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Emotions fortes partagées | Johnny, Chloé

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Johnny Paso

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    Un Argentin hypersexuel et passionné de culture physique, il cherche la célébrité au Japon, mais ce géant pourrait aussi bien tout casser ici aussi.

Emotions fortes partagées | Johnny, Chloé

lundi 04 janvier 2021, 01:40:48

Emotions fortes partagées
Johnny Paso | Chloé Reynard

Il en avait du bol !

Johnny avait gagné ce week-end tous frais payés à un jeu par tirage en sort dans un magasin où il n'avait mis les pieds qu'une seule fois. Il avait joué, avait coupé les spams le lendemain, et avait vite oublié. Et puis, il avait reçu un coup de fil. Il avait raccroché, pensant à une arnaque classique. Il avait reçu un courrier lui annonçant sa victoire. Il avait trouvé ce canular franchement insistant et avait voulu se renseigner dessus. C'est là qu'il avait compris qu'il ne se faisait pas arnaquer ; mais pas avant d'avoir broyé le courrier ! Il avait attendu que le téléphone sonne à nouveau ou qu'un courrier arrive, et un recommandé avait enfin trouvé son chemin : dernier rappel avant remise du jeu du prix. Il avait téléphoné au numéro surtaxé depuis la rue sans même fermer sa boîte à lettres. Oui ! Bien sûr qu'il acceptait !

Le prix était un peu l'équivalent d'une Wonderbox classique : pour qu'il plaise au plus grand nombre, on proposait de nombreuses activités, pour plus ou moins de monde, à diverses dates et généralement pour 1 à 3 jours. Johnny avait méticuleusement décortiqué les séjours et leurs conditions, que ce soit le spa à onsens traditionnels, la randonnée vers le mont Fuji, l'auberge traditionnelle avec animations d'époque, le baptême de l'air en avion de chasse, la conduite de bolides sur circuit, le séjour galeries d'art et hôtel...
Mais, pour lui, c'était immanquablement les 3 jours de sports Xtrem!, c'était écrit comme ça, qui étaient les plus intéressants : saut à l'élastique démentiel, parachutage de haute altitude, initiation au sumotori avec un maître sumo ; et on en passait ! Le tout dans un établissement luxueux avec massages, onsen et soins du corps " non inclus ", mais aussi une pension complète " de base ". " Pour une ou deux personnes ". L'idée de ne pas profiter de tout à volonté lui faisait de la peine, mais il se dit qu'il pourrait trouver moyen de faire des trucs pas trop cher une fois pour se la péter en ligne et jouer les caïds. Ah ! Ouais ! C'était un bon plan. Il allait faire exploser son compte d'abonnés et son engagement allait décoller.
Aucun nuage à l'horizon.

Le jour fatidique vint bien trop doucement à son goût. Excité comme une puce, il rejoignit en train et en navette le splendide hôtel où il passerait son long week-end d'éclate en milieu d'après-midi. Il alla s'enregistrer à l'accueil, tout sourire, et répondant par un clin d'œil aux regards soutenus d'une des employées, qui rougit et alla se cacher en arrière-salle. Ouais ! Tout était super !

" Bienvenue, Paso-San ! Voilà votre clé, votre plan, votre programme et les codes d'accès client. Votre accompagnant est déjà en train de s'installer. "

L'Argentin allait hocher la tête avec plaisir quand il s'arrêta net, dévisageant l'hôtesse d'accueil comme s'il avait mal compris. Son japonais restait parfois approximatif, mais...

" ... Mon accompagnant ? "

" Oui. Il est arrivé juste avant vous. Tout va bien ? "

Quoi ?! Merde ! Il ne s'attendait pas à être accompagné ! Les bâtards ! Quand il s'était enregistré seul, ils avaient dû laisser une place ouverte pour cette date. Il aurait dû se déclarer à deux et venir seul. Il trouvait ça louche, aussi, de devoir préciser le nombre de personnes impérativement. Putain ! Il allait se retrouver avec un autre dude dans sa chambre, c'était trop bizarre !
Et dans le même temps... Les photos de fou, l'expérience de dingue, les retours sur Insta...

" ... Oui ! Tout va bien ! Ha-ha ! Ne vous inquiétez pas. C'est quel numéro, déjà ? "

Un peu abattu, mais résigné et décidé à tirer le meilleur de l'occasion, Johnny se pointa au dernier étage avec son sac sur le dos. Il avait trouvé le groom qui le suivait à la trace vraiment bizarre et il avait repris son sac, laissant un pourboire au gars ; il avait fait ce boulot, une fois, et les gens pouvaient être affreux. Ce n'était pas grand-chose, mais le geste et l'opportunité de sauter un transfert de bagages semblèrent très suffisants pour rendre la journée de l'employée infiniment meilleure.
Il trouva la chambre. " Une suite avec terrasse entre océan et montagne dans l'aile ouest ", avait dit l'hôtesse. Il s'attendait à un truc super, au vu de l'établissement, très chic ; mais il redoutait celui qu'il allait découvrir. Allez ! Il serait peut-être cool ! La clé magnétique passa devant le boîtier et celui-ci bipa. Une bonne inspiration et Johnny passa enfin la porte.
Il arriva dans une chambre dépassant ses espérances. Encerclée de verre et lumineuse, elle disposait de son petit coin salon et lecture, d'un lit king size d'apparence très confortable, d'une grande télé surplombant un minibar conséquent, et d'un coin salle de bains consistant en une double-vasque et une douce à l'italienne entièrement en verre. C'était le genre de truc génial pour un couple, mais pour deux mecs encore une fois... Il y aurait peut-être malaise lors de la douche.

Mais en explorant, il tomba enfin sur " son accompagnant " et fut choqué pour une raison à laquelle il ne s'attendait absolument pas. Coi, il parcourut les longs cheveux roses, la silhouette féminine et le joli minois qui se tourna vers lui, ne lui tirant qu'un salut silencieux. Merde ! C'était une femme ! Et une sacrément jolie avec ça ! Il ne savait pas qu'il devait trouver ça bien mieux ou potentiellement pire, mais à la voir son esprit malade commença à se faire des films, et il dut se concentrer dur pour ne pas commencer les présentations par l'érection d'une gaule édifiante sur le tissu de son bas de survêtement en toile. Il préféra rouler des mécaniques sous son petit débardeur blanc bien rempli pour se donner de la contenance et trouva la force d'ouvrir la bouche.

" Salut, je suis Johnny... ton accompagnant. "
« Modifié: mardi 30 mars 2021, 22:29:31 par Le Grand Jeu »
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Chloé Reynard

Humain(e)

Re : Emotions fortes partagées | Johnny, Chloé

Réponse 1 mardi 05 janvier 2021, 22:55:01

C'est bien le genre de Kelly d'offrir un truc pareil. "RiskYourLife", pas la meilleure approche pour promouvoir ce genre d'activités. Si un weekend sympa doit se transformer en cortège funéraire, la société qui propose cette carte cadeau devrait revoir sa pub. Et bien entendu, avant de lui offrir ce cadeau presque empoisonné, sa sœur a bien prit soin d'en poster le détail sur son compte instagram avec le tag habituel #ToMyLovelySister. Les likes explosent et Chloé est attendue au tournant. D'ailleurs, ses comptes à elle sont pris d'assaut et trop nombreux sont ses followers qui l'incite à poster ses retours de ce weekend.

Saut à l'élastique? C'est dangereux ça non ? Saut en parachute? Euh, vraiment? D'un avion qui vole? UN COMBAT CONTRE UN SUMO ?? Jamais de la vie! Conduire une voiture de sport? Ah ça oui c'est bien, en plus, elle a une Yaris ..... Ooooh! Hôtel de luxe, sauna, hammam, spa, chambre ++ réservée mixte? Ca veut dire quoi mixte? Douche et baignoire? Ah non, c'est écrit en tout petit là. La société organisatrice, d'obédiance wiccan, prône la liberté pour tous et la naturisation de la société japonaise. Mais c'est complètement con et ça ne veut rien dire! C'est quoi en fait? Une chambre pour deux, homme et femme, homme et homme, femme et femme? Pas la peine d'en faire tout un plat, en 2020, faut y aller. Chloé se fout de devoir partager sa chambre avec quelqu'un. Si ça doit merder, elle en craquera une à la réception et elle aura une chambre à part.

#LaVengeanceEstUnPlatQuiSeMangeFroid (long mais explicit), Kelly, tu me le paieras!

Chloé a deux jours pour se préparer, c'est limite. Une fois ses valises prêtes (au nombre de 3), elle les vide sur son lit et trie à nouveau ses affaires. A chaque sport sa tenue, pas question de poster des photos avec les mêmes fringues. En plus, les repas au resto + le spa, elle doit briller!

Le jour J !

"KELLYYYYYYY! Tu m'emmènes?"

Sa grande sœur est la meilleure grande sœur du monde! Elle l'adore. Kelly la dépose devant l'hôtel après une bonne heure de route mais bien évidemment, aucune des deux filles ne bougent de la voiture tant qu'un voiturier ne vient pas leur ouvrir la portière. Un groom se précipite pour sortir les bagages du coffre du gros 4x4 et gémit sous le poids des fardeaux. Les filles s'embrassent, Kelly viendra chercher Chloé lundi midi.

Bien ... C'est un hôtel de luxe superbe situé dans une zone prisée entre océan et montagne, la clientèle est friquée. C'est le monde de Chloé. Celle-ci se dirige vers la réception suivie par son esclave du moment. Si il renverse une valise, elle le détruit!

"Chloé Reynard, chambre réservée à mon nom!"

Pas question de poser la carte cadeau sur le desk à la vue de tous. L'hôtesse lui souhaite la bienvenue et lui tend la carte d'accès électronique en précisant ...

"Votre accompag..."

"N'est pas l'objet de mon attention pour l'instant! Merci!"

Chloé l'abandonne à son sort et se dirige vers l'aile ouest. AAAAHHHHH ! Magnifique! La jeune femme sort de son rôle de salope et se jette sur le méga lit! Trop cool !!!! Elle farfouille dans son petit sac et tend un billet à la hauteur des efforts du groom.

"Tiens mon beau, t'as bien bossé! J't'aurais bien embrassé mais tu es employé ..."

Une fois le pauvre garçon parti, elle fait le tour des lieux, explore le moindre recoin de la pièce, se pose sur le grand balcon et contemple les jardins de l'hôtel, sublimés par un soleil éclatant.

