Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Spyro

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Enfin! Je me suis enfin vidé les couilles! C'était parfait... Oui c'était délicieux, mais j'en veux encore... Encore! Mais je me sens étrangement si fatigué...  Je ne suis normalement pas affaiblit, après ça... Alors pourquoi, j'ai ensuite l'impression de comme perdre quelque chose en moi? La ca... La pu... Non... J'ai oublié... La voix... Cette voix que je reconnais et qui me parle au loin...

- Tous les humains méritent d'être châtiés... Sauf Victoria la sorcière. C'est une amie.

Alors que je ne comprends pas bien ce qu'il se passe, je parle doucement. Je réponds mot pour mot, ce que vient de me dire la voix, tout au loin. La voix de la fille... Victoria... Une curieuse tristesse m'envahit soudainement. J'avais froid. Tout était noir... Mais heureusement, la tristesse cesse rapidement. Elle devient vite autre chose de beaucoup plus gai et de joyeux. Victoria... Oui Victoria m'a aidé... Elle m'a aidé à me sentir mieux. Victoria mérite vraiment d'être mon amie! Rien que pour ça... Pendant que tout a l'air d'être encore flou, je sens un parfum. Mon odorat puissant respire maintenant cette odeur étrange, mais qui ne m'est peut-être pas complètement étrangère... Victoria...

- Vi... Victoria...

Tandis que je suis toujours plongé dans le noir, j'entends de nouveau sa radieuse petite voix. Et doucement, son visage et l'ensemble de son corps délicieusement nu, me fait face. C'était Victoria, ma nouvelle amie qui me parlait. Et en même temps qu'elle me disait qu'une autre tâche difficile m'attendait, son corps se met entièrement à briller. Victoria était pourtant une humaine, mais elle était vraiment différente des autres... Depuis qu'elle m'a aidé à me sentir bien... Je suis ensuite aspiré par elle. Et doucement, son étrange lumière qui s'enveloppe tout autour de moi, laisse ensuite encore place aux ténèbres... Non ce n'était plus les ténèbres. C'était tout simplement le noir...

Lorsque j'ouvre les yeux, ce n'est d'abord pas Victoria que j'aperçois, mais sa chatte! Je suis surpris de la voir si près de moi. Elle était tellement proche de mon museau, que je pouvais arriver à la lécher avec le bout de la langue, si je le voulais. Ses magnifiques jambes étaient écartées, juste au-dessus de ma tête. Et mon amie m'offrait une vue absolument irrésistible, alors que je suis en train de ressentir en même temps, ses délicieuses effluves. Elle se touchait juste au-dessus de moi et elle semblait vraiment ne plus vouloir attendre...

- Coquine!... Tu es une vraie coquine Victoria! Tu mérites que je te dise, que ta chatte est vraiment aussi belle que toi!

Content de retrouver ma nouvelle amie, envers laquelle je ressentais une infinie reconnaissance et empathie, je ne cherchais plus à me soucier de ce que j'avais finalement oublier. C'était devenu maintenant sans aucune importance. Victoria était là et nous pouvions bien continuer de passer un bon moment ensemble, tous les deux en tête à tête.

- Ta petite intimité ne peut vraiment plus attendre, ma chère! Mais je continuerais de croire, que je fais partis des espèces, qui peuvent t'apporter bien plus de satisfaction, que tes pitoyables congénères...

Je décide de ne pas perdre de temps, pour lécher du bout de la langue, cette adorable petite chatte toute excitée! Mon devoir était de la satisfaire et surtout, de vraiment la convaincre qu'elle trouverait meilleur parti, avec un être de mon espèce. Bien que j'étais un peu agacé d'être toujours lié par ces foutues chaines, je commence doucement à bouger le bout de ma langue, qui vient tout juste de traverser les douces petites lèvres humides, de mademoiselle la petite sorcière coquine. Et pendant que je l'agite plusieurs fois de haut en bas, ma bite recommence à franchement me faire mal! J'en avais autant envie que tout à l'heure! Une seule jouissance n'allait pas me suffire et j'aurais tôt ou tard besoin qu'elle me libère, si elle voulait vraiment savoir de quoi j'étais capable de faire, avec ma bite draconnique. En attendent, son délicieux parfum intime de jeune femelle toute excitée, était en train de m'emplir totalement les narines. J'avais envie d'aller plus loin. Je voulais goûter toute sa chatte, avant de lui faire ressentir ma grosse queue, dans ses petites chairs à la fois fragiles et agréables.

- Merveilleuse! Tu es à la fois coquine et merveilleuse, Victoria! Je crois vraiment que tu es l'humaine la plus délicieuse, que j'ai pu rencontrer!

