Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Le chemin qui mène vers la gloire est semé de bassesse (PV Zack Arias)

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Victoria Campbell

Humain(e)

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  • FicheChalant

    Description
    Froide et ambitieuse sorcière qui se fait passer pour une lycéenne.
Flashback de quelques mois
Quelque part dans la banlieue de Belfast, Irlande du Nord


- Allez poupée. Tu va venir avec nous ... tu va nous montrer EXACTEMENT où cet enfoiré se cache.

C'est que m'a dit mon employeur du jour : un colosse au visage buriné du nom de Donovan Murphy. Accompagné par toute sa bande de gros bras entassée dans la colonne de voitures dans laquelle nous roulons. L'homme a décidé de faire appel à mes "services spéciaux" pour retrouver un autre homme dont il souhaite ardemment se venger. Une affaire d'enlèvement et de séquestration de sa soeur semble t'il. Rien de bien joli. Ni de bien passionnant pour moi. Les détails ne m'avaient pas intéressée. Mon rôle dans cette histoire a été de mener quelques rituels magiques. Coûteux en ressources mais enfantins à réaliser. De la divination, rien de plus. Mais c'est suffisant pour justifier un beau salaire. Un travail lucratif qui doit m'aider à financer mes recherches magiques.

Oui je sais ce que vous vous dites ... l'argent. Toujours l'argent. C'est l'eau qui fait tourner le moulin de la vie, que voulez vous ? C'est vulgaire et indigne mais les contingences matérielles finissent toujours par nous rattraper, même quand on poursuit des buts nobles. Si ca n'avait tenu qu'à moi j'aurais déjà été payée et je serai partie. Aussitôt le rituel achevé. Sitôt la croix faite sur une carte pour savoir où trouver leur cible et c'était fini.

L'aspect "punitif" de l'opération ne me concerne absolument pas. Mais Donovan est du genre soupçonneux. Il veut être sûr qu'il n'y a pas d'entourloupe de ma part. Une attitude un rien vexante quand on sait à quel point mes aptitudes magiques sont fiables. Mais que voulez vous ... ? Je ne vais pas renoncer à de l'argent pour une question de fierté mal placée.

Mon enveloppe me sera donc donnée "Quand les dents du malotru auront retapissé le parquet." (Dixit le fameux Donovan. J'ai juste remplacé le terme "malotru". Vous vous doutez bien que le mot qu'il avait employé était bien plus grossier. Une faiblesse de langage que je n'ai pas tenu à souligner sur le moment. Je n'ai pas pris la peine non plus lui faire remarquer qu'on ne tapisse pas un parquet et que sa métaphore était donc perfectible. Pour rester polie.). C'est une misère de devoir travailler avec des gens manquant d'éducation ... et de classe ... Mais bon.

Alors je prend mon mal en patience. Assise sur la banquette arrière du véhicule, mon regard s'est perdu dans la contemplation des lumières nocturnes pendant une bonne partie du trajet. Après un temps indeterminé, la ligne de voitures finit par se garer. Soucieux de ne pas se faire repérer, les hommes arrêtent les voitures plus loin et évitent de claquer les portières pour ne pas alerter l'homme qu'ils comptent prendre par surprise. Au moins une douzaine d'hommes s'engage dans la cage d'escalier du petit immeuble locatif. Des irlandais purs souche, des bagarreurs aux gros bras qui pour l'occasion se sont tous armés de clefs anglaises, battes, massues, barres à mine et masses de chantier. Une véritable petite bande d'hommes brutaux, malpolis et terriblement dangereux qui me précède.

Moi la petite anglaise aristocrate et frêle, vêtue d'une robe noire élégant et sobre, ma présence avec eux parait si incongrue ... Je les suis d'un pas tranquille, main posée sur la rampe et avançant d'un pas tranquille sur mes bottines à talons délicates.

A l'étage au dessus de moi, il y a un grand bruit de craquement. Une porte est enfoncée et une dizaine de voix braillardes se met à crier en même temps des choses fines et fleuries du genre :

 On est v'nus t'chercher fils de p*te !
 Viens te faire démolir le portrait enfoiré de ta mère
Ou même de simples BEUAAAARRR pour les moins inspirés du lot.

Les choses sérieuses ont clairement commencé devant moi. J'entends distinctement des cris de douleurs et des coups échangés.

Sans me presser, j'atteins le palier où se trouve l'appartement en question. La douzaine de gaillards s'est déjà engouffrée par la porte brisée. Les lieux ont l'air d'être en proie au plus grand des chaos. L'air vaguement ennuyée, je croise les bras et prend appui contre la rembarde de l'escalier, faisant face à la porte ouverte. J'imagine qu'ils ne devraient plus en avoir pour très longtemps ... c'est l'affaire de quelques minutes et je pourrais repartir avec l'argent qui m'est dû.

....

Cela dit. J'apprécierai tout de même que ces messieurs prennent la peine de me déposer dans un quartier plus fréquentable une fois qu'ils en auront fini ici ...
« Modifié: dimanche 25 avril 2021, 10:06:17 par Victoria Campbell »
Victoria Campbell - 17 ans - 1m69 - Humaine - Ma fiche de présentation

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Zack Arias

E.S.P.er

C'est une journée sombre et pluvieuse à Seikusu. Un homme avec un imperméable se fraie calmement un chemin à travers tous les salaryman qui tente de rapidement rentrer chez eux après une dur journée de travail. Malgré sa stature inhabituel pour le japonais moyen et son allure inquiétante, personne ne semble prêter attention à lui. Sa veste  d'un marron sombre, muni d'une capuche ample, dissimule aux yeux de tous un prédateur à la peau albinos.

Malgré une démarche assuré, l'homme est perdu dans ses pensées, le souvenir d'un échec douloureux refait surface. Celui du jour où il s'était fait copieusement casser la gueule par une bande de gorille à cause d'une jeune femme prétentieuse.

Une sorcière pour être plus exact. Et c'est cette dernière qui l'intéresse aujourd'hui.

Malgré le palmarès de Zack et son talent qui n'est clairement plus à prouver, le kidnappeur a connu un grand nombre d'échec dans sa vie. Il a fait plusieurs séjours en prison et sait qu'il y a des ennemis contre lequel il restera impuissant quelques soit les efforts ou les méthodes employés. L'albinos n'a jamais perçu une défaite comme quelques chose de négatif, c'est généralement pour lui un excellent moyen de rebondir et de finalement parvenir à ses fins. Mais il reste un humain avant tout, et c'est cette condition réaliste qui l'a toujours poussé à éviter le monde du surnaturel (alors qu'il est paradoxalement lui même détenteur d'un pouvoir).

Cependant, cette sorcière malgré tous ses pouvoirs et ses babioles n'est pas invincible. C'est juste une gamine né avec une cuillère en argent dans la bouche et doté d'arme qui échappe à la compréhension de Zack. Le savoir c'est le pouvoir, et c'était exactement ce dont il avait besoin pour se venger. Le hasard était une pute capricieuse et parfois surprenante, a croire quel cherche à le fois le malheur et le bonheur des gens. Et c'est ce même hasard qui avait fais croiser la route de ces deux là, içi à Seikusu. L'homme avait eu l'occasion d'apercevoir (sans être aperçu) la jeune fille à travers les vitres d'une voiture de luxe, et depuis ce jour là, elle était devenu sa proie. Cela serait non seulement l'occasion de progresser en capturant une sorcière, mais aussi de lui clouer son petit bec prétentieux en l'inondant de foutre.

Victoria Campbell, c'était le nom de sa cible qu'il avait obtenu en tirant les bonnes ficelles et en cassant les bonnes mâchoires. C'était la première étape vers la déchéance de la jeune femme, car lorsqu'on est riche, puissant, célèbre ou les trois à la fois, il existera toujours quelqu'un susceptible d'avoir des informations sur vous (connait tes amis, et encore mieux tes ennemis). Cette fois ci, Zack se dirigeait chez une occultiste local qui serait susceptible de lui apprendre quelques astuces afin de pouvoir affronter une sorcière. Si elle possède la moindre information, l'homme l'obtiendrai, que la femme le veuille ou non (et si elle est attrayante, alors Zack prendrait du bon temps avec elle, que cette dernière le veuille ou non).

