Obéissance et humiliation [Sonya]

Je peux sentir qu’il resserre son emprise sur moi pendant notre danse, me collant totalement contre lui, ma poitrine s’écrase contre son torse. Je ne dis rien, continuant de voguer à ma petite danse des hanches. Tant qu’il me regarde dans les yeux ça me va. Mais d’un autre côté j’espère qu’il va bientôt en avoir marre de danser car bon faire que ça ce n'est pas trop mon truc… Et a la base je ne suis pas là pour lui tenir compagnie je suis sur une serveuse. Pour moi danseuse est juste un extra ! Mon patron ne m’en avait jamais parlé.

Akeshi se détache de moi reculant pour se mettre assit sur le canapé derrière me demandant maintenant de danser pour lui. Une petite danse personnelle rien de vulgaire… Hmmm… Je ne suis pas sur de ça ! Quand une fille habillée comme moi danse pour un homme on s’attend à autre chose qu’une petite danse des canards ! Je lui souris et lâche ses mains, je me retourne en direction de la table trémoussant mon bassin. J’attrape mon verre de Champagne pour le finir d’un coup.

"Je suis désolée mais je vais laisser votre femme vous faire une petite danse personnelle toute seule ! Je suis serveuse, pas danseuse ! Et je ne suis pas présente pour vous tenir compagnie non plus, je suis juste là pour vous apporter ce que vous avez besoin."

Je me retourne de nouveau vers lui, sourire aux lèvres toujours par pure politesse. Certes, le feeling passe bien. Mais je ne dois pas oublier que je suis au travail. Tout ce que je fais n’est pas facturé et fait perdre de l’argent au bar. Ce sont des suppléments gratuits. Je suis serveuse de cette chambre et en dehors de ça je dois aider au bar quand j’ai du temps. Nettoyer les tables, faire la vaisselle, aider les autres filles ainsi de suite. Et la je ne fais rien. Et ce n'est pas bien !

"Si vous avez besoin de quelque chose je reviendrai avec plaisir ! Mais je dois vous laisser à présent j’espère que votre femme arrivera bientôt pour vous tenir compagnie et danser pour vous !"

Je me penche en avant saluant et attendant de voir s’il avait une remarque. Puis je quitterai les lieux pour rejoindre mon équipe en bas.

C'était trop beau d'espérer que tout se passe à la perfection et qu'elle se mette à m'obéir aveuglément. Le type sur internet avait précisé combien elle avait tenté de résister quand il a prit les devants en la forçant à obéir si elle ne voulait pas que son joli minois passe un moment aux urgences. Heureusement je ne fais pas dans la menace physique et je n'ai pas envie d'utiliser mes pouvoirs sur elle à moins d'en être forcé. C'est pour cette raison que j'ai pris nombre de précautions en m'associant avec le patron.

« Ton discours est étrange, tu ne trouves pas ? Tu précises être là pour m'apporter ce dont j'ai besoin. Et ce sont tes mots, pas les miens. Alors que tu refuses la moindre suggestion de ma part. Tu passes à côté d'une grand opportunité car je pourrais t'aider à avoir un mode de vie plus agréable. Mais soit... »

Je glisse ma main dans ma poche pour en sortir un smartphone et à la seconde où j'appuie sur le logo d'une des application on peut entendre le son d'un verrou s'activer dans le dos de Sonya au niveau de la porte. Celle-ci est verrouillée pour plusieurs heures et rien ne pourra changer ça. Et vu que je ne comptais pas la laisser sortir avant le petit matin c'est juste parfait.

« Jette un oeil à l'écran. »

Alors que je lui parle, un écran descend le long du mur et plusieurs images défilent dessus. Des photos d'elle dans une position plus que contraignante.

« Inutile de les décrire, n'est-ce pas ? Sache que l'homme que l'on peut voir dessus est marié et qu'il pourrait très bien porter plainte contre toi si il le souhaite... Et gagner. En retouchant quelques détails on pourrait te faire passer pour une croqueuse de diamant qui cherche à le faire chanter. Maintenant, un choix s'offre à toi. Soit tu obtempère, soit... »

Akeshi commença à me faire un peu de chantage, me disant qu'il pouvait m'offrir une vie meilleure si je faisais ce qu'il voulait. Ca ne m'intéressait pas... Je n'avais pas envie d'avoir de l'argent en dansant comme une pute devant lui. Et dès qu'il aurait trouvé une fille plus belle que moi, me laisser comme une vieille chaussette... Non vraiment, non merci.

