Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Grimpe ... moi? [Pv. Jack]

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Jack Taylor

Humain(e)

Re : Grimpe ... moi? [Pv. Jack]

Réponse 15 lundi 11 octobre 2021, 11:01:28

Désamorcer le conflit avant qu’il ne survienne… Normalement, Jack est plutôt bon à ce petit jeu-là, mais pour le coup il est parfaitement conscient d’avoir dépassé les bornes - ou du moins d’avoir brûlé certaines étapes. Naturellement, ça ne l’arrête pas, au contraire ; sa libido a pris l’avantage sur sa raison d’autant que telles que les choses sont parties, il ne voit guère d’autre issue que celle de continuer à se vautrer dans le stupre avec la jeune femme… Jeune femme qu’il sent hésitante, secouée - forcément - puis rassérénée. L’agent Taylor a une brève grimace agacée. Il lui a laissé trop de temps pour se reprendre, trop de temps pour réfléchir et il risque de le payer. Il aurait dû se contenter de la pénétrer contre le lavabo. D’écraser sa jolie petite gueule souillée de foutre contre la glace. 

“Hmm ?”

Il hausse un sourcil circonspect. Sous l’effet de la surprise, davantage que de la pression de ses doigts sur ses épaules, il s'exécute, accompagne le mouvement qu’elle lui impose. Il sourire étire ses lèvres lorsqu’il l'observe glisser entre ses cuisses, qu’il écarte, avenant. Ah, finalement la voilà qui redevient raisonnable. Parce qu’il n’y a pas de mur derrière lui, sa position est précaire, et la jolie garce en profite, soulevant ses cuisses vers le haut, faisant glisser son dos sur le sol. Déséquilibré, il ne parvient pas à se rattraper à temps en posant ses mains sur le carrelage froid.

“Hé ?” 

Son audace le surprend, une fois de plus. Il ne s’attendait clairement pas à ça de sa part, même s’il ne lui a pas échappé qu’elle a davantage de caractère que ce qu’elle laisse transparaître. “Disons que ce n'est pas tout à fait le plan…” Sa position n’est pas très glorieuse, mais… Elle n’est pas non plus déplaisante. Il redresse légèrement sa nuque, pour observer sa partenaire, sourire aux lèvres. Oh, il a compris son plan… Il hésite un court instant à l’envoyer bouler d’un coup de talon ; le sentiment de vulnérabilité qu’il ressent est loin d’être habituel. Cul offert, son gros chibre poisseux pointé tout droit vers sa gueule. Ça tire un peu dans le bas de son dos. Mais il ne se débat pas. Le souffle tiède de la blondinette contre son anus encore dilaté l’en dissuade. Il retient sa respiration, se retient de l’encourager. 

“Hm.”

Ses jambes, il est bien obligé de les tenir, pour ne pas trop basculer vers l’avant. Alors il les ramène davantage vers lui, en appuyant sur le dessous de ses cuisses. Sa respiration s’alourdit. “Ah putain.” Il ne peut pas s’empêcher de mordre sa lèvre inférieure quand les lèvres de sa collègues s’écrasent sur son scrotum, une zone éminemment sensible chez lui, elle crache, la chienne, et il sent la salive dégouliner sur sa corolle, puis dans la raie de ses fesses et frémit, les yeux mi-clos. Il sursaute carrément quand elle empoigne sa queue, remue lentement son bassin en grognant. “Vas-y, vas-y” , murmure-il, d’une voix monocorde, assourdie par l'excitation. Qu’est-ce qui lui prend ? Putain c’est BON. Un éclair de douleur le fait lâcher l’une de ses jambes néanmoins, qui retombe sur l’épaule de son assaillante. “Woh, doucement, doucement !” Sa couille est endolorie, un peu anesthésiée. Gwen n’a que faire de ses récriminations, et il sent la pulpe de son doigt s’écraser contre son anus, glisser en lui. Jack renverse carrément la tête en arrière, son crâne heurte le carrelage. “Là… Oui, …” Elle semble fouiller un peu au hasard, dilate ses parois, mais le doigt trouve son chemin, effleure la petite bosse gonflée de sa prostate. La grosse main de Jack claque sur le carrelage. Il se contorsionne pour s’offrir davantage alors que la jeune femme malmène son gros sexe, le branlant férocement, les doigts serrés sous son gland violacé.

“Putain, vas-y. Plus. Loin.” Il a probablement l’air grotesque, à se dandiner au-dessous d’elle, mais il en a carrément plus rien à foutre. Il en vient à mordre le dessus de sa main pour s’empêcher de grogner trop fort “Putain de. Chienne.” Quelque chose d’autre se presse contre l’index qui s'affaire. Un autre doigt ? Non, c’est…Sa putain de petite langue rose. “T’aimes ça en fait ? Putain tu… Tu caches bien ton jeu, chienne.” Il répète l’insulte. Ce qu’elle ne sait pas, c’est qu’il cherche à se rassurer. Parce que si elle venait à s’interrompre maintenant, alors qu’il est si proche… Oh elle pourrait lui demander d’aboyer, qu’il le ferait, sans hésiter. Les dents serrées, il se cambre, frémit de nouveau.

“Oh… Oooh…”

La belle gueule du professeur se transforme. La petite a trouvé le bon endroit. Il écarquille les yeux, s’efforce de reprendre son souffle, mais il sait déjà que son orgasme va être terrible, davantage que le précédent. “Mhhhh…. !” Son corps s’arque littéralement vers le haut, alors qu’il remue frénétiquement le bassin. Bientôt son gros chibre projette une première giclée de foutre épais qui s’écrase sur le carrelage, non loin de son épaule, mais la jolie garce à sitôt fait de réajuster le tir d’un élégant mouvement du poignet, et Jack, râlant comme un animal en rut gicle copieusement sur son propre visage, s’étouffant presque avec son foutre. Bordel. Il en a partout : dans la bouche, à l’entrée de ses narines, dans les yeux - ça pique - et même dans les cheveux. C’est épais, odorant, et pas franchement ragoûtant, mais il est trop perché pour vraiment s’en formaliser. La puissance des jets s’amenuise et bientôt, c’est son abdomen musculeux qu’il inonde de sperme.

“Putain de merde, Gwen !” , il murmure enfin, s’efforçant de reprendre son souffle. Sous ses cuisses, il sent la jeune femme se retirer, avant de lui adresser quelque mots, ou bien de garder le silence. L’homme se redresse lentement, s’efforce de s’essuyer les yeux, qu’il est incapable d’ouvrir en entier. De son amante, il ne voit que les pieds nus, et les jolies chevilles.

Gwen K.

Humain(e)

Re : Grimpe ... moi? [Pv. Jack]

Réponse 16 jeudi 14 octobre 2021, 19:57:02

L'homme est à ses pieds, symbole de victoire ... dérisoire mais victoire quand même. Il est dans le même état qu'elle quelques instants plus tôt mais lui, en a profité un max. Son orgasme a été spectaculaire, brutal et Gwen a même eu peur de prendre un coup. Malgré tout, elle est fière de son petit effet. Jack la Bête sexuelle a été terrassé par sa proie. C'était sympa de le faire se dandiner comme ça. UUUhh sympa? Non non, c'était juste une revanche. Il a frémi sous ses caresses, demandé à ce qu'elle ne s'arrête pas. Elle a lu l'anxiété mêlée au désir dans son regard et c'était kiffant. Jack est là, à terre, laminé et tout aussi souillé qu'elle. Gwen fait deux pas en arrière pour contempler son œuvre. Le spectacle est loin d'être propre ni sexy, elle marche dans du sperme qui a étalé au sol, surement celui qui a goutté de son visage.

"Un partout Jack!"

Sa voix est claire et sèche mais elle se maudit immédiatement d'avoir sorti ça. C'est inutile sauf si elle veut qu'ils remettent le couvert. En tout cas, c'est ce qu'il pourrait penser. Elle, ça lui a suffit, ce genre de relation ne lui correspond pas. C'est un coup foiré, dommage. Abandonnant son collègue, elle se dirige vers la porte qu'elle entrouvre prudemment. Personne dans le gymnase. Sans un regard en arrière, elle file rejoindre le vestiaire des filles pour se ruer sous la douche où elle passe un long moment. S'il tente de la rejoindre, elle se promet de lui casser la gueule. Mais personne ne vient la perturber. L'eau chaude lui fait un bien fou et elle lave soigneusement son visage poisseux. Le goût de Jack coule sur ses lèvres et elle se marre. Ça avait bien commencé pourtant mais lui lécher le cul, c'était une première pour elle. Salaud! Au moins, il ne rechignait pas à subir le même traitement. Elle se dit que c'était curieux comme attitude. La nature de cette homme n'était pas celle d'un prédateur sexuel puisqu'il partageait dans un sens comme dans l'autre ses fantaisies. Est-ce qu'il était bi? ... Après s'être séchée et habillée, elle quitta furtivement l'endroit, pas trace de son tourmenteur ... A l'extérieur, elle croisa le gros professeur qui avait proposé son aide plus tôt. Pourquoi était-il encore là? Elle eut un doute affreux mais le type lui fit tout simplement un geste amical avant de s'éloigner. Ouf ... Elle ressassa les évènements tout le long du trajet du retour chez elle. Jack avait dépassé les bornes, bien trop, et dans un sens, ça n'avait pas été si terrible. Il était odieux, vulgaire, égoïste mais aussi foutrement sexy et avec ... une queue énorme. Elle l'imagina fourailler entre elle et serra ses cuisses. Elle eut honte un instant, compressée dans la rame bondée du métro qu'elle empruntait pour rentrer mais l'image de ce sexe tendu devant son nez ne s'effaçait pas. Est-ce que Jack pouvait être doux aussi? Elle décida qu'elle ne le saurait jamais. Point final!

Le reste de la semaine passa sans qu'elle le croise. Elle évita le plus possible l'accès à la salle des professeurs et ne quitta pas le gymnase. Elle avait l'impression que beaucoup la regardait bizarrement mais se dit qu'elle se faisait des idées. Et puis, la rentrée scolaire eut lieu et Jack fut partout. Elle devait photocopier des documents, il était déjà là ou arrivait peu après. Un collègue l'invitait à l'intercours à prendre un café en salle commune, Jack y prenait le sien. A chaque fois, quand elle put, elle l'ignora superbement. Quand il fallut lui dire bonjour parce qu'il ne pouvait en être autrement, ce fut assez froid, de manière à ce que même un prof lui demanda s'il il avait un problème. Elle rit de ce commentaire, assurant que pas du tout et qu'elle n'aimait juste pas la discipline de Jack. l'autre partagea son hilarité. Crétin ... Elle eut aussi à affronter les regards concupiscents des élèves les plus âgés mais aussi d'autres collègues masculins. Sa plastique était un atout mais aussi parfois une malédiction. Elle eut même une fois à envoyer un élève qui avait eu des propos déplacés au bureau du directeur.