Elle a encore une heure avant la première activité. Un organisateur viendra la chercher pour une expérience de conduite unique sur un circuit grande vitesse situé à vingt minutes. Enfin, la ou les chercher car son accompag ... ah ben si, il est là. En entendant le clic de la serrure, Chloé revient dans la chambre pour accueillir ... ou maudire la ... OOOOOhhhh ! Quelle surprise. Chloé ne se gêne pas pour détailler le nouveau venu. +10 pour le corps de fou, +5 pour la gueule virile, -3 pour les fringues. La moyenne générale est acceptable.

"Salut Johnny, moi c'est Chloé! Bon ... apparemment tu vas devoir me supporter le temps d'un weekend?"

Elle lui fait un petit coucou de la main.

"J'ai quelques affaires que je déballerai plus tard, on a rendez vous dans une heure dans le hall pour la première activité, mais avant ..."

Elle se colle contre lui, sa joue contre le gros biceps. Il est vraiment très grand ...

"SMIIIIIIILE !!!"

... et prend un selfie qu'elle envoie aussitôt sur ses comptes #LoveThemBig.

"Euuh, alors je sais que je peux être envahissante, alors hésite pas si ça te gêne hein? Je pousserai mes jumeaux ailleurs!"

Elle soupèse explicitement sa poitrine pour doubler le sens de ses paroles. D'autant plus que sa tenue est une invitation à l'agression sexuelle.

"Tu veux boire un truc? J'ai regardé dans le frigo mais c'est pas génial, je vais commander un Ruinart, y'a des flûtes dans ce meuble."

Chloé le regarde de plus près alors qu'il s'installe. MMmmmhh, son instinct de prédatrice se réveille. Le beau gosse pose des affaires sur le chevet libre. Elle se jette sur le lit à plat ventre, rebondissant sur le matelas, et levant vers lui un visage d'ange en lui offrant une vue vertigineuse sur son décolleté, elle lui demande.

"Tu viens d'où? Tu fais quoi dans la vie? C'est un cadeau que tu as gagné, ton séjour ici?"

Elle se retourne sur le dos et s'étire.

"Je veux tout connaitre de toi!"




Johnny Paso

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Re : Emotions fortes partagées | Johnny, Chloé

Réponse 2 jeudi 28 janvier 2021, 02:26:15

Il en avait du bol, Johnny !

Lorsqu'il avait joué et s'était préparé à la grande excursion, il n'avait jamais osé imaginer qu'il se retrouverait logé avec une fille jolie, accueillante et, à tous les coups, tout aussi contente de voir ce qu'elle avait tiré au sort. Chloé... Ca sonnait bizarre ; pas Japonais ; sûrement... Français ? Mais elle s'exprimait dans un Japonais sans accent et bien plus naturel que le sien. Non pas que Johnny en soit encore à apprendre les ficelles de la langue, mais il était assez clair pour n'importe quel Japonais qu'il restait hésitant : il n'était pas tout à fait bilingue et il réfléchissait encore à beaucoup de ses phrases malgré son débit très convenable. Alors il comprenait bien ce que disait la jolie... rose ? Il déduisait aussi d'après les gestes et ce qu'elle faisait. Il n'avait pas immédiatement compris lorsqu'elle avait pris la photo, prenant la pose de beau gosse par réflexe plus qu'autre chose ; mais il avait bien compris le reste.

Un sourire s'était fiché sur son visage. Son imagination s'emballait. Qu'est-ce qu'on avait dit par rapport à la gaule équivoque ? Pas évident de la repousser quand la vue encourageait les scénarios libidineux. Il réalisait que Chloé était du genre à savoir faire tourner la tête du monde en se perdant dans son décolleté. Sa tenue très légère était déjà d'humeur à le mettre en chaleur, révélant tant de peau qu'il était possible de montrer sans être virée de n'importe où et moulant ce qui devait l'être sans effort apparent, mais la manière dont elle la portait était tout bonnement provocante, un appel au rut qui avait sûrement dû faire beaucoup suer sur son passage et continuait de faire son effet entre eux. Et leur lourdeur était juste...

" Ne dis pas de bêtises, " répondit-il avec une candeur exagérée par son excitation ! " Si on doit passer le week-end ensemble, autant ne pas séparer la chambre sans essayer de s'entendre. "

Oui, c'était une réponse... judicieuse... acceptable. C'était certainement mieux que de lui faire remarquer qu'il ne risquait pas de mettre à exécution ses pensées lubriques si elle se tenait hors de portée de ses mains.

Par contre, ils ne savaient rien l'un de l'autre, vraiment. Alors, profitant qu'elle passe à autre chose, il alla cacher sa bosse tapageuse en sortant quelques affaires, dos à elle. Il ne pouvait s'arracher à son sort pour autant et, en ouvrant doucement son sac, il sentait presque le poids du regard de la belle sur lui et se perdait, entre réalité et fiction, dans un scénario dans lequel elle s'approcherait de lui et il l'attraperait pour la projeter sur le lit, lui arracherait son short et tirerait ses seins opulents de ce top bien trop petit pour eux.

Qu'est-ce qu'elle avait dit ? Ruinart ?! C'était pas le genre de truc... très cher ? Il allait passer pour un abruti s'il demandait combien ça coûtait, n'est-ce pas ? Mais ça sonnait comme ruiné, aussi ne pouvait-il s'empêcher de serrer les fesses en considérant la question. Pouvait-il vraiment lui refuser cet élan ? Elle semblait décidée. Pourquoi ne pas célébrer cette rencontre et le début de cette folle aventure ? Il tourna la tête vers elle en haussant et les épaules et en laissant échapper un acquiescement enthousiaste : toujours laisser penser qu'on est en contrôle. C'était sûrement une règle débile, mais c'était une des siennes.

Il n'avait guère le temps de répondre, de toute manière. Il entendit le son de la literie rembourrée avant de la voir allongée vers lui, les yeux brillants, l'échancrure de son top si large qu'elle semblait seins nus sur le lit douillet -et qu'il aurait aimé qu'ils eussent été éjectés de leur maigre couverture-. Elle l'interroge, se prélasse, lui donne à voir toute l'ampleur de son physique à la fois miraculeux et ardemment travaillé -il aurait pu avoir des diplômes dans le domaine sportif, avec tout ce qu'il savait, et voyait la différence- ; elle l'aguiche, c'est clair comme la roche. Pour autant, l'Argentin hésite : ce pouvait être un tour de sa psyché déséquilibrée. Il avait déjà sauté sur des filles en pensant qu'elles l'allumaient et s'était retrouvé très près d'en payer le prix. Il ne voulait pas recommencer au Japon ; surtout qu'on disait que les gaijins n'étaient pas traités tendrement, par la Justice comme par les détenus.

Il lui fallait une assurance et il avait une manière offerte de tourner autour du pot un instant et la tester : il pouvait simplement entrer dans son jeu, l'air un peu bêta, et sonder le terrain en mode donnant-donnant. Et s'il se trompait, il pouvait toujours plaider les caprices de la nature, même si la force de son érection et le calibre de l'anomalie qui déformait son pantalon laissaient douter de son côté accidentel. Ils avaient une heure, et elle pouvait déterminer à quel point leur week-end serait mémorable...

Par contre, que voulait-elle dire en demandant si le séjour était un cadeau ? On pouvait se faire, genre, offrir un week-end pareil ? C'était pas vraiment du niveau Wonderbox, non ? Perdu dans la testostérone, il ne captait qu'à moitié et n'était de toute façon par focalisé sur l'argent dans l'immédiat, mais bien sur elle.

" Je suis Argentin. Je suis venu vivre au Japon il y a moins d'un an et... disons que je fais un peu de tout. En vrai, ma passion, c'est la culture physique. "

Non, sans rire ?! Il faisait l'air de rien en finissant de ranger ce qu'il avait sorti de son sac. La gaule ne descendait pas et il allait falloir faire avec. C'était du pile ou face, à ce stade. Mais s'asseoir lui permettait de dissimuler le membre tendu derrière sa cuisse comme il se posait tout près d'elle.

" Mais c'est une longue histoire au milieu d'autres longues histoires. Qu'est-ce qu'il t'intéresse en particulier ? "

Et comme il le lui demandait, il se tournait vers elle, montant sur le lit, et révélant la difformité révélatrice de son léger survêtement. Une pointe de stress le piqua mais ne fit rien pour amadouer son excitation, la renforçant, au contraire, comme les possibilités le rapprochaient potentiellement des plaisirs qu'il convoitait. C'était le moment de vérité. Ils se connaissaient depuis cinq minutes à peine, au plus, et déjà il s'affichait au garde-à-vous sous son nez. Mais c'était vain de lutter : s'il n'était pas devenu complètement débile à force de bander, elle avait autant flashé sur lui qu'il avait flashé sur elle.
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Chloé Reynard

Humain(e)

Re : Emotions fortes partagées | Johnny, Chloé

Réponse 3 samedi 30 janvier 2021, 17:01:26

L'argentine, c'est loin! Mais à part cette réflexion particulière, Chloé ne connait pas vraiment ce pays ni ce qu'il peut avoir d'intéressant. Maintenant si les hommes sont tous comme lui là-bas, elle est prête à y déménager dès que possible. Elle l'écoute attentivement, captant les attitudes et les intonations. Elle assimile tout ce qui pourra lui être utile pour plus tard. Elle déduit assez vite le niveau de vie de Johnny aux affaires qu'il sort de son sac et bien que sa mère lui dirait qu'on ne juge pas les gens au poids de leur porte monnaie, elle le fait quand même. Mince! Si en plus il avait eu une situation confortable ... Tant pis et ... mais pourquoi n'arrête t'il pas de gesticuler comme ça?

Quand il monte à ses côtés, sur le lit, Chloé se sent comme une gamine qui contemple l'Everest pour la première fois. Le pic faramineux qui pointe devant son nez la fait loucher un instant. Elle sursaute de surprise et se redresse sur les coudes.

"Wooah merde! C'est ... pas humain! Je ... Ne bouge pas!"

Elle bondit sur son smart phone et prend un nouveau selfie avec l'objet de son étonnement en arrière plan. Une 'tite vérif' ... Impec! Elle ne sait pas encore ce qu'elle va en faire mais elle ne peut pas laisser passer un truc pareil. Oubliée la catégorie fauché, oublié son accent marrant, ce mâle viril et équipé comme un taureau mérite toute son attention. Non pas que le fait soit rare, Chloé est une assoiffée de sexe et baise dès qu'elle le peut. Des mecs membrés, elle en connait un paquet mais là, d'un il est vraiment TRÈS membré et de deux, il réagit à son contact aussi vite qu'un cobra attaque.
D'ailleurs, en regardant le gros serpent, elle ronronne en ramenant son regard sur Monsieur Johnny tout entier.

