Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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L'Entreprise [PV : Alice]

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Princesse Alice Korvander

Humain(e)

Re : L'Entreprise [PV : Alice]

Réponse 45 lundi 17 septembre 2018, 00:50:07

Chacun des gestes, des mots, de F-182 était observée, analysée, et étudiée. Ravenborn était en ce sens une véritable institution orwellienne, avec une multitude de caméras, de microphones, de détecteurs... La remarque anodine de F-182 n’échappa donc nullement aux médecins de Ravenborn. Elle rappela en effet son patronyme de naissance, signe que le conditionnement n’était pas encore terminé. À terme, F-182 devrait même oublier son passé, au profit de la seule sensation de servitude. L’aliénation que formait le sexe était ici poussée à son paroxysme, et F-182 ne put qu’obéir aux injonctions de M-072. Quand elle abaissa son pantalon, elle constata que l’homme avait effectivement une belle trique. Après tout, si le programme dotait les femmes de généreux seins, et d’une endurance sexuelle surnaturelle, c’était aussi le cas pour les hommes. Ils subissaient un programme hormonal à base de testostérone, et M-072 ne s’en sortait pas si mal.

Comme F-182, il avait eu une autre identité avant, une autre existence... Une existence guère enviable. Le jeune homme vivait de foyer d’accueil en foyer d’accueil, ignorant l’identité de son père biologique. Sa mère était une femme maniaco-dépressive, qui n’avait jamais été en mesure de s’occuper convenablement de lui, ni même d’elle, multipliant les petits-amis rencontrés dans les bars, le mélange de boissons et de médicaments... L’enfant avait vu des choses qu’un jeune enfant n’était pas supposé voir, et, quand la police s’était penchée sur le cas de la mère, le jeune homme avait été placé dans un orphelinat en attente de lui trouver un foyer d’accueil. Las, les vices des parents ont souvent tendance à se développer chez leurs enfants. Le jeune homme, qui avait vu à cinq ans sa mère faire des fellations à la chaîne dans leur modeste logement social pour quelques euros, avait recopié ces gestes, donnant lieu à des complications très importantes. Il était régulièrement déscolarisé, faisant le mur, changeant de maison ou d’établissement, jusqu’à se retrouver dans un CEF (centre éducatif fermé), l’équivalent moderne des maisons de correction. C’est là que le dossier de M-072 était remonté jusqu’à Ravenborn, car l’un des éducateurs de ce CEF travaillait justement pour la Lactos Company. C’est ainsi que, à la fin de la mesure de placement, M-072 avait tout simplement disparu. Personne ne le rechercherait. Ses différentes familles d’accueil n’avaient eu qu’une envie : oublier cet homme dangereux et agressif. Et maintenant ? Maintenant, M-072 était docile. L’Institut Ravenborn avait mis fin à son comportement désobéissant, et lui avait offert une nouvelle vie, une occasion de contribuer utilement à la société. Somme toute, la Lactos agissait pour le bien commun, car, sans elle, l’homme qu’avait été M-072 aurait continué à errer entre la prison et la rue, enchaînant les condamnations. Un vaurien sans avenir, si ce n’est celui d’être une plaie pour la société civile.

Il se trouvait donc là, avec sa queue dressée, et soupira quand F-182 commença à pomper son dard. Toutefois, les médecins de Ravenborn savaient aussi que le conditionnement, aussi poussé soit-il, ne pouvaient pas totalement effacer l’ancienne personnalité du sujet. D’une manière ou d’une autre, il restait toujours des substrats, des couches profondes qui rejaillissaient de manière imprévue. En l’occurrence, chez M-072, il s’agissait de son agressivité naturelle, de ce penchant à la violence, mais aussi, dans une moindre mesure, au sexisme. M-072 avait un contentieux non réglé avec sa mère, qu’il haïssait et aimait en même temps. Et ce contentieux s’était dupliqué chez les femmes. C’était un homme violent, et le soumettre n’avait pas été une sinécure.

« Hmmm... Bordel, salope, tu suces si bien... »

Et une fellation avait souvent le don de réveiller chez lui ses anciennes pulsions, puisque cela lui remémorait, inconsciemment, l’époque où, jeune enfant, il voyait sa mère s’adonner à ce genre de pratiques. Il se mettait donc à grogner, écarquillant les yeux, et serra ses mains sur les cheveux de la femme. Sa queue se mit à grossir, à enfler.

« Allez... Allez, plus vite, salope, plus vite ! » s’impatienta-t-il rapidement.

M-072 commença à donner des coups de reins, étouffant des grognements, et guida lui-même la tête de F-182. Ses mains se posèrent sur son crâne, et il commença donc à la bourrer plus furieusement, grognant sur place, lui baisant vulgairement la bouche. L’homme y allait avec appétit, avec énergie, les muscles de son visage se bandant pour marquer sa colère, sa fureur, tandis que, inlassablement, il continuait à la baiser.

« Pu-Putain, hmmm... ! Bordel ! F... Foutue salope, haaa... !! Sale pute à la bouche de chienne ! »

Si F-182 espérait tomber sur un amant doux et romantique, elle était décidément bien loin du compte...
« Modifié: vendredi 21 septembre 2018, 00:26:32 par Princesse Alice Korvander »

Cassandre Harmington

Terranide

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Re : L'Entreprise [PV : Alice]

Réponse 46 mercredi 19 septembre 2018, 22:43:20

Elle n’était pas dupe. Elle ne s’attendait pas à qu’on la prenne romantiquement, ou même ne serait-ce que gentiment. Enfaite, ce qui semblait le plus choquant pour la fameuse Lucie, c’est qu’il y avait un côté très « humain » dans ce viol… Et ouais… Quand même ! Enfaite, avant, elle avait eu l’impression que rien n’était naturel, qu’elle était arrivée dans une sorte de dystopie ou dans un univers parralèle ou tout cela était possible. Mais là, dans la situation donnée, tout semblait… Possible ! Bien possible, réel, comme si après un cauchemar horrible mais totalement surréaliste et impossible, elle se retrouvait à l’orée d’un nouveau cauchemar, mais cette fois, ancrée dans la réalité véritable. Un peu comme après une heure trente de dinosaure en plastique dans Carnosaur, on se retrouvait face à des mecs en jaune tuant tout le monde pour éviter une contamination à coup de lance-flamme… Attendez, c’est vraiment ce qui arrive dans le film !

« Hmmm... Bordel, salope, tu suces si bien... »

Mais assez de dinosaure ! Quoiqu’il arrive, notre chère Lucie n’avait pas l’impression qu’elle suçait bien. Enfin, elle n’en n’avait aucune idée enfaite. Elle n’avait jamais suçée de sa vie, et elle n’avait jamais vu de femme sucée… Et même, on pouvait bien le dire, l’idée de prendre un pénis dans sa bouche ne serait jamais venue à l’idée, avant les horribles images qu’elle avait vu, peu après son arrivée dans ce fameux centre. Bref, donc, elle ne pensait pas qu’elle suçait si bien que ça… mais tant mieux ! Pour le moment, cela n’était pas trop désagréable de sucer ainsi… Donc, pourquoi pas ? Si cela pouvait continuer ainsi, elle pensait qu’elle pourrait y arriver sans trop trop de problème. Bien que cela n’était pas l’expérience la plus agréable du monde, il fallait bien avouer… Mais ça restait supportable… Malheureusement...

« Allez... Allez, plus vite, salope, plus vite ! » 

Malheureusement, même si « elle suces si bien », et bien, visiblement, cela n’était pas suffisant pour son interlocuteur. Et quand on connaissait le dossier de l’homme, et bien, cela n’étonnait guère de monde… Mais cela, et bien, Lucie ne savait pas… Tout ce qu’elle savait, c’est que d’un coup, le phallus entra de plus en plus dans sa bouche… Et peu à peu, alors que de base, c’était bel et bien la fameuse jeune demoiselle aux cheveux d’or qui dirigeait l’ensemble, et bien, elle perdit ce contrôle sur l’ensemble, et se retrouva dans un rôle de passive. A devoir suivre l’ensemble, et se faire baiser, baiser, et encore baiser… Elle retournait dans ce qui lui était arrivée peu à peu avant, et on retrouvait même un vocabulaire relativement proche de ce qu’elle avait connue auparavant, étant donné que ce qu’elle put entendre fut :

« Pu-Putain, hmmm... ! Bordel ! F... Foutue salope, haaa... !! Sale pute à la bouche de chienne ! »

