Le temps n'est plus à la retenue. Noriko ne peut plus retenir ses cris et chaque pénétration de Souta lui arrache une exclamation. Il lui est difficile de soutenir le rythme et plus d'une fois, elle glisse, manquant s'affaler contre le mur. Son rectum mignon et bien fermé n'est plus qu'un lointain souvenir. La queue épaisse de Souta l' a tellement investi qu'on pourrait en mettre deux à présent. La petite asiatique ahane, cherche à se reprendre, se concentre sur le martèlement qui détruit son fessier ferme.
Et tandis que Noriko obéit et vient pousser contre Souta, criant plus fort encore, râlant même, son timbre clair voilé par des notes plus gutturales, Chloé l'abandonne à son destin de princesse de l'anal pour donner son téléphone à Souta. S'élevant sur la pointe des pies, elle cherche à voir ce qu'il pianote mais n'y parvient pas. En tout cas, l'appareil vibre, synonyme d'une forte activité et elle se demande ce qu'il peut bien trafiquer.
Soudain, elle tourne la tête en même temps que son protecteur vers un coin de la rue. Le gosse est là, tout proche, et elle ne l'a pas entendu arriver.
"Hey salut!"
Elle lui fait un petit coucou de la main, geste incongru au vue de la situation... Le jappement de Noriko la ramène à elle. Sa copine s'est cambrée comme une folle, tête en arrière, yeux révulsés et bouche ouverte. Souta s'est fourré en elle jusqu'à la garde et la brunette a l'impression d'avoir un pieu qui remonte jusqu'à son estomac. De son côté, l'ado acquiesce en réponse. pour sûr qu'il aime ce qu'il voit. Une beauté qui se fait enculer en public, ce n'est pas commun. Et comme si ce n'était pas assez, Souta se déchaine violemment, terminant de déchirer sa pute dans un coït d'une rare brutalité. Le corps de Noriko est écrasé, broyé et elle gueule tellement fort que Chloé lui musèle la bouche de sa main. Il s'en échappe des cris étouffés, sauvages, primaires. La voix est éraillée, fatiguée par cette sodomie qui pourrait entrer dans la légende du porno.
Le gamin s'est rapproché, même s'il a l'air effrayé. C'est sûr que Souta ne donne pas l'image du pote sympa avec qui on sort boire un coca. Là, il a plutôt l'air du type qui est prêt à tout casser, ce qu'il fait très bien d'ailleurs. Quand il se retire du cul ravagé qui offre la vue d'un trou béant, Noriko s'effondre à genoux, les mains au sol, ses cheveux noirs couvrant son visage. Elle respire fort, épuisée et privée de sa béquille pour tenir. L'instant est bref que Souta la sollicite déjà pour plus. Un peu tordue dans cette position, elle tient son rôle jusqu'au bout (après tout, elle l'a un peu cherché) et ouvre la bouche pour laisser passer le gros serpent odorant et fort en goût. Elle éructe salement quand il force le passage et écarquille les yeux, tentant de contrôler sa nausée montante.
Rien n'y fait, le garçon est bien logé dans son gosier et il ne compte pas s'en retirer de sitôt. Chloé s'est accroupie derrière lui et lui masse les couilles de ses doigts fins. Gentiment d'abord puis à pleines mains ensuite. Elle arrive à prendre la base du sexe entre deux doigts et serre. Elle peut sentir le grosse veine pulsé et en regardant l'ado bien droit dans les yeux, elle donne un long coup de langue en travers du fessier de Souta.
Le gosse est tétanisé et elle lui fait un clin d'œil sympa. La bosse qui déforme son pantalon indique son degré de ... mort prochaine ... et Chloé pousse le vice à lui montrer ensuite le fond de sa gorge.
"Y'a pas qu'elle qui suce comme une cochonne tu sais."