Parasite [PV]

Membres de la famille Archer :

• Cynthia Archer. Née à Tekhos Metropolis, Cynthia est une pure Tekhane qui a rejoint très tôt l’armée. Fantassin redoutable, elle appartient à une brigade d’élite se battant avec une armure de combat améliorée.
  
  
• Layla Archer. Originaire du lointain Royaume de Papua, Layla a rencontré Cynthia alors que la ville dans laquelle elle se trouvait était attaquée par des Formiens. Les deux femmes ont ensuite sympathisé, et, depuis lors, elles se sont mariées, et ont fondé ensemble une famille.
  
  
• Belinda Archer. Fille des Archer, Belinda est une superbe adolescente plantureuse approchant de la vingtaine. Plus perverse qu’elle n’y paraît, elle préfère passer son temps à coucher avec ses camardes de classe qu’à réviser ;
  
  
• Kitty. Kitty est la neko de compagnie de la maison. Elle a été offerte comme cadeau d’anniversaire à Belinda il y a plusieurs années. Kitty était alors une minuscule boule de poils qui a grandi avec tout l’amour du monde à disposition. Très câline, Kitty adore les câlins, et ne supporte pas de dormir seule. Bien qu’elle dispose d’une niche, elle a ainsi pour habitude de se rendre dans le lit des autres pour y passer la nuit.

« C’est dingue, ce que tu as fait...
 -  Je n’accomplis que mon devoir, Layla. »

De retour à la maison, Cynthia goûtait au repos bien mérité du foyer. Layla lui avait préparé l’un de ses plats préférés : du saumon avec des crevettes et différents fruits de mer. Après tout, Cynthia revenait du front, du Containment Point, et avait passé des mois à manger des rations de survie. La soldate avait été mobilisée pour repousser une puissante invasion de Formiens. Un combat qui avait duré des mois, et où il avait fallu mener des missions en arrière-ligne pour empêcher des Ruches de se former pour les prendre en revers. La Fourmilière avait lancé un terrible assaut, avec une interdiction presque totale de communiquer, afin de laisser la propagande militaire faire son office.

Cynthia avait peu communiqué avec Layla pendant toute cette durée, et sa femme s’était inquiétée, car elle savait que Cynthia était en première ligne. Elle portait une redoutable armure de combat, un exosquelette qui renforçait considérablement ses capacités, de sorte qu’elle était nécessairement sur le devant. Les capacités de son armure lui permettaient d’affronter bon nombre de Formiens, l’armure pouvant générer un bras bionique se transformant également en un canon à énergie dévastateur.

« Tu sais, ‘Man, t’es une héroïne à l’école...
 -  Parce qu’il y a eu ce reportage sur moi ? »

Cynthia en parlait avec humour, mais elle était émue. Sa mère avait été une toxicomane, quelqu’un qui n’avait jamais rien fait de sa vie. Cynthia, elle, voulait être un exemple pour Belinda, un modèle de fierté, de courage et de vertu. C’était bien pour ça qu’elle se battait, et qu’elle était heureuse d’apprendre que sa fille l’admirait. Layla s’était en tout cas ruée sur elle à la gare, sautant contre elle, et lui avait ordonné de laisser sa combinaison bleue électrique le soir, tout en l’embrassant copieusement, et en lui assurant, dans le creux de l’oreille, qu’elles allaient baiser comme des hyènes ce soir.

De fait, pour se protéger contre les attaques télépathiques formiennes, qui influaient sur les hormones, les soldates devaient avaler des pilules spéciales, qui bloquaient la dopamine, ce neurotransmetteur du désir que les Formiens influaient pour tromper les Tekhanes. L’inconvénient de ces injections, c’est que, quand les effets s’atténuaient, le désir explosait dans le corps des femmes. Pour le dire simplement, Cynthia n’avait qu’une envie ce soir : se faire baiser par sa femme dans toutes les longueurs.

