Ta place est à genoux (PV Lola Anon)

Les nuages commençaient à couvrir le ciel jusqu'alors ensoleillé de la mystérieuse ville de Seikusu. J'avais entendu de nombreuses rumeurs à travers mes voyages, mais chaque information découverte était démenti par la suivante, au point que d'attiser ma curiosité, me faisant quitter l'Europe pour le pays du soleil levant, ses cerisiers en fleurs, sa culture de l'animation et du thé, mais surtout le pays où se situait cette fameuse ville pleine de mystères et dont mon instinct me dictait comme un lieu surnaturel, du moins pour le commun des mortels.

Cela faisait quelques jours que je m'était installé dans un bel appartement avec mes deux esclaves, pas loin du lycée Mishima, là où je sentais que l'énergie magique était présente à foison. Y étant inscrit me faisant passer pour un étudiant, mon éternelle jeunesse permettant d'endormir les soupçons. J'avais déjà senti que depuis mon arrivée, mes plus bas instincts charnels commençaient à vouloir sortir, au milieu des fourmis que j’appelais camarade pour la forme, mais auxquels j'avais résister jusqu'à présent.

Oui le flashback est fini, reprenons notre récit, comme je disais il commençait à pleuvoir, alors que je me dirigeais vers le gymnase où j'avais rendez vous pour acheter une substance aphrodisiaque soit disant magique pour l'étudier plus tard. Je m’apprêtais à rentrer lorsque j'entendis des gloussements derrière moi, à cinquantaine de mètres. Mes bruits de pas étant masqué par l'averse et les orages je m'approchais pour me cacher dans l'obscurité d'un arbre afin d'observer la scène particulière d'un étudiant à genoux face à un groupe de trois filles qui semblait lui mener la vie dure, au point qu'il se pencha pour baiser leurs pieds, comme un chien. Malgré tout je ne ressentais aucun dégagement d'énergie magique de ces trois là, de simples humaines des plus banales, juste des cafard se prenant pour des reines. Surtout une qui semblait mener la danse, avec sa longue chevelure brune, qui dépassait ses deux comparses en taille et dont les mensurations étaient masqué par un large sweet, bien que son fessier ai l'air presque divin.

En la voyant je ressentis une certaine envie de la faire redescendre sur terre, et de lui montrer que la place des moutons étaient dans le troupeau et pas avec les loups. Certes les humains m'intéressaient, mais pas au point de les voir comme autre chose que des rat de laboratoire, et celle là, allait courber l'échine avant ce soir. En attendant je restais dissimulés, attendant qu'elle soit seule pour que personne ne me dérange durant sa « leçon »

Lola commençait tout doucement à organiser son petit empire. La riche héritière ne semblait avoir aucune limite quand il s'agissait de chantage ou de manipulation, et avait rapidement su s'entourer d'une petite clique de fidèles qui buvaient ses paroles. Elle n'avait pas besoin de réelles amies, juste de servantes permettant d'étendre son influence dans le lycée. Et, pour le moment, il fallait avouer que c'était un succès. Les élèves lui mangeaient dans la main, et elle se plaisait à humilier quiconque se trouvait sur sa route. Elle était ainsi faite, son arrogance et son envie de domination parfaitement perceptible par quiconque dans l'établissement.

Et, ce jour-là, c'était un élève de première qui en faisait les frais. Alors que la jeune femme sortait d'un cours qu'elle jugeait inintéressant, et qui avait donc altéré son humeur de manière assez conséquente, elle fut percutée par un petit binoclard qui semblait crouler sous les livres. Rapidement pris à parti, le jeune homme fut encerclé des pairs de Lola voulant visiblement rapidement lui tomber dessus. Mais l'héritière avait d'autres idées qu'un simple passage à tabac. Une lueur de sadisme s'alluma alors dans son regard, et elle demanda a l'une de ses "amies" de passer une laisse autour du coup du malheureux, et de le promener dans tout le lycée, puis de la retrouver à la tombée de la nuit dans un parc de la ville. Elle prit alors son temps pour les rejoindre, s'équipant d'un leggins on ne peut plus moulant, mais d'un épais sweat-shirt pour se protéger de la pluie et protéger son anonymat.

Le visage relativement caché, elle retrouva alors le petit groupe, ôtant avec miséricorde la laisse du jeune homme, un sourire satisfait sur le visage. Dans des situations comme celle-ci, elle se sentait être une véritable déesse qui avait un pouvoir absolue sur les pauvres ères comme le lycéen. Elle le força alors à lécher les pieds de ses consoeurs, écrasant ensuite sa tête dans la boue tout en empoignant la laisse, avant de fouetter durement le dos du malheureux grâce à la lanière de cuir de l'objet. Après son cruel traitement, elle rangea l'accessoire dans la poche de son sweat-shirt, et les filles se séparèrent en abandonnant le jeune homme sous la pluie. Satisfaite de sa soirée, l'héritière esseulée prit le chemin de son appartement, impatiente de se remettre au chaud.

Plus je l'observais se comporter comme une reine capricieuse, plus je serrais mon poing pour me retenir de la violer sur place jusqu'à ce qu'elle me supplie d'être à mon service, comme n'importe quel humain face à une réelle divinité. Cependant, les meilleurs jeux sont ceux qui durent, et je me mis donc à la suivre, prenant sur la gauche après le portique du lycée, alors qu'elle se séparait de se... servantes je dirais, vu comment elles se comportaient.

La lune brillait à ce moment là, et autant dire que sa démarche et son air hautain faisait que les passants s'éloignaient en s'approchant d'elle, visiblement mal à l'aise. De mon coté je restai patient, en la suivant une vingtaine de mètres derrière, c'était cela dit compliqué de ne pas la perdre, la pluie gagnant en intensité, au point que je fis apparaître un parapluie d'un claquement de doigt, après m'être assuré que personne ne m'observait. Le fait qu'elle bousculé un sans abri faisant l'aumône comme si elle lui était supérieur, me fit dresser un sourire narquois, alors que mon regard la fixait avec une telle intensité que je dûs me cacher à l'entrée d'une ruelle lorsqu'elle se retourna, se sentant observé.

Après cela nous marchâmes encore une dizaine de minutes, lorsqu'elle entra dans un immeuble particulièrement haut et classe, me laissant deviner que si elle n'était pas une reine malgré ce que sa cervelle pense, elle en avait la richesse. Ce qui ne manqua pas de piquer d'autant plus mon intérêt pour quand elle serai à ma botte. Je courus pour retenir la porte au dernier moment, et entrer juste derrière elle en faisant semblant d'être essoufflé. Et tel sur une scène de théatre, le rideau se lève pour le spectacle.

