« Se-Senseï, haaaa... !! »
Shii (http://img72.xooimage.com/files/2/a/7/shii-32114ee.jpg) poussa un nouveau cri de plaisir et de douleur quand le gode de Myumi s’enfonça dans son fessier. Ses mains se crispèrent sur le rebord du bureau, et Shii hurla encore, fermant les yeux. Son sailor fuku était légèrement défait, délesté de sa jupe, et elle sentait Myumi la pénétrer rudement. Celle-ci portait une séduisante tenue érotique noire en latex (http://img110.xooimage.com/files/a/d/e/myumi_suit-55376f9.jpg), et continuait à prendre la jeune femme. Ses mains caressaient ses fesses, malaxant sa chair, faisant doucement crisser sa combinaison. Shii hurla encore, et la jeune fille qui les observait, une ganguro du nom de Maria Sucker (http://img110.xooimage.com/files/1/0/4/maria-sucker--509d90f.jpg), gloussa doucement.
Maria s’assit sur le bureau, à côté de Shii, et caressa son visage avec sa main, ses doigts glissant tendrement sur ses cheveux. La ganguro était une élève de Mishima très particulière, car elle était inscrite sur les registres, mais affiliée à aucune classe. En réalité, Maria était une prostituée locale, recrutée par le conseil d’administration pour satisfaire quelques élèves. Une élève de l’ombre, qui permettait à l’administration d’avoir un aperçu des réseaux occultes du lycée.
« Allez, là, tu adores ça, Shii-chan, hein ? Bande bien les fesses, et peut-être qu’Ichtora-sensei te laissera jouer avec sa grosse queue !
- Hmmmm... Haaaa... !! »
Shii était une excellente candidate pour les jeux délicieusement pervers de Myumi. La senseï aimait beaucoup Shii, qui, outre être une esclave dévouée de Mélinda, était aussi une élève très douée, très brillante. Myumi la récompensait de son brillant devoir de mathématiques, où elle avait fini première de la classe, et avait pour cela invité Maria. Shii et la ganguro avaient déjà eu l’occasion, par l’intermédiaire de Mélinda, de s’envoyer en l’air ensemble. Maria avait ainsi compris que Shii était une jeune femme qu’il fallait forcer pour avoir ce qu’elle voulait, et il était donc normal que Myumi l’invite dans la classe.
La jeune femme la bourrait donc, la prenant tendrement, accélérant progressivement le rythme. Elle soupirait longuement, et entendit alors la porte s’entrouvrir. Fort heureusement, Shii portait sur ses yeux un bandeau noir. Si Maria ne reconnut pas Aiko-hime, Shii était bien trop cultivée pour ne pas la reconnaître rapidement. Le hasard avait fort heureusement voulu que Shii n’avait encore jamais rencontré Aiko-hime, et le conseil d’administration faisait tout pour dissimuler autant que possible sa présence. Mishima était un lycée à la réputation sulfureuse, et, si la presse apprenait qu’une Princesse japonaise se trouvait ici...
« Oh, hmmm... Shii-chan, je crois que tes cris de petite pute... Ont attiré du monde ici !
- H-Hein, haaaa... Co... Haaaaannn... !! »
Myumi gifla le cul de Shii, qui couina encore, puis la professeur, ralentissant légèrement le mouvement, sourit à Aiko-hime. Elle ne lui dit toutefois rien, car la jeune fille restait encore dehors... Mais lui fit signe de la main d’entrer. Après tout, les ordres étaient de ne pas la brusquer, et, même si Myumi avait tendance à être une femme sulfureuse, elle respectait toujours les instructions qu’on lui donnait.
Aiko-hime n’était pas une élève comme les autres. En fait, il était tout à fait juste de dire qu’elle était une sorte de VIP… Ou de VVIP, pour « very very important person ». Dire qu’elle était précieuse était un euphémisme, car elle était une Princesse impériale, appartenant à la famille de l’illustre Empereur du Japon, Akihito. Pourquoi cette femme s’était retrouvée ici, à Mishima, plutôt qu’à un juku ? La question avait été posée au sein du Conseil d’administration du lycée. C’était le choix personnel d’Aiko-hime de venir ici, et la famille l’avait respecté. Initialement, il avait été envisagé que tout cela ne soit qu’une manœuvre d’Aiko-hime pour se rapprocher de la famille Morimoto, une très influente famille japonaise, proche de la famille impériale, mais il n’en avait rien été.
L’explication était ensuite tombée d’elle-même, et se confirmait ce soir… Aiko-hime était une jeune femme pleine de vie ! Une jeune adolescente qui souffrait visiblement de sa vie cloisonnée et ultra-conformiste, et aspirait à des fantasmes lubriques et terriblement osés, impliquant l’exhibitionnisme, et un penchant naturel pour l’hédonisme et la perversité.
Aiko-hime s’excusa pour son intrusion, et, en l’entendant, Shii, qui se contorsionnait sur place, couina lentement :
« Qui… Qui est là ? »
Cette insolence donna lieu à une puissante gifle sur le cul de Shii, qui couina, et Myumi donna un coup de reins supplémentaire, son solide gode se perdant en elle. Myumi portait au demeurant un strap-on très particulier, une conception de sa mère inspirée des modèles tekhans, avec plusieurs petites capsules attachées à l’appareil, permettant de relâcher, avec l’aide de capteurs, des filaments de sperme quand la porteuse atteignait l’orgasme.