Elle avait passé la soirée à leur parler de ses batailles, de ses combats dans les tranchées, sur le sol, ou sous terre. Elle avait sauvé tout un équipage piégé dans les tunnels, et c’était d’ailleurs suite à cela que l’état-major voulait la récompenser en lui décernant l’une des plus prestigieuses récompenses militaires, la Star Cross. En effet, le camion militaire blindé s’était retrouvé près d’une Ruche, et, non contente de sauver les Tekhanes, avait également détruit la Ruche, au terme d’un rude combat, où elle s’était retrouvée à terre à plusieurs reprises, et avait même plongé dans un bassin génétique en étant balancée dedans par un Brutalisk.

Elle raconta donc cette histoire, tout en sentant Kitty se frotter contre elle.

« Mrrraaaawwww... Maîtresse... »

Cynthia la prit dans ses bras, et la câlina tendrement, avant de sourire encore.

« Tu es mon héroïne, ma chérie ! » la complimenta encore Layla en l’embrassant.

Autant dire que, ce soir, ça allait être très intense...

La quatre occupantes de ce grand appartement en pleine métropole de Tekhos étaient loin de se douter qu'un cinquième être, invisible, s'était invité aux festivités. Comment le pouvaient-elles ? Les procédures de détection et de décontamination des soldates revenant du front étaient censées être impossible à tromper, et pourtant, Cynthia Archer était bel et bien la porteuse d'un parasite formien, qui dormait dans son organisme depuis maintenant plusieurs semaines.
Le tout remontait à cette fameuse mission que la soldate était en train de retranscrire à sa femme et sa fille, ce fameux jour où un Brutalisk l'avait faite plonger dans un bassin génétique. Cynthia s'en était bien entendu sortie, mais le coup qu'elle avait reçu avait à ce moment provoqué une petite brèche dans l'armure qu'elle portait. Il avait suffi de ça, et d'un délai légèrement trop long pour que les nano-robots intégrés à cette combinaison ne réparent la brèche et s'attaquent au liquide du bassin qui s'était infiltré, pour qu'une infime partie ne parvienne à passer les pores de la peau et à s'infiltrer dans le système sanguin. A ce stade, le "parasite" n'était rien de plus qu'un amas de cellules qui avaient lutté pour survivre et se cacher, en se fondant dans les tissus internes de ce corps. Car même si il ne s'agissait que d'un amas de cellules formiennes, ces dernières étaient tout autant rattachées à l'esprit collectif de la ruche que n'importe quelle créature de l'essaim, et en ce sens, disposait d'une forme d'intelligence. Rudimentaire, certes, mais suffisante pour comprendre la nécessité de ne pas chercher tout de suite à se développer.
La créature devait évoluer, mais pour cela, encore fallait-il qu'elle survive. Alors ces cellules infectées se dispersèrent un peu partout dans le corps, et se fondèrent dans la masse, à la fois pour ne pas être détectés par le système immunitaire, mais également par les multiples tests des Tekhannes. Le parasite avait donc été dans un état dormant pendant des semaines, et n'avait commencé à reprendre de l'activité que très récemment, suite à une hausse fulgurante du taux de dopamine dans le métabolisme de l'hôte. "Conscient" alors que la femme ne devait plus être dans un univers militaire, et donc hautement sécurisé, les cellules migrèrent, au cours d'un long voyage de quelques heures à travers le système sanguin, pour se retrouver et s'assembler dans l'utérus de l'hôte.

Mais même cet amas de cellules plus gros ne pouvait pas faire grand chose en l'état. De par sa nature formienne, la créature avait besoin de stimulations sexuelles de la part de son hôte pour pouvoir grandir, mais elle était "confiante", car de nombreux signes indiquaient une excitation sexuelle croissante, typique de celle précédant un accouplement. Le parasite savait de toutes façons qu'il lui faudrait être prudent, à ce stade de développement, même le système immunitaire de son hôte pouvait lui être fatal, et c'était sans compter des interventions Tekhannes si il venait à être découvert. Bien au chaud dans l'utérus de son hôte, ce dernier pouvait néanmoins faire une chose, diffuser sur ces tissus sensibles un aphrodisiaque. C'était certes très infime, mais suffisant pour un peu plus stimuler son hôte, qui ne se douterait de rien vu qu'elle était déjà excitée de base.

