l n’y avait aucun plaisir dans ce qui arrivait. Là, même les transformations qu’avaient subis notre chère Lucie ne fonctionnait pas, et elle ne ressentait que la douleur. Tout cela avait-il été trop vite ? Elle avait mal, mal, très mal, et elle voulait que cela stop… Enfaite, on va même pas le cacher, ce n’était que par la pitié du maître chien, qu’elle n’était pas choppé au cou par les crocs de l’Alpha qui continuait sa besogne, en hurlant parfois, de plaisir visiblement. Les autres chiens derrières tentaient même de s’installer, de faire en sorte de se mettre. Des griffures apparaissaient sur son beau corps de neige, bref, elle souffrait énormément. Faut dire, c’était des chiens, pas des humains. Contrairement aux humains, les chiens eux n’étaient pas fait pour se faire des jeunes demoiselles, c’était un fait… Mais pourtant… Et bien, cela n’empêchait pas une de prendre son pieds, en effet !
« Là, là, ma belle, quelle énergie ! »
Quelle énergie ? Ouais, on pouvait dire ça . En effet, l’Alpha avait de l’énergie à revendre, et malheureusement, Lucie aussi en avait pas mal. Elle était efficace. Très efficace car elle tenait. Et ouais, elle avait mal, oui, ça vous l’avez compris. Elle avait mal MAIS elle tenait le coup, elle ne s’était pas évanouie, elle n’avait pas le tissu anal qui s’était déchiré, foutant aussi bien de l’excrément que du sang partout (ce qui serait complètement dégueulasse), bref, en effet, Leona pouvait être fière d’elle ! Franchement… Oh regardez ! Même quand le chien lacha la crème, et bien, elle tenait ! Elle ne s’était pas évanouie. Et donc, après coup, elle était donc par terre, l’anus bien élargie.. Mais...
Ce n’était pas fini ! Car ouais, le maître chien la releva, bien devant sa déesse, et bam ! Un autre chien commença à l’enculer. Et ouais, c’est normal. Vous savez comment ça marche, quand l’Alpha vient de manger, baiser, ou n’importe quoi, et bien, tout les autres peuvent s’y lancer, et ouais ! Donc, elle recommença à… Ah non ! Et ouais, elle n’hurlait plus… Faut croire que la première fois avec un chien rend moins violent la suite, ou du moins, fait que la fameuse Lucie était un peu plus habituée, elle avait moins de mal… Mais ça restait douleureux, même si par rapport avec la première fois, et bien, elle avait un peu, un tout petit peu, de plaisir dans ce qui se passait. Ce n’était qu’une point, submergé par la douleur et la souffrance, mais voilà, elle existait, on ne peut pas le masquer !
« Là, montre-moi ta dévotion, petite chienne... Lèche-moi comme une bonne chienne obéissante ! »
Dans un premier temps, ce fut impossible… En effet, elle n’arrivait pas à cesser de gémir de douleur, ou à se concentrer assez pour réussir à bien interpréter les ordres qu’elle entendait. Faut dire, maintenant qu’elle avait un chien dans le cul, ça rends les oreilles plus difficiles. Surtout qu’il y avait le soucis que l’alpha était parti ! Donc, tout les chiens voulaient un peu leur place, et cela rendait la situation un peu plus anarchique, bien que le maître chien tentait de rationnaliser un peu tout ça, avec difficulté. Et ouais, les chiens avaient beau être dressés, ils avaient du mal. Beaucoup de mal. Mais au moins, ils prenaient leur pieds… On peut dire que c’est… Chouette ? Ouais, même moi j’ai du mal à le dire...
Mais finalement, après un moment… Elle commença à le faire ! Oui ! Elle arrivait ! Elle léchait, avec docilité, elle était brisée. Comme dit précédemment, son obéissance était parfaite, maintenant, elle obéissait aux ordres. Elle avait la crainte, elle voulait vraiment pas avoir peur, souffrir, et elle voulait que cela cesse. Donc, par pitié, elle ferait ce qu’elle voulait. Une petite larme coula même de son œil… Elle était finie. Même son intelligence pouvait rien faire. Elle devait juste obéir, et encore obéir… Mais finalement, alors que tout semblait minutieusement construit… Et bien, il y eut un imprévus, un grain de sable dans cette machine… Mais je vous arrête de suite, ici on est dans la réalité… Le grain de sable est gênant, mais la machine ne s’arrête pas. Une lueur d’espoir ? Ce n’est que pour plus mal finir mon enfant…
« Madame Leona… Je… Nous sommes sincèrement désolée… Mais euh… Enfin… L’impossible…
-Ferme la, triple andouille. On a trouvé ça. »JEANNE ! Bon, Lucie ne voyait pas, mais une jeune femme, du même âge qu’elle, et qu’elle connaissait bien était là. Avec deux autres personnes. Le spectacle était assez cocasse. La scientifique,
Barbara Michelle, elle était toujours aussi belle avec sa magnifique peau d’ébène, et avait un côté pro. À ses côté, un scientifique,
Henri de la Boissière, était presque en pleur, se rendant compte de ce qu’il avait fait. À cause de sa négligence, on avait frolé la CATASTROPHE. On va pas le cacher, cela faisait longtemps que Ravenborn n’avait pas été autant en danger. Et enfin, il restait Jeanne. Elle était attachée, bâillonée, on voyait même de la bave qui coulait de son bâillon, et surtout, entièrement nue. Ses seins avaient grossis, et elle était visiblement dans les vapes… Barbara déclara, alors, d’un ton calme et posée :
« Nous l’avons droguée, et Henri ici présent doit être punie, Oh déesse. »
La scientifique s’inclina devant sa « Déesse ». Cela montrait bien que même les employés n’échappaient à ce que Leona faisait : Elle était la déesse, l’unique personne derrière sa mère. Bref, le De la Boissière avait encore plus peur, et Jeanne, l’amie si fidèle de Lucie était là. Autre orpheline, Lucie avait sauté dans la gueule du Loup, ne croyant pas en la mort de son amie. Là, l’ironie était totale. Contrairement à ce qu’on pourrait croire, il y eut bien un sauveuse, quelqu’un qui avait pensé à Lucie et qui avait tenté de la sauver. Malheureusement, je dis bien « TENTER », étant donné que finalement, tout ces efforts avaient été vains. Elle était captive, perdue, et maintenant, aux griffes de Leona, tout comme Lucie. Comment allait réagir la déesse ? C’était une très bonne question, et sans doute que la réponse allait vite se faire sentir… Henri avait peur, Jeanne était droguée, et même Barbara avait peur…