Une douche seule...ou peut être pas.[libre pour garçon ou garçons...]

Kilari venait de sortir de son dortoir et partit en direction des douches. Quand elle y entra elle s'apperçut qu'il n'y avait personne et elle se déshabilla alors, posant ses habits dans un coin de la pièce.
Elle alla ensuite sous la douche et ouvrit le robinet sur eau chaude. L'eau qui au début était tiède devint de plus en plus chaude et elle s'avoura cet instant de décontraction et de relaxation. L'eau coulait sur ses cheveux et sur son corps, laissant échapper de la vapeur qui ne tarda pas à remplir toute la pièce.

Kilari prit le gel douche aux fruits de la passion et en versa dans sa main. L'odeur lui monta au narines et elle ferma les yeux. Qu'est ce qu'elle pouvait aimer cette odeur...
Elle commença alors à se masser le corps en passant par sa poitrine et en s'attardant sur son intimité. Elle efleura alors le point sensible et un frisson lui parcoururt tout le corps malgré la température de l'eau.

C'est alors que la porte de la salle de bain s'ouvrit. Kilari retint sa respiration en attendant de voir qui avait eut l'idée de prendre une douche à cette heure la...

Je venais à peine de partir du centre commercial, à l'heure de la fermeture, quittant ma nouvelle amie Alana dans un "au revoir" des plus agréables. Mes séjours sur Terre se faisaient un peu plus rare ces temps-ci dû à tout ce qui m'arrive ces derniers temps. Et tant qu'à être sur Terre, pourquoi ne pas aller faire une petite visite à mon ancien dortoir? Avec un peu de chance, je pourrai y trouver Yume et pouvoir discuter avec elle. Et dire que pour moi, plusieurs années ont passées alors que pour elle, seulement quelques semaines, c'était plutôt étonnant à quel point les mondes avaient une distance d'intervalle temporelles différentes. Cependant, quand j'y fus, je ne la vis pas. Probablement qu'elle était partie chez des amies. J'eus un léger sourire en remarquant que rien n'avait changé depuis mon départ. Mes choses y étaient toujours, à commencer par mon téléviseur, mes draps sur mon lit, mon armoire et divers autres trucs. D'un certain coté, j'étais heureux que tout soit là, cependant, je frissonnais à l'idée qu'elle ait trouvé quelqu'un d'autre. Bizarrement, malgré les années, j'étais toujours très attaché à elle. Elle était la première femme que j'ai vraiment aimé et je n'ai pas cessé de l'aimer malgré tout ce qui nous sépare désormais.

J'eus un soupir presque triste puis je verrouillai la porte avec la nouvelle clé que j'avais façonnée, quelques jours plus tôt, quittant la chambre. Je glissai un petit mot pour la belle femme sous la porte avant de m'en aller vers les douches. Après tout, j'étais couvert de sueur et si je n'en prenais pas une bientôt, mes vêtements tout juste nettoyé allaient empester à nouveau. J'ouvris la porte du bâtiment des douches et j'entrai. Je me suis toujours demandé pourquoi l'école avait installé des douches mixtes, mais compte tenu de l'étrange aura de séduction qu'on pouvait y ressentir, mes soupçons se trouvaient être évident. Je me dévêtis alors, rangeant mes affaires dans un casier avant d'entrer dans la vaste pièce de carrelage blanc qu'était la salle des douches. J'y vis alors une jeune fille, ravissante, mais j'évitai de trop la regarder pour ne pas être pervers... avant de lâcher un juron en voyant que toutes les douches étaient brisées. Soupirant, mal à l'aise, je me plaçai à coté de la jeune femme puis j'activai la douche... qui lâcha son jet d'eau. Un grommellement sortit de mes lèvres. Il y avait définitivement un truc qui voulait qu'un autre truc se passe. Par politesse, je pris la parole et je prononçai mes excuses:

-Veuillez me pardonner si une telle proximité vous gêne, mais les autres douches ont décidé de rendre l'âme...

