Une rencontre irréelle et pas du tout voulue [Akita]

Je pianote longuement sur ma tablette tactile dans un coin du parc, pestant contre le soleil camouflant mon écran en partie, avec le contrejour. Je n'ai pas trop le choix, pour pouvoir utiliser le wifi d'un bâtiment public, pour finir le point du jour pour une réunion prévue le lendemain.
C'est vraiment rageant d'apprendre ce genre de chose à la dernière minute et j'ai clairement prévu dix minutes de grondements sur les responsables de cette réunion, qui se sont emmêlés les pinceaux des jours durant, pour finalement bloquer la réunion au lendemain.
Après, ils osent me disputer, en disant que je n'avais qu'à mieux programmer la chose!?! Cette réunion est programmée bien avant mon arrivée en tant que présidente et ils avaient insisté pour le faire par eux-mêmes, mais non! C'est une vraie catastrophe d'organisation et je promets que je vais changer ce vieux système d'organisation détraqué!

Je finis finalement l'ordre du jour de ma réunion, enregistrant le tout sur mon cloud, soupirant et m'étirant longuement.
Pfiou, maintenant que c'est terminé, je vais pouvoir... oh... ah... mince! J'étais tellement occupée et concentrée sur le travail que... j'ai oublié mes "besoins primaires"! Vite, des toilettes!
Je file vers les toilettes du parc... pleines à craquer en plein après-midi!?! Non! Je suis trop loin du lycée, trop loin de la maison! Argh! C'est trop urgent et ça m'énerve de me retrouver dans pareille situation, comme un enfant!

Pestant, je finis par me résigner, cherchant un endroit isolé, avec plusieurs fourrés, grimaçant en tournant la tête à gauche à droite... Bon, je vais devoir... faire avec les moyens du bord...
Je m'enfonce dans les fourrés, pour être sûre de ne pas être vue des allées du parc, avant de doucement et timidement baisser ma culotte bleu ciel et m'accroupir, tournant la tête à gauche à droite tout du long de... ma "petite affaire"...

Décidément, cet endroit de métal, de verre et de pierre est immense et Akita, qui n’a aucune connaissance des lieux et un très mauvais sens de l’orientation, se perd très facilement dans ce dédale terrifiant. Ce sens de l’orientation déplorable n’a rien à voir avec le fait qu’elle soit une plante, mais plutôt qu’elle ne fait guère attention où elle met les pieds. Ou plutôt, elle fait en sorte d’éviter toute rencontre avec ces êtres de chair étranges. Qui sait ? Ils pourraient être dangereux. Éviter leurs étranges boîtes de métal bruyantes et qui se déplacent vite en répandant des odeurs nauséabondes dans l’air. La dame-plante n’aime pas cet endroit. Mais ce n’est pas comme si elle avait choisi délibérément d’être là. Donc à défaut de choix, il faut s’adapter pour survivre et son lieu de détention fut le meilleur endroit pour apprendre rapidement à survivre. Elle peut au moins reconnaître cela à cet endroit monstrueux.

Mais la voilà arrivée près d’un endroit étrange peuplé uniquement de jeunes êtres de chairs. Quel est cet endroit où se réunit tout cette foule, vêtue de leurs étrange tenue, deux tenues différentes, une pour les mâles et une pour les femelles ? Quelle étrange habitue ont les habitants de ce monde de porter quelque chose sur le dos ? La verte créature est cachée au milieu des fourrés, impossible de la voir avec sa couleur naturelle qui se confond avec celle des buissons.

Un de ces êtres étranges court vers un petit bâtiment, visiblement déjà bien remplie. Elle se dirige alors vers les buissons, visiblement contrariée ou résignée, difficile de comprendre un sentiment aussi compliqué. Elle s’accroupit alors, baissant cet étrange tissu que ces êtres de chairs glissent entre leurs jambes et un étrange liquide dorée jaillit. Intriguée et profitant qu’elle regarde ailleurs un court instant, Akita se place à côté d’elle, mais de face. Accroupie, entièrement nue, Akita ne cache rien de ses attributs féminins et masculins. Avec la pluie, puis le soleil, la terre du parc, la poitrine végétal est au plus gros et le membre masculin de la dame-plante est au plus long et au plus épais. Sa tête inclinée de côté comme un animal intrigué par ce qu’il voit.