"Quelle surprise ... Ca existe des préservatifs à ta taille? Si t'en as sur toi, je serais curieuse de voir en quoi ils sont faits ... parce que question élasticité ... faut que ça tienne le coup."

En se serrant un peu contre lui, elle pose son avant bras à côté du monstre pour en évaluer la taille. Monstrueux! #TheBeast, #MegaCock.

"Quand tu passeras devant le sumo, essaye de pas te présenter comme ça hein ? Il pourrait mal le prendre ..."

Cette situation l'amuse. Elle a une tonne de commentaires à la con qui lui viennent à l'esprit mais elle se retient, après tout ils ne se connaissent pas.

"Bon enfin, si c'est moi qui te fait cet effet, j'en suis flattée. Faut juste éviter qu'il m'arrive un accident cette nuit si tu retournes d'un coup ..."

Elle passe à genoux sur le matelas et en teste la souplesse en rebondissant dessus. Ce weekend promet et elle est très heureuse. Ah oui! Le champagne! Le physique du garçon a occulté tout les autres aspects du garçon, elle se rue sur le téléphone de la chambre.

"Oui allo? Nous avons besoin d'une bouteille de Ruinart! Quoi frappée? N'importe quoi, on frappe pas le champagne! Oui, tout de suite, vous mettez ça sur la note de la chambre. Oui je sais, 90000 yens, et alors?"

Chloé raccroche et se retourne face à son coloc en s'asseyant en tailleur.

"Le champagne arrive. Je dois t'avouer que je suis super contente de tomber sur toi, je m'attendais ... à quelqu'un d'autre. Alors, j'ai pas mal de comptes à alimenter donc si ça te dérange pas d'apparaitre à mes côtés, ce serait vraiment sympa. Tu rendras mes followers jaloux ..."

Elle parle vite et beaucoup, s'excitant à raconter ses trucs de nanas, ce qu'elle aime faire et n'aime pas faire. Elle s'arrête, essoufflée ...

"Je suis stressééééééeeeeee!! Ma sœur m'a offert ce séjour et j'ai troooop peur!! J'ai jamais sauté en parachute ni à l'élastique! C'est demain, je vais pas dormir! J'ai lu trop de trucs sur des accidents stupides!"

Elle souffle un bon coup! Ca fait du bien quand ça sort! Quand le room service se présente, c'est une Chloé sereine et majestueuse qui leur ouvre et accepte que l'officiante pousse la desserte contenant le seau à champagne et deux flûtes en cristal de bohème.

"A notre santé et à ce super weekend qui s'annonce! Tchin!"



Johnny Paso

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Re : Emotions fortes partagées | Johnny, Chloé

Réponse 4 lundi 08 février 2021, 09:30:03

Pendant un bref instant, le stress était à son comble chez l'Argentin, qui avait retenu son souffle et eu l'impression de passer une éternité à observer la réaction de Chloé au ralenti. Chaque femme avait sa façon de réagir à ce genre de surprise et avait son opinion sur la question. Certaines auraient pris l'érection très mal et réagi initialement de la même façon que d'autres qui auraient adoré la contempler. De la même manière, elles pouvaient changer de ton en une seconde selon qu'elles soient flattées d'en être l'objet, ou consternées d'être déjà perçues comme une conquête potentielle.
Alors il observa la golden girl jusqu'à être certain de sa position ; à peu près une seconde avant qu'elle lui demande s'il avait des préservatifs à sa taille. Il vit nettement le changement de regard dans les yeux roses atypiques de la belle et put sentir le fourmillement caractéristique qui chauffait son pelvis quand il reconnaissait le langage du désir chez une femme. Il pinça sa lèvre inférieure du bout des dents sous le couvert de l'autre, et passa d'angoisse, à soulagement, à stupéfaction lorsqu'il enregistra la question avec une demi-seconde de retard. Il avala de travers, rit en toussant et se couvrant la bouche comme elle l'achevait de sa référence sur leur rencontre à venir avec le sumo. Mince ! Elle avait à moitié raison : chargé de testostérone comme il l'était, il risquait d'avoir du mal à se contrôler en sa présence.

La tension redescend comme elle commande la bouteille au service de chambre. Il fit un calcul mental très rapide. 90000 yens, ça faisait... A peu près 850 dollars américains ? Ca faisait... autour de 75000 pesos argentins. Damn! Johnny avait compris qu'elle était riche, mais il ne réalisait pas à quel point. Est-ce qu'il était seulement capable de concevoir le genre de train de vie que pouvaient avoir les gens riches ? Pour lui, arrivé à un certain point ça semblait devenir complètement flou et passer du domaine de la réalité à celui du rêve, du fantasme. Chloé était une porte ouverte, ou plutôt entrouverte, sur cet univers qui lui était totalement inconnu.
Elle était autant un régal pour les yeux que pour l'âme, en somme. Si Johnny voulait vraiment passer pour un caïd, et en être un un jour, il devait apprendre d'elle, commencer à s'intéresser à ce qu'elle faisait et comment elle vivait et glaner tout ce qu'il pouvait ! Sans oublier de prendre du bon temps, bien sûr. Il était soulagé par son attitude envers lui et la soupçonnait d'être aussi intéressée que lui, à défaut d'être nymphomane peut-être, et le week-end promettait, effectivement, d'être passionnant.

Bon, à ce stade il était vrai qu'il ne pouvait pas en placer une. Il enregistrait bien, malgré le débit de son japonais, mais n'avait pas le temps de formuler une syllabe avant d'être assailli de nouveau, le répit n'arrivant qu'à l'arrivée du service de chambre. L'Argentin s'était alors remis assis au bord du lit et fit mine de fouiller son sac pour cacher son mandrin au passage de la dame un brin mielleuse qui les quitta bien vite. Et Chloé, n'attendant pas de sentence, de s'attaquer immédiatement au remplissage des flutes. Dès qu'il eut entendu la porte se fermer, Johnny l'avait rejointe et avait pris son propre verre -de cristal- avec prudence.

" A un super week-end ! "

Un tintement plus tard, il goûta à la boisson pétillante avec curiosité. C'était absolument délicieux. Il était vraiment surpris qu'un champagne puisse avoir un goût pareil ! En toute honnêteté, il n'en avait goûté qu'une seule fois, du vrai, et ce n'était pas la même qualité, bien loin de là. Mais il ne pouvait trop y goûter, craignant désormais que Chloé le coupe à nouveau.

" On trouve des préservatifs qui me vont ; mais pour être sûr que ça tienne, je dois en commander. Du coup, j'en ai toujours une bonne réserve chez moi, pour ne pas commander trop souvent. "

Ce détail risquait de le faire passer pour un prétentieux, non ? Peut-être. Mais il était vrai qu'un paquet disparaissait vite quand on était du genre à saisir chaque occasion comme lui, et il n'avait pas précisé la taille de la réserve. Enfin ! Il fallait qu'il arrête de s'en faire, la fille avait littéralement pris une photo et évalué ses mensurations avec son avant-bras ! Et s'il attendait trop, il allait encore perdre la parole.

" Si tu veux, je te ferai une démonstration ; à condition que tu ne m'étouffes pas avant avec tes airbags, " rattrapa-t-il avec un peu d'humour. " Et d'accord, j'apparaîtrai sur tes comptes ; à condition que tu me tagues et que je puisse t'afficher aussi. Oh ! Et moi non plus, je n'ai jamais fait la moitié de ces trucs, mais c'est vraiment sans danger. Si tu préfères, je passerai toujours avant toi. On n'a qu'à dire qu'on est... partenaires de galère ! "

En attendant, impossible de faire redescendre le piton brûlant entre ses jambes. Il se concentrait pour ne pas se focaliser sur la voix qui lui criait de satisfaire son envie, mais ne pouvait bien sûr pas passer outre en permanence. Qui plus est, il était temps de voir si la jolie Chloé était du genre à chauffer du regard seulement ou à donner de sa personne.

" En tout cas, moi, j'ai jamais rien vu d'aussi gros. Pas naturel en tout cas. Ils le sont vraiment, ou tu t'es fait offrir des implants de l'espace aussi ? "

Associant le geste à la parole et sans afficher la moindre appréhension, il s'approcha d'elle encore un peu pour palper le volume, à la fois à travers le tissu et directement contre sa peau -parce qu'il n'y avait clairement pas assez de tissu pour le prendre en mains convenablement sans ça, et surtout pas avec ces paluches-. C'était un mouvement culotté, mais elle n'avait affiché aucune crainte jusque là, en tout cas sans le toucher. Il passait un autre niveau entre eux et attendait de voir si les choses évoluaient comme il le pressentait.
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Chloé Reynard

Humain(e)

Re : Emotions fortes partagées | Johnny, Chloé

Réponse 5 jeudi 27 mai 2021, 15:38:43

Le pétillement des bulles fraîches sur la langue de Chloé lui fit le plus grand bien. Elle but une gorgée de champagne puis rapidement une deuxième tout en écoutant Johnny. Le colosse pouvait être fier de son corps et elle ne fut pas surprise qu'il se targue d'une sexualité active. Elle était tout comme lui et savait plus que quiconque, étant amatrice de corps musclés, que l'attrait sexuel n'était pas que dédié aux femmes. Sa faiblesse à elle, intimement cachée derrière des airs ou supérieurs ou enjoués, venait de s'éveiller dès que leurs regards s'étaient croiser. Sa première pensée avait été de se voir plaquer sur le lit et labourée par ce truc énorme que Johnny arborait comme un trophée éternel. Cette faiblesse la tenaillait tellement d'ailleurs qu'elle se tenait devant son nouveau partenaire en serrant les cuisses comme si quelque chose de pas vraiment présentable voulait s'en échapper. Elle aussi se mordait le coin des lèvres, donnant à son minois un air mutin. Elle rit franchement à son commentaire, ils étaient bien sur la même longueur d'onde et Chloé décida d'accorder à Johnny une marge de manœuvre honnête et similaire à celle qu'elle s'autorisait elle-même. C'est à dire, no limits! A d'autres, elle aurait lancer une pique venimeuse ou craquer un scandale monumental pour une attitude aussi familière mais ... oui, à d'autres.