Le chemin à pied était encore long à travers les dédales de la ville, temps que le kidnappeur mit à profit pour essayer de se remémorer ce fameux moment. Peut-être pourrait-il tirer de ses souvenirs quelques éléments qui pourraient s'avérer précieux pour l'avenir.


///// Flashback de quelques mois \\\\\
///// Quelque part dans la banlieue de Belfast, Irlande du Nord \\\\\


Cela faisait à peine quelques jours que Zack avait fini sa mission. Ce dernier était parvenu à capturer la sœur de quelqu'un d'important, avait joyeusement abusé d'elle et l'avait revendu contre une coquète somme d'argent. Il avait entendu parler d'une ville au Japon qui s'avéré être un véritable paradis pour tous les prédateurs sexuels et c'était mis en tête de s'y rendre afin de vérifier si les rumeurs était vrai.

L'immeuble miteux dans lequel logeait le kidnappeur avait remplis son rôle de planque temporaire jusqu'à présent. C'était un trois pièces tout ce qu'il y a de banal et déjà meublé lors de la location. Comme à son habitude, Zack avait choisis un logement déjà habité puis l'avait dépouillé de tous ses habitants.

Une fois le peu d'affaire en sa possession rangé dans une petite valise d'appoint, l'albinos se dirigea vers la sortie de l'appartement dans le but d'attraper son avions en direction du japon. C'est à ce moment où multitudes de petits indices firent leur apparitions pour prévenir l'homme d'une situation louche. Tout d'abord, ce fut les bruits de pas répétés d'un groupe de personnes indéterminés qui semblaient s'être arrêté pile devant chez lui. Puis un chuchotement incompréhensible provenant de la serrure. Enfin, un craquement assourdissant, la porte d'entrée vola en éclat laissant un groupe de casseur de jambe envahir le logement.

"On est v'nus t'chercher fils de pute !" Cria la première des brutes
"Viens te faire démolir le portrait enfoiré de ta mère !" Hurla un second
"BEUAAAARRR" vocifera le groupe

Heureusement pour lui, Zack portait sa combinaison et son harnais sur lui. Sa première réaction face à cette horde d'ennemi fut de jeter sa valise sur le visage du premier, puis, d'enfiler son masque. Ces lunettes de visions s'activèrent faisant apparaitre deux lueurs rouges menaçante mais qui n'ébranla pas le moins du monde la détermination des envahisseurs.

Dans un espaces aussi restreint et avec autant d'ennemis aussi musclés et armés cela aurait pu très facilement tourner en la défaveur de Zack. Mais il y avait deux choses qui allaient faire toute la différence dans cette affrontement : la voie des airs et le raz du sol. Afin de ne jamais être à porter de ses ennemis, le kidnappeur se servi de son environnement  et de ses câbles pour toujours être proche du plafond ou bien très proches du plancher de l'appartement. En alternant, glissade, appui sur le mobilier, des frappes et son arts des cordes, l'homme parvint progressivement à éliminer chacun de ses adversaires. L'un d'entre eux, inanimés, avait le nez méchamment fracturé à cause d'une descente du genoux du kidnappeur depuis le plafond. Un autre, chercher désespérément à respirer après qu'un câble cranté fut noué autour de sa gorge. Enfin d'eux autres casseur de jambes était lié l'un à l'autre par du fils de pêche dans une posture qui les empêchaient mutuellement de se relever.

Alors qu'environs la moitiés des agresseurs avaient été mis hors d'état de nuire, c'est le moment où Zack aperçut une jeune femme dans l'encadrement de porte. Il s'avait pas ce que cette dernière faisait là, mais ses habits bien trop élégant laissé penser que ce n'était pas une résidante de l'immeuble. Probablement celle qui avait payer ces loubards pour lui casser la gueule. Au départ elle ne semblait pas trop inquiète, accoudé contre la rambarde de l'escalier, mais au fur et a mesure de l'affrontement, l'agacement était apparu sur son visage.

Pour le moment, les gorilles s'en était plutôt bien tiré face à Zack. Ils étaient parvenu à le toucher quelques fois au court de l'affrontement, l'affaiblissant quelques peu. Mais l'adrénaline faisait son œuvre, et c'est dans un excès de confiance que le kidnappeur décida de laisser de côté les sbires pour se concentrer sur cette nouvelle proie. Cette dernière semblait marmonner quelques choses mais dans le chaos ambiant, il était impossible pour l'homme de comprendre quoi que ce soit. Zack effectua un violent coup de pied qui fit se plier de douleur un sbire qui lui faisait face. Profitant de l'occasion pour prendre appuis sur le dos de ce dernier, l'homme se rua soudainement vers la femme en tendant sa main droite vers elles.

Le temps c'était comme figé, il pouvait lire la surprise dans les yeux de la femme qui ne s'attendait visiblement pas à ce que Zack fonce aussi vite sur elle. Même avec son masque et ses lunettes lumineuses, cette mystérieuse inconnue pouvait parfaitement comprendre quel sort l'attendait si l'homme parvenait à l'attraper. Les pulsions de Zack était souvent si forte, que beaucoup de femme pouvait sentir le danger juste en se tenant proche de lui.
Cependant, malgré la menace qui lui faisait face, la jeune femme continuait de marmonner des paroles incompréhensibles, faisant preuve d'un stoïcisme surprenant.

Encore un ou deux centimètre et la poigne du prédateur se refermerait sur le cou de sa nouvelle proie.
Ta capture ne tiens qu'à un fils....
Proie capturée :

Victoria Campbell

Humain(e)

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    Froide et ambitieuse sorcière qui se fait passer pour une lycéenne.
Les gros bras de Donovan semblent étrangement avoir le dessous. La situation commence à m'agacer. Voire à me contrarier. Qu'ils subissent un revers cuisant m'indiffère. En revanche : mon argent est dans la poche de leur chef !  Il est hors de question que je reparte sans !

La situation à l'intérieur se précipite. L'ombre aux yeux rouges apparait dans l'encadrement de la porte. Il danse, vole au milieu des brutes et se précipite dans ma direction avec une détermination farouche et inquiétante. A t'il compris que j'étais magicienne et qu'il avait tout intérêt à me neutraliser en premier ... ?  La perspective m'effraye un instant !
Il ne faut pas être extralucide pour voir que la situation dérapait. Je me redresse, écarte les mains et commence à psalmodier dans une langue étrange et indéfinissable. Je prépare un sortilège qui devrait calmer les ardeurs de notre acrobate homicide. Mais il est rapide notre cascadeur, bien trop rapide ! D'une impulsion finale, il se projette dans ma direction. Je relève brutalement les mains, écarte les paumes et libère mon sortilège in extremis.

La magie accumulée explose littéralement. L'air autour de nous se dilate, crée une onde de choc. C'est un sortilège bâclé que j'ai lancé. La précipitation créé beaucoup de remous, je n'aime pas ça. Mais je n'ai pas eu le choix, je n'avais aucune envie de laisser s'approcher davantage !

Sitôt touché par mon sortilège, le masqué perd tout contrôle de ses membres. Il n'est plus qu'un jouet désarticulé, mais il n'est pas stoppé net. L'inertie fait son œuvre et nous nous percutons. Je tombe à la renverse, entrainée par le poids de l'homme.

Je me retrouve allongée sur le dos, le souffle coupé, écrasée par son poids, mon visage littéralement à un centimètre du sien. Une sensation de nausée me prend alors que l'odeur âcre de sa sueur me monte au nez, recouvrant les fragrances délicates avec lesquelles je me parfume. Le contact avec cet homme est écœurant ! Il pue la menace et la perversion. Il ne faut pas trois secondes avant que deux mains le saisissent par les épaules et ne le tirent en arrière. Ce furent trois secondes bien trop pénibles pour moi !

