme interne car cela se produisait de plus en plus souvent. Quand c’était comme ça, elle recherchait un homme un peu mignon avec qui elle pourrait s’amuser, elle n’était pas vraiment plus regardante que ça, un beau mâle lui suffisait.
Elle se marchait donc tranquillement dans les rue de Seikusu sans vraiment de but précis, il y avait tant à faire ici qu’elle se laissait aller sans vraiment préparer ce qu’elle voulait faire. Quand elle passa à coté de distributeur automatique, la personne qui se trouvait devant lui parla mais elle ne comprit pas vraiment ce qu’il voulait dire par là :
« C’est à dire ? »
Déjà qu’elle n’aimait pas s’habiller, elle n’allait pas en plus porter de choses comme des soutien-gorge ou des culottes. Elle le regarda en se tournant vers lui et répondit le plus tranquillement du monde ;
« Pourquoi ? Tu veux voir ce que j’ai en dessous ? »
Se mettre toute nue ne la dérangerait absolument pas puisque pour elle c’était sa tenue habituelle et donc tout à fait normal.