Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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[ABANDONNE] J'ai créé ma propre porte d'entrée...Je créerai la sortie! [Sulfure]

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Rieseth

Créature

La concentration était plutôt forte. Le Djinn se trouvait dans un endroit qu’aucun humain ne pouvait atteindre sans magie. Un endroit ou le temps s’écoulait … un endroit sans paysage et pourtant la moindre déconcentration était un rejet de celui-ci d’une manière plutôt violente. Le but ? Trouver des invocations différentes que celle des démons. Il en existait surement d’autres exercé ailleurs et dans différents mondes.

Le tout était de reconnaitre les différents traits magiques qui pouvaient mener à ce genre de sort. Ce n’était pas si facile que ça de se concentrer sur plusieurs choses. C’est comme si chaque magie avait sa lumière et elle était assez fine et rapide pour passer sous le nez des gens. Le calme était donc une chose importante dans une telle situation, sans bruit extérieur pour nous sortir de là …

La…Il chopait quelque chose. Cette couleur, il ne la connaissait pas et elle passait de monde en monde. Oui. C’était comme une sorte d’invocation, du moins c’est ce qu’il croyait. Il devait choisir le bon timing pour s’en emparer afin de pouvoir la suivre. Il observait … étrange, plusieurs allers-retours ? Il ne comprenait pas mais décida tout de même d’attraper le filon avant de se faire emporter.

Il atterrissait alors dans un bordel sans nom. C’était poussiéreux … Aucune lumière et pourtant, énormément de bruit aux alentours … des bruits d’objets qui s’entrechoquaient. Une lumière apparu alors vers le haut…puis une main. Quoi ? Il venait de comprendre dans quoi il avait atterri lorsqu’il se faisait balader à gauche et à droite alors que ce membre semblait chercher un objet dans ce qui semblait être une poche dimensionnelle pour ranger des objets. C’était un échec visiblement.

Il fallait qu’il sorte d’ici. Il tentait de se concentrer dans tout ce raffut et surtout dans les ballotements qu’il était en train de subir. Il était difficile de s’en échapper sans risque … Mais s’il ne faisait rien, il allait finir par se faire écraser…La tentative réussi et il disparut de cette poche mais … Trop perturbé et loin d’être concentré, il était soufflé loin de cette endroit sombre.

La lumière réapparut … Il se redressait. Il était visiblement sur le sol. Un sol plutôt dur d’ailleurs. Quand il relevait la tête, il pouvait observer une brèche vers cette zone entre monde grande ouverte. Une brèche aussi grande qu’un écran de cinéma… Les extrémités de ce trou semblaient aspirer quelque chose. Il fallait dire que c’était assez louche que ce trou reste ouvert. Il en déduisait donc bien vite que c’était de l’énergie tiré pour … se nourrir et rester présent.

Il regardait alors les alentours … trois murs et la brèche pour le quatrième. Il n’y avait pas de sortie ? Ou s’était-il encore perdu ? Il longeait les murs en laissant sa main trainer dessus en espérant sentir quelque chose … un courant d’air peut-être entre deux fissures ? Mais rien … le vide total. Il se disait que c’était une chance qu’il y ait de l’oxygène ici. Peut-être à cause de la brèche. Certainement même. L’idée vint alors de tapoter les murs pour savoir si…ils étaient plein ou creux. L’un d’eux semblait sonner différemment. Il armait donc son bras avant de frapper la le mur. Son bras traversa alors la matière et des fragments de murs s’écroulaient alors de l’autre côté … il semblait y avoir une autre pièce ici… Il se permit alors de pénétrer dans celle-ci en observant les alentours une nouvelle fois … des couloirs aux extrémités. Dans quoi était-il tombé sincèrement ?! Quoi qu’il en soit, le choque qu’il eût donner contre le mur avait fait trembler … tout l’édifice ? Du moins c’est ce qui lui semblait en ayant senti jusqu’à ses pieds un bon tremblement.

Il se dirigeait vers le mur en face du trou qu’il venait de faire … et il frappa de nouveau contre le mur. Il n’avait pas envie de s’amuser à choisir un couloir. Mais cette fois … A la place d’un trou, c’est une belle cicatrice que tout le mur encaissa. Rieseth grogna assez fort pour que cela résonne dans la pièce. Quelque pan du mur se décrochaient pour tomber au sol. Bon…puisque c’était trop épais par ici, il se décida à prendre un couloir au pif et sans réfléchir le moins du monde. Il s’avançait lentement mais surement … Plus il avançait et plus son visage démontrait clairement qu’il n’appréciait pas cet endroit. En plus … il se sentait observé. ..