- Bon...bonjour, je...je....suis nouveau, je viens de m'installer, et...vous...vous allez me trouver bête mais j'ai oublié mon badge pour l'ascenceur. Pou...pourrais je monter avec vous, vous me sauveriez la vie, mademoiselle.

Et voilà prenant mon air le plus innocent et naïf qui soit, je me donnais en pature à elle, un homme visiblement assez riche pour vivre ici, et qui semblait manquer de confiance en lui, donc un esclave en devenir qui serai prêt à dilapider son argent pour elle, je lui montrait quand même un trousseau de clés en doré que j'avais fait apparaitre dans ma poche pour appuyer mon mensonge. Comment résister à un tel appât ?

La jeune femme était plutôt satisfaite de son après-midi. Se défouler sur un innocent lui était bénéfique en deux sens. Le premier, c'était qu'elle pouvait assoir davantage sa domination et son aura inaccessible dans le lycée. Le deuxième était plus personnel. La jeune femme aimait simplement dominer, aussi, humilier en public et totalement gratuitement un élève plus jeune qu'elle était une grande source de divertissement. Et, une fois encore, elle avait réussit. Sa démarche altière écartait les badauds de son passage. Mis à part un clochard qu'elle n'hésita pas à bousculer avec un petit sourire hautain. Elle était pressée de rentrer, déjà pour se mettre au chaud, mais surtout parce qu'une deuxième vengeance, bien plus satisfaisante, était en train de se profiler. Toutefois, la jeune femme n'eut pas le temps d'y penser, et se retourna prestement. La pluie avait gagné en intensité mais elle avait la dérangeante impression que quelqu'un la suivait. Mais elle eu beau se retourner, elle ne vit personne, et finit par conclure que son imagination lui jouait des tours.

Elle put alors se reconcentrer sur son objectif. Une autre jeune femme du lycée l'empêchait d'étendre son influence, et elle devait s'en débarrasser. Seulement, la personne en question avait également le bras long, et Lola savait qu'elle devait donc ruser. Grâce à son réseau d'information, elle avait apprit que la fameuse Nae avait un penchant plutôt prononcé pour le sadomasochisme. Lola se contrefichait de ce genre de considérations, mais, en l’occurrence, son adversaire avait également un penchant pour la chaire fraiche, et kidnappait chaque année, au début des cours, une lycéenne de seconde sans défense pour la séquestrer et la torturer toute l'année. L'héritière Anon avait déjà réussit à localiser la victime, et avait prit un malin plaisir à la délivrer pour ensuite la revendre. Lola avait d'ailleurs prit soin de lui trouver les plus sadiques des maitres par pur sadisme, savourant ses cris de désespoir alors que ses associés l’empaquetaient comme un vulgaire colis. Elle avait fait d'une pierre deux coups, se débarrassant d'un élément gênant tout en faisant un cadeau de choix à une grande famille criminelle. Il ne lui restait alors plus qu'à intercepter un colis destiné à son ennemi pour pouvoir la faire chanter, et le tour était joué. Grâce à un petit pot de vin, elle avait pu détourné le lieu d'arrivée du paquet, qui venait tout juste d'atterir chez elle. Il ne lui restait plus qu'à faire renvoyer sa rivale avec un petit chantage à la clef, mais surtout à trouver un moyen de ne pas se retrouver officiellement sous les feux de la rampe.

Alors qu'elle arrivait au niveau de son appartement, elle fut brutalement tirée de ses pensées par l'arrivé d'un homme qu'elle regarda d'un air méprisant. Elle s'apprêtait à le rejeter dans la rue, mais il était peut être finalement la solution à son problème. Elle lui répondit avec un sourire carnassier et un air impérieux.

"Hum... Il va falloir que tu me rendes un service dans ce cas... C'est donnant donnant, non?" Lança-t-elle, visiblement satisfaite de son idée. Elle lui permit alors de rentrer avec elle dans l’ascenseur, s'arrêtant d'abord à son étage. Sa suite était au dernier niveau, et il n'y avait absolument aucun appartement autour. Et c'était, pour elle, le luxe minimum. Avant de rentrer dans son appartement, la jeune femme se retourna vers sa future victime.

"Rejoins-moi ici dans vingt minutes. Tu vas livrer un paquet à quelqu'un pour moi."

Elle claqua alors la porte, ne lui donnant pas plus d'explications. Personne ne discutait ses ordres. Le carton était disposé en plein milieu de la pièce. Satisfaite, Lola constata que le nom de sa rivale y était inscrit en grosse lettre. Parfait. Il lui fallait maintenant inspecter le contenu. Le carton était bien plus gros qu'elle ne l'avait imaginé, et elle ne put s'empêcher un petit air étonné en découvrant ce qu'il contenait. Une panoplie d'équipements s'étalait sous ses yeux, allant du solide fouet de cuir à l'énorme sextoy serti de pic en acier. Visiblement, sa sadique d'adversaire était passé au niveau au dessus cette année, en se fournissant un arsenal de presque instruments de torture sexuelle. De solides menottes, des cordes, des plugs anaux à la taille indécente... son ennemie n'avait pas fait dans la dentelle, ni omis aucun détail. Lola se félicita d'avoir frappé la première, car, si elle avait réagit trop tard, elle se serait surement retrouvée elle même à la place de la pauvre petite seconde qu'elle avait revendue. Cela dit, vu ce que lui réservaient ses futurs propriétaires, il n'était pas sur qu'elle ait gagné au change. Amusée, Lola fut tirée de ses pensées par la sonnerie de l'appartement. Le jeune homme n'avait pas écouté ses consignes et était revenu bien plus tôt. Furieuse, elle ouvrit la porte et se planta devant lui.

"Tu ne sais pas compter en plus ? Quand je dis vingt minutes, c'est vingt minutes ! Alors soit un bon toutou et attend sagement derrière la porte !"

Son regard rempli de dédain, ainsi que son sourire narquois m'indiquèrent qu'elle mordait à l'appat bien plus facilement que je ne l'espérais, décidément soit elle était stupide, soit elle ne doutais vraiment de rien et ça allait causer sa perte. Même si mon instinct me disait qu'elle préparait quelque chose, car derrière son attitude, je décelais une légère once de soulagement, et je ne me trompais pas.

- Hum... Il va falloir que tu me rendes un service dans ce cas... C'est donnant donnant, non?

Je n'avais pas le choix que de donner l'impression d'accepter, même si en fonction de sa doléance je pouvais couper court à la conversation et m'occuper de son cas, l'essentiel étant que je monte avec elle dans l'ascenceur. Je fis donc léger acquiescement pas très assuré de la tête, en regardant en bas, avant de la suivre dans un gigantesque hall avec une table de billard, un bar, et un service de sécurité, à l'affut de chaque allée et venue. Il y avait également des piliers de marbre et une fontaine, y a pas à dire, ces humains aiment flatter leur égo. Nous montâmes dans l'ascenceur doré pour atteindre le dernier étage, vu la taille de l'immeuble, il fallait reconnaître qu'il y aurai sans doute une belle vue.