Décoiffée, souffle court, je me relève avec une dignité feinte alors que le malotru neutralisé est plaqué au sol et roué de coups par la bande. Mon sortilège l'a paralysé mais ne l'a pas privé de ses sens. Il doit voir et entendre tout ce qui se passe avec une douloureuse impuissance. De là où il est, il doit me voir clairement rabaisser le pan de ma robe qui était remonté un peu trop haut sur mes cuisses lors de la chute. Son oeil avisé et expert aura peut-être même pu apercevoir fugitivement les formes prometteuses d'une lingerie fine et délicate. Une observation très facilitée par sa position fort basse.

Je n'ai plus un seul regard pour le passage à tabac qui a lieu a côté de moi. Quelque chose roule à mes pieds et vient toucher le bout de ma bottine. Une dent.  Ah très bien. Elle ne "tapisse" pas le plancher mais elle semble pourtant annoncer l'heure de la paye. Donovan finit par approcher, le visage tuméfié. Il a visiblement pris une belle dérouillée avant que mon intervention ne renverse la situation. Un sourire de contentement éclaire sa gueule cassée.

- Ce fils de p*te était plus coriace qu'on l'imaginait. Tiens, voilà ta paie, magicienne.

Bref sourire de ma part alors que je prend l'enveloppe qu'il me tend.

- T'auras le droit à un supplément. Pour ... l'imprévu.

Un demi-sourire éclaire mon visage à cette mention. 

- Parfait. Je pouvais presque être reconnaissante à ma victime d'avoir vaillamment résisté. Je vous attend dans la voiture donc ... Le temps que vous régliez votre affaire.

Quoi qu'ils aient l'intention de lui faire, ca ne me regarde clairement pas. Les affaires, toujours les affaires. Le monde tourne comme ça. La seule chose qui m'importe maintenant c'est de pouvoir rentrer et reprendre ma vie tranquille.






Fin du Flashback
Retour au présent.
Ici et aujourd'hui à Seikusu.



Fausse-Lycéenne de Mishima le jour, occultiste la nuit, je profite ce soir d'un moment de tranquillité dans l'appartement payé grâce à ma rente. Beaucoup d'étudiants le trouveraient luxueux. Moi il me parait à peine digne de ma condition. L'heure du repas approche. J'ai comme tous les soirs commandé un plat traiteur livré à mon domicile puisqu'il est hors de question que de ma vie je touche à une casserole.

J'avais ôté mon uniforme de lycéenne pour revêtir un grand peignoir de soie noire. Luxueux, confortable et suffisamment habillé pour être décent lorsque j'ouvrirais au livreur qui ne devrait plus tarder. J'ai également pris soin de conserver mon maquillage. Question d'éthique personnelle : toujours se présenter sous son meilleur jour, même à un inconnu. J'aurais largement le temps de me démaquiller une fois certaine  de ne plus recevoir de visite.

 
Dans la salle de bain, l'eau coule. Elle remplit peu à peu la grande baignoire d'une belle eau moussante prête à accueillir mon corps fatigué. Au diable les économies d'eau. Le destin des ours polaires et des singes de bornéo m'indiffère.

La sonnette se fait entendre. Il était temps ! Je me dirige vers la porte. Vérifie par l'œilleton que l'homme derrière la porte est bel et bien en uniforme de livreur avant d'ôter le loquet et ouvrir, sans la moindre méfiance et le pourboire destiné au coursier déjà en main.
Victoria Campbell - 17 ans - 1m69 - Humaine - Ma fiche de présentation

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Zack Arias

E.S.P.er

Malgré tout ses efforts pour ce remémorer de ce moment là avec précision, s'était très difficile pour le kidnappeur de bien appréhender ce qui avait pu se produire. Il rejoua la scène dans sa tête plusieurs fois comme un enquêteur de police le ferait pour saisir le tout petit détail qui permettra de faire la lumière sur tout ça.

Tout allez pour le mieux lors de cette affrontement. Les gorilles étaient pour la plupart K.O, Zack avait subit très peu de dégâts, il était fatigué mais pas épuisé, la jeune femme ne semblait pas porter d'arme sur elle, ou avoir une carrure de combattante. Puis, alors que le prédateur était sur le point d'attraper sa proie, un flash de lumière assourdissant se manifesta, brouillant les sens de l'homme. L'instant d'après, il était par terre, entrain de se faire douloureusement tabasser par les quelques casseurs de jambes encore en état de se battre. Ces derniers purent exprimer tout leur talent, chaque coup dans le ventre coupa affreusement la respiration de l'agresseur, ses membres était frappé de la même façon qu'un cuisinier qui tape sur un steak pour attendrir la viande. Son sang éclaboussait un peu plus le sol de seconde en seconde, la tête lui tournait et une profonde nausée faisait son apparition.

Cependant, même après un tel traitement, le cerveau de Zack continuait à fonctionner à plein régime. La première idée qui lui vînt à ce moment là, c'était que la fille était détentrice d'un pouvoir comme lui. Peut-être la capacité de produire des explosions par la parole. Si c'était exactement, le cas, l'homme ne serait plus en état de sentir la douleur que lui infligeait les sbires. Manque de puissance ? Manque de maitrise de son pouvoir ? Possible. Mais vu l'intensité de la lumière et la perte de contrôle de son corps, ses yeux et ses temps auraient dû exploser.
Son regard se porta sur l'entrejambe de la jeune femme. Il pu apercevoir de façon fugace, une fine broderie sous la jupe de cette dernière, probablement un objet de désir que l'homme recherchait avidement chez une dame.

"Huum... Bon goût la petite. C'est décidé, tu seras ma proie". Pensa-t'il alors qu'un sbire muni d'une masse de chantier s'apprêtait à lui abattre son arme sur le genoux de l'homme.

Mais pas aujourd'hui !

Dans un sursaut d'énergie, Zack puissa dans ses forces pour tenter d'ignorer la douleur et projeta tout son corps vers l'arrière comme s'il voulait faire roulade en sens inverse. Profitant de l'élan ainsi que de l'effet de surprise, sa jambe se tendis au maximum afin de pouvoir faucher la mâchoire de la brute de façon foudroyante. Le choc fut suffisamment puissant pour faire voler une dent dans le couloir de l'immeuble. Désormais en position accroupi sur le sol. Le kidnappeur ignora les cris de son corps et se précipita vers la fenêtre la plus proche. Nouant un nœud avec avec son câble d'escalade comme seul ses doigts agiles savaient le faire, l'homme se projeta de toute ses forces afin de passer à travers la vitre, la brisant sur le coup. Ses bras agissait par automatismes grâce à des années d'expérience à manipuler des fils et a fuir la police. Zack lança la boucle nouvellement formé pour que la corde aille s'accrocher autour d'une gouttière, lui permettant ainsi de se balancer jusqu'à une ruelle proche où il serait temporairement en sécurité.

Tant pis pour la valise, le Japon allait être son lieu d'exil en attendant qu'il trouve une solution contre cette fille.

///// Fin du flashback \\\\\
///// Seikusu, cabinet d'occultisme "Kuroi hoshi" \\\\\

On pouvait entendre la pluie abondante à l'extérieur du cabinet, le chaos régnait dans toute la pièce. Des meubles avait été renversé, du verre avait été brisé et plusieurs livres et parchemin était éparpillé sur le sol. Une femme agé été recroquevillé dans un coin, terrifié par l'ombre qui lui faisait face.

"Merci pour les infos, même si tu n'as fait que me confirmer des choses que je savais déjà". Dit Zack sur un ton méprisant avant d'ajouter :"Estime toi heureuse d'être trop vieille pour me satisfaire".

Il y a un élément qui avait échappé à l'homme durant tous ces mois à se remémorer ce souvenir, et c'est ce dernier qui lui avait permis de comprendre qu'il avait eu affaire à de la sorcellerie :

L'odeur de souffre.

