Le Champion de l'Essaim arrive [Keiralidé]

COPYRIGHT @ SUR L'IMAGE CI DESSOUS. ÉTANT UN OC CHARACTER M'APPARTENANT. COMMANDER SOUS COMMISSION PAR OSMAR SHOTGUN DE DEVIANT ART

ROI DE L'ESSAIM

Identité : Zor’ghan
Âge : 300 ans. Ce qui, pour un formien de son espèce, équivaut à 30 ans chez un humain
Sexe : Masculin
Race : Formien humanoide de type « Annexien royal »
Sexualité : Hétérosexuel curieux et ouvert, à fort penchant dominateur.
Situation de départ : Inexpérimenté.

Physique :

Fabuleux. S’il y avait un mot pour décrire le formien, c’est bien celui-ci. Encore que…. Cela reste un euphémisme. Il en impose très clairement physiquement, car c’est bien 2 mètres 30 pour 2 tonnes de muscles homo érotique et saillants qui le constitut. Il y a tant de chose à dire ! A commencer par un cou qui n’est pas sans rappeler celui d’un taureau. Un torse large renfermant une cage thoracique volumineuse, couverte par de puissants muscles pectoraux tellement développé qu’ils ont des airs de seins élargie. Encadrés par de puissants trapèzes rabattus sur de solides épaules charpentés où tombent deux bras à l’allure puissante. Chargés de biceps de combattant jouant dans le surdimensionné comme dans la cour des muscles secs et dur comme des pains au laits rassis. Pour se terminer par de solides mains promettant des poignées de mains avec la puissance d’une presse hydraulique. Ce même torse qui s’amincit en descendant vers la taille, dévoilant une ceinture abdominale où chaque muscle est détaché l’un de l’autre dans une succession de creux réguliers, semblable à des blocs de pierre bruts empilés les uns sur les autres dans un jeu de construction à la régularité surprenante. Si le haut du corps est un modèle de force brute, le bas du corps en lui-même est une œuvre presque parfaite consacrée à l’agilité et la vélocité. D’une aine aux muscles taillés en un V prononcé, descendant d’un abdomen merveilleusement construit. Où découlent un fessier musculeux, bien plus bombé et rebondit que certaines femmes, garantissant des coups de reins bien vigoureux ! Suivit de près par deux jambes parfaitement équilibrées, ni trop longues, ni trop courtes, juste équilibre entre allonge au combat et rapprochées pour des foulées rapides. Quand il ne se déplace pas avec une démarche assurée de conquérant. Des cuisses volumineuses sans en être proéminentes en passant par des genoux entourés de tendons semblant aussi solides que des chaînes d’acier pour se terminer sur des mollets également allongés sur un péroné de taille normale. Sans oublier un entrejambe particulier ! Car à l’instar des crocodiles, alligators et dauphins, les parties intimes de Zor’ghan sont à l’intérieur de son corps. C’est au travers des lèvres fines d’une fente verticale qu’il peut faire sortir son immense verge bien veineuse d’une simple contraction du bas ventre. Déjà qu’elle est très impressionnante de par sa longueur et sa largeur qui en fait un objet de fantasme pour le commun des mortels, elle l’est beaucoup plus une fois en érection. Devenant une véritable poutre de chair dure comme du béton armé qui n’est pas faite pour toutes les demoiselles. 

Le tout soigneusement recouverts d’excroissances chitineuse prenant l’aspect d’une armure bio-organique supra moulante d’un noir lisse et brillant parsemées d’interstices sinueux. Véritable extension vivante de son anatomie faisant office de vêtement et protection naturelle qui le caractérise, tout en conservant un sens du touché impeccable. Parce que oui : techniquement parlant, Zor’ghan est nue ! Littéralement un homme du pilier (jojo référence !) capable de faire mouiller des femelles façon fleuves du Niagara et donner une trique infernale suivit d’une éjaculation précoce aux homosexuels à la simple vue de Zor’ghan. Sachant qu’en plus d’une « armure anatomique » son corps se prolonge également par six tentacules recouverts de protection naturelle et se terminant par de long dard aussi bien épais que pointue. Rattaché par une ample voilure organique parcourue de terminaisons nerveuses. Formant une « cape anatomique » qu’il peut mouvoir à sa guise comme un animal avec sa queue. Renforçant davantage son charisme plus qu’il ne l’est déjà ! Focalisons-nous maintenant sur un élément aussi charismatique qu’important chez tout personnage : le visage. A la fois beau et terrifiant. L’archétype même du prince charmant des contes de fées version maléfique. Un large visage rectangulaire à la peau grisâtre, partant d’une solide mâchoire carrée et se terminant par un menton plat qui suinte la virilité. Mais ornées de traits raffinées offrant un cocktail explosif par des lèvres charnues et semi pulpeuse laissant entrevoir deux rangées de dents tranchantes. Filtrant une voix suave qui suinte le charisme royal sous un concentré de classe rarissime à voir chez un formien. Quand une langue préhensible ne s’y échappe pas entre ses lèvres. Un nez droit et fin placé au milieu d’un regards de giga prédateur séduisant par ses yeux aux pupilles d’un jaune doré brillant dans le noir tels deux phares dans la nuit. Le sommet de son large crâne de forme ovoïde et fuselé en diagonale se voit recouverte elle aussi d’excroissance chitineuse. Prenant la forme d’un casque moulant faisant également office de couronne de par les motifs frontaux.

     
Caractère :

En tant qu’ancien humain dans son ancienne vie qui s’est réincarné accidentellement, Zor’ghan n’est pas un formien comme les autres. Ce qui explique pourquoi tout dans sa gestuelle et son phrasé transpire la noblesse pur et dur. Attitude acquise de son ancienne vie qui se manifeste. A commencer par un grand sens théâtral lorsqu’il se met à parler en prenant des poses atypiques lorsqu’il s’adresse avec autrui en fonction de qui il a affaire. Souvent avec un verbe mielleux pleine d’assurance qui fait le charme de son charisme. Pour autant, son regard envers les non formiens n’est pas méprisable, mais plutôt celui d’un éleveur envers son bétail. Ou encore d’un homme envers son animal de compagnie dans d’autres circonstance. Après tout c’est un conquérant dans l’âme qui n’aspire qu’à conquérir des territoires et soumettre les vies présentes pour les assimilés au sein de sa horde Kiraj’ik. D’une manière ou d’une autre. C’est un leader autoritaire et de dominateur, comparable à un despote éclairé qui reste toujours sur ses positions et qui ne peut s’empêcher de vouloir toujours le dernier mot, n’en déplaise à certains. Mais s’il y a bien une chose que l’on ne pas lui retiré c’est bien sa franchise et sa confiance. Il ne trahira jamais les partenaires avec qui il s’allie, même si c’est un potentiel ennemi. C’est aussi un individu très juste sachant récompenser et même faire preuve de clémence comme de générosité envers les gens qui savent faire preuve d’une loyauté sincère et indéfectible. Quel que soit sa race. Mais s’il tolère l’échec de ses sujets, malheur à ceux et celles qui s’amuserait à la lui faire à l’envers ! Autant dire qu’il ne pardonne pas la trahison et qu’il réserve un sort pire que la mort aux traîtres dans ses rangs. Avec toute la cruauté dont il peut faire preuve. Sachant qu’il n’est pas du genre à renoncer facilement quand on sait qu’il se porte toujours garant à surmonter tous les obstacles et les difficultés qui se dressent sur son chemin à bras le corps. Avec l’obstination de ne rien lâcher. S’il donne l’impression de reculer devant une difficulté trop dure pour lui, c’est pour mieux sauter plus tard. C’est aussi quelqu’un avec un entêtement aveugle qui peut s’emporter dans des accès de colère explosive lorsqu’on piétine la confiance à laquelle il a investi. L’embarquant dans les voies sinueuses des vendettas sanglantes. Mais ne vous détrompé pas ! Zor’ghan reste un opportuniste qui, pour récupérer les objets de ses convoitises et servir ses desseins, n’hésite pas à coopérer aussi bien avec ce qu’il appelle lui-même « le bétails » qu’il rencontre au cours de ses activités qu’avec de potentiels ennemies. Toute aide est bonne à prendre quand elle se présente, surtout si cela peut l’aider à se débarrasser d’individus gênants (d’une façon ou d’une autre). Tout ceci fait qu’il est difficile pour les divers camps de connaître avec exactitude les motivations de Zor’ghan. Chose certaine, ce n’est pas un saint, mais pas non plus un boucher qui massacre quelqu’un sur un coup de tête. En tout cas, Zor’ghan est bien trop fier pour cirer les pompes de quelqu’un pour obtenir une quelconque faveur, même s’il brule de rage que la personne en face de lui possède la source de toutes ses convoitises. C’est pour cette raison que Zor’ghan est un diplomate qui optera toujours le dialogue lorsqu’il est se trouvera dans une situation relativement tendue pouvant dégénérer s’il fait un pas de travers. Ce n’est pas pour rien s’il est parvenu à survivre ainsi pendant des siècles. Mais dans le cas où il se verra forcer la main, alors il fera preuve de violence pour s’en sortir.