Qui sait, une fois qu'elle sera entre mes griffes, je m'installerai sans doute ici, si la vue me plait. Pensais je, en regardant les numéros d'étages défilés.

Finalement nous arrivâmes dans un couloir équipé de part et d'autres de vitres offrant un superbe panorama, et face à l'ascenseur, une porte en bois indiquant l'entrée de l'appartement. Elle m'ouvrit le pas, avant de rentrée chez elle pour me claquer la porte au nez après avoir exigé mon retour une vingtaine de minutes plus tard. Moi qui espérait qu'elle me fasse au moins passer le pas de la porte, elle me prit au dépourvu, et commençait à m'agacer très fortement.

Cela dit je ne pouvais pas me permettre de redescendre au risque de me retrouver à nouveau coincé en bas, ben oui cette abrutie m'avait monté chez elle, en oubliant de me donner le badge de l'ascenceur pour rentrer chez moi, du moins dans son idée. Mais c'était une belle occasion de jouer avec ses nerfs, lorsqu'au bout de cinq minutes, je fis résonner la sonnette, au point qu'elle ouvrit en trombe en me hurlant dessus. C'était la goutte d'eau...

Je l'attrape par la gorge avant de la soulever et de la jeter au sol après avoir pris un malsain plaisir à la voir se débattre de ma prise. Avant qu'elle ne se releve je pose mon pied sur sa gorge pour la maintenir au sol tout en la faisant suffoquer.

- Fini de jouer, vous me fatiguez, toi et ton égo de la taille de cette planète. Tu n'es qu'une humaine et en tant que telle, ta place est sous ma botte, et je vais m'assurer que ton cerveau l'imprime.

Je retire mon pied pour qu'elle retrouve son souffle, et pendant qu'elle tousse à la recherche d'une bouffée d'oxygène je fait apparaître des liens devant elle, pour l'attacher a un des piliers de l'appartement. Un sourire sur les lèvres face à son incompréhension.

- Quand j'en aurai fini, tu me suplieras de continuer à te baiser.

Si Lola avait réagit à sa manière naturelle, rien ne l'avait préparée à ce qui allait s'ensuivre. Elle ne faisait pas beaucoup d'erreurs, mais celle-ci risquait fort d'être la plus grave et, surtout, celle qui allait totalement la détruire. Poussant un cri de surprise, elle fut soulevé de terre par la poigne de l'homme, bien plus puissante que celle d'un humain lambda. Ce dernier pressait sa gorge sans réellement l'étouffer, mais rendant l'acte de respirer particulièrement difficile. La jeune héritière se débattit tant bien que mal, tachant de desserrer la poigne de l'humain autour de son cou tout en agitant vainement ses jambes dans le vide. Elle lui jetait un regard d'étonnement qui se transforma rapidement en un regard de haine. Personne n'avait jamais osé lever la main sur elle, alors l'humilier de la sorte... Tachant de frapper ses bras pour lui faire lâcher prise, elle crut avoir réussit lorsque son assaillant la lâcha. Lola tomba lourdement au sol, mais, avant d'avoir pu émettre un seul geste de défense, elle se retrouva a nouveau dans une position encore plus humiliante.

L'homme lui marchait sur la gorge, la considérant comme elle considérait les autres. En plus d'avoir du mal à respirer, la jeune femme ne s'était absolument jamais retrouvée dans la position de la dominée, et ne savait pas comment réagir. Pour le moment, elle gigotait en tachant d'arrêter son petit supplice, sans réel succès. Elle écarquilla les yeux en entendant les propos de l'homme, car, bien sur, personne n'avait jamais osé lui parler sur ce ton non plus. Mais elle ne pouvait pas pour l'instant répliquer. Lorsque l'homme retira finalement son pied, la jeune femme se mit rapidement à genou, toussant pour récupérer sa respiration. Mais, encore une fois, son calvaire ne faisait que commencer. Jaillissants de nuls part, de solides liens vinrent l'attacher solidement à l'un des piliers de son appartement. Elle poussa un nouveau cri, testant vainement la friabilité des cordes qui la retenaient prisonnière alors qu'elle voyait la porte blindée de sa maison se refermer. Ses clefs étaient bien en évidence sur la porte, et il n'existait aucun double ni moyen de pénétrer dans son appartement, qui était d'ailleurs parfaitement insonorisé. Elle était totalement à la merci de son agresseur, mais ne semblait pas avoir perdu sa verve pour autant. Luttant toujours pour se détacher, elle lui hurla.

"Détachez moi immédiatement ! Vous n'avez aucune idée d'à qui vous vous en prenez et ça va vous couter extrêmement cher !" Lança-t-elle, parfaitement sincère tant elle comptait profiter de chaque goutte de sa future vengeance pour cette situation humiliante. "Je vais vous détruire, sale chien, vous et votre famille de gueux, ainsi que tout ceux à qui vous tenez ! Vous n'êtes même pas digne de respirer l'air que je respire, et votre présence dans cette maison est une insulte et un outrage ! Alors ne daignez même pas me toucher !"

C'est d'une violente claque que je fis terre cette effrontée qui ose encore me défier malgré sa situation, bien que la voir se débattre et lutter m'amuse beaucoup. D'un claquement de doigt, je rajoute un lien autour du cou de ma proie pour l'empécher de remuer sa tête, avant de m'approcher de son oreille au point qu'elle peut sentir mon souffle saccadé, dû à l'excitation de la scène singulière qui se joue dans ce loft luxueux. Ma main venant attraper violemment un de ses seins et le serrer autant que sa gorge quelques minutes plus tôt.

- Je crois que c'est toi qui n'a pas compris ce à quoi tu fais face à cet instant, pétasse. Ton fric, ton arrogance et tes menaces ne te sauveront pas.

Je relâche alors ma prise afin de mieux observer l'environnement dans lequel nous sommes, l'ignorant pendant un moment, avant d'apercevoir le colis qui devait avoir été ouvert dès notre arrivée. Le contenu me laissant rêveur pour la suite du programme. Mais c'est trop tôt, un conditionnement prend du temps, et doit démarrer en douceur. Le problème étant que douceur est très relatif pour un dieu par rapport à un humain. Je vis soudain un gag-ball noir dans le paquet, autant dire que pour avoir la paix un moment c'était l'idéal. Je le pris tout en m'amusant avec un sourire sadique à le remuer sous ses yeux avant de lui mettre de force dans la bouche, avant de lui arracher son leggins, laissant découvrir qu'elle ne porte pas de sous vêtement, laissant apparant une jolie et douce chatte parfaitement rasé.