Cela peut sembler cliché, mais l'expression "il n'y a pas de fumée sans feu' est souvent à propos. Lorsque Zack c'était fait tabasser par les brutes il y a des mois de cela, ce n'était pas un élément qui lui avait sauté aux yeux. Mais lorsque le kidnappeur le réalisa, tout devînt plus clair. C'est cette information qui devînt le fil d'Ariane qui allait le mener vers sa proie.

Alors que l'homme s'apprêtait à quitter la pièce, la veille femme apeuré pris la parole.

"Tes yeux... J'ai vu dans tes yeux, tant de tristesses, de souffrances, de vices... mais ce ne sont pas les tiennes. J'entend des voix suppliante... émanant de ton corps... qui me mettent en garde contre toi. Est-tu... Le... Le fléau des sorcières ?" Demanda t'elle d'une voix emplis de crainte.

"Non, je suis le fléau des femmes"répondit en tournant à peine la tête vers l'occultiste.

La journée était passé, il faisait désormais nuit et la pluie c'était un peu calmé. L'enquête mené jusque là, en amont de cette journée avait portée ses fruits. Etant lycéenne, l'homme pu obtenir l'adresse de Victoria en s'infiltrant dans l'établissement scolaire. Puis, pour déterminer dans quel appartement elle habitait, ce fut très simple. L'immeuble était haut de gamme avec des logements réservé à une classe fortuné, vivant seule il y avait de forte probabilité qu'elle ne se fasse pas à manger elle même (ça serait dégradant pour une personne de haute naissance comme elle). Elle devait donc recourir à un traiteur pour lui livrer ses repas tous les jours. Et effectivement, cela ne loupa pas, en suivant un livreur il aperçu la jeune femme dans l'encadrement d'une porte.

Premier point à prendre en compte : Pour lancer un sort, il est fort probable qu'elle doivent voir sa cible, OU, tout du moins, établir précisément la personne qui va subir les effets du dit sort. Afin de se donner un avantage, Zack prépara son piège en se dirigeant vers le compteur électrique. Sachant désormais dans quel appartement la sorcière résidait, il sabota le boitier afin de couper le courant dans le domicile. Eclairé seulement par les lumières de la ville, il serait bien plus difficile pour Victoria de viser le prédateur avec sa magie. Le spectacle allait pouvoir commencer.

L'homme se dirigea vers l'appartement, la jeune femme devait être entrain de se demander ce qui se passait. Ce derniers sorti de sa besace une petite capsule d'acide, qu'il déversa sur la serrure afin de la faire fondre. Un léger crépitement suivi d'un petit sifflement sonore accompagna une odeur désagréable à l'endroit où le liquide avait été versé, mais cela lui permis de pénétrer dans l'appartement en tout discrétion. Zack enfila son masque et activa ses lunettes qui émirent deux lueurs rouges.

Le domicile était plongé dans le noir, seul le contour de certain meuble et mur était apparent. Il ne fallu pas longtemps au kidnappeur pour trouver sa proie. Une lueur émanait près de la jeune femme, éclairant très sensiblement les environs de cette dernière. De là où se trouvait Zack, c'était impossible de déterminer la nature de cette lumière, si c'était un téléphone, une lampe torche, ou autre chose. Cela n'avait aucune espèce d'importance.

Avec une science du timing qui ne peut être acquise qu'avec l'expérience, et un déplacement léger digne d'un puma, l'homme se déplaça calmement jusqu'à sa victime. Puis, saisissant l'occasion, se présenta devant de manière aussi soudaine qu'inattendu.

"Salut toi. Comment on se retrouve"dit-il sur un ton grinçant.

Victoria n'eut pas le temps d'exprimer sa surprise qu'un violent revers de la main alla la frapper au visage, faisant disparaitre la lumière qui se trouvait à proximité dans la foulée. Par mesure de précaution, il fit un pas de côté pour retourner dans l'obscurité, sans pour autant s'éloigner d'elle. Zack profita de l'occasion pour prendre le temps d'analyser la situation. Il ne voulait pas commettre les mêmes erreurs que par le passé. La sorcière tournait dans tous les sens pour essayer de voir son ennemi, lançant des menaces envers lui. Cette dernière devait avoir vu des choses bien effrayante dans sa vie car malgré le début de peur qui pouvait se lire sur son visage, elle parvenait à garder plus ou moins son calme face à cette situation.

Deuxième point à prendre en compte : Elle doit prononcer la formule qui lui permet de lancer ses sorts. Zack n'y connaissait drastiquement rien en incantation, les mécaniques éthériques lui était totalement opaque. En revanche, l'homme avait compris que chaque fois qu'il ne saisissait pas les propos de Victoria, c'était que cette dernière préparé un sale coup. C'est pour ça que lorsque ce phénomène se produisit, une violente frappe au visage alla cueillir la sorcière, la faisant taire et tomber au sol par la même occasion. Cependant, le prédateur ne profita pas de cette occasion pour se jeter sur sa proie. Il attendit sagement dans l'ombre, la laissant se relever.

"Cela faisait longtemps que j'attendais ce moment." Dit-il avant d'ajouter :"J'ai beaucoup pensé à toi."

Il ne fit pas attention à l'éventuelle réponse qu'elle put lui donner. Zack était bien trop concentré sur la voix de Victoria afin de la contrer dès qu'elle tentait de manifester un sort. Lorsque cela arriva, ce fut cette fois le plexus solaire qui fut frappé, coupant net la respiration de la sorcière. Mais encore une fois, l'homme laissa la jeune femme se relever.

Et bien alors ? Tu ne me fais plus l'étalage de tes pouvoirs ? Où se trouve ta précieuse magie ?

A chaque fois que la sorcière était mise à terre, il devenait plus dur pour elle de se relever. Ce numéro se répéta plusieurs fois, jusqu'à ce que le souffle de cette dernière devienne prononcé et haletant, signe d'un profond épuisement.

"Permet moi d'être honnête avec toi et de te faire part de mes envies. Ce soir, je vais te baiser comme si tu étais la dernière des trainés.".

Les deux lueurs rouges des lunettes de Zack apparurent devant la jeune femme. Révélant volontairement sa position à cette dernière pour lui infliger la peur en son être. Il ne sut jamais si c'était la terreur, la colère ou la logique qui la poussa à agir, mais Victoria tenta dans un acte désespéré de s'enfuir maladroitement dans l'obscurité. Tentative vaine face à un adversaire aux capacités physiques supérieur et capable de se mouvoir dans le noir grâce à son matériel. Zack agrippa les cheveux de la sorcière et la tira violemment en arrière. Puis, en la prenant par les hanches, le prédateur souleva son corps frêle pour la plaquer contre la table du salon, le ventre tourner vers le plafond. Se plaçant entre les jambes de cette dernière, il profita de sa position avantageuse pour attraper les joues de Victoria avec sa main gauche. Son pouce et son index, agissant comme un étau, presser suffisant fort pour la forcer à ouvrir douloureusement la bouche. Elle tentait de se débattre, de donner des coups ou de pousser des gémissements de douleur mais rien ne semblait être capable de stopper le kidnappeur. Sa main droite fouilla dans sa besace un court instant, puis, en utilisant la lueur émises par ses lunettes il montra calmement la forme ronde d'un bâillon boule. Zack voulait qu'elle comprenne bien ce qui allait lui arriver.

Hé regarde le cadeau que je t'ai apporté ?

Victoria gigota la tête comme elle pu, mais ce fut avec un geste lent et inéluctable, que le prédateur enfonça le bâillon dans la bouche de la jeune femme, poussant autoritairement avec le pouce pour bien s'assurer qu'elle ne le recrache pas tout de suite, lui laissant le temps de le fixer définitivement avec la lanière à l'arrière du crâne de la lycéenne. Cette dernière tenta à plusieurs reprise d'enlever le bâillon, mais comme l'homme n'avait plus besoin de lui tenir la bouche, c'était bien plus simple pour lui de la maitriser.

Voyons voir la marchandise. Annonça-il avec entrain, on pourrait presque croire qu'il était entrain de fredonner.

