Aiko-hime n’était pas une élève comme les autres. En fait, il était tout à fait juste de dire qu’elle était une sorte de VIP… Ou de VVIP, pour « very very important person ». Dire qu’elle était précieuse était un euphémisme, car elle était une Princesse impériale, appartenant à la famille de l’illustre Empereur du Japon, Akihito. Pourquoi cette femme s’était retrouvée ici, à Mishima, plutôt qu’à un juku ? La question avait été posée au sein du Conseil d’administration du lycée. C’était le choix personnel d’Aiko-hime de venir ici, et la famille l’avait respecté. Initialement, il avait été envisagé que tout cela ne soit qu’une manœuvre d’Aiko-hime pour se rapprocher de la famille Morimoto, une très influente famille japonaise, proche de la famille impériale, mais il n’en avait rien été.
L’explication était ensuite tombée d’elle-même, et se confirmait ce soir… Aiko-hime était une jeune femme pleine de vie ! Une jeune adolescente qui souffrait visiblement de sa vie cloisonnée et ultra-conformiste, et aspirait à des fantasmes lubriques et terriblement osés, impliquant l’exhibitionnisme, et un penchant naturel pour l’hédonisme et la perversité.
Aiko-hime s’excusa pour son intrusion, et, en l’entendant, Shii, qui se contorsionnait sur place, couina lentement :
« Qui… Qui est là ? »
Cette insolence donna lieu à une puissante gifle sur le cul de Shii, qui couina, et Myumi donna un coup de reins supplémentaire, son solide gode se perdant en elle. Myumi portait au demeurant un strap-on très particulier, une conception de sa mère inspirée des modèles tekhans, avec plusieurs petites capsules attachées à l’appareil, permettant de relâcher, avec l’aide de capteurs, des filaments de sperme quand la porteuse atteignait l’orgasme.
Pour autant, Myumi se retourna vers Aiko-hime, et lui sourit tendrement :
« Entre, Aiko-chan, viens, ma chérie… »
Fort heureusement, Shii, qui était probablement l’une des rares élèves du lycée à pouvoir déterminer l’identité réelle d’Aiko (que Myumi se garderait bien en public d’appeler par le suffixe « -|i]hime[/i] » !), avait les yeux bandés. Maria, quant à elle, sourit, sans savoir à qui elles avaient affaires, croyant juste voir une autre des élèves particulières de Ichtora-sensei.
Aiko-hime rejoignit donc le bureau, d’une démarche fluette, mais non moins pesante, trahissant l’excitation fébrile qu’elle ressentit. Myumi retourna alors bourrer le corps de Shii, faisant de nouveau hurler la femme, tandis que la jeune lycéenne s’installa sur le bureau, face à Shii, et entreprit de se masturber énergiquement.
« Tu as vraiment l’air en manque, dis-moi, ma pauvre… » gloussa Myumi.
Shii se tortilla sur place.
« Mais… Maîtresse, je…
- Chut, rebelle ! Quelle insolence, vraiment! Je n’ose croire que Warren-sama t’a formé si mal que ça pour que tu viennes m’interrompre tout le temps ! » répliqua-t-elle, égrenant chaque reproche d’une grosse claque, faisant à chaque fois hurler Shii.
Et, quand elle hurlait, Shii avait une délicieuse voix fluette, une petite voix timide et lubrique. Elle couinait longuement, mouillant frénétiquement, et Myumi continua à la prendre, jusqu’à ce qu’AIko-hime ne finisse par jouir. Son jus fusa sur la tête de Shii, et elle se retourna ensuite vers Maria, qui lui sourit tendrement.
De la tête, Myumi accepta, et la ganguro se rapprocha, venant caresser le visage d’Aiko, puis l’embrassa sur les lèvres. Maria avait de délicieuses lèvres sucrées, au goût de fraise.
« Toi… J’ignore qui tu es, mais… Je t’aime déjà beaucoup, ma belle.
- C’est une nouvelle élève, hmmm… Avec de gros besoins affectifs, haaa… »
Une nouvelle qui ne manqua pas de faire insolemment sourire Maria, qui retourna l’embrasser, et glissa deux doigts entre ses cuisses, venant la masturber, son autre main empoignant les cheveux soyeux d’Aiko. Elle l’embrassa longuement, fourrant sa langue dans sa bouche, pressant son corps chaud et aux formes amples contre le sien, puis retira ses doigts de son sexe, afin d’amener Aiko à pivoter sur place.
Sa main se déplaça ainsi pour se glisser sous les cuisses de la femme, et elle aida ainsi la jeune Princesse à enrouler ses jambes autour des hanches de la femme, tout en posant sa main sur les fesses d’Aiko, une main trempée et dégoulinante de cyprine qui malaxa le cul de la jeune fille.
« Une nouvelle très prometteuse, en tout cas… Je suis Maria Sucker, ma chérie… Mon rôle, au lycée, c’est de soulager les jeunes talents comme toi de leurs frustrations sexuelles. Tu peux me voir comme une prostituée affectée au soulagement des troubles hormonaux des lycéens, ça me correspond tout à fait ! »
Et Maria revendiquait ce statut avec fierté !