- Bon je vais me préparer à manger, en attendant, ne t'en fais pas beauté, tu vas être bien occupé, je te le promet.

Lui racontai je tout en carressant du doigt son intimité, comme pour explicité mes propos. Me permettant de remarquer que c'était légèrement humide. Satisfait je fis apparaître un superbe vibromasseur, d'une belle taille, mais bien plus petite que celle qu'elle aurait durant le reste de la soirée. Je lui enfonça sans ménagement, ni vraiment de préparation, avant de faire apparaître un joli string transparent, ayant juste pour fonction d'empécher mon jouet de tomber. La télécommande entre mes mains, je l'active à son plus fort niveau, alors que je voyais un mélange de défi et de peur dans son regard. Je pouvais presque deviner des pensées du genre

*Ose allumer ça et je te détruirai* mais d'une voix toute tremblante de peur.

Prisonnière de son propre appartement, la jeune héritière se débattait comme une diablesse, invectivant violemment son agresseur tout en se débattant vainement pour se détacher. Elle avait beau s'agiter, ses liens se resserraient plus qu'autre chose, bien loin de la délivrer. Elle ne semblait pas encore se rendre compte qu'elle venait de se faire piéger par un être surnaturel, dans une prison dorée où personne ne pouvait lui venir en aide, en compagnie d'un immense cartons d'objets destinés à une torture sexuelle des plus obscènes. Après tout, la jeune femme était encore vierge, jugeant l'humanité bien trop inférieure à elle pour ne serait-ce que pouvoir admirer son intimité. Sauf que là, ce qui se déroulait allait totalement à l'encontre de sa condition qu'elle jugeait particulièrement divine. De nouveau liens apparurent à se plus grande surprise, bloquant sa tête et l'empêchant de la tourner à gauche ou à droite. Elle observa l'homme s'approcher avec dégout. Ces propos l'humilièrent d'avantage, mais ce fut surtout sa puissante pression de son sein qui accentua sa réaction, la jeune lycéenne criant sans discontinuer sans arriver à lui répondre. Lorsqu'il cessa son traitement, Lola reprit un instant son souffle, voyant que l'inconnu venait de remarquer les accessoires de sa punition qu'on lui offrait sur un plateau.

La jeune femme ne pouvait même pas concevoir de retrouver dans la position de toutes les victimes de Nae. Elle était une reine, pas une vulgaire esclave. Son téléphone portable disposé sur le buffet de l'entrée était donc sa seule échappatoire si elle voulait contacter l'extérieur, mais elle devait se débarrasser de ses liens. Il fallait également dire que le temps jouait contre elle. Si sa rivale découvrait qu'elle avait tenté de la piéger, elle aurait sans aucun doute suffisamment de ressource pour mettre la main sur le corps de Lola qu'elle convoitait depuis qu'elle avait eu connaissance de sa venue. L'héritière Anon avait reçu chaque jours des mails et textos de cette dernière la menaçant des pires sévices dès qu'elle serait en sa position. Lola était donc doublement piégée, et une légère panique mêlée de colère s'empara d'elle. Se débattant plus vivement encore, elle continua.

"Espèce de porc ! Libérez moi immédiatement ! Vous allez le payer très cher ! Vous n'êtes qu'un insecte que j'aurais plaisir à écraser sous ma botte ! Je...-" Elle s'interrompit, écarquillant les yeux en voyant son ravisseur s'emparer d'un Gag-ball noir qu'il agita sous ses yeux. " N'osez même pas y penser ! Espèce de rat, je vais vousmmmh-mmh-mMh !"

Ses propos furent coupés par le vulgaire baillon désormais présent dans sa bouche. Ecoeuré par le gout de silicone, et humiliée par sa position, la jeune femme poussa un cri étouffé alors que son legging lui été arraché, la laissant totalement nue. La jeune femme ne se négligeait jamais, et été parfaitement rasé malgré sa virginité, comme si elle s'était inconsciemment préparé pour ce genre de futur. Personne ne l'avais encore jamais vue à nue, et encore moins caressée comme se le permettait l'inconnu.

"Mmh-Mhhh-Mhh !!!"

Tout en poussant des cris étouffés, la jeune femme se contorsionnait pour échapper aux caresses, sans succès. Contre sa volonté, son entrejambe était déjà humide sans qu'elle ne comprenne pourquoi. Elle écarquilla les yeux en entendant les propos de l'homme qui se mettait visiblement à son aise chez elle, mais réagit par de puissants cris de contestation bâillonnés en voyant un gros vibromasseur apparaitre dans les mains de son assaillant. Sa taille était ridicule comparée aux autres jouets qui allaient animer la soirée, mais, pour elle, il était déjà bien trop gros.

"Mhh-Mhhhh ! MMMH !"

Ses cris étouffés gagnèrent en intensité alors que l'homme approchait d'elle avec un sourire vicieux. Lola gigota pour essayer d'empêcher l'inéluctable, mais, rapidement, l'homme parvint à trouver un chemin, l'enfonçant alors brutalement d'un coup sec dans son intimité.

"MHHH !!"

Le cri était plus aigu, la jeune femme venant de se faire dépuceler par un vulgaire jouet par un moins que rien. La haine remonta rapidement en elle alors qu'un mélange de douleur et de plaisir l'avait brutalement envahie. Mais elle remarqua soudain qu'il ne s'agissait pas d'un simple godemichet en voyant la télécommande dans la main de l'homme, réglée sur l'intensité maximum. Elle le défia du regard. Il n'oserait pas. C'était un lâche comme les autres.

Quand on veut dompter quelqu'un, il faut se montrer impitoyable, et ne pas lui montrer de limite dans le traitement qu'on lui réserve, donc elle qui avait l'habitude que le monde lui lèche les pieds, devait subir des humiliations encore pire que son imagination pouvait proposer. Ce fut ce mantra qui me traversa en même temps que je mis en marche le fameux jouet qui lui arracha des cris étouffés derrière son regard qui dévoilait une sacrée surprise, ce qui me donnai envie d'observer la scène en me passant la langue sur les lèvres avec appétit pour voir son corps la trahir.

Je restais comme ça pendant deux bonnes minutes, avant d'aller me préparer un bon repas, après tout j'aurai besoin de force pour être efficace. Mais son regard semblait se porter dans une direction particulière depuis un moment déjà, ce qui attisa ma curiosité et me permit de trouver son téléphone à ma plus grande joie.