A la fin de la troisième semaine, il y eut le bilan de rentrée organisé par la direction de l'établissement. C'était une réunion, suivit d'une collation, où étaient réunit tout le staff enseignant de l'université. Gwen s'y présenta pimpante, seyante dans son jean bleu délavée et son chemisier couleur chair. Elle était maquillée discrètement et portait ses mocassins. Elle détestait les talons. Elle était d'humeur intrigante. La raison? le soir d'avant, un rendez-vous avec un homme de l'équipe dirigeante du complexe aquatique de la ville où elle travaillait parfois. Cadre sup, belle montre, salaire surement sympa, il avait, elle le savait, flashé sur sa poitrine. Le resto était classe, l'addition, qu'il avait payé, monstrueuse, et la soirée avait été d'une mollesse exaspérante. Le gars avait peur de la brusquer, prenait des tours et détours pour lui poser une question, tournait autour du pot, pour finalement la laisser à la porte d'un taxi sans avoir rien fait ni dit d'intéressant. Elle s'était fait chier royalement. Jack m'aurait baisé dans les toilettes s'était-elle dit, repensant avec ... nostalgie, gêne, envie? ... à cette première journée avec lui.

Aussi, le lendemain à la fameuse réunion au bahut, elle alla s'asseoir à côté de lui alors qu'elle aurait pu se mettre ailleurs. Elle ne dit pas un mot et croisa ses jambes pour y poser son bloc note. Un rapide coup d'œil lui garantit que les deux boutons du milieu de son chemisier, qu'elle venait de déboutonner, offraient bien une vue béante sur ses atouts et elle s'attacha à écouter le directeur parler. La réunion avait lieu dans un amphithéâtre qui était bondé.

Oups ... mon stylo ... Tombé par inadvertance entre les jambes de Jack. Gwen se penche sur son collègue et écrase sa poitrine sur ses cuisses par récupérer l'objet. Elle s'y attarde plus que nécessaire et laisse son avant bras glisser le long de la queue de l'homme quand elle se redresse. Elle mime un sourire contrit.

"Désolée ... Qu'est ce que je peux être maladroite!" lui chuchote t'elle.

Elle se désintéresse de lui pour répondre à une question de son autre voisin, sa main s'agrippant néanmoins dans l'entre cuisse du beau gosse. Quand elle revient à son calepin, c'est pour y griffonner un mot qu'elle lui donne à lire. C.H.I.E.N.N.E.

"C'est bien comme ça que ça s'écrit?"

Le bilan de la rentrée est positif et peu de commentaires sont à apporter. Les professeurs se lèvent pour rejoindre l'arrière salle de réception pour la collation. Gwen prend les devants et se faufile devant Jack et se laisser tomber sur lui, ses fesses s'emboîtant où il faut comme il faut.

"Décidément ..."

Son autre voisin l'aide à se relever et elle le remercie d'un sourire adorable. Dans le nouvel espace ou des tables ont été montées, les professeurs ont à leur disposition biscuits et boissons, sans alcool. Gwen prend juste un verre d'eau pétillante et s'isole dans un coin pour observer le chasseur, qui, elle en est sûre, doit être d'humeur à terrasser un titan.

Jack Taylor

Humain(e)

Re : Grimpe ... moi? [Pv. Jack]

Réponse 17 lundi 18 octobre 2021, 18:59:28

Un vague sourire aux lèvres, Jack reste au sol quand la porte se referme derrière Gwen. Elle l’a vidé, dans tous les sens du terme et le bas de son dos l’élance un peu lorsqu’il finit par se redresser. Il lui faut se laver rapidement, avant que le cours de sport des secondes ne se termine. Ignorant le foutre qui macule le sol, il se dirige vers les douches, optant pour une température chaude, presque brûlante, offrant avec délice son visage souillé au jet salvateur. Malgré tout, ses yeux le démangent. Ouais, pas particulièrement agréable, la faciale. Même débandé, son chibre est encore lourd. Il le nettoie avec douceur, ignore la légère érection que suscite son contact tactile. Un partout. L’idée d’une compétition avec Gwen l’amuse beaucoup; rien à voir avec les relations plutôt unilatérales qu’il entretient avec certaines élèves du lycée, davantage des vides-couilles que des amantes. Lorsque l’adrénaline retombe enfin, il grimace. Les choses ne se sont pas exactement passées comme prévu. Même si Gwen semble en définitive avoir retiré une certaine satisfaction de leur première rencontre, il se méfie de la réaction qu’elle pourrait avoir à tête reposée. Doit-il craindre pour sa place ? S’attendre à faire un tour au commissariat de Seikusu ? Finalement, il se sèche et se rhabille sans hâte, avant de quitter les vestiaires… Pour tomber nez-à-nez avec le gros -il a oublié son patronyme.

“Ah heu, salut… Cher collègue.”

L’autre maugrée une réponse du bout de ses lippes gonflées, avant de disparaître au coin du couloir. Est-ce un sourire, qu’il a vu se dessiner sur son visage porcin ? Il fronce les sourcils, avant de s’éloigner d’un pas chaloupé, avec un mauvais pressentiment. Le reste de sa soirée fut paisible, sinon ennuyeuse. Correction de copies en retard, Netflix, vérification de sa boîte mail et là… Un message, reçu à 22h30, d’un contact inconnu, provenant de toute évidence d’une boîte mail créée pour l’occasion. Objet : “les douches”. En pièce-jointe, un fichier vidéo. Avant même de l’ouvrir, Jack, mortifié, sait déjà ce qu’il va y trouver. Et le professeur de s’enfoncer dans son fauteuil en se voyant, les quatre fer en l’air, se faire bouffer le cul par son adorable collègue.

“Et merde.”

Vous appréciez la vidéo, Monsieur Taylor ? Si vous ne voulez pas qu’elle soit rendue publique, faites exactement ce que je vous dis. Vous recevrez bientôt d’autres informations.

Il n’a pas besoin de réfléchir bien longtemps pour comprendre - du moins spéculer sur - l’identité du coupable. Le gros, assurément. Sa présence sur les lieux, son regard, son sourire. Le timing était trop parfait. Malheureusement, il manque de preuves et solliciter l’aide de sa hiérarchie dans une affaire aussi délicate n’est pas une très bonne idée.
***

Sur la défensive pour toutes ces raisons, il ignore carrément la jolie blonde pendant quelques jours, bien que le souvenir de ses lèvres pulpeuses et l’idée de remuer son chibre en elle le déconcentrent régulièrement. L’idée d’attraper le petit gros par le col lui a plusieurs fois traversé l’esprit et il bout intérieurement chaque fois qu’il le croise au détour d’un couloir et dans la salle des professeurs. Il doit bien le reconnaître, l'intéressé joue bien la comédie, en feignant une indifférence polie. Quant aux informations annoncées, elles tardent.

Mais finissent par arriver.

Le soudain revirement du comportement de connasse - il faut bien le reconnaître - de Gwen le surprend. Décidément. Il s’en voudrait presque de dérouler le plan qu’il a prévu pour elle… Ou plutôt que le petit gros a prévu pour elle. J’ai pas le choix de toute façon... C’est à son tour de rester de marbre, lorsqu’elle s’assoit à côté de lui, de ne pas loucher sur sa poitrine outrageusement exposée, de détourner carrément le regard en soupirant lorsqu’elle se penche. En revanche, il lui est impossible de réprimer l’immédiate réaction physique que sa main baladeuse produit ; une belle érection partielle et bien visible, compte-tenu de la taille de son chibre.

“Allons bon”, rétorque-il à son amante avec un sourire compréhensif.

Il est soulagé; il n’aura pas à la reconquérir, ce qui, inévitablement, lui facilite la tâche. Lorsque ses doigts écrasent son sexe, il étouffe un grognement étouffé, soupire d’aise. Le coup du calepin le fait sourire et il doit se contenir pour ne pas glisser sa grosse main entre les cuisses de la blondinette. Plusieurs rangs devant eux, le petit gros se retourne de temps à autre, l’air de rien. La petite chienne est en chaleur, constate-il, avant de saisir son téléphone, pour envoyer quelques textos.

Comme sa collègue, aucune des informations relatives à la rentrée ne s’impriment dans son esprit. Sa grosse queue moulée dans son chino, il emboîte le pas à la jeune femme, s’efforçant de ne pas rester trop longtemps bloqué sur son merveilleux petit cul. Il se demande si elle aime se faire sodomiser… Il s’agirait de lui rendre la pareille. Lorsque ledit postérieur s’écrase sur son sexe, par réflexe, il s’empare des hanches de la jeune femme, ses doigts s’enfonçant dans la peau malléables de ses hanches.

“Oups.” Il se penche brièvement à son oreille, le souffle court. “Salle 302, dans dix minutes”.

Il la relâche moins de trois secondes plus tard, mais il sent de nombreux regards courroucés sur sa nuque, s’éloigne en haussant les épaules. Après avoir échangé quelques banalités, il prend congé, non sans oublier de saluer chaleureusement le directeur de l’établissement.

***

Si Gwen obéit à Jack, elle pénètre dans une salle plongée dans la pénombre; les stores sont tirés, et la lumière est éteinte. Si elle s’avance davantage, quelqu’un referme la porte derrière elle, et un cliquetis lui indique qu’elle est désormais enfermée.

“Avance.”

C’est la voix de Jack, qu’elle entend, dans son dos. Au loin, elle aperçoit deux silhouettes, moins massives que celle de son amant. En s’approchant et alors que ses yeux s’habituent à l’obscurité, elle peut reconnaître au fond, debout près du tableau blanc, deux de ses élèves les plus turbulents, Toshio et Mako, Mako étant le jeune homme qu’elle a envoyé chez le directeur. Ceux-ci semblent nerveux, mais indubitablement excités. Jack s’approche dans le dos de son amante, lui glisse son téléphone sous le nez, lui diffusant un extrait de la vidéo, avant de le remettre dans sa poche.