Je me dirige vers la porte sans rien dire, il est préférable de ne rien relever sur cette discussion. Mais au moment, où j'allais appuyer sur la poignée, je peux entendre les verrous de la porte se refermer. Je me retourne vers mon client, mon regard est sombre, je sais que c'est lui qui vient de faire ça.

"C'est vous qui venez de faire ça !"

Il n'a pas le temps de m'expliquer qu'il me demande de jeter un oeil sur l'écran de la chambre. C'est quoi ces photos ? Qui avait osé prendre ces clichés ? Mon regard devient encore plus sombre en voyant l'homme. Un gros lourd, menaçant. Ca ne m'étonne même pas lui. Et ce que venait de me dire Akeshi me glaça le sang comment ça il porter plainte contre moi et gagner ? C'est lui qui m'avait menacé comme une moins que rien...

"Vous êtes des pourris..."

Voilà un bon exemple de ce qu'on pouvait faire aussi avec de l'argent... Faire chanter les autres, j'avais simplement refusé de danser pour lui et maintenant je venais d'apprendre qu'il avait des photos de compromettantes de moi, que je pouvais perdre tout ce que j'avais et avoir ma réputation détruite pour toujours en plus d'être la honte de ma famille... Je me retenais de ne pas l'insulter... Pour ne pas aggraver la situation...

"Tu veux ta danse..."

Ma voix était sèche, finit mon doux sourire. Bizarrement, je n'étais pas tendue, étrange... Je m'avance au milieu de la pièce.

"Tu vas l'avoir et me laisser partir ensuite !"

Partir pour toujours, je ne veux plus avoir affaire à lui.

Debout au milieu de la pièce, je me mets à danser. J'ondule mon corps, passant mes mains sur mes cuisses, remontant jusqu'à ma poitrine. Je me retourne pour bouger mes fesses, me baissant pour me relever dévoilant ma culotte. Je vais vite, sans aucune envie de faire ça. Je ne prends aucun plaisir à me trémousser de la sorte, devant un homme qui veut me la faire à l'envers.

« On se tutoie maintenant ? Intéressant... Tu prends des initiatives pour rendre ça plus intime, c'est bien. »

Elle qui se disait mauvaise danseuse mentait clairement car son petit numéro est très stimulant. Son costume va avoir du mal à tenir avec son petit numéro que j'observe attentivement pendant cinq bonne minutes et la jolie Sonya ne fait que rester au milieu de la pièce.

« Je t'ai dis de danser en venant vers moi et j'attends toujours. Allez, un effort. Je me sens seul. »

Il est évident qu'elle n'en a pas envie mais ça va vite changer quand je commencerai à m'occuper d'elle. C'est cette pauvre salope qui va finir par me supplier de ne plus la lâcher quand j'aurais fini de jouer avec chaque recoin de son corps.

« Viens me rejoindre et t'assoir sur moi. »

Elle ignore que tout est enregistré et je le lui dévoilerai au bon moment. Là voilà qui s'approche et qui obéis en venant se poser à califourchon sur mes cuisses. Sa poitrine énorme me bloque la vue et sa vulve se frotte lentement contre mes cuisses pour l'instant. Mon sexe ne gonfle pas encore. La pauvre doit se sentir tellement à l'étroit avec ce haut sur lequel je tire avec les deux mains d'un coup sec pour libérer ses seins énormes.

Je n'avais aucunement envie de rendre la chose plus intime en le tutoyant, il se fait des films... J'étais juste moins accueillante, moins docile comme le devrait être une bonne serveuse de ce bar. Je continue le petit numéro de danse comme Akeshi le voulait, mais il me rappelle rapidement que je devais aller vers lui à la base... Il rajoute aussi que je dois m'asseoir sur lui... D'un pas non-chaland je commence à m'avancer, tout en continuant d'onduler mon corps. Faisant bouger mon bassin de droite à gauche, fixant l'homme dans les yeux.

J'avance, j'avance jusqu'à arriver à sa hauteur, je monte à califourchon sur ses cuisses. Passant mes mains le long de mes hanches remontant jusqu'à mon visage arrangeant mes cheveux ensuite. Akeshi me regarde, examine mon corps. Savourant ce moment qu'il voulait depuis le début de la soirée. Ma jupe très courte était remontée dans cette position dévoilant encore ma culotte. Mais ce n'est pas ce qui intéressait Akeshi, c'étaient plutôt mes seins... Puis qu'il tira violemment sur mon haut, faisant sortir ma lourde poitrine.