-Y a quelqu’un dans ce trou perdu ? …

D’un coup … il senti comme une présence derrière lui et c’est sans hésiter la moindre seconde qu’il laissait sortir de sa main un grand rayon électrique traverser tout le couloir jusqu’à la pièce d’où il venait pour que celui-ci s’écrase contre le mur du fond … refaisant de beau dégâts au passage et faisant de nouveau trembler le sol pour la troisième fois … Il jurait avoir sentir quelque chose … une présence …
« Modifié: jeudi 04 janvier 2024, 21:54:40 par Rieseth »

Sulfure

Légion

Dans le donjon d’Ahn Ak’Thar, les jours se déroulaient généralement sans que trop de surprises ne viennent troubler les occupantes. Parfois, un aventuriers ou deux se perdaient dans l’un des terribles chemins du donjon, et il revenait à la dirigeante de ce terrible complexe de mort de faire le choix de les réduire en charpie ou de se montrer indulgente, mais ça s’arrêtait bien souvent là. D’autres fois, plus rares mais toujours aussi appréciées, quelques bêtes perdues, quelques monstruosités sans noms et sans formes se laissaient lentement attirer par la radiance divine de Sulfure, et par la même occasion, devenaient de nouveaux occupants de l’un des grands axes de cette structure ésotérico-naturelle. Et pour les plus rares cas, c’était les occupantes elles-même qui provoquaient du grabuge. Dans ce dernier cas, il s’agissait tout simplement de petite crise des unes et des autres, ou de soudain desire rata envers la cheffe du donjon, parfois pour obtenir un certain droit, d’autre fois pour simplement trancher sur ce qu’il devait être fait dans les jours à venir concernant les repas des Kraks qui se trouvaient dans les profondeurs de ce domaine. C’est que ça avait de l’appétit ces saletés ! Enfin, tout cela pour dire que rien ne sortait bien souvent de l’ordinaire, ce qui était pour le plus grand plaisir de la dirigeante, celle-ci ayant la plus grande appréciation du caractère béni de la routine. Rien ne bouge, rien ne vient brusquer ce monde, hormis les doux instants que l’on répète inlassablement en suivant le court du temps et de l’espace. Un bonheur.

Mais aujourd’hui, la routine allait être bien plus brusquement bousculer que toutes les autres fois. Pas de monstres pour être affamés, pas non plus de terribles disputes entre l’une et l’autre des commandantes à cause d’un flan au lombre qui aurait disparu de la zone réfrigérée d’Amalia. Tout au plus, et ce avec l’accord de Sulfure, Mor’Medras se devait dans la journée d’ouvrir un petit portail vers les steppes infernales pour faire venir quelques diablotins, rien de bien dangereux, mais l’équipe de serviteurs devant faire le ménage et l’entretien du donjon avait subit une brusque chute de personnelle il y a plus de deux semaines, et cela devenait gênant. Aussi, la succube s’était-elle adonnée à cette tâche sans le moindre forme de problèmes : Ni convocation, ni appel de forces supérieurs, ni même finalement de double passage un peu trop compliqué à gérer, un simple toboggan du plan des Enfers à celui d’Ahn Ak’Thar, trajet direct et sans retour. Une vingtaine de petites saloperies crasseuses plus tard, et la succube avait absolument tout refermé avec expertise pour ensuite commencer à mettre de l’ordre dans la nouvelle troupe de femmes de ménage, s’assurant de leur rappeler qui était le patron à grand coup de talon aiguille dans le gras et de sort de douleur. Mais malheureusement, cette simple petite action, pourtant parfaitement compréhensible, fut à l’origine d’une légère trace dans l’éther, là où les vents de magies s’abattent comme autant de vagues aux milieu d’une tempête… Et cette trace allait, quelques heures plus tard, provoquer un trouble sévère dans le petit monde bien rangé de Sulfure.