La bouche de « chienne », comme le disait si bien cet homme au vocabulaire si charmant et fleuri, était prise donc par une violence non négligeable… Tout le corps de la fameuse F-182 était pris, encore, et encore, et ballotait alors ses deux gros seins, qui faisaient un plaisir de bouger au rythme de la tête et de la bouche de la fameuse femme. Lucie aimerait bien faire quelques choses, dire qu’il fallait que ça arrête, que cela faisait mal, et même qu’elle etouffait presque parfois, car il faut bien le dire, cela pourrait arriver (mais mystérieusement non, comment sa gorge pouvait tenir avec cela dans la bouche ? Elle ne savait pas que c’était encore une modification qu’avait connue son corps…) Bref, elle avait envie, dans un premier temps, de faire cela… Malheureusement, ce temps ne fut pas trop long, étant donné que…

A quoi bon de toute façon ? Elle était qu’un bout de viande. Alors que sa bouche se faisait complètement violée, des larmes coulaient sur ses joues. Elle voulait pleurer. Elle arrivait enfin à vraiment pleurer. C’était pathétique, et elle savait que de toute façon, cela ne servait à rien. C’était pas comme si l’homme qui s’occupait d’elle, là, allait arrêter juste car il voyait une adolescente avoir quelques larmes sur son visage. Bref, elle ne pouvait rien faire, à part subir, subir, et encore subir… Quand-est-ce que cela allait arrêter ? Quand est-ce qu’elle pourra enfin faire autre chose que se faire baiser ? Bref, elle savait que dès que l’homme aurait jouie dans sa bouche, cette pate crémeuse et désagréable pour le moment au goût -elle s’habituera, elle supposait-, et bien, son anus serait le prochain… Il n’y avait plus rien de surprenant, elle était assez intelligente pour savoir ce qui allait arriver…

Princesse Alice Korvander

Humain(e)

Re : L'Entreprise [PV : Alice]

Réponse 47 lundi 24 septembre 2018, 01:06:57

M-072 ne chercherait pas à la ménager, ni à y aller doucement. Ses puissantes mains serraient fortement la tête de F-182, et il continuait à la bourrer énergiquement, enfonçant sa trique dans sa bouche, tapant jusqu’à sa gorge. Sa queue devenait lourde, grosse, douloureuse. F-182 ne cherchait pas à lutter, ayant bine compris toute l’inutilité de la résistance à Ravenborn. Résister, c’était surtout la promesse de souffrir davantage, de tomber sur des punitions encore plus cruelles... Si tant est qu’on puisse considérer la situation actuelle comme acceptable. En tout cas, M-072 y allait joyeusement, grognant sur place, pinçant les lèvres, continuant à insulter la jeune femme qui, impuissamment, subissait ses assauts.

« Oh... Ouais, haaaa... Putain, ouais... !! »

Le jeune homme y allait franchement, la bourrant avec envie, avec un appétit furieux, qui ne cessait de l’animer. Encore et encore ! Une véritable machine à baiser, qui semblait ne jamais devoir s’épuiser, tout en continuant à la bourrer méchamment. Il se relâcha finalement en elle, jouissant au bout de nombreuses longues minutes à la baiser. Ses doigts s’enfonçaient douloureusement dans la crinière chevelue de F-182, et, tout en se relâchant en elle, il retira ses mains. Sous le coup, F-182 en tomba au sol, du sperme plein la bouche.

Toutefois, croire que M-072 s’arrêterait ainsi était une grave erreur. Tandis qu’il observait la femme, un anneau cybernétique posé à la base de son sexe s’illumina brusquement, diffusant une aura électrique. M-072 grogna sur place en se pinçant les lèvres. Sa queue se redressa durement, et il comprit alors que ceux qui les surveillaient ne voulaient pas qu’il s’arrête ainsi. Le jeune homme acquiesça alors, et se rapprocha de la femme. F-182 gisait au sol, et il la releva, la soulevant par le col, puis la balança sur la table, à côté de plusieurs pensionnaires qui s’écartèrent prudemment.

« Haha, sale pute, sale chienne... Je vais encore te BAISER, SALOPE !! »

Loin d’en avoir fini avec elle, M-072 abaissa son uniforme, et la prit en levrette, glissant sa queue dans sa chatte, puis la baisa contre la table. Sa main s’empressa de la gifler sans ménagement, s’abattant sur son cul, et il n’hésitait pas à serrer entre ses doigts les cheveux de la femme, retournant la baiser furieusement, grognant longuement sur place, continuant à l’insulter en lui faisant vivre un véritable calvaire.

« Sa-SALOPE, sale pute, hmmm... !! Sale chienne, hmmm... !! »

Rien n’était épargné à la jeune femme...

Cassandre Harmington

Terranide

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Re : L'Entreprise [PV : Alice]

Réponse 48 mercredi 26 septembre 2018, 10:26:44

A quoi cela pourrait bien servir de se rebeller ? Cela, on pouvait dire que c’était une belle réussite de l’institut… En effet, aux yeux de Lucie, il n’y avait absolument aucun intérêt de se révolter, et là, dans cette situation, pour deux raisons. La première était évidente, l’institut materait bien vite la tentative de résister, et voilà. Mais la seconde raison était tout aussi intéressante, si ce n’est plus. Certains diraient que vu le nombre de personnes ici présentes, une révolte pourrait bien écraser les défenses de l’institut… Sauf que dans cette situation, pourquoi, ô grand pourquoi, M-072 irait se révolter ? Il avait envie de baiser. Il avait envie de se faire cette adolescente… Alors pourquoi chercherait-il à accepter une révolte. Donc, si elle tentait de résister, non seulement l’institut la punirait, mais son compagnon la punirait également. Donc, en gros, elle était seule. Elle n’avait aucun soutien.

« Oh... Ouais, haaaa... Putain, ouais... !! »

Mais assez de blabla théorique. Reprenons donc sur les faits. Alors, le fameux homme s’était bien mise dans la bouche de la fameuse Lucie. Alors, peu avant, nous élaborions le fait que Lucie souffrait d’un point : elle n’avait qu’une connaissance passive de la fellation, n’ayant jamais eu un rôle actif dans ce jeu sexuel. Et bien son manque d’expérience était finalement levé ! En effet, c’était maintenant l’homme qui dirigeait TOUT sur TOUT ! Et évidemment, ce qui devait arriver arriva… L’homme se lacha alors dans la bouche de la fameuse adolescente, qui se retrouva presque à étouffer, la bouche absolument remplie d’un sperme absolument plus puissant, plus efficace, plus pateux, et plus nombreux qu’un homme normal. Mais encore une fois, n’ayant jamais eu de relation avec un homme « normal », c’était ça, pour elle, la normalité.

« Haha, sale pute, sale chienne... Je vais encore te BAISER, SALOPE !! »

Mais ce n’était pas fini ?! Oh non ! Loin de là ! Alors, qu’elle était aplatie sur le sol, sans rien faire, à laisser couler du sperme qui était dans sa bouche, sur le sol, et à tenter d’avaler ce qui trainait encore dans sa bouche, et bien, elle fut rattraper… Et c’est repartie. Elle semblait même pas étonner de ce qui lui arrivait, comme si elle s’attendait à que cela arrive. Faut dire, l’homme l’avait bien prévenue. Après la fellation, elle allait se faire enculer bien sec… Donc, ouais… Elle fut jetée alors sur une table, se prenant même un peu de lait dans la tronche et les cheveux, et une tartine beurrée vint se coller sur une de ces épaules, rendant un spectacle un peu pitoyable… Mais ça, ce n’était que du détail, après tout, quelques salissures, cela arrivait. Elle était nue, et maintenant, prête à être prise d’un autre port USB, dirait-on si on est un gros geek…

« Sa-SALOPE, sale pute, hmmm... !! Sale chienne, hmmm... !! »

« Aaaah ! »

Et de nouveau, son anus était prit. Le petit repos qu’elle avait eu avait permis que son anus ne soit plus un hall de gare, comme après ces dernières expériences sexuelles, mais quand même ! Il restait encore assez serré. Bien moins qu’un anus de vierge, comme elle avait eu il y a encore quelques temps, mais quand même ! Et cela, cela changeait beaucoup de chose dans la situation. Encore il y a ses quelques temps pas si lointain, sans doute que cela aurait poussé un vrai hurlement de douleur de la part de Lucie… Mais là… Là, ça faisait mal, oui, cela se voyait au fait qu’elle avait quand même laissé échapper un « Aaah » ! Mais voilà, il faut bien le dire, c’était loin de faire si mal. Alors, attention, cela faisait toujours mal, hein, ça restait une pénétration à sec par un phallus d’une très belle taille… Mais quand même !