Goûts et Dégoûts : Naturellement, Zor’ghan a bien des plaisirs à assouvir en dehors de son rôle d’annexien de catégorie royal ! A commencer par les plaisirs de la table. Il faut bien se mettre en tête que l’appétit de Zor’ghan est proportionnel à ses performances physiques, intellectuelle et génétique : Incommensurable. Même quand sa faim est apaisée, il continue quand même de manger par plaisir gustative. Ce qui a tendance à accroitre sa réserve de graisse. Il adore manger, même de la nourriture copieuse. Le sexe fait aussi partie de ses passe-temps favori, bien qu’il ait vécue des évènements qui ne lui ont laissé que très peu de répit pendant des siècles et que les rares femelles avec qui il a copuler n’ont pas survécu à sa verge monstrueuse. Autant vous dire qu’il n’aura aucune pudeur à palper les fesses et les seins d’autrui d’une main palpeuse quand l’envie lui toquera à la porte. Ajouté à cela un côté tactile aussi bien avec les femmes que les hommes.


Histoire :

Voir le troisième post en bas !

Pouvoirs & capacités :

-   Force surhumaine : Les muscles de Zor’ghan sont constitués d’une quantité monstrueuses de fibres musculaires compacté à l’extrême, actionné par des impulsions bioélectrique très puissantes. Ce qui explique pourquoi il a une force de titan lui permettant de soulever, presser, tracter et frapper avec une puissance de 1 000 000 tonnes.
-   Resistance surhumaine : Autant dire qu’avec une structure osseuse en bio-métal très dense ainsi qu’une peau et des excroissances chitineuses aussi solide que de la soie d’araignée, Zor’ghan peut aisément résister à la puissance de ses propres coups ainsi qu’a toutes sortes d’armes à feux conventionnelles (armures légères, lourdes, antichard) et blanches (sauf si une force supérieur à sa résistance sur ces dernières. L’inconvénient c’est qu’elle ne le protège pas des armes énergétiques et que sa densité corporelle est telle qu’il coule plus vite qu’une ancre s’il se met à plonger sous l’eau. Son squelette représentant à elle seule 40% de sa masse corporelle.
-   Endurance surhumaine : Du fait de son taux de mithocondrie très élevée et de son taux de production d’acide lactique très bas, Zor’ghan peut enchaîner des tâches très pénibles dans des efforts extrêmes de manière constante pendant une semaine d’affilés sans faire la moindre pause. Avant de ressentir un début de fatigue l'empêchant de continuer. La récupération cardiaque de Zor’ghan fait qu’il peut très vite récupérer de sa fatigue après 1 heure de repos seulement, avant de pouvoir réitérer de longues actions éprouvantes.
-   Agilité surhumaine : Les tendons, cartilage, ligaments extrêmement souple de Zor’ghan lui confère une agilité surhumaine dépassant de loin ce que les meilleurs acrobates et gymnases humains au monde sont capables de faire, après que son symbiote ait modifié génétiquement l’ensemble de la physiologie, des articulations, des muscles et tendons de son hôte en profondeur. Son agilité est telle qu’elle peut réaliser sans effort des figures très techniques avec une étonnante précision et autre prouesses acrobatiques spectaculaires comme se tenir à l’envers sur un seul doigt au sommet d’un empilement d’objets étroit et instables les yeux fermés et sans être étourdie. Contorsionner / tordre / plier l'ensemble de son corps (membres, tête, colonne vertébrale) à partir de ses articulations pour rentrer aussi bien dans une petite boite que de s'infiltrer dans un conduit étroit par des contorsions désossées n’infligeant ni dommage ni contrainte à Zor’ghan. Resté parfaitement en équilibre en courant sur des surfaces instables ( ex : le toit d’une voiture en mouvement, des tremblements de terre, le sommet de bâtiments qui s’effondre, un long câble en suspension) sans subir des nausées, vertiges, désorientions ou effets de l’apesanteur. Mais également une très grande facilité à grimper sur des surfaces présentant des aspérités. Tandis qu’avec un effort important elle peut esquiver des attaques à une cadence assez rapide.
-   Vitesse surhumaine : En courant à pleine vitesse, Zor’ghan peut atteindre une vitesse de course pouvant froler la limite de la vitesse subsonique. Vitesse maximale qu’il peut atteindre en moins d'une minute, lui permettant des départs foudroyants pouvant surprendre une personne éloignée d’elle et n’ayant que peu de temps pour réagir
-   Reflexes surhumain : Le systèmes nerveux et synaptique, alimenté par des impulsions bioélectrique puissantes, lui confère des réflexes 1000 fois plus rapide qu’un humain lambda. Pour autant, sa vitesse de déplacement n’est pas assez rapide pour esquiver ou attraper des balles d’armes à feux projeter sur lui.
-   Intelligence surhumain : Là où les neurones d’un humain se divisent de moins en moins rapidement jusqu’à dégénérer, ceux de Zor’ghan connaissent un tout autre sort. Ils forment de véritables méristèmes, se divisant constamment, créant de nouvelles structures et renouvelant celles qui auraient pu être endommagées par le passage du temps. Ce qui se traduit par une intelligence supérieure. C’est cette intelligence remarquable qui a permis à Zor’ghan de manipuler ses proies et ses victimes, de réussir à tromper et surtout, de s’adapter au passage du temps. Sans cet esprit aiguisé, assurément qu’il n’aurait pas fait long feu.
-   Super mémoire : En plus d’avoir cerveau bien plus large qu’un humain lambda de par sa densité très forte qui lui confère une capacité de stockage mémoriel 100 fois plus importante, Zor’ghan est capable de se souvenir de chaque chose / moments / éléments visuel qu'il a observé, entendue, sentit plus tôt, dans ses moindres détails les plus subtiles. Si bien qu’il n’a pas besoin de machine, livres ou autres supports matériels pour mémoriser et simuler des résolutions de problèmes les plus complexes qui soient. Cela ne prend aucun effort pour se souvenir des informations qu’il obtient et peut s'en rappeler indéfiniment sans avoir de migraine. Pour autant il ne possède pas une mémoire infinie et qu’il doit effacer des souvenirs inutiles sur commande et de façon définitive pour faire de la place, sous peine d'avoir de violentes migraines pouvant lui causer un AVC dans le pire des cas. Chose que sa super-mémoire le lui permet !
-   Bonds spectaculaire : Les muscles de ses bras et jambes lui permettent de réaliser des bonds spectaculaires pouvant le projeter sur altitude à 10 km de hauteur sur une vitesse de croisière hypersonique.
-   Espérance de vie Royal : Au lieu de dégénérer comme les humains, Zor’ghan grandit au fils du temps entre chaque mue comme les alligators et certains anaconda / boa, en raison de son organisme qui continue sans cesse de produire de la télomérase. Du moment qu’il parvient à passer ses étapes de mues, plus difficile au fils du temps, il peut techniquement vivre aussi longtemps que possible. Mais son taux de fertilité est proportionnellement inférieur à son espérance de vie.
-   Souffle surhumain : Zor’ghan possède pas moins de quatre poumons si denses qu’avec un centimètre cube de muscle pulmonaire il peut emmagasiner des volumes d’airs astronomiques. Ainsi, il peut se priver d’oxygène tout en effectuant des efforts intenses sur des périodes pouvant s’étendre sur une journée entière avant de pouvoir respirer à nouveau. Une semaine entière s’il reste immobile.
-   Rugissement vibratoire : Le larynx de Zor’ghan comportent énormément de cordes vocales assez longues et aux muscles très puissants. Couplé à sa capacité pulmonaire, Zor’ghan peut produire des rugissements de 174 décibels audible sur 10 km autour de lui. Autant vous dire que les vibrations de ses rugissements peuvent briser des vitres, rendre sourd à vie et X se trouvent à moins de 1 km de Zor’ghan.
-   Tunnelier : Zor’ghan possède une aisance effrayante à creuser des trous sur quasi n’importe quel sol et s’y engouffrer tout aussi facilement pour s’y déplacer sous terre tel une taupe. Notamment quand il est fait de terre et de pierre, grâce à sa force couplée à sa vitesse.
-   Sens hyperdevelloppé :
 