Pour autant, Myumi se retourna vers Aiko-hime, et lui sourit tendrement :
« Entre, Aiko-chan, viens, ma chérie… »
Fort heureusement, Shii, qui était probablement l’une des rares élèves du lycée à pouvoir déterminer l’identité réelle d’Aiko (que Myumi se garderait bien en public d’appeler par le suffixe « -|i]hime[/i] » !), avait les yeux bandés. Maria, quant à elle, sourit, sans savoir à qui elles avaient affaires, croyant juste voir une autre des élèves particulières de Ichtora-sensei.
Aiko-hime rejoignit donc le bureau, d’une démarche fluette, mais non moins pesante, trahissant l’excitation fébrile qu’elle ressentit. Myumi retourna alors bourrer le corps de Shii, faisant de nouveau hurler la femme, tandis que la jeune lycéenne s’installa sur le bureau, face à Shii, et entreprit de se masturber énergiquement.
« Tu as vraiment l’air en manque, dis-moi, ma pauvre… » gloussa Myumi.
Shii se tortilla sur place.
« Mais… Maîtresse, je…
- Chut, rebelle ! Quelle insolence, vraiment! Je n’ose croire que Warren-sama t’a formé si mal que ça pour que tu viennes m’interrompre tout le temps ! » répliqua-t-elle, égrenant chaque reproche d’une grosse claque, faisant à chaque fois hurler Shii.
Et, quand elle hurlait, Shii avait une délicieuse voix fluette, une petite voix timide et lubrique. Elle couinait longuement, mouillant frénétiquement, et Myumi continua à la prendre, jusqu’à ce qu’AIko-hime ne finisse par jouir. Son jus fusa sur la tête de Shii, et elle se retourna ensuite vers Maria, qui lui sourit tendrement.
De la tête, Myumi accepta, et la ganguro se rapprocha, venant caresser le visage d’Aiko, puis l’embrassa sur les lèvres. Maria avait de délicieuses lèvres sucrées, au goût de fraise.
« Toi… J’ignore qui tu es, mais… Je t’aime déjà beaucoup, ma belle.
- C’est une nouvelle élève, hmmm… Avec de gros besoins affectifs, haaa… »
Une nouvelle qui ne manqua pas de faire insolemment sourire Maria, qui retourna l’embrasser, et glissa deux doigts entre ses cuisses, venant la masturber, son autre main empoignant les cheveux soyeux d’Aiko. Elle l’embrassa longuement, fourrant sa langue dans sa bouche, pressant son corps chaud et aux formes amples contre le sien, puis retira ses doigts de son sexe, afin d’amener Aiko à pivoter sur place.
Sa main se déplaça ainsi pour se glisser sous les cuisses de la femme, et elle aida ainsi la jeune Princesse à enrouler ses jambes autour des hanches de la femme, tout en posant sa main sur les fesses d’Aiko, une main trempée et dégoulinante de cyprine qui malaxa le cul de la jeune fille.
« Une nouvelle très prometteuse, en tout cas… Je suis Maria Sucker, ma chérie… Mon rôle, au lycée, c’est de soulager les jeunes talents comme toi de leurs frustrations sexuelles. Tu peux me voir comme une prostituée affectée au soulagement des troubles hormonaux des lycéens, ça me correspond tout à fait ! »
Et Maria revendiquait ce statut avec fierté !
Maria ignorait qui était cette fille, et elle n’en avait pas grand-chose à faire. Tout ce qu’elle voyait, c’est qu’elle était plutôt bien fichue, et, somme toute, très demanderesse en matière de sexe. Ses petites mains potelées glissèrent ainsi sur le corps moelleux et bien proportionné de Maria Sucker, jusqu’à la déshabiller. Celle-ci la laissa volontiers faire, tout en partageant avec elle un long baiser. De son côté, Myumi souriait doucement, ses mains posées sur les hanches de Shii. Elle était heureuse de voir Aiko les rejoindre, partager avec elle ce moment intime. Sans être particulièrement patriote, Myumi savait toutefois que cette jeune fille méritait des égards très particuliers. Maria l’embrassait donc, jusqu’à sentir les mains d’Aiko explorer son corps.
« Et bien... Tu es en manque, toi, ma belle... » commenta sobrement Maria.
Aiko refusa encore de dévoiler son identité, craignant sans doute qu’apprendre son statut royal ne décourage Maria. En l’état, il y avait peu de chances que Maria reconnaisse en Aiko un membre de la famille impériale japonaise. Shii aurait sans doute pu le savoir, mais celle-ci avait bien du mal à réfléchir, avec Myumi qui la pénétrait durement... Et un bâillon dissimulait de plus sa vision. De son côté, Maria frémit en sentant une main d’Aiko parcourir ses fesses, et poussa un léger soupir lorsqu’un doigt se mit à titiller son fondement. Elle soupira donc, et esquissa un léger sourire devant l’appétit manifeste de cette jeune femme.
« Hmmm... Très... Très gourmande, même ! »
Mais ce n’était clairement pas pour déplaire à Maria, qui caressa également les fesses d’Aiko.
« Fais-toi plaisir, ma chérie, glissa alors Myumi, tout en continuant à maltraiter à sa manière le corps de Shii, le corps de Maria est pour toi... »
Il lui appartenait de faire ce qu’elle en voulait... Sexuellement parlant !