Un trop-plein qu'il faut libérer. [PV Orphée]

Okooko n'était pas retourner en ville depuis des mois et n'avait pas été en contact avec des humains ou des créatures s'en rapprochant depuis tout aussi longtemps. Elle c'était perdu dans la forêt et n'avait trouver comme endroit pour s'abriter qu'une caverne qu'elle devait partager avec une colonie de créature semblable a des ours mais plus petit. Il n'y avait que des mâles, la créature avait donc pu leur servir d'exutoire sexuelle grâce à ses tentacules et leur avait pomper tout leur fluide reproducteur jusqu'à ce qu'ils se mettent à hiberner.

L'extraterrestre était donc en surcharge et elle avait besoin de libérer le surplus de semence qu'elle stockait comme à son habitude. Cependant, son comportement en étant en surcapacité stockage se retrouvait changé comme s'il avait un besoin irrépressible de se vider. La demoiselle d'un naturel si gentil et espiègle était devenu folle et méchante. Tout redeviendrait normal lorsqu'elle se serait vider comme à chaque fois que ça arrivait mais encore fallait-il que ça arrive, il n'y avait pas signe d'une créature femelle à qui offrir toute cette semence accumulée.

Elle était donc partie de la caverne pour essayer de retrouver le chemin de la civilisation, là où il serait facile de rencontrer une femelle qui libérerait Okooko de ses pulsions. Mais il n'y avait rien à faire, son esprit embrumé et son sens de l'orientation déjà plus que douteux en temps normal la faisait tourner encore et encore dans cette forêt, elle finirait bien par trouver la sortie un jour ou l'autre. Si seulement qu'au lieu de devoir aller trouver une femelle, c'était une femelle qui la trouverait, ça arrangerait beaucoup les choses.

Aujourd'hui c'est cueillette.

La jeune femme avait demander a Rondoudou de rester dans la petit maison qu'il louait. Pour que personne ne volent leurs affaire. Elle avait choisit une tenue assez simple. Short en cuir et haut en cuir aussi. Elle n'avait jamais eu vraiment froid, en fait elle avait même assez chaud. Chantonnant elle enfilla ces bottes avant de prendre un arc.

Pourquoi un arc ? Parce que si elle voit un lapin elle pourra ramener le repas. Elle aime beaucoup sa nouvelle vie, cette vie ou elle peut faire ce qu'elle voulait. Elle pouvait faire tout ce qu'elle voulait comme elle le voulait. Besace sur l'épaules elle partit donc dans la foret.

Elle mit un long moment a trouver ce qu'elle cherchais et au bout d'un moment elle fut fatiguée.  C'est pour cela qu'elle décida d'installer un petit feu et de se faire a manger ; Surtout qu'elle avait prit un bon petit plat a réchauffer.

Assise au prés de son feu, elle commença a chantonner, sans vraiment faire attention. Jusqu’à entendre un bruit et voir une créature. Bon dieu elle en avait des tentacules. Ces doigts cherchèrent son arc, on ne sais jamais.

« Bonjour ? »

Bon dieu il est ou cet arc ? En bougeant la jeune femme n'avait pas remarquer que son haut se défaisait lentement dévoilant sa poitrine plus que généreuse.

Okooko ne répondait plus de rien et laisser son corps bouger de lui même selon ses besoins. Lorsqu'elle découvrit la présence de quelqu'un dans la forêt et qu'elle lui apparut, elle ne se présenta même pas pour lui dire bonjour, ses tentacules c'étaient déjà lancé sur elle. Elle ne faisait même pas à l'apparence qu'avait la femelle qu'elle venait de trouver, elle avait juste analyser son sexe et l'avait attaqué. Ses gros tentacules vert avaient d'abord envoyer voler tout ce qui pouvait servir à lui nuire comme l'arc qui était juste à côté de la demoiselle avant d'aller s'engouffrer sous ses vêtements pour les ouvrir ou les déchirer :

"Besoin, vider."

Un des tentacules claqua le sol juste à côté d'Orphée avant qu'un autre s’abatte sur elle pour lui frapper la poitrine à de multiple reprise avant de s'enrouler autour. Les autres membres étaient tous aussi fou l'un que l'autre et la frappait en claquant sa peau avec force, seul le plus gros de tous s'enroulait autour d'une jambe pour remonter sous le short en cuir pour le faire craquer comme si c'était du papier. Le corps d'Okooko produisait les tentacules en grand nombres, bien plus qu'à l’accoutumer et ça ne semblait pas la fatigué. La base de son corps n'était bientôt plus distinguable dans  la forêt de tentacules du même vert.

Oula c'est quoi cette chose. Besoin de vider ? Vider quoi ? La jeune femme sentit parfaitement les tentacules glisser sous son haut, le déchirant. Un couinement d'angoisse lui échappe. He il ne fallait pas déchirer les vêtements comme cela.

A nouveau elle couine quand la tentacules frappe le sol. Avant de se cambrer sous la douleur du fouetage. Bon dieu ça fait presque aussi mal qu'un fouet, le corps de la jeune femme ondule doucement sous les coups. La douleur qui montait en elle, commençait a la faire mouiller. Elle avait toujours aimer le fouet.

Ces tétons se dressais sous les mouvements de l'homme, elle sentait bien que les tentacules attaquait son corps, qu'il l'envahissait. Le souffle court la jeune femme essayât de serrer un peu les cuisses pour retenir celui qui s'approchait dangereusement d'elle.

Gémissant elle essaya de bouger se retrouvant a quatre patte, il fallait qu'elle fuie, mais les tentacules continuait a l'attaquer, a lui masser les seins comme si il voulait les presser. Si elle prenait le feu ?

Doucement elle essaie de tendre la main pour aller chercher le feu. Il le faut... Même si elle doit l'avouer les tentacules qui la frappe la font mouiller. Bon dieu qu'elle masochiste.

Okooko était une créature polymorphe malgré le fait qu'elle garde toujours la même apparence, ce pouvoir lui servait la grande majorité du temps à faire pousser d'autres tentacules de son corps et c'était exactement ce qui était en train de se passer alors qu'elle ne se contrôlait pas vraiment, laissant ses pulsions prendre le dessus. Il devait y avoir plusieurs dizaines de tentacules vertes à fendre l'air pour frapper le corps de la pauvre fille qu'Okooko avait croiser pendant que d'autre s'enroulaient autour de ses seins pour les presser, d'autres s'étaient ouvert et était venu s'accrocher à ses tétons comme des ventouses et tiraient dessus :

"Dé.. dé... désolé. Besoin, vider semence."

Elle ne formait même plus des phrases en parlant, se contentant de dire ce qu'elle devait faire pour qu'elle redevienne comme d'habitude. L'énorme tentacule qui c'était glissé sous le short pour le faire craquer continuait de s'enrouler autour de la jambe de sa victime, le membre était d'une grosseur impressionnante mais contrairement à ce qui aurait pu être attendu, il s'arrêta son chemin un peu avant d'arriver à l'entrejambe, y faisant face tout de même en se tenant à quelque centimètre. L'appendice vert s'ouvrit et une vingtaine de tentacules plus petit d'une autre couleur apparurent, ce furent ceux là qui se précipitèrent pour entrer dans l'intimité d'Orphée, s'enfonçant jusqu'au tréfonds et devant s'enrouler pour continuer d'entrer.