- Et bien qu'avons nous là ? Disais je avec un sourire presque enfantin en imaginant toutes les possibilités qu'il offrait. Oh mince il a un code....Donne le moi, s'il te plait.

Ces derniers mots transpirait un cynisme extrême, car après tout elle n'avait pas d'autre choix que de me dire la vérité, j'étais curieux de voir comment elle réagirais, en comprenant qu'elle participerai elle même à son anéantissent, sans pouvoir l'empêcher. Je lui retirai son bâillon le temps qu'elle me donne la réponse entre deux gémissement de plaisir, ou grognement de colère, après tout j'ignorais où en était cette petite soumise qui s'ignorait.

Elle fis cependant preuve d'une résistance remarquable, je dus attendre cinq bonne secondes pour avoir mon information. Mais pour la récompenser, je mis une pause à son calvaire, le temps que je fouille un peu dans cette mine d'or. Notamment des messages particulièrement intéressant d'une certaine Nae, visiblement ces deux là semblait en pleine guerre de pouvoir. Ce qui me donna une idée des plus machiavélique pour elle, l'un des affronts ultime, mais promettant un amusement sans fin. Tappotant sur le clavier pendant quelques secondes, avant de ranger le téléphone dans ma poche.

- Bien ma grande, je te trouve encore trop habiller, j'ai vu ta superbe chatte, mais je me demande ce que promet le reste, cela peut se faire en douceur et t'offrir un léger répit supplémentaire, soit...et bien peut être que ta curiosité malsaine l'emportera sur la raison.

Je détachai ses liens d'un énième claquement de doigt, la laissant tomber à genoux, tandis que je lui ordonnais de se déshabiller alors que je m'approchais d'elle pour la forcer à lever la tête comme une bonne soumise pour me regarder, de toute manière si elle refusait, c'était une remarquable bosse qui lui faisait face.

-  Et une dernière information, dans ce monde tu te prends pour une déesse, mais face à toi tu as un véritable dieu, pur souche. Et quand j'en aurai fini, face à moi tu vaudras autant que ceux que tu persécutes. A la différence, que tu n'échapperas jamais à cette condition de chienne que je te réserve.

Lola ne s'attendait certainement pas à ce que sa fin d'après-midi ne se termine ainsi. Elle ne s'attendait pas non plus à ce qu'un inconnu ne pénètre chez elle, et elle ne s'attendait pas à ce que ce dernier appuie sur le bouton de la télécommande d'un vibromasseur venant tout juste de lui voler sa virginité. Lorsqu'il le fit, la jeune héritière se cambra brutalement, poussant un hurlement étouffé par son bâillon. Les yeux écarquillés, elle n'aurait jamais pensé que les vibrations d'un tel jouet pourraient causer une telle douleur. Après tout, elle n'avait pas l'habitude, et l'objet n'était pas fait pour être utilisé à pleine puissance aussi longtemps. Lola se contorsionnait, toujours solidement liée au pilier de son appartement, tachant d'apaiser les vagues vibrantes qui faisaient trembler tout son être. La puissance du vibromasseur était bien trop forte pour qu'elle ne puisse ne serait-ce qu'espérer si habituer, et gigoter ne faisait que le loger plus profondément encore dans son intimité, amplifiant encore si c'était possible le puissant traitement. Réaction instinctive, son intimité c'était humidifiée davantage, même si la jeune femme était encore bien loin d'avouer ou de s'avouer que la situation l'excitait. Il faudrait surement pour ça un long et brutal traitement, et ce dernier ne faisait que commencer.

Pour le moment, à travers ses cris de douleur de frustration étouffés par son solide bâillon, la jeune femme transpirait la haine. Son bourreau semblait prendre un malin plaisir à l'observer se tortillait pour essayer vainement d'échapper à sa punition, et elle n'avait jamais été aussi humiliée de toute sa vie. Elle allait lui faire payer. Oh oui. Au centuple. Il fallait qu'elle endure, même si, au bout de quelques secondes seulement, elle comprit que ça allait être dur. Le temps défilait lentement tant la torture semblait intenable, et pourtant bien gentille par rapport à ce qui se profilait pour elle par la suite. Mais Lola restait consciente, encore forte de l'espoir d'arriver à rejoindre son téléphone portable pour se sortir de ce guêpier. Mais son regard vers le dit appareil était trop insistant. Alors que l'homme s'apprêtait à laisser sa victime en proie à son traitement durant quelques dizaines de minutes de plus pour se faire à manger, augmentant drastiquement le sentiment d'humiliation qui tiraillait la jeune héritière, ce dernier se ravisa pour se saisir d'une portable. Les yeux de Lola s'agrandirent d'horreur en voyant qu'elle avait commis une nouvelle erreur. S'il l'ouvrait, il tomberait sur les messages obscène de Nae et comprendrait à quel point sa victime était à sa merci. Et la jeune héritière serait définitivement fichue. La sadique prendrait un malin plaisir à lui infliger les pires traitement et les pires humiliations, et le reste de sa vie serait similaire à la jeune seconde qu'elle avait récemment revendue après l'avoir sauvée. A la différence près que Lola n'était pas une vulgaire lycéenne, mais avait toujours été élevée comme une reine. Ce seul fait rendrait sa chute plus douloureuse, plus dure, et plus longue, et elle n'était pas prête à subir le traitement inhumain que lui préparait sa rivale. Et tout ça, c'était la faute de l'inconnu.

Ce dernier retira le bâillon de la jeune héritière qui en profita pour récupérer un grand bol d'air entre deux cris. Car le vibromasseurs était toujours allumé et la torture plus intense que jamais. Lola n'arrivait plus à penser, et sa seule idée était de lui donner l'information qu'il recherchait pour que son supplice ne s'arrête. Sans doute voulait il juste voir si elle avait des photos indécentes à cacher. Oui, il y avait peu de chance qu'il ne cherche réellement à lire ses messages de toute façon.

" JE AAAH ! 05.. AAAAAH ! 69AAAH !"

Elle arrivait à peine à parler, et ne voulait qu'une chose, que l'homme la relâche. Elle pourrait ainsi réfléchir à une sérieuse vengeance un peu plus tard, car il ne perdait rien pour attendre. Et, pour la première fois depuis le début de son calvaire, la jeune héritière sembla avoir raison. Si le vibromasseur était toujours solidement ancré dans son intimité, ses vibrations cessèrent, et la jeune femme, toujours attachée, pus enfin reprendre ses esprits. L'homme semblait également s'être rapidement lassé du contenu du portable, ce qui arrangeait bien la jeune héritière. Les conséquences d'une découverte des messages obscènes et menaçants de cette psychopathe de Nae n'aurait certainement pas arrangé son cas. Cependant, l'homme n'avait fait qu'une petite pause, et ne semblait pas rassasié. Son discours était toujours aussi humiliant, et la colère de Lola refit surface. Il avait suffisamment joué avec elle, et il était temps qu'elle lui montre qui était la reine, et qui était le laquais. La jeune femme s'écroula à genou avec soulagement lorsque ses liens cédèrent, persuadée que l'homme commençait à comprendre l'erreur qu'il avait faite. Elle n'allait certainement pas dévoiler son corps parfait à son agresseur, et, lorsqu'il la força à le regarder dans les yeux, son regard s'arrêta un instant sur l'énorme bosse à sa hauteur, avant de plonger dans celui de l'homme au discours qu'elle jugeait ridicule.