Je pousse un petit cri de surprise, avant de lui coller une claque sur le visage et de me laisser tomber lourdement en arrière. J'atterrie sur les fesses, jambes écartées, seins toujours à l'air ballottant dans tous les sens.

"Laisse moi sortir d'ici ! AU SECOURS !"

Je me mets à hurler dans la chambre, espérant que quelqu'un soit à l'étage. Qu'il puisse prévenir mon patron et qu'on vienne me libérer de cette pièce et de cet homme.

Ce spectacle parfait que m'offre sa poitrine n'est que de courte durée. Mon regard se voit forcé de faire un virage violent sur la droite à cause d'une gifle. Cela mettrait en rage la majorité des personnes et pourtant cela a l'effet inverse sur moi. J'aime les femmes de caractère. Cela a toujours été le cas d'ailleurs. Pas dans le sens où j'aime dominer ou remettre ce genre de partenaire à leur place. Un peu d'opposition n'a jamais tué personne après tout.

Au moment où elle tombe je la regarde quelques secondes pour voir ce qu'elle va faire et elle ne fait qu'hurler et paniquer. Dommage, j'en attendais peut-êre trop d'elle après cette gifle ? En tout cas cela me procure une nouvelle occasion de faire avancer les choses. Tout est filmé dans chaque pièce mais je conserve cette information pour plus tard afin de provoquer un plus gros impact.

Je me laisse glisser de façon à me retrouver au-dessus d'elle et j'attrape rapidement ses deux poignets pour les placer au-dessus de sa tête d'une seule main. L'autre se place devant mes lèvres : « Chuut ! »

Mon regard est doux et amusé, accompagné d'une sourire. Je me lèche même les lèvres lentement avant de reprendre. « Personne ne viendra, la salle est insonorisée. Libre à toi de me croire ou non, mais tu ne feras que t'époumoner pour rien. La preuve, je ne cherche pas à te faire taire. Et je ne fais preuve d'aucune violence non plus. »

Ma main libre s'approcher alors de son visage pour en parcourtir chaque recoin et contour. Ses joues, ses oreilles, son nez, ses lèvres, son menton... Avant de continuer à descendre pour titiller son cou sensible et atteindre sa poitrine. Je le laisse vagabonder dessus pour finir sur son téton. Là encore, très lentement, mon index fait le tour de son téton qui se dresse naturellement.
J'ouvre alors la bouche pour laisser ma salive chaude sécouler dessus et reprendre mon massage de son mamelon avec deux doigts : l'index et le pouce. Toujours avec douceux et attention pour l'exciter autant que possible avant la suite.

« Je ne suis pas un monstre, au contraire. Je vais t'offrir une cascade d'orgasmes, un tsunami de plaisir. Au point que tu finiras par me supplier de continuer. »

Akeshi se lève pour me rejoindre par terre, il m'attrape les poignets et me les redressent au-dessus de la tête. Il ajoute un chut tout en plaçant son doigt contre ses lèvres.

"Lâche-moi ! Je ne suis pas payée pour faire ça ! Si tu veux une pute, tu peux aller en trouver une dans la rue !"

Je m'énerve, je me tortille dans tous les sens pour essayer de m'échapper de son emprise. Il me dit d'arrêter de crier, que cela ne sert à rien puisque les chambres sont insonorisées... Je n'en sais rien... Mon patron ne m'en a jamais parlé... Mais d'un côté c'est vrai on à jamais rien entendu quand on se trouve en bas au bar... Pourtant, il a dû se passer beaucoup de choses ici.

"Ne me touche pas comme ça !!"

J'essaie de mordre ses doigts qui passent sur mon visage. Cette sale main qui ose encore me toucher... Elle descend, petit à petit, sur mon cou, puis sur ma poitrine, se promenant sur mes lourds seins. Je me trémousse de gauche à droite, ma poitrine ballottant, claquant.

"Arrête ça !"

J'aboie comme un chien, lâchant des ordres, alors que je ne peux même pas me défendre. L'homme s'amuse avec mon téton, le recouvrant de sa salive avant de reprendre son massage. Je pouvais sentir mon téton se dresser, se durcir entre ses doigts. Devenir plus sensible m'arrachant des petits couinements. Mon autre téton prenait le même chemin, se dressant naturellement sans qu'on ait besoin de le toucher.

"Je ne vais jamais te supplier de continuer ! Tu peux te mettre le doigt dans l'oeil !"