“Si on veut que cette vidéo reste privée, ‘faut qu’on fasse ce qu’il nous demande. Et il te demande de vider les couilles de tes élèves.”

Désignant les intéressés du menton, il s’abstient de lui préciser que ses “exploits” seront filmés, mais elle peut s’en rendre compte par elle-même : une caméra vidéo est positionnée en évidence sur le bureau de la salle de classe. Un peu agacé - il lui est formellement interdit de participer, il s’éloigne de quelques pas, pour s’asseoir sur l’un des pupitres. Si Gwen essaye de s’enfuir, il n’hésitera pas - à contrecœur néanmoins - à l’en empêcher.

Ce n’est qu’une question de temps avant que son contact ne s'introduise sur l’ordinateur du gros









Gwen K.

Humain(e)

Re : Grimpe ... moi? [Pv. Jack]

Réponse 18 jeudi 21 octobre 2021, 17:30:31

L'horreur totale. C'était le scénario qui se profilait à présent. Figée près de Jack, Gwen encaissait de plein fouet le choc de ce revirement de situation. Quelques instants auparavant pourtant, elle quittait sûre d'elle les locaux de la réunion après avoir salué ses collègues.  Tous lui étaient plus ou moins sympathiques, sauf le Gluant, le surnom qu'elle avait donné au gros prof qui n'arrêtait pas de la mater. Elle avait terminé de boire son verre d'eau en pensant à Jack et à sa courte directive. Salle 302, dans dix minutes. Elle avait sourit devant autant d'assurance et si peu de regrets apparents. Elle avait décidé que Jack était comme ça et n'avait pas envie de changer. L'idée du beau gosse romantique, elle l'avait enterrée dans les vestiaires pour garçons du gymnase le jour où il lui avait repeint la gueule. Allait-elle y aller dans cette salle 302? Elle allait y réfléchir bien qu'elle savait déjà qu'elle serait sa réponse. Que voulait-elle de lui en fait? Simple ... Rien d'autre que baiser. Elle s'était maudite quelques soirs plus tôt quand l'évidence de cette réflexion s'était imposée à elle alors qu'elle prenait une douche. Elle s'était caressée et son esprit s'était évadé un peu trop loin dans les vapeurs chaudes. Ça devrait être bon de sentir le sexe de Jack bouger dans son ventre et aussi de ... Bref, elle s'était mortifiée, seule dans sa salle de bain. Ce n'était pas son comportement habituel ni sa manière d'être. Est-ce que le fait d'avoir un emploi stable et de ne plus avoir à courir partout pour dégotter de quoi vivre lui laissait plus de temps pour ce dont elle ne s'occupait jamais: son propre plaisir? Peut être. D'un connard de violeur, sa pensée de lui la plus agressive, Jack était passé à une sorte de fantasme interdit, comme l'image de l'homme trop bien foutu dont on ne sait pas trop quoi faire. Sa proposition il y a quelques minutes ... son ordre plutôt, entrait dans la suite logique de cette envie de se laisser aller à des aventures qui la sortaient de son ordinaire lugubre. Et même s'il avait été plus qu'odieux avec elle, elle avait réussi à passer ses défenses pour le faire craquer aussi. Elle avait adoré le sentir tout fragile entre ses doigts et sous sa langue. Bien sûr, elle s'en était rendue compte après l'acte.

Gwen avait arpenté les couloirs vides de l'université pour rejoindre la salle 302. Troisième étage, personne ne devrait venir les déranger. Tout en marchant, elle s'était promis d'abord d'avoir une discussion sérieuse avec lui pour définir les choses. Si tout irait bien, ils baiseraient sûrement mais il leur fallait parler avant tout. Elle adorerait qu'il s'excuse, ce qui lui ôterait cette image violente de prédateur qu'elle pouvait se faire de lui. C'était décidé, cette fois, c'est elle qui mènerait la danse!

La porte de la salle 302 était fermée et lorsqu'elle posa la main sur la poignée, elle l'y laissa quelques secondes avant d'ouvrir. Il faisait sombre et elle fit quelques pas avant que le claquement de la porte ne la fasse sursauter.

"Avance."

C'était glacial comme introduction, désagréable même. Il commençait déjà? Elle s'apprête à lui rétorquer un truc tout aussi froid quand elle devine deux silhouettes immobiles vers l'estrade de la salle de cours. Un pressentiment affreux l'étreint alors qu'elle reconnait Toshio et Mako qui sont les principaux emmerdeurs de cette université. Ces deux gosses, dont elle se méfie particulièrement, sont issus de familles friquées et n'ont pas de limites. Face à elle, ils se sont heurtés à un mur et leur relation est exécrable. Mako, surtout, pose problème. Les commentaires qu'il a déjà fait sur elle ne portent que sur le cul, d'où son passage chez le directeur quelques jours plus tôt. Leurs sourires n'inspirent pas confiance et ils se dandinent dans l'ombre comme s'ils ne pouvaient pas tenir en place.

L'instant d'après, Jack lui glisse sous le nez son smartphone où il lui passe une vidéo. L'horreur totale. Tout y est, la scène hardcore, les commentaires dégueus, et en plus, vu comme ça, on dirait que c'est elle la perverse. Ils ont été filmé! Putain! Par qui? Comment? Bordel! Le gros porc! Elle en est sûre! Ce taré doit avoir placé une caméra dans les vestiaires de filles! La réflexion rapide de Gwen s'arrête là. Elle est pétrifiée et Jack l'achève de son commentaire inconcevable.

"De ... quoi?"

Elle se tourne vers lui. Il a le visage fermé, les yeux sombres, il fulmine. Ce n'est pas un jeu. Tout est dit, il recule et la laisse en plan. La jeune femme est paumée. Son avenir lui échappe. Si elle ne se plie pas, elle se fait virer et trainera cette casserole derrière elle pour un moment. Elle ne peut pas, ne doit pas perdre ce job. Son attention angoissée se reporte sur les deux jeunes. Qu'elle leur vide les couilles? Elle sent une nausée remonter et est prise de vertiges. Putain, pas ça!

"T'as pas compris? T'attend quoi?"

La voix nasillarde de Mako claque dans le salle déserte. Ce petit connard se sent en position de force. Gwen serre les poings, elle veut le détruire instantanément.

"Hey t'énerves pas, c'est pas la mort non plus. En plus t'as pas envie qu'on te reconnaisse dans les couloirs comme étant une bouffeuse de cul hein?"

Son pote émet un rire faux et nul en approuvant.

Gwen est au fond du trou, prise dans un étau. Elle haït cette sensation et elle sait qu'elle n'a pas le choix. Elle se retourne vers Jack qui ne dit rien, il a le rôle peinard lui. Elle avance vers les deux gamins et c'est seulement là qu'elle remarque la caméra déjà active. Le doigt d'honneur qu'elle lui fait est le plus sincère de toute sa vie.

"Branle toi gros porc, j'te ferais la peau!"

Ses mâchoires sont crispées et sa peau est moite et blême. Elle tire en tremblant une chaise à elle et s'assoit en face des deux merdeux.

"Non, non pas comme ça! Faut qu'on te voie à la caméra! Bouge un peu! Et crois pas que tu vas t'en sortir juste avec une branlette!"

Putain! Sans un mot, elle fait pivoter sa chaise et se retrouve de profil face à la caméra.

"Juste une pipe ... et rien d'autre!"

Les garçons se préparent en hâte et exhibent tout de suite leurs sexes déjà raides. Comme beaucoup de japonais, leur taille n'est pas impressionnante, ni leur épaisseur. Rien en comparaison de celui de Jack en tout cas. C'est une piètre consolation. Mako est brutal. Il attrape Gwen par la nuque et force sa queue entre ses lèvres pour s'enfoncer dans sa bouche. Son goût est immonde, celui d'un jeune en pleine croissance, plein d'hormones, et aussi de plaisir suintant anticipé. Gwen tourne la tête et il s'écrase dans le creux de sa joue.

"Hey joue pas à ça!"

D'un geste sec, il la redresse et pèse de tout son poids sans arriver à passer le goulet de la gorge de la jeune femme, tout simplement parce qu'il n'est pas assez long. Il donne des coups de reins secs, saccadés, trop excité pour se gérer. Gwen le laisse faire, penchée en avant, les coudes sur ses cuisses, à attendre qu'il finisse. Son visage est froid. L'angoisse a laissé place au dégoût puis à la colère.

"A moi maintenant!"

Toshio n'en peut plus. Il saisit la jeune femme par les cheveux et force son pote à glisser hors de sa bouche en délaissant de longs filins collants s'écraser sur le menton de la blondinette. Toshio se montre plus vicelard. Il la tord pour lui baiser la bouche durement. Son ventre mou s'écrase contre le visage de Gwen qui a plus de mal à l'encaisser. Il lui fait mal à piocher dans les muqueuses sensibles les plus profondes. le gosse est mieux membré que son pote et arrive lui, presque à passer la luette.


Jack Taylor

Humain(e)

Re : Grimpe ... moi? [Pv. Jack]

Réponse 19 lundi 06 décembre 2021, 20:12:04

Accoudé sur le muret de sa terrasse, les yeux rivés sur l’horizon rougeoyant, Jack fume sa troisième cigarette de la journée, le visage caressé par les embruns du pacifique. L’appartement qu’il occupe est bien plus luxueux que ce que son modeste salaire de professeur devrait le lui permettre, mais il espère que Gwen ne lui posera pas trop de questions. Il n’est pas certain qu’elle viendra, de toute manière. Le texto qu’il lui a envoyé, quelques jours après l’incident n’a pas reçu de réponse.

“Chez moi, au XX rue XX, vendredi soir, 19h. J’ai à te parler.”

Mako et Toshio l’ont bien secouée. Les deux scélérats se sont succédés rageusement dans ses orifices, sans prendre la peine de se protéger ou de la préparer. La scène, plutôt pathétique, l’a lui-même bouleversé, alors qu’il découvrait que ce qui le révoltait n’était pas le viol - car c’en était un -, mais sa médiocrité. En voyant la jeune femme se faire marteler le sexe par la demi-molle du bedonnant Mako, La conviction tordue, mais vivace que la jeune femme méritait mieux, a fini par s’imposer à son esprit malade. Malgré ce simulacre de baise, Jack, a sû lire sur le visage de la pauvre victime sa honte, sa rage, mais également son plaisir coupable, inavouable. Il a entendu ses soupirs discrets, relevé la lueur du vice au fond de ses iris dilatés.