"Un dieu... Mais bien sûr..." Railla-t-elle sans vergogne, oubliant visiblement l'apparition étrange des liens qui l'avaient ligotée. " Vous n'êtes qu'un être abject et libidineux et vous  allez payer cher cet affront. Dès que je sortirais d'ici, je m'emploierais à vous détruire, croyez moi sur parole. Si vous me relâchez maintenant, je serais magnanime et, au lieu de vous faire mettre à mort, je vous garderais comme le gentil toutou que vous êtes."

Son ton était arrogant, malsain, et ne souffrait d'aucune docilité. Pour tenter d'humilier davantage son agresseur, Lola lui cracha alors à la figurine, un sourire hautain sur le visage.

Son insolence ne m'étonnais pas, elle me rassurait même, si elle ne résistait pas un minimum elle n'aurait aucun intérêt après tout. Cela dit, ses hurlements me cassaient les oreilles, mais étaient légitimes dans un premier temps, le crachat en revanche reçut un bien plus mauvais accueil. Je m'accroupis à son niveau et agrippant son bras, la forçant à retirer elle même sa bave, avant de la retourner pour la mettre à quatre pattes, son joli postérieur face à moi.

- Tu as l'air de croire qu'on est dans un jeu, que celui qui humiliera le plus l'adversaire aura l'ascendant...

Lui tordant le bras, je libérai son intimité, avant de sortir mon engin bien plus gros que ce qu'elle avait précédemment avant de la pénétrer férocement et de faire des vas et viens frénétique en elle, sentant qu'elle mouillait de plus en plus, au point de commencer à former une flaque au sol, et au milieu des protestations, elle commençait à émettre des gémissements de plaisir.

- Mais j'ai déjà gagné, tu es enfermée seule....hmm...ici avec moi, plus humilier que jamais....ton téléphone avec assez de preuves compromettantes pour te rendre docile est à moi.

Je la releve vers moi sans arréter mes mouvements, forçant le passage entre ses lèvres avec ma langue, qui cède plutôt facilement, tandis que je joue avec ses tétons tous dréssés. Tandis que mon autre main caresse son clitoris frénétiquement, alors que j'ai desceller nos lèvres pour lui chuchoter

- Et puis, en vrai tu rêves de soumission, mais tu n'as jamais trouvé ton maître, tu peux le nier, ton corps lui te trahit, sale pute.

Je la jette ensuite à nouveau au sol pour changer de trou et déflorer son fondement, sans once de délicatesse, juste de la brutalité pur, si elle voulait se rebeller, elle devait comprendre les conséquences qui l'attendait. Et la soirée ne faisait que commencer.

La jeune femme était loin de s'avouer vaincue, mais il fallait avouer qu'elle était très loin d'avoir la même force que son agresseur. Ce dernier semblait être pourvu d'une puissance bien supérieure à celle de n'importe quel être humain. Pourtant, l'arrogance de la riche héritière se contrefichait bien de qui il était et semblait imperméable au moindre sens de la réalité. Si elle avait été aussi calme, froide, et manipulatrice qu'elle l'était d'ordinaire, elle aurait surement agit bien plus efficacement et d'une manière bien plus intelligente. Mais la colère ressentie à cause de l'humiliation semblait prendre le dessus, et elle ne voyait son agresseur que comme un badaud indigne de s'occuper des ordures de la reine qu'elle était. Sa main vint essuyer son propre crachat bien contre son gré, alors que la jeune femme se débattait comme une diablesse.

Elle avait certes réussit à garder son sweat, mais ce fut bien comme une vulgaire chienne soumise qu'elle se retrouva. Incapable de réellement résister à la poigne de l'homme, elle poussa un petit cri quand celui ci ôta le vibromasseur de son intimité encore choquée par le traitement du jouet. Il fallait dire que ce dernier été doté de petits pics visant à causer plus de sensations et de douleurs à sa victime, et que l'avoir retiré aussi brutalement n'avait pas laissé Lola indifférente. Elle ne se rendait pas encore compte de comment allait tourner la soirée pour elle, ni même de ce que son corps allait devoir encaisser durant les prochaines heures, les prochains jours et les prochaines semaines. Elle s'apprêtait à répliquer de manière acerbe à son ravisseur quand ce dernier la pénétra violemment, lui arrachant un hurlement de douleur et de plaisir cumulé. Le membre était bien plus gros que le jouet qui l'avait dépucelée, et, cette fois, n'était pas un simple bout de plastique. Un inconnu, un être inférieur, venait de la souiller et la saillissait comme la plus indigne des esclaves. Elle, l'héritière d'Anon, se faisait sauvagement prendre dans la plus humiliante des positions par un simple passant. La symbolique était forte, et la jeune héritière ne pouvait ordonner à son corps de cesser de la trahir. Son intimité était en feu et gouttait abondamment sur le sol, alors qu'elle était parfaitement incapable de se contrôler. La situation était semblable à celles qu'elle vivait dans ses rêves lubriques, sauf que cette fois la douleur et les conséquences seraient bien réelles. La jeune femme commençait à transpirer, ses fesses rougissants sous les accoups des cuisses de son agresseur. Elle qui avait un corps si parfait et inaccessible était en train de finir comme la dernière des soumises, mais la jeune femme n'avait pas lâché prise, à son grand malheur. Car chaque seconde qu'elle passait à se faire sauvagement pénétrer était un réel supplice.

Au bout de quelques  instants, alors que Lola se rendait compte que son soulagement vis à vis du contenu du téléphone avait été trop rapide, et que l'homme avait visiblement connaissance de tout ce qui lui fallait pour l'anéantir, la jeune femme fut brutalement relevée tout en continuant d'être saillie comme dernière des esclaves. L'homme voulait visiblement profiter de sa bouche et de ses seins, comme si le corps de la riche héritière lui appartenait totalement. Lola mit quelques instants à réagir, totalement sous le choc, l'adrénaline, la douleur et le plaisir qu'elle ressentait, mais, alors qu'elle se décidait à lui mordre la langue qu'il fourrait dans sa bouche délicate, elle fut de nouveau jetée au sol. Copieusement insultée et humiliée, la jeune héritière semblait ne pas trouver quoi répondre. Elle sentit alors l'énorme membre quitter son intimité avec un certain soulagement, mais n'eut pas le temps de se réjouir. Halletante, elle écarquilla les yeux en sentant le gland se presser contre son anus particulièrement fin. Elle tourna juste la tête, tentant vainement de repousser l'homme d'une main, lui jetant un regard suppliant.