                               •   Vue :   La vision de Zor’ghan lui permet de percevoir son environnement sur de longues distances avec une clarté total, tel un aigle. On parle alors de vision dite télescopique. Ainsi, il peut observer des scènes / personnes / lieux en zoomant son champ visuel jusqu’à 10 km de sa position. L'infiniment petit est maintenant à la portée de Zor’ghan qui peut observer toutes sortes de phénomènes physiques à cette échelle de l’espace. Cela peut aller sur le niveau microscopique jusqu’à atteindre le niveau subatomique, en passant par l’échelle cellulaire et moléculaire. Mais aussi voir des couleurs que le commun des mortels ne voit pas. Une capacité qui offre un avantage considérable dans l’investigation, puisqu’il peut ainsi voir les marques d’empreintes digitales laissées sur des objets / surfaces, des traces de fluides corporels divers. Mais également repérer des traces de contaminations pathologiques et la présence de substances empoisonnée. Ses mêmes yeux le dotent d’une vision thermique capable de repérer des signatures thermiques et ses variations de température. Qu’elles soient générées par des machines, des êtres vivants ou qu’elles ont été laissées sur des objets / vêtements / lieux par des gens. Une vision à rayon X suffisamment puissante pour qu’il puisse voir au travers toutes sortes de matières solides. Vêtements, objets, parties internes de corps biologiques, jusqu'à des murs / plafonds épais. Par contre, cela ne fonctionne pas dans le cas de matières contenant du plomb ou fait dans des matériaux exotiques empêchant la pénétration de ses rayons X. Voir les ondes électromagnétiques / micro-ondes avec une longueur d'onde comprise entre celle de la lumière infrarouge et les ondes radio. Il peut voir les ondes émissent par les moyens de communication classiques (communicateur, radar, cellulaires téléphoniques), radio AM / FM, télévision ainsi que toutes sortes d'appareils / dispositif / technologies qui émettent des ondes.
                                •   Odorat :   Il peut remonter la piste de gens en suivant les molécules olfactives qu’ils ont laissés derrière eux tel que les traces de sang, qu’il peut distinguer sur un périmètre n’excédant par les 10 km autour de lui. Il peut sentir les odeurs de décompositions chimiques tel que la putréfaction d'une matière organique / cadavre. Ça lui permet également de déterminer avec précision depuis combien de temps l'être vivant (humain ou animal) est mort. Loin de se limiter à cela, il peut aussi sentir la présence d'odeur de produits chimiques synthétiques tels que la poudre d'armes à feu et d'explosives. Cela inclut aussi l'odeur de poudre utilisée pour faire feu avec des armes conventionnelles. Il peut alors connaitre avec précision à quand remonte l'origine de l'odeur. S'il y a eu un simple coup de feu ou une fusillade. Y compris la signature olfactive d'une personne ou d'un animal. Grâce à ses hormones et phéromones que son corps et sa sueur émet, ou qu'il laisse derrière lui. Ce qui peut s'avérer utile pour démasquer un individue qui masque son identité sous un alter ego masqué et costume. Sauf si son costume empêche l'évacuation d'odeurs ou s’il peut changer sa signature olfactive avec ses pouvoirs. Le fait de masquer son odeur avec des parfums peut fonctionner, mais partiellement. À moins de vidés tout le flacon sur son corps ! Pour finir il peut sentir des odeurs entre 9 et 24 heures après le passage de quelqu'un ou de quelque chose sur des lieux, des vêtements portés par cette même personne et même des objets qu'il aurait imprégner de son odeur en les touchant tant son flair est sensible. Ainsi, il peut remonter chaque odeur jusqu’à son point d'origine. Mais bien qu'il puisse décomposer les odeurs dans un spectre de couches successives, qui lui permettent de fragmenter un parfum global en une somme de senteurs distinctes, il reste totalement dépendant de la trace laissée temporellement par les odeurs. En effet, disparaissant au fil du temps, il reste dépendant de la présence d’une infime odeur sur les lieux / vêtements / objets. La plus infime senteur lui permet toutefois de se lancer sur une piste. Néanmoins, fonctionnant comme les plus grands chasseurs animaux, il reste également dépendant du vent qui peut porter ou déporter les odeurs.
                               •   Ouïe :   son ouïe est si aiguisée qu’il peut entente des conversations qu’il peut entendre parfaitement sur 10 km autour de lui, comme s’il s’y été sur place. Comme percevoir des sons très subtiles tel que les battements de cœurs, la respiration, craquements en tout genre et les cliquetis mécaniques de toutes sortes. Pour finir il perçoit les sons sur un spectre de fréquences largement étendu : Il peut entendre les ultrasons jusqu’à 500kHz à l’instar des chauves souris, jusqu’aux infrasons de très basses fréquences à l’instar des baleines. La perception des infrasons très bas, qui se diffusent bien plus rapidement dans les milieux denses, lui permet de percevoir des phénomènes comme les tremblements de terre, avalanches et éruptions volcaniques à l’avance.
                               •   Toucher :   Son sens du toucher est si sensible qu’il peut ressentir chaque vibration sur les surfaces solides, dans l’air et dans l’eau. Ainsi, grâce aux vibrations sismiques, il peut détecter des lieux spécifiques cachés qui se dessinent sur une carte mentale dans son esprit comme des cavernes / sous-sols / surfaces creuses sur 10 km autour de sa position. Du moment que les vibrations viennent de Zor’ghan et qu'il soit en contact directe avec ce qu'il sonde. Au point d’acquérir un sens sismique lui permettant de repérer à distance et avec précision des lieux, objets et personnes aux travers des ondes sismiques générer qui se propagent sur toutes les surfaces possibles, comme aux travers. Sa carte mentale peut ainsi lui dresser un plan détaillé d’un bâtiment comportant plusieurs étages / sous-sols afin d'obtenir des informations sur leurs configuration depuis sa position. Cela inclut même quand des personnes et objets sont enterrer / emmurer, ce qui est très pratique pour dénicher des trésors, des cadavres ou encore des dispositifs de pièges cachés !

