Je prends un deuxième doigt dans le cul, et ça me cambre, même si Akira s'est déjà chargée, par le passé, de bien me dilater ou me faire dilater l'anus.
« Oh, ma chérie, tu es une sacrée salope », lui dis-je assez fort pour que ces minables l'entendent.
Pour toute réponse, ce sont maintenant quatre de ses doigts qui me labourent la chatte ! Oui, labourer, c'est le mot ;
« Putain, ce que c'est bon, ne t'arrête pas ! »
Akira se contente juste de me faire pivoter ; je ne sais pas pourquoi, j'ai fermé les yeux, pour mieux savourer la double pénétration
« Voilà. Tu vas gicler debout, et sur eux ma chérie. »
Je suis suspendue à ses doigts, comme en équilibre par mon sexe et mon cul sur ses vas et vients. Elle va à une vitesse folle, comme un métronome. Je gémis, je crie, tout est désordre
« Oui, chérie, continue, fais-moi gicler la mouille ! »
Mon doigt fait des clapotis dans le sexe d'Akira, sa mouille coule sur ma main, comme un écho à la tempête qui se prépare en moi.
Mon sexe aussi fait des clapotis, même mon cul qui semble sécréter son propre liquide. Akira ne lâche pas, elle continue, elle accélère.
"Hmmm... allez ma chérie, gicle, asperge les, je veux voir ta chatte cracher toute la cyprine qu'elle peut. »
C'est trop fort, ça monte, ça jaillit, ça part dans tous les sens. Je ne sais comment, ni où, mais peu importe, même si ces puceaux bavent d'envie ou se branlent. Les yeux clos, je ne suis qu'une chatte et un cul labourés de concert.
« Ouiiii, putain, ça vient, ne t'arrête pas ! »
Je ne veux surtout pas que Akira stoppe, mon doigt se met à lui labourer la chatte sauvagement, puis, plein de sas mouille, s'enfonce d'un coup sec dans son anus.
Je veux l'emmener avec moi là où elle me fait monter !