« Han… Aaah… Oui… C’est si... »

Et donc, si la douleur était moins importante… Et bien, elle sentait du plaisir. Cela était du à des transformations intérieurs, déjà expliqué un peu plus haut -ou sur une page précédente, je ne sais plus, et j’ai pas le temps de vérifier-, qui faisait que plus cela arrivait, plus elle ressentait de plaisir. Elle ne pouvait lutter contre ça. Elle mouillait, mais cela ne servait à rien, étant donné qu’elle devait être offerte vierge. Enfin, cela elle n’en savait rien. Elle avait encore trop de connaissance, trop de savoir, trop d’intelligence. Mais elle avait aussi maintenant du plaisir ! Beaucoup de plaisir, qui faisait qu’elle bougeait presque en rythme avec l’homme qui était entrain de rien lui épargner, et de la prendre avec toute la sauvagerie qu’il pouvait… Et la réaction de la fameuse adolescente blonde à cela ? Et bien là voilà !

« Bon sang… Bon sang… ! »

Elle gémissait, comme une grosse chienne, mais elle parlait un peu quand même. Enfin, elle allait surtout jouir ! En effet, elle ne put se retenir plus longtemps. Alors qu’elle se faisait pénétrer depuis qu’un moment assez court finalement, et bien, elle arriva à jouir. Ce qui était quand même, pas mal du tout ! Bravo jeune demoiselle. Enfin, si le concours était de jouir le plus rapidement possible. Si c’était réussi ! Mais si c’était de résister, et bien, non ! Bref, on pouvait voir toute la beauté de l’ensemble, avec son corps qui s’écrasait sur la table, les deux gros seins s’écrasant contre le bois des tables, et sa bouche, qui s’ouvrait, et dont la langue était pendue, et de cela, se rajoutait des gémissements… Avec le lait et la tartine beurrée qui était encore collées sur elle, et bien, le côté pathétique, là, il ne faisait aucun doute… Mais alors vraiment aucun doute.

Princesse Alice Korvander

Humain(e)

Re : L'Entreprise [PV : Alice]

Réponse 49 lundi 01 octobre 2018, 00:55:48

Tandis que M-072 retournait bourrer F-182, derrière son écran, Leona observait la scène avec fascination. Comme d’habitude, elle continuait à profiter de ses vacances ici pour suivre la formation de F-182. Plus le temps passait, et plus l’anniversaire de sa chère mère approchait. Or, il était pour Leona inconcevable de ne pas être prête à l’air, de ne pas offrir à sa mère une esclave parfaitement prête. Dans le bureau de la direction, elle avait observé le rapport synthétique de la direction sur les performances des sujets à l’aide de sa tablette, afin de sélectionner l’un des plus costauds.

Et M-072 était largement à la hauteur de ce qu’on pouvait attendre ! Quelle rage ! Quelle force ! Quelle hargne ! Leona salivait sur place, et se sentirait presque envieuse de la position de F-182. Quelle femme n’aurait pas aimé recevoir de tels coups de reins ? Avoir un tel amant à disposition ? Elle s’en pinçait doucement les lèvres, frémissant lentement sur place, papillonnant des yeux à plusieurs reprises. La jeune femme se déplaça ensuite, observant la scène, se délectant des halètements et des hurlements de la femme, de sa future esclave, tandis qu’elle se faisait éclater le cul.

De son côté, M-072 avait visiblement oublié de jouir. Son endurance surnaturelle était la conséquence de sa formation ici, à l’institut Ravenborn. On ne lui avait pas appris à tempérer ses pulsions, mais, au contraire, à les laisser s’exprimer pleinement, ce qu’il faisait en ce moment.

« Hmmm.. Sa-Salope, haaaa... !! »

Et le temps passait, et passait. M-072 continuait à la bourrer sauvagement, longuement, faisant volontiers durer le plaisir... Ou la souffrance, selon la manière dont on voyait les choses. En tout cas, F-182 continuait lentement à sombrer. Chaque couche de sexe supplémentaire faisait disparaître son esprit, sa psyché, sa personnalité. C’était une lente transformation, insidieuse, alternant entre de longues périodes d’effort et des séances de repos.

« Hmmm... Là, voilà... !! »

M-072 la gifla encore, pinçant douloureusement son cul, et poursuivit encore ses coups de reins, sans relâche, avec une intensité qui semblait toujours devoir se renouveler.

Mais, au bout d’un moment, même M-072 allait finir par craquer. En tout cas, il prouvait avec fierté qu’il était bel et bien l’étalon de Ravenborn !

Cassandre Harmington

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Re : L'Entreprise [PV : Alice]

Réponse 50 vendredi 05 octobre 2018, 18:40:11

Dire que Lucie était observée, c’était assez facile. Elle ne savait pas que Leona faisait partie des personnes qui là, était entrain d’observer la situation. Mais franchement, Leona n’était pas vraiment très importante dans la situation, pour Lucie, car elle ne savait pas qu’elle était là. Non, le plus gênant, presque, c’était tout les autres personnes présentes… Mais qu’elle se rassure (et s’inquiète à la fois, car enfaite, c’est plus inquiétant qu’autre chose…) et bien… Après un moment où elle était au centre des attentions… Et bien, elle passa de façon totalement secondaire aux yeux de tout le monde. Pour tout le monde, c’était normal. Enfaite, ils avaient été plus surpris par le fait que la F-182 avait été jeté violemment sur la table. Voilà pourquoi cela était considéré comme surprenant… Mais maintenant voilà… Quoiqu’il en soit, c’était concentré entre les deux :

« Hmmm.. Sa-Salope, haaaa... !! »

« Haaan... »


Elle voulait dire qu’elle n’était pas une salope… Mais elle n’arrivait pas ! Elle n’arrivait pas à parler, car c’était… Comment dire… Bah, elle se faisait prendre bien profondément dans le cul ! Encore une fois, il n’y avait pas à tortiller du cul. Il n’y avait plus qu’une seule et unique chose où elle était encore vierge : c’était son vagin. Au contraire, son anus, lui, il était bien élargi, commençant à bien prendre l’habitude de se prendre des bonnes grosses bites dans le cul. Et qu’elle continue de s’habituer, car cela ne risquait pas de s’arrêter. C’était ainsi, sa vie était maintenant autour du cul… Bientôt, pas d’inquiétude, il y aurait autre chose… Mais elle risquait de pas spécialement apprécier, étant donné qu’après l’anus, cela serait au tour des seins ! Mais n’allons pas trop vite en besogne, et concentrons-nous sur ce que nous avons là !

« Hmmm... Là, voilà... !! »

« Nooon... »

Il allait sans doute jouir… Mais cela ne venait pas ! Il continuer de bourrer avec une efficacité qui était d’enfer ! C’était impressionnant, elle avait du mal à tout encaisser dans ces fesses, mais elle était aussi impressionnée qu’elle tenait le coup. Encore une fois, comment pouvait-on tenir le coup ? Elle n’avait aucune idée qu’elle était bien plus qu’une simple humaine sur ce point, elle était plus poussée, plus performante. Elle n’aurait malheureusement jamais le loisir de le savoir, étant donné que bah… Elle était quand même entrain de se faire bien prendre dans le cul. Ouais, c’était du radical… Bref, en tout cas, la fameuse Lucie continuait de prendre malgré elle son pied, ce qui montrait que son « nooon », et bien au fond… Elle le pensait même pas vraiment, et elle voulait plutôt dire « oui »… D’ailleurs, si vous voulez la preuve… Bah la voilà mes cocos ! Ne me remerciez pas, c’est gratuit.

« Haan… Oui… Oui… !!!! OUI ! »

Et un autre ! Quoi donc ? D’abord, il fallait bien imaginer que le « Oui » correspondait à ce qu’on dit juste avant : elle ressentait énormément  de plaisir, enormément de bonheur… Bref, cela lui donnait du pied, et beaucoup de pieds, et… Et bien, inutile de le cacher plus longuement, elle avait atteint l’orgasme, un puissant orgasme qui l’avait forcément mis presque sur les rotules… Bon sang, qu’est-ce que c’était bon. On pouvait voir que cela était légion. Pensez-y ! En une séance de baise, elle avait déjà jouie deux fois, on pourrait presque croire qu’elle subissait là de l’hyper sensibilité, et franchement, cela n’étonnerait personne… Bref, elle était totalement sous l’emprise, elle prenait son pied, et se disait qu’elle devrait pas, qu’elle ne devrait pas ressentir du plaisir, mais uniquement de la haine… Sauf qu’impossible ! Impossible de tenir, c’était juste trop… Trop bon ! Beaucoup trop bon !