-   Nyctalopie : Les pupilles de Zor’ghan peuvent emmagasiner la lumière naturelle et artificiel. Lui offrant une nyctalopie lui permettant de voir dans le noir absolu sur de longues distances pouvant s’étendre jusqu’à 100 mètres.
-   Sixième sens : Lorsque son pouvoir d'insensibilité est activé, Zor’ghan peut ressentir le danger qui s'approche de lui. Il ne distingue cependant pas clairement ce qui arrive ni sous quelle forme et à quel moment, il s'agit simplement d'un sentiment persistant sans autre indication. Il peut à peu près situer la zone d'où le danger provient, mais sans savoir distinguer une personne dans une foule par exemple.
-   Régénération : Les organites de Zor’ghan lui confère une régénération lui permettant de se régénérer de blessures graves (lésions profondes, os brisés, brûlures au troisième degré et organes perforés en particulier) en quelques minutes. N’ayant plus aucune cicatrice sur son corps. Elle lui permet même de recoller un de ses membres sectionner et retrouvé l'usage de leurs mouvements comme avant en quelques minutes seulement. Des organes vitaux sévèrement endommagés (cœur, poumons, foie, pancréas, les reins et le cerveau) voir les reconstitué à partir de pas grand-chose. Bien que dans le cas du cerveau cela peut engendrer des séquelles plus ou moins graves (ex : ne plus pouvoir parler, comprendre son environnement, ne plus pouvoir se mouvoir pour ne citer que ces exemples parmi d'autres) nécessitant obligatoirement des jours, semaines, voire des mois de convalescence.
-   Survivance : Grâce à son système nerveux particulier et ses deux cœurs à huits branches, Zor’ghan peut survivre d’une destruction d’une grande partie de sa tête (la moitié pour être exact) et de laisser ses facultés régénératrice reconstituer la partie manquante. Ou encore d’une décapitation pendant 1 heure maximum.
-   Immunité aux maladies : Son système immunitaire est riche d’une flore microbienne pourvue d’une capacité d’adaptation monstrueuse élevé. Immunisant Zor’ghan contre toutes formes de maladies naturelles et exotiques. Sauf une maladie conçue spécialement pour lui.
-   Immunité aux poisons : Grâce à sa flore bactériales vorace et à ses deux puissants foies, Zor’ghan est immunisé contre toutes formes de poisons naturelles et exotique. Sauf un poison artificiel conçu spécialement pour lui.
-   Température adaptative : Le métabolisme de Zor’ghan est apte à alterner automatiquement son mécanisme de thermorégulation corporelle en fonction de l’environnement où il se situe. Dans un milieu marécageux, tropical et désertique, il passera automatiquement en poïkilothermie. Dans un milieu tempéré, froid ou encore arctique il se met en homéothermie, en plus d’être protéger par sa couche de graisse.
-   Photosynthèse formienne : Hé oui, les végétaux ne sont pas les seules êtres vivant à avoir cette faculté. Encore moins un Formien tel que Zor’ghan ! sa peau est capable de convertir la lumière du soleil en ressource nutritives avec de très gros rendement énergétique. Une excellente source d’alimentation supplémentaire. En plus de lui produire de l’oxygène dans son corps sans passer par la respiration classique, l’exemptant ainsi du besoin de respirer ! Bien entendue, cela ne s’applique uniquement lors d’une journée un minimum ensoleillé.
-   Cape vivante : La cape anatomique de Zor’ghan n’est pas seulement là pour faire jolie. C’est un membre à part entière qu’il peut déployer volontairement pour planer dans les airs avec une Réduction de chute jusqu’à 90 %.
-   Cocon de cryptobiose : Comme les tardigrade, Zor’ghan peut se mettre en stase sous forme de cryptobiose. Son corps se recouvre d’un cocon tandis que son métabolisme se met à l’arrêt complet et ceux jusqu’à une période pouvant se prolonger aussi longtemps que possible. Que ce soit cent ans, mille ans voir bien au-delà ! Comme cela peut durer quelques jours, semaines ou mois. Le temps souhaité se décide généralement avant le processus par Zor’ghan. Très pratique pour attendre sur le long terme ! Mais c’est surtout le seul moment où il est le plus vulnérable. Tellement vulnérable qu’un humain lambda serait même capable de le tuer, sans que Zor’ghan puisse faire quoi que ce soit pour l’empécher car étant insconcient.   
-   Vague d’adrénaline : Par une surproduction abondante par couilles et de ses glandes surrénales au moment de se battre, Zor’ghan se voit octroyer une insensibilité total à la douleur physique et mental. Bien évidemment, l'absence de douleur n'empêche pas la venue de blessure plus ou moins grave, la seule différence sera que Zor’ghan ne sentira rien. Bien que ce point représente un gros avantage dans les combats puisqu'il n'est pas gêné par la souffrance, il peut aussi lui jouer un sale tour. En ne ressentant pas la douleur, Zor’ghan peut aggraver ses blessures ou même risquer sa vie en persistant à utiliser un membre qui serait gravement atteint. De la même manière, son cerveau ne lui signalera pas qu'il est à deux doigts de passer l'arme à gauche si ce pouvoir est enclenché.
-   Phéromones aphrodisiaques : L’odeur corporelle de Zor’ghan est enduit d’hormones aphrodisiaques si fortes qu’elles peuvent mettre des femelles en chaleurs exponentielle. Quel que soit sa race, du moment qu’elles sont vivantes. Sachant que plus elles sont exposées longtemps, plus les effets perdurent bien après s’être séparé de Zor’ghan. Au point de créer un sentiment de manque affectif intense pouvant conduire à la folie, voir au suicide.
-   Venin paralysant : Les dards de sa cape anatomique sont enduits d’un puissant venin paralysant grâce à des glandes spécifique dans ces mêmes dards. Zor’ghan peut pouvoir les tentacules de sa cape anatomique pour piquer sa cible. Moins d’une minute après s’être fait toucher, la cible est entièrement paralysée. Les muscles trop relâchés pour faire quoi que ce soit. Il peut donc arriver à certaines personnes à s’uriner ou se déféquer sur eux !
-   Feu biochimique : L’intérieur de sa bouche est orné de micro-buses organique, toutes relié à un organe côtoyant les glandes sublinguale. Par une contraction de muscles buccaux suite à une inspiration cela libère des jets liquides sous pression qui, au contact de l’air, provoque une réaction chimique qui les enflamment spontanément. Tel un dragon, Zor’ghan peut cracher une colonne de feu bio chimique verdâtre avec une portée de 100 mètres pour une largeur de moitié.
-   Sang acide : Lorsque le sang de Zor’ghan s’échappe de ses blessures et entre en contact de l’air, cela engendre une réaction chimique qui rends sang aussi corrosive qu’un super acide. Capable de de dissoudre quasi n’importe quelle matière du moment que ce ne soit pas fait dans du téflon ou autre matériaux exotique. Avec la particularité d’empêcher de cicatriser les blessures d’une cible doté d’un pouvoir régénérateur.
-   Graisse Royale : La graisse de Zor’ghan renferme une réserves d’énergie incommensurable. En plus de faire office de protection contre les environnements arctiques. Elle permet surtout de pouvoir jeuner pendant 1 mois entier sans tomber en malnutrition malgré les besoins énergétique pharamineux de son métabolisme énergivore.
-   Super estomac : En raison de son estomac extensibles chargée d’acides gastriques aussi corrosives que les meilleurs superacides existant, Zor’ghan peut manger et digérer quasi n’importe quel matière vivante ou non organique.
-   Bouche déboitable : A l’instar des serpents, La bouche de Zor’ghan peut s’élargir en se déboitant. Pouvant ainsi gober tout rond un humain, même s’il est grand, gros et/ou musclé. Son cou étant extensible comme son estomac.
-   Langue préhensible : Comme les lézards et batraciens, la langue de Zor’ghan est préhensible. Capable de s’étendre jusqu’à ses pieds.
-   Gaz nocifs : Bien que cela peut prêter au sérieux à première abords, cela n’en reste pas moins une arme chimique de très dangereuse, voir létal pour certaines. Puisqu’il s’agit de ses flatulences qu’il relâche. Leurs odeurs sont bien plus puissantes que des instinct nécrosé et plus persistant que le skunk (liquide utilisé par l’armée israélienne) que même un habitué des mauvaises odeurs peut choper de violentes nausées accompagnées de vertiges déstabilisants pouvant évoluer en coma profond quelques secondes après avoir senti l’odeur par les narines. Pour les plus sensibles, cela cause généralement la mort.
-   Mains bioélectrique : Les paumes de Zor’ghan sont aptes à infliger des décharges bioélectrique pouvant atteindre une puissance maximal de 10 gigawatts. Cette arme naturelle pouvant l’aider à tuer sa cible par arrêt cardiaque ou en faire usage de défibrillateur pour un massage cardiaque.
-   Salive marqueuse : lorsque Zor’ghan lèche la peau ou un vêtement d’une cible, il peut remonter sa piste avec une facilité quasi absolue. En effet, la salive de Zor’ghan porte une odeur inodore pour ceux n’ayant pas un odorat surdévelopper ou animal. Sachant qu’elle persiste bien longtemps, même après que la cible s’est douchée maintes fois dans la journée.
-   Semences royale : Malgré la taux de fertilité très bas de Zor’ghan, sa semence n’en reste pas moins addictive aux personne qui la boivent. Tellement additive qu’elle mérite carrément d’avoir sa propre catégorie. En plus d’avoir un gout tout bonnement délicieux, elle possède des qualités nutritives si riches qu’elle peut étancher la faim d’une affamée en une giclée de semence ! Ajouté à cela des propriétés curatives pouvant purger l’organisme de toutes traces de poisons et maladies aux buveuses et buveurs. Ainsi que des propriétés anabolisantes pouvant renforcer la structure osseuse et musculaire.
-   Télépathie génétique : En tant que formien royal, il dispose d’une puissante capacité télépathique. Il peut effectuer une télépathie de masse sur ses semblables formiens, au nombre de 1000. Partageant ses pensées, souvenirs, intentions, émotions et motivations avec eux pour réaliser des coordinations irréalisables autrement. Ou encore communiquer discrètement. Bien entendue, il ne peut pas faire usage de sa tépathie sur des espèces autres que formienes.
-   Protection mental : Toute personne télépathe tentant de s’introduire dans les pensées de Zor’ghan se retrouvera aussitôt submerger par des images et sons d’innombrables créatures formiennes rugissant bruyamment. Leurs yeux brillants de milles feux dans le noir totales. Une intrusion s’avérant dangereuse car source de migraine violentes pouvant s’agraver si l’intrusion est prolongée au-delà de 1 minute. Pouvant causer un anévrisme dans le pire des cas. D’autant plus qu’elle le protège des attaques, illusions et contrôle psionique tel un rempart imprenable. Non pas qu’il est impossible de briser sa protection mental….. mais disons qu’il faudra jouer sur l’usure plutôt que la puissance psychique pour y arriver.
-   Projection astrale : Zor’ghan est ainsi capable d'envoyer son esprit dans la plan astrale tandis que son enveloppe charnelle reste conscient. Sous cette forme il est capable d’explorer un endroit de Terra ou d’un autre monde à la vitesse de la pensée. C’est-à-dire instantanément. Le tout sans se faire repérer ! Sauf pour des psykers et certains mages

Comment avez-vous connu le forum ?  Root-top

POUVOIRS / CAPACITES / COMPETENCES OBTENUE IRP

La HORDE KIRAJ’IK

C’est à partir d’une poignée de serviteurs Formien sous son commandement et à un très jeune âge qu’est partie Zor’ghan pour former sa horde. Plus grande, plus nombreuses et surtout plus puissante qu’elle ne l’a été auparavant. Sans nul doute sa plus grande réussite auquel il tire une fierté inconditionnelle.