Les doigts qui se trouvaient sur mon téton si possible, qu'il arrête de me toucher et que j'arrête de couiner. Je continue de me débattre essayant de lever mes jambes pour lui mettre des coups ou le faire basculer. Impossible, il est trop lourd, j'arrive à peine à décoller mes fesses du sol. Je prends alors une grande inspiration, avant de lui cracher au visage, bien visé ! J'étais assez fière sur le coup, car j'aurai pu ne pas y arriver et mon cracha aurait pu me retomber dessus... Mais là c'était parfait.

"Tu veux un deuxième ?"

J'étais plutôt confiante dans mes tirs. Et j'étais prête à le refaire si c'était mon seul moyen de me défendre.

La tigresse ne se laisse pas faire un seul instant. Alors qu'il est évident que l'excitation commence à la gagner petit à petit alors que je joue avec sa poitrine. Je connais très bien les femmes et j'ai appris à les maîtriser avec le temps. Alors celle-ci aura beeau se débattre, ce ne sera qu'une question de temps avant qu'elle ne finisse comme les précédentes. Par contre je tiens à m'amuser et ne pas précipiter les choses. Ses tétons se mettent à pointer et alors que je suis sur le point de m'amuser un peu plus elle se met à me cracher dessus en hurlant des bêtises.

« On passe déjà aux échanges de fluides ? Je n'ai rien contre, mais je pensais que tu étais plus prude que ça. »

Le genre de remarque qui risque de la troubler et l'énerver davantage. La pousser à continuer de se débattre et se fatiguer. Ce n'est pas comme si elle pouvait se dégager de toute façon. J'essuie mon visage en ramassant sa salive de mes doigts pour m'en servir sur son téton. J'étale sa salive sur la mienne et après quelques secondes je reprends mes petits jeux.

« Inutile de faire semblant. Regarde ton téton dressé. Ecoute ta respiration se saccader sous l'effet de l'excitation. Et ce n'est que le début. »

Mes doigts agrippent son téton pour tirer dessus une première fois. Son sein se déforme légèrement au fur et à mesure que ma main s'élève vers le haut. Puis je lâche le tout qui s'écrase et claque sur sa peau. Puis je recommence... Avant de venir pincer et tordre doucement son téton qui est désormais si dur.

« Ton corps est une véritable merveille. »

Ma serveuse n'est pas la seule à être gagnée par l'excitation. Mon érection est désormais bien dessinée sous mon pantalon même si elle n'est pas encore entière. Et elle devra patienter pour voir ce qui l'attends là-dessous.

Déjà passer aux échanges de fluides ? Comment ça ? Mec, je viens de ta cracher au visage ce n'est pas pour faire je ne sais quoi... C'est pour montrer que je veux que tu dégages de moi et non pas pour me sortir une phrase de je ne sait pas trop où... Je vais exploser. Je dois être rouge pivoine. Si je pouvais lui remettre ma main dans la figure, je le ferrais de nouveau. Pour montrer mon mécontentement, je redresse mon buste et ma tête, serrant les dents comme si j'avais envie de lui mettre un coup de boule.

Il essuie ensuite ma salive, pour venir la mettre sur mon téton... Je bouillonnai à l'intérieur... Et je continuais de pousser ses atroces couinements quand il entreprit de revenir toucher mon téton.

"Le début de rien du tout..."

C'était mal engagé quand on pouvait voir la scène... Je le vois attraper mon téton, tirant dessus. Mon sein se soulève petit à petit. Je fronce les sourcils et je serre les dents. Ca fait quelque peu mal, vu le poids de mon sein qui voudrait bien lui rester où il était. Akeshi relâche alors la pression, le faisant retomber. Je pousse un long gémissement de soulagement, le voyant rebondir et reprendre sa forme. Juste mon téton légèrement rougi est encore bien dressé en l'air, gonflé sous l'excitation des caresses, pincements qui subit depuis un long moment.

Je peux voir entre mes deux collines l'entre-jambe d'Akeshi qui prend du volume... C'était sûr qu'il prenait du plaisir à faire ça... D'un côté ça me répugne de voir ça et de l'autre je sens mon intimité picôtée, se remplir d'une douce chaleur, si bien que j'essaie de nouveau de mon trémousser en dessous de lui, serrant mes cuisses, voulant les frotter l'unes contre l'autre pour faire passer cette envie bizarre qui m'envahit.

