Vue de dos, Koji offrait indéniablement une vue magnifique. Tout chez elle était dans l’indécence, comme un moyen d’exprimer sa liberté, une sorte de joie de vivre profondément perverse. La jeune
ganguro ne se refusait rien, et elle avait offert cette vue à Frank, qui ne tarda pas à palper ses fesses. Encore une fois, Koji ne s’en formalisa guère, et se hissa sur la pointe des pieds pour l’embrasser. Il avait une bonne haleine, qui n’empestait pas l’alcool, et ce fut donc pour elle un plaisir d’y plaquer sa bouche. Sa langue joua tendrement avec la sienne, et elle couina ensuite quand ses grosses mains palpèrent ses délicieuses fesses, puis se glissèrent sous son corset, qui se terminait en un string fin et étroit. Elle se pinça les lèvres quand l’homme, sans ménagement, enfonça un bout de son doigt dans son cul, se glissant dans son fondement. « Olivia » gémit tendrement, habituée qu’elle était à dilater ses fesses. En cours, elle portait presque toujours un
plug anal, ce qui lui permettait, le soir, d’enchaîner les sodomies. En réalité, il était très rare qu’elle ne tombe pas sur un amant qui n’aimait pas la sodomiser.
Dans cette situation, Koji se désinhibait totalement, flirtant à chaque fois avec des situations dangereuses, car elle aimait se faire battre, elle adorait qu’on l’insulte, qu’on la plaque contre le mur, qu’on la morde, qu’on la pince... Frank y allait franchement, palpant ensuite ses seins, tout en lui disant qu’il voulait passer aux choses sérieuses. Elle, elle avait bien senti, sous son survêtement, une épaisse verge, et ne manqua pas de se pincer les lèvres quand il fit tomber son pantalon, exhibant son sexe, moulé dans un caleçon noir. Il en avait aussi profité pour abaisser un peu la fermeture Éclair du corset de Koji, faisant sortir ses seins, une poitrine agréable, moelleuse, et, à l’image de son bassin, légèrement blanche.
«
Hmmm... »
Elle gémit doucement quand l’homme s’attaqua à ses seins, les léchant, les suçotant, s’y frottant, reniflant sa bonne odeur. Koji faisait toujours attention à sentir bon, consciente que son odeur pouvait enflammer les ardeurs de ses amants. Après ce prélude rapide et hâtif, il demanda alors à la femme de se déshabiller pleinement, et de le sucer. Celle-ci sourit doucement, et hocha la tête.
«
Okay... Tu es bien monté, tu sais... C’est parfait pour une petite pute comme moi ! »
Koji aimait bien se faire insulter, aussi... Ce qui n’était, somme toute, guère surprenant. Dépravée, la
ganguro tira encore sur sa fermeture Éclair,
exhibant son bas-ventre, ses seins légèrement trempés jaillissant à l’air libre.
«
Tu as le droit de me filmer aussi... »
Elle n’avait pas de soutien-gorge ni de culotte, simplement des chaussures à talons rouges, et retira ensuite son corset brillant. Toute nue, elle fléchit alors les genoux, son visage heurtant la grosse bedaine de Frank. Elle palpa avec ses mains et son visage le caleçon de l’homme, sentant une épaisse verge dessous, qui gonflait comme une bosse protubérante. Se mordillant encore les lèvres, Koji abaissa ensuite le caleçon, libérant la verge, qui se dressa joyeusement. Un joli membre veineux qu’elle renifla doucement, avant de le lécher de bas en haut, et de donner plusieurs baisers dessus. Ainsi, Koji ne le prit pas instantanément en bouche, préférant déjà s’en humecter les lèvres.
Koji continuait à soupirer doucement, avant de finir par poser sa main, et abaissa le sexe de l’homme, afin de l’amener à hauteur de ses lèvres. Elle soufflait fortement dessus, son cœur battant joyeusement la chamade... Et commença alors à le prendre en bouche, sa tête se mettant à remuer d’avant en arrière.