Elle avait l'air d'une coquille vide...

Leïla avait quitté la bibliothèque comme un zombie. Dehors, il n'y avait plus personne.  Les élèves des clubs étaient tous rentrés chez eux. Elle se retrouvait toute seule, à pleurer sur son sort, son corps déchirée et souillée par ce qu'elle voyait comme un animal, Don. Elle ne savait pas si, ça y est, elle était folle ou non. Mais elle marchait, errant sans but, dans un endroit où elle ne reviendrait jamais. Elle se sentait totalement brisé. Ses parents avaient donc raison: elle aurait du rester enfermée dans sa chambre pour toujours. C'était peut-être une cage dorée, mais, au moins, elle y avait été en sécurité.

Le soleil pointait au crépuscule lorsque la jeune fille, ayant l'air d'une coquille vide, vit qu'il restait quelqu'un dans l'étalissement. De la lumière. Un instant, elle se dirigea vers la lumière qui venait de la pièce, puis soudain, elle tressaillit. Et si c'était encore Don? Et s'il lui tendait un piège, à nouveau, pour l'emporter? Non...Leïla désirait tellement un endroit où elle serait à nouveau en sécurité, un instant.

Mais elle était assez approché pour voir que, sur une porte, il y avait marqué "Infirmerie". La jeune fille se tût donc un instant, entendant des pas. Des souliers. Une démarche de femme. Une démarche...un peu comme sa mère... Y serait-elle en sécurité? Peu importe, elle devait y aller.

Mais, épuisée, elle ouvrit à peine la porte que Leïla s'affala devant l'entrée, comme épuisée. Elle avait mal, et même continuer à pleurer, cela faisait mal. Elle restait donc par terre, inerte, comme une poupée. Mais consciente...

Une jolie poupée articulée qui entra dans son infirmerie. Nasira était en train de se détendre dans son office tandis qu'elle lisait un magasine, a coté d'elle sa plante carnivore favorite claquait un peu des dents, elle lui lança un petit bout de viande qu'elle goba au vol...Bien, c'était tranquille en soirée, elle n'allait pas tarder a regagner son appartement. Peut être arriverais t'elle a attraper un inconnu dehors et a le ramener chez elle pour la soirée...Elle détestait ne rien faire le soir. Et elle était trop fiere pour s'abaisser a se donner du plaisir par elle même. Elle était la grande prétresse d'Aphrodite, Pas une petite pucelle qui s'échauffait. Elle estimait avoir droit a quelques mâles pour lui tenir compagnie...Le temps où elle passait chaque nuit en compagnie de 5 beaux ephèbes grecs il y a milles ans de ça lui manquait terriblement.

Nasira ecrasa sa clpe dans son cendrier et leva soudain le nez. Reniflant l'air. On dit que l'odorat des chiens était surdevellopé, celui de Nasira l'était, mais ne repérait qu'une seule odeur a plusieurs mètres a la ronde : celle de la semence. On avait beau se laver, toute fille en gardait sur elle une part infime, sauf les vierges bien sur, qu'elle repérait assez rapidement grace a ça...Et on avait apparement un gros amoncellement de semence qui avançait par là...Soit une personne était en train de faire l'amour tout en avançant dans le couloir, ce qui l'étonnerait beaucoup, soit quelqu'un arrivait et ce quelqu'un venait de s'envoyer en l'air de manière assez violente.

Zut, ce sont toujours les mêmes qui s'amusent...

Nasira laissa Leila entrer et n'eut pas a chercher bien longtemps. Vu son comportement ce qui lui arrivait était assez evident.

Il n'y eut pas de cri, pas de plainte, rien de la part de Nasira, elle ne lui adressa même pas un regard de pitiée. Elle se leva et la prit par l'épaule pour la soulever, sans force mais sans douceur, et l'ammener pour s'etendre sur un lit. L'infirmière regarda Leila avec attention. Elle n'avait pas pu observer l'état de ses organes, mais vu la manière dont elle marchait il n'y était pas allé de main morte. Ce qui agaça encore plus la sorcière qui était en manque ces derniers temps.

"Alors, on a fait une mauvaise rencontre?"

Lui lança t'elle sur même ton qu'on demanderais "Alors on a fait une mauvaise chutte?"

Leïla essayait de remettre, mais, décidément, elle n'y arrivait pas. Elle faisait tout pour, au moins, se relever, mais tout ce qu'elle fut apte à faire, ce fût de pleurer, encore et encore. Oui, elle avait fait une bien mauvaise rencontre...

"Il...m'a souillée...cet animal...de Don.."