"-Que fais-tu ?"

Concentrée sur l'observation des environs, je ne remarque pas du tout le mouvement furtif devant moi et lorsque je tourne la tête, je tombe nez-à-nez avec quelqu'un, me faisant sursauter et tomber en arrière sur les fesses, plaquant mes mains devant ma bouche, pour étouffer mon cri de surprise.
Que... Qu'est-ce que c'est?!? Il y a... une femme? Un homme? Une personne transgenre? On dirait bien cette dernière hypothèse, avec la poitrine massive et ce gros pénis entre ses jambes... Et... pourquoi cette personne est entièrement nue? Et verte? On dirait tellement cette femme dans les comics américains... Poison Ivy?

Les joues toutes rouges de gêne devant ce spectacle dont je n'arrive pas à détacher le regard, tantôt de son visage, tantôt de sa poitrine, tantôt de sa verge, tantôt des jolis motifs sur son corps... Dans un coin de mon esprit, je me dis qu'il... qu'iel est plutôt... beau...
Je tremble cependant beaucoup, n'arrivant pas à me relever, tétanisée par la surprise et le fait que je me sois faite voir en train de... en train de... voilà quoi!

- Que... Euh... Hein?
Je... Hum... J'étais juste en train de... Je... Je cherchais quelque chose, c'est tout!

La dame-plante voit cet étrange petit être devenir tout rouge et basculer en arrière, visiblement surprise. Akita laisse détailler son corps du regard sans honte, sans gêne. Visiblement ce petit être a l’air toute surprise de la voir et pourtant elle ne cesse de regarder le corps végétal sans pouvoir en détacher les yeux.

"Tu cherchais ?"

La verte créature s’approche à quatre pattes de celle qu’il l’observe.

"Si tu veux observer Akita, tu peux la voir de plus près et même la toucher."

Le corps d’Akita devient très proche de celui de la demoiselle. Son visage si près du sien, son opulente poitrine près de la sienne et surtout son membre viril près de son intimité dévoilée. Inconsciente de la porte de ses gestes et de la gêne et de l’envie qu’elle provoque, sa peau si proche, son souffle effleurant les lèvres humaines.

"Mais Akita ne comprends pas, que cherchais-tu et comment cherchais-tu avec ce liquide doré qui sort de ton orifice ?"

Pour se maintenir au-dessus de l’humaine, Akita pose une main derrière elle et une autre sur le haut d’une cuisse de la femme surprise. Ne calculant pas ses gestes, inconsciente de ce qu’ils peuvent déclencher.

"Akita ne comprend pas, mais peux t’aider si tu veux."

Je reste rouge cramoisi, alors que la "femme-plante" devant moi réduit de plus en plus la distance, semblant complètement ignorer la portée et la conséquence de ses propos et ses gestes... ou alors elle n'a juste aucune pudeur et hésitation?
Comme hypnotisée par son corps et la beauté qu'elle dégage... ainsi que cet étrange parfum floral semblant émaner d'elle... je suis complètement figée, ouvrant et refermant doucement la bouche à quelques reprises, comme un poisson cherchant de l'air.

- Je... Je... C'était... mes clés... je les ai retrouvées et je... j'allai pour...

Je grimace en secouant finalement la tête, vaincue par ma trop grande honnêteté: on m'a appris à ne pas mentir et je bafoue tous mes principes et mon éducation dans cette discussion moi!

- Je... En fait... Je voulais m'isoler des autres, pour... soulager ma... vessie... J'étais pressée et je n'arrivai pas à trouver... de toilettes...

Je baisse les yeux d'avantage, essayant de voir autre chose que sa... jolie poitrine... mais c'est pour mieux apercevoir sa grosse verge se rapprocher de mon intimité complètement à nue et offerte à elle! Et avec mes quelques mouvements de recul, je me suis éloigné de mon pantalon et ma culotte et je remarque finalement les mains de la femme (qui dit s'appeler Akita apparemment) posées sur mon corps et à coté de moi, me bloquant complètement.