Profitant d'un moment où Victoria mis ses mains au niveau de des lanières en cuir, Zack ouvrir en grand le peignoir de la jeune femme pour révéler des mignonnes petites formes. L'éclairage de ville permettait à peine de voir la lingerie qu'elle portait, mais c'était amplement suffisant pour comprendre que c'était au goût de Zack. Une forte érection se manifesta à travers la combinaison de ce dernier, et il n'hésita pas à se frotter avec contre l'entrejambe de la sorcière.

Le kidnappeur retira son masque et le mis dans sa besace. Ensuite, il attrapa les poignets de Victoria avec ses mains, les plaquant fermement contre la table comme le ferait des étaux. Il allait l'attacher comme il se doit mais avant il voulu plonger son regard dans celui de la jeune, approchant son visage au plus près, comme s'il voulait l'embrasser.

"REGARDE MOI !!!" Hurla t'il avec une voix autoritaire qui résonna dans tout l'appartement :"Est-ce que toi aussi tu vois dans mes yeux, tout le mal que je vais te faire ?"

Ne quittant pas la jeune femme des yeux afin de savourer pleinement toutes les émotions sur le visage de Victoria (étant incapable de parler), l'homme tira un câble de l'une de ses bobines pour se préparer à la suite des évènements.
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Victoria Campbell

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- Une coupure de courant. Voyez vous cela.  Moi qui pensais le Japon civilisé ...


Mon ton est las, désinvolte. Ce contretemps n'est pas bien grave. Un bain pris à la bougie, ca possède un certain charme n'est-ce pas ? Et des bougies, ce n'est pas ce qui manque dans le domicile d'une ritualiste, quand bien même son laboratoire de travail serait au sous-sol. Il ne me faut quelques quelques minutes pour garnir le tour de ma baignoire et veiller à éclairer au moins chaque pièce avec une petite flammèche.

J'en suis à poser la dernière lumière dans un bougeoir du salon quand soudain, une silhouette sort des ténèbres et apparait devant moi.

- Qu'est-ce que vous fichez l... ?

Une gifle aussi soudaine que brutale vient m'interrompre. Ma flamme est soufflée, les ténèbres tombent sur nous. Privée de ma vue mais pas de mon sang froid, je me remets de ma surprise et fais immédiatement appel à mon pouvoir pour déclencher sur l'intrus une rafale de sortilège de défense.

- Vous ne savez pas sur qui vous êtes tombé !

Cela fait longtemps que je n'ai plus peur du noir. J'ai fait face aux créatures les plus ténébreuses et mauvaises qui peuplent la création, j'ai plongé mes yeux dans le vide abyssal de leurs regards de braise. Ce n'est pas un acrobate de pacotille qui va me réduire à l'impuissance !

Et pourtant ... la suite vous la connaissez. J'ai beau incanter, recevoir les coups, me relever, persévérer. Ma lutte est vaine et je finis rudement plaquée sur le bois de ma propre table. Epuisée par la lutte, soumise par la force physique de mon agresseur. Je suis en fin de compte baillonnée. Je veux crier, me débattre. Des larmes d'impuissance roulent sur mes joues.

Il a promis de me baiser. De me prendre là maintenant, chez moi ? Non ! Il ne va pas faire CA quand même ?!  PAS CA ! Je peux négocier, lui offrir du pouvoir ! De l'argent ! Une aide inestimable ! TOUT ! Mais pour ça, il me faut pouvoir lui dire. J'ouvre des yeux fous et essaye de crier. Je tente d'articuler quelque chose. Lui dire "Attendez ! Je peux vous offrir quelque chose !" Mais c'est en vain, seuls des sons étouffés et inarticulés sortent de ma gorge.

Je suis déjà à sa merci. Et il le sait. Joueur, patient, il ouvre mon peignoir. Mon corps de ballerine est offert à son regard. La lingerie que je porte, en fines dentelles transparente ne cache pour ainsi dire rien. Ni mes seins menus et ronds dont les aréoles forment deux petites rondelles sombres sous mon soutien-gorge sans armature. Ni mon sexe délicat, épilé de près, à peine surmonté d'un petit triangle de poils blonds tondus à ras.

J'essaye de me contorsionner, libérer mes mains, échapper à son étreinte, arracher mon bâillon. Mais rien n'y fait. Je suis jambe écartées, allongée sous lui. Son bassin est au contact du mien. Plus je gesticule, plus je sens l'effrayant effet que je lui fais à travers les minces couches de tissu qui séparent son intimité de la mienne. Et il en joue. Il s'en amuse. Il se frotte à moi. Je peux sentir avec horreur toute l'étendue de son désir, immédiat et brutal.

Conscient d'avoir gagné la partie, il ôte son masque pour se pencher sur mon visage et me narguer. Bien sûr que je vois quel mal il va me faire ! Je tremble, ma vision est brouillée de larmes. Dans un geste qui pourrait ressembler à un coup de boule ou à une tentative désespérée de fuir, je relève soudainement la tête. J'essaye de lever mon buste, de le mouvoir, de m'échapper, de m'appuyer contre le bois de la table pour me donner l'impulsion dont j'ai besoin pour l'écarter de moi et fuir. Mais la tentative est finalement sans conséquence. La force de l'homme est telle que mon geste n'a pour effet que de me faire lever la tête. Nos lèvres entrent en contact un bref instant. La sensation m'arrache un frisson de dégoût, alors que lui se répand en un rire moqueur.

Le jeu ne fait que commencer pour lui. J'entend le bruit d'un câble qui se déroule. J'ai beau me débattre, mes bras sont ramenés en arrière, attachés. Mon peignoir lamentablement jeté de côté. Toute résistance est désormais vouée à l'échec. Je me sens brisée, il n'y a plus rien que je ne puisse faire pour empêcher cet homme de faire de moi exactement ce qu'il veut. Cet aveu d'impuissance résonne en moi comme un abandon, je cesse de me débattre et de m'épuiser en vain. Je reste là, tremblante d'un mélange de honte et de rage, les jambes écartées devant lui, offerte comme la dernière des catins.

Il a maintenant tout le loisir de poser ses mains sur moi. Il ne se gêne pas. Ma poitrine est prise d'assaut, la dentelle fine n'offre qu'un rempart dérisoire. Mes seins fermes sont palpés, pincés, soupesés. Je frissonne, le contact me révulse et ce n'est pourtant que le début car bientôt les mains invasives descendent. Le délicat tissu de ma culotte est écarté pour livrer le passage à des doigts rudes qui forcent un passage douloureux dans mon intimité. J'essaye de me cambrer, de serrer les jambes. En pure perte. Il fouille mon intimité avec autorité, il me fait mal. Ses va et vient m'humilient et me donnent envie de hurler. Et moi je n'ai que le loisir de me tortiller sous ses assauts, comme un insecte pris dans une toile.
Victoria Campbell - 17 ans - 1m69 - Humaine - Ma fiche de présentation

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Zack Arias

E.S.P.er

Le meilleurs moyen de décrire ce qui était entrain de se produire, était de comparer la scène au repas primaire d'un prédateur qui dévorait sa proie. La vicieuse panthère se lécha les babines avant de se repaitre du corps de la jolie gazelle.

Le festin avait déjà bien commencé, Zack était entrain de jouer avec sa nourriture avec beaucoup de sadisme et un soupçon d'immaturité. Son enthousiasme pouvait physiquement se sentir, la jeune femme qui lui faisait face était ravissante et bien apprêté, un vrai régal pour les yeux. Cette dernière, toujours contre la table dans une position désagréable car ses mains étaient attaché dans le dos, semblait s'être résolu au sort qui allait lui arriver.
Après avoir titillé son corps, l'homme arracha d'un coup le soutien-gorge noir de sa victime, le sous-vêtement était si fin et léger, qu'il ne lui avait fallu aucun effort pour l'arracher.

"Tu pourrais avoir un certain succès comme pute de luxe." Dit le kidnappeur en admirant le corps de Victoria. C'est alors qu'une idée germa soudainement dans son esprit :"Ben tiens en voilà une bonne idée".