Pour finir il ajouta que mon corps était une véritable merveille... Je ne savais même pas quoi répondre à cette phrase... Ah si... Je repris de nouveau mon inspiration pour lui cracher au visage. Je l'avais prévu avant. Sauf que cette fois ça n'a pas trop marché comme prévu... Ma salive ne partit pas comme la première fois... Une longue traînée de bave se mit à couler au coin de ma lèvre, puis sur ma joue... Et merde ! En sentiment de honte m'envahit alors. C'était vraiment ridicule.

La pauvre petite vient de rater son coup en voulant m'envoyer sa salive au visage une seconde fois. Une erreur de timing ou de force dans son geste ? Il est évident que l'excitation qu'elle ressent lui a joué un vilain tour.

« C'est malin, tu es toute sale maintenant. »

Je m'avance vers elle pour la lécher en faisant atention car elle va sûrement tenter de me mettre un coup de tête malgré sa baisse de force. Au moins elle en veut toujours autant et jouer avec elle reste amusant. Ma langue récupère sa salive d'un coup avant que je ne me redresse pour l'avaler sous ses yeux. Ma main qui jouait jusque là avec son téton masse son sein en le secouant un peu. Ce gros mont de chair remue sous mes yeux et c'est tellement exitant à observer. Mais je ne suis pas le seul à me retenir. Après quelques secondes, j'enlève ma main pour la glisser dans mon dos et chercher sa culotte pour commencer par frotter son intimité à travers le tissu. Je remarque presque immédiatement son humidité.

« Ooooh ? Mais c'est que quelqu'un a été vilaine. Oui, très vilaine... »

Mes doigts se glissent sous sa culotte pendant que je termine ma phrase pour vérifier qu'elle mouille en forçant le passage entre ses cuisses serrée. C'est avec trois doigts que je commence à frotter grossièrement ses lèvres et son clitoris pour voir ses réactions. Je poursuis quelques minutes avant de la faire se relever et la plaquer le visage contre le canapé. A genoux contre le sol et le derrière bien en évidence. Je lui arrache alors sa culotte d'un mouvement sec et je m'attaque à sa petite fente avec ma bouche et ma langue.

Il me parle comme-ci j'étais un bébé... Je vois sa tête s'approcher de la mienne, je me redresse pour lui mettre un coup de boule ou essayer de le mordre, mais il s'y attend... En même temps, depuis le début j'essai les même contre-attaque contre lui. Il s'en doute à présent. Je le vois avaler ma salive... Il est cinglé. Je ne vois que ça... Je m'en doutais déjà un peu, mais là. N'importe qui, qui se fait cracher au visage trouverait ça dégradant... La honte que j'ai ressentie quand je me suis loupée... Mais lui s'en moque, il préfère s'amuser avec pour me faire péter les plombs. Je ne vois que ça.

Il continue de s'amuser avec ma poitrine, la faisant secouer, avant de vouloir passer à autre chose. Rentrer encore un peu plus dans le vif du sujet... Sa main glisse le long de mon corps pour arriver vers ma culotte, frottant mon intimité à travers le tissu. Je ferme mes cuisses, me tortille. Mais ce simple contact m'arrache un long gémissement de satisfaction que j'essaie de camoufler en fermant ma bouche. Mais on peu voir mes yeux se relever vers le haut tellement cette sensation me fait du bien.

"Va te faire foutre..."

Voilà la seule chose que j'ai à répondre à ses paroles... Je n'ai pas été vilaine... Il continu à se faire des films. Et à forcer...

Ses doigts glissent sous ma culotte, il force le passage, écartant mes cuisses pour frotter ma petite chatte. Tout y passe mes lèvres et mon clitoris.

"NONNN !"

Je lui hurle dessus. Alternant les nons et les soupires de plaisir quand il passe sur mon clitoris. Je tressaute de plaisir. Mon corps se contractant et se rêlache à chaque mouvement.

Il arrête alors, pour me faire changer de position. Je me débats de nouveau pendant ce bref instant, mais il me remet vite à terre. M'appuyant la tête contre le canapé, à genoux, ma poitrine pendante dans le vide, les cuisses légèrement écartées pour bien avoir ma petite chatte en vue après avoir arraché ma culotte. Me laissant juste ma jupe de policière remontée sur le haut de mes fesses ainsi que les menottes accrochées après ma ceinture. On pouvait facilement voir mon intimité recouverte de ma mouille bien présente.

Je n'ai même pas le temps de crier, que je sens sa bouche et sa langue commencer à s'occuper de ma petite chatte en feu. Je couine tellement fort ! J'enfouie ma tête dans le canapé pour étouffer ses bruits. Je me remue de gauche à droite, on peu entendre mes seins claquer l'un contre l'autre tellement je me trémousse.