"Cool! Deal pour les comptes! On partage! Et ... bon ben on verra sur les activités, c'est demain que les trucs hardcore commencent, on aura toute la nuit pour y penser hein ?"

Son expression passa soudainement de mutine à foncièrement salope. L'étincelle d'espièglerie qui brillait dans ses yeux laissa la place à la fusion d'une masse volcanique incandescente prête à incinérer leur suite Elle prit sa poitrine à pleine mains et feula sourdement qu'elle était une authentique succube dont le corps parfait ne considérait aucune modifications, quelles qu'elles soient.

Puis beaucoup plus agréablement ... en serrant ses avant bras sous sa poitrine pour la rehausser outrageusement ...

"Naaannn, tout est naturel, 100% moi sans additifs. C'est de famille. Va savoir pourquoi hein mais y'a des fois, je sais pas où les mettre, ça peut être chiant parce que je ne peux pas dormir sur le dos même si j'en prends soin et qu'ils sont fermes. Ils te plaisent ?"

Elle n'avait pas tremblé d'un iota quand Johnny s'était approcher pour mesurer l'amplitude de ses seins en les palpant doucement. La réaction avait été instantanée et ses tétons s'étaient durcis sans ambigüité. Même si tout le monde ne la pelotait pas en permanence, il était évident que sa poitrine jouait un rôle majeur dans l'attractivité qu'elle exerçait sur les hommes. Elle en jouait beaucoup évidemment et la bimbo qui s'était vu grandir trop vite aimait maintenant le magnétisme qu'elle diffusait autour d'elle. En vérité, elle aurait été vexé que Johnny soit trop prudent. Heureusement, les choses se passaient bien, très bien même. Elle fit un infime mouvement vers l'avant, accentuant la pression des mains sur ses seins et s'arrangea pour que les grosses paluches soient un peu moins légères qu'elles ne l'étaient.

La jeune femme observait le visage de son partenaire de circonstance avec intérêt, cherchant et décelant les moindres troubles et émotions, preuves de l'envie et du désir qui le taraudait. Cet homme était une bête de sexe, elle le devinait. Il transpirait le besoin de forniquer et même s'il cherchait à le cacher, il était en face d'une maitresse et en sexe et en manières. Elle avait beaucoup appris de ses erreurs passées et elle était presque sûre que la seule chose qu'elle risquait avec lui serait de se noyer dans un océan de plaisir. Elle feula à nouveau.

"Tu verras pas d'inconvénient à ce que moi aussi je me fasse plaisir ..."

Et joignant le geste à la parole, elle saisit le gros sexe tendu de Johnny à travers le tissu et le serra, peinant à en faire le tour de ses doigts fins. Fins mais pas faibles, elle affermit sa prise et entama un mouvement râpeux de va-et-vient le long de la Chose, se demandant si il était possible qu'une entité pareille puisse encore grossir. Voire le cas échéant, d'entrer en elle sans tout détruire sur son passage. A voir ... Plus aventureuse que jamais, elle se colla un peu plus à Johnny, s'aventurant dans l'ombre du colosse et brisant le dernier espace de correction qui les séparait.

"Il nous reste quarante minutes avant la première activité. T'as envie d'un truc particulier Johnny?"
« Modifié: dimanche 20 juin 2021, 16:09:21 par Chloé Reynard »

Johnny Paso

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Re : Emotions fortes partagées | Johnny, Chloé

Réponse 6 dimanche 20 juin 2021, 01:13:43

C'était sans doute complètement débile de penser ça, mais, avec Chloé, Johnny se sentait un peu comme s'il avait trouvé l'amie qu'il n'avait jamais trouvé, celle qui saurait l'accepter avec son problème et le faire sentir normal malgré ça, qui ne le jugerait pas pour ses envies et les vivrait même avec lui. C'était une sensation curieuse qui s'emparait de lui. Il se sentait à l'aise en lui palpant la poitrine, n'avait pas peur d'afficher sa trique sous son nez. Et oui, la beauté du sort faisait que l'un et l'autre avaient une particularité naturelle très visible et très sexuelle.
Elle lui donnait chaud avec ses regards, avec ses rapprochements. Il avait bien conscience du fait qu'elle avait envie de lui mais ne voulait pas s'y faire. Dans un sens, ça voulait dire qu'il n'était pas nettement plus excité et demandeur qu'elle, et ça n'était pas encore arrivé dans sa vie ; pas comme ça. Pourtant, la façon dont elle avait remonté ses seins — 100% naturels putain ! — et le poussait discrètement à les toucher plus franchement ne devait pas laisser d'ambiguïté entre eux.
— S'ils me plaisent ?
Une question tellement simple mais inattendue, et hors des conventions. Il pouffa, excité par la manière décomplexée dont elle traitait cet instant chargé de tension sexuelle.
— Oh ouais, et comment !
Il avait attrapé sa poitrine à pleines mains à son mouvement, sentant leur volupté et la pointe de ses mamelons dans ses paumes. Elle le dévisageait, il le savait. Il évitait son regard comme si ça allait l'empêcher de lire clairement dedans, mais elle pouvait bien voir ce qui trottait dans sa petite tête. Elle pouvait voir les yeux légèrement arrondis, les narines palpitant sous l'effet de la tension que causait le simple fait de devoir tenir ses envies, la façon dont sa bouche pincée bougeait quand il régurgitait sa salive, et pouvait percevoir le tremblement dans les mains qui se retenaient de la saisir plus intensément, de la ravir.
— Hein ? Qu'est-ce que — OOF ! —...
Il ne s'attendait pas à ce qu'elle lui chope le manche si directement, ou plutôt il n'osait le souhaiter. A travers le tissu, il pouvait nettement sentir les phalanges chercher une prise, essayer d'en faire le tour, et il pouvait très bien sentir la légère masturbation que la poigne surprenamment vigoureuse lui appliqua très vite. Johnny ne pouvait plus se laisser entendre que les choses n'étaient pas aussi parfaites qu'il y paraissait. Sa verge pulsa et un petit degré de raideur en plus finir de la tendre tandis que les pensées vicieuses qu'il retenait se mettaient à sortir l'une après l'autre, délivrées par l'attentat à la pudeur de Chloé.
— Ah, putain...
Il avait fermé les yeux sous le coup de l'excitation qui lui vrilla complètement le crâne. Il l'avait sentie glisser plus près de lui et en avait d'ailleurs profité pour agripper ses seins avec plus d'ardeur, se retenant à grand peine de les faire sauter de son débardeur bien trop petit. Mais en rouvrant les yeux, en constatant à quel point elle s'était faufilée sous lui, si près de lui et du vit qu'elle avait voulu depuis qu'il le lui avait exposé, il n'y tint plus. Et ses mots l'achevèrent si cela était encore nécessaire.
— Ce que je veux ? Et toi ? Je crois que je sais.
Les hormones avaient envahi son système et Johnny ne pensait plus qu'avec son sexe, littéralement. Ses pensées s'étaient entièrement limité à sa queue, au corps de Chloé et à la manière dont les deux pouvaient se donner le maximum de plaisir. Il ne pensait plus qu'à la réalisation d'un instant de quarante minutes entièrement dédié à la jouissance sexuelle.
Les mains qui palpaient la lourde poitrine de Chloé se faufilèrent sous le tissu qui les contenait avec peine et le fit rouler sous son buste, les laissant se répandre sur le lit. Il reprit ses caresses d'une main, les redécouvrant avec intérêt, tandis que l'autre venait glisser entre eux et écarter la petite main de son mandrin. Il la laissa relâcher et tira sur la taille élastique du survêtement pour en sortir enfin l'engin, dressé dans toute son ampleur droit sous les yeux de Chloé, palpitant et luisant du présperme que sa beauté et ses attentions avaient déjà bien écoulé.
— Occupe-toi-en pendant que moi...
Il ne finit par, préféra parler avec ses mains. Se penchant encore sur elle, et amenant ainsi son membre jusque contre son visage, il passa les mains sous sa taille pour déboutonner le minishort de Chloé et le glisser, à son tour, sous ses fesses. Une de ses mains revint se charger de ses seins, mais l'autre glissa entre ses fesses, jusqu'entre ses cuisses, et un majeur épais finit par atteindre sa vulve pour y frotter.
— Quand tu seras bien excitée, je viendrai t'essayer. Mais en attendant, ta langue et tes seins feront bien l'affaire, Chloé.
-

Chloé Reynard

Humain(e)

Re : Emotions fortes partagées | Johnny, Chloé

Réponse 7 dimanche 20 juin 2021, 17:06:54

Son dernier voyage à Paris ne datait que de deux mois mais elle ne s'attendait pas à revoir l'obélisque de la Concorde aussi vite, et surtout à Seikusu. Le membre massif de Johnny, érigé face à elle tel le monument antique ramené d'Egypte par Napoléon, luisait, déjà humecté des propres plaisirs du colosse. Elle s'attendait à quelque chose de ... gros ... mais là, la taille de l'engin dépassait toutes ses espérances! Les yeux ronds, et en louchant, elle inspecta l'objet de bas en haut, fixant intensément, en dernier lieu, cet énorme gland dont une goutte perlait au sommet. Elle tapa dans ses mains, comme une petite fille heureuse et d'un "smack" sonore, vint cueillir la goutte de ses lèvres pulpeuses. Elle s'y passa la langue avant de se frotter le visage contre le sexe de Johnny comme une chatte se frotterai à son maître. Elle en inhalait l'odeur de mâle et s'imprégnait de ses essences masculines.

Elle minauda. "Je crois qu'on va peut être arriver en retard à l'activité en fait ..."

Chloé était ultra réceptive à deux choses, le sexe et l'alcool. Question sexe, la question ne se posait pas. Elle avait devant elle le recordman de la plus grosse queue d'Amérique latine. Et question alcool, elle happa la bouteille de champagne pour boire une lonnnnngue rasade au goulot. Les deux cumulés achevèrent d'activer le mode super-salope qui fit briller son regard. Johnny voulait sa langue et ses seins? Pas de problèmes, de toute manière, elle se serait agenouiller devant lui même s'il avait été le président de son pays. Une queue pareille nécessitait une exploration minutieuse.
Néanmoins elle l'abandonna quelques instants pour attraper son smartphone et lui tendre après l'avoir déverrouillé.