Après lui avoir un peu exprimé les choses inhabituelles, que je ressentais pour une humaine comme elle, je continue de gigoter ma langue dans sa petite chatte odorante, que j'avais envie de baiser avec ma grosse trique!
« Modifié: dimanche 20 mars 2022, 19:13:06 par Spyro »

Victoria Campbell

Humain(e)

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  • Messages: 49


  • FicheChalant

    Description
    Froide et ambitieuse sorcière qui se fait passer pour une lycéenne.


Après l'effort le réconfort. Voilà ce qui peut résumer ma pensée à cet instant précis. J'ai obtenu exactement ce qui était nécessaire à mes travaux et suis parvenue à neutraliser la brutalité du monstre. Même si j'éprouve une certaine colère à devoir céder aux bas instincts provoqués par cette satanée poudre, je peux maintenant le faire en toute sécurité.

Bien que maté, le dragon reste vulgaire. Ses mots crus et cajolants devraient m'horrifier. Faire plisser mon museau aristocratique et me donner envie de me rhabiller pour aller éteindre seule le feu qui habite mon bas-ventre. Mais pour cette fois ... je le tolère. Ils font même monter en moi une étrange excitation. Sans plus songer à préserver ma pudeur, j'écarte mes lèvres intimes pour laisser la langue de l'entravé me fouiller. Mon autre main presse ma poitrine.

- Vas y oui fais moi du bien.

Mon sexe bouillonne littéralement. Les premiers coups de langues du monstre déclenchent en moi une vague de plaisir que je ne parviens pas à refreiner. Je rejette la tête en arrière et crie sans retenue. J'ondule et finis par bouger mon bassin en rythme, frottant mon con ruisselant de mouille sur le museau écailleux et laissant cette langue me pénétrer encore davantage. Il ne faut pas longtemps pour qu'une jouissance comme j'en ai rarement connu m'emporte. Je sens mon corps tressauter sans que je n'ai plus de contrôle sur lui, basculer au moment où mon esprit se perd loin au delà de la conscience. L'orgasme est puissant, il menace de me faire exploser le coeur.

Je ne reprend mes esprits que bien des secondes plus tard. J'ai basculé en avant. Je me retrouve nue allongées sur lui. Tête bèche, le corps couvert de sueur et les cuisses ruisselant de mes fluides intimes mélangés. J'ai le souffle court, les cheveux collés sur mon front luisant. Mon visage est à quelques centimètres du sexe dressé. Dans un état second, ma main fine vient s'emparer de la virilité de l'animal qui tressaillit au moment du contact. Je commence à lui imprimer un lent mouvement de va et viens. Je savoure sa réaction.

- C'est bien, tu as bien servi. Comme tu es mon ami tu as aussi le droit à un peu de réconfort.

Les fluides maculant le membre aux proportions inhumaines m'écœureraient en temps normal. Mais présentement, l'odeur animale qui se dégage de ce sexe m'inspire de l'envie. Je me repositionne, toujours assise sur son torse, croupe toujours tournée vers lui, je me redresse pour me mettre à hauteur de la tige turgescente. Mes lèvres frôlent le sexe palpitant et sans arrêter de le masturber, je commence à passer ma langue le long de la hampe.

Je viens de jouir comme jamais je ne l'ai fait et pourtant mon corps dit que ce n'est pas assez. Le simple frôlement occasionnel de mes seins contre les écailles du dragon et l'odeur musquée font remonter en mois des envies de luxure. J'avoue éprouver un plaisir pervers à voir ce monstre ainsi à ma merci. Chaque coup de langue, chaque mouvement de poignet provoque des sensations décuplées grâce à ma drogue. Je peux en l'espace d'un instant le faire se cambrer et gémir ou au contraire arrêter et le laisser pantelant et suppliant. Je continue ce petit jeu tant et tant qu'à un moment, mon corps réclame de nouveau son du. Je suis finalement autant esclave de mes pulsions que lui aujourd'hui. Quelle ironie. Je cesse mes jeux de langues, me retourne et rive mon regard à celui de l'animal. Avec une lenteur délibérée et provocatrice, je lèche mes doigts souillés et lui lance.


- Et si maintenant tu me montrais ce que tu vaux ?

Avec l'appétit d'une chatte en chaleur, je me glisse jusqu'à son bas ventre et viens souder mon bassin au sien. Une contorsion me suffit pour guider le sexe aux proportions intimidantes jusqu'à l'entrée de mon intimité. Mais je n'ai aucune inquiétude. Ma chatte ruisselle. Elle tremble d'envie d'être comblée, ici et maintenant. Même par cet appendice monstrueux.

Un soupçon de magie suffit pour que je desserre les chaines au niveau de son bassin. Que la fête commence !