“Foutus gamins”, murmure-il, en expirant longuement.

Après l’incident, il s’est montré prévenant, doux, même. Si malgré elle, Gwen a aimé se faire utiliser comme le dernier des vide-couilles, elle n’est pas forcément prête à se l’avouer à elle-même. Il l’a aidée à se rhabiller, accompagnée dans les douches de l’établissement, raccompagnée chez elle. Lorsque la vidéo a été supprimée par ses collègues, il l’en a informée, sobrement. Il ne l’a pas informée en revanche de la petite descente qu’il a effectuée chez le gros en pleine nuit, mais la quinzaine de jours d’ITT et la gueule gonflée, rafistolée de ce dernier à son retour, a probablement attiré son attention. Cette fois-ci, c’est lui qui l’a évitée, soigneusement, pendant des jours, étreint par une culpabilité sordide, déplacée, jusqu’à ce qu’une résolution claire ne finisse par lui apparaître : Gwen doit être sa pute, n’appartenir à personne d’autre. Et, dans le système de valeur décadent qui est le sien, sa pute doit également être traitée, protégée comme une princesse. C’est ce qu’il a prévu de lui dire ce soir. Avant de la défoncer en due et bonne forme naturellement. A vrai dire, il lui a même préparé plusieurs surprises.

Lorsque la sonnerie retentit à l’heure prévue, Jack hausse un sourcil, surpris, mais satisfait, et quitte la terrasse pour se diriger vers la porte d’entrée. Rasé de près, il porte une chemise à carreaux ouverte sur son torse musculeux. Cigarette au bec, il ouvre la porte, d’un geste ample, adoucissant son air nonchalant d’un sourire des plus charmants.

Gwen K.

Humain(e)

Re : Grimpe ... moi? [Pv. Jack]

Réponse 20 mercredi 08 décembre 2021, 13:59:39

"RRRRHHHHAAAA PUTAIN! FAIS CHIER!!"

Suspendue dans le vide, Gwen ferme les yeux et rumine sa colère. La paroi qu'elle grimpait n'était pourtant pas l'une des plus difficiles et elle la franchissait aisément d'habitude. Mais une simple erreur pouvait provoquer une catastrophe ... Les évènements récents le prouvaient. Elle avait sévèrement merdé et  payait le prix de sa connerie. Elle avait la rage. Se rétablissant, la jeune femme se balança pour revenir sur le mur naturel qu'elle escaladait. Elle reprit son ascension et en quelques poussées énervées, parvint sur l'escarpement qui annonçait la fin de l'effort. Elle était trempée et l'air frais qui soufflait en haut lui fit du bien. Le paysage était aussi beau que d'habitude mais elle ne le voyait pas. Devant ses yeux défilaient un vestiaire pour hommes, une salle de classe, deux élèves qu'elle détruirait, un gros prof qu'elle fumerait aussi ... et Jack. Ses poings se crispèrent. Jack allait morfler!

Gwen ajusta ses cordes, raffermit ses nœuds et s'élança dans le vide pour rejoindre le sol en quelques sauts de rappel. Elle avait besoin d'exploser quelqu'un ou de se tuer d'épuisement. Arrivée en bas, elle remballa ses affaires dans son sac à dos et passa son sweat. Elle allait rentrer en courant du site d'escalade à son appartement de Seikusu. Elle ne voulait pas que Kaito détecte cette étincelle de haine qui animait son regard depuis LE jour misérable. Douze kilomètres de courses l'aiderait à étouffer les sentiments qui lui tiraillaient les tripes.

Qu'elle avait été naïve de croire qu'elle pourrait prendre Jack à son propre jeu. Elle allait lui péter la gueule ce soir, et oublier ce connard.

Luisante de sueur, elle cessa de courir à quelques centaines de mètres de chez elle pour ramener son rythme cardiaque à la normale. Elle avait eu le temps de réfléchir. Jack n'y était pour rien. Lui aussi avait subi le chantage du Gros, sauf qu'il n'y avait pas laissé son cul. Les deux étudiants s' en étaient donnés à cœur joie. Tout le répertoire porno moderne y était passé. Sodo, gorge profonde, double pénétration, ces merdeux s'étaient régalés. Putain! Gwen s'arrêta. Ils lui avaient fait mal et ... au-delà de l'idée d'avoir subi un viol, son corps s'était opposé au refus de son esprit d'accepter ça. honteusement, elle avait joui sous les coups de boutoirs des gamins. Ils l'avaient forcé à des actes sales et elle s'était surprise à vouloir que Jack lui fasse subir les mêmes choses. Quand ce fut terminé et que les deux profiteurs fussent partis, la laissant souillée de sperme, Jack l'avait prise dans ses bras pour la consoler ... alors qu'elle ne tremblait pas ... et aurait dû. Honte et culpabilité mais seulement d'avoir ressenti du plaisir. Après elle avait pleuré, de rage, de frustration et Jack l'avait soutenue encore avant de disparaitre pour quelques temps.

Gwen savait qu'il s'était vengé. Le Gros était revenu détruit. Les gosses étaient venus s'excuser et elle les avait giflé sans qu'ils réagissent. Sa vie et les cours avaient repris et l'affaire se tassait plus ou moins jusqu'à ce qu'elle reçoive ce sms de Jack, typiquement de Jack, bref, lui demandant de passer le voir. Ni plus, ni moins. Qu'est-ce qu'ils pourraient bien se dire? Boire un café et faire comme si tout allait bien? C'est pour se défouler que Gwen étaient partie s'épuiser sur la paroi.

Que de contradictions dans son esprit. Elle, la dur à cuire, l'enfant de l'orphelinat qui avait forgé son enfance à coups de poings. Elle se sentait faible maintenant, dépourvue d'engagement face à l'adversité.

Gwen secoua la tête. Putain non pas toi ma vieille, bouge toi!

"Hey ! Combien tu prends?"

Le trouduc qui faisait le malin devant ses potes s'avança vers elle. Le quartier où elle vivait abritait tous les crétins de la ville ...

"Tu veux qu'j'te fasse avaler tes couilles?"

L'autre recula en levant les mains alors qu'elle sortait un couteau de sa poche. Dommage, elle était d'humeur à étriper quelqu'un.

De retour chez elle, Kaito somnolait dans son fauteuil roulant. Allez hop, une douche et elle s'allongea sur son lit. Que lui voulait Jack?. Elle n'avait pas répondu à son message. Elle ouvrit son smartphone, le premier qu'elle pouvait s'acheter, maintenant qu'elle touchait un salaire, et hésita. Non ... elle allait le laisser poireauter.

A 17 heures, elle passa un jean retroussé sur ses chevilles, une paire de sneakers et un hoodie gris dont elle rabattit la capuche sur ses courts cheveux blonds. Pourquoi acceptait-elle d'aller le voir? Elle n'en savait rien ... enfin si, un peu, mais elle ne se l'avouerait pas.

Elle sortit de la station de métro dans un quartier qu'elle ne fréquentait pas, trop riche et pompeux pour elle. L'immeuble? Classe. Réception, gardien, moquette, ascenseur silencieux, un palier moquetté et le numéro de la porte indiqué. Elle resta immobile devant plusieurs minutes avant de se décider à sonner. Elle se repassait tous les scénarios qui pouvaient advenir et les réponses qu'elle y apporterait, mais n'arrivait pas à se concentrer.

19h00 - Elle sonne et Jack ouvre la porte. Il est comme il est toujours. Une tête à claque, trop sûr de lui ... et putain! Il fume!

Gwen avance d'un pas, le visage engoncé dans sa capuche, les mains dans les poches. Si il s'attendait à une bimbo maquillée, ce n'est pas le cas. La jeune femme l'évite en se glissant comme une chatte dans le hall d'entrée. Wow, c'est spacieux et ... Elle lui jette un regard soupçonneux. Combien coute le loyer d'un truc pareil? Tout y est nickel, bien équipé. Ce n'est pas un appartement de prof ça. Pour en avoir visité certains lors de ses anciennes virées nocturnes, elle sait qu'il y a du fric ici.

"C'est pour t'amuser que tu baises les filles des bas-quartiers? T'en as marre des modèles de la 'haute'?"

Elle avait prévu de le laisser parler en premier mais elle ne pouvait pas se retenir.


Jack Taylor

Humain(e)

Re : Grimpe ... moi? [Pv. Jack]

Réponse 21 samedi 11 décembre 2021, 19:32:24

“Bonsoir, petite furie.”

Effectivement Jack s’attendait à ce que, si elle se pointe, elle fasse un effort. Pour autant, il n’est pas déçu. Le style urbain de la jeune femme masque en définitive assez mal ses formes harmonieuses et lui donne un petit air rebelle absolument adorable. Sourcils froncé, il s’avance vers Gwen, abaisse tranquillement sa capuche des deux mains pour dévoiler ses cheveux blonds en désordre et sa mine boudeuse, l’embrasse chastement sur le front. Son petit coup d'œil ne lui a pas échappé, mais il choisit de ne pas le relever. Gwen est bouillante, c’est palpable. Elle n’est pas venue discuter, mais s’engueuler avec lui, comme pour se donner une raison valable de s’être déplacée jusqu’à chez lui. Lorsqu’elle le houspille, il hausse les épaules, agacé par cette énième preuve de son déni.

“Et toi, qu’est-ce que tu viens foutre ici ? Te battre ? On peut faire ça, si tu veux.”

Il la fixe de ses yeux vairons, l’espace de quelques secondes, modifiant légèrement l’écartement de ses jambes, redressant sa silhouette athlétique. Est-ce qu’au fond, une petite leçon ne lui remettrait pas les idées en place ? Mais il finit par soupirer, abaissant les épaules.

“Ou sinon, je te propose d’aller goûter cet excellent vin californien que j’ai fait livrer spécialement pour nous ce matin.” Du menton, il lui désigne le salon. Puis, baissant les yeux. “Par contre tu m’enlèves ça, le parquet est propre.” La femme de ménage est passée hier se retient-il de préciser. D’un pas tranquille, il la laisse plantée là, sur le pas de la porte, et passe au salon. La pièce est plutôt grande, haute de plafond. La décoration est sobre, mais pas impersonnelle. Les meubles ont été choisis par quelqu’un avec un goût certain pour l'aménagement intérieur. Pour autant, un œil avisé peut relever assez rapidement l’absence d’objets réellement personnels, hormis l’ordinateur portable posé sur un bureau en bois massif.