Kilari vit un jeune homme entrait dans les douches et se mettre dos à elle. Il était nu et elle pouvait détailler son corps. Il avait les cheveux blond. Elle descendit son regard un peu plus bas et ses yeux se posèrent sur le sexe du jeune homme légérement caché par la vapeur de la pièce.

Elle secoua la tête et regarda ailleurs.

-Ce n'est pas grave...

Elle se plaça sous l'eau chaude pour enlever la mousse qui recouvrer son corps, nullement géné par sa nudité. Même si elle n'avait pas l'habitude de dévoilé ainsi son corps elle n'en n'avait pas honte, sachant qu'elle avait un corps assez parfois avec des formes la ou il fallait.

-Après tout ce sont des douches collectifs mais si je vous géne de trop je veux bien partir, j'ai presque fini...

Elle l'avez vouvoyé, ne connaissant pas son prénom.
Sa lui aurait parut impolie de dire "tu" à quelqu'un qu'elle ne connaissait pas. Le jeune homme était vraiment trop séduisant et elle se mordit la lèvre inférieure pour essayer de se retenir de lui sautter dessus.

Au moins, ma présence ne la dérangeait pas. Pendant ce temps, mes pupilles assimilaient déjà la plupart de ses données, me disant qu'elle était de tel ou tel type de sang, qu'elle avait tel ou tel gène, son nom ainsi que des bribes de son passé que son corps pouvait avoir gardé. À ce qu'il semble, elle ne se fâche pas souvent, puisque aucune ride n'a marqué son visage. À ses coups d'œil dans ma direction, je pouvais savoir qu'elle me jaugeait. Moi, je la regardai, mais elle ne pouvait pas le savoir, puisque j'avais un champ de vision plus large que ceux des humains. En fait, je regardais encore le jet d'eau. Après un moment, je posai mon regard sur elle et je lui souris avec cet air heureux que j'affiche le plus souvent.

-Si je ne vous gênes pas, je n'ai pas de problème à être en votre compagnie. D'ailleurs, une présence à mes cotés, inconnue ou non, est plus agréable que la solitude.

Je la regardai bien sûr dans les yeux, continuant de sourire. En fait, je n'aimais pas vraiment être seul, c'était très désagréable et surtout que ça me faisait mal. Je détournai un moment la tête, laissant mes cheveux s'égoutter alors que le jet se coupait automatiquement avant que je ne le réactives. L'eau était toujours chaude au départ et ça m'énervait quand j'étais plus jeune. Aujourd'hui, je n'avais à peine la sensation du froid. Je supportais une température de -50 degré Celsius à peine couvert de vêtements chauds, alors, un petit froid, ce n'était pas grand chose. Je regarde à nouveau cette nouvelle rencontre et je remonte une mèche de mes cheveux qui venait de glisser.

-Je suis Kamui. Puis-je savoir votre nom?

Kilari ne savait pas pourquoi mais quelque chose de bizarre était entrain de ce passer.
Elle passa sa tête sous l'eau pour enlever la mousse qui restait sur ses cheveux et ceux ci lui tombèrent sur la poitrine qui la cachèrent à moitié.
Quand elle tourna la tête pour le regarder elle ne put s'empécher d'apprécier son corps magnifique. Lui aussi la regarda et elle répondit à son sourire.

Puis le jeune homme se présenta.

-Enchanté Kamui, je m'apelle Kilari.

Il avait un prénom magnifique qui sonnait bien et qui lui allait très bien.
Elle lui fit un grand sourire et s'abaissa pour se lavers ses longues et fines jambes avec son gel douche.
Elle pouvait sentir le regard de Kamui sur son corps ce qui fit monter le désir en elle.
Elle ne le connaissait à peine et elle se retenu à grande peine de lui sautter dessus même si son corps lui disait le contraire.

Elle se redressa et dans un geste sensuel rejetta ses cheveux en arrière.