« Je… Je... »

Après ce nouvel orgasme, c’était extrêmement difficile pour elle de juste parler. Bah ouais, elle se sentait briser, elle continuait de se faire prendre… C’était difficile pour elle. Mais bon sang, il faut absolument qu’elle tienne ! Il faut ABSOLUMENT qu’elle tienne… Mais non, c’était juste trop pour elle. Totalement passive, sans pouvoir se retenir, elle faisait que avoir la langue pendante, alors qu’elle prenait son pied. Deux orgasme terrassait son esprit rationnel, celui qui lui disait de garder son calme et son sérieux… Il ne restait plus que la partie du plaisir qui était amplement stimulé… Elle tentait de parler, mais avait du mal, et continuait de se faire prendre, écrasée sur la table, sans aucune pitié, sans aucune retenue de la part de son amant, bref, c’était du plaisir à l’état brut, sans la moindre rétention ou le moindre tabou… Enfin, si, le vagin, qui restait encore pur et vierge en attendant…

Princesse Alice Korvander

Humain(e)

Re : L'Entreprise [PV : Alice]

Réponse 51 lundi 08 octobre 2018, 00:59:11

La séance de sexe se poursuivit donc avec intensité, avec une énergie incroyable. Les pensionnaires restaient silencieux, tandis que M-072 poursuivait son office, inlassablement. L’homme était redoutable dans son approche, n’épargnant rien à F-182. Le temps défilait ainsi, tandis que le jeune homme poursuivait son labeur, besognant énergiquement et intensivement sa proie. Celle-ci se mit à enchaîner les orgasmes, jusqu’à ce que M-072, au bout d’une bonne demi-heure, ne se relâche brusquement en elle. Un magnifique orgasme qui le laissa en sueur, F-182 gisant sur la table, désarticulée, l’esprit hagard. M-072 respira lentement, retrouvant son calme, son souffle... Puis laissa là la jeune femme. Il rangea son sexe dans son pantalon, et se déplaça, tandis que F-182 ne put que retrouver son calme.

Et Leona, de son côté, sourit encore.

« Continuons le traitement... »



Le temps passa.

Pour F-182, une certaine routine s’installait. Du sexe sauvage, intense, épuisant, des gangs-bangs redoutables. Petit à petit, le conditionnement mental se faisait. Son esprit était lentement corrompu, sans aucun autre stimuli intellectuel que le sexe. Elle n’était pas autorisée à lire, ou même à écouter de la musique, ou à regarder des séries télévisées. Ce genre de distraciton était sans intérêt pour des individus destinés à devenir des esclaves sexuels. De temps en temps, certains esclaves avaient lieu à des crises, ou, dans un instant de lucidité, cherchaient à se rebeller contre leurs geôliers. L’institut Ravenborn était toutefois bien sécurisé, et ces quelques mouvements minoritaires furent réprimées le plus rapidement possible.

Le quotidien de F-182 alternait entre fellations, sodomies, et sessions dans des cuves de produits chimiques. On la droguait, on expérimentait sur elle des solutions. Les docteurs veillant sur elle n’hésitaient pas à la sodomiser, et, à force, le corps de F-182 accepta sans problème les sodomies brutes, sans préparation préalable. À force, les rares moments de pause des pensionnaires devenaient des tortures, surtout que les scientifiques décidèrent de passer à une nouvelle étape pour F-182. La jeune femme suivait un traitement accéléré qui l’amena à se faire baiser pendant douze heures d’affilée dans une cage.

Ce fut suite à cette longue séance que Leona retourna la voir.

« Allez, en piste, ma chienne. »

Leona habituait de plus en plus F-182 à sa présence, la sodomisant à chaque fois, et urinant tout autant dans sa bouche. Elle avait insisté sur le fait de faire de F-182 une femme aimant l’urine, et il était devenu aussi coutumier d’uriner dans sa bouche. Là encore, elle avait suivi des traitements à base d’électrochocs, avec un collier autour du cou, recevant des décharges quand elle recrachait ou avalait l’urine. Des traitements dégradants, humiliants, qui tendaient de plus en plus à faire de F-182 une véritable chienne.

Tendrement, Leona lui remit une laisse autour de son collier, tout en l’habillant convenablement. Elle portait toujours sa culotte noire en latex, avec une fermeture Éclair à hauteur des fesses, mais avait aussi un corset serré, des collants, des gants, et, pour conclure, un plug tail, que Leona lui mit dans le fessier, avant de la déplacer. Elle portait sur ses yeux un bandeau. La privation sensorielle était un excellent moyen de corrompre davantage une personne, et c’était aussi là un élément de dressage.

Leona conduisit F-182 à travers les dédales de Ravenborn, jusqu’à la conduire dans un salon. Un feu crépitait dans la cheminée, et Leona déposa F-182 au milieu de la pièce, avant d’aller s’asseoir sur un canapé, et croisa les jambes.

« J’ai pu observer ton appétit, F-182, ton endurance. Tu deviens une incroyable salope, et je pense qu’il est temps de passer à un calibre supérieur avec toi. Puisque tu es une chienne... Il est temps que tu le deviennes à fond ! »

Comme l’époque où elle était encore une simple étudiante devait sembler éloignée ! Mais est-ce que F-182 s’en souvenait encore ? Alors que la jeune esclave devait s’interroger sur ce qui allait lui arriver, une porte s’ouvrit, et livra passage à des bruits de pas...

...Et à des aboiements de chiens.

Cassandre Harmington

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Re : L'Entreprise [PV : Alice]

Réponse 52 mercredi 10 octobre 2018, 23:44:38

Cela dura une demi-heure. Une demi-heure où Lucy n’était PLUS rien. Mais alors, plus rien du tout. Juste une sorte de poupée de sexe, qui était bourrée, encore et encore. Elle n’avait ni force ni courage d’agir, d’accompagner le mouvement. Elle était terrasée par plusieurs orgasmes, dont, on va être clair, ce n’était pas fini, vu qu’elle en eut d’autres après l’orgasme qui avait fait commencer cet état. Bref, vous voyez un peu le délire ! Elle était bien touchée, et on pouvait dire que le fameux étalon qu’était M-072 avait bien réussi son coup ! Franchement, chapeau bas l’artiste, vu que finalement, après cette demi-heure de baise, il lacha la sauce à l’intérieur de l’anus de la fameuse jeune demoiselle, et parti comme un prince, comme si tout ce qui venait de se passer, bah finalement, c’était de l’ordre de l’anecdotique ! Lucie, elle, avait sombrée dans la pure inconscience…

***

C’était devenue une sorte de routine. Un quotidien où elle était baisée, pénétrée dans la bouche, dans l’anus, dans la bouche, dans l’anus. Jamais de repos, et quand celui-ci arrivait, et bien, ce n’était PAS du repos. c’était juste une attente avant la prochaine série de baisage ! On lui inculquait aussi le goût de la pisse. Elle devait l’accepter, et continuait de se prendre, encore, encore, et encore. Elle n’aimait pas ça, elle détestait ça, mais elle était forcée d’aimer ça. Et aussi incroyable que cela puisse paraître, même elle ne le crut pas au départ… Bah, au final, elle arriva à « aimer » ça. Juste pour ne plus souffrir, et pour plaire à sa maîtresse. Leona supervisait tout, et on sentait que Lucie était une sorte de sujet préférée. Depuis quelques temps, la baise devenait quotidienne. Son anus était un hall de gare, où parfois, c’était des séries de plus d’une dizaine d’heure, ouais, plus d’uue dizaine d’heure, où elle était baisée, baisée, et encore baisée !

« Allez, en piste, ma chienne. »

Sa maîtresse, Leona, commença alors à l’habiller. Elle fut bien changée, et transformée en apparence presque à une chienne. Elle était forcée à marcher à quatre pattes, hors cette position la gênait. Mais pourquoi donc me demanderiez vous ? Et bien à cause de ces seins. C’étaient ses deux gros seins qui la gênait, Sein très important, mais chut, n’allons pas plus vite que la musique. On est encore dans l’éducation. La promenade dura un moment, dans un véritable dédale qui faisait perdre toute notion de « où est-ce que je me trouve bordel de dieu » classique depuis qu’elle était là. Combien de fois elle avait l’impression qu’elle se perdait, et qu’elle était incapable de se retrouver ? Beaucoup trop de fois. Mais heureusement, elle arriva dans une sorte de… Salon, ouais, avec un feu de cheminée crépitant, tranquillement… Bref, un ensemble qui en toute apparence, paraissait agréable et normal… Mais elle savait bien que ce n’était que supercherie.