Victoria Campbell - 17 ans - 1m69 - Humaine - Ma fiche de présentation

A très vite pour partager de nouveaux RP <3

Spyro

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Sa douce voix, ne fait pas vibrer que ma queue. Elle fait aussi résonance, dans mes tympans. Bien que j'aimerais lui exprimer toutes les pensées sales que j'ai pour elle, quelque chose m'en empêche. Même pourtant très excité, sans doute parce que je peux vraiment la considérer comme mon amie, je veux qu'elle se sente aussi bien que moi. La préoccupation du désir de l'autre, ne fait pas vraiment partit de mes habitudes. Mais je sais déjà que Victoria saura me combler, comme elle l'a déjà fait juste avant. Et plus ça durera encore et plus je vais aimer ça. Quant à Lumière, même si je ne l'oublie pas, je dois d'abord faire avant ça, ce qui doit être fait. De par ma loyauté et par mon amitié envers Victoria, je continue donc de la lécher passionnément, alors que j'ai vraiment la queue qui en a encore vraiment très envie. Son parfum de jeune petite délurée, n'arrête plus de m'enivrer, alors que j'ai en même temps de plus en plus de mal, à devoir me contenter seulement de "ça". A chaque coup de langue dans sa petite chatte, j'avale un peu plus de son délicieux jus de chatte. La belle est encore plus belle, quand je la vois se tortiller et couiner, juste au-dessus de moi. Le spectacle est même tout simplement parfait, quand elle se laisse aller à se frotter sur mon museau, qui ne cesse d'en redemander encore. C'était frustrant d'être immobilisé comme ça, mais c'était jouissif de la voir tressaillir sur moi, comme elle le fait. Au moins, elle s'amusait bien.

- Victoria... Victoria... Oui... Laisse-toi aller ma belle. Laisse-toi aller...

Pendant que mon museau ne cesse de respirer l'odeur de cette chatte d'humaine, mes iris de prédateur essaient d'observer d'elle, tout qu'ils peuvent voir. La vue a beau être imprenable, il n'y a pas que son trou tout gluant par ma salive et sa cyprine, que je vois. Victoria finit par trembler de plus en plus. Et plus je sens cette coquine me céder, plus je la lèche intensément. Ses efforts à se mettre à la tâche, pour me donner la chance de lui montrer que je suis meilleur, que n'importe lequel de ses sots de congénères paye enfin, quand je l'entends crier. Pendant qu'elle se lâche sans chercher à se retenir, je lèche encore et encore, en caressant autant que je le peux avec ma langue draconnique rapeuse, tout ce que sa chatte me le permet. Je fais tout pour être certain que la belle, sente son clitoris se faire laper à mort. Quand elle finit de jouir, elle vient plaquer ses cuisses d'humaines et toutes dégoulinantes de sa cyprine, contre mes écailles beaucoup plus rugueuses et remplies d'aspérités. Mon amie très coquine, ne reste pas bien longtemps dans cette position qui ne lui suffit surtout qu'à reprendre son souffle. Evidemment pas satisfaite du tout, tant qu'elle n'aura pas gouté à la meilleure partie que je suis prêt à lui offrir, elle descends rapidement un peu plus bas. En même temps qu'elle commence à me la toucher, ma bite réagit immédiatement au contact chaleureux de sa main.

- Mmmh... Coquine! Je savais qu'il en fallait plus que ça, pour te satisfaire. Maintenant, je sais surtout pourquoi tu m'as emmené ici. Mais ce n'est pas grave. Tu es toute pardonnée.

Le respect que j'éprouve pour elle, me force me sentir un peu plus doux avec elle. Bien que je voulais lui montrer toute ma virilité, il était surtout important qu'elle n'oublie pas ce moment entre nous. Quant à moi, ma grosse bite se comprime encore, quand elle s'amuse à me branler. Et ça vibre encore plus fort, quand je l'entends me dire perversement, qu'elle allait encore me réconforter. Elle joint ses mots par les actes, en allant ensuite enfin me lécher la queue. A doucement s'emplir la bouche, de mon engin animal à l'odeur beaucoup plus agréable et virile, que les pauvres petit machins de sa sous-race incompétente, quand Victoria qui s'est d'abord redressée, sur mon torse solide et souple, donne toute une série de coups de langues bien passionnées, sur mon chibre.

- Oui! Ouais c'est bien ma jolie! Vas-y, fais toi plaisir et ne te retiens pas. Il y a que nous deux ici. Enfin presque...