Les voir passer de fauves à chaton docile est si agréable et excitant. Chaque étape de ce processus est un régal à mes yeux. En particulier lorsque je ne me sers pas de mon pouvoir de persuasion. Autrement c'est trop simple et rapide. Une douce mélodie emplit rapidement mes oreilles entre ses gemissements qui meurent contre le tissu du canapé et ses énormes seins dont la chair s'écrase à intervals réguliers. Après trois ou quatre coups de langue je recule pour admirer sa croupe dégoulinante. C'est là que j'aperçois une paire de menottes. Est-ce qu'elles sont vraies au moins ? Dans le doute je les attrape et les lance au loin mais de façon à ce qu'elles restent dans son champ de vision.

« Apporter toi-même tes accessoires est une intention touchante. Ce n'était pourtant pas nécessaire car j'ai déjà ce qu'il faut. »

Tout en terminant ma phrase je glisse une main sous un coussin pour en sortir une paire de menotte dernier cri. Bien plus solides et high-tech que les siennes. J'attache alors ses mains dans son dos pour retrouver l'image de la mienne. Mes doigts sont un peu endoloris à force de la maintenir bloquée depuis tout à l'heure. Je les remue un peu avant de faire craquer rapidement.

Pour compléter ma rééducation rapide, je claque une de ses fesses avec ma main libérée. Pas trop fort, juste de quoi provoquer un énorme bruit. Puis je recommence à deux reprises. Son derrière rebondi se relève à chaque claque. Puis mes dents effleurent sa peau pour y goûter. Sa peau est délicieuse et parfumée. Mais assez joué, il est emps de la faire jouir une première fois.

« Vu que tu aimes tant jouer avec ta salive, j'ai une surprise pour toi. »

Je crache à mon tour sur mon pouce que je coince à l'entrée de son oeillet. J'appuie juste assez fort pour y faire entrer les quelques millimètre de peau où se trouve mon empreinte. Je me tiens juste à côté d'elle, sur sa gauche. Ma main droite l'attaque donc en haut sur son cul avec mon pouce pendant que trois de mes doigts se mettent à glisser lentement dans sa petite chatte humide. Ma main gauche n'est pas en reste car je lui agrippe le sein pour le masser délicatement en jouant régulièrement avec son téton. Je le presse, le fait tourner autour de mes doigts, puis tire dessus avant de le relâcher et admirer les merveilles de la gravité.

« Tu auras beau te retenir, tu vas forcément finir par jouir. »

Je continue ce petit jeu durant plusieurs minutes. Et à l'instant à son corps entier va pour se courber je m'arrête. La privant d'un orgasme avant qu'il ne se produise.

« Oups... »

Il attrape la paire de menottes qui se trouve à ma ceinture pour l'envoyer plus loin. Ca m'arrange sur le coup qu'il n'est pas envie de les utiliser... C'est un accessoire que mon patron à trouvé dans un sex-shop pour parfaire le déguisement de policière que je porte. Ce n'est pas des accessoires top qualité, mais d'après la vendeuse ça va pour des relations sauvages... Ce qui à bien fait rire mon patron quand il me l'a raconté. Bon je suis rassurée de les voir valser au loin... Sans savoir qu'Akeshi avait prit le soin de cacher ses propres équipements dans la chambre. Et la sous le coussin sa propre paire de menottes... Du coin de l'oeil je vois les anneaux métallique s'entrechoquer. Comme tout à l'heure je me mets à me débattre, essayant de me redresser... Et je me fais remettre en place rapidement. Plus j'avance dans le temps moins j'ai de force. Akeshi attache mes mains dans mon dos. Me lâchant enfin. Mais la position n'est pas idéal pour que j'arrive à me redresser, surtout qu'au moindre mouvement il repoussa ma tête contre le canapé afin que je reste en place.

J'abandonne... Pour le moment ! Enfin surtout que les fessés qu'il vient de me mettre me repousse en avant. Je sens mes fesses rebondir. Et ce n'est pas fini. Je sens un de ses doigts ce coincé à l'entrée de mon anus. L'ouvrant légèrement. Je pousse un cri de surprise, redressant brusquement la tête. J'ai envie de me laisser tomber sur le côté, mais sur le coup c'est une mauvaise idée avec son doigt qui peu s'enfoncer d'un coup dans mes petites fesses. Je renonce. Me crispant d'un coup.