Kilari... c'était un très beau nom. Il allait à merveille à son propriétaire. Lorsqu'elle se pencha pour laver ses jambes, je ne pus m'empêcher de la suivre du regard, remarquant l'absence totale de poil superflu. Sa peau était parfaitement lisse, d'une couleur ni pâle ni foncée, pleine de vie. Émanant d'elle, je sentais une aura de sensualité attractive. Cette manière d'agir avait un effet très pervers sur le corps d'un homme et, gêné par ce qui se passait sous ma taille, je me détournai légèrement de la demoiselle pour ne pas qu'elle voit cette excitation. J'essayais pourtant de me contrôler et d'endormir mon coté volage, mais il fallait toujours que je tombes sur des femmes séduisantes qui me coincent dans leur filet. C'était assez dur sur mon moral parce que je me prouvais à chaque fois que j'étais plus faible que mes pulsions, ce qui m'énervait grandement. Je n'arrivais pas à détacher mon regard de la demoiselle, mais il se voyait dans mes yeux que je réprimais mon envie. Cette jeune femme m'attirait, mais je devais essayer de résister... et si je n'y arrive pas, je me décevrai encore une fois.

Pour éviter de succomber, je me plaçai derrière la barrière de l'âge, du mariage et de l'honnêteté. Cependant, je me souvenais que même la déesse jalouse Héra succombait au charme d'autres hommes que Zeus. Et peu à peu, l'énergie lubrique de ce bâtiment réduisait mes barrières à néant. Je me mis alors à regarder la demoiselle avec envie et désir. Ce lycée était imprégné de l'énergie de la déesse de la passion et elle n'aimait guère l'abstinence dans ces lieux.

Kilari tourna alors la tête vers le jeune homme et vit qu'il la regardait avec...avec envie.
Pourtant il y avait quelque chose dans son comportement d'anormal. On aurait dit qu'il essayait de resister à ses envies. Pourtant son sexe lui ne lui resista pas et Kilari pouvait voir la verge du jeune homme se dircir à vut d'oeil.

Kilari n'avait encore jamais fait quoique ce soit avec un homme mais l'instinct lui dicta sa conduite.
Elle s'approcha de lui, le regardant avec envie et se mordit la lèvre.

Elle était maintenant à quelques centimètre du corps de Kamui et elle leva une des ses mains pour la poser sur son torse bien qu'elle fut légérement hésitante.
Et s'il la repoussait ? Si bien que son corps dise tout le contraire il n'avait pas envie d'elle.

Elle retira alors sa main et leva ses yeux vert pour croiser son regard.

-Je...je suis désolé, je ne sais pas ce qu'il me prend...

Elle s'était approchée de moi, je voyais bien son regard et le mordillement de sa lèvre inférieure. Elle était à quelques centimètre de moi, partageant le même jet d'eau, quand je sentis sa chaude main sur mon torse. Ce contact propagea une onde de frisson dans tout mon corps. Elle recula ensuite, retirant sa main et se mit à s'excuser. Pourtant, elle n'avait pas vraiment à le faire, puisque ce n'était pas totalement de sa faute. Elle avait les hormones exacerbés de l'adolescence, c'était tout à fait excusable. Doucement, je caressai son visage, poussé par cette énergie bien au-delà de ma compréhension. Mes yeux se mirent à pétiller d'envie alors que je collai mon front sur le sien avant d'aller poser un baiser sur ses lèvres. Une autre version de moi reprit la place, alors que je ne pouvais plus du tout me retenir. J'avais une envie irrépressible d'elle et maintenant, je voulais assouvir mes désirs de chair. Je dis alors, pour répondre à sa propre interrogation, d'une voix posée:

-Moi, je sais, et c'est tout à fait normal.

J'esquissai un sourire lorsque ma main quitta sa joue pour se glisser dans ses cheveux aussi souple et doux que la soie. Un autre frisson me parcourut, moins présent mais plus plaisant. Je savais que même si je le voulais, je suis pris au piège pas mes envies et par celles de ma compagne de douche.