Elle sanglota encore, se recroquevillant sur elle, cachant son visage dans ses mains. Si seulement elle pouvait disparaître, si seulement elle pouvait faire ensorte qu'il n'y ait rien...

"J'ai si mal...je...saigne..."

Elle avait honte, elle avait peur, elle avait mal, et elle pleurait. Elle ne savait, elle n'arrivait plus à faire que ça. Elle essaya de voir le visage de la femme qui lui parlait, mais sa vue était brouillée par les larmes.

"Je...Vous croyez...que je deviens folle?"

Un rire pas très sain déchirait ses larmes.

"Oui...ça doit être ça...folle...folle...je suis folle..."

Don?Ce mot provoqua immédiatement une excitation dans son entrejambe. Elle se souvenait très bien de l'homme qu'elle avait enfantée, il y a cinq ans il l'avait prise dans le temple d'Aphrodite, elle s'était laissée faire, loin d'avoir quoi que ce soit contre l'inceste. Elle avait d'ailleurs bien apprécié l'homme, normal elle l'avait formé après tout, cette force brute, ce corps, elle avait eu un orgasme, le premier depuis bien longtemps que lui ait procuré un homme...Et visiblement ce client n'était pas content, elle n'imaginait pas sa chance d'être tombée contre un violeur comme Don...Avec tant de force et de vigueur. Bref, elle se contenta de placer une compresse sur son front et elle remarqua a ce moment là quelque chose d'étrange...Leila...Leila était une succube, ou du moins en avait du sang.

Et elle n'aimait pas ça?

Bizarre.

"Hm, épargnez moi vos états d'âmes, je suis là pour faire mon boulot taisez vous un peu."

Lui lança t'elle sèchement sans aucune compasion pour la douleur de Leila. Elle essayait de se rappeller de la formule qu'elle cherchait...Puis celà lui revint soudainement.

Leila vit Nasira qui se tournait vers elle et lui lança en souriant

"Et ça vous dirait de regagner ce que vous venez de perdre?Il y a des moyens...MAis ça n'est pas gratuit."

Fit elle avec moult sadisme

Leïla ne vit pas vraiment que le nom de Don évoquait quelque chose pour l'infirmière inconnue, mais bon, si c'était une femme, elle devrait pourvoir lui faire confiance. MAis, apprement, pour elle, le boulot, c'était le boulot. Leïla, à travers ses émois, avait l'impression que les yeux fauves de la dame semblaient la regarder au rayons X, comme si elle savait tout ce qu'elle était, tout ce qui n'allait pas.

Soudain, elle lui aprla de regagner une chose perdue. Quelle chose? Leïla réfléchit, qu'avait-elle perdu? Sa dignité, son honneur...et surtout sa virginité. Ses yeux semblèrent se ranimer d'une lueur d'espoir, comme si elle allait pouvoir reveniir à la normale.

"Alors , vous pourriez...me rendre ma virginité...?"

Elle n'en revenait pas, et elle sourit, assez heureuse de cette chance.  MAis elle avait parlé d'un prix, et son regard devint suspicieux.

"Quel est le prix pour ça, madame?"

Nasira adressa un sourire alambiqué a Leila avant de repondre avec une voix plus douce

"Oui, je le peux, c'est en mon pouvoir. Vois tu, tu n'est pas la seule a être étrangère a cette ville ma petite."

Lança Nasira, qui esperait que Leila comprendrais, elle s'étira un peu et lui lança avec dédain tout en se levant et en se dirigeant vers l'armoire

"Je suis capable de beaucoup de prouesses. Tu serais étonnée de savoir combien."

Fit Nasira avec un sourire avant de sortir un petit sachet de pillules de feuilles roulées et elle en prit une avant de la faire miroiter a Leila

"Avec ce comprimé tu reprend tout ce que tu as perdu et tu oublie tout de ce qui viens de se passer. Ta mémoire ne te reviendra que lorsque tu perdra a nouveau ta viriginitée. Plutôt pratique hein?"

La sorcière eut un sourire et la ramena vers elle quand Leila voulut la prendre

"Hop hop hop. Rien n'est gratuit. Si tu veux cette pilule tu va devoir faire quelque chose pour moi."

Leïla n'arrivait pas à en croire ses oreilles. Tout oublier? Jusqu'à perdre à nouveau sa virginité? Cela lui laissait assez de temps our se remettre, et de ne plus avoir aussi mal...Elle n'arrivait pas à croire qu'on lui proposait une chose pareille. C'était si incroyable...et c 'était une chose de si bon marché, de plus...