"Tu pourras filmer? Ma copine me croira jamais sinon"

Chloé se cala bien, assise au bord du lit, gigota pour faire glisser son short et sa culotte le long de ses jambes, grogna un peu quand elle n'y parvint pas, et abandonna cette tâche pour ouvrir grand la bouche et la refermer sur le gland qui paraissait prêt à exploser.

"MMmmmmffff"

Elle fut surprise par le volume de l'amas de chair qui occupait bien plus de place qu'elle ne l'avait pensé.  Elle le molesta donc entre ses lèvres, comme si le compresser pourrait le réduire ... mais bien au contraire, l'effet fut tout le contraire. Ca s'annonçait difficile mais jamais elle ne renoncerait à la victoire. Elle ajusta l'angle et se redressant, bien droite pour se mettre à niveau, et d'une seule poussée, fit passer au gland l'étroit goulet de sa gorge tandis qu'elle prenait en bouche une partie (trop courte) de ce sexe titanesque. Elle toussa en se contractant sous l'invasion qui râpait ses muqueuses sensibles et un torrent de salive dévala rapidement le long de son menton, bien malgré elle.

(Bordel! J'en ai même pas avalé un tiers!) En louchant, elle pouvait voir la colonne veinée qui lui restait à ingérer, tant soit peu qu'elle puisse y arriver ... Les trois prochains essais furent aussi infructueux que le premier et elle recracha le coupable, l'air irritée.

"Va falloir faire mieux Johnny !"

Son minois renfrogné s'éclaircit d'un sourire éclatant.

"Nan, c'est cool, je déconne, j'adore mais ... va falloir m'aider un peu si tu veux que j'avale ton truc en entier parce que là, je galère. T'es ... vraiment énorme. Attends ..."

Elle donna une pichenette de l'index à la grosse queue suintante de salive et se tortilla sur le lit,  pour s'allonger sur le dos, la tête en arrière, dans le vide, la masse soyeuse de ses cheveux répandue au sol. Vu du dessus, la pose suggestive de cette jeune femme, offerte à tous les caprices qu'on pouvait imaginer, aurait fait accourir tous les dieux d'Asie pour en profiter. Son dieu à elle, pour l'instant, pointait fièrement et promettait un ramonage en règle.

"Tu veux commencer par là avant?" offrit-elle en comprimant ses seins fermement. "Je t'exciterai avec ma langue si ... tu l'as déjà fait ?"

En langage de salope, qu'elle contenait encore un peu, ça aurait été "J'vais t'bouffer le cul".

Mais plutôt que de se laisser aller trop tôt à la vulgarité, elle offrit à Johnny un nouveau sourire mutin appuyé par l'offre d'une branlette espagnole hors norme ... même dans ce sens.
« Modifié: dimanche 20 juin 2021, 18:13:51 par Chloé Reynard »

Johnny Paso

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Re : Emotions fortes partagées | Johnny, Chloé

Réponse 8 lundi 21 juin 2021, 02:35:13

Si le changement de ton de Johnny et l'aura de pure bestialité qui exsudait de lui dans cet état en aurait fait fuir d'autres, Chloé n'était pas impressionnée. Elle se montrait, même, d'autant plus excitée, si c'était seulement possible. Une belle rasade de Ruinart finit d'achever ses rares inhibitions et de la transformer en une bête affamée. Et puisqu'elle se préparait à faire des folies, elle voulut bien sûr les immortaliser. Pour sa copine, bien évidemment. Johnny soupçonnait Chloé de vouloir aussi revivre ses exploits d'un autre point de vue plus tard, mais il ne fit cas de rien. Il n'était pas capable de tenir un raisonnement actuellement. Il s'empara simplement du téléphone avec un sourire lubrique et bascula tout de suite sur l'appareil photo, puis en vidéo, pour lancer l'enregistrement.
Il eut un peu de temps puisqu'elle dut renoncer à se déshabiller, mais le cadrage fut initialement brouillé par la réaction de joie de Johnny au contact des lèvres sur son gland chaud.
— Oooooh Dios...
Il s'efforça de cadrer mieux après quelques secondes d'amateurisme, mais garder le contrôle n'était pas chose simple quand Chloé glissait des lèvres serrées autour de son manche. Il pouvait sentir la langue s'écraser au fond de sa bouche pour se rouler autour de lui, ajoutant aux frottements des lèvres une délicieuse caresse mouillée. Johnny prit soin d'immortaliser la première tentative et de cadrer bien de son pubis à son visage, pour que sa copine ait une idée nette de ce à quoi Chloé s'attaquait. Un autre tremblement du cadrage quand elle le prit dans sa gorge. Ses amantes y arrivaient rarement, préférant souvent, même pour les adeptes de la gorge profonde, le lécher, sucer son gland et le branler, plutôt que d'enfiler ce morceau en elles. Surprise jouissive du côté de Johnny, qui émit un soupir de plaisir bruyant tandis que Chloé peinait à aller plus loin, et abandonnait finalement ; mais sans s'avouer vaincue.
Johnny ricana à sa petite pique amicale, mais il ne s'attendait pas à ce qu'elle veuille repartir à l'assaut. Et elle avait l'air authentiquement ravie de la situation, ce qui ne participa qu'à le conforter dans son état de transe lubrique sous testostérone et à le rendre d'autant plus enthousiaste quant à la suite du programme. Et il la regarda se réinstaller en admirant son corps si exceptionnel, ses courbes divines offertes à ses plaisirs. S'il devait être damné pour avoir rencontré une fille aussi formidable, il l'acceptait à bras ouverts. Rarement s'était-il senti libre et totalement désiré avec une femme. En l'attendant, il glissait sa grosse paluche le long de son membre, le tenant en l'état, prêt à plaire. L'objectif du téléphone ne perdait pas une miette de l'action.
— Tu me tentes, Chloé, pouffa-t-il à son invitation. Mais si on réglait plutôt ton premier objectif avant ça ? On n'est pas vraiment si pressé que ça, si ?
Sur ce, il s'agenouilla au pied du grand lit face à la tête de Chloé, et il passa un doigt sous son menton pour lui faire basculer la tête en arrière. Il approcha sa queue de sa bouche. Elle était encore mouillée de son office précédent, mais elle portait toujours le goût des fluides qu'elle avait aimé à la première bouchée. Il la laissa jouer un peu, trouva le bon angle avec elle et, avant d'y aller, il fit monter les bras à Chloé pour attraper le téléphone et le tenir en place pour filmer ce qui allait suivre. Lui n'était pas sûr de pouvoir lui explorer la gorge et de garder le cadrage en même temps.
Et puis, il glissa sa queue entre les lèvres de Chloé. Doucement, d'abord, il la laissa retrouver ses marques, et coulissa un peu le bout de son vit à l'intérieur de sa bouche avant de s'avancer finalement, poussant du gland à l'entrée de sa gorge. Il la laissa gigoter pour trouver la position la plus efficace et maintint sa tête de ses mains une fois la position trouvée. Pour ne pas l'étouffer, il s'extirpa d'elle après cette première réussite, et il la laissa respirer avant d'y revenir, directement pour sa gorge cette fois, et il enfonça lentement chaque centimètre à mesure qu'elle s'y faisait et parvenait à le faire passer. Il recommença une fois, deux fois, trois fois, allant un peu plus loin à chaque fois et essuyant la bave qui coulait sur son visage et dans ses cheveux roses à chaque périple. Enfin, Johnny revint à la charge, et il  y alla plus franchement cette fois. Il usa de son gland comme d'un bélier et culbuta doucement dans sa gorge, et les derniers centimètres furent avalés. Chloé put deviner son exploit au contact des bourses lourdes de Johnny sur son visage et à l'exclamation de satisfaction qu'il émit. Il ne put se retenir de s'y amuser, prenant le téléphone à Chloé pour prendre un témoignage incontestable avant de se retirer d'elle en vitesse, avant qu'elle n'étouffe. Et il la laissa reprendre son souffle et ses esprits en l'admirant d'un regard à la fois lubrique et idolâtre.
— T'as réussi, Chloé ! Et tu sais quoi ? T'es la première à avoir réussi. Ca se fête, pas vrai ?
Extatique, Johnny reprit la bouteille de Ruinart, en descendit une rasade et se pencha sur Chloé pour partager du champagne pétillant et froid avec elle dans un baiser carrément obscène.
— Maintenant, j'ai envie de ta langue ailleurs pendant que je me fais tes seins.
Se redressant, Johnny vint poser ses genoux au bord du lit, de part et d'autre de la tête de Chloé, et il s'abaissa sur elle jusqu'à sentir son souffle entre ses cuisses et à poser son mandrin contre son corsage. Il continuait de filmer, en l'absence d'autres instructions, et jouant de ses jambes et de ses reins il guida son membre entre les deux ballons de chair doux qui étaient serrés pour lui, l'y enfonçant en poussant un soupir de plaisir.
— Tu préfères prendre sur les seins ou avaler ?
-

Chloé Reynard

Humain(e)

Re : Emotions fortes partagées | Johnny, Chloé

Réponse 9 lundi 21 juin 2021, 22:15:52

Une qualité à ajouter au dossier de Johnny. Méthodique! Chloé s'attendait à un assaut en règle où le colosse aurait chargé tel un taureau furieux et l'aurait réduite à un pur outil sexuel. Mais comme quoi, ne jamais se fier aux apparences se rappela t'elle. Une micro partie d'elle même, sûrement un reste de la jeune vierge innocente qu'elle avait été un jour, lui criait du fond de son âme d'arrêter de s'adonner à de telles sauteries et de se considérer, tout comme son partenaire, comme quelqu'un de respectable. L'autre partie d'elle même, la salope à 99,5 %, fut la plus forte et réduisit le petit ange a un tas de poussière de souvenirs.

"T'as raison, on va faire ça."

C'était très simple. Une bouche, une queue, pas d'inconnue à l'équation, simplement la poussée d'un corps plein dans un espace creux. Archimède aurait été fier de son raisonnement. Le théorème de Chloé, depuis longtemps résolu, allait être maintenant démontré. Pendant qu'il s'installait, la dominant de sa taille masse énorme, elle se cala bien et, bonne élève, ouvrit grand la bouche en tirant la langue. Elle passa brièvement le dos de sa main sur ses lèvres pour en retirer les filets collants de sa première prestation, jura quand l'un lui tomba dans l'œil mais ne put continuer car Johnny lui saisit le menton pour la préparer. Un coup de langue expert vint laper le gland qui la surplombait. De dessous, ça faisait bizarre tant il était gros. On aurait dit ... un truc indescriptible et Chloé se mordit la lèvre pour ne pas pouffer. Johnny attira son attention en lui rendant son téléphone qu'elle tint au-dessus d'elle à bout de bras. La vidéo tournait encore et elle se fit un clin d'œil rieur.