"NON ! ATTEND-AAAAAAH !" Mais ses protestations se perdirent dans son hurlement de douleur.

Le membre était bien trop gros pour elle, et, pourtant, la puissance du dieu lui avait permis de l'empaler d'un seul coup de rein. La douleur prit alors le pas sur le plaisir, et l'homme recommença ses sauvages pénétrations comme s'il l'avait préparée au préalable, sauf que ce n'était pas le cas. Les hurlements de Lola se répercutaient dans tous l'appartement alors qu'elle subissait cette violente sodomie à sec, et que son intimité, elle, ne cessait de s'humidifier. Et encore, le membre impressionnant du dieu n'avait rien à voir avec le contenu de la boite qu'elle avait volé à sa rivale pour son plus grand malheur. Alors que son assaillant continuait de détruire son fondement sans aucune merci, la sonnerie de portable de la jeune héritière retentit. Elle avait alloué à Nae une sonnerie spéciale pour se préparer à ses appels obscènes, et l'entendre résonner alors qu'elle se faisait brutalement dévaster semblait sonner le glas de son existence. Il ne fallait pas que l'homme réponde. Pas maintenant...

Alors que je dévastais l'anus de cette chère Lola qui semblait au bout du rouleau, nous fûmes interrompu par une sonnerie venant de ma poche arrière, où j'avais rangé son portable. Souriant car je m'y attendais, je mis fin à mes mouvements sans m'extirper pour autant au cas où elle décide de se rebeller pendant l'appel.

- Oui ? Tu es en bas c'est ça ? Très bien je viens te chercher....Tu veux une photo comme preuve ? Aucun soucis, vu la situation je comprend que tu sois méfiante.

Je raccrochais alors avant de libérer le fondement de ma victime qui s'était sacrément dilaté entre temps. Et pendant qu'elle cherchais son souffle et ses esprits, je lui attachai les poignets chacun sur un pilier différents, avant de m'attaquer aux jambes, non seulement la privant de tout mouvement, mais faisant d'elle une œuvre d'art des plus obscènes dans son propre foyer. J'en profitais alors pour déchirer son dernier morceau de tissu, la laissant totalement nue, et visiblement sonnée, comme si elle s'attendait au pire depuis qu'elle a entendu la sonnerie. Je prie alors une photo d'elle dans cette position avec son propre téléphone, bien que je me l'envoyais également comme un souvenir.

- Bien ma belle, je reviens dans quelques minutes, surtout ne bouge pas. Disais je rigolant alors que je partais en prenant la clé de l'appartement et de l'ascenceur.

Il me fallut un petit moment avant d'arriver en bas, forcément vu la taille du batiment. Une fois arrivée, je n'eût aucun mal à trouver la mystérieuse interlocutrice, elle avait le même air supérieur que Lola, et semblait perdre patience. Je m'approchais d'elle en la tirant par le bras pour parler sans être déranger.

- J'imagine que c'est toi la fameuse Nae, y a pas à dire, vous vous ressemblez beaucoup vous deux.
- La ferme, et donne moi la preuve...
- C'est moi qui fixe les règles, en moins d'une heure j'ai réduit ta rivale en une boite à foutre, même si elle résiste bien. Là où tu as mis visiblement des mois pour avoir un résultat. Si tu veux jouer avec, ça aura un prix....Ta loyauté, et soumission pur et simple, et sans restriction, si je décide de te baiser, ou de t'humilier, tu accepteras avec le sourire. Disais je en la collant au mur l'air menaçant.
- Tu m'as prise pour qui ? Si tu dis qu'on se ressemble tant, tu devrais savoir que tu rêves énorémement.
- Très bien, dans ce cas, tu ne l'auras jamais puisque quand j'en aurai fini, elle rejoindra mon harem et sera sous ma protection, donc tu n'auras pas de meilleur chances de la toucher que de me rejoindre. D'autant qu'elle a un paquet qui t'étais destiné visiblement...

Je m'éloignais sans la regarder, me dirigeant vers l'ascenceur, lorsqu'elle attrapa mon bras.

- Attend....Qu'est ce qui me prouve que c'est pas un piège ? T'as la photo ?

Un sourire narquois sur le visage, je lui montrait le cliché sur le propre téléphone de Lola.

- Tu crois qu'elle aurai été jusque là pour te piéger, quitte s'humilier à ce point ?
- Très bien...j'accepte de te...de vous servir....maître.

Nous entrâmes dans l'ascenceur, et je testais sa dévotion, en lui ordonnant de se caresser jusqu'à ce qu'on arrive. Ce qu'elle fit sans hésitation, à croire qu'elle n'attendais que ça finalement. Elle avait laissé des traces de son passage lorsque nous arrivions. Elle put alors constater l'état de désolation de Lola, et tandis que Nae avait un sourire radieux de satisfaction, la prisonnière elle comprit que sa gloire était de l'histoire ancienne.

Même ravagée comme elle l'était, Lola espérait encore un miracle mais, après l'appel, tout s'effondra. Si elle avait espéré que l'homme ne décrocherait pas, elle s'était durement fourvoyée. Il arrêta alors sa dévastatrice sodomie pour répondre. Les yeux de Lola s'emplirent alors de terreur. Elle savait qu'en un sens, l'homme se serait surement lassé un jour de la punir. Mais Naé, c'était différent. Sa rivale lui avait clairement annoncé que si elle mettait un jour la main dessus, elle consacrerait son existence toute entière à la torturer des manières les plus perverses qui soient. La psychopathe avait visiblement jeté son dévolu sur la riche héritière qui était devenue une véritable obsession pour elle. L'amour de sa vie, en quelque sorte, mais traduite par une torture démente et incessante. Nae ne serait pas suffisamment arrogante pour défier un dieu, et n'hésiterait pas un instant à se mettre à son service si la possession de sa rivale sans défense était en jeu. Lola, gémit alors, terrorisée et toujours empalée.

"Non... Je vous en supplie... Je ne mérite pas ça..."