"Non, pas ici ! S'il te plaît !"

La sodomie... C'était quelque chose que j'avais juste entendu parlé. Je n'avais même pas vu de vidéo pornographique dessus. Pour moi, c'était quelque chose qu'on ne pouvait pas faire.

"Pas par là !"

Rien à faire. Akeshi, continua de titiller l'entré de mon petit trou qui s'habituait doucement à ce pouce. Les autres doigts rentraient dans ma chatte humide. La pièce se remplissait de bruit malsain, entre les bruits de mouille, ceux de ma poitrine qui claquait et mes gémissements de plaisir.

Je tourne ma tête sur le côté, je n'arrive plus à respirer quand je suis contre le canapé. Mon visage est tout rouge, je n'en peux plus. Je sens le plaisir monter de plus en plus. Je n'arrête pas de gémir, à des moments je peux même m'entendre crier de plaisir quand il rentre plus profondément en moi.

Je ressens beaucoup de plaisir, mais aussi énormément de honte à aimer çà, alors que je ne faisais que lui crier dessus au début. Je n'arrive pas à penser à autre chose, je sens que ses doigts qui rentrent en moi. Mes seins qui se font légèrement malmenés. Le plaisir monte de plus... Je sens que je vais jouir bientôt. Tout mon corps se réchauffe, je commence à avoir des fourmis dans le bas du ventre, ça va arriver...

"AH AH AH AH !"

Je cris alors beaucoup plus fort, bavant sur le canapé, montrant que l'orgasme allait arriver. Encore un peu, encore un tout petit peu...

OUI ! OUI ! NON !!!!

Qu'est-ce qui arrive ? Je ne sens plus rien moi... Akeshi vient d'enlever ses doigts. Ne me touche plus. Je sens une énorme frustration en moi. Essoufflée je sais à peine quoi dire.

"Pourquoi ? Pourquoi ?"

J'en ai les larmes aux yeux d'être dans cet état. Etat pire que tout... Je suis au bord de l'explosion. Frustrée comme pas possible. Je ne pense cas jouir. Cas avoir mon orgasme. J'écarte un peu plus les jambes, pour me baisser, mon intimité effleurant le sol. Je commence des mouvements de bassin contre le sol de la chambre, étalant ma mouille. Gémissant de plaisir. Ce n'est pas assez. Pas du tout ce n'est pas comme ça que j'arriverai à jouir. Et lui demander de me faire jouir... Akeshi obtiendrait que satisfaction. Il aurait gagné.

Avancer, méticuleusement... La voilà désormais à point. Je me demande même si elle se rend compte de ses mouvements de hanches pour se frotter à même le sol qui voit une flaque gagner en taille avec toute la mouille qui dégouline d'entre ses cuisses.
Accompagné d'une autre petite claque sur son cul qui lui arrache un énième couinement, je me relève pour commencer à retirer mes vêtements. D'abord les chaussures que j'envoie valser au loin. Puis les chaussettes et le pantalon que je plie délicatement pour le déposer sur le dossier d'une chaise avec ma veste. Je me retrouve en caleçon et chemise assez rapidement pour passer à l'étape suivante.

Je l'attrape par les menottes pour la faire se relever. L'autre main vient soulever un de ses seins pour le malaxer énergiquement histoire de la garder attentitve et alerte. Son regard est clairement voilà par le plaisir et mes long jeux avec sa fente humide qui était sur le point de lui procurer un orgasme.

« Viens par ici, ma belle. »

Je me pose le premier sur le canapé avant de la pousse à me rejoindre. A califourchon sur moi en me tournant le dos je me frotte doucement sur sa fente en conservant mon boxer pour le moment. Toujours dans l'optique de la chauffer un maximum. Au bout de cinq minutes à jouer avec elle j'enlève mon boxer pour glisser cette fois ma queue tendue et gonflée. Une queue courbée et bien enduite des fluides de ma victime que je ne compte pas enfoncer en elle, non.

« Ma bite est toute à toi. Tu sens comme elle est dure ? Et les veines qui la font pulser ? Imagine le plaisir qu'elle pourrait te donner. »

Mes mains se placent sur ses seins et son clitoris pour les masser et jouer avec. Je fais en sorte de faire entrer quelques centimètres de mon gland à l'entrée de sa fente avant qu'il ne se fasse éjecter quand je pousse pour la motiver d'avantage. Elle est sur le point de craquer, je peux le sentir. Ma main collée contre son clitoris remonte lentement pour finir dans sa bouche.