Unités terrestre

- Chargeurs : Chair à canon principale de la Horde Kiraj’hik, les chargeurs sont des créatures humanoïdes à la peau violète faisant entre 1m60 et 1m90. Recouvertes de carapaces chitineuses sur la quasi-totalité de leurs corps qui font office de protection naturelle. Ils ont quatre bras dont chaque pair a un nombre de doigts différents, ainsi qu’une queue relativement longue et des jambes se terminant par des pieds que certaines bêtes à quatre pattes possèdent. Elles sont nettement plus fortes et rapides qu’un humain athlétique avec de bonnes performances physique, mais pas insurmontable. Bien sûr il existe des variétés de soldats comme les fauchesclan Pour faire des tâches relativement simples, ils savent faire. Mais pour des actions plus subtiles ou intellectuelle, c’est une autre histoire.

- Les faucheurs. Forces d’élites un cran bien au-dessus des fonceurs. En plus d’être plus fort, plus résistant et plus rapide que les fonceurs, leurs mouvements sont aussi agiles qu’imprévisible. Leurs faux pouvant perforer et trancher aisément des humains équipés d’armures de métal standards et endommager des blindés. Les faucheurs sont des formiens imposants tournant autour de 3 mètres, à la peau et aux plaques chitineuses rouge et noir. Le haut de leurs corps est muni de 6 membres se terminant par des faux tandis que le bas ressemble au corps d’un grand serpent.

 - Tunneliers. Sans nul doute l’une des unités les plus vicieuse de sa horde. Les tunneliers se déplace principalement sous terre, attaquant toujours en traitres lors de remonté vigoureuse à la manière d’un requin. Assez puissant pour détruire des unités blindés, en plus de percer les murs et sols de bâtiments en béton ou en métal. D’une taille avoisinant les 30 mètres de long pour 7 de largeur, les tunneliers sont pourvues de quatres membres se terminant en faux imposantes ainsi que 7 membres arrières semblables le long du corps. Sans oublié une large gueule garnie de dents tranchantes et munie de mandibules menaçantes. Se terminant par une tête au crane large et allongé, protéger par de solides carapaces en formes de multiples plaques chitineuses.


 - Les cuirassés. Les Cuirassés sont des colosses de crocs, de griffes et de chitines qui excellent dans la destruction et le meurtre de masse. Des mastodontes de 20 mètres de haut ressemblant aux fonceurs, mais en rouge et noir et avec une tête de tunnellier. Sauf qu’ils ont 4 mandibules moins imposante et une longue défense imposante sur leurs front recouvert de carapaces en plaques remontant jusqu’au fond de leurs crâne long et large. Sur leurs dos lourdement protéger se dressent des « cheminés organiques » servant de fourreaux pour ses armes naturelles prenant l’aspect de bio-épées qu’il manient avec ses quatre bras. Sa longue et épaisse queue se terminant par deux pairs de pinces apte à mutiler.

- Les artilleurs. Sans nul doute les meilleurs unités de sièges à sa disposition. Encore plus imposant que les cuirassés avec leurs 40 mètres de haut pour 20 de large, Ils ressemblent à ces derniers à la différence près qu’ils sont munis de deux bras avec des bio-faux et deux autre bras beaucoup plus imposants avec des mains trapus aux doigts griffus comme l’orteil d’un raptor. Mais c’est de l’énorme bio-canon sur son dos qu’il faut se méfier, car c’est de là qu’il tire des espèces d’obus bio-plasmique fait dans une matière semi-solide qui, entrer en réaction au contact de l’air, sont aussi puissant et mortels que des tirs énergétiques. Capable de causer des dégâts de zone, perforer des défenses blindées comme du beurre.

 - Eclaireurs. Les eclaireurs sont des maîtres de la reconnaissance en toute furtivité. Une fois sur le terrain, il explore les étendues sauvages d’environnements identifié, il utilisent alors des tentacules sensitives qui se terminent par des pointes osseuses pour analyser l’atmosphère, la disponibilité et les types de minéraux ainsi que les caractéristiques des formes de vies. A savoir que ces tentacules peuvent également servir à trépané sa victime afin de dévorer son cerveau et d’absorber ses souvenirs qui lui seront utile pour connaître les faiblesses ennemies pour un éventuel assaut. Ses informations sont alors compilées puis envoyé à Zor’ghan directement pour par le biais d’un cerebros. Ayant généralement la même taille et aspect que les chargeurs, les éclaireurs se distingue par leur crâne plus imposant que ces derniers ainsi qu’une masse de tentacules cachant leur bouche.


 - Les Cérébros. Unique unité psionnique de sa horde, les cérébraux sont en quelques sortes de formiens psykeurs dont il tire principalement leurs puissances de leurs pouvoirs psychique. Servant de relais de communication entre Zor’ghan et sa horde en étendant sa portée. Ils sont également capables de projeter de puissantes attaques mentales tout en ayant une bonne résistance mentale. De parasiter les communications entre psykeurs et autres individues doter de pouvoirs psychiques. Entre autres, c’est un formien avec une peau et une carapace rouge et noire dont le corps ridiculement disproportionné par rapport à sa tête. Son volume crânien étant 2 fois plus large que tout son corps, dont ce dernier est muni de quatre bras et de deux jambes qui se terminent tous en faux. Se terminant avec une longue queue en fouet.


Unités aériennes

 - Les volants. Constituant le gros de son unité aérienne, les ailés sont des formiens qui canardent les unités ennemies depuis les airs en leurs tirants des salves de projectiles bio-plasmique apte à endommager sévèrement du blindage résistant. Quand ils ne prennent pas en chasse les unités ennemies aériennes. Ils ne sont pas bien résistants aux tirs d’armes à feux lourdes et encore moins énergétique, mais ils n’en demeurent pas moins pénibles à dégommer. Faisant l’envergure d’un ptérodactyle, les ailés ont une langue capable de se déployer comme un bio-canon d’où ils tirent leurs projectiles bio-plasmique.

Unités de Soutiens

- Ensemenseur. Principale unités de soutiens, les ensemenseurs sont des formiens mycétique qui ont pour fonction de propager, à coup d’épandages, des spores mycétiques chargée de vie microbiennes dans les airs. Ces microorganismes hostiles commencent a pour effet de modifié l’atmosphère, les océans, le sol, la flore et la faune. Les molécules organiques complexes se voient alors décomposer et recréer dans des formes mieux adaptées à l’absorption pour la horde. Accessoirement, certaines ensemenseurs contiennent également des créatures formiennes. Les ensemenseurs plantées profondément aux sols muteront quant à elles en « tours capillaires ». Mesurant 20 mètres d’envergure, les ensemenceur sont des Octopods qui flottent dans les airs et se déplace par système de bio-propulsion anti-gravitationnelle. Munies de six trompes sur les côtés d’où ils déversent leurs spores.

