Elle était couché devant toute prête à être prise, elle me disait qu'elle ne pouvais plus attendre. Je l'attrapa par les jambes pour la rapprocher de moi et avec mon membre je commence à la pénétrer gentillement, une fois que le bout été à l'intérieur, j'agrippai ses hanches et avec un grand coup, je la je la rentre dans l'espoir de lui faire cracher un petit cris. Lentement mais avec force, je fit de long aller-retour. je lâcha ses hanches pour que mes mains se placent derrière son dos et la tire contre moi pour sentir son corps contre le mien, une fois fait je me mis à la l'embrasser avec passion. Lors de ces embrassades, mes lèvres quittèrent les siennes pour descendre le long de son cou tout en la couchant en même temps. Ma bouche finit par arriver aux niveaux de sa saillante poitrine et avec ma langue, je commença à jouer avec l'un de ses tétons. Tournant autour, tripotant ou mordillant légèrement, tantôt l'un puis ensuite l'autre sein, je remarquai, au gémissement qu'elle émettait, qu'elle appréciait cela, l'action dura quelque bonnes minutes. Au bout d'un long moment, elle agrippa ma tête, surement pour passer ses mains dans mes cheveux, je lui prend alors les poignées et les place sur la table juste au dessus de sa tête. Je pu l'observer un moment, elle respirait vite et son corps était en sueur, j'aimai bien sentir mes compagnes piégé sans qu'elles puissent rien n'y faire. Avec ses mains coincé par les miennes, je me mis à accélérer le rythme des va et vient, je senti son corps se contracter au moindre des mes passages, elle poussait de plus en plus gémissement et de plus en plus fort. Dans l'action, son envie de plus de plaisir se montra avec ses jambes, elle voulut les agripper autour de moi, alors avec une mains je bloqua ses deux poignées et avec l'autre mains j'attrapai une de ses jambes et la souleva aussi haut qu'elle pouvait aller. Je continuai à l'embrasser, quant c'était pas ses lèvres,c'était son cou ou ses seins. Mon objectif étais de la pousser à crier et je sentais que sa marchait comme je le voulais. Moi, je me nourrissais se plaisir qui m'envahis, que c'était bon. Plus se plaisir grandissait, plus j'accélérai le mouvement et j'avais le sentiment que cette joie aller se terminer dans une explosions de plaisir. Alors je jeta toutes mes force dans cette ultime action.