Mais...une seule chose la laissait perplexe: comment se faisait-il que cette personne possédait un médicament pareil? Et surtout....que désirait-elle en échange?

"Madame..."

Son regard se leva pour croiser celui de l'infirmière, assez perplexe. Que pouvait-telle donc attendre d'elle? Mais, dans sa position, Leïla était prête à tout accepter.

"Dites-moi ce que je dois faire pour vous...je le ferai..."

Nasira caressa la gorge de Leila puis sa joue comme on le ferait pour consoler une gentille petite fille en pleur et lui tapota la joue du dos de sa main, avant de lancer avec un sourire sybillin

"C'est bien ma p'tite."

Fit elle avant de se lever et de s'allumer une nouvelle clope, se débarassant de l'ancienne avant de regarder le plafond. Elle savait très bien ce qu'elle allait faire, simplement elle voulait faire croire a Leila qu'elle se mettait a reflechir un peu, elle se tourna vers elle et lui tendit l'arrosoir qui reposait sur le bord du bureau, précautionneusement

"Tu vois le balcon?"

Fit elle avec un délicieux sourire. Le balcon de l'infirmerie était couverts de plantes bizarres, certaines que Leila n'avaient jamais encore vu et qu'elle ne trouverait jamais dans aucun livres. Nasira lui donna l'arrosoir et lança

"Je veux que tu m'arrose cette plante."

Fit elle en montrant une petite pousse en retrait loin dans le balcon

"Quand tu l'aura bien arrosée, je te donnerais la pillule. Allez, va maintenant."

Leïla la regarda, intriguée. Cette femme était étrange. Elle lui demandait juste...d'arroser une plante? C'était une blague?

La jeune fille se releva, observant l'étrange plante. Elle ne 'lavait jamais vu, mais elle n'avait aps vu beaucoup de plantes en vrai non plsu. MAis, même dans se slivres, cette race ne lui revenait aps à l'espirt. C'était juste que, dans la forme de celle-ci, il lui semblait vaguement reconnaître une race de fleur cannibale...

"Je...je vais le faire..."


Elle déglutit, prenant l'arroisoir plein, mais, en son dort intérieur, elle se mit soudain à imaginer qu'elle était totalement incassable, infondable. Elle se disait que, par sécurité, il valait mieux faire attention. De toute façon, elle n'arrivait pas à faire confiance, avec ce qui venait de lui arriver.

Elle s'approcha alors et, resistante comme une montagne, et se mit à arroser la plante, attendant la réaction.

Il ne se passa rien.

La plante fut arrosée et l'eau entra dans la terre pour l'humidifier lentement. La tige fut un peu écrasée par les gouttes d'eau mais s'en remit assez vite. Depuis le bureau de l'infirmerie Nasira fit signe a Leila de verser tout l'enorme arrosoir sans problème, ce qui emplit la plante sous une avalanche de gouttes d'eaux qui innondèrent la coupole posée sous le pot.

Rien ne se passa.

Nasira prit un siège et regarda comment la situation allait évoluer. Elle avait ce genre de sourires qu'il n'est jamais bon de voir sur son visage.

Alors que Leila la regardait quelque chose lui aggripa la jambe. La jeune fille s'apperçut que la plante avait soudainement grossi de manière exponentielle et était devenue une sorte de véritable bouquet de liannes vivantes, les liannes s'enroulèrent autour du corps de Leila et la bloquerent. Nasira sortit sur le balcon et, restant dans l'encadrure de la porte elle lança

"J'ai besoin d'un peu de tes secretions pour certaines de mes potions, evidement si je te les avais demandées poliment tu aurais surement refusé, dans cet état de chochotte où tu te trouvait."

Nasira se retourna et s'alluma une cloppe avant de lancer

"Je te laisse donc t'amuser avec ton nouvel ami"

Fit elle avait de rentrer a nouveau dans l'infirmerie. La plante se mit a déchirer ce qui restait de la robe de Leila, aggripant sa poitrine

Leila n'en revenait pas. Mais pourquoi diable avait-elle risqué, encore une fois, de faire confiance à quelqu'un? Juste aprce que c'était une femme, en plus...cela la dégoutait tellement...

Elle essaya de se débattre, refusant de sapprocher plus de la plante carnivore qui l'avait capturée.

"Est-ce que c'était nécessaire, s'écria-t-elle, assez outrée, alors que je viens d'être violée, je dois être pleines de sécrétions..."