“Je t’en prie, rentre.”

S’armant d’un tire-bouchon, Jack s’installe - ou plutôt s’affale sur le canapé d’angle avant de s’emparer de la bouteille qui trône sur la table basse pour l’ouvrir et remplir également deux verres de l’onéreux breuvage. Face à deux, de l’autre côté de la baie vitrée, le soleil couchant sur la ville. “Goûte-moi ça”. Il lui tend son verre, sourire aux lèvres. “Ensuite, on pourra se battre si tu veux. Ou baiser. Pas forcément dans cet ordre-là, d’ailleurs.” Pourquoi ne pas simplement l’avoir plaquée contre la porte pour la défoncer ? Il se le demande. Peut-être qu’il a trop d’affection pour cette petite meuf. Il laisse échapper un léger soupir. “J’espère que ça va mieux, depuis l’autre fois.” Il parle lentement, prudemment, comme pour la ménager… Pour finalement choisir de la prendre à contrepied.

"Ça t'a plu hein, Gwen. De te faire utiliser comme ça, par ces deux petits cons.” Le ton est calme, posé, descriptif. “T’as du te sentir sale, mauvaise, d’aimer ça. Mais t’as pas pu t’en empêcher.” Ses yeux vairons cherchent le regard de la jeune femme, impitoyable. Il n’a pas l’intention de la ménager, il a envie de la punir de son attitude passive agressive. “Parce que t’es une chienne, Gwen. De la pire espèce. Sinon, tu serais pas venue ce soir.”

Là, il avance franchement sur des œufs. Peut-être qu’elle est venue en pensant qu’il allait se mettre à genoux pour s’excuser d’avoir été une sombre merde avec elle. Ou qu’il voulait juste passer une soirée romantique en sa compagnie… Non, elle n'est clairement pas aussi conne. Au fond d’elle, elle est forcément venue pour se faire souiller. Reste à le lui faire admettre, maintenant. En vidéo. Parce que ce que ne sait pas Gwen, c’est que l’appartement de Jack est truffé de caméra de surveillance et que l’une d’elle est précisément pointée sur son joli minois. La raison ? Jack couvre ses arrières, déterminé à ne pas faire l’objet d’un nouveau chantage. Et avec ce qu’il réserve à Gwen, il préfère disposer d’une preuve de son consentement. 

Son téléphone vibre dans la poche arrière de son futal. C’est probablement son pote Hideki. Il ne répond pas tout de suite.

Gwen K.

Humain(e)

Re : Grimpe ... moi? [Pv. Jack]

Réponse 22 dimanche 12 décembre 2021, 11:55:18

Elle n'a même pas eu un geste de recul quand il est venu l'embrasser. Elle se hait! Sa faiblesse l'écœure. Son inaction la hérisse et Gwen s'enfonce encore plus dans l'humeur massacrante qui la bouffe. Et en plus il la provoque! L'attitude de Jack change imperceptiblement mais quand on grandit dans la violence, on sait reconnaitre les choses dangereuses. Gwen baisse le menton et se désaxe. Elle aussi peut se battre mais déjà, la différence de poids ne l'aiderait pas. Ca n'a duré qu'un instant mais Jack s'est détendu. C'était quoi ça? Un avertissement? Une réaction naturelle?

Et maintenant du vin? Elle n'en a jamais bu donc à part le fait que ca coute des ronds au Japon, elle n'en sait pas grand chose. Du fric, beaucoup apparemment et une attitude proche de la sienne ...

"T'es sûr que t'es prof?"

La remarque suivante l'ulcère! Pas assez digne ou propre de fouler le parquet?

"Fuck you!" Les majeurs pointés vers l'arrogance incarnée homme, son visage grimace une hargne toute vexée. Elle n'attend pas qu'il l'invite et va s'asseoir sur un des fauteuils simples, assez grand pour accueillir une orgie, et s'y installe en tailleur, avec ses grolles! Qu'il essaye de venir lui enlever!

Il lui tend un verre qu'elle ne prend pas aussi le laisse t-il sur la table avant qu'elle le prenne. Puéril peut être mais avec Jack, tout compte. Se battre et baiser, c'est ce qu'il prévoit? Elle ne s'attendait pas vraiment à grand chose en fait. Qu'est-ce qu'elle fout là? Elle goûte le liquide qui sent fort. C'est ... pas bon. Enfin, c'est bizarre. Elle grimace.

"T'as pas une bière plutôt? Et ... on s'emmerde chez toi, tu veux quoi?"


Ils parlent en même temps ...

"J’espère que ça va mieux, depuis l’autre fois."


Elle regrette aussitôt ce qu'elle vient de dire. Il a l'air honnête  et semble plus ... humain, réellement attentionné.

"Je ..." C'est gentil ça ...

La suite la laisse le souffle coupé, il n'a pas osé quand même. Ben si, et sans se forcer en plus. Du grand Jack ... tout craché, vulgaire, insultant et trop sexy.

"Connard!!!!!!" Son verre de vin suit sa réplique et vient s'écraser contre une lampe en porcelaine sur un guéridon, tâchant au passage la chemise de Jack (qu'elle manque donc) et le canapé. L'instant d'après, elle est sur lui après être passée par dessus la table basse. Elle lui colle une baffe de première catégorie avant d'écraser ses lèvres contre les siennes. Elle le tient par le col.

"T'es une vraie merde Jack!"

Gwen ne s'attend pas à une réaction contrite de Jack. Non, il va lui faire mal, la prendre sans se soucier des conséquences de ses actes. Elle est excitée et dominée par une colère froide. Difficile cohabitation. Qu'est-ce qui lui prend de s'enticher d'un type pareil? Non non non! Déconne pas ma grande, il baise bien c'est tout, non, même pas ça! La confusion la perturbe. D'où vient le problème? D'elle ou de lui ? De ce qu'elle connait, Jack a toujours été Jack et elle ... elle fait la girouette.

Souplement, elle s'échappe de Jack et recule pour s'écarter.

"Tu veux te battre? Cartonner ta chienne et la faire couiner après? Va falloir le mériter dugland!"


Elle va dérouiller mais pas gratuitement. Et après ...

Elle lève les mains, prête à se défendre.


Jack Taylor

Humain(e)

Re : Grimpe ... moi? [Pv. Jack]

Réponse 23 dimanche 12 décembre 2021, 23:21:38

A la remarque sur le vin, Jack sourit. En réalité, il n’y connait pas grand chose, lui non plus. Il est capable, comme la plupart des gens, d’identifier un vin dégueulasse, mais pour ce qui est des bons… Il met sur le même plan une bouteille à 25 dollars et un nectar à 390, comme celui qu’il déguste actuellement. L’important dans le vin, c’est l’étiquette.

Après son odieuse tirade, il trempe ses lèvres dans son verre et… Esquive d’un mouvement de l’épaule le verre de Gwen, qui vole en éclat contre la lampe qui se trouve derrière lui. Putain, le caractère de cette meuf. Il s’attendait à une réaction explosive de sa part, mais là… Il réceptionne la petite boule de nerfs sur les genoux, encaisse la gifle sans chercher à se protéger - il l’a probablement cherché et… Ça l'excite, de la voir comme ça. Le baiser est brusque, vorace, il n’a pas le temps de le lui rendre, ses lèvres s'éloignent déjà. La peau de sa joue le brûle. Elle a frappé fort, la salope.

“Ouais…” Rétorque-il. Rien à foutre, littéralement. Les yeux brillant de colère contenue et d’excitation, il la défie de recommencer. Entre ses jambes, sa queue enfle déjà contre la cuisse de la jeune femme, qui se dérobe. “Mhh…” Putain, une chemise à 200 dollars. Pas sûr qu’elle soit récupérable. Il y tient à ses fringues, lui. Il se redresse lestement, alors qu’elle creuse la distance, retrousse soigneusement ses manches, dévoilant des avant-bras musculeux. “Ok, mais va pas falloir venir chialer derrière, petite conne.” Sa 

Ouais ouais, il l’a vraiment mauvaise, Jack. Il observe sa posture, la ligne de ses épaules. Il sait qu’il est clairement au-dessus d’elle, ça fait pas un pli, mais il la prend pas pour une débutante non plus. A la manière dont elle se tient, dont elle pivote, il sent qu’elle en est pas à sa première bagarre, la petite furie. Une vraie gamine des rues Elle a raison, ça lui change de ses mijaurées qui se jettent à quatre pattes pour le sucer en minaudant. Il lève les mains pour se mettre en garde, mais pas trop haut : elle est trop petite pour le toucher au visage.

“Allez, bouge mieux que ça, sale chienne.”

Il avance vers elle d’un pas. Le plat de son pied nu s’écrase sur sa cuisse lorsqu’elle se rue sur lui, la coupant dans son élan. Même si elle avait une meilleure technique, il aurait encore l’avantage de l’allonge. Son avant bras droit gicle vers l’avant, en crochet, main ouverte - l’idée n’étant pas non plus de la démolir. Gwen bloque, mais la différence de poids la déséquilibre. De l’autre main, Jack l’a saisie par le col. Il encaisse sans broncher le genou qui trouve ses abdominaux gainés. Il approche son visage du sien, lui crache à la gueule. “P’tite conne.” Il la projette brusquement dans le canapé, sur lequel elle s’écrase lourdement. Un goût salé dans sa bouche. Il fronce les sourcils, se passe la langue sur sa lèvre fendue. Elle l’a frappé quand ? Probablement du coude, avant qu’il la balance à travers la pièce. Il a un mauvais sourire. Elle est bonne, la petite. Elle ne fait carrément pas le poids, mais elle se démerde. Il se demande si pour ça aussi, elle pourrait pas lui être utile, à l'avenir. Toujours en garde, les poings serrés, il l’attend.

“T’en veux encore, ou on passe à la partie où tu me bouffes le cul tout de suite ?”

Gwen K.