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« Hum ? »

Toute-puissante, la dirigeante suprême d’Ahn Ak’Thar se redressa de son trône avec une certaine curiosité, percevant une forme de trouble qu’elle n’arrivait, en l’instant, pas à analyser. C’était… Un peu comme si l’on venait de frapper à la porte du donjon, mais sans qu’il n’y ait eut ni porte, ni ouverture, ni trappe sur laquelle frapper. Que quelque-chose venait de rencontrer l’essence même de la gigantesque mégalithique structure, ce qui revenait plus ou moins à venir toquer à l’oreille même de Sulfure sans même qu’elle n’ait eut l’occasion de pressentir cette arrivée. Autant dire qu’elle n’était que surprise, de ce genre de surprise où l’on ne ressent pas forcément de crainte ou d’appréhension, mais surtout l’étonnante nécessité de comprendre comment cela pouvait survenir. Descendant donc à petits-pas de son perchoir végétal, foulant du pied les racines de son assise qui s’illuminaient doucement à chacune de ses légères avancées, elle tenta de trouver quelle partie de son logis avait ainsi été taquinée par une force extérieure. Par là-même occasion, elle chercha à comprendre l’essence de ce qui s’approchait, mais pour l’instant, ce qui les séparait, sans qu’elle ne puisse encore l’identifier, l’empêchait de produire pareille expertise. Quand, soudainement, elle ne put plus pratiquer cette action. Sans que la reine du monde vivant ne puisse s’y préparer, ni même se mettre en garde face à la soudaine agression, elle fut à un tel point déstabilisée qu’elle manqua partir en arrière, ne se rattrapant que de peu en tendant une main vers l’une des structures végétales environnantes, cette dernière se jetant entre ses doigts pour qu’elle se rattrape de justesse.

Car tandis qu’elle s’était laissée aller à cette petite pointe de curiosité maladive face à la nouveauté, ce qui avait eut l’occasion de la rencontrer d’une bien étrange manière venait littéralement de percer un trou au travers de son être. Sulfure et son Donjon, c’était du pareille au même. L’un et l’autre représentait une entité complète, tant et si bien … que l’intrus qui venait de déchirer l’espace pour se frayer un passage à l’intérieur de la gigantesque structure avait conjointement produit une faille dans l’essence même de l’ancêtre aethyrique. Tandis qu’elle reprenait lentement ses appuis, qu’elle se redressait, elle souffla doucement en apposant sa main sur son flanc. Son énergie, son pouvoir naturel… Il fuitait. Comme l’eau qui s’écoulait de la fissure d’un barrage déjà bien étrangement résistant face à la quantité titanesque de liquide qu’il se devait de contenir, Sulfure percevait sa force s’enfuir à une vitesse surprenante. Quelque soit l’être qui venait de s’inviter en son domaine, il n’y était pas aller par quatre chemins. Pire encore, elle sentit rapidement un deuxième, puis un troisième assaut, qu’elle put bien heureusement encaisser de bien meilleure façon, maintenant qu’elle avait une idée de l’angle d’attaque qu’elle subissait. Cela ne rendait pas cela moins gênant, moins douloureux… Mais au moins ne flancha-t-elle pas sous cet étrange façon de l’attaquer. En revanche, elle ne se fit guère attendre pour réagir : Reprenant de son impériale stature, elle retrouva rapidement le soutien de son trône, puis vint appeler à elle les lianes alentours pour les concentrer en un large cercle au travers duquel elle ouvrit un portail de communication.

Elle savait où se trouvait le danger, il était temps de donner ses ordres !

- - - - -

Amalia était encore en partie endormie à cette heure de la journée. Pourtant, bien loin d’avoir put prendre le temps de se préparer à ce qui allait lui tomber dessus, elle entendit en premier lieu les vibrations terribles et sonores qui animèrent les parois proches de ses grandes et terribles cavernes gelées, piège monstrueux au coeur du désert. Soudainement appelés à l’ordre par cette surprise de taille, elle ne tarda pas à s’équiper de ses outils de puissance habituels, puis s’apprêtait à quitter son lieu de retraite, sa chambrée et ses affaires, quand elle perçut les puissants pouvoirs de sa maîtresse se manifester, ouvrant un trou dans le vide de son espace personnel. Elle ne tarda pas à se mettre quasiment au garde à vous, attendant que la communication soit stabilisée pour saluer la dirigeante du donjon, mais à la place, tout ce qu’elle put remarquer fut le temps anormalement long pour qu’enfin l’image de Sulfure n’apparaisse au travers du moyen de communication mystique. C’était curieux, et elle manqua de peu d’entamer l’échange en posant une question pourtant anormalement stupide à la lumière de toute son idéalisation de l’ancêtre aethyrique. A la place, elle fit une simple révérence en attendant que sa maîtresse s’exprime, ce qui ne tarda pas :