« J’ai pu observer ton appétit, F-182, ton endurance. Tu deviens une incroyable salope, et je pense qu’il est temps de passer à un calibre supérieur avec toi. Puisque tu es une chienne... Il est temps que tu le deviennes à fond ! »

La jeune demoiselle décida de ne pas parler, de ne rien dire. Lucie était brisée sur le point de son identité. Non, elle n’était plus que F-182. Elle se souvenait encore… mmh… De son prénom ! Oui, elle se souvenait de Lucie. Elle ne se souvenait pas de Lucie qui, mais elle se souvenait de Lucie. Elle se souvenait qu’autrefois, on l’avait appelé ainsi. Elle se souvenait aussi de… Mmh… Elle tentait de parfois se remémorer, mais c’était difficle. Une rousse, nommée Jeanne. Ouais, elle se souvenait vaguement de cela. Qu’elle avait été dans une ville. Où elle avait travaillé. D’ailleurs c’était de là d’où venait ses connaissances, elle supposait. Mais sinon, sa vie personnel, ses souvenirs, sa mémoire… Tout cela avait bel et bien disparu. Perdu dans les profondeurs pleine de microbes de l’oublie. Bref, en un mot comme en cent… Adieu ! Adieu identité ! Pourquoi tout ce qui est identité avait disparus ? Car c’est très difficile à conserver, contrairement à ce qui va suivre : c’est à dire les connaissances. Parlons-en.

Alors, que restait-il de Lucie ? Et bien, encore un peu, elle avait toujours des connaissances. Parfois, elle pensait à ce qu’elle savait. Elle tentait de se remémorait des calculs. Des dates. Elle arrivait, parfois avec des difficultés, à calculer des multiplications, des divisions. À se remémorer des batailles françaises… Bref, elle n’avait pas encore été lobotomisé, c’était un peu son unique réservoir d’espoir, son unique moyen de se rappeler qu’elle n’était pas qu’une vulgaire pute, mais qu’elle était aussi une être humain, doté de connaissances. Mais là, vous avez remarqué que je ne parle pas de Lucie, mais je parle d’un humain. Ouais, je confirmais qu’elle était encore une humaine, qu’elle n’avait pas encore subie une lobotomie qui la rendrait aussi stupide qu’une vulgaire chienne… mais je ne parle pas de Lucie, encore une fois, je parle de F-182. F-182 était pour le moment un peu plus intelligente qu’une vulgaire chienne… Mais passons sur ce point… Et concentrons-nous sur ce qui arrivait !

Des chiens ! Le chien, le fidèle ami de l’homme ! Des créatures amicales, et franchement, tellement adorable ! Un chien, c’est quelques chose d’adorable, cela ne fait aucun doute ! Sauf que les chiens qui approchaient, là, ne semblaient pas spécialement adorable, vous savez, le chien qui se met sur le dos dès que vous approchez, et qui vous laisse le gratouiller, comme si de rien n’était ! Effectivement, vous n’êtes point dupe… Les chiens ici avaient un autre but, que je vais vous laisser devinez, mais attendez juste un petit peu, si vous le voulez bien. Les chiens s’approchèrent donc de la nouvelle venue, la chienne, qui était là, au milieu de la salle. Dans un premier temps, ils commençaient à la renifler, à se demander ce qu’elle était, ce qu’elle faisait là. Bref, ils s’interogeaint, enfin… Comme des chiens bien entendus ! Lucie devinait ce qui allait arriver, fallait pas être un génie pour cela… Mais cela n’arrivait pas, pas encore...

Finalement, comme si l’attente était insupportable, un chien commença à se mettre en position. Comemnt cela marchait ? Je sais qu’un chien a tendance à être un gros obsédé… Mais bon, en théorie, cela veut pas dire que forcément, le chien va sauter la moindre personne à quatre pattes -bien que cela arrivait, je ne le cache pas-… Mais voilà, dans le cas de Lucie, elle avait eu… Quoi donc ? Et bien des phéromones ! Et ouais, de quoi exciter fortement les chiens. Donc, le premier chien était en position et son phallus bien en erection s’approchait maintenant du fondement de l’adolescente… Les autres chiens eux, de plus en plus excité, commençaient à aboyer tout autour de la fameuse Lucie. La situation était assez inquiétante, on pouvait presque avoir peur que les chiens s’attaquent à la pauvre demoiselle… Heureusement, sans aucun doute, la fameuse Leona controlait tout… n’est-ce pas ?

Princesse Alice Korvander

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Re : L'Entreprise [PV : Alice]

Réponse 53 lundi 22 octobre 2018, 00:48:59

Toute l’éducation à Ravenborn tournait autour d’une idée fédératrice centrale : briser l’individu. Lui faire oublier son ancienne identité au profit d’une nouvelle. Offrir aux gens une renaissance. Et la tâche était bien plus difficile que ce qu’on pouvait croire, car l’esprit humain avait  une faculté de résilience exceptionnelle. Leona le savait très bien, et, si F-182 était en voie d’être rééduquée, elle savait aussi qu’il allait en falloir plus. La jeune femme s’assit donc sur son fauteuil. Leona portait son habituelle combinaison rouge en latex moulante, et avait un verre de vin à la main.

Autour de F-182, plusieurs chiens s’approchaient, tenus en laisse par un maître-chien, qui était un autre docteur de l’Institut. L’éducation canine était l’une des facettes de Ravenborn, et Leona avait demandé à ce qu’on utilise les plus gros chiens pour F-182. Un puissant doberman s’approcha ainsi de F-182, la reniflant, tandis que le maître-chien libérait l’accès. Le chien se posta ensuite au-dessus d’elle, sa longue langue bavant contre le cou de F-182, son corps massif s’appuyant sur le sien.

Et, pour ne rien arranger à la situation, Leona tendit sa main vers un antique instrument situé à côté d’elle : un gramophone ! Elle le mit en marche, et, jambes croisées, observa ensuite le spectacle. Comme pour contrebalancer avec la situation actuelle, de la musique classique se mit à jaillir. La jeune femme était férue de classique, ce qui était bien normal émanant d’une Déesse. Souriant doucement, elle laissa ainsi les premières notes du « Canon en D majeur » de Pachelbel remplir l’air. Une pièce de musique immortelle, qui donnait envie de sourire, de profiter de la vie, du printemps... Et qui, en la situation actuelle, se traduisit par une épaisse trique canine qui s’enfonça dans le cul de F-182.

« Offre-moi les paroles de ma chanson, F-182... »

Ce que fit F-182... En hurlant. En hurlant comme une folle, hurlant sans aucun doute à s’en casser la voix. Son bandeau dissimulait la vue, et Leona se mit à chantonner, fermant les yeux avec un léger sourire sur les lèvres. Un sourire innocent, presque enfantin, tandis que le doberman, chien-Alpha de la meute, besognait férocement la jeune femme. Il ne fallait pas s’attendre au moindre signe de compassion du chien, qui ne s’arrêterait qu’en jouissant. Il la prenait donc énergiquement, intensivement, abattant son lourd corps sur son dos, arrachant à la femme des cris supplémentaires. Fort heureusement, le plug anal mis dans le fessier de F-182 avait permis de suffisamment dilater son cul pour rendre cette sodomie violente à peine supportable.

Leona se régalait donc, et, au bout d’un moment, le bandeau de F-182 lui fut retiré. Elle put ainsi voir, si elle était encore capable de voir, qu’elle se trouvait devant Leona, et que celle-ci était accompagnée par plusieurs esclaves. L’une était entre ses jambes, léchant le sexe de Leona, tandis qu’une autre, dans son dos, lui massait les épaules. Une troisième s’occupait de la bouteille d’alcool, venant régulièrement remplir le verre de la femme, et une quatrième, enfin, s’occupait du gramophone.

Autant dire que Leona était plutôt bien entourée, et assistait à un magnifique spectacle !

Cassandre Harmington

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Re : L'Entreprise [PV : Alice]

Réponse 54 mercredi 24 octobre 2018, 10:33:22

Très vite, le plus gros chien, on pourrait dire sans problème « l’alpha » de la meute, sans compter le Maître Chien qui est bien entendu l’alpha du groupe, car bon, si l’alpha de la meute restait le chien, et bien, un chien pouvant être violent, ça pourrait mal finir. Enfin, là, cela allait mal finir… Mais cela n’allait pas mal finir pour les bonnes personnes. Cela allait mal finir pour notre chère Lucie, mais bon, depuis qu’elle était ici, tout finissait mal pour elle ! Et ouais, c’était son destin ! Elle allait être un beau cadeau. Le mieux, c’est qu’elle ne savait même pas vraiment pourquoi elle subissait tout ça. Elle ne savait rien vraiment de la Lactos, elle ne savait rien de ces seins, bref, pour le moment, elle ne se rendait compte que du côté sexuelle du tout. Faut dire, c’était que sur ça qu’elle était « éduquée » pour le moment...