__________________________________________________________________

Du côté de l'heureuse famille, les retrouvailles émouvantes continuaient de se dérouler, et l'heure avançait au fil des récits de guerre de Cynthia, qui captivaient autant son épouse que sa fille. Kitty écoutait aussi bien sûr, mais n'était pas certaine de tout comprendre, si ce n'était que sa maîtresse avait été très courageuse, et qu'elle était très, très heureuse de la retrouver après tous ces mois. Belinda quand à elle finit par s'absenter après ce long repas, prétextant des révisions chez une amie...même si la définition de révisions n'était sans doute pas celle que des parents attendent de leur fille. Toutefois, Layla donna sa bénédiction à sa fille, car un peu égoïstement...et bien elle voulait être un peu seule avec sa femme revenue fraîchement du front.
Ainsi, dès que Belinda fût partie, Kitty elle entreprit de commencer diverses tâches ménagères dans l'appartement, tandis que les deux femmes rejoignaient leur chambre pour un moment d'intimité terriblement nécessaire. Layla sauta littéralement sur Cynthia une fois la porte fermée, échangeant avec elle un sulfureux baiser qui se prolongea.

Tu m'a tellement manquée, ma chérie...

La belle Papuanne glissa sa main sur l'une des joues de sa belle soldate, effleurant ses lèvres à l'aide de son pouce, avant de s'approcher de son oreille.

Je vais mettre quelque chose de plus adapté...tu as dix minutes pour enfiler ta combinaison mon amour, et après ça, je te promets de rattraper le temps perdu.

Indéniablement, Layla avait une petite surprise pour Cynthia, qui se révéla être une tenue très sexy d'infirmière.

Bonsoir soldate, vous êtes prête pour votre checkup complet ?

Cynthia avait une envie de plus en plus furieuse de baiser, de copuler. À bien y réfléchir, alors qu’elle attendait dans la chambre le retour de Layla, elle ne se rappelait pas un jour avoir été dans un tel état de manque. Les scientifiques avaient prévenu les soldates de ce contrecoup. C’était pour ça que, lors des permissions, les soldates disposaient d’un passe pour les maisons closes de la métropole. Le sexe, si profondément ancré dans la société tekhane, était une pulsion qu’il fallait contrôler le plus possible face aux Formiens. Cynthia ignorait toutefois que sa soif était en partie dopée par le parasite en elle. Un agent dormant qui avait su échapper aux scanners de sécurité tekhans, parce qu’il était récessif, et conçu pour se réveiller après. Le bassin génétique dans lequel Cynthia avait été balancé cultivait ce genre de parasites, une nouvelle invention du redoutable technogénéticien de Sarah Kerrigan, Abathur, le Maître des Évolutions. Mais ça, Cynthia était loin de s’en douter.

Elle récupéra sa combinaison, la Zero Suit, une combinaison moulante bleue électrique très sensuelle, qui s’adaptait automatiquement au corps de sa porteuse, ainsi qu’aux conditions climatiques environnantes. Cynthia pouvait pratiquement tout faire avec elle. La Zero Suit était un dérivé des combinaisons de pointe utilisées par les Ghosts. Elle pouvait s’adapter aux fortes chaleurs en absorbant la sueur de son hôte, et se durcissait à l’intérieur lors du froid. Elle pouvait également changer de couleur pour lui permettre de se camoufler, et disposait également de multiples capteurs permettant à Cynthia de se synchroniser avec son exosquelette. Fait amusant, la Zero Suit était également pensée pour les femmes hermaphrodites, s’adaptant à la venue d’un chibre. La texture était vraiment unique, mélange de latex et de caoutchouc, une texture synthétique conçue en laboratoire.