Kilari ferma les yeux quand Kamui lui caressa le visage. Son corps était totalement paralysé. Elle ne pouvait plus bougé et ne voulait plus bougé. Ce que son corps réclamé depuis tellement de temps allait peut être enfin finir par ce passé. Dans ce domaine elle était encore débutante et elle rouvrit les yeux pour les poser sur le jeune homme.
Il posa son front sur le mien qui devait être brulant et contre toute attente l'embrassa.
Elle répondit au baiser avec passion.

Quand il s'écarta d'elle elle avait la respiration saccadé et le corps tremblant de désir. La main de Kamui quitta alors sa joue pour prendre la direction de ses cheveux. Elle se cambra légérement retenant un gémissement de plaisir.

Elle posa alors ses mains sur son torse et prit possession de ses lèvres, n'ayant plus la force d'attendre. Elle l'embrassa avec passion, sa poitrine coller contre son torse.

-Je t'en pris...prend moi maintenant...

Elle le lui avait demandé entre deux baisers mais une certaine crainte était tout de même présente. S'il accepté sa serait sa première expérience...

Elle m'a embrassé à nouveau. Je lui souris doucement et lui rendis son baiser avec douceur. Sa demande m'arracha un léger sourire. Les jeunes femmes étaient si pressées, de nos jours. Elles en oublient qu'un homme doit prouver sa valeur avant de les prendre, et je suis un homme patient qui adore satisfaire ses partenaires de couche. Je l'embrasse dans le cou et je descends une main le long de son flanc, puis sa hanche et enfin sa cuisse avant de la coller doucement au mur chauffé par la vapeur. Mon regard désireux prit ensuite un air plus sérieux. Les relations sexuelles ne doivent pas être prises à la légère et surtout qu'il faut les remplir de tendresse et d'attention, ou alors de violence, dépendant des goûts. Cessant mes baisers sur sa nuque, je la regardai, levant les yeux vers les siens.

-Avant le repas principal, il faut savourer les entrées. Détends-toi et savoure ce qui va arriver.

Toujours souriant, je commençai une lente descente, embrassant le buste de la demoiselle, couvrant par la suite son sein gauche de baiser avant de poser quelques léchouilles sur ses tétons. Je ne m'arrêtes cependant pas là, je descends encore. Je rencontre son nombril, que j'entoure de baisers avant de goûter de ma langue puis de poursuivre plus bas encore. J'atteins son pubis, dénué de poil. Cette fille était certes coquette ou alors elle n'a jamais eu de petits amis et elle attend ça depuis très longtemps. Un sourire naquit davantage sur mon visage. Avec la même tendresse que j'ai témoigné à Taya, je bécotes doucement la petite étendue de peau entre le ventre et son intimité avant de m'attaquer à celle-ci. Délicatement, grâce au majeur et l'index de ma main gauche, j'ouvre son intimité, apercevant ce jeune clitoris, légèrement gonflé. Sans attendre et sans la faire languir, je m'en approche puis je m'empare de la petite boule de chair entre mes lèvres pour la suçoter avec attention, laissant ma langue la parcourir.

Kilari se fit alors plaquer contre le mur en douceur. Avec la chaleur de la pièce et la vapeur il était tiède ce qui ne fit qu'augmentait la chaleur de son corps déja bouillant.
Kamui descendit ses lèvres le long de son corps, s'arrêtant un instant entre son nombril et son intimité.
Il se décida finalement à aller la visiter et quand elle sentit deux de ses doigts lui ouvrir son jardin secret elle se cambra légérement en arrière, décollant son dos du mur.
Elle venait de découvrir une merveilleuse sensation.

Une vague de plaisir s'empara de la jeune fille et elle laissa échapper un gémissement aigue.

-Oh oui...!

C'était tellement bon qu'elle ne pouvait plus les retenir. Elle voulait qu'il continut et qu'il ne s'arrête jamais.
Kilari se massa alors ses seins, ses tétons ayant durcit avec les caresses et le grand bien que lui faisait Kamui.