Plongeant la main dans l'une de ses poches pour en ressortir un téléphone, l'homme pianota dessus l'espace d'un instant et se positionna afin de placer l'objectif sur la sorcière. La jeune femme qui semblait s'être calmé depuis un petit moment, se remit à gémir et à gesticuler de désapprobation. Que cela soit une vaine tentative pour se dégager et ainsi s'échapper, ou bien juste par peur des conséquences, cela n'avait aucune importance. Un flash de lumière éclaira brièvement le salon tel un éclair dans la pénombre, éblouissant l'espace d'un instant Zack. Puis, le corps pratiquement nu de Victoria apparu sur l'écran, on pouvait y distinguer son visage, déformé par l'effroi et les larmes. Cette photo le fit bander encore plus vigoureusement, au point que la sorcière pouvait le sentir pulser entre ses jambes, même à travers la combinaisons.

"Huuum pas mal... Je pourrai envoyer ça à une connaissance, et dans l'heure qui suivrait tu serais entrain d'offrir ton cul dans les rades les plus crades de la ville. Tu t'es déjà fait tringler par un clodo ?" Il marqua un temps mort, espérant la voir se débattre encore plus fort et avec des yeux encore plus paniqué après avoir entendu ses propos. Il se ravisa finalement :"Mais ça serai un peu comme donner de la confiture au cochon".

Zack posa son téléphone sur le côté de la table et repris son repas. Sa bouche alla sucer le téton gauche avec vigueur, tirant fort dessus comme pour en extraire du lait. Il lui arrivait par moment de jouer avec en le faisant glisser entre ses deux canines, mordillant dessus sans jamais croquer dedans. Pendant ce temps, la main droite du kidnappeur explorait sauvagement l'antre des désirs de Victoria, ne ressortant que pour pincer le bouton des plaisirs de cette dernière. La langue du prédateur était curieuse, glissant sur tout le corps de sa proie, des pieds jusqu'aux aisselles, désireuse de tout connaitre du corps qui se présentait à lui. Ses actes n'avaient pas pour but de stimuler sa victime. En général, Zack provoque un tel rejet de la part de la gente féminine, qu'elles sont tout simplement incapable de mouiller même en étant consentante. Il arrivait malgré tout en de très rare occasion, que certaines soit profondément masochiste et prennent du plaisir à se faire agresser. Cependant, cela n'a pas la moindre importance aux yeux du kidnappeur, pour qui seul son propre plaisir importait.

Après s'être bien imprégné de la saveur de Victoria, l'homme repositionna cette dernière pour la plaquer à nouveau sur la table, mais cette fois ci, de sorte à ce que sa poitrine soit écrasé contre le meuble en bois noble. Le postérieur ainsi exposé, la vue sur ses magnifiques fesses souligné par ce tanga noir était tout simplement magnifique à ses yeux.

"Aaaaah. C'est pour des moments comme ça que je me lève le matin."

Un son de braguette se fit entendre, puis le membre palpitant de l'homme se pressa à nouveau contre l'entrejambe de la sorcière, dégoulinant presque de plaisir malsain. Ce dernier était d'une taille tout à fait acceptable sans pour autant être massif. Des veines pourpre et boursoufflé recouvrait le membre viril, qui par contraste avec sa peau albinos, le rendait peu esthétique (repoussant diraient certaines). Ses mains allèrent caresser sensiblement le postérieur de Victoria, le griffant très légèrement de satisfaction par moment. Par moment, le pouce droit de Zack appuyait sur le tissus du tanga là où se trouvais le petit anus de sa victime. Il était persuadé qu'elle devait être particulièrement étroite à cet endroit, le cri de douleur que pousserai la jeune femme serait sûrement effroyable et délicieux s'il venait à rentrer là dedans.

Le kidnappeur saisi le sous-vêtement et l'écarta en faisant pression avec les pouces pour le déchirer en son centre. Il pourrait ainsi la baiser sans lui enlever, tout en continuant de profiter de la vue. Maintenant que le dernier rempart entre lui et elle était tombé, un gland palpitant se présenta à l'entrée de ce vagin magnifiquement rose qui s'offrait à lui.
C'est alors, dans un puissant coup de hanche, que Zack pénétra sa victime avec son chibre vigoureux tel une lance brulante. Il resta un temps sans bouger, profitant de cet endroit chaud, humide et étroit dans lequel il se trouvait, savourant par la même occasion les petits couinements de Victoria. Si cette dernière était entrain de mouiller, tant mieux pour elle, si ce n'était pas le cas, tant mieux pour lui. La douleur provoqué par un rapport non-consenti, était aussi délectable que les gémissements d'une chienne soumise.

Progressivement, l'homme commença à se mouvoir, reculant très lentement ses hanches dans un premier temps jusqu'à pratiquement se retirer, puis s'avançant à la même vitesse pour se régaler de chaque petites sensations produite par le corps de la jeune femme. A chaque coup de rein porté, le mouvement se faisait sensiblement plus rapide, plus puissant. Le claquement vulgaire produit par le corps de Zack contre celui de Victoria commençait à résonner dans la pièce, la table quand à elle, tremblait au rythme de la respiration étouffé de la victime.

"Je pense que je vais reprendre un souvenir" annonça l'homme en prenant son téléphone avec sa main droite qui était resté sur un coin de table.

Sortant ce dernier de son état de veille, Zack agrippa fermement les cheveux blond de Victoria afin de maintenir la joue gauche de cette dernière contre la table, mais la tête suffisamment tourné pour qu'on puisse voir une partie de son visage sur la vidéo.

"Hum... Voilà parfait ! Réjoui-toi, tu es entrain de jouer dans ton tout premier porno." Dit-il.

Après plusieurs longues minutes de tournage, mêlant gros plan sur la pénétration soutenu et plan large pour admirer la scène dans son ensemble, l'homme remit son téléphone en veille et le rangea dans sa poche.

"Bon allez, je passe la seconde". Annonça t'il.

Suite à cela, un violent coup de son membre viril dans la fragile intimité de sa victime, fit reculer bruyamment la table en bois de quelques millimètres.
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    Froide et ambitieuse sorcière qui se fait passer pour une lycéenne.
Ses jeux malsains, ses humiliation me font frissonner. Sentir sa langue écœurante sur moi me laisse une impression d'effroyable saleté. Qu'il rajoute à cela les prises de vue avec ton téléphone n'est qu'une goutte d'eau comparée à cette salive qui mouille ma peau.

J'ai bien essayé de me débattre, j'ai même poussé le vice jusqu'à essayer de lui assener un coup de pied au menton lorsqu'il a voulu embrasser mes pieds. Mais il s'y attendait et ca ne m'a valu que de recevoir une nouvelle fessée retentissante et incroyablement infantilisante.

Il finit par me faire basculer sur le ventre. Pitoyable  petite poupée entre ses mains, je ne peux rien faire d'autre que de me laisser faire. J'ai encore l'espoir que tout s'arrête, qu'il stoppe et prononce enfin une exigence raisonnable. Dans l'état où je suis j'aurais été prête à TOUT lui accorder ! Mes grimoires, mon laboratoire, ma magie offerte à ses pieds pour lui servir. 

Mais bientôt j'entends la braguette s'ouvrir derrière moi. Mon dernier vêtement est déchiré. Il pose ses mains sur mes hanches menues et je le sens prendre position, prêt à commettre l'irréparable. Non non je ne veux pas !

Au moment il se plante en moi, je me cambre et pousse un cri inarticulé, yeux écarquillés au dessus de mon bâillon. Ecrasée par son poids, mains liées dans mon dos, je n'ai eu aucun moyen de me défendre.

Le temps se fige. Mon tortionnaire s'arrête de bouger après cette première poussée. Il savoure ce moment d'humiliation et d'effroi. J'ai le souffle coupé, priant intérieurement pour que tout cesse. Pour que je me réveille  après un cauchemar particulièrement odieux.