Elle voulait s'évaporer, s'échapper de cette odieuse plante qui alalit lui faire dieu sait quoi encore. Et puis, elle ne mentait pas, venant d'être violée, elle n'avait que ça en elle...des sécrétions...

"Mais c'est quoi c'te bestiole! Où vous avez trouvé ça?!"

Nasira porta sa cigarette a la bouche et en prit une bouchée avant de regarder placidement Leila se faire attaquer par des tentacules, comme si elle voyait ce genre de spectacles tous les jours. Elle craqua un peu ses doigts et bailla profondement avant de croiser les jambes comme c'était un peu un rituel pour elle, et regardait faire.

"Détend toi mon chou, après tout tu peux détruire cette plante si tu veux, mais ça voudra dire que tu veux rester comme tu es hmm?"

Lança Nasira, si Don avait usé de la force la sorcière avait la flemme de lever le petit doigt. Elle allait donc devoir faire ça toute seule

"Tu préfère deux rapports espacés de quelques minutes ou un autres qui surviendra dans quelques mois quand tu ne t'y attendra pas?Serre les fesses et écarte les jambes. Tu fais partie de la race de celles qui aiment celà naturellement, tu l'as juste oublié."

Une des tentacules commença a se rapprocher dangereusement de Leila et la flatter un peu, avant d'entrer en elle soudainement, commençant a pomper en elle, les tentacules entourées autour de sa poitrine se mirent a la pelotter doucement, puis plus fortement l'embout se plaça au dessus des tetons et se mit a pomper également de la même façon que le sexe. Leila sentit quelque chose jaillir en elle

"Cette plante va t'inoculer une substance qui va reveiller tes secretions mamaires, en d'autre termes tu va produire du lait ma petite vachette."

Fit l'infirmière en se détendant, profitant du spectacle

Leïla restait bête. Elle ne pouvait réellement rien faire contre, pour oublier et redevenir vierge, elle devrait encore une fois être humiliée... Combiend e fois cela allait-il lui arriver, avant que cela ne cesse enfin.

"Une...vache?"

Elle ne comprenait pas. Les cuisses écartées la par la tentacule, et son sangd de succube appréciant ça, elle se sentait pompée en elle, comme au niveau de ses têtons. Et le pire, c'est que son corps ne refusait même pas ce traitement, sentant monter en elle un étrange mélange de sensations, entre une sorte de palsir pervers et une stimulation au niveau de poitrine.

Elle allait réellement produire du lait?

"C'est...impossible..."

Mais les tentacules continuaient de la têter, et elle ne pouvait s'empe^cher de se cambrer, alors qu'elle 'navait qu'une idée, s'enfuir... Elle se sentat lâche, et totalement à la merci de Nasira et sa plante.

Les mouvements de la plante se firent de plus en plus brusques, de plus en plus féroces, commençant a pomper Leila de tout son "fluide vital" sans une once d'humanité. Nasira prit une bouffée de sa cigarette et regarda le spectacle d'un air nostalgique...Ah elle s'était amusée avec ces plantes là un long moment avant finalement de s'en lasser, elles n'étaient plus vraiment capable de lui procurer quoi que ce soit. Mais voir Leila se faire prendre avec tant de violence reveillait les vieilles excitations de l'infirmière

"Alors?Ca ne te soulage pas de te faire traire un peu?"

Lança Nasira avec sarcasme alors que Leila souffrait a nouveau le martyr, mais elle ne s'inquiétait pas trop pour ça, elle tiendrais sa parole et lui rendrais sa virginitée...Bien que celà ne fut que provisoire et qu'elle finirait par se souvenir d'elle

"Rien n'est impossible pour moi dans ce bas monde. Si je veux te faire avoir un tripple orgasme dans une situation aussi horrible que celle là, voire pire, sache que c'est largement dans mes compétences et puis je n'aurais pas trop a forcer, tu as un don inné, naturel pour ce genre de choses."

Lança l'infirmère en souriant. Tandis qu'une des tentacules de la plante entrait dans la bouche de Leila. et que le rythme global s'accellerait de plus en plus

Leïla n'arrivait pas à croire en ce qui était en train de se passer. Une femme était en train de la violer grâce à une plante??? C'était tellement impossible...

Et pourtant, elle avait bien une tentacule dans la bouche. Elle avait des tentacules qui la tétaient, et une autre qui la pompait encore et encore dans son vagin. Elle n'arrêtait de pas gémir. MAis, malheureusement, son corps, lui aimait ce traitement. Elle se mit à mouiller beaucoup, sentant un orgasme, déjà, monter en elle. Elle le refusa, mais elle mouillait abondamment,