Humain(e)

Re : Grimpe ... moi? [Pv. Jack]

Réponse 24 lundi 13 décembre 2021, 14:17:26

Trop impulsive, comme toujours. Son père qu'elle ne connait pas devait être un marine texan. Elle avait été abandonné bébé à proximité une base de l'armée US au nord de Seikusu. Depuis son plus jeune, son caractère bien trempé lui avait souvent joué de mauvais tours. De merdeuse des rues, elle était passée à adolescente fouteuse de merde puis adulte casse couilles. Bien évidemment, il ne pouvait en être autrement quand on vivait dans la mouise, sans fric, et dans un quartier de connards. Son embauche au campus de Seikusu avait été l'occasion d'intégrer enfin un monde normal où les gens se respectent et où l'effort au travail est récompensé par une vie meilleure.

Non, que de la merde! C'était partout pareil. Gwen, la prof d'escalade sympa, avait cru que tout se passerait pour le mieux mais tout de suite, les évènements avaient prouvé le contraire. jack n'y était pas étranger, encore une fois, et la gentille Gwen avait disparu dans une salle de cours où l'attendait ce qu'elle avait toujours connu ... de la merde. Ça en faisait beaucoup en peu de temps et la cogneuse turbulente avait refait surface, enterrant définitivement ses espoirs de lumière.

Cogner dur n'amenait pas forcement la victoire. Toujours aller de l'avant. Ouais, mais ne pas céder à la provocation. Jack s'était avancé d'un pas et elle s'était jetée sur lui. Dans la rue, c'était ce qu'il fallait faire pour gagner le respect. Il l'avait cueilli sèchement. Il savait se battre, à l'aise, elle l'avait deviné. Un enchainement simple mais rapide et précis. Stoppée net dans son élan, elle n'avait eu le temps que de protéger son visage en repliant son bras contre son oreille. Parade servant d'attaque, son coude pointé vers le menton de Jack avait fait mouche avant qu'elle traverse la pièce à l'horizontale pour s'écraser dans le canapé. Elle s'essuie le visage du molard qu'il y a craché. Fais chier! Il n'a même pas bronché quand elle lui a balancé son genou dans le bide.

"Tu parles trop!"

Elle se relève en grimaçant. Même en atterrissant dans le canapé, elle a prit un bon tampon. Mais pas question de s'incliner. Beaucoup plus jeune, la direction de l'orphelinat lui a fait suivre des cours de karaté pour canaliser son tempérament. Elle n'en a gardé que des réflexes. Elle se bat comme dans la rue, comme pour survivre. Elle s'approche de jack en évitant de reproduire sa première erreur. Elle cogne aux poings. Les kicks, y'a une chance sur deux de se faire mal soi-même si on ne maitrise pas bien. Sa taille la désavantage mais elle est véloce. Les enchainements fusent ... sans faire mouche. C'est dangereux de rester aussi près de Jack mais quand elle trouve l'ouverture, elle remonte son coude de bas en haut pour lui déglinguer le menton.
L'instant d'après, elle est à terre, le souffle coupé, se tenant le bide, la bouche ouverte. jack l'a cueilli au foie d'un coup de genoux, sûrement par réflexe. Putain que ça fait mal! Elle est crispée, arcboutée en avant. Son front vient toucher le sol tandis qu'elle cherche de l'air désespérément. De longues minutes sont nécessaires  pour qu'elle récupère. Son cerveau a vrillé sous la douleur. Une GROOOOOSSE larme coule sur sa joue, qu'elle essuie rageusement avant de se mettre à quatre patte. Comme une chienne.... Cette pensée la mortifie.

Tout ça pour quoi en fait? Parce que Jack a raison? Bien sûr que non putain! ferme là Gwen, bien sûr que oui. Tu crèves d'envie qu'il te passe dessus, c'est toi qui déconne ma grande. C'est aussi simple que ça. T'es une perverse refoulée qui se cache derrière un masque de mensonges. Pourquoi tu luttes, c'est quoi ton problème? Y'a pas de règles dans ce monde de merde alors suis les tiennes et mort aux cons.

Gwen aussi a une lèvre fendue. En tombant elle a heurté le coin de la table basse. Elle se relève, les bras contre son ventre endolori et dévisage Jack qui fait sa tête ... de Jack.

Elle retire alors son hoodie et se dirige vers une porte au hasard qu'elle pousse après avoir déclipsé la brassière qui maintient sa poitrine. Heureusement, c'est bien une chambre, elle se serait trouver conne de pousser la porte des chiottes.

"Maintenant, on ... tu me baises."

Jack Taylor

Humain(e)

Re : Grimpe ... moi? [Pv. Jack]

Réponse 25 vendredi 17 décembre 2021, 20:16:23

Il a décidé de ne pas lui faire de cadeau. Elle l’a, vraiment gonflé ; la leçon est méritée. Il n'a pas la cruauté de jouer avec elle, mais il la cueille, tranquillement. Elle frappe, fort, il contre, sèchement, Elle essaye de le travailler au corps; bonne idée : son centre de gravité à elle, est plus bas, et elle peut compenser son manque d’allonge en rentrant dans sa garde. Mais lestement, il se dérobe, creuse de nouveau la distance. Le coude fuse, à quelques centimètres de son menton. Audacieux, mais elle s’expose trop, ne voit pas venir son genou, qu’il lève brusquement, pour l’empêcher d’avance davantage. La blondinette se le bouffe juste en dessous du plexus, recule avant de s’affaisser le souffle coupé. Il ne se précipite pas pour l’aider, ne se moque pas non plus d’elle. Il fait la moue, sur la défensive. Il a pas envie de la cogner encore, elle a eu sa dose, là. Elle pisse un peu le sang, et il s’étonne de trouver ça carrément sexy.

“Hé.”

Elle se relève finalement en titubant, mais alors qu’il s’approche pour la soutenir, le regard qu’elle lui lance l’arrête. Bon, elle va me faire quoi là, gerber sur le tapis et se tirer ? Mais non. Elle retire son sweat qu’elle balance sur le parquet. Rien dessous, juste une brassière. Il hausse un sourcil, lui emboîte le pas lorsqu’elle s’éloigne à la recherche de… Quoi au juste, la salle de bain ? Elle ouvre une porte, probablement au hasard. Bingo, c’est l’une de ses deux chambres à coucher. C’est au tour de la brassière de glisser au sol, sur la moquette.

“Ben voyons.” Jack s’est approché, il colle son torse contre ses épaules. “T’es une putain d’emmerdeuse Gwen. Tu me les brises, vraiment.” Pour autant, ses grosses mains se sont posées sur sa taille. Contre ses reins, elle peut sentir le renflement de son épais chibre érigé. A l’aveugle - il a l’habitude - il faut sauter le bouton du jean de la blonde, glisses ses doigts dans la ceinture du futal pour l’abaisser à mi-cuisses, embarquant la culotte avec. “T’as un gros cul quand même, putain.” Il se marre, glisse ses doigts dans ses cheveux pour la tirer en arrière, la forcer à le regarder. “ Alors comme ça, tu veux que je te baise, maintenant ?” Il se penche, écrase sa bouche contre les lèvres entrouvertes de sa pute, y fourre sa langue. Le goût métallique du sang.  Sa main s’insinue entre ses cuisses, ses doigts se replient sur une chatte tiède, moite. Evidemment. Son majeur glisse le long de sa fente.

“Putain de merde, t’es trempée Gwen.”

Il suçote la lèvre blessée de la jeune femme, glisse majeur et annulaire dans son sexe baveux, fouille. De l’autre main, il soupèse l’un de ses gros seins, agace l’extrémité du téton de la pulpe de ses gros doigts. Son bassin remue contre ses reins, il grogne. Sa main quitte la poitrine laiteuse de la jeune femme pour libérer son énorme chibre veineux, dont les couilles s’écrasent contre le cul bien ferme de la grimpeuse. Un peu de foutre suinte de son gland pour souiller sa peau de pêche. Son futal et son boxer tombent sur ses chevilles, il s’en débarrasse d’un coup de pied, puis la pousse en avant, sur le lit, la tête la première. Pendant qu’elle se tortille pour dégager à son tour son jean et sa culotte, Jack lui, déboutonne sa chemise, les doigts tremblant, les yeux rivés sur ce cul qui se dandine sous son nez. Lorsqu’il la rejoint, c’est pour claquer sèchement ses fesses, à plusieurs reprises.

“A genoux. Cambre-toi, sale chienne. , voilà !”

Le ton de sa voix est plus rauque, impérieux. Il se penche, écarte davantage ses cuisses d’un geste brusque du poignet, écarte ses fesses pour cracher sur son sexe offert, avant de tapoter sa vulve détrempée du plat de sa main. “Je vais te défoncer, putain.” Il se redresse, empoigne sa grosse queue, juste au dessous du gland, frémit. Sournoisement, il écrase son gland sur le sexe offert, le promène dans les replis de sa fente… Avant de pousser brusquement pour enfouir un bon tiers de sa grosse bite en elle en grognant. Gwen a beau en crever d’envie, la queue de Jack n’en reste pas moins énorme, et la jolie petite pute, serrée. L’une de ses grosses mains se pose sur la nuque de la blondinette, pour écraser sa jolie petite gueule contre l’oreiller. L’autre s’arrime à ses hanches, fermement.

Fébrile, il manque de gicler en elle instantanément, tant les parois de sa petite chatte pressent sur son chibre, mais, les dents serrées, il parvient à se reprendre, et à enfouir lentement son vit au fond de son ventre. Lorsque ses couilles s’écrasent contre sa fente, il remue lentement le bassin, s’appliquant à bien la dilater, à bien l’ouvrir. “Qu’est-ce que t’es bonne, merde”, grogne-il, avant de s’affaler sur elle de tout son poids, enfouissant son nez dans ses cheveux. Elle pue la sueur, mais ça l’excite encore plus. Jack, en nage, prend une grande inspiration, recule son bassin, puis se refonce brusquement en elle jusqu’à la garde. De nouveau, ses doigts s'enroulent nerveusement dans ses cheveux, qu’il tire vers l’arrière, la forçant à cambrer encore davantage son corps diaphane.

“C’est ça dont t’as be-soin, Gwen…” Ahane-il. Son bassin s’enhardit, ses couilles claquent contre la chatte de sa pute. “Qu’on te… Défonce.” Les muscles crispés, Jack a perdu le sens de la mesure. Il lime, déforme sans pitié la pauvre petite chatte de Gwen, avec l’idée de la démolir, de la remplir de foutre, pour marquer définitivement son territoire.

Gwen K.