Cynthia l’enfila donc. Rien de très compliqué, car la tenue était très difforme quand elle n’était pas mise. Une fois la combinaison posée, Cynthia l’enclencha, et sentit alors cette dernière s’adapter à ses formes, se collant à elle. Elle frémit à ce contact, puis s’observa encore dans le miroir. Layla adorait la voir ainsi, et lui avait souvent dit que cette combinaison faisait fureur dans les magasins fétichistes.

*Diable, mais qu’est-ce qu’elle fout ?*

Plus le temps passait, et plus les secondes s’étiraient, avec une envie de plus en plus forte d’ouvrir la porte de la penderie. Cynthia savait que Layla aimait beaucoup le fétichisme et les déguisements, et elle se demandait ce que sa femme avait prévu pour elle. Les Archer pouvaient se montrer très perverses quand elles le voulaient, et Cynthia devait bien admettre être très curieuse en essayant d’imaginer ce que sa femme lui préparait.

*Allez, vite !*

Cynthia avait une envie folle, incroyable, terrible, de baiser sa femme. Impatiente, elle attendait donc, jusqu’à ce que, enfin, la porte ne daigne s’ouvrir. La femme regarda Layla... Et déglutit sur place. Celle-ci avait choisi de se recoiffer, se dotant de deux couettes sur sa longue chevelure brune, et, surtout, d’une indescriptible tenue d’infirmière extrêmement courte, sacrifiant le latex au profit d’une fine lingerie mettant ses formes en valeur.

Layla vint la taquiner, mais Cynthia déglutit doucement... Et bondit contre Layla, la plaquant contre le mur, et l’embrassa furieusement, fougueusement, comme une assoiffée dans le désert qui, après des heures et des heures à tourner en rond sous une canicule aride, tomberait enfin sur une gourde. Elle se rua donc sur les lèvres de sa femme, s’y collant avec envie, et frotta son corps sur le sien, d’avant en arrière, gémissant onctueusement, mordillant ses lèvres, crispant ses mains gantées sur ses cuisses.

Cynthia n’avait même pas encore réalisé que, sous l’effet de cette intense frustration, et de son envie de sexe fort, ses gènes hermaphrodites s’étaient déclenchées. Ses cuisses s’étaient déformées pour laisser passer un phallus qui caressait l’intimité de sa femme, illustrant la volonté de Cynthia d’une partie de jambes en l’air furieuse et torride !

Le parasite n'avait désormais plus qu'à attendre...tout en ressentant lui même une intense frustration, et de la peur aussi. Même si il était à ce stade minuscule, ses capacités de réflexion, et de posséder une forme de conscience, étaient amplifiées par l'accès à la conscience collective de la Ruche, ce qui lui permettait de ne pas être qu'un simple organisme complètement dirigé par ses instincts. Ce bio-organisme avait été conçu spécifiquement pour être capable de tâches d'infiltration, ses instincts avaient donc été altérés au profit de capacité d'analyse supérieures au commun des Formiens. Mais malgré tout, le parasite demeurait un Formien, dont l'existence entière était dirigée autour du sexe, mais également la capacité à vivre. Concrètement, cet organisme avait du dépenser beaucoup d'énergie pour parvenir à se dissimuler et s'adapter sans cesse pour ne pas être repéré, que ce soit par les Tekhannes ou le système immunitaire de l'hôte dans laquelle il se trouvait. Il avait donc besoin que son hôte, à laquelle il était en train de se lier, baise pour qu'il puisse reprendre des forces, et grandir...dans le cas contraire, l'organisme était incapable de survivre en l'absence d'activité sexuelle de la part de l'hôte.
Ce fût donc pour ça qu'il avait pris le risque calculé de diffuser un aphrodisiaque directement dans l'utérus de la femme, afin de stimuler grandement son envie de sexe, il s'agissait clairement d'une question de survie pour lui. Le parasite n'avait toutefois rien à craindre, la hausse subite de l'activité corporelle de l'hôte indiquait un accouplement imminent. Entre autres, il détecta une modification de ce corps, qui venait de faire sortir un sexe proéminent depuis son vagin. Celà ne surprit guère le parasite, qui disposait d'une partie de la mémoire collective des Formiens, et savait donc qu'une partie non négligeable des Tekhannes était hermaphrodite. Il avait également, partiellement du moins, accès à quelques connexions du système nerveux, ce qui lui permis de déterminer que son hôte était en train d'embrasser et de se frotter contre un autre corps, sans aucun doute féminin.