Sans jamais lâcher mon pieu, qui imprègne toute son odeur dans la pièce presque autant que celle se sa belle fente remplie de mouille, mon corps se contracte, quand la petite vicieuse continue d'enchainer agréablement ses coups de langues. Je laisse la perverse s'amuser avec mon gros joujou, pendant que j'halète, à cause de ses redoutables performances. Entre sa délicieuse petite langue, qui me caresse surtout mon gros gland violet et sa main qui m'asticote bientôt comme si elle ne voulait plus que ressembler à une fille de joie, difficile de ne pas résister. Avec ma bite toute enflée par tant d'attentions, Victoria finit par arrêter et me regarde d'une façon très provocatrice, en se léchant en même temps les doigts qui ont touchés mon manche draconnique, avant de me dire quelque chose qui me fait presque déjà jouir d'avance!

- Hahaha! Enfin! Je vois que mademoiselle est comme moi, dans son genre. Elle ne sait plus tenir en place et elle a bien du mal à résister à ses instincts primaires. Mais c'est une sage décision et qui t'honore, Victoria. Vas-y! Laisse-moi alors enfin te montrer ce que vaux un gentil dragon comme moi. Je te promets que tu ne vas pas regretter le voyage!

Je rend gratuitement la provocation de mon amie, qui ne m'empêchera pas de penser qu'elle aime quand même vraiment la bite, mais je ne vais sûrement pas m'en plaindre. Je déglutis et j'ai les tempes qui battent comme lorsque je pars pour une très grande chasse, quand je vois ma petite femelle, qui va pour s'empaler sur ma trique, qui sent vraiment très fort dans cette pièce fermée. Mais au moins, elle est raisonnable et la chérie a bien compris qu'elle ne pourra que gagner au change, avec moi. C'est avec un grognement victorieux que je fais, que Victoria s'empale presque d'un seul coup sur mon bâton. Dès qu'elle glisse enfin dessus. Que mon dard se loge enfin dans sa fente toute mouillée et excitée, la sensation que je ressens est au moins aussi forte que le bruit que j'entends, quand elle s'embroche.

- Aaarh! Aaarh! Put... Si tu n'étais pas mon amie, je n'aurais pas pu m'empêcher de t'exprimer tous les mots particulièrement doux, que j'ai à cet instant pour toi, très chère...

La chaleur de son vagin complètement mouillé par ma salive et par sa mouille, entoure enfin délicieusement mon pieux. La contraction est redoutablement puissante! Mais ce qui va suivre, va presque complètement me rendre fou! Victoria qui comprend raisonnablement nos intérêts communs, va jusqu'à desserrer les chaines qui retenaient encore mon bassin. C'est donc sans pouvoir l'agripper avec mes pattes avant, que je me rue malgré tout dans sa chatte, en la pilonnant directement, comme un enragé! La sensation est immédiatement agréable et renversante en même temps!

- Aaah! Aaarh! Aaarh! Victoria! Putain! Je vais te défoncer comme tu le mérites! Aaah! Aaarh!

De la retenue que j'avais encore avant pour elle, j'éprouve une totale satisfaction à enfin pouvoir remuer librement toute ma grosse trique, dans ce superbe trou odorant et tout excité, qui appartient à cette fille qui aime s'envoyer en l'air! Je grogne, alors que je ne me gène pas pour la marteler. Je lui envoie directement, les plus puissants coups de bite que je peux. Je gigote avec autant de force que possible et chaque fois que je culbute dans à l'intérieur de la petite cavité serrée de mademoiselle, je n'ai alors plus qu'un seul objectif, la démolir et jouir dedans à tout prix! Plusieurs fois, pendant que je grogne avec vivacité et que je respire très bruyamment, les dents serrées, mon gland s'enflamment de plus en plus. A chaque fois que je lui balance un bon coup de rein bien vicieux comme elle le mérite, mon pieu s'enfonce tout au fond, en faisant un bruit causé par sa mouille! Chaque fois encore que mon gland s'enfonce sans retenue en elle, j'éprouve une immense joie à ressentir pulser à l'intérieur, de façon habituellement la plus primale qui soit. Son trou tout gluant et chaud me la caresse et me la presse sans arrêt, pendant que je n'arrête plus de pilonner vigoureusement mon amie, que je considère en cet instant, surtout comme ma trainée!

- Encore! Anh! Encore! Oh Victoria, je sens que c'est en train de monter! Oh c'est tellement bon de te sentir!

C'est avec fierté et une envie qui me dépasse complètement, que je tremble d'extase, alors que je défonce joyeusement sa fente comme elle le mérite. Ou tout simplement, comme elle l'a toujours voulu depuis le début. Je ne peux aussi pas m'empêcher d'avoir un sourire particulièrement vicieux, quand je vois son corps que je culbute férocement. C'est très gratifiant de la voir se faire bousculer comme ça. Il ne me manque finalement plus que ses encouragements et peut-être une éventuelle participation supplémentaire de sa part, pour l'aider à lui montrer pourquoi on dit que les dragons, ce sont aussi les patrons. Le jeu prend enfin une tournure qui me plait vraiment.


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