Le souffle court et bruyant s'échouant régulièrement sur les lèvres de la femme-plante, j'essaie de constituer une phrase complète.

- Je... Madame Akita... Vous êtes... trop proches de moi... Cela me... perturbe terriblement... surtout votre... verge...

Akita observe, toujours aussi intriguée, l’étrange petit être qui devient de plus en plus rouge. La proximité semble avoir pour effet de la faire rougir, même si la dame-plante n’a aucune de la raison.  Sa réponse est étrange, elle parle de "clés". Impossible pour la belle plante de comprendre le sens de ce mot, ni même l’intérêt d’une telle chose. Mais voilà qu’elle change de raison. Cet étrange bâtiment est donc des toilettes, curieux endroit où tout le monde semble se presser. Elle parle alors de la verge qui semble la perturber

"Vider ta vessie ? Tu veux dire du liquide dorée ?"

Akita comprend de moins en moins.

"Tu ne dois pas avoir peur."

Une main se saisit d’une main de la petite créature et la pose sur un des voluptueux seins de la femme-plante. Cela fait, elle se saisit de l’autre main pour la poser sur sa verge En s’approchant et par ses mouvements cette verge verte se met à caresser l’intimité de l’inconnue. La main active soulève alors le haut de la tenue de ce petit être de chair, elle dévoile alors la poitrine plus menue, mais quand même très jolie.

"Comme ça, toi aussi, dévoilée comme moi."

Sans gêne, la main se saisit d’un des seins et se met à le masser doucement. Ses lèvres viennent se saisir du téton voisin et l’aspire avec gourmandise.

"Pas de lait, pas de bébé."

Puis elle le fait avec l’autre téton, comme pour être sûre d’elle. Par ses mouvement, l’extrémité de sa verge vient appuyer doucement mais fermement contre l’entrée de la fleur intime.

C'est vraiment étrange, malgré la situation très ambiguë et dangereuse que je suis en train de vivre, je sens bien que... la peur et la surprise s'estompent peu à peu, alors que cette femme se colle complètement à moi, si douce... si gentille... si sensuelle...

- Je... Oui c'était... ça...

Je sursaute et rougie de plus belle, alors que je me retrouve à empoigner un des gros seins de la créature en face de moi... mais aussi une main sur sa grosse verge. Une bouffée de chaleur m'envahit des pieds à la tête, dans un long et puissant frisson, m'arrachant un léger gémissement:

- Ah... Non... On risque de... se faire voir...

Je dis ça... mais en même temps, je masse et caresse sa poitrine d'une main et commence doucement à empoigner et caresser son sexe de l'autre, comme hypnotisée, n'arrivant plus à regarder autre chose qu'une partie du corps de Akita, qui me met à nu, pour s'attaquer à ma petite poitrine. Je gémie en atténuant le son comme je peux, en me tortillant de partout, mon intimité s'humidifiant bien vite:

- Han... Vous... Vous êtes... belle et douée...

Sous la main du petit être de chair, Akita fait pousser un téton, pour que son amante surprise puisse en jouer. Elle joue avec la poitrine menue, la massant, la caressant, la rapprochant, la séparant, la léchant, la suçant et la mordillant. Les tétons sont aspirés et la langue habile s’amuse à les faire tourner. La dame-plante embrasse furtivement le petit être de chair entre deux jeux avec ses petits seins.

"Chuuut ! Akita va s’occupe de toi partout. Elle va mettre son nectar partout en toi.

Telle la racine en quête d’eau, le membre végétal glisse dans la fleur intime et humide. Elle glisse lentement, très lentement, profondément, atteignant le fond de cette grotte inconnue. Les chairs intimes sont caressées avec douceur par le sexe végétal. Arrivée à l’entrée de son utérus, le membre recule toujours aussi lentement. Il ressort presque entièrement, laissant juste son extrémité entre les pétales intimes. Puis il replonge toujours aussi profondément. Akita prend son temps, elle est une plante, elle n’est pas pressée, elle tout le temps devant elle. Le temps n’est pas à la portée de sa compréhension, si tant qu’elle ai besoin d’une telle connaissance.