Et sur cette scène qui approchait, de la musique. De la musique classique. Alors on va pas le cacher, en musique classique, la fameuse Lucie à l’origine n’y connaissait pas grand-chose. Elle avait entendu le requiem de Verdi dans des pubs, et bien entendu, l’Ode à la Joie, étant donné que c’était quand même l’hymne européen. Et c’est… Tout. Ouais, ça fait pas beaucoup ! Donc, même en situation normale, elle ne connaissait pas le « Canon en D Majeur », ou plutôt en « Ré majeur » pour le cas de la fameuse jeune demoiselle vu qu’elle était française. Mais dans la situation, là, et bien, cette musique n’avait absolument aucun impact sur elle… Ce qui avait de l’impact, c’était plutôt le fait qu’un chien, un énorme chien était maintenant sur elle… Et que… Roh, c’est bon, vous avez deviné, j’en suis sur !

« Offre-moi les paroles de ma chanson, F-182... »

« AAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAH »


Le cri qu’elle poussa fut retentissant. Faut dire, un chien n’est pas fait pour enculer une femme. Je crois que si Dieu existait, là, il partirait dégoûté de sa propre création. Le chien faisait ce qu’il devait faire, et heureusement qu’elle avait eu son beau dildo qui l’avait habituée, car sinon, cela ne serait pas tenable. Car oui, là, c’était à peine tenable. Elle n’aurait jamais tenu en vrai. Ses cris rendaient la situation assez amusante, pour quelqu’un qui n’aurait aucun coeur bien sur, car ils n’allaient pas vraiment avec la musique classique. On était dans la pur rupture de ton, comme on dit dans les analyses cinématographiques, un moment où les différents flux ne se coordonnent pas. Là, ça marche tout particulièrement, car en gros, les deux « flux », celui des « sons » avec les cris, et la musique était en totale contradiction…

Pourquoi ?  Et bien c’est une question d’analyse et… Ah, non, le pourquoi vient de la tête de notre chère Lucie… C’était ça, en effet, qui tournait dans sa tête, le pourquoi. Et elle n’y voyait que de la cruauté gratuite. Tout cela allait juste la détruire, physiquement et mentalement, comment, même une déesse, pourrait apprécier un tel cadeau, si ce n’était qu’un être détruit ? Même ça elle ne comprenait pas. Elle ne comprenait pas la pisse, elle ne comprenait pas les chiens… Elle ne comprenait pas ce qui se passait. Mais devait-elle comprendre ? Etait-elle-même capable de comprendre ? Tant de questions qui se posaient dans sa tête, mais qui n’avait pas de réponse… Elle était intelligente pourtant ! Elle était sans doute capable de comprendre… Mais non, non, là, elle était à la mercie de ses « propriétaires » littéralement… Qui d’ailleurs, lui rendirent alors la vue, tranquillement, et ainsi… !

Le fait de retrouver la vue eu un effet totalement voulu, et volontaire : le fait que son interlocutrice passait vraiment pour une déesse, une vraie déesse, cela ne faisait de doutes. Ce qui fit que toutes ses interrogations précédentes… Et bien elles perdaient en poids. Elles perdaient en importance… C’était une déesse qui avait totalement contrôler et qui maîtrisait tout le monde. Elle regardait la situation, et presque pendant un moment, elle en oublia la douleur qui lui arrivait. Pendant un moment, elle se concentra sur, cette scène. Cette scène, où quatre femmes étaient totalement soumise, obéissante. Si seulement elle était à leur place. Cela serait mieux, mieux que sa vie actuelle, bien meilleure. Enfaite, ça serait la vie rêvée. Plus de souffrance, plus de chose aussi cruel qu’elle subirait. Non, une béatitude…

Mais comment y penser quand ton cul se fait prendre ? C’est surtout à ça que tu penses… Car ouais, ça faisait toujours aussi mal. Ai-je dis que cela faisait mal ? Oui, cela faisait bien mal. Elle continuait de pousser des hurlements de douleurs, tandis que le chien lui faisait ce qu’il devait faire ; Pourvu que ça s’arrête ! Que ça s’arrête ! Elle ferait tout ce qu’on lui demande, tout, bel et bien tout, mais tant que cela s’arrête une bonne fois pour toute, elle n’allait pas pouvoir tenir aussi longuement, c’était… C’était pas humain ! C’était même pas digne d’un chien ! Elle espérait de tout coeur avoir un moment de clémence, que sa tortionnaire se dise que c’était trop, et qu’elle avait souffert… Non, qu’on soit clair, ce n’était pas qu’elle voulait ça… C’était qu’elle en avait besoin à ce stade… Il fallait qu’on l’aide ! Il fallait qu’on la sauve !

Princesse Alice Korvander

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Re : L'Entreprise [PV : Alice]

Réponse 55 lundi 29 octobre 2018, 00:59:48

Il n’y aurait aucun sauveur, aucun super-héros, aucun individu bien attentionné qui irait à Ravenborn pour secourir F-182. Lucie Martin était morte pour le monde, et personne ne viendrait la rechercher. Ravenborn restait un endroit discret, isolé, un complexe où personne n’avait envie d’aller. Leona était ici la seule à pouvoir stopper le calvaire de F-182... Mais elle ne comptait rien y faire, et, au milieu des esclaves s’occupant langoureusement d’elle, elle observait la scène avec le sourire. Elle mouillait légèrement, mais Leona avait une telle expérience sexuelle qu’elle ne se relâcherait pas si facilement. Au contraire, elle profitait pleinement du moment, et sourit quand F-182 croisa son regard... Avant de hurler de nouveau. Le chien était impressionnant, un terrible doberman. Il mettait le corps de sa proie à rude épreuve, et, en souriant encore, Leona la laissa souffrir.

Les minutes passèrent ainsi. Plus le temps passait, et plus la douleur était redoutable, mais, à force, F-182 allait finir, ce qui serait sûrement encore pire... Par s’y adapter. Après tout, depuis qu’elle était arrivée ici, à l’Institut Ravenborn, elle subissait continuellement des assauts sexuels. Elle était régulièrement assaillie par de grosses queues juteuses, par des membres impatients et turgescents, par des vits tendus et solides. Celui du doberman était juste de plus gros calibre, et imposait à F-182 un rythme soutenu.

« Là, là, ma belle, quelle énergie ! »

Leona gloussa doucement, tout en continuant à siffloter, reprenant ainsi entre ses lèvres les airs de Pachelbel. Grâce à sa mère, la jeune femme avait appris à aimer la musique classique, et elle était une très grande spécialiste en la matière. C’est ainsi que, après Pachelbel, l’esclave en charge de la musique opta pour un autre morceau, et posa sur le tourne-disques un grand classique de Chopin : « Spring Waltz ». Une musique douce, agréable, quoique assez mélancolique, qui tranchait totalement avec le rythme soutenu de cette sodomie.

Le pied de Leona caressa soudain le visage de F-182, la frappant à moitié, le bout de son talon s’approchant de ses lèvres.

« Là, montre-moi ta dévotion, petite chienne... Lèche-moi comme une bonne chienne obéissante ! »

Oui, le pire était que, non content de se faire sodomiser brutalement par ce chien, F-182 devait aussi encaisser les humiliations et les provocations de sa tortionnaire... Mais, malheureusement pour elle, Leona ne fonctionnait pas autrement !

Cassandre Harmington

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Re : L'Entreprise [PV : Alice]

Réponse 56 lundi 05 novembre 2018, 16:30:05

l n’y avait aucun plaisir dans ce qui arrivait. Là, même les transformations qu’avaient subis notre chère Lucie ne fonctionnait pas, et elle ne ressentait que la douleur. Tout cela avait-il été trop vite ? Elle avait mal, mal, très mal, et elle voulait que cela stop… Enfaite, on va même pas le cacher, ce n’était que par la pitié du maître chien, qu’elle n’était pas choppé au cou par les crocs de l’Alpha qui continuait sa besogne, en hurlant parfois, de plaisir visiblement. Les autres chiens derrières tentaient même de s’installer, de faire en sorte de se mettre. Des griffures apparaissaient sur son beau corps de neige, bref, elle souffrait énormément. Faut dire, c’était des chiens, pas des humains. Contrairement aux humains, les chiens eux n’étaient pas fait pour se faire des jeunes demoiselles, c’était un fait… Mais pourtant… Et bien, cela n’empêchait pas une de prendre son pieds, en effet !

« Là, là, ma belle, quelle énergie ! »

Quelle énergie ? Ouais, on pouvait dire ça . En effet, l’Alpha avait de l’énergie à revendre, et malheureusement, Lucie aussi en avait pas mal. Elle était efficace. Très efficace car elle tenait. Et ouais, elle avait mal, oui, ça vous l’avez compris. Elle avait mal MAIS elle tenait le coup, elle ne s’était pas évanouie, elle n’avait pas le tissu anal qui s’était déchiré, foutant aussi bien de l’excrément que du sang partout (ce qui serait complètement dégueulasse), bref, en effet, Leona pouvait être fière d’elle ! Franchement… Oh regardez ! Même quand le chien lacha la crème, et bien, elle tenait ! Elle ne s’était pas évanouie. Et donc, après coup, elle était donc par terre, l’anus bien élargie.. Mais...