L'expérience qui suivit marquerait Chloé pour le restant de ses jours. Quand Johnny pressa sa queue contre ses lèvres, elle gémit d'abord d'un long murmure étouffé gorgé d'envie. Il eut la courtoisie de la laisser s'adapter à sa taille démesurée avant de s'aventurer à nouveau jusqu'à l'accès réduit de sa gorge.

Toujours vivante à ce stade, elle ajouta une nouvelle qualité à son partenaire : gentleman, avec un tronc en guise de sexe ok, mais gentleman quand même.

Il lui avait saisit la tête à deux mains et elle se sentait prise dans un étau. Si elle devait mourir aujourd'hui, elle ne pourrait même pas bouger! "Arrête de penser à toutes ces conneries et concentre toi un peu!" Il alla et vint sans forcer pour l'habituer encore plus et à chaque fois, elle ingérait quelques millimètres de plus. Sa bouche était déjà étirée sous l'effort et elle peinait à ne pas y mettre les dents. Toute concentrée sur sa tâche, et pas aidée par les torrents de salive qui coulaient, irritant ses yeux, elle ne vit pas venir l'inéluctable et manqua vomir tant l'intrusion sèche qui fit passer sa gorge de gracile à distendue la surprit. Elle se cabra, poussant sur ses jambes et ne fit que plus s'empaler sur Johnny qui ne bougea pas d'un iota. Autant vouloir déplacer une montagne ... Les grosses baloches de l'homme lui masquaient la vue  et l'espace d'un instant, elle faillit paniquer. Elle voulut crier mais n'eut que l'impression de mâchonner un monstrueux chamallow! Johnny exultait et elle sentit qu'il prenait son smartphone qu'elle lui laissa volontiers pour taper sur les cuisses musclées en guise d'alarme. "Hé mec! T'es entrain de m'assassiner tu sais là?" Il se retira d'elle comme un TGV quittait le tunnel du Mont Blanc : interminable.... A sa grande honte, car une princesse digne de ce nom ne le ferait jamais, elle rota discrètement dans ses mains, et cracha un monceau de trucs pas définis. Dégueu ... Elle s'abandonna sur le lit, les bras en croix et la tête à l'envers, respirant lourdement. Elle renifla, tenta de trouver quelque chose pour s'essuyer, ne trouva rien sauf le boxer de Johnny qu'elle utilisa comme elle put.

Johnny buvait au goulot et la surprit une fois encore en l'embrassant, partageant avec elle la fraîcheur de l'alcool de luxe, mais ne parvenant pas à faire passer le goût masculin prédominant. Elle lui répondit de la même manière en un baiser qui aurait torturé n'importe quelle actrice porno. Dégueu x2.

La tirade suivante de Johnny était une réponse positive à sa précédente question. Il savait ce qu'il voulait et elle lui rendrait la monnaie de sa pièce, même si elle espérait qu'il reviendrait l'investir. Une vidéo pareille la qualifierait d'impératrice de la pipe auprès du petit comité de salopes qu'elle appelait ses meilleures copines. Son partenaire martyrisait déjà le lit en s'installant au-dessus d'elle. Dans son esprit, elle était prête à se faire aspirer par le trou noir de la galaxie tant tout était surdimensionné chez lui. Ah .... ben non en fait .... hey mais c'est cool! Il est rasé. Elle colle un baiser sonore à la rondelle qui lui fait face avant de gnaquer ce fessier musclé en guise de ... n'importe quoi.

Quelque chose néanmoins l'interpella. Elle se rappelait soudainement ses dernières vacances en Bretagne et l'évidence s'imposa.
"Putain, je dois être la première à avoir avalé un menhir !!!"

Elle ne put continuer que le destroyer stellaire de Darth Johnny s'écrasait entre ses seins qu'elle serraient à tordre. King Kong vs Godzilla, le choc des titans, autant de références cinématographiques qui pourraient qualifier la rencontre de sa poitrine massive avec l'éléphantesque sexe du latino. Après le carnage de la gorge profonde, c'en était presque mignon et plus il limait plus elle pressait. Sa poitrine était sa fierté ... avec sa crinière fournie aussi ... et ses yeux roses ... et ses longues jambes dessinées ... et ... et ... et ...

Enfin bon, ses seins étaient lourds et pleins mais alliaient fermeté et douceur. Il était facile de s'y perdre et plus d'un partenaire n'avait pas réussi à aller plus loin qu'une branlette espagnole alors qu'ils se vantaient de pouvoir tenir bien plus. Elle le laissa la baiser comme il voulait, de toute manière, elle ne pouvait rien faire d'autre. Elle sentait le braquemart glisser contre sa peau et quand elle se tordit un peu, le gland vint se lover contre son nombril.

"Vas-y plus fort si tu veux et ... lâche toi où t'as envie, j'ai pas de préférences."

C'était faux bien évidemment mais chaque chose en son temps. Et là, elle était occupée. Sa langue dansait un ballet endiablé destiné à enflammer l'anus d'Hercules. Elle alternait aussi bien les piques que les léchouilles et dès que faisable, mordillait le premier bout de peau qu'elle pouvait happer. Elle aurait bien voulu aussi utiliser ses mains mais Johnny bloquait ses bras avec ses cuisses. Il aurait fallut une grue pour le faire bouger à cet instant! Elle aussi trouva une faille à un moment et après une longue humidification, réussit à forcer le sphincter et introduire sa langue dans le canal privé. Elle enfouit son visage entre les fesses du sud-américain et le dévora bruyamment. Quoiqu'il ressente, elle n'était pas décidée à s'arrêter tant qu'il ne se viderait pas!

"SLUUUURP !!!"

Johnny Paso

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Re : Emotions fortes partagées | Johnny, Chloé

Réponse 10 lundi 28 juin 2021, 13:40:40

On n'allait pas se mentir : une queue pareille était un fantasme. Johnny avait eu la chance de recevoir un corps tout en gros gabarits et de l'avoir sculpté dans le bon sens, et ses efforts n'avaient que fortifié son membre viril. Mais entre les fantasmes et la réalité, il y avait un monde et, comme Chloé finirait par ressentir le mal de dos que ses exercices lui évitaient de sentir durant ses jeunes années, Johnny finissait toujours par faire face aux limites de la plupart de ses partenaires. " C'est trop gros, Johnny, " " Ca rentre pas, Johnny, " " Tu me fais mal, Johnny, " " Ca va pas le faire, Johnny. " Rares étaient celles à tenir le choc et plus rares étaient-elles encore à aimer ça. Pendant un instant, il s'était dit qu'elle allait mettre le hola et demander un temps mort, mais il n'en avait été rien. Elle était vraiment hors normes, et c'était bien ce qu'il fallait entre eux.
Johnny avait peut-être enfin trouvé une fille capable d'aller jusqu'au bout. Au risque de laisser penser que c'était une question existentielle dans sa vie, et on n'en était pas loin vu sa nymphomanie, il était proprement ravi. Et elle n'était pas comme toutes les filles tranquilles qu'il avait connu non plus. Chloé était une véritable cochonne, et elle goûtait à chaque aspect du sexe avec délectation, tout comme lui. On lui avait rarement touché l'anus, et on l'avait encore plus rarement léché, et comme il coulissait entre ses seins en fermant les yeux et en profitant de l'excitation qui montait, il fut surpris par la sensation de son sphincter qui se détendait et laissait passer un corps mou et chaud. Non ! C'était pas possible ! C'était vraiment bizarre. C'était...
— Ouf ! Ooooh ! Mais qu'est-ce que tu fais ? T'arrêtes pas, surtout !
C'était bizarre. C'était un peu dégueu. Mais c'était carrément bon ! Il n'avait encore jamais ressenti un truc pareil. C'était comme sa première fois : il se sentait un peu paumé et dominé par les sensations. C'était un peu effrayant, mais il s'abandonna au plaisir. Un frisson vrillait son entrejambe et faisait presque trembloter sa verge entre les seins de Chloé. Il montait à une allure folle. Sa poitrine était déjà foutrement délicieuse, mais maintenant...
— Ah ! Continue. Continue ! Aah !
Il n'en pouvait plus. Ca allait beaucoup trop vite mais il était impossible de résister au traitement qu'elle lui infligeait. Sa jouissance était intenable, et il voulait donner à Chloé une expérience unique comme elle lui offrait. Alors, il retira sa queue d'entre ses seins et s'écarta, reprenant sa tête entre ses mains pour la pencher en arrière.
— Un autre truc à immortaliser, assura-t-il en repointant l'objectif du téléphone sur elle.
Comme précédemment, il ramena son sexe entre ses lèvres, l'enfila dans sa bouche et enfonça la porte de sa gorge. Il gémissait d'extase et n'alla pas jusqu'à la garde, cette fois. Là n'était pas l'intérêt. Il n'était plus que l'esclave de l'orgasme. Il était au bord du gouffre et, arrivé à sa gorge, il laissa la sauce monter et soupira bruyamment en se lâchant en elle. D'épais jets de sperme éclataient en elle tandis qu'il reculait doucement, ressortant centimètre par centimètre en étalant sa semence derrière lui. Et il laissa le foutre déborder en se retirant, un dernier jet arrosant son menton et son corsage à sa sortie.
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Chloé Reynard

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Re : Emotions fortes partagées | Johnny, Chloé

Réponse 11 mardi 29 juin 2021, 12:41:19

Johnny se démenait au-dessus d'elle, plantant avec régularité son sexe entre ses seins compressés. Chloé , d'expérience, savait bien que sa peau douce excitait les hommes au plus haut point. Elle adorait qu'ils prennent plaisir à la prendre de cette manière. Bon, dans ce sens, la seule chose qu'elle voyait, c'était le fessier musclé de son partenaire du moment et les services qu'elle lui prodiguait auraient figurer en première place dans un porno. Elle se délectait en succion et le dévorait tant qu'elle pouvait. Il tressaillait sous ses coups de langue, lui intimant de continuer, et elle s'attendait à ce qu'il se lâche rapidement.