Et lentement ... il commence à bouger en moi. D'abord de lents mouvements amples du bassin. Du bout du gland jusqu'à la base de la verge il me lime. Je me contracte, je me crispe. Ces premiers instants sont douloureux.
Et à mesure qu'il accélère, que mes chairs sont rudement prises d'assaut et écartées, la douleur reflue. Tout aussi désagréables et pénibles pour moi, ses assauts deviennent pourtant plus faciles. Une écœurante moiteur m'envahit alors que les fluides corporels se mélangent. Quelque chose coule entre mes cuisses, ca me donne la nausée.

Je pousse un cri à chaque coup de boutoir, mes mains se serrent. M'entendre gémir semble redoubler son ardeur. Ses assauts se font vigoureux, son bassin claque sur mes fesses pâles et le son de nos ébats résonne dans l'appartement vide. Ses violents coups de bassin m'écrasent contre l'arrête vive du plateau de la table. Chaque coup de rein asséné, en plus de creuser un sillon douloureux dans mes chairs, m'écrase davantage les cuisses sur la bordure saillante.

Et pendant que je subis ces outrages, c'est à peine si je me rend compte de ce qu'il dit. De l'appareil video qui immortalise ces instants. Mon visage innondé de larme, crispé. Mon sexe pris d'assaut filmé en gros plan alors que le membre palpitant glisse en lui et qu'une rosée discrète en perle.

Et sur un ultime assaut, après avoir annoncé "passer la seconde", le voilà qui assène un coup final, bruyant qui m'arrache un cri. La table basse, fragile, voit deux de ses pieds se tordre et se briser. Entrainée par le meuble qui bascule dans un craquement, je me retrouve jetée au sol.

La chute m'offre un répits provisoire. Mains le dos, jambes douloureuses, ma joue repose sur le tapis. Couverte de sueur et de fluides écœurants. Ma fente, a peine recouverte par la dentelle déchirée brille, d'une moiteur qui me fait honte.

Est-ce que c'est fini, ca y est ? La fin de mon supplice ... ? Non ... évidemment que ca ne l'est pas. Je devrais sans doutes tenter de me relever. De m'enfuir. De lui compliquer la tâche. Mais dans le fond à quoi bon ? Il n'y a plus à lutter. Juste à endurer.

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Zack Arias

E.S.P.er

C'est dans un bruyant craquement que la table en bois céda devant la violence de l'acte perpétré par le criminel. Déséquilibré et tombant sur le sol, ce dernier se réceptionna sur les mains et se laissa rouler sur le dos, au côté de Victoria. La situation semblait faire rire d'un éclat malsain Zack qui semblait le prendre avec humour.

Hahaha ! Il semblerait que j'y sois aller trop fort. C'était vraiment de la camelote cette table. Fait l'effort d'en prendre une avec des pieds solide la prochaine fois que tu te fais tringler. Suggéra-t'il.

Sa "partenaire" ne semblais pas partager son point de vue, devant le peu de réaction de cette dernière, il se releva et attrapa le pied droit de Victoria.

"Toujours là ? Si tu crois que c'est fini tu te trompe. Je continuerai à te baiser même si tu venais à t'évanouir." Déclara l'homme.

Trainant la jeune femme jusqu'à la porte fenêtre la plus proche, une fois atteinte, il releva Victoria sans effort et plaqua sa poitrine contre le verre froid.

J'espère que le verre est de meilleur qualité que ta table. Cela serait dommage d'abimer cette jolie peau que tu as là.

Suite à ses paroles, et sans prévenir, l'homme pénétra dans la sorcière. Le coup était moins puissant que le précédent, mais il restait particulièrement vicieux et atroce pour une personne non-consentante. Les coups de hanches se succédèrent à un rythme particulièrement soutenu, provocant un inquiétant mais très léger couinement de la part de l'armature de la porte fenêtre. Zack ne savait pas si c'était la peur que la vitre se brise, ou si c'était la peur d'être exposé en publique, mais la jeune femme semblait tenter de se reculer de la fenêtre. Cela exerçait en effet moins de pression sur le cadre, mais la faisait s'enfoncer d'avantage sur le chibre de l'homme pour son plus grand plaisir. La silhouette de cette dernière était éclairé par les lueurs de la ville, lui donnant un air de danseuse de cabaret des plus agréables (et peut être dégradant pour elle qui sait ?). Le kidnappeur fessa le mignon petit popotin de sa victime avec autorité, rajoutant un nouveau son à la symphonie de souffrance déjà présente.

Allez gémis ma belle ! Il y a toujours l'espoir que quelqu'un t'entende et viennent à ton secours... Ou alors qu'un chaland vienne se branler en nous regardant.

Le pilonnage de la douce intimité de la lycéenne ne semblait pas connaitre de fin, souillant un peu plus ce corps qui ne semblait pas rompu à une activité sexuelle intense. Cette pénétration répété produit un son particulièrement vulgaire et qui ravissait les oreilles de l'homme. Ce dernier haletait bruyamment, soufflant son halène fétide près de l'oreille de la jeune fille, bavant abondamment sur une épaule douce et soyeuse. Nous avions là un sordide spectacle : la belle et la bête s'accouplant au clair de lune.

"*Haaa*... Finalement, je réalise que ... *Humpf !*... tu n'es pas plus dangereuse qu'une lycéenne lambda." Dit-il. "Tant que je suis a tes côtés, il y'a peu de chance que tu puisses prononcer la moindre formule"

Sur ces mots, Zack se retira enfin de la sorcière, son membre viril encore luisant et palpitant, semblait proche de l'explosion. Victoria se laissa retomber sur les genoux, visage contre la vitre, éprouvé par le sévices qu'elle venait de subir. Sans gestes brusques, l'homme désangla le bâillon, offrant ainsi l'occasion à sa victime de toussoter et de s'humidifier la gorge. Avoir le souffle entravé par cette boule noire ainsi que l'incapacité de déglutir (forçant ainsi la personne à baver abondamment) pouvait provoquer des irritations et des gènes sur le long terme. Zack l'a toisa de haut, son chibre vigoureusement relevé était avide de pouvoir profaner sa victime.

Depuis qu'on s'était croisé en Irlande, je nourrissais un désir simple mais que je fantasmais de pouvoir partager avec toi. Il marqua alors un temps de pause avant de reprendre. "Intelligente comme tu es, je suppose que tu as déjà compris que j'ai à ma disposition un autre bâillon pour te faire fermer ta belle gueule."

Tirant sur l'une des bobines à son bras, un très léger cliquetis se fit entendre. Semblable à la chaine d'une tronçonneuse, un câble cranté fut tiré par l'homme et placer sous la forme d'une boucle très ample autour du coup de la sorcière. Il forma ainsi une sorte de collier de ronce qui n'était pas assez tendu pour pouvoir blesser cette dernière. L'autre extrémité du fil était enroulé autour du majeur droit du kidnappeur.

Pour notre bien être à tous les deux, il y a intérêt à ce que je ne sente pas tes dents c'est clair ?

Probablement effrayé par la situation mais parfaitement lucide sur ce qui allait se produit, elle tenta maladroitement de manifester son rejet, de négocier, de supplier. Mais Zack resta complètement hermétique aux propos de la sorcière qui semblait pris d'une panique incontrôlable et qui semblait être sur le point de pleurer abondamment. Soudainement, l'homme attrapa le nez de sa victime en le prenant en étau entre son index et pouce gauche, il força ainsi la jeune femme à lever sensiblement la tête. Et avec sa main droite, il enfonça d'un coup sa colonne de chair dans la petite bouche de Victoria, interrompant ainsi la lycéenne au beau milieu d'une supplique larmoyante.

"payback time, bitch" Dit l'homme avec un sourire affreusement satisfait. "Rassure toi, ça sera pas long".

Zack avait déjà parcouru le plus long du chemin avant de s'immiscer dans la bouche de la jeune femme, mais il fit cependant l'effort de se contrôler un peu. Il voulait profiter un peu de l'instant présent, de cette douce vengeance qui avait une saveur particulièrement satisfaisante. Savourant chaque gémissements de la jeune fille, chaque pleurs, chaque mouvements de tête pour tenter d'extirper ce pénis intrusif de sa bouche. Mais surtout, le désespoir et l'hystérie grandissante sur le visage de Victoria en réalisant de manière progressive et inéluctable, que sa bouche va se retrouver souiller avec une substance qu'elle refuse catégoriquement d'avoir en elle.