Ce n’était pas fini ! Car ouais, le maître chien la releva, bien devant sa déesse, et bam ! Un autre chien commença à l’enculer. Et ouais, c’est normal. Vous savez comment ça marche, quand l’Alpha vient de manger, baiser, ou n’importe quoi, et bien, tout les autres peuvent s’y lancer, et ouais ! Donc, elle recommença à… Ah non ! Et ouais, elle n’hurlait plus… Faut croire que la première fois avec un chien rend moins violent la suite, ou du moins, fait que la fameuse Lucie était un peu plus habituée, elle avait moins de mal… Mais ça restait douleureux, même si par rapport avec la première fois, et bien, elle avait un peu, un tout petit peu, de plaisir dans ce qui se passait. Ce n’était qu’une point, submergé par la douleur et la souffrance, mais voilà, elle existait, on ne peut pas le masquer !

« Là, montre-moi ta dévotion, petite chienne... Lèche-moi comme une bonne chienne obéissante ! »

Dans un premier temps, ce fut impossible… En effet, elle n’arrivait pas à cesser de gémir de douleur, ou à se concentrer assez pour réussir à bien interpréter les ordres qu’elle entendait. Faut dire, maintenant qu’elle avait un chien dans le cul, ça rends les oreilles plus difficiles. Surtout qu’il y avait le soucis que l’alpha était parti ! Donc, tout les chiens voulaient un peu leur place, et cela rendait la situation un peu plus anarchique, bien que le maître chien tentait de rationnaliser un peu tout ça, avec difficulté. Et ouais, les chiens avaient beau être dressés, ils avaient du mal. Beaucoup de mal. Mais au moins, ils prenaient leur pieds… On peut dire que c’est… Chouette ? Ouais, même moi j’ai du mal à le dire...

Mais finalement, après un moment… Elle commença à le faire ! Oui ! Elle arrivait ! Elle léchait, avec docilité, elle était brisée. Comme dit précédemment, son obéissance était parfaite, maintenant, elle obéissait aux ordres. Elle avait la crainte, elle voulait vraiment pas avoir peur, souffrir, et elle voulait que cela cesse. Donc, par pitié, elle ferait ce qu’elle voulait. Une petite larme coula même de son œil… Elle était finie. Même son intelligence pouvait rien faire. Elle devait juste obéir, et encore obéir… Mais finalement, alors que tout semblait minutieusement construit… Et bien, il y eut un imprévus, un grain de sable dans cette machine… Mais je vous arrête de suite, ici on est dans la réalité… Le grain de sable est gênant, mais la machine ne s’arrête pas. Une lueur d’espoir ? Ce n’est que pour plus mal finir mon enfant…

« Madame Leona… Je… Nous sommes sincèrement désolée… Mais euh… Enfin… L’impossible…
-Ferme la, triple andouille. On a trouvé ça. »


JEANNE ! Bon, Lucie ne voyait pas, mais une jeune femme, du même âge qu’elle, et qu’elle connaissait bien était là. Avec deux autres personnes. Le spectacle était assez cocasse. La scientifique, Barbara Michelle, elle était toujours aussi belle avec sa magnifique peau d’ébène, et avait un côté pro. À ses côté, un scientifique, Henri de la Boissière, était presque en pleur, se rendant compte de ce qu’il avait fait. À cause de sa négligence, on avait frolé la CATASTROPHE. On va pas le cacher, cela faisait longtemps que Ravenborn n’avait pas été autant en danger. Et enfin, il restait Jeanne. Elle était attachée, bâillonée, on voyait même de la bave qui coulait de son bâillon, et surtout, entièrement nue. Ses seins avaient grossis, et elle était visiblement dans les vapes… Barbara déclara, alors, d’un ton calme et posée :

« Nous l’avons droguée, et Henri ici présent doit être punie, Oh déesse. »

La scientifique s’inclina devant sa « Déesse ». Cela montrait bien que même les employés n’échappaient à ce que Leona faisait : Elle était la déesse, l’unique personne derrière sa mère. Bref, le De la Boissière avait encore plus peur, et Jeanne, l’amie si fidèle de Lucie était là. Autre orpheline, Lucie avait sauté dans la gueule du Loup, ne croyant pas en la mort de son amie. Là, l’ironie était totale. Contrairement à ce qu’on pourrait croire, il y eut bien un sauveuse, quelqu’un qui avait pensé à Lucie et qui avait tenté de la sauver. Malheureusement, je dis bien « TENTER », étant donné que finalement, tout ces efforts avaient été vains. Elle était captive, perdue, et maintenant, aux griffes de Leona, tout comme Lucie. Comment allait réagir la déesse ? C’était une très bonne question, et sans doute que la réponse allait vite se faire sentir… Henri avait peur, Jeanne était droguée, et même Barbara avait peur…

Princesse Alice Korvander

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Re : L'Entreprise [PV : Alice]

Réponse 57 mardi 13 novembre 2018, 01:05:33

Cette séance se déroulait à la perfection ! F-182 était peu à peu en train de perdre le contrôle, de s’abandonner totalement à ces vagues irrépressibles de plaisir et de douleur. À ce stade, les deux n’en faisaient plus qu’un, un mélange intense et très douloureux. F-182 perdait le contrôle de ce qu’elle était, de ce qu’elle voulait, de ce qu’elle souhaitait, de ce qu’elle pensait... Et Leona se pinça les lèvres de plaisir, mouillant presque sur place quand F-182 alla lécher ses bottes. Elle s’inclinait, tandis que le chien continuait à la besogner, à la sodomiser violemment. Oui, Leona avait franchi un cap dans le dressage de F-182. Le chien, de son côté, approchait de son point de rupture... Lorsque la porte s’ouvrit brusquement.

Surprise, Leona vit le Docteur Michelle, le Docteur de la Boissière, et une jeune femme...

« Qu’est-ce que c’est que ce bordel ?! »

Au même moment, le puissant chien se relâcha dans le cul de F-182, et put enfin se retirer d’elle. F-182 s’écroula mollement sur le sol, inerte, sans doute proche du coma, tandis que l’une des servantes de Leona coupa la musique. Surprise, Leona s’écarta même de F-182, tandis que le Docteur Michelle lui expliquait qu’une intruse avait réussi à entrer... Avec la complicité du Docteur Boissière. Surprise, Leona apprit ensuite que cette intruse était une amie de F-182.

« Oh... Comme c’est fâcheux. »

Contrariée, Leona croisa les bras, et fixa le Docteur de la Boissière. Des gardes les accompagnaient.

« Docteur de la Boissière, c’est la dernière fois que vous trahissez notre Panthéon. »

Surpris, le docteur écarquilla les yeux, et Leona sourit doucement, cruellement, en attrapant son verre de vin.

« Quoi ? Vous croyez que nous n’étions pas au courant de vos activités séditieuses ? De vos remords ? Vous avez été jusqu’à faire l’irréparable, Docteur de la Boissière, vous avez trahi le Panthéon !
 -  Vous n’êtes qu’une folle, je vous ai dénoncé à la police, et je... »

Un coup le frappa à l’arrière de la nuque, et il s’écrasa au sol.

« Vous n’avez rien fait de tout ça, Docteur, parce que vous êtes trop lâche pour ça ! Trop lâche pour assumer vos penchants, et pour prétendre agir noblement. Par votre faute, vous avez condamné cette jeune femme
 -  Que... Que voulez-vous dire ?
 -  SILENCE ! »

Agacée, Leona frappa le docteur, contrariée par ses provocations, et par le fait qu’il l’interrompe en pleine séance de formation. Agenouillée respectueusement devant sa Déesse, le Docteur Michelle attendait la suite.

« Jeanne a une famille...
 -  Organisez sa mort. Suivez le protocole habituel. Et... »

Leona sourit alors malicieusement, une idée très perverse venant d’envahir son esprit.

« Guidez F-182 et cette salope dans l’une des cages. Et dotez F-182 d’une cagoule épaisse en latex, et d’un vibromasseur... »

Leona était arrogante, mais terriblement perverse, et savait rebondir au mieux. Elle allait s’occuper de Jeanne pour dresser F-182...

...En amenant F-182 à la violer !