Le parasite prit alors la décision, au vu de ces faits, de séparer sa masse cellulaire en deux. L'une qui resterait dans l'utérus de l'hôte, en attente de pouvoir grandir, et l'autre se déplaçait sous forme de micro-organismes qui se dirigèrent vers les testicules de ce sexe dressé et tendu. Le parasite déployait, en quelque sorte, une opération de "colonisation" d'un autre corps. Ces cellules allaient s'attacher aux spermatozoïdes stockés, dans l'optique de profiter de l'orgasme à venir pour aller infester la femme de l'hôte. Un procédé somme toute risqué, mais se dédoubler le plus rapidement possible dans d'autres corps était aussi une opportunité que le parasite ne comptait pas laisser passer.

______________________________________________________________________

Layla vit son épouse lui sauter dessus littéralement, en la plaquant contre un des murs de leur chambre. Cynthia n'y alla clairement pas par quatre chemins, et l'embrassa fougueusement, fourrant sa langue dans sa bouche, un baiser auquel la Papuanne répondit avec plaisir. Ce n'était pas si souvent que la sérieuse Cynthia sortait ainsi de ses gonds, mais après des mois de séparation et de traitements pour résister aux Formiens, Layla ne s'était pas attendue à autre chose.

Hmmmm !!!!

Layla de son côté posa fermement ses mains sur le cul de sa femme, en le claquant généreusement, l'éprouvant à travers cette tenue qui l'avait toujours faite fantasmer. Outre le côté soldate, qui lui rappellait à quel point Cynthia était une femme courageuse, Layla adorait aussi cette combinaison pour son côté moulant et ultra sexy.
La femme ne tarda en tout cas pas à sentir le sexe de sa compagne pointer sous sa combinaison, et se frotter contre ses cuisses. Elle les écarta d'ailleurs légèrement, afin qu'elle puisse ainsi se frotter contre son intimité. Layla avait beau ne pass être encore infectée par le parasite, sa libido n'en était pas moins grande.

Ah...hum...Oh je vois Soldate...Mon...hum...mon diagnostic est sans appel, vous avez besoin de baiser immédiatement.

Difficile toutefois de s'en tenir à ce jeu de rôles, tant Cynthia était...affamée. Bah ! Layla n'allait clairement pas s'en plaindre. Elle parvint à poser ses mains sur les épaules de son épouse pour pouvoir la reculer légèrement, juste assez pour qu'elle puisse alors se mettre à genoux. Elle se trouva alors nez à nez avec cette superbe verge qui pointait sous la combinaison, qui moulait ce gros mât de chair turgescent. La Papuanne déposa de multiples baisers dessus, ainsi que des coups de langue, afin de la chauffer encore un peu plus. Elle se recula alors, se plaquant dos contre le mur, en regardant sa femme avec un regard de braise.

Qu'est-ce que tu attends ? Viens...viens me baiser la bouche...

Et pour le signifier clairement, la Papuanne entrouvrit ses lèvres dans une invitation particulièrement coquine.