Tour capillaire : Des structures bio-organiques allant de plusieurs dizaines à des centaines de mètres de hauteur selon le temps de croissance permis et dont les tunnels créer par ces dernières peuvent permettre a d’autre organisme de les utilisés pour accéder aux ressources minières enfoui sous terre ainsi qu’aux populations qui se sont cachés sous terres. Ces tours ayant pour but d’utiliser la biomasse que la horde à déjà absorber pour créer des organismes supplémentaires pour aider à l’assaut. Cependant, la grande majorité de la biomasse est réservé pour nourrir les vaisseaux de la horde. Car ce sont ces mêmes tours capillaires qui génère des fosses gastriques où vont se jeter les récolteurs têtes la première pour être digérer avec tous ce qu’ils ont dévorer. Une fois digérer, les fosses gastriques transmutent la biomasse en un grumeau biologique nutritive qui sert à nourrir la horde et à ravitailler les ruches par l’intermédiaires des tours capillaires. Et suite à cela, des nouveaux récolteurs sont créer en continue pour continuer ce cycle. Bien que les tours semblent être analogue à une plante, elles ne sont pas moins agressives que les autres. En effet, elles étendent des lianes sur toute la planète qui peuvent absorber les espèces indigènes, à la fois les plantes que les petits organismes. Ce faisant, les tours filtrent également l’atmosphère environnante. Absorbant la biomasse des microbes et petits créatures volantes. Epuisant la vie sous la terre comme les champignons, les racines et toute la faune qui s’y cache. Mais également les eaux et mers, avec créatures aquatiques et végétaux marins. Les réserves minières sont également épuisées, notamment les minerais rares qui peuvent être incorporer dans les armes naturelles des différentes créatures formiennes. Pendant qu’ils puisent les ressources, les tours capillaires réinjectent la biomasse dans les vaisseaux et ruches de la horde et leurs escortent. Les bio vaisseaux et ruches étendent leurs vrillent à travers l’atmosphère qui entrent en contact avec les tours capillaires. En plus des récolteurs qui amassent la biomasse, les dernières troupes formiennes se jettent elles aussi dans les fosses gastriques et sont décomposés et dévorer afin que la biomasse puisse retourner à la flotte pour être recycler en de nouvelles créatures pour de nouvelles conquêtes. Avec eux sont absorber la biomasse, leurs souvenirs et les gènes de toutes les formes de vies indigènes des terres envahit. Une fois les derniers vestiges de la vie absorber, ne laissant que des terres stériles jusque dans les profondeurs souterraines, les tours capillaires sont également détruites pour que leur biomasse puisse être réabsorber par les flottes de la horde.


- Recolteurs. Les récolteurs sont ni plus ni moins que des unités chargées principalement de récoltés la biomasse sur les cadavres d’ennemies morts. Faisant office de charognards nettoyeurs. C’est aussi l’unité la plus simple à tuer pour des humains normalement constitués, bien qu’ils se déplacent majoritairement en groupe. Ne dépassant pas les 75 centimètres d’envergure, les récolteurs sont des formiens ressemblant vaguement à des cloportes. Ils sont munis de six pattes et ont une gueules assez béante pour leurs tailles, dont leur ventre semble la partie la plus moue de leur corps car faite pour transporter une grande quantité de biomasse.


Unités aquatique

- Plongeur. L’équivalent aquatique des « faucheurs » terrestre, les plongeurs sont de redoutables formiens à la fois agile et puissant sous l’eau. En plus d’être coriace à tuer. Capable d’endommager de façon non négligeable des engins sous-marins blindé et massacré des groupes armés et entrainé à la guerre avec aisance. D’une envergure de 5 mètres, les plongeurs sont pourvus de six bras munis de faux à la place des mains. Le haut de leurs corps est imposant pas la protection chitineuse qui le recouvre. Tandis que le bas prend un aspect serpentin. Une voilure en guise de nageoire, partant du haut de son corps, se prolonge jusqu’au bout de la queue.

Bio-vaisseaux

- Vaisseau-Mère. C’est dans ce bio-vaisseau spatial que Zor’ghan réside lors de ses voyages supralumiques aux confins de l’univers. Il s’agit ni plus ni moins que le plus puissant bio-vaisseau de son armada. Une machine de guerre capable aussi bien d’encaisser de lourdes frappes de vaisseaux ennemies que d’infliger des dégâts colossaux. C’est aussi depuis le Vaisseau-mère que sortent les Mâcheurs. D’une taille avoisinant les 19 km de long, le corps et la du vaisseau mère est recouverte d’une carapace violette d’une densité surréaliste. La tête du bio-vaisseau est munie d’une gueule béante dont la langue tubulaire est aussi munie d’une gueule garnie de longs crocs perforant. C’est sous la langue, munies d’orifices chargé d’un liquide semi-solide, qu’il projettes ses tirs bio-plasmique sur ces cibles ennemies. En plus d’être pourvues de deux larges mandibules chargées de dents tranchantes. Le reste du corps par un lots de tentacules hérissés.

- Croiseur. Constituant la principale force de frappe spatial de Zor’ghan, ils résistent relativement bien aux tirs de vaisseaux ennemies mais en revanche ils se déplacent assez vite pour effectuer des loopings acrobatiques et balancer des salves de tirs bio-plasmiques avec une précision chirurgicale. D’une taille pouvant faire 35 mètres, ils sont une version plus petite est simplifié du vaisseau-mère.

- Pompeurs : Ce sont ces bio-vaisseaux qui sont charge de puiser la biomasse dans les tours capillaires. Ce sont d’ailleurs les seules bio-vaisseaux à ne pas avoir d’armes offensives. Leurs conceptions n’ayant pas été faite pour la guerre. Raison pour laquelle ils sont fortement protéger lors du processus d’extraction ! D’une envergure de 20 km avec un aspect vaguement semblable à une crevette, ils ont pour bouche 3 vrillent tentaculaires qui s’étendent jusqu’aux tours capillaires. Des sacs organiques extensible et d’aspect transparents font offices de ventre transporteurs.

CULTE FORMIEN

Si la Horde Kiraj’ik suscitent la terreur chez les Tekkiennes, c’est tout le contraire pour les parias des sociétés Tekhanes, Nexusiennes, Ashnardienne et autres qui voit en la horde une opportunité de se venger avec en bonus la possibilité d’une vie meilleure en intégrant les formiens en le devenant par hybridation. Bénéficiant d’améliorations génétique en échange d’une servitude totale à Zor’ghan. Lorsqu’ils ne voient pas la horde formienne comme des sauveurs, voir des divinités pour certaines. C’est justement ce que propose Zor’ghan aux non formiens en échange d’une allégeance absolue et sans retour en arrière. Ainsi se forma le culte formiens dans les différentes villes et royaumes. Véritable ver dans le fruit, ayant pour objectifs d’aider la horde Kiraj’ik en tant que cheval de troy. Des agents d’infiltrations jouant un grand rôle dans l’accaparations des postes à pouvoirs, afin de créer suffisamment de brèches à exploiter pour de futures invasions d’essaim formiens.

- Patriarche de couvée. Représentant la plus haute autorité du culte formien, les patriarches de couvée sont à la têtes de cultes implantés dans les villes et villages de Terra comme d’ailleurs. En lien direct auprès de Zor’ghan, ce sont eux qui infiltrent puis occupent les postes à pouvoirs et/ou de responsabilité. Ainsi que les missions spécifiques confiés à chacun. Ce sont également les hybrides formiens les plus puissants du culte. En plus d’être nettement plus puissant physiquement que leurs races d’origine, ils sont surtout de redoutable mentaliste.

- Matriarche de couvée. Lieutenant et bras droit du Patriarche de couvée, la matriarche de couvée organise et anime les rituels d’initiations. Quand elles ne s’occupent pas de la politique intérieure de leur culte local centré autour de la logistique et la natalité des familles d’adeptes. C’est essentiellement qui se charge des méthodes de recrutements. Nommant les meilleurs recruteurs parmi les adeptes féminins. Naturellement, elles sont mariées avec leurs patriarches de couvées et elles aussi occupent des postés clés de pouvoirs. Elle est moins puissante que son homologue masculin, mais qui reste néanmoins une cultiste à ne surtout pas sous-estimé.

- Adeptes. Les adeptes constituent à eux seules plus des trois quarts du culte. Si le gros du culte se constituent principalement d’humains, les autres races sont les bienvenues. Ils se fondent dans la population locale de chaque cité des états et royaumes de Terra comme d’autres mondes en vivant une vie d’honnête citoyen sans histoire. Vivant une vie de famille et un travail honnête, sachant que tous les membres familiaux font aussi partie du culte Formien. Endoctriné dès le plus jeune âge. Bien entendue ce n’est qu’une couverture. En dehors de leurs travails, ils vivent en tant qu’agent du culte en effectuant des missions spécifiques transmis par leurs supérieurs hiérarchiques par communication psionnique via un Cerebros. Une fois avoir intégré le culte formien suite à un rituel prenant l’aspect d’un baptême dans un bassin génétique qui aura entamé un processus d’hybridation, les adeptes présentent des changements physiques se manifestant au fils du temps. Les plus récents présentent des particularités physiques de type formienes minimes comme d’une boite crânienne plus large et dépourvue de cheveux, avec une rangée de taches en formes de plaques chitineuses. Tandis que les plus anciens sont totalement « forminisé » sur le plan physiquement. Ayant les avantages des chargeurs avec l’intelligence de leur ancienne vie humaine, mais à ce stade là ils ne vivent plus une vie civile depuis bien longtemps. Considéré officiellement morts dans des accidents planifiés. Quand ils ne servent pas le culte dans les ombres, ils intègrent complètement la horde Kiraj’ik. 