Humain(e)

Re : Grimpe ... moi? [Pv. Jack]

Réponse 26 samedi 18 décembre 2021, 15:47:06

Il n'attend pas. Jack doit être le genre de type qui obtient toujours ce qu'il veut. L'homme se colle derrière elle. Il bande déjà, évidemment. Tordu comme il est, il doit kiffé de baiser une fille qu'il vient de défoncer.

"T'es pas mieux Jack, tu fais chier avec tes manières de merde."

Il la pelote comme si son corps lui avait manqué, avant de la désaper. Un gros cul? Elle sursaute.

"Va t'faire foutre! Il est musclé, pas gros!" Gwen est une athlète, pas une youtubeuse crossfit à la con.

Et il recommence. Il ne faut pas grand chose en fait pour combler Gwen. Des doigts qui glissent dans ses cheveux pour lui imposer une position que lui domine. Elle le regarde d'en dessous, le cou en extension.

"Non, je veux que tu me déglingues." Au moins, c'est clair.

Leurs dents s'entrechoquent tandis qu'ils s'embrassent, embrasés. Et tandis qu'il explore sa moiteur qui n'attend que ça, elle, glisse ses mains entre leurs corps pour le branler à travers son pantalon. C'est du déjà vu. Quand il se libère avoir explorer chaque centimètre de sa peau, elle sent le gros chibre claqué contre ses fesses. Une pensée lubrique l'investit mais elle se garde bien de la dire à haute voix. Jack sauterait sur l'occasion. Leurs préliminaires cafouillent entre les vêtements qui gênent, l'excitation qui grimpe et la position de Gwen qui ne l'avantage pas pour prendre l'initiative. Elle n'en a pas envie d'ailleurs et Jack n'en est que plus parfait. Une vraie Bête en rût qui s'acharne derrière elle en ahanant.

Putain enfin!

Elle ne fait rien pour se retenir quand elle plonge sur le lit la tête la première. Son visage s'écrase dans l'oreiller qu'elle retire déjà son jean et sa culotte. C'est fait! Elle veut du cul, lui aussi, elle lui présente le sien comme une offrande. Il attend quoi?

L'ordre de Jack claque, suivit de son adjectif préféré. Elle obéit dans la seconde et creuse les reins. Alors, elle va surement pas aboyer mais pour le coup, elle ne dit rien et accepte. Accepte que c'est vrai. T'es une chienne Gwen! Le commentaire suivant va de soi, c'est la suite logique de ce qu'ils ont commencer. Il aurait tout remballer pour lui annoncer qu'il l'emmenait au cinéma, là, elle aurait brailler. Il la provoque, se glisse contre elle sans la pénétrer et Gwen, comme une mort-la-faim, cherche à  se le fourrer sans attendre.

"HHAAANNNN!"

Elle gueule fort. Trop fort! Sans retenue. Juste avant qu'il lui enfouisse le visage dans l'oreiller, et il fait bien. Elle ne se retient pas. Le merdier énorme qui l'a investit la fait gémir de plaisir même s'il l'écartèle. Putain, c'est tellement bon. Il pèse sur elle, sa nuque est verrouillée. Elle tremble d'anticipation. Ses doigts se crispent sur les draps alors qu'elle étend les bras pour tenter de saisir un truc ... à broyer. Sa petite chatte est littéralement explosée par le gros membre qui la découpe. Elle se cambre plus pour ajuster la pénétration. Il est tout en elle et Gwen laisse échapper un long râle d'agonie délicieuse.

La suite n'est que baise et défonce. Son rôle est d'encaisser alors elle encaisse. Il peut y aller fort, elle n'est pas fragile mais il le sait déjà. Jack alterne ses rythmes, feint la douceur pour cogner plus dur la seconde d'après. Elle n'en veut pas de la douceur.

"AAHHHH PUTAIN!"

A nouveau, se cambrer, à nouveau le verrouillage de son corps. Il aime la tordre, elle lui rendra la pareille plus tard. Et qu'il est vulgaire ce salaud. Gwen couine, gémit, halète. L'oreiller est trempé. D'elle même, elle croise ses bras dans son dos pour qu'il la saisisse. Elle n'a pas envie d'être libre la petite chienne blonde. Son corps accompagne celui de Jack et chaque rencontre s'écrase dans un claquement de chairs molestées.

Son corps brûle et la violente sensation qui lui déchire les entrailles manque l'arracher à l'étreinte. Elle jouit violemment sans qu'il s'arrête de la baiser. puis encore une fois en lâchant un cri à faire trembler les murs. Il ne lui laisse aucun répit.

"Att ... Attend Jack!"

Elle se redresse, glisse sur le satin des draps, essaye encore. Elle est trempée et l'homme qui la fourre ne facilite pas les choses. il est comme fou et la fracasse sans baisser en intensité.

"JaaAAAACCKKK!"

Il se foire à un moment, trop pressé, et elle s'échappe. enfin, pas loin. Elle se retourne juste pour lui faire face en écartant les jambes à l'équerre. Il est déjà en elle. Leurs têtes se heurtent. Le front de Jack lui a toqué l'arcade sourcilière. C'est chaud et sa coule. Elle lui crache à la gueule et plante ses ongles dans son cou pour l'attirer à elle. Gwen lui bouffe la langue comme elle lui sucerait la queue. Comme une morfale!

Jack Taylor

Humain(e)

Re : Grimpe ... moi? [Pv. Jack]

Réponse 27 vendredi 24 décembre 2021, 13:27:56

Il baise sèchement, brutalement, presque méthodiquement sa petite chienne, les dents serrées, le nez fourré dans ses cheveux en désordre. Putain, l’odeur de sa sueur lui chatouille la narines. “Haaaa…” Il n’a besoin que d’une main pour maintenir ses poignets contre son dos. De l’autre, il écrase sa gueule dans l’oreiller quand elle braille un peu trop fort : il a des voisins, quand même ! A deux reprises, il sent ses chair se contracter autour sa queue et le corps diaphane de la jeune femme se crisper, frémir tout entier sous les assauts du sien.

“C’est bien sale chienne, jouis. Jouis pour moi", parvient-il à articuler d’une voix sourde, tout contre le pavillon de son oreille.

Les coups de butoir pleuvent, éclatent les chairs maltraitées de son amante, mais soudainement, alors qu’il recule une énième fois son bassin, son chibre glisse en dehors de son fourreau béant, suivant de foutre et de cyprine. Déséquilibré, il glisse légèrement sur le côté. “Merde…” Gwen en profite pour se tortiller sous lui, et échapper à la poigne de sa main. Il se sent un peu bête, sort quelques instants de sa sa torpeur.

“Qu’est-ce que tu fous ? Viens là, putain.”

En nage, hébété, la queue a l’air, Jack a l’air con. Il tend le bras pour essayer de s’emparer du poignet de Gwen, mais elle se dérobe, roule sur le dos. Ah. Il se jette sur elle, alors qu’elle se redresse légèrement, et leurs fronts s’entrechoquent brutalement mais lui comme elle, n’en a rien à foutre. A l’aveugle, il dirige sa grosse queue entre ses cuisses, l’enfourne toute entière en elle en grognant comme un animal en rut. Il n’a pas eu sa dose, lui. Ses couilles claquent de nouveau contre son sexe détrempé. C’est au tour de leurs dents de se heurter, alors qu’il glisse sa langue entre les lèvres gourmandes et entrouvertes de la jolie petite blonde. Salé. Il fronce les sourcils. Gwen saigne un peu. Il ne sait pas d'où et il s’en branle. Il ricane quand elle lui crache à la gueule, lui colle une gifle du revers de la main, s’effondre sur elle. agitant frénétiquement le bassin comme pour la clouer au lit. Ses ongles meurtrissent sa chair, ses cuisses se referment sur son bassin. C’est sale, brutal et obscène, comme il aime. Les râles de Jack se font plus gutturaux : il approche de l’orgasme.

“Putain, j’vais…”

Mais la petite blonde ne le laisse plus parler. Avide de ses lèvres, elle aspire, suçote sa langue. Les doigts de Jack se resserrent sur la gorge offerte de la jeune femme, il serre. “HMMM….” Son corps musculeux se crispe et il jouit brusquement en ahanant, giclant un foutre tiède et épais au fond de ses entrailles martyrisées pendant de longues secondes. Les yeux écarquillés, ses lèvres scellées à celles de Gwen, il remue encore l’espace d’une trentaine de secondes dans son propre foutre, avant de s’effondrer sur elle en soupirant d’aise.

“Putain, qu’est-ce que t’es bonne, toi."

Murmure-il, en roulant lentement sur le côté après quelques instants, pour passer sur le dos, indifférent au foutre qui suinte de la vulve malmenée de son amante sur ses draps hors de prix. Sa grosse main se pose sur le ventre plat de la jeune femme dont il apprécie la fermeté, le temps de reprendre ses esprits. Après quelques minutes, il se redresse, le temps de tendre le bras pour attraper son jean et en extirper son téléphone portable et répondre rapidement à quelques messages en observant Gwen du coin de l'œil. Elle a l’air d’avoir pris cher… Mais il sait qu’elle peut encaisser pire.

“T’as faim ? tu veux commander un truc avant qu’on recommence ?” Il baille. Le ton est badin, presque nonchalant. 

Gwen K.

Humain(e)

Re : Grimpe ... moi? [Pv. Jack]

Réponse 28 samedi 25 décembre 2021, 22:11:59

"Oui! OUI! OUI!!"

Le retour de gifle lui chauffe encore la joue.  Jack la cloue au lit à grands coups de pieu épais. Son visage est déformé par le plaisir, il souffle comme un animal. Pour lui, la violence fait partie intégrante du plaisir et elle se plait à aimer ça, maintenant qu'elle le sait ... Leur étreinte n'a rien de glamour, c'est du sexe brut, cash et sans fioritures. Il est prêt à quand il se vide en elle, Gwen laisse des sillons sanglants sur les épaules de son amant. Les deux acharnés se sont défoncés. Ils transpirent, saignent, nagent dans le stupre. Jack a jouit si violemment qu'elle a cru qu'il lui perçait les entrailles, lui faisant mal dans son ventre. rien à foutre, c'était trop bon. Elle a prit son pied et lui aussi. Il est resté en elle un moment, au chaud dans son propre sperme, puis il s'est affalé sur elle sans se soucier de savoir si elle voulait souffler aussi. Non ... elle ne voulait pas. Gwen avait joué des muqueuses pour le garder le plus longtemps en elle. Et quand il s'était retiré pour rouler sur le côté, elle avait senti un vide qu'elle trouva désagréable. Elle s'était aussitôt lovée contre lui recherchant la chaleur de son corps. Il l'avait palpée; il kiffait son corps, elle l'avait compris. Gwen ne se considérait pas comme une bimbo mais savait que sa ligne de sportive plaisait aux mecs à la recherche de sensations. La réflexion de Jack collait bien au bonhomme et elle ne s'en offusqua pas. Là, à ce moment, qu'il la traite de chienne ou de pute ne ferait que l'exciter. Elle souffle juste:

"T'es pas mal non plus ..."