Au lieu de ça, il abandonna le confort de sa poitrine et se redressa, lui offrant en spectacle ses attributs massifs et sa queue dressée. Elle voulut protester mais il coupa court en poussant son sexe dans sa bouche avant qu'elle est le temps de parler. L'intrusion capta à nouveau toute l'attention de Chloé qui dut presque se déboiter la mâchoire pur qu'il puisse entrer comme il voulait. Il la tenait fermement par la tête, elle adorait que les hommes la domine de cette manière, qu'ils ne soient pas timides. Il l'emplit sans aller trop loin non plus. Elle le sentait pulser dans sa bouche. Il était chaud, imposant, prenait toute la place. Elle tenta de faire glisser sa langue de part et d'autre de cette queue mais n'y parvint pas. Il trembla et elle sursauta quand il libéra son plaisir. Le gros gland pressé à l'entrée de sa gorge libéra une avalanche de sperme qui dévala son œsophage. Chloé poussa sur ses jambes, cherchant à ... juste à bouger en fait ... avant de s'affaler à nouveau sur le lit, la tête bien en arrière. Johnny se retira tout en jouissant comme un fou. La bouche de la jeune femme était pleine, bien trop peine, ses joues gonflées. Quand il passa ses lèvres, elle le libéra avec un "BLEWWWA" retentissant. Une marée de sperme coula sur son visage et elle toussa grassement, portant ses mains à ses yeux pour les essuyer. Johnny, lui, continuait à se répandre sur sa poitrine, il semblait ne plus pouvoir s'arrêter. Elle vivait sa première douche de sperme, tout du moins par un seul homme capable de cet exploit!

Chloé bascula sur le côté et toussa encore. Des torrents de foutre filaient de son visage au sol et elle cracha ce qu'elle ne pouvait plus avaler.

"Putain! C'était quoi ça? T'as failli me faire crever, t'aurais dit quoi à la police?"

Elle rit, du sperme plein les dents.

"Wahou! C'était cool! Au moins maintenant, je sais à quoi m'attendre..."

Un coup bref, puis un second, retentit contre la porte de leur suite.

"Mlle Reynard, Monsieur Paso? Je suis Daisuke, votre moniteur pour l'activité d'aujourd'hui, vous êtes là? On avait rendez-vous en bas dans le hall d'accueil."

"Merde, on est à la bourre! OUI ATTENDEZ J'ARRIVE !"

Chloé saute du lit et par réflexe, attrape le t-shirt de Johnny pour s'essuyer le visage, elle se couvre le haut du corps de ce drap improvisé et fonce ouvrir la porte. Daisuke est un beau gosse. Il porte une combinaison auto de sport et affiche un sourire qui en un instant laisse place à une expression de stupéfaction totale.

"On en a pour cinq minutes, on vous rejoint dans le hall! Y'a eu un problème de ... de pression à gérer. On arrive!"

Elle lui claque la porte au nez et se retourne face à Johnny. Elle à du sperme plein les cils, son maquillage est dévasté et à coulé sur ses joues, et son cou comme le haut de sa poitrine luisent de semence. Elle fonce à la salle de bain.

"Prépare-toi! Je me dépêche!"

Vingt minutes après, elle sortait toute pimpante, le sourire aux lèvres.

"Vivement ce soir hein?"

Daisuke les attendait dans le hall de l'hôtel et ne réussit à aucun moment à regarder Chloé dans les yeux. Il les guida dehors et leur fit prendre une voiturette qui les emmena au circuit. Le site était gigantesque. Ils purent voir toutes les activités proposées, en plus des leurs, et passèrent même devant un centre de beauté.

"Hey Johnny! Regarde y'a un sauna! T'as déjà baisé dans ce genre de truc?"

Daisuke fondit dans son fauteuil sans un commentaire. Ils arrivèrent au lieu de leur première activité, une demie heure de course folle sur bolide par personne. Le moniteur de conduite les amena dans une petite pièce où il leur donna les consignes de sécurité. Enfin, il passèrent sur le parking où les attendaient un monstre de puissance.

"Je vous présente la Porsche Panamera Turbo, il vous faudra la dompter mais ne vous inquiétez pas, je serai avec vous."

Il tendit la carte cryptée du véhicule à Johnny.

"A vous l'honneur ! Mademoiselle, vous pouvez passer sur la banquette arrière."
« Modifié: mardi 29 juin 2021, 18:53:58 par Chloé Reynard »

Johnny Paso

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Re : Emotions fortes partagées | Johnny, Chloé

Réponse 12 jeudi 08 juillet 2021, 02:57:39

L'expérience inédite que venait de vivre Chloé l'était également pour Johnny. Il accusait presque le coup après la manière dont elle avait encaissé ses assauts et s'était réjouie de la tournure de les événements et de ses performances. Une femme s'effarouchait facilement quand on dépassait les 20cm et le quart d'heure d'endurance, alors il était facile d'imaginer les difficultés de l'Argentin pour trouver une fille vraiment partante, et plus encore une qui trouve l'expérience satisfaisante. Venait-il de trouver la première partenaire vraiment capable de coucher avec lui ? C'était inespéré et un peu vertigineux. Mais il fallait garder les pieds sur terre, d'autant qu'ils étaient effectivement en retard et que ses vêtements avaient servi de serviettes à Chloé.
Alors, après avoir regardé avec amusement son numéro à la porte, il farfouilla dans son sac encore inaltéré. Il s'était mis tranquille pour le trajet mais, maintenant qu'il partageait la chambre avec une bombe sexuelle richissime, il allait falloir qu'il soit un peu plus regardant. Heureusement, des années passées à jouer les jet-setteurs plus fortunés que lui avaient rempli son armoire de tenues tout à fait honorables. Après s'être un peu nettoyé, il trouva rapidement un jean à effet légèrement usé et un débardeur de grande marque blanc qui, tous deux, le moulaient généreusement. A bout de doigts, il sélectionna une chaîne et un bracelet en or, trouva ses Ray Ban à monture dorée et, avec le temps qui lui restait, il se réorganisa une coiffure devant son téléphone. Lorsque Chloé sortit, il était prêt, et il la détailla de la tête aux pieds avec un sourire.
— Comme tu dis, gloussa-t-il en s'engageant après elle.
Johnny remarqua immédiatement la gêne de Daisuke lorsqu'ils apparurent dans le hall. Parce qu'il n'avait pas vu Johnny dans tous ses états, il supportait mieux son regard, mais ses yeux fuyaient après quelques secondes également. Mais l'Argentin avait un peu l'habitude de ces réactions, car son gabarit avait tendance à intimider des mecs qui pouvaient se sentir menacés par sa force ou humiliés par sa forme. Et quand on voyait avec qui il s'amusait en plus, on avait tendance à jeter un regard bien las sur sa propre vie.
Mais l'ambiance s'était détendue une fois en voiture. Les deux hommes avaient un peu parlé voiture pendant le trajet et, ce lien ténu établi, Daisuke se sentait sûrement rassuré ; quoique les efforts furent anéantis par la remarque de Chloé sur le sauna et la réponse de Johnny, sur le ton le plus naturel du monde :
— Une fois. Une sexfriend s'était sentie assez détendue pour essayer l'anal avec moi, alors je suis passé côté femmes et je l'ai rejoint. Ca marche bien !
Silence jusqu'à la fin du circuit. Enfin, ils s'étaient retrouvés devant l'objet de leur voyage et Johnny alla scruter le véhicule sous toutes les coutures. Il avait eu l'occasion de voir, et même de conduire quelques sacrées voitures lors de ses soirées, mais il n'avait encore jamais vu une Panamera, que les puristes de la marque Porsche appréciaient peu. C'était pourtant un sacré monstre ! Plus de 500 chevaux, presque 150.000 dollars américains. Pour Chloé, c'était probablement un cadeau d'anniversaire, mais Johnny, lui, ne pourrait jamais imaginer posséder un véhicule pareil sans avoir réussi à percer. Peut-être que son exposition avec Chloé sur Instagram allait l'aider ?
En tout cas, il prit la carte de la main de Daisuke sans hésiter.
— Tu ne m'en veux pas si je commence ?
Assuré que Chloé ne ferait pas la tête, il grimpa à bord, réglant rapidement le siège. Il dut le reculer et le baisser à fond, redresser tous les rétroviseurs. Il avait l'habitude de réarranger l'intérieur en s'installant mais, là, sans partir dans les pires clichés, on voyait qu'un Japonais avait amené la voiture. Mais même ces efforts n'aideraient pas à empêcher les épaules de l'Argentin de toucher la portière. Ca aussi, il en avait l'habitude. La carte passa dans son lecteur, il enfonça le bouton d'allumage et le moteur vrombit immédiatement. Très professionnel, Daisuke lui expliqua les divers boutons et passa en revue les choses à savoir quand on conduisait ce genre de bolide.
Johnny n'était pas à son banc d'essai, mais il n'avait jamais roulé bien longtemps avec ce genre d'engin, ni très vite puisque ça s'était toujours passé en ville. Une fois la Porsche amenée sur le circuit, il fit rapidement monter les gaz, Daisuke le prévenant à l'approche des virages au premier tour. La voiture se comportait très bien et on sentait à peine les effets de la force centrifuge, en tout cas par rapport à des voitures classiques dans les mêmes conditions.
Après quelques tours, le dernier ayant été dédié à tenter le tour le plus rapide, Johnny ramena le véhicule hors du circuit avec un grand sourire sur les lèvres. C'était grisant. Il se sentait tout émoustillé. Une fois arrêté, il se tourna vers la banquette arrière pour évaluer l'état de Chloé, lui adressant un regard involontairement charmeur.
— A ton tour ! Je te dirais bien de faire attention, mais je sais que tu gères les gros gabarits.
Rougissement et effondrement de Daisuke dans le siège passager.
-

Chloé Reynard

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Re : Emotions fortes partagées | Johnny, Chloé

Réponse 13 dimanche 11 juillet 2021, 11:11:14

Elle ne l'aurait jamais avoué devant quiconque mais Chloé était contente que Johnny commence leur activité au volant du bolide que leur avait présenté l'instructeur de conduite. Conduire n'était pas sa passion et une voiture lui servait d'aller d'un point A à un point B. Son père lui avait fourni une petite Yaris avec les options de la gamme la plus élevée et elle aimait bien sa petite voiture qui était pratique dans les avenues souvent encombrées de Seikusu. Le petit moteur japonais lui suffisait et elle n'avait pas à s'occuper de l'entretien puisque le véhicule était gracieusement prêté par Toyota à Mr Reynard (papa) qui siégeait au conseil. Alors oui, elle était déjà monté dans des monstres de puissance, accompagnant amis, amants, coups d'un soir, inconnus, voyous, personnalités mais n'avait jamais conduit. Bien entendu, elle s'était lascivement étirée sur des capots rouges italiens lors de shooting photos où ses poses faisaient oublier la sportive au logo si caractéristique. Et puis sa sœur, Kelly, très différente de sa cadette, au contraire, aimait les belles mécaniques bruyantes et ramenait parfois une machine particulièrement bruyante dans la cour de la maison.