NOUVELLES UNITÉS APPARUE IRP

VIE ANTERRIEUR PRE-FORMIENNE

Avant de se réincarner dans une vie où il allait devenir l'annexine royale qu’il est, Zor'ghan fut quelqu’un d’autre dans sa vie précédente. Dans la France sous l’Ancien régime à l’an de grâce 1770, Lukaz Dufont était issue d’une famille modeste résidant à Orléans, issue d’une fratrie de cinq frères et sœurs. Son père était un médecin de ville et sa mère comme femme au foyer. Malgré la rudesse de son père exigeait beaucoup de ses lui comme de ses frères et sœurs, il vivait une enfance relativement paisible pour un enfant de son âge à cette époque bien charnière du pays. Il éprouvait toutefois une grande admiration pour la noblesse de par le raffinement de leurs tenues et manières et leurs codes sociétaux. Il n’était donc pas rare de voir Lukaz adopter leurs univers en reprenant leurs gestuels et tempérament, en total décalage avec le milieu social dans lequel il baignait. D’où les moqueries discrètes des adultes passants que celles plus méchantes des enfants de son âge. Bien qu’il sût lire et écrire, il n’avait pas de livres autres que la Bible pour se cultiver. Car c’était un enfant qui avait soif de culture et de savoir ! Mais comme sa famille n’avait pas les moyens de lui en acheter et qu’il avait un tempérament de délinquant, il n’avait pas froid aux yeux pour s’introduire dans la bibliothèque privée de sa ville afin d’y voler un livre. Chose qu’il était assez doué de faire puisqu’il n’était pas à son premier coup d’essai sur des tentatives de vols et de casses, malgré les punitions sévères infligées par son père qui ne suffisait pas à le dissuadé d’arrêter ses vilainies mis aux grands jours par les échecs rencontrés auparavant. Beaucoup de ses livres étaient des romans d’auteurs illustres, mais aussi des essais de grands penseurs ainsi que des poèmes. Chaque livre qu’il lisait lui donnait toujours envie d’en avoir plus.

Puis vint la Révolution française qui mit fin au régime royal par la décapitation du roi et de sa noblesse. Suivit de prés par la Terreur qui sema le chaos dans le pays qui causa beaucoup de morts. Parmi les victimes, les parents Lukaz qui furent exécutés arbitrairement. Fusillé aux pelotons d’exécution par les partisans de Robespierres pour complicité envers les royalistes. Puis ce fut le tour de ses sœurs qui mourront violées par des malfrats profitants de la situation chaotique pour commettre leurs méfaits. Suivi un peu plus tard par ses frères qui périront quant à eux par des infections de tétanos reçurent des blessures causées par des entailles aux couteaux rouillés venant de garçons des rues devenues eux-mêmes orphelins. Lukaz était dévasté d’avoir perdu tous ses proches, songeant maintes fois au suicide sans avoir le courage de passer à l’acte. Pas a cause de son éducation chrétienne, étant donné qu’il était le seul athée de sa famille, mais plus par instinct de survie qui l’emportait toujours. Pour survivre il a dû dépouiller les civils morts de leurs argents et autres biens utiles pour la survie quotidienne, avec pour seul toit l’ancienne maison de ses parents défunts qui n’était plus que l’ombre d’elle-même par l'insalubrité accumulée par les semaines et mois qui passaient.

Sa période de survie prend fin à la fin de la Terreur, mais peinant à reprendre une vie normale après tant de temps à survivre au jour le jour. Au même moment, il s’engage volontiers dans l’armée napoléonienne où il parvient à faire ses preuves en tant que soldat grenadier lors de la guerre de la première coalition. Avec le temps il gravite les échelons hiérarchiques à mesure qu’il participe aux batailles napoléoniennes auxquelles il accumulait les cicatrices et même la perte de quelques doigts. Sa plus grande bataille reste la bataille d'Austerlitz où il y perd son œil gauche. Ses exploits et son l’ont hissé jusqu’au grade de capitaine. Ses supérieurs lui proposaient maintes fois un retour à la vie civile, mais maintes fois Lukaz refusait poliment. Il ne vivait que pour la guerre qui, malgré les horreurs qu’elle engendrait, la rendait belle à ses yeux. Mais c’est surtout parce qu’il ne se voyait pas faire autre chose que militaire. Pour lui un retour à la vie civile se solderait par une vie de sans-abri. Son ancienne maison ayant été rachetée par une autre famille durant ses débuts dans l’armée napoléonienne. D’autant plus qu’il ne s’était jamais senti aussi bien qu’en la présence du grand chef de guerre qu’était Napoléon.

Mais son aventure militaire prend fin définitivement lors de la campagne de Russie où il meurt un soir d’hiver d’une maladie infectieuse causé par une ration périmée. Aussi surprenant soit -il, il fut retrouvé mort le sourire aux lèvres, ce qui perturba ses frères d’armes. Comme s’il venait de vivre les meilleurs instants de sa vie.

L’APRES VIE

Lorsqu’il reprend conscience, c’est dans le noir absolu. Était-il encore vivant ? S’était-il réveillé en plein purgatoire ? Mille questions de ce genre fusaient dans sa tête alors que le stresse grimpait en flèche. Jusqu’à ce qu’il aperçoive un point lumineux se dessiner au loin et qui prenait rapidement de l’importance à mesure qu’il s’y rapprochait en se laissant attirer par une force invisible derrière lui. Sauf que pour Lukaz, cette sensation de bien-être fait vite place à un sentiment de malaise intense qui le fit paniquer. La logique de l’inconnue prenant le dessus in extremis. Au lieu de continuer à se laisser porter par le tunnel blanc, il y met toute sa volonté pour dévier sa trajectoire en s’écartant sur le côté le plus loin possible par un virage serré. Soudain, l’attraction mystérieuse cessa dans l’immédiat puis le noir sans fond mua en un environnement spatial illuminait par les étoiles. Autant dire tout de suite que Lukas ne comprenait pas sa situation, plus confuse que jamais. Il ne le savait pas, mais il faisait partie des rares âmes à avoir brisé le cercle vicieux de la réincarnation. Lukas était maintenant libre de voyager dans l’infinité de l’univers et même du multivers. En tant que désincarné, les lois physiques de l’univers matériel ne l’affectent plus. Tout comme les besoins de manger, boire et dormir.

Naturellement, il ne maitrisait pas son corps spirituel et certaines facultés comme le mode de locomotion reposant sur la pensée. Ce qui fait qu’il s’est retrouvé instantanément dans un autre univers. Le hasard a fait qu’il est tombé sur celui de Terra, sans même passer par le portail. Tout allait trop vite pour Lukaz qui était écartelé entre la panique, la curiosité et l’euphorie de ce qu’il voyait. Pensant même qu’il n’était pas mort mais bien en train de rêver et qu’a tout moment il va se réveiller dans son camp. Sauf que non, il était bien mort et son après vie n’était pas ce qu’il s’imaginait. Pas le néant de l’athéisme, ni le paradis ou l’enfer chrétien. Après avoir repris son calme tant bien que mal, sa curiosité le poussa à explorer cette planète au continent unique qu’était Terra. La première chose qu’il ressentit fut les innombrables lueurs attirantes brillantes un peu partout sur le continent Terranienne. Ce qu’il ignorait c’est qu’il s’agissait de points d’ancrage reincarnatoire de couleurs variées venant essentiellement d’êtres féminins de toutes races. Autrement dit, des accès à de nouvelles vies dans un nouveau corps dans un nouveau milieu.

Mais parmi tous ces points se trouvait un bien plus grands que les autres. Localisé quelque part en territoire Tekhan, plus précisément dans un mini avant-poste formien situé à la jonction entre le territoire tekhan, Nexus et Ashnarde. En se rapprochant, Lukaz se trouve au beau milieu d’une pièce organique circulaire où se tient une formienne humanoïde en train de dormir paisiblement dans une sorte énorme aquarium ovoïde bio-oganique dans lequel elle flotte. La bouche et les parties intimes reliées par des sortes de tentacules tubulaires. Le tube dans la bouche approvisionnant la formienne d’une substance qui n’était d’autre que de la biomasse qui la nourrissait abondamment. Autant qu’elle se faisait injectait des litres de spermes dans son vagin. Le bas-ventre gonflé à bloc.

Soudain, Lukaz sentit un lien partir de son nombril vers le ventre de la formionne. Paniqué, Lukaz tenta d’arracher ce cordon ombilical astral manuellement, mais en vain. En plus du relié avec cette femme à la fois belle et terrifiante sans pouvoir s’échapper d’ici, il sentit ses forces mentales se dissiper. Comme si une vague de fatigue intense le submergeait à mesure qu’il se faisait lentement aspirer dans le ventre par le cordon argenté. Peu à peu, la panique hystérique laissa place à un sentiment de sérénité irrésistible alors que sa vision se troubla, jusqu’à sombrer dans une torpeur comparable à l’endormissement.