« Bonjour Amalia. Pardon de te surprendre, mais je pense que tu es déjà au courant : Quelque-chose à pénétrer le donjon, aux abords de ton chemin. Jauge-la. Et si elle se permet d’approcher de trop prêt de la fin de ton domaine, tu as autorisation d’agir pour l’empêcher de poursuivre sa route.
Entendu madame Sulfure. Avez vous un souhait quand à ce que je dois envoyer sur son chemin.
Ne fais pas dans la dentelle. Je te fais confiance.
Merci beaucoup. J’essaierai de vous prévenir dès que j’ai du nouveau. »

L’échange ne fut pas plus long. Le portail se brisant en un simple nuage de fumée lilas, Amalia se retourna avec le clair objectif de faire la fierté de sa dirigeante. Tirant de la porte de givre le puissant bâton de mage dont elle se servait pour asseoir sa supériorité sur l’aile du donjon, elle observa la glace éternelle fondre pour lui ouvrir le passage vers son propre domaine, puis reconstruisit cette barrière particulièrement discrète dans ces cavernes de glaces et de neige. Parfait, plus qu’à choisir le premier ennemi de cet intrus. Et elle avait déjà son idée : Quelques mots dans un langage perdu lui suffirent à appeler auprès d’elle l’un des nombreux occupants des grottes de givre, ce dernier s’échappant d’une des parois comme un seul bloc, avant de finalement se déployer, l’être se révélant être une gigantesque mante religieuse d’apparence, dont le haut du corps hypertrophié n’avait d’égal que les larges faucilles qui lui servait de pattes avants. S’approchant lentement, puis en caressant la tête chitineuse délicatement, elle lui parla dans le langage des anciens, seul moyen de communiquer avec ces bêtes d’un autre temps.

« Comme tu es beau encore aujourd’hui. Je ne t’avais même pas remarqué. Mais c’est parfait. Nous avons un intrus mon petit jighure, et tu vas être le premier à le rencontrer. Va, tends lui un piège dont il ne saurait revenir entier. »

Obéissant aux ordres dans un cliquetis plein d’impatience, la bête commença à se fondre dans le décor de glace, avant de lentement se faufiler le long des murs, prêt à s’installer sur un plafond, dans l’attente de sa proie. Il était temps de s’occuper de ce trouble-fête !

Rieseth

Créature

Le Djinn continuait sa route dans ce couloir, ce lieu qui lui était encore inconnu. Il aurait pu s’en aller et par la grande porte qui semblait se nourrir d’énergie. Mais d’un côté, la curiosité animait son avancée. Comment ce trou dans le mur pouvait rester ouvert aussi longtemps ? Il devait y avoir une source importante de ressources. Pourtant les lieux semblaient … vide. Il avait vu que de la poussière depuis son arrivée. Rien de plus étonnant lorsque l’on fait des trous soit même dans les murs d’un côté.

Mais il y avait surtout cette sensation de présence depuis son arrivée. Il n’arrivait pas mettre la main dessus. Il se sentait observer. Il était sur ses gardes. Cette présence avait tout de même réussi à le faire douter et lâcher une attaque électrique qui avait traversé tout le couloir avant de s’écraser contre la paroi du fond. Il était trop loin pour voir les dégâts mais il ne s’était pas retenu. Le plus étrange était quand même que plus il avançait dans le couloir qu’il avait emprunté, plus la propreté était notable. Il en déduisait donc que les lieux étaient un minimum entretenu. Il avait fait du grabuge en fracassant une partie des lieux. Il ne serait pas étonné de croiser quelqu’un dans peu de temps. Qui laisserait sa propriété aux mains d’inconnus ?

Pour se détendre un petit peu, il sortait sa pipe chinoise qu’il alluma sans hésiter pour tirer à son habitude sur son opium et laisser l’odeur envahir ses alentours, laissant également sa trace à l’odeur dans les couloirs qu’il décidait d’arpenter. Une drogue assez dure qui n’avait pas effet sur lui. Mais les vapeurs pouvaient faire tourner la tête de ceux qui n’avait pas l’habitude ne serait-ce que de consommer la plus maigre des substances interdites existantes. C’était par pur plaisir qu’il tirait sur sa pipe, le gout. Mais dans un contexte différent comme maintenant, cela pouvait également servir d’arme. Les lieux semblaient fermés. Pas de fenêtre à l’horizon. L’évacuation de ce genre de gaz devait prendre un certain temps et suivre des courants d’air qui ne semblait pas être si fort que ça.