En d’autres circonstances, Cynthia aurait été ravie de jouer, et elle aurait même fait durer le plaisir. La jeune femme savait combien, en matière sexuelle, Layla pouvait se montrer imaginative. Elle aimait ce genre de jeu, et avait souvent expliqué à Cynthia venir d’un pays où les mœurs sexuelles étaient très libres. Layla aurait pu devenir la concubine de la famille Thoris en personne. Elle se plaisait souvent à le répéter, comme pour jalouser Cynthia, ou qu’elle réalise à quel point sa femme était belle. Mais ça, Cynthia avait depuis longtemps eu l’occasion de le réaliser. Elle réalisa alors qu’elle avait une érection, et même une superbe queue. Là encore, c’était une conséquence de ces semaines de sevrage. L’hermaphrodisme tekhan s’apparentait à une mutation génétique, une modification de certains gènes, mais chaque transformation jouait sur la sécrétion d’hormones. Le résultat était donc souvent assez impressionnant, l’hermaphrodisme ayant pour effet de décupler les performances sexuelles de son utilisatrice. C’était clairement le cas pour Cynthia, qui embrassa encore vigoureusement sa femme, sentant les jambes de cette dernière s’écarter, afin que sa queue se frotte encore contre son sexe.

Cynthia frémit, et mordilla les lèvres de Layla, prête à la baiser comme ça. Elle pouvait la planter avec sa queue, car le latex moulait tellement ses formes que sa queue apparaissait pleinement, une membrane érectile fièrement dressée et assoiffée de rentrer en elle. Cynthia soupira doucement en s’écartant de quelques centimètres, laissant ainsi Layla se mettre à genoux. La Papuanne n’avait pas été, à l’origine, une grande fétichiste. À Papua, on portait des tenues moulantes et ouvertes, mettant les formes en valeur. Moins on portait de tissu, et mieux c’était, alors, ce genre de combinaisons moulantes… De fait, Layla avait peu l’habitude de porter du latex, mais avait subi un traitement particulier pour améliorer son fétichisme là-dessus. Cynthia l’avait emmené dans des clubs spéciaux, où des danseuses en latex avaient offert à Layla de sacrés numéros. Depuis lors, Layla s’était convertie au fétichisme, mais, comme elle ne supportait pas vraiment le fait de porter une tenue intégrale, c’était Cynthia qui s’habillait en latex, et Layla qui léchait et embrassait partout sa combinaison, plantant ses dents dessus, faisant crisser la tenue. Layla adorait notamment les crissements, et elle avait donc pu goûter à la queue en latex de Cynthia.

La jeune femme serra les poings quand Layla lécha son sexe, déposant plusieurs baisers dessus. Sa queue sembla croître encore, devenue plus lourde, et clairement plus douloureuse. Layla ouvrit alors la bouche, et les mains de Cynthia caressèrent ses cheveux pendant quelques secondes, notamment ses couettes. Sa tenue était vraiment magique, et, quand Layla lui demanda de fourrer sa queue dans sa bouche, Cynthia obtempéra. Bien sûr, il existait une fonction pour ouvrir la combinaison à hauteur du sexe, et Cynthia appuya dessus. Le bout de la combinaison s’ouvrit alors, et se retira, jusqu’à la base de la verge.

« Haaaa… Ma chérie, putain, ma bite se fait si mal… !! »

Cynthia était la plus stoïque des deux, la plus stricte et la plus disciplinée. Elle jurait rarement, et le sexe était l’un de ces moments où elle se lâchait. Quand elle atteignait l’orgasme, il était récurrent qu’elle se mette à balancer un florilège d’insultes, de jurons, et de mots grossiers, sans même forcément le réaliser. Autrement dit, le fait qu’elle insulte Layla ce soir était la plus belle preuve que la jeune femme allait prendre cher.

De fait, sans guère attendre davantage, Cynthia s’empressa d’empoigner sa femme par ses couettes, et fourra en elle sa belle verge, venant la baiser sèchement, furieusement, grognant sur place. C’était du sexe sauvage, intense, sans aucun sentiment. Cynthia agissait juste comme une femme qui était bien trop en manque. Elle grognait sur place, les joues rougies par l’effort, s’appuyant sur ses couettes, en la besognant intensivement.

« Gnnn… Hmmmm… !! »

À ce rythme-là, à cette intensité, Cynthia n’allait pas tarder à se relâcher en elle… Mais ce ne serait, bien évidemment, que le premier de ses multiples orgasmes !