"C’est doux, chaud et humide en toi. Akita va arroser ta jolie fleur, beaucoup, beaucoup."

Ses mouvements s'accélèrent légèrement, très légèrement.

Je contiens mes gémissements comme je peux, me tortillant de plaisir sous les assauts de la femme-plante en face de moi, qui "agresse" ma poitrine de coups de langue et de succions appuyées, faisant pointer et durcir mes tétons.

- Ah... Ah... Vous me donnez si chaud...

Je me cambre et gémies longuement de manière étouffée, alors que sa verge végétale s'enfouit profondément en moi, lentement et méthodiquement, comme si elle voulait qu'aucun espace intime en moi ne soit délaissé.
Les va-et-vient sont lents et profonds, me faisant me tortiller de plaisir, remarquant alors un tétons sur la poitrine de Akita, qui n'était pas là avant et je vais rapidement suçoter et téter ce bout de "chair":

- Han... Mer... Merci de cette... attention... si profondément enfouie en moi...

Devant les tétons qui se dressent et se durcissent, Akita envoie une vrille ne masser et aspire et serre l’autre de ses lèvres. Alors que sa jeune amante parle de chaleur, les vrilles la déshabillent complètement, dévoilant son corps. Des vrilles masser ses jolies petites fesses et les écartent, pendant qu’une autre vient titiller son petit orifice étoilé. Les jambes de la jolie demoiselle sont écartée au maximum et les hanches végétales accélèrent plus franchement leur mouvements. Excité par la situation le membre végétal s’élargit sous la pression montant de la semence sucrée, appuyant sur les chairs intimes l’enserrant.

"Akita aime aussi, c’est doux, chaud et humide. "

Lorsque le petit être de chair vient sucer sa poitrine, la dame-plante lui sourit et vient lui caresser les cheveux, avant de glisse sa main, sur sa nuque, ses seins, son ventre, son pubis et de caresse diligemment son clitoris.

"Tu as faim ? Akita te donnera tout ce qu’elle peut. Elle te donnera partout où elle peut."

Akita accélère toujours un peu ses mouvements, tandis que la vrille s’amuse à titiller son petit orifice étoilé.

Jamais je n'avais ressenti un plaisir si particulier, si "langoureux" et progressif, alors que cette femme me pénètre de plus en plus vite, mais de manière si contrôlée et constante... Elle accompagne si facilement mon plaisir ardent, alors qu'elle me met à nue avec... des lianes? Elles m'enserrent les jambes et les écarte, facilitant bien vite la pénétration de Akita et rajoutant aussi à mes gémissements de plaisir. Je sens alors quelque chose fricoter avec mon anus, rajoutant à mes tortillements de hanches:

- Ah... Ravie que... ça vous plaise aussi...

Je frissonne longuement de toutes les caresses parcourant mon corps de haut en bas, rougissant doucement, avec un petit coup de langue sur le téton de la femme-plante:

- Je... Comment ça, faim? Comment me... nourririez-vous... dans notre étreinte actuelle?

"Pour te nourrir, Akita fera entre son nectar entre tes jambes, puis dans ta bouche et enfin dans tes fesses. Elle te nourrira partout. Elle t’en donnera tant que tu en voudras."

L’ignorance d’Akita sur la façon de se nourrir de ses êtres si différents d’elle se dévoile sans honte, ni pudeur. Pour elle, répandre cette semence sucrée, c’est comme arroser une plante. Elle ignore si ce liquide est nourricier ou non pour ces êtres de chair, mais l’être végétal ne se pose pas vraiment la question de savoir si c’est le cas ou non.

Cette fois, les mouvements de bassin se font bien plus forts et en peu de temps, le liquide blanc vient se répandre par vague dans l’utérus, puis dans le vagin et enfin sur ses lèvres intimes, se mêlant au liquide de plaisir de son amante.  Le membre vert attend que cette dernière est exprimé son plaisir à son tour pour se retirer lentement dans un bruit de succion. Le membre, souillé de semence et de liquide de plaisir, se présente et vient se glisser dans la bouche de Hiyori, lentement mais fermement.