« Cesse de résister. Tu te fais du mal plus qu'autre chose. Tu vas passer une nuit entière à jouir de toute façon. Laisse-toi glisser sur ma queue. Savoure en chaque centimètre. »

La tête contre le canapé, je continue de me frotter contre le sol, vivement, j'étale mes fluides contre le parquet de la chambre. Gémissant comme une chienne en manque. Comme une pauvre fille qui n'avait pas eu son orgasme. J'étais à bout. J'entends Akeshi se déplacer dans la chambre, mais rien ne peut m'arrêter pour le moment d'essayer de me faire du bien. Ma chatte s'écrasant contre le sol. Jusqu'au moment pour Akeshi m'attrape par les menottes pour me relever.

"Non... Laisse-moi !"

Laisse-moi essayer d'avoir mon orgasme. Je n'en pouvais plus, soufflant comme une vache. Mon corps était bouillant. Ma petite chatte était en feu. Des fourmis la parcourraient. Je devais continuer, ça allait venir avec de la persévérance. Je le savais. Debout, je frotte mes cuisses l'une contre l'autre. Je couine quand il touche mes seins, les soulevant. Pas besoin de me tenir attentive, je suis déjà à 100%. Le moindre contact avec une partie de mon corps me mets dans tous mes états sans arriver au but ultime.

Akeshi me pousse à m'asseoir sur lui, à califourchon lui tournant le dos. Je sens son sexe en dessous du mien. Une énorme bosse encore protégée dans son boxer. Il se frotte contre ma chatte. Je sens cette bosse écarter mes lèvres, buter contre mon clitoris. Je me remets à gémir, la bouche grande ouverte. Je trempe son caleçon avec ma mouille. Mais ce n'est pas assez pour que je puisse avoir un orgasme. Comme quand je me frottais contre le sol. Il me faut une pénétration... Il faut que ma petite chatte se fasse ouvrir, que je puisse sentir quelque chose rentrer dedans. Le temps est tellement long, je deviens folle ! Le plaisir me parcourt de partout. Je couine comme la dernière des putes. Et là il arrête de se frotter contre moi, le temps d'enlever son boxer sortant sa queue que je sens se loger entre mes cuisses. Se faisant directement recouvrir par mes fluides.

La voix d'Akeshi arrive à mes oreilles... Me ventant les biens fait de sa queue. Si dure. Ses veines qui pulsent. Le plaisir qu'elle pourrait me donner. Bien sur que je sens tout ça. Bien sûr que je sais qu'elle pourrait me provoquer ce que je recherche depuis maintenant de très longues minutes... Mais c'est avoué ma défaite.

Il se passe tellement de choses dans ma tête à ce moment et j'ai vraiment du mal à me concentrer. Déjà que je suis au bord d'exploser. Et les mains d'Akeshi se remettent à se balader sur moi, touchant mes seins, mon clitoris augmentant encore le plaisir alors que je pensais être au maximum. Je sens son gland filer sur ma fente sans jamais s'enfoncer en moi. Je souffre de pas pouvoir exploser. Des larmes coulent le long de mes joues. Je suis au bout du rouleau. Je n'ai même plus la force de lui répondre. C'est le bordel. Je me frotte, ondulant mon bassin contre sa queue. Je ne m'arrête pas, espérant jouir. Rien, toujours rien. Je ne sais pas... Je ne sais pas... Je...

Je me redresse... Légèrement... J'hésite encore... Je ne devrais pas... Non... Je suis plus forte... Mais j'en ai envie... Oui... J'en peux plus... Je souffre... J'ai mal...

Et la je me laisse retomber. Cette queue glisse entre mes cuisses directement dans ma petite chatte. Écartant facilement les chaires tellement je mouille.

"AHHHHHHHHHHHHHHHHHHHH !!"

J'explose un premier cri, je lève la tête regardant le plafond. Je me redresse légèrement et me mets à faire quelques vas et viens. A chaque fois que je m'enfonce je cri de plus en plus fort. Il me faut seulement quelques secondes pour atteindre l'orgasme que j'attendais temps. Je me laisse tomber de tout mon poids sur cette divine queue. Pulsant en moi. Énorme. Si bonne.

J'ouvre la bouche, criant mon bonheur. Tout mon corps se contracte d'un coup. Je me mets à trembler. L'orgasme remonte dans tout mon corps. Si bien que cette fois je pleure de bonheur. La souffrance, la frustration s'en va pour laisser place à un pur moment.