Voila bien quelques minutes qu’il marchait sans voir un plan des lieux. Il observait alors derrière une fois qu’il arrivait dans la pièce suivante. Avec la fumée qu’il faisait, il pouvait observer les légers courants d’airs qui passait ici. Et si un intru se cachait par le moindre stratagème, il serait alors grillé par les mouvements de vapeur qui deviendraient irrégulier. Il continuait alors sa route avant de d’arrêter au milieu de la pièce et laissait la vapeur d’opium prendre gentiment ses aises. Il ne comptait pas faire en sorte que la vapeur remplisse toute la pièce non plus. C’était aussi une arme à double tranchant à long terme. S’il attendait trop, il verrait plus à travers !

Et c’est la qu’un mouvement anormal avait pu être observer par Rieseth alors qu’il se dirigeait vers le couloir suivant. Il n’était pas seul. Mais il faisait comme s’il n’était pas au courant. Il entamait alors son entrée dans le couloir et une fois les pieds dedans, il se mit à courir d’une accélération fulgurante. L’ennemi se dévoilait alors et lorsqu’il se retournait pour voir cette cible … Il eut des frissons. Il avait déjà horreur de ce genre de bestiole dans la nature alors en voir une si grosse …

-Je te préviens ! RESTES OU TU ES !

Un léger ton de dégout était bien présent. Les insectes ne lui posaient en général pas de problèmes. Mais certains d’entre eux, même par le comportement social qu’ils pouvaient avoir lui donnait simplement des frissons. Il n’aimait simplement pas ce genre-là.  Alors qu’il continuait sa course, il pouvait entendre les bruits pressants derrière lui. Il l’avait pourtant prévenu ! Mais puisque la bestiole ne voulait pas l’écouter … tant pis pour elle. Il n’allait pas y aller d’une douce manière. En fait, il était hors de question de passer plus de temps avec une bestiole pareil. Et pourtant, plus il avançait plus il semblait faire froid ! Il s’arrêtait alors en glissant sur le sol qui semblait légèrement gelé en sortant du couloir sur une nouvelle pièce tout en se retournant. Il allait condamner ce couloir !

-Je t’avais prévenu … SALOPERIE, PRENDS CA !

Une concentration soudaine pouvait se sentir dans ces quelques secondes qui suivait cette glissade sur le sol. Il faisait appeler à une école élémentaire de haut rang qui en combinait plusieurs. Et lorsque c’était prêt, il tendait le bras pour laisser comme une éruption volcanique sortir de son bras entier et débouler à une vitesse hallucinante dans le couloir tout en s’écrasant sur les parois. La température était élevée, de quoi faire fondre la surface des quatre murs des couloirs tout en ramassant la bestiole au passage ! L’entrée de ce couloir, depuis la pièce ou il se trouvait, était tapissée de cette substance volcanique. Lorsqu’il finit d’en envoyer, il se secouait rapidement le bras comme pour le détendre et … se tapotait alors le bras au niveau de sa manche qui avait pris feu. Il y avait laissé une partie de ses vêtements. Le couloir qui avait subi l’attaque était dans un état lamentable. Gentiment, cela ressemblait à de la glue qui collait aux murs, dégoulinante et surtout dégageant une chaleur difficilement soutenable si on n’y est pas préparé.

Il se retournait alors pour observer la pièce. L’atmosphère semblait changer. De la glace dans un lieu pareil ? Il y avait bien quelque chose d’étrange avec ce lieu. Sans trop réfléchir et ce parce qu’il se doutait que cette créature n’allait pas être la seul, il posait sa main sur le sol avant de commencer à faire trembler le sol … oui il était en train de créer ce qu’on appel un séisme dans le jargon humain. Le but était surtout d’observer un peu la résistance de ces lieux mais aussi que le responsable se montre le plus rapidement possible afin de ne plus avoir à faire à de bestioles qu’il n’aime pas du tout. Cela évitera aussi de puiser beaucoup d’énergie d’un coup sous une pulsion enfantine qu’il aurait pu maitriser. La glace présente ici craquait déjà. Elle n’était pas bien épaisse mais … c’était certainement pire ailleurs si la couche était plus épaisse.

-MONTREZ VOUS OU J’AUMGENTE LA FREQUENCE !


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