Je souris doucement lorsqu'elle se cambra et en redemanda davantage avec ses gémissements. Je plaçai donc sa cuisse sur mon épaule et je recommençai à la lécher, avec davantage d'insistance. Ma main maintenant libre gravit doucement son corps juvénile avant de se poser sur son sein. Avec une expertise due à la régulière pratique, je me mis à masser le globe de chair légèrement durci par l'excitation. Sous ma main, je sentais la douceur de sa peau mammaire et je m'employais à la traiter comme il se devait de le faire.

La cyprine coulait maintenant dans ma bouche puis dans ma gorge, chaude et glissante. Parfois, je me dis que ça pourrait peut-être même devenir un remède contre le mal de gorge, grâce à sa capacité de lubrifier. Juste à l'imaginer, j'avais envie de rire, mais rire en plein cunnilingus serait un peu bizarre et peut-être même troublant pour ma compagne. Je reculai un moment pour admirer son intimité et mon regard se posa sur ce clitoris qui venait de recevoir mes caresses. Il venait de prendre un peu plus de volume et cela me faisait très plaisir. Une idée me passa par la tête et je revins à la charge avant "d'embrasser" passionnément la vulve de mon amant, posa mes lèvres contre les siennes, bien plus intime, ma langue partant à la découverte de son jardin secret. Je caressai un moment son hymen de mon membre buccal avant de commencer un lent va-et-vient dans son intimité, la préparant à ce qui allait venir en étirant ses parois internes, engloutissant son jus des plaisirs millilitres par millilitres.

Kamui arrêta ce qu'il était entrain de faire pour regarder mon intimité. Je ne sais pas ce qui lui passa par la tête mais il revint aussitôt à la charge.
Il embrassa mon sexe avant de provoquer en moi des frissons de plaisir.
Une vague intense m'envahit quand je sentit la langue de Kamui entrait en moi et mes yeux se fermèrent tout seul.

-Hum...

Kilari pouvait sentir ses lèvres intimes s'écarter au rythme des va et vient de son amant.
Elle pouvait aussi le sentir absorber sa mouille qui coulait le long de son sexe.

Elle se cambra encore plus et lacha un gémissement aigue qui résonna dans toute la salle de bain.

Lorsque ses gémissements devinrent plus pressants, je compris qu'elle approchait de la jouissance. Ce ne fut pas un très long moment après cela que j'entendis son cri, comprenant qu'elle l'avait atteint. Un sourire naquit sur mes lèvres et je reculai, juste à temps pour laisser le flux de cyprine quitter brusquement sa vulve et couler sur le sol. Je remontai doucement vers son visage et je l'embrassai sur les lèvres avec tendresse, continuant de lui masser le sein, ma jambe gauche entre les siennes, dont l'une était relevée par ma main gauche. Je brisai un moment notre baiser pour lui parler.

-Cela fut-il de votre goût, Kilari-chan?

Je frottai doucement son nez contre le mien pour ensuite l'embrasser langoureusement, engageant une invitante valse entre nos membres buccaux, la laissant goûter sa propre saveur sur ma langue. Je savais qu'on n'en avait pas encore fini, du moins, de mon coté. La plupart des vierges avaient un certain mal à recommencer après leur première réelle jouissance, même si elles se font du bien d'elles-mêmes, rien n'égale le vrai de vrai, j'en savais un truc.

Kilari venait d'avoir son premier véritable orgasme. Pas celui qu'on arrivait à avoir en ce faisant du bien toute seule, non le vrai, celui qui nous était procurer par quelqu'un d'autre que soit.
Elle sentit un liquide tiède couler le long de ses cuisses et Kamui se releva doucement.
L'une des jambes de la demoiselle était relevé par la main de Kamui et elle pouvait sentir sa verge entre ses cuisses.

-Oui...

Oui elle avait aimait, adorait, il n'y avait pas de mot, elle n'arrivait pas à décrire ce merveilleux sentiment.
Il l'embrassa alors langoureusement et Kilari répondit à son baiser avec passion. Elle se doutait que leur moment à deux n'était pas encore fini...