"Non, non commence, c'est super, je vais filmer de derrière."

La jeune femme se glisse sur la banquette arrière et s'installe sur la place centrale. Ceinture! Ca sent bon le cuir neuf et elle laisse courir ses doigts sur les coutures de finition. C'est du beau travail. Daisuke donne ses instructions et présente l'habitacle. Chloé aurait cru qu'ils aient à porter un casque mais le japonais n'en parle pas. Tant mieux, elle aurait détesté confiner sa chevelure dans un cocon de carbone.

"Vas-y Johnny, je filme!!"


Et Johnny assure! Le beau gosse à l'air de maitriser le sujet et après une rapide prise en main, joue déjà de l'accélérateur. Le gros moteur de la Porsche hurle rageusement lorsqu'il rétrograde en mode manuel, négocie un virage sans sourciller et repart de plus belle sur une longue ligne droite. Chloé est ballotée à l'arrière mais tient fermement son smartphone et ne rate pas une occasion de lancer un commentaire professionnel à l'attention des futurs abonnés de l'argentin. Elle vante sa classe et ses mérites et assure qu'elle a une totale confiance en lui ... La classe Johnny! Elle sait y faire, les réseaux sociaux, elle connait. L'art de se mettre en avant mais surtout sans trop en faire. La connaissant, c'est contradictoire mais son naturel fait passer tous ses débordements. Néanmoins, là, c'est pour Johnny donc elle cadre des plans, ses mains sur le volant, son regard de braise dans le rétroviseur, son visage concentré au moment d'aborder  un virage un peu raide. Elle le questionne sur son ressenti, son avis sur la voiture, s'il a un conseil pour ses followers. Daisuke est mis à contribution également et arrive à ne pas pourrir la vidéo. Le commentaire d'un professionnel est toujours le bienvenue dans ce genre de présentation.

Passée la phase enregistrement, Chloé se laisse aller sur les derniers tours et s'éclate tout autant que le conducteur. Les "wouhou" et autres "plus vite!" fusent dans l'habitacle.

La demie heure de Johnny passe trop vite.

"Oh non déjà!! On peut pas .....?"

Non, on peut pas! Maitre Daisuke est catégorique. Au japon, contrairement à la France, une demie heure, c'est pile 30 minutes. Chloé n'insiste pas, c'est à son tour.

"J'aimerai bien que Johnny monte à côté de moi ... De toute manière il maitrise et je vais pas aller vite, c'est promis!"

Le sensei ès conduite accepte, peut être aussi parce que Johnny a déjà la main sur la poignée de la portière. Chloé termine de l'achever, la bouche pincée sur une mimique suppliante.

"Merci !!! Johnny, tu filmes!!!"

Elle cale sa casquette, bien vissée sur le chef, relève la visière à 45° et ajuste ses lunettes, très starlette ... et s'assoit pour se retrouver le nez sous le volant. Elle grommelle, le gabarit de Johnny, c'est quelque chose. Y'a des boutons partout sur le côté du fauteuil et elle galère à le régler, les rétros aussi.

"Hey? la demie heure a pas commencé hein?" Non non ....

Ceinture!

Et c'est parti, la voiture frémit quand elle la démarre. Chloé décide de n'utiliser que le mode automatique, comme sur sa Yaris. Elle ne se sent pas en confiance avec la boite manuelle. Au moins, elle n'aura qu'à tourner le volant. C'est parti! Le moteur hurle et la voiture fait un bond en avant, lui arrachant le même cri aigu qu'à Daisuke.

"Oups ... c'est sensible ..."

Deuxième essai, la pédale d'accélérateur est vraiment souple mais après quelques essais, elle en reconnait l'amplitude. C'est ... encore parti et la sportive se lance à la même vitesse qu'une petite citadine fatiguée. Chloé se concentre, elle ressent toute la puissance qu'elle a entre les mains et ne peut s'empêcher de rire, repensant au commentaire de Johnny.

"Ouais c'est vrai, c'est le deuxième truc monstrueux que j'ai entre les mains aujourd'hui. Je kiffe !"

Elle termine le premier tour en un temps effroyable mais est très fière de sa performance. Daisuke est partagé entre le fait heureux d'être toujours vivant et l'ennui mortel du type cantonné à la banquette arrière.

"Bah! Arrête de faire la gueule Dai!! C'était le tour de chauffe, maintenant ça commence!"

Confiante, elle écrase l'accélérateur et la Porsche s'élance sans un crissement de pneus pour avaler la longue ligne droite qui se perd devant eux.
Ils hurlent tous mais pas pour les mêmes raisons, le virage au bout arrive à une vitesse folle et Chloé rit aux éclats. Elle pile net à trente mètres et repart tranquillement pour l'amorcer en douceur. Les prochains sont négociés à une vitesse plus respectable et au final, elle conclut son parcours dans un temps très correct. Johnny a été très pro, la vidéo sera bonne, il faudra juste sélectionner les bons moments et effacer les autres. Un super plan aura été complètement gâché par les hurlements stridents de Daisuke, fais chier!

A leur retour à la zone de stationnement, un petit comité d'accueil les attend. Il s'agit principalement des autres instructeurs qui tiennent à découvrir qui sont les individus qui ont malmené et le circuit, et la voiture, et le pauvre accompagnateur. Chloé se glisse hors de l'habitacle tout en provocation, Johnny s'en extirpe tout en force.

Elle fait le tour du véhicule et saute dans les bras du colosse.

"T'étais génial Johnny!!!! On fait une photo! Daisuke, viens-là!"

Elle tend son smartphone a un des types et tire ses compagnons devant la Panamera, Daisuke entre eux deux, trop heureux de s'en être sortit.

"Ouistiti sexe!!!!"

Ben oui, elle est française ... Mais en japonais ça sonne bizarre : "Māmosettosekkusu"
L'effet est quand même bien là, l'hilarité pleine d'incompréhension des participants donne à la photo un air très réaliste.
Ils remercient leur instructeur qui a la courtoisie de ne pas leur dire ce qu'il pense et c'est un autre type qui les ramène à l'hôtel en voiturette. Ca ne fait qu'un peu plus d'une heure qu'ils sont partis mais cette première activité a, pour Chloé en tout cas, été crevante. Elle s'aperçoit qu'elle est encore toute tendue et ses avant-bras lui font mal d'avoir trop serré le volant.

"J'ai soif! Johnny, c'est toi le capitaine de l'après midi! Tu t'occupes de moi et ce soir, on baisera!"





Johnny Paso

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Re : Emotions fortes partagées | Johnny, Chloé

Réponse 14 mercredi 21 juillet 2021, 03:29:41

Johnny s'exécuta avec le sourire, s'installant dans la banquette arrière presque trop petite de la Panamera avec le téléphone de Chloé paré dans sa grande main, braqué sur le poste de pilotage. Il épargna la longue séance de préparatifs ou le tour de chauffe très plan-plan, mais il opta pour une série de prises mettant en valeur la plastique de la belle contre le cuir du siège, ou les gestes de sa main sur le levier de vitesse. Il capta son regard sérieux dans le rétroviseur. Même lorsqu'elle écrasa le champignon pour se précipiter vers la fin de la ligne droite en un temps record, il garda un plan digne d'être utilisé — sans le son, certes, parce qu'entre sa trille mi-ravie, mi-anxieuse et le cri de terreur aigu de Daisuke... —. Il n'y avait pas à dire : Chloé était foutrement sexy en négociant les virages, fixée sur son objectif. Elle se débrouillait mieux avec une voiture sportive que la plupart des cadors ayant tôt ou tard planté leur bolide dans une vitrine, une bite de sécurité ou un arbre.
Ils quittèrent le circuit trop tôt au goût de Johnny, qui se régalait de la voir ainsi, mais c'était clairement bien assez pour Daisuke, qui en aura décidément vu des vertes et des pas mûres avec eux. Il tremblote en quittant la Panamera, alors même que ses pupilles, tout sourire, s'enlacent avec joie.
— Et tu étais splendide, Chloé ! Allez ! La pose !
Pour le coup, voyant la photo comme une libération, même Daisuke semblait ravi, et il joua le jeu. Mais il lui restait une dernière épreuve.
— Whiskee ! s'écria le colosse en sortant les dents.
Entre ça et le " sexe " bien français de Chloé, le Japonais finit d'accuser le coup de la journée et son hébétude resterait figée à jamais pour le plaisir du monde entier. Il deviendrait, pour sûr, un meme très prochainement. Surtout entre les deux autres complètement conquis par leur propre bêtise.
Le temps était venu de passer à la suite et la voiturette qui les ramenait vers l'hôtel reprenait la même route en chemin inverse. La fascination de la nouveauté étant passée, ils étaient libres de se consacrer un peu à leurs réseaux sociaux ou, dans le cas de Chloé, à ses petites douleurs. Quand elle lui signifia qu'elle avait soif, il quitta le téléphone des yeux et remarqua tout de suite la tension en elle. Il avait l'habitude de voir les gens fourbus après le sport et il fallait dire qu'ils s'étaient bien éprouvés pour le peu de temps qu'ils avaient passé ensemble. L'Argentin la fixa en réfléchissant quelques secondes, avant que son regard se déporte sur le centre thermal qu'ils avaient déjà croisé.
— Hey, y a quoi comme services ici ? demanda-t-il à leur chauffeur.
— Euuuh... Bar, sauna, massage, onsen... Les classiques... Monsieur.
Le petit jeune apprenait encore le métier et, évidemment, il avait passé la moitié du temps à reluquer Chloé depuis qu'ils étaient montés. Et puis, forcément, la franchise avec laquelle elle avait annoncé qu'ils baiseraient ce soir avait de quoi choquer un jeune homme encore incertain de ses positions. Il était distrait mais il était touchant. Johnny le remercia d'une claque amicale derrière l'épaule qui écrasa le garçon et leur fit faire un écart.
— Qu'est-ce que tu en penses, Chloé ? Tu aurais bien besoin d'un massage. On se retrouvera au onsen. Ca te va ?
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