Social time? Bah non, il pianote sur son téléphone. Les câlins seront pour plus tard, ou jamais. Gwen arrange un gros coussin pour s'y adosser. Elle regarde le plafond quand un léger courant d'air la fait frissonner. Elle tire un drap pour s'en couvrir et le tissu se tâche aussitôt des fluides qui la recouvre où qu'elle libère. Elle sait très bien que Jack prend soin de ce qui lui appartient, il l'a déjà démontré. Monsieur est un élégant ...

Elle s'étire et baille en le voyant faire. Qu'il lorgne sur sa poitrine est normal. Gwen est fine, super bien foutue, mais juste "alourdie" par sas atouts hors normes, sûrement ses origines occidentales, peut être texanes, pays des vaches...

"Aïe!"

Elle vient de toucher son visage et se cambre pour s'observer dans la glace d'une armoire.

"Oh putain!"

Elle a une lèvre fendue, saigne de l'arcade sourcilière et le contour de son œil droit se colore déjà légèrement. Une vraie teigneuse des bas-fonds. Son petit épisode de prof d'escalade sympa vient de se terminer dans un torrent de foutre. Maintenant, la sale gosse a repris le pas, ca va chier au bahut!

"Je pensais que j'allais bouffer ta queue mais on dirait que t'as pas envie. Euuh, un truc léger, une salade de crudités, quelque chose comme ça."


Elle hésite un instant et fait la moue en réfléchissant.

"Nan, une pizza ira bien, un truc avec des champignons et de la viande de cochon italienne, je sais pas comment on dit ... Et une bière ... Et tu seras sympa de m'apporter une poche de glace ... Et fermes la bouche, tu vas baver."

Ça coule entre ses jambes et elle s'essuie avec le drap.

La poche de glace est jetée du bout de la pièce, heureusement qu'elle regardait à ce moment-là. La fraicheur sur son visage, lorsqu'elle l'y écrase lui fait un bien fou. Elle va se faire engueuler par Kaito à la maison et il faudra inventer un truc pour se justifier au campus.

Sur son chevet, elle attrape la télécommande de l'immense télé accrochée au mur, dans l'axe du lit. ON ... Un gros porno où une bimbo (pour pas changer) se fait démonter par un type qui a tout du culturiste. Jack ..... bah, pas surprenant en fait. Du coup elle laisse tourner le film en se demandant comment on peut encaisser comme ça. Elle rit pour elle-même. Elle n'a pas à rougir de sa prestation. Ca dure un moment et Jack vit sa vie de beau gosse pervers et égocentrique. Quand il l'appelle, elle se lève, enroulée dans son drap et récupère le carton de la pizza qu'elle ramène sur le lit.

"Tu viens ou tu manges tout seul là-bas?"

Sa mèche lui tombe dans l'œil et elle n'a rien pour la retenir. Elle se penche pour ouvrir la table de chevet, une part de pizza à la main.

"Oups ... ça coule ..."

Chez elle, elle ne ferait jamais ça mais elle a envie de faire chier son monde, elle en a le droit. Tiens? Le tiroir du chevet est vide, de l'autre côté du lit, celui de Jack aussi. Ça l'a déjà interpellée, y'a rien ici qui indique une présence "personnelle". C'est vide. On croirait un appart de passage. Un putain d'appart luxueux pour un prof de base. C'est tellement pas net. Il faudrait vraiment qu'ils parlent sérieusement ...

"Tu viens ou quoi ... bébé ?" Elle se marre, ça sonne nul." Si tu viens là, je pourrai te branler pendant que tu manges, tu veux?"




« Modifié: mercredi 05 janvier 2022, 18:55:43 par Gwen K. »

Jack Taylor

Humain(e)

Re : Grimpe ... moi? [Pv. Jack]

Réponse 29 mardi 04 janvier 2022, 19:51:04

Jack baille à son tour, affalé contre son propre oreiller. Il hausse un sourcil en la voyant s’examiner. Il y est peut-être allé un peu fort… “Mhh.” Il grimace. Ses épaules le lancent. Il se redresse, pour ne pas saloper davantage les draps. Ouais, c’est de bonne guerre, elle l’a bien ravagé aussi. Il s'assoit sur le lit, avant de se redresser et de quitter la pièce dans son plus simple appareil en ouvrant l’application de livraison de repas à domicile qu’il utilise le plus régulièrement. “Ok, ok Done. La pizzeria est à côté, ça arrive dans dix minutes”, marmonne-il, avant de se diriger vers la cuisine pour de quoi satisfaire son exigeante petite invitée.

“Je vois que mon vin n’a pas été apprécié à sa juste valeur” relève-il, avant de lui balancer la canette de bière et la poche de glace. “Mon cœur est brisé.”

Lui aussi il a soif, mais d’un bon café italien. Retour à la cuisine. Lorsque son téléphone vibre de nouveau, il sourit, savoure son café, adossé au plan de travail. La sonnette finit par retentir, il attrape une serviette qu’il passe autour de ses reins avant d’ouvrir au livreur, qu'il gratifie d’un généreux pourboire. Toutefois, il ne referme la porte qu’après avoir laissé rentrer un jeune homme d’une vingtaine d'années qu’il accueille avec une accolade. L’index posé sur ses lèvres, il lui désigne la chambre du fond d’un signe du menton. l’autre acquiesce avec un air entendu, et retire discrètement ses chaussures, pendant que Jack rejoint Gwen pour lui déposer - plus soigneusement cette fois - son carton à pizza sur le lit.

“Je reviens, parle pas la bouche pleine”, précise-il, avant de s’échapper de nouveau.

L’intérêt de la blondinette pour sa chambre ne lui a pas échappé, mais il est sans crainte : qu’elle fouille. Il n’y a rien à sa portée qui soit de nature à trahir la nature de ses activités occultes. Dans le couloir, Toshio - c’est son prénom - a terminé de se déchausser et il a retiré sa veste. Le jeune homme est plus petit et plus mince que Jack, mais n’en reste pas moins athlétique. Plutôt beau garçon, un peu androgyne et excessivement tatoué, il partage avec l’agent Taylor un air effronté et une certaine nonchalance. Il y a néanmoins davantage de douceur dans son regard et un style vestimentaire plus… Discutable, du moins aux yeux de Jack. Une chemise blanche largement ouverte sur un torse tatoué, un jean bleu clair et des rangers. De nombreuses bagues ornent des doigts plus fins que ceux de son complice. Toshio est un ancien élève de Jack, qui travaille pour le Naicho, service de renseignement japonais. Au courant des activités de son ancien professeur, il partage avec lui des informations, et quelques plans cul. En dépit de son jeune âge, le garnement dispose d’une expérience plutôt notable.

“On.. Heu, j’arrive”, balance Jack à Gwen, en haussant la voix. Puis, plus bas, à Toshio. “Elle va sûrement faire sa mijaurée, mais t’en fais pas, je la connais. Dans cinq minutes elle te pompe en couinant.” Toshio, hoche la tête, se dirige tranquillement vers la salle de bain. Quant à Jack le “Bébé” lui fait hausser un sourcil amusé. Un peu rapide ? C’est débile, mais vaguement mignon, il le prend bien. De nouveau, il retourne dans la chambre, sa boîte à pizza brûlante posée sur sa paume. Il l’a déjà bien entamée. Tranquillement, il retire la serviette, pour dévoiler de nouveau sa grosse queue gonflée. La perspective de ce qui va suivre a reboosté sa libido hors-norme. Il s’installe à côté de Gwen, adossé à l’oreiller, l’embrasse chastement le front, puis sur les lèvres. Il s’empare de son poignet pour déposer la petite main de la jeune femme sur son chibre brûlant.

“J’espère que t’as repris des forces, tu vas en avoir besoin.”

Le ton est volontairement évasif, distant et un petit sourire narquois danse sur ses lèvres entrouvertes, avant qu’il n’engouffre une nouvelle part de pizza. Si Gwen est attentive, elle peut entendre de léger bruits de pas qui se rapprochent de la chambre à coucher.

“Heu, salut.”

La chemise complètement ouverte sur son torse tatoué, Toshio s’avance sur le seuil de la porte, légèrement intimidé lorsqu’il aperçoit le corps voluptueux et souillé de Gwen - qu’elle s’empresse peut-être de couvrir. C’est pas la première fois qu’il se tape une meuf avec Jack, mais celle-ci, c’est carrément de la dynamite, il se rappelle pas avoir déjà vu des nibards pareils. Lorsque l’agent Taylor lui adresse un clin d'œil, il s’approche du lit, et retire sa chemise pour dévoiler son corps encré et athlétique. La grosse bosse qui déforme son jean ne laisse guère de doute : le japonais est lui aussi, très bien membré.

“Je m’appelle Toshio. Jack est un ancien prof à moi et heu. On bosse aussi ensemble des fois. Jack, t’es sûr que ?”

“Ouais t’inquiète, désape-toi, elle a envie de bouffer de la queue. Pas vrai Gwen ?”

Le ton est ferme ; de toute évidence, il a décidé pour elle. La classique de Jack. Le japonais abaisse lentement son pantalon, puis son boxer, dévoilant un épais chibre brun, à peine moins impressionnant que celui de l’américain, mais au prépuce non-circoncis. Avec un sourire un peu crispé, il s’installe de l’autre côté de Gwen. Bordel, ça pue le sexe ici. Sa main se pose sur la cuisse de la blondinette, alors que Jack, pour couper court à toute éventuellement protestation, glisse sa main entre ses cuisses pour caresser distraitement son clitoris de la pulpe de ses gros doigts. La respiration lourde, Toshio lui, se penche vers la jeune femme, et relève son menton du bout de ses doigts avant d’écraser ses lèvres contre les siennes et d’échanger un long baiser avec elle. Sang, foutre. C’est pas très propre, mais Toshio n’est pas une chochotte. 


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