Pourtant cela arrive, les mouvements de va et vient dans la bouche de la sorcière augmente d'avantage la vigueur et les palpitations du chibre. Elle n'est peut être pas experte, mais elle peut clairement sentir que son cauchemar arrive. C'est alors dans un grand râle de soulagement, agrippant la chevelure soyeuse de la lycéenne avec sa main gauche pour bien la maintenir, que Zack inonda de son sperme abject la délicate bouche de sa victime, éjaculant abondamment au point de faire très sensiblement gonfler les joues de la jeune femme. Pinçant à nouveau le petit nez qui lui faisait face avec sa main droite cette fois-ci, l'homme maintînt cette position un moment, bien après avoir fini de se vider les couilles. Il l'a força ainsi à avaler l'intégralité de son foutre si cette dernière souhaitait pouvoir respirer. Il ne fallut pas longtemps pour que Victoria s'exécute, principalement par instinct de survie. Plusieurs gorgé furent nécessaire consommer la quantité présente dans sa bouche, chacune d'entre elle faisant roulé un peu plus de larmes que la précédente sur les joues de la victime. Puis vînt enfin l'instant de libération lorsque Zack relâcha son emprise et se retira de la jeune femme, essuyant son pénis sale contre la joue de cette dernière.

"Aaaaaaaaaaaaahhhhh ouuuuaaaaiiii... Ce pied putain !!!"

Il s'assit prêt de la jeune femme, s'octroyant une pause bien mérité en se laissant bercer par les pleurs de la lycéenne.

"Bon... la nuit est encore longue" Dit-il "J'ai vu que tu avais prévu de te faire couler un bain, je pense que je vais m'y inviter avec toi".

Zack retira le câble cranté autour du cou de la jeune femme, ainsi que les liens qui lui entravaient les mains. Cette dernière n'était décidément plus une menace pour lui. Il lui ôta également le tanga en lambeau avant de la tirer par les cheveux vers la salle de bain.

"Tu semblais vouloir parler tout à l'heure, vouloir négocier. Pas de problème, je suis prêt à t'écouter. Mais tu as intérêt à être particulièrement convaincante." Il marqua un temps de pause "Parce que là je m'apprêter à défoncer ce petit cul qui me fait de l'œil depuis tout à l'heure."

D'un mouvement de bras, Zack jeta la jeune femme dans la baignoire remplis d'eau chaude, éclaboussant une grande partie de la salle bain. Ce dernier commença à lentement se déshabiller afin de laisser une chance à Victoria de ne pas  se faire sauvagement sodomiser.
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Victoria Campbell

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    Froide et ambitieuse sorcière qui se fait passer pour une lycéenne.
Je suis prise contre la vitre. Salement et sans répits. Aucun respect n'est fait pour ma dignité, je suis réduite à la condition de simple jouet. Mon sexe déjà forcé n'offre plus de résistante et accueille le corps étranger sans plus s'opposer à son passage. Je ne me défend pas davantage, vaincue et soumise au bon vouloir de mon agresseur.
Le martelage écœurant reprend. Plus fort, plus intense. Je pousse un cri à chaque poussée, pouvant donner l'impression à ce fou que j'y prend du plaisir. Est-ce le cas ? Non je ne peux pas l'imaginer. Je m'y refuse catégoriquement. Mon esprit est plus fort que cette enveloppe charnelle, je n'ai pas le droit de me laisser aller.

Devant moi, a mes pieds, s'étend le gouffre sombre de la ville. Au loin des immeubles sont éclairés. Leurs lumières se superposent à mon reflet dans la vitre. La vue ce nos deux corps en plein ébat me donne la nausée, je détourne le regard. La seule chose qui me console est de me dire que mon appartement est plongé dans le noir. Qu'aucun spectateur ne sera donc témoin de ma déchéance.

Chacun de ses coups de rein puissant de mon assaillant me fait sauter en avant et se repercute dans la baie vitrée. Je finis par prendre peur qu'elle ne cède et que je ne finisse précipitée dans le vide, promise à une mort certaine une dizaine d'étages plus bas. Alors je profite du peu de liberté de mouvement qui m'est offerte pour changer de position, m'appuyer des avant bras sur la vitre. Espérer ainsi répartir le poids et éviter le drame.

Mon supplice continue ... jusqu'à ce que enfin il se retire de moi et me relâche. Jambes tremblantes, épuisée, je me laisse aller au sol.

Le bâillon est retiré. Juste le temps de reprendre mon souffle et de lancer entre deux halètements essoufflés "qu'est ce que vous voulez ?" "je peux vous offrir du pouvoir, ne faites pas ça !" ou encore "Je ne vous ai rien fait, pourquoi me faites vous du mal ??" Mes protestations, suppliques et protestations sont peine perdues. Elles se terminent par un " Non ne mhmmm !" alors que je suis de nouveau prise d'assaut. Souffle coupée, forcée d'accepter de nouveau ce corps étranger, dans ma bouche cette fois. L'odeur, la texture sont écœurantes. L'odeur m'envahit, j'en ai un haut le cœur.

Bien sûr l'idée de me défendre et mordre me traverse l'esprit, quitte à ce que ce soit la dernière chose que je fasse de ma vie. Mais non, mon existence est trop précieuse. Les humiliations aussi infâmes soient t'elles valent mieux qu'un monde amputé de Victoria Campbell. Alors je subis. Yeux fermés, je tiens bon. Quel autre choix ai-je ? Petit à petit je sens sa respiration s'accelerer, j'ai un instant de panique en devinant ce qui est sur le point de se passer. J'essaye de me reculer, d'oter ce corps intrusif de ma bouche mais il me retient, main sur l'arrière de la tête !

Et soudain, il se crispe, "met un râle. Simultanément, sur ma langue c'est l'explosion. Une matière visqueuse, collante, au goût âcre et salé m'envahit en longs jets puissants. J'ai un nouveau haut le coeur mais n'ai pas le choix que de tenter de l'avaler. De longues coulures indistinctes s'échappent pourtant de mes lèvres et coulent le long de mon menton, se mélangeant à ma salive et à mes larmes et viennent tracer de longs sillons jusqu'à ma poitrine. Il se retire enfin. Un long filet épais et scintillant relie mes lèvres au bout palpitant de son gland. Il s'essuie sans vergogne sur moi, venant me souiller encore davantage.

Il aurait pu se rhabiller. Quitter mon logement ainsi, me laissant seule et souillée. Mais non, visiblement ce qu'il a eu ne lui suffit pas. Il m'attrape et m'entraine rudement jusqu'à la salle de bain. Il me jette sans vergogne vers la grande baignoire remplie. Un baquet d'eau d'une taille prodigieuse, bien trop large pour une seule personne. J'y trébuche et me retrouve précipitée dedans, les quatre fers en l'air. Tête plongée sous l'eau, je lutte un instant pour refaire surface et retrouver de l'air.

Négocier ? Le convaincre ... ? Non ... C'est peine perdu. Je suis lucide c'est terminé. Ca me semblerait dérisoire. Je n'ai plus rien à offrir. Si ce n'est une complaisance de façade pour tenter d'atténuer mes tourments.

- Vous ... avez gagné ... je ferai ce que vous voulez ... Mais pas ca, s'il vous plait.

La honte et la colère me submerge face à cette reddition. Je m'écoeure moi même. Détournant le regard, rouge de honte, je passe de l'eau sur mon visage pour ôter de ma peau les horribles fluides qui l'avaient souillée.
Et lentement, à contrecœur, j'accepte d'écarter lentement les cuisses, marquant physiquement ma reddition.
Ce qui suivra sera tout sauf agréable, mais face à deux maux il faut parfois savoir choisir le moindre.
Victoria Campbell - 17 ans - 1m69 - Humaine - Ma fiche de présentation

A très vite pour partager de nouveaux RP <3


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