Mais l'homme s'était déjà brutalement retiré, laissant son fondement considérablement dilaté totalement ouvert. Lola songea à s'enfuir, mais fut rapidement attachée en crois, pied et poings liés à deux piliers distincts. Ses yeux s'agrandirent d'horreur en comprenant ce qui allait se passer. Elle était dans la position de la parfaite petite victime pour une masochiste, et les méthodes de Nae lui avaient fait froid dans le dos quand elle les avaient découvertes. Alors que l'homme déchirait son sweat la laissant totalement nue en dévoilant sa parfaite et ferme poitrine, ce dernier décida de se diriger vers l'ascenceur, laissant sa victime se débattre comme une diablesse.

"NON ! S'IL VOUS PLAIT ! JE VOUS EN SUPPLIE ! TOUT MAIS PAS CA !!" s'époumona-t-elle, terrifiée, en le voyant disparaitre.

C'était fini, elle le savait. Non, elle ne pouvait pas, elle ne voulait pas finir comme ça. Elle allait accomplir de grande chose et, au lieu de ça, servirait d'exutoir à un dieu et une psychopathe pour le restant de sa vie. Mais cette future condition était bien moins horrible que tout ce qu'elle allait subir désormais. Elle tirait comme une forcenée sur ses liens, sans rencontrer le moindre succès. Des larmes coulent sur ces joues, symboles de désespoir, et elle voit effectivement Nae sortir de l’ascenseur en compagnie du dieu. Sa rivale semble un instant surprise, puis absolument ravie de voir Lola dans cette position.

"Maitre.... Vous ne pourriez pas me faire plus plaisir..."

Elle se jetta alors au pied du dieu, se mettant à genou pour lécher, soumise, le membre encore couvert de semence et du liquide de la jeune héritière. Nae se relève après ses remerciements, s'approchant avec une démarche de prédatrice de la jeune héritière. Lola la regarde alors dans les yeux, une lueur de haine dans le regard, n'osant pas prendre la parole.

"Lola... Tu es absolument magnifique. Quand je t'ai vue la première fois, je savais que tu serais celle qu'il me fallait, celle que je voulais absolument torturer et anéantir. Tu étais si... parfaite, si pure..." Elle passa alors sa main sur la poitrine, les fesses, et toutes les courbures de l'héritière qu'elle allait bientot détruire, appréciant sincèrement son corps magnifique. " Tu aurais pu devenir la servante d'un dieu et je me serais surement retrouvée à ta place. Au lieu de ça, tu as eu un comportement inadmissible avec mon nouveau maitre, et il faut que tu sois punie à la hauteur de l'être abjecte que tu as été."

Nae colla alors brutalement sa langue dans la bouche de la jeune héritière, avant de s'en détacher. Lola tremblait, visiblement absolument terrifiée, regardant le corps nu de Nae apparaitre alors que cette dernière se déshabillait. Lola baissa la tête, ne pouvant répondre. Sa rivale avait raison. Elle profiterait sans doute d'un sexe puissant avec un dieu, tandis que Lola se retrouverait torturée dans son propre appartement par la pire des psychopathes. Une fois nue, Nae gambada joyeusement vers le carton, récupérant un nouveau Gag-ball dans le carton qu'elle s'empressa de mettre à l'héritière. Nae ne voulait pas voir sa proie se confondre en excuse, pas tout de suite. Elle se tourna ensuite vers le dieu.

"Maitre... C'est vous qui choisissez. Puis-je punir cette insolante et vous démontrer de mon incroyable talent de dresseuse ?"

Elle s'était à nouveau mise à genou, impatiente d'entendre la réponse, alors que Lola jetait des coups d'oeil terrorisé et suppliant à celui qui venait de l'anéantir.

Même si une part de moi jubilait de voir un mur de béton s'écrouler sur place de peur et de désespoir, une autre ne pouvait s'empêcher d'être vexée. Après tout je m'étais montré plus expéditif, plus efficace, et plus brutal que Nae à l'heure actuelle avec elle, et finalement c'était sa simple apparition qui avait fissuré la carapace de Lola de la façon la plus efficace. De deux chose l'une, soit cette Nae est encore plus folle que je ne le pensais, soit je ne m'étais pas montré suffisamment clair pour qu'elle me cède son respect pour sa survie. Les deux propositions combinées étaient également une possibilité. Quoi qu'il en soit, ça me génait terriblement, il me fallait gagner sa loyauté par peur de moi, plus que de Nae elle même. Étais ce un caprice de ma part, sans doute, mais c'était envers moi qu'elle devait fidélité pour considéré cela comme une réussite.

Je comptais tester une autre méthode, mais pas ce soir, c'était une nuit symbolique pour la préparer à son avenir. Je réfléchissais à cela tout en tournant autour d'elle, l'observant dans les moindres coutures, tandis que ma nouvelle adoratrice attendais patiemment. M’arrêtant d'ailleurs à son niveau, je lui caressais la tête comme à une bonne chienne, en regardant Lola.


- Tu vois, c'est comme ça qu'on se comporte face à moi, on s'écrase...Maintenant comme un maître, d'autant plus un dieu, doit faire preuve de miséricorde, si au lever du soleil tu as appris à qui tu devais obéissance et dévotion, peut être alors que je te détacherai. En attendant, tu vas devoir être maté comme il faut.

Je fis signe à Nae de s'approcher, pour qu'elle prenne le gode ceinture dans son colis, et qu'elle attache le jouet à pique de tout à l'heure. Lola allait découvrir la joie d'une double pénétration brutale et sauvage. Je l'habillais également avec une tenue plus adéquate, en latex, laissant sa chatte et sa poitrine à l'air libre, faisant d'elle une vraie dominatrice. De mon coté je pris un foulard pour le passer autour du coup de la crucifiée, avant de faire signe à Nae de la pénétré par derrière, tandis que je la prenais par devant, tout en serrant le foulard pour lui donner le sentiment d'étouffer littéralement.

Nae eu un fou rire dément pendant l'acte, avant de mordre Lola à l'omoplate jusqu'au sang. Celle ci se retrouvait dans le premier rôle d'un jeu macabre dont elle était la première responsable, mais qui dans les méandres de ses fantasmes, lui plaisait en tout point, bien qu'elle n'était pas prête à se l'avouer. Cela dit, il était temps de faire un peu de manipulation. Dans un premier temps je bandai les yeux de Lola pour qu'elle n'observe pas avant de repousser la tête de Nae; si elle savait qu'elle serai la victime d'un aphrodisiaque, le résultat serait fossé ; le temps de faire une piqure à l'omoplate, la douleur ferai qu'elle ne sentirai rien, afin de libérer le produit que j'avais acheté plus tôt, après tout quel meilleur test que sur un sujet humain en temps réel. Ce boost de plaisir devrai lui faire associer jouissance et douleur, manque plus qu'observer le résultat.