Cassandre Harmington

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Re : L'Entreprise [PV : Alice]

Réponse 58 jeudi 15 novembre 2018, 14:10:50

La Lactos Compagnie avait des détracteurs dans son programme, ainsi, même en son sein. Ce qui pouvait être très risqué pour la dite entreprise. Après tout, avoir des femmes qui allaient servir à la fois d’esclaves sexuelles et de réserves de lait, et bien, bien entendu, cela n’était pas très légal, je dirais presque « quelques soit le pays », mais je pense qu’il y a des pays où les droits des femmes est suffisamment faible pour que cela ne soit pas le cas. Mais passons sur ce point. Bref, quoiqu’il en soit, il y avait toujours des sons dissonnants, mais avec le temps et l’expérience, sans aucun doute que la Compagnie avait appris à les repérer plutôt aisément… Enfin, on suppose, car en premier lieu, un semblait avoir échappé à leur filet… Mais était-ce vraiment le cas ? Pas tout à fait, comme vous avez pu l’air précédemment, mais expliquons un peu.

Revenons en arrière. Quand notre chère Lucie fut déclarée morte, Jeanne fut extrêmement triste, et dans un premier temps, refusa d’y croire. Elle fit des recherches alors, et ne trouva rien. Ce fut un extrême hasard qui fit qu’elle rencontra le professeur de la Boissière, qui était là pour se renseigner sur d’autres jeunes filles de Dijon. Ce dernier, alcoolique, alla se bourrer la gueule, et se retrouva à errer ivre dans les rues de Dijon. C’est là qu’elle le repéra, et appris donc sur Lucie. Une fois sevré, le docteur se dit que Jeanne pourrait peut-être un moyen de faire éclater l’histoire, et passer pour le héros (et au passage, gagner plein de fric.) Malheureusement pour lui, Jeanne voulait Lucie avant de  se retrouver propulsée dans les révélations… Donc, il devait avoir une alliée à Ravenborn… Et ce fut en la personne de la doctoresse Michelle.

Sauf que pour le pauvre docteur, et bien, la doctoresse Michelle n’était PAS une alliée. Mais une traitresse… Oh plutôt, une agente double, vu qu’elle était fidèle, elle, à sa maîtresse, Leona. Oh, elle n’avait pas été brisée elle. Ejectée de l’université de Lille pour un manque d’éthique, elle avait sombré dans le désespoir… Enfaite, la Doctoresse Michelle était personne d’autres que celle qui avait trouvé un sérum pour accroitre la production de lait par 10 ! Et Ouais ! Et encore plus améliorer le goût… Bref, tout bénef. Cependant, après avoir fait des tentatives sur des cobayes parfois forcé par dettes et tout ça… Elle fut éjectée de Lille, et tout fut étouffé le plus efficacement par les autorités… Ce fut Leona qui récupéra la doctoresse, et qui la sauva du désespoirs… Donc, sa fiabilité était infinie. Elle ne trahirait jamais celle qu’elle appelait régulièrement sa déesse, lui offrant tout service qu’elle voulait.

« Jeanne a une famille...
 -  Organisez sa mort. Suivez le protocole habituel. Et... »

Mais Jeanne n’était pas orpheline, avait-on dit précédemment ? Et bien, oui tout à fait. Mais être orphelin ne veut pas dire ne plus avoir de famille. En effet, Jeanne avait une famille, mais, et voilà le hic, ces parents étaient morts. Donc, elles vivaient chez son oncle et sa tante ! Comme Harry Potter ! Sauf qu’à la différence de Harry Potter, bah, son oncle et sa tante étaient des personnes gentilles et aimantes, qui sans aucun doute allaient avoir le coeur brisé en apprenant que leur fille était morte, et qu’ils auraient sans doute un autre cadavre, ou des centres seulement pour nièce, et pour l’urne funéraire qu’ils auraient pris pour elle. Et ainsi, ne sauraient jamais la vérité sur la pauvre Jeanne… Qui allait rejoindre ainsi sa copine ! Et même différemments… Etant donné qu’elles allaient faire un jeu ensemble. Un jeu ? Oh, vous devinez sans aucun doute. Je ne vais pas faire l’affront de l’expliquer.

« Guidez F-182 et cette salope dans l’une des cages. Et dotez F-182 d’une cagoule épaisse en latex, et d’un vibromasseur... »

« Cela sera fait, Oh Déesse. »


Le scientifique de la Boissière était complètement ignoré mais piégé, il ne pouvait pas s’enfuir. Donc, globalement, la doctoresse Michelle, elle, était prête à faire ce qu’elle devait faire… Très vite, Jeanne fut jetée dans une cage, assez petite, et ainsi serait bientôt piégée. La doctoresse se demandait bien ce qu’on ferait après de cette fille… Elle n’était pas parfaite comme la plupart des femmes récupérées par le fameux système… Mais on pourrait sans doute faire quelques choses d’elle… Après tout, les scientifiques disaient souvent que « Rien ne se perd, rien ne se créé, tout se transforme ! » Donc, ouais, tout se transforme, donc, il y avait tout intérêt après à la transformer… Et l’utiliser. Cela serait trop bête de perdre du temps et de l’énergie, si cela ne servait à rien, c’est moi qui vous le dis !

Et ainsi, F-182 était maintenant dans la cage. Installé sur son intimité (mais pas enfoncé, je vous rappelle qu’elle devait garder sa virginité, c’était très important!), elle avait le vibromasseur. Avec l’épaisse cagoule en latex, elle ne pouvait rien voir, et ne pouvait pas reconnaître sa meilleure amie. Mais de toue façon, il fallait bien imaginer qu’elle n’avait plus assez de mémoire de son ancienne vie pour la reconnaître, on allait pas le cacher. Mais ce qui serait amusant, c’est que quand « cette salope » aura retrouvée les esprits, et bien… Elle, elle allait pouvoir reconnaître sa meilleure amie… Et voir ce qui s’était passée ! Désolée Jeanne, mais tu ne pourras pas y échapper. Et elle allait pouvoir même découvrir que si ça se trouve… Et bien, elle finirait ainsi à son tour. Finalement, peut-être qu’il y avait du bon dans cette situation, vous ne trouvez pas ? Oh du bon pour la Lactos, bien entendue !

Princesse Alice Korvander

Humain(e)

Re : L'Entreprise [PV : Alice]

Réponse 59 lundi 19 novembre 2018, 00:44:52

Leona savait comment rebondir à n’importe quelle situation imprévisible, et laissa ses esclaves mettre sur la tête de F-182 une cagoule en latex très particulière, car extrêmement étanche. Une cagoule intégrale, recouvrant le nez, la bouche, les yeux, mais aussi les oreilles, privant ainsi le sujet de tous ses sens, si ce n’est le toucher. Une véritable torture à long terme, que les scientifiques de Ravenborn utilisaient sur les sujets les plus récalcitrants. F-182 y eut donc droit, peu importe ses contestations. Une laisse autour du cou, elle fut ensuite guidée dans la cage, où le Docteuir Michelle enfila ensuite sur F-182 une culotte noire à latex, avec un gros gode, et un pluganal qu’elle posa dans ses fesses, avant de l’enclencher.

Impossible pour F-182 de parler, ou même d’entendre. Le Docteur Michelle sourit donc, et la poussa en avant. Bien habillée, F-182 était prête à servir, tandis que son amie, Jeanne, était toute nue, attachée par des sangles sur une croix en bois. Le Docteur Michelle s’écarta ensuite, souriant encore. Jeanne allait commencer à se réveiller, et sûrement comprendre que la femme devant elle, qui commençait à la palper, n’était autre que sa meilleure amie, celle-là même qu’elle était venue chercher... Une femme qui se faisait réécrire par le sexe, qui devenait une véritable esclave nymphomane, et ne réagissait plus que par le sexe. Et là, F-182 n’avait plus aucune autre sensation que le toucher.

*Simple, mais efficace...*

Le Docteur Michelle retourna ensuite la voir dans la salle de contrôle. Leona s’était déjà assise sur un énorme fauteuil en cuir, très confortable, et plusieurs esclaves s’occupaient d’elle. On léchait ses doigts gantés, on embrassait ses pieds, veillant à tous ses besoins. Le Docteur Michelle s’agenouilla respectueusement devant elle, donnant à cette scène une sorte d’ambiance sectaire qui plaisait beaucoup à Leona. Sur des écrans plats devant elle, elle pouvait voir F-182 se rapprocher de Jeanne, faisant fi de ses protestations.

« Que faisons-nous de La Boissière, Déesse ?
 -  Il a une fille, non ? »

Le Docteur Michelle acquiesça.

« Préparez une équipe. Faites-lui subir le programme pour en faire un prédateur sexuel.
 -  Un cobaye ?
 -  Oui... Confiez-le aux bons soins de notre laboratoire spéciale. »

Peu intéressée par cela, Leona regardait surtout l’écran, attendant que F-182 vienne sauvagement baiser sa partenaire.


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