BIENVENUE DANS L’ESSAIM

Pendant énormément de décennies, la génitrice de Lukaz devenue à présent Zor’ghan continuait de flotter dans l’aquarium ovoïde. Approvisionner d’une quantité faramineuse de biomasse issue d’innombrables vies terraniennes sous ordre de l’Overmind. Celui-ci ayant de grands projets pour ce qu’allait devenir Lukaz dans cette nouvelle vie. C’est-à-dire un Annexien de catégorie Royale. De loin le formien le plus long et couteux à procréer de l’essaim. Un champion de l’Overmind qui est à lui seul une arme de destruction massive, une sorte de messie formien. Ce n’est pas pour rien si sa conception fut sous étroite surveillance par l'annexine supérieure Xho'rak qui obéissait sous inspiration directe de l’Overmind.

La formienne humanoïde finit par pondre son œuf dans son aquarium. Ce dernier s’ouvrit pour en sortir un enfant humanoïde formien nageant aux côtés de sa mère qui le prix dans ses bras. Lukaz venait de se réincarner en un formien humanoïde pas comme les autres, car était d’une catégorie particulière. Bien qu’étant déjà un formion redoutable à peine né, il ne pouvait pas grandir aussi vite que la majorité de ses congénères. Il restait encore faible et avait besoin d’être pris en charge très longtemps et avec la plus grande attention. Énormément plus qu’un bébé humain normal !

Mais elle ne sera que de courte durée. La ruche est prise d’assaut par un régiment d’élite Tekhan ayant réussi à dénicher la ruche formienne après des longues et difficiles recherches suite à la disparition mystérieuse d’énormément de citoyennes Tekhans. La horde se défendie avec toute la hargne et la férocité dont il faisait preuve, mais ils furent tous éliminés. Tous sauf Zor'ghan qui gémissait sur le sol organique quand la commandante en chef du régiment Phenix Olga Voriakov le ramassa puis le jetèrent dans une espèce de niche technologique de haute technologique comme si c’était un sac d’ordure. Faisant monter les pleures de Zor'ghan qui se mêlait à des cries de colères intenses.

CHIEN TEKHAN

Pendant de longues années, Zor'ghan sera un sujet d’études de grande envergure par d’éminent chercheur et savant Tekhan. Mais également de cobaye, notamment lorsqu’il s’agit de l’obliger à manger de la nourriture expérimentale pour inhiber son hostilité et le rendre plus docile afin de le domestiquer et même d’en faire une arme biologique dans leur guerre contre les fors miens. Comme c’était également un formien humanoïde très intelligent, on lui apprit à lire, écrire et compter. Notamment quand ils furent convaincus des effets inhibiteurs de la nourriture synthétique octroyer. Cela allait même au-delàs de leurs attentes lorsqu’il fut soumis à toutes sortes de tests logiques et psychotechniques. C’était encore mieux par les résultats terriblement positifs lors d’entrainements extrêmes auxquels Zor'ghan fut soumis.

Âgée de 200 ans, c’était encore qu’un jeune formien adolescent mais c’était déjà une machine de guerre qui causait morte et destruction chez les fors miens. Il représentait la principale force de frappe de la légion Phenix auquel il appartenait. Pour autant il ne réservait aucune gratitude envers ses supérieurs qui le considéraient au mieux comme un animal de compagnie et dans les pires moments comme un mobilier vivant. Notamment comme une chaise aux commandants en chefs qui se succédèrent. Il était également source de moquerie lorsqu’on l’obligea à se balader avec une laisse autour du cou dans la base du régiment phénix. Les inhibiteurs eurent un tel effet sur lui où’il acquiesçait à toutes les demandes sans broncher. Un véritable énuque constamment empoisonnés de produits inhibiteurs dans sa nourriture.

Jusqu’au jour où lui et son régiment affrontèrent une invasion formienne bien plus forte et tenace que les précédentes. En tuant l’annexine de la petite horde par un coup de poing si puissant qu’il explosa, il se prit ses fluides sur son torse qui eut pour effet de purger intégralement son organisme des substances inhibitrices. Libérant intégralement son instinct de Formien Royale dans une sensation de bien-être indescriptible. Quand il se remémora tout ce qu’il a vécue au sein du régiment phénix, un sentiment de rage incommensurable le submergea intérieurement puis c’est son visage qui se crispa d’une colère aveugle. Quand sa chef lui ordonna à revenir dans le rang comme à son habitude, ce fut le début de la fin pour elle comme pour tout son Régiment. Ses doigts s’enfoncèrent net dans dos puis d’un coup sec il se jeta sur elle et la tua brutalement en lui arrachant la colonne vertébrale et le crâne qui va avec. Puis c’est toute l’infanterie qu’il anéantit avec une facilité relative.

Maculé du sang de ses anciens maîtres, il dévora le corps des soldats Tekhans puis se volatilisa dans la nature.

LA HORDE KIRAJ’IK

Le premier reflexe qu’il fit c’est de remonter la piste du chemin qu’avait emprunté la dernière nuée de formien qui passait par un très long tunnel souterrain débouchant jusqu’à leur ruche. Aussi surprenants soit -il, le peu de formien qu’il restait ne se mirent pas à l’attaquer. Au contraire, ils l’attendaient et s’agenouillèrent devant lui. L’un d’eux, un Cerebros, lui transmit un message télépathique de l’annexine qu’il avait tué. Il découvrit alors qu’il eut pour mission principale venant de l’Overmind en personne de libérer Zor 'ghan, de ce pour quoi il avait été procréer et la tournée qui lui était due. L’explication était très claire et pour la première fois de toute sa vie il était heureux de revenir auprès de sa véritable famille.

Devenue le chef de la petite nué formienne qu’il avait quasi décimé, il usa de son savoir-faire couplé à son expérience parmi les teks hannes, sa petite nuée et ses pouvoirs de Formien Royal pour faire tomber des petites et moyennes villes tekhanes assimilant presque intégralement leurs biomasses qui allaient servir à la création de nouvelles unités formiennes pour sa horde. La source de ses victoires ne venait pas de ses assauts frontaux ou surpris de son nué sur les villes, mais bien grâce l’émergence du culte formien qu’il avait implanté. Chose qui fut réalisée grâce aux parias de la société tekhanes qui n’avait rien à perdre et tout à y gagner en rejoignant la horde de Zor'ghan et parallèlement à cela les fors miens. Principalement et majoritairement des hommes dans un premier temps. Puis ce fut des femmes qui, en réalité, était des esclaves originaires d’autres contrés non tékhanes de Terras. Terranides, Nexusiens, ashnardiens entre autres. Leurs récompenses ont été à la hauteur de leurs attentes voir bien au-delà avec une grande liberté d’initiative, car leur maître Zor’ghan était très juste. Infiniment plus que chez n'importe quelles humaines ou autres espèces, du moment qu’il prêtait une allégeance absolue à son égard et à l’essaim Formien. Devenant des hybrides fors à part entière, il grossissait les rangs de son culte et accessoirement de sa horde.

En un siècle, Zor'ghan était passé d’une nuée de for miens insignifiant en une horde ses comptants en milliards et maître d’un culte formien aux ramifications s’étendant peu à peu sur les territoires Tekhanes et bien au-delà.     

RETOUR A LA MAISON MERE.

Évidemment, son culte avait beau être le plus discret et procédurales possible, son existence a fini par venir aux oreilles des grandes instances gouvernementale Tekhanes qui mirent en place un organisme de contre-espionnage anti-cultiste dans leur capital et tout leur territoire. Une bonne initiative qui a malheureusement mis trop de temps à se faire. Le ver était déjà dans le fruit et ce n’est pas en détruisant le petit avant-poste souterrain de Zor'ghan qui allait améliorer la situation. Ce dernier ayant fait exprès d’offrir une victoire à ses ennemies alors que cela faisait longtemps qu’il avait embarqué toute sa horde et la biomasse avec lui pour faire route à son véritable chez lui. Là où il va coordonner sa horde et en faire son véritable quartier général.

La fourmilière galactique.

HISTORIQUE RP

RELATIONS RP

-   Amicale
-   Neutre
-   Ennemies

 

Un beau bébé que voici, bienvenu à bord

L'équipe de validation devrait passer rapidement s'occuper de toi.

Bienvenue !
Tu es validé, bon jeu !