Elle était entrain de le faire ! Elle était vraiment entrain de le faire ! Elle avait qu’avait tant résisté, qu’avait tant fait en sorte que cela n’arrive pas… Et voilà qu’elle se retrouvait à faire l’amour avec son propre père. Et le pire, c’est que si quand elle avait commencé, elle avait ressenti de la gène, de la honte, qu’elle était entrain de faire l’un des trucs les plus tabous qu’elle n’avait jamais fais… Et bien maintenant alors que l’acte était bien entamé (oui, ça je crois qu’on peut le dire sans soucis que l’acte est bien entamé, hein), et bien… Voilà qu’elle considérait cela comme normal, comme si de rien n’était, comme si elle faisait quelques choses que n’importe quelle fille pouvait faire avec son père… Alors que dans les faits, non, ce n’est pas non plus si communs…
« Mhhh, vas-y, ma chérie... détends-toi. Relâche-toi ma chérie... Papa va continuer encore un peu... »
Débutante en sexe, elle obéissait au doigt et à l’oeil à son père. Faut dire celui-ci ne donnait pas des ordres méchants, au contraire. Il n’y avait rien de violent ou méchant dans cet amour, ce qui faisait qu’elle l’approuvait totalement. Au contraire, tout était douceur et on s’occupait bien d’elle. Elle ne pouvait que aimer. Elle ne pouvait que approuver. Elle ne pouvait qu’aimer. Ainsi, elle se détendait, se relachait, se laissait faire, offrait donc à son père aussi bien son entière soumission que son entière coopération, appréciant de plus en plus ce qui était entrain de lui arriver… Bon sang, son père était bon, c’était le coup parfait pour une première fois, et elle était heureuse de ce qui lui arrivait… Cela se sentait dans ses gémissements, dans ses actes, dans ces dires…
« Oh bon sang, Elise ! »
Et voilà ! Le double orgasme, une magnifique scène ! Enfaite, dans les fait, ce n’était pas tout à fait un double orgasme, elle avait orgasmé, elle, peut-être une bonne minute avant son père. Mais vous connaissez la licence artistique de l’écrivain : on peut se permettre de faire quelques choses d’un peu différents, tant que c’est beau ! Vous connaissez Dumas ? C’est celui qui a dit « on peut violer l’histoire, tant qu’on lui faire de beaux enfants ! » Et bien, là, c’est pareil, on peut violer tant qu’on fait un bon RP… Mmh… Je crois que je me suis trompé. Bref, quoiqu’il en soit, elle était dans un état de grand bonheur, de jouissance, elle était heureuse, vraiment heureuse de ce qui lui arrivait. Mmh, que de bonheur ! Et ainsi, quand son père commença à lui demander comment ça c’était passé, elle n’hésita pas avant de répondre :
« J'espère que tu as aimé, ma chérie ? Je suis en tout cas heureux d'avoir partagé ça avec toi... Cela restera notre petit secret, ma chérie... Mais si tu veux recommencer, dans la journée, ce soir, plus tard, tu peux venir me rejoindre dans mon lit, Elise. »
« Voyons Papa, j’ai dis, ça ne serait qu’une seule et unique fois ! Mais… C’est vrai que j’ai adoré papa... »
Elle tint bien à le préciser… Mais elle n’avait aucune idée de si cela allait vraiment rester le cas, franchement. Elle avait aimé, et ne ressentait plus de honte à cela. Après tout, c’était son père, et c’était un secret entre lui et elle. Donc… Il n’y avait pas de soucis non ? Personne ne saurait jamais rien de cette escapade et des… mmh… prochaines ? Elle ne savait vraiment pas s’il y en aurait pas, mais elle pouvait pas non plus ignorer que peut-être que cela arriverait. Elle décida de ne pas y penser pour le moment, et de laisser cela dans le champ des possibles, mais sans plus de détail. Oui, elle avait l’impression que c’était un bon compromis pour le moment. Ouais, elle décida donc de laisser ainsi… Quoiqu’il en soit, elle écouta attentivement les déclarations de son père, déclaration très important...
« Si tu as la moindre question, tu peux m'en parler, Elise... Tu as été là pour moi depuis que ta mère n'est plus... Et moi, je n'étais pas vraiment là pour vous trois... Je veux me rattraper, si tu as la moindre question... J'y répondrais, ma chérie. »
« Papa, tu as toujours été là. Sans toi, on aurait été seule et à la rue. T’as au contraire jamais pris soin de toi. »
Sans hésitation, elle se laissa tomber dans les bras de son père, et lui offrit un câlin. Elle trouvait totalement absurde quand il disait qu’il n’avait pas vraiment été là. Au contraire, il avait toujours été là, il avait tenu malgré le désastre et le malheur. C’étaient elles qui n’avaient pas fait assez, et Elizabeth estimait qu’elle avait fait un grand pas pour que son père aille mieux. Car au contraire ce qu’il disait, il a toujours pris soin d’elle, et jamais de lui, ce qui fait qu’il était dans cette dangereuse pente de l’autodestruction. D’ailleurs, elle estimait même que s’il avait prit soin de lui, sans aucun doute que tout cet épisode n’aurait jamais eu lieu. Mais voilà, il y a eu lieu. Donc inutile de faire comme si cela lui avait déplu -au contraire même-, mais voilà… Elle déclara alors d’un ton joueur, qui lui avait manqué ses dernières heures :
« Allez, Papa, je me rhabille ! Imagine Karen entre maintenant hihi ! »
Elle avait retrouvé son état d’avant tout ça ! Ce ton joueur, taquin, qui ressemblait tant à celui de sa mère. Elle avait retrouvée sa bonne humeur, et ne stressait plus. Même l’histoire de Karen et son « petit copain » meurtrier, et bien, voilà qu’elle y pensait plus, contrairement à son père. Non, elle avait retrouvée un ton innocent et content, comme si elle était elle-même contente de ce qui s’était passé, et qu’elle en avait eu bien besoin. Ouah, c’est quand même totalement fou, vous imaginez ! Voilà qu’elle aurait besoin de cela ? Bref, quoiqu’il en soit, elle termina de totalement se rhabiller, mettre bien ses vêtements, laissant quand même -cela serait absurde de penser à de l’intimité après ça-, son père voir son corps alors qu’elle se rhabillait. Une fois cela fait, elle se tourna vers son interlocuteur et déclara :
« Va falloir s’occuper de ces maudits papiers ! Karen et Mary vont sans doute bientôt rentrer en plus ! »
Entièrement habillé, elle revenait sur le sujet de base, un peu comme si rien n’était arrivé, bien qu’elle était toute contente. Toute contente, car elle avait prit son pied, qu’elle avait découvert l’amour et qu’elle avait passé un super bon moment malgré ses premières réticences… Et aussi, deuxièmement et plus important encore… Son père avait passé un bon moment. Sans aucun doute qu’il avait passé une des meilleures après midi depuis bien longtemps, depuis que leur mère était morte. Elle était heureuse qu’elle ait pu faire quelques choses de pour elle si simple, mais sans doute si important pour son père. Donc, elle était contente. Mais retour à la réalité, elle devait s’occuper de ces maudits papiers ! C’était vraiment important, si elles voulaient s’émanciper un jour, et vivre au Japon ou retourner en Angleterre…