"Régale-toi !"

Une main caresse les longs cheveux, puis vient caresser les jolies petites fesses en les écartant. L’autre caresse le jolie clitoris, amusée de voir le sexe blanchit par le plaisir de la dame-plante.

Mon "amante végétale" se déchaine langoureusement en moi et je sens finalement bien le changement de rythme, alors que son sexe m'emplit complètement sous tous les angles, comme s'il s'était adapté à mes formes intimes.
Sous ses diverses caresses sur l'ensemble de mon corps, je finie par jouir puissamment, dans une longue plainte que je peine à étouffer, en enfouissant ma tête dans la poitrine voluptueuse de Akita.
Elle m'emplit lentement mais sûrement entièrement mon vagin, me faisant longuement frémir, sous cette déferlante de semence.

- ... Ouah... C'était... si intense... si merveilleux...

J'ai à peine le temps de me remettre qu'elle se retire de moi, pour plonger son sexe couvert de semence dans ma bouche, me faisant gémir de surprise et de plaisir. J'écarte docilement mes cuisses, pour qu'elle aie un meilleur accès à mon intimité, alors que je caresse son sexe de mes lèvres et ma langue, dégustant cette semence, douce, chaude et sucrée... Ca ne ressemble pas à de la semence "normale"... mais ce n'est pas désagréable...

Akita caresse les cheveux de la jeune amante alors que celle-ci étouffe sa jouissance dans sa poitrine. Tout comme, elle continue de les caresser, alors que celle-ci fait des allées et venues de sa bouche sur son membre végétal. La laissant faire un long moment et la regardant se délecter de sa semence sucrée pendant un long moment, la dame-plante laisse même échapper un peu plus plus de semence de son phallus vert. Une fois la dégustation de son membre terminée, elle se retire lentement des lèvres de son amante surprise. Elle s’assoie et ses mains soulèvent sans aucun effort l’humaine. Les fesses humaines sont posées sur ses cuisses et son membre se met alors lentement à appuyer sur le petit orifice étoilé de l’être de chair. La posture ce denier fait qu’il se trouve dos contre son opulente poitrine. Les bras humains sont dressés au-dessus de la tête et maintenus ainsi par des vrilles qui les lies entre eux. D’autres vrilles viennent entourés la petite poitrine pour masser les seins et d’autres viennent pour jouer avec les tétons. Les jambes et les cuisses sont écartées au maximum dévoilant le sexe débordant de semence sucrée. De nouvelles vrilles viennent jouer avec les lèvres intimes et le clitoris. Une vient même titiller son petit orifice lui servant à se soulager. Les mains végétales assurent le mouvement de haut en bas pour donner le rythme de la pénétration du mignon petit postérieur.

"Regarde c’est tout blanc entre tes jambes. Maintenant Akita va faire pareil entre tes fesses. Tu vas aimer ce qu’Akita fait."

L’extrémité du membre végétal finit par perforer l’orifice étoilé et de lents mouvements de va et vient commence, lents mais de plus en plus profonds.

J'ai à peine fini de déguster le sexe végétal de la femme-plante que cette dernière se retire de moi... et je sens des lianes m'encercler d'avantage et me manipuler comme une poupée de chiffon, me bougeant sans aucun effort visible. Des vrilles caressent mon corps sous tous les angles de nouveau, m'envoyant plein de piques de plaisir à travers mon corps, me faisant me cambrer et gémir puissamment.

- Ah... Vous... Vous tripotez tellement mon corps de partout... Han... c'est merveilleux...

Je sens sa verge verte appuyer contre mon anus, me faisant doucement frémir, alors que j'ai du mal à admettre que... j'apprécie la sensation de la sodomie sur mon corps...
Je me cambre et couine de plus belle, en tâchant d'étouffer au mieux mes couinements de plaisir entre mes lèvres serrées:

- Oh oui... j'adore